...

Affichage des articles dont le libellé est Methane. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Methane. Afficher tous les articles
lundi 26 octobre 2015
Alors que la filière française de la méthanisation attend les nouveaux tarifs de soutien, l'Office franco-allemand pour les énergies renouvelables a fait le point, le mercredi 21 octobre 2015, sur la sécurité des installations dans les deux pays. Si la France reste relativement exempte d'accidents graves, selon Roland Fendler, de l'Office fédéral de l'environnement, l'Allemagne en connaît chaque semaine : 

« La filière manque de conscience et de responsabilité par rapport à la matière », déclare-t-il. Ecoulements, pollutions de ruisseaux, accidents du travail, incendies et explosions s'y succèdent.

Organisée dans les locaux du ministère de l'Ecologie à La Défense, la journée de conférence a mis en lumière les risques potentiels pour les installations françaises, à l'image de la situation actuelle allemande. En effet, le nombre d'incidents outre-Rhin pousse les autorités à étudier une nouvelle réglementation pour améliorer la sécurité des quelque 8.000 installations de méthanisation réparties sur son territoire. 

Selon Roland Fendler, les trois quarts des installations présentent des défauts, depuis les fondations des digesteurs jusqu'à l'équipement des salariés. C'est ainsi une nouvelle réglementation détaillant des dizaines de mesures à la Prévert qui attend les Allemands, du contrôle des atmosphères explosives à la mise en place de zones réservées pompiers.

Formations, fiches et chartes à venir

Si la réglementation française ICPE, inspirée de la politique de prévention, propose déjà des dispositions sur la sécurité, selon Jean-Marc Onno, de l'Association des agriculteurs méthaniseurs de France (AAMF), de nombreux points restent à être améliorés, cela à l'initiative des exploitants et des constructeurs. Pour l'AAMF, ceux-ci doivent plus s'impliquer, communiquer et réaliser des efforts significatifs, ne serait-ce que dans les traductions en français des notices et fiches de travail allemandes et même la création de fiches et documents uniques, de fiches types, de plans de circulation, car « chaque installation est différente ».
  
Dans le même objectif d'assurer un maximum de sécurité, l'AAMF est partenaire avec le Club biogaz dans l'écriture d'une charte engageant les constructeurs et les exploitants, et qui sera présentée dans quelques semaines. De son côté, l'Ineris a annoncé travailler sur la rédaction de fiches thématiques pédagogiques pour le ministère. Elles seront communiquées aux exploitants à partir de la fin de l'année. Une autre charte engageant assureurs et Ineris est aussi en cours de finalisation. Pour Jean-Marc Onno, les éléments de communication sont primordiaux pour assurer la sécurité des installations : « Il faut se donner le temps de l'information et de l'échange », insiste-t-il. Précisant par ailleurs que l'AAMF organise des réunions d'information et étudie des propositions de formation avec l'association Aile et les chambres d'agriculture. M. Onno déclarait convaincu : « Les agriculteurs sont conscients des risques, ils n'ont pas le droit à l'erreur. Mais tout cela coûte cher, et on attend d'urgence les nouveaux tarifs. »

Source © Vincent Gobert / La France Agricole


Vous avez aimé cet article
Votre soutien à Nature Alerte 
nous est précieux il assure notre indépendance 
(Cliquez sur le bouton ci-dessous)
                                                                                                                                                                   




mardi 8 septembre 2015
Vous avez probablement entendu parler de l'apparition étrange d'un cratère de plus de 30 mètres de diamètre dans la péninsule de Yamal en Sibérie dernièrement. L'info à l'époque était devenue virale.

Les adjectifs les plus souvent utilisés pour décrire ces apparitions insolites sont souvent emplis de mystères: géants, mystérieux, insensés, OVNI?. 


Et les scientifiques restaient jusqu'ici totalement "déconcertés." 


Il y a désormais une théorie étayée les concernant, et les nouvelles ne sont pas bonnes.Ils peuvent être du à la libération d'importantes quantités de gaz méthane provoquées par la fonte des sols gelés de la région. 


Selon un article paru dans le magazine Nature, l'air au fond des cratères contient actuellement des concentrations anormalement élevées de méthane, jusqu'à 9,6%. C'est ce qu'a relevé Andrei Plekhanov, archéologue au Centre scientifique d'études de l'Arctique à Salekhard, en Russie. Il rappelle que l'air en contient normalement seulement que 0,000179 %  . 


Le scientifique rappelle que pendant les étés exceptionnellement chauds de 2013 et 2014 dans le Yamal les températures relevées étaient de 5 degrés Celsius plus chaudes que la moyenne .  Ici le pergélisol dégèle extrement rapidement et les terres s'effondrent, libérant le méthane qui y est emprisonné depuis des millenaires en grande quantité.


Néanmoins Plekhanov a expliqué à la revue Nature que cette première conclusion n'est que préliminaire. Il aimerait la confirmer en étudiant et mesurant le méthane contenu dans l'air piégé à l'intérieur des murs du cratère. Une telle tâche, cependant, est extrêmement difficile à réaliser. " Les parois sont en train de fondre et de tomber dans le cratère, Vous pouvez entendre le sol tomber et l'eau s'écouler vers le fond. C'est effrayant. " 


La pression du gaz souterrain a probablement augmenté sous la chaleur, jusqu'à ce qu'elle soit suffisamment élevé pour repousser les couches supérieures jusqu'à leur effondrement a expliqué le géochimiste Hans-Wolfgang Hubberten de l'Institut Alfred Wegener en Allemagne, ajoutant qu'il n'a jamais vu une chose pareille. 


La fonte du pergélisol de Sibérie est une véritable bombe à retardement 


Deux cratères supplémentaires ont été récemment découvert en Sibérie, tous deux prés d'un important champ de gaz naturel. «Si une libération subite venait à toucher le champ de gaz de Bovanenkovskoye qui est à seulement 30 kilomètres d'ici, elle pourrait conduire à un grave accident. 


© Nature Alerte








Cet article accouplé à cette toute nouvelle découverte annonçant qu'un nouveau virus géant vieux de 30 000 a été extrait du pergélisol Sibérien et qu'il s'est même réveillé,  vraiment les dernières infos ne sont pas bonnes 

L'équipe de Jean-Michel Claverie et Chantal Abergel, à Marseille, publie ce matin dans les PNAS (la revue de l'Académie américaine des sciences) leur dernière découverte dans le sol gelé en permanence - le pergélisol - de Sibérie. Une quatrième sorte de virus géant, d'un genre jusqu'alors totalement inconnu.

Un virus déniché dans un échantillon de sol gelé depuis 30.000 ans fourni par les collaborateurs russes de l'équipe française qui regroupe des scientifiques du Laboratoire Information génomique et structurale (CNRS/Aix-Marseille Université), du laboratoire Biologie à grande échelle (CEA/Inserm/Université Joseph Fourier) et du Génoscope d'Evry, le Centre national de séquençage.

Le virus, inerte depuis 30.000 ans, a été réactivé par les chercheurs et s'est multiplié à sa manière habituelle, en parasitant une amibe. Ce nouveau venu de la famille des virus géants - géants car visibles à l'aide d'un simple microscope optique en raison d'une taille égale ou supérieure à 0,5 micron - porte désormais le nom de Mollivirus sibericum. Il prouve que les virus géants ne sont ni rares, ni uniformes.

Ce virus a la forme d'une coque oblongue d'environ 0,6 micron de long et dispose d'un génome de 650.000 paires de base codant pour plus de 500 protéines. Des protéines souvent différentes de celles de Pithovirus sibericum, un autre virus géant découvert par l'équipe de Claverie. De plus, à l'opposé de Pithovirus, qui n'a besoin que des ressources du cytoplasme de son hôte cellulaire pour se Les signataires de l'articlemultiplier, Mollivirus sibericum utilise le noyau cellulaire pour se répliquer dans l'amibe ce qui le rend aussi dépendant de son hôte que la plupart des "petits" virus.

L'équipe de Jean-Michel Claverie et de Chantal Abergel, à Marseille sur le campus de Luminy, participe à la compétition mondiale dans le domaine des virus géants curieusement découvert très récemment pour la raison paradoxale que les biologistes n'imaginaient pas qu'il puisse exister des virus aussi gros et dotés d'un patrimoine génétique aussi complexe. Elle possède à son actif de nombreuses découvertes dont j'ai donné un aperçu lors d'un reportage dans leur laboratoire publié dans Libération . Elle a notamment été impliquée dans la découverte de Mimivirus, en 2003, le premier des virus géants connus. Pas mimi comme mini ou mignon, mais comme virus qui mime les microbes. A la suite de cette découverte, elle s'est lancée dans la chasse aux virus géants, d'abord dans des sédiments marins, puis dans le pergélisol Sibérien, à l'occasion d'une coopération avec des scientifiques russes.  Après la famille des Megaviridae (Mimivirus), les Pandoraviridae (découverts en 2013) et le Pithovirus (décrit en 2014), Mollivirus sibericum relève d'une quatrième famille de virus géants, infectant les amibes du genre acanthamoeba.

UNE ALERTE DE SANTÉ PUBLIQUE

Génomes de Mollivirus et Pandoravirus

Pour dresser le portrait de Mollivirus, les chercheurs n'ont pas molli et utilisé toutes les techniques à leur disposition : génomique, transcriptomique, protéomique et métagénomique. Cette analyse en profondeur a dévoilé les traits et la stratégie du virus. Elle montre que Mollivirus sibericum est proche par certaines caractéristiques de son génome des types de virus courants parmi les pathogènes humains comme les Adénovirus, les Papillomavirus, ou les Herpesvirus. De son coté, Pithovirus se multiplie dans le cytoplasme, à la façon des Poxvirus, famille à laquelle appartient le virus responsable de la variole, officiellement éradiqué. 

Ce rapprochement avec des virus pathogènes pour l'espèce humaine - ils ne sont heureusement pas tous - incite les biologistes à lancer un avertissement. 

Sous l'effet du changement climatique provoqué par nos émissions de gaz à effet de serre, le dégel du pergélisol de Sibérie, du Canada et de l'Arctique va libérer des virus endormis depuis des dizaines de milliers d'années, voire plus. Mollivirus n'était présent qu'en très petite quantité dans l'échantillon de sol sibérien, et pourtant, il a pu se multiplier dès son dégel en présence d'amibes. Il serait finalement assez chanceux, comme disent les Québecois, qu'aucun d'entre eux ne soit, immédiatement ou après mutation, pathogène pour l'espèce humaine. L'équipe de Claverie a récupéré des échantillons de couches du sol sibérien formées il y a jusqu'à 1 million d'années et part à la recherche de virus encore plus anciens.


Source © sciences.blogs.liberation.fr

Scénario catastrophe d’infection

« En allant exploiter les régions arctiques on remue des couches de glaces qui n’ont pas bougé pendant des millions d’années. Tout va remonter à la surface, et vous amenez là des gens dans des zones désertiques depuis des millénaires qui vont être confinés sur des stations de forage. il  y a là effectivement tous les ingrédients d’un scénario catastrophe d’infection », alerte les chercheurs, incapables d’estimer le nombre de virus inconnus présents dans la région.


Les prochaines observations de la dangerosité du permafrost devraient conduire les scientifiques à forer plus bas, jusqu’à 600 ou 700 mètres. Pour la Terre aussi, le propre des grands secrets est d’être bien enfouis.


Vous avez aimé cet article
Votre soutien à Nature Alerte 
nous est précieux il assure notre indépendance 
(Cliquez sur le bouton ci-dessous)
                                                                                                                                                                   




vendredi 6 février 2015
Il n’est pas question de ralentir la production de gaz de schiste aux Etats-Unis. Mais il faut absolument réduire la pollution qui lui est associée, a exhorté Barack Obama mercredi. 

Le président demande que les producteurs et transporteurs réduisent leurs émissions de méthane d’au moins 40 % d’ici à 2025. Un effort drastique, puisque la tendance naturelle les ferait augmenter de 25 % à cette échéance.

Le méthane est le premier composant du gaz naturel – une ressource dont les Etats-Unis sont devenus le premier producteur mondial récemment. Il s’agit aussi du gaz qui contribue le plus au réchauffement climatique, juste après le gaz carbonique. Il représente 10 % des émissions de gaz à effet de serre aux Etats-Unis. De grosses quantités s’échappent des puits de gaz et pétrole de schiste, ce qui constitue une réelle préoccupation pour les défenseurs de l’environnement. « Ces fuites polluent autant que le feraient 180 centrales à charbon », résume Fred Krupp, président du Fonds pour la défense de l’environnement. «La réduction des émissions de méthane est l’une des mesures les plus rapides et efficaces que nous puissions prendre pour ralentir le réchauffement climatique à court terme», ajoute-t-il.

Solutions encore floues

Si l’objectif d’une réduction de 40 % est acté, les solutions pour y parvenir restent encore relativement floues. L’Agence de protection de l’environnement compte durcir la réglementation pour les nouvelles installations gazières et pétrolières. Elle présentera ses propositions cet été, pour une application l’an prochain.

Barack Obama fait face à un Congrès résolument hostile, qui conteste ou minimise la réalité du changement climatique. Les contraintes imposées par la Maison-Blanche leur semblent d’autant plus malvenues qu’elles interviennent dans un contexte très difficile pour les producteurs : la chute du cours du pétrole, et dans une moindre mesure du gaz, fait que de nombreux puits deviennent non rentables à exploiter. En imposant des normes environnementales, Barack Obama menace donc la révolution du gaz de schiste, estiment-ils. Faute d’accord avec le Congrès, le président n’a donc d’autre choix que de procéder par voie réglementaire.


Source © Les Echos


vendredi 16 janvier 2015
Les émissions de méthane, puissant gaz à à effet de serre, ne sont pas une fatalité mais sont au contraire en très grande partie évitables grâce à des mesures économiquement viables, estiment des experts dans un rapport publié jeudi en France.

Beaucoup de ces mesures demandent moins de changements dans nos modes de vie que les réductions de dioxyde de carbone, tout en présentant des effets secondaires largement bénéfiques, affirme l'Académie des technologies, établissement public placé sous la tutelle du ministre francais de la Recherche.

Les émissions de méthane, un polluant à courte durée de vie (une dizaine d'années), proviennent surtout d'une variété d'activités humaines dont le forage pétrolier et le raffinage du pétrole, la production de charbon, les décharges d'ordures ménagères et l'agriculture, notamment l'élevage de ruminants et la culture du riz.

Le rôle du méthane comme gaz à effet de serre est très important et doit être davantage pris en compte, souligne le rapport. Malgré sa faible durée de vie dans l'atmosphère, il a une influence forte sur le climat et son évolution, ajoutent les auteurs qui souhaitent, dans cette synthèse des connaissances sur ce gaz, apporter information et clarté dans la perspective de la grande conférence sur le climat à Paris fin 2015.

Le rapport recommande une série d'actions à court terme pour réduire les émissions.

Il propose de soutenir les actions de drainage dans les zones humides utilisées en terres agricoles, ce qui permet simultanément d'améliorer la production agricole, de diminuer la consommation d'eau et de diminuer les émissions de méthane.

Dans les mines et les centrales à charbon, il faut améliorer le cadre réglementaire international, d'autant que le drainage et la collecte du méthane diminuent considérablement les risques d'explosion dans les mines.

Pour l'exploitation du gaz, il faudrait donner de la valeur au gaz +lâché+ dans l'atmosphère, afin d'inciter les pollueurs à réduire leurs émissions, ajoutent les experts.

Enfin, il faut poursuivre le développement des technologies de récupération du méthane provenant des fumiers et des lisiers, et prendre la mesure réelle du rendement de la captation du méthane émis par les décharges.

Selon les experts, une inconnue importante est le volume des émissions résultant du dégel du pergélisol (permafrost) des zones humides arctiques qui pourraient intervenir sur l'échelle du siècle. Si la fonte du pergélisol est relativement certaine au-dessus d'un seuil de réchauffement climatique dont tout laisse à penser qu'il risque d'être atteint, sa vitesse et la quantité de carbone qui sera émise, en particulier sous forme de méthane, restent très difficiles à évaluer, soulignent-ils.


Source © AFP 


mercredi 27 août 2014
Des centaines de panaches de méthane jaillissant du fond marin ont été repérés sur la côte atlantique des États-Unis

Ces émanations de méthane pourraient expliquer une série d'événements passés (,mortalités de masse d'animaux et de poissons,  etc.) et, logiquement, une cascade d'événements à venir.

Dans une découverte inattendue, des centaines de panaches de gaz jaillissant du fond marin ont été repérés lors d'un balayage de la côte Est des États-Unis.

Même si les explorateurs de l'océan n'ont pas encore testé le gaz, les bulles sont presque certainement du méthane, rapportent aujourd'hui les chercheurs dans la revue Nature Geoscience (du 24 août).


mercredi 27 novembre 2013
Les émissions de méthane, un puissant gaz à effet de serre, pourraient avoir été sous-estimées de 50% aux États-Unis par l'Agence de protection de l'environnement (EPA), selon une étude publiée lundi.

«Nos résultats montrent des émissions de méthane pouvant être jusqu'à 2,7 fois plus élevées que les estimations (officielles) dans le centre-sud du pays, qui est une région clé pour la production pétrolière et le raffinage», note Scott Miller, chercheur de l'Université Harvard, un des principaux auteurs de ces travaux parus dans la dernière édition en ligne des Comptes rendus de l'Académie nationale des sciences.

Dans ces États du centre-sud du pays comme le Texas, les émissions provenant de la production de pétrole et de gaz pourraient représenter 50% des émissions totales de méthane de la région, soit près de cinq fois le volume avancé par l'EPA, selon ces chercheurs du Laboratoire National Lawrence Livermore de l'Université de Californie à Berkeley et de l'Université Harvard (Massachusetts).

Le méthane est le deuxième plus important gaz à effet de serre après le dioxyde de carbone (CO2), soulignent ces scientifiques, dont l'étude pourrait selon eux aider les autorités nationales et des États à élaborer des stratégies pour réduire leurs émissions.

L'équipe de recherche s'est appuyée sur un modèle ordinateur qui permet de traquer les variations de méthane dans l'atmosphère et de remonter à leurs sources sur l'ensemble des États-Unis. Ils ont travaillé sur des estimations initiales de 2007 et de 2008 au moment où les États-Unis commençaient à fortement augmenter leur production de gaz naturel.

Les émissions de méthane proviennent d'une variété d'activités humaines dont, outre le forage pétrolier et le raffinage de pétrole, la production de charbon, les décharges publiques et l'agriculture avec l'élevage qui pourrait produire deux fois plus de ce gaz qu'estimé précédemment.

Les activités humaines seraient responsables d'environ 60% de toutes les émissions de méthane de la planète, les autres 40% étant de sources naturelles.

«Cette analyse fournit l'estimation la plus solide et la plus détaillée à ce jour des émissions totales de méthane aux États-Unis», affirme Anna Michalak, du département d'écologie de la Carnegie Institution for Science et professeur à l'Université Stanford, autre auteur de l'étude.

Le méthane piège 70 fois plus de chaleur que le CO2 dans l'atmosphère, mais a une durée de vie beaucoup plus courte, de dix ans contre un siècle pour le dioxyde de carbone.

Source: © La presse.ca

Rejoignez Nous

Recevez nos articles par mail

...

Activité solaire/champ magnetique

Solar X-rays:

Geomagnetic Field:
>
Status
Status
 

Derniéres Actualités

ARTICLES LES PLUS RÉCENTS :

Rechercher dans ce blog

Membres

Annonces

annonces

Libellés/Tags

Alerte (4887) pollution (1059) inondation (541) Oceans (507) Hecatombes animales (474) Rechauffement (440) seisme (374) Insolite (348) rivieres (348) legislation (337) biodiversité (332) air (268) maree noire (260) eau (250) climat (237) Santé (233) deforestation (210) Extinction (201) volcan (197) intemperie (190) incendie (188) Mysteres (184) nucleaire (174) Eruption (172) Bilan (161) agriculture (159) justice (159) Mobilisation (157) La honte (155) Tempete (153) Pesticide (147) ce qu'on vous dit pas (147) gaz de schiste (146) bonnes nouvelles (145) conservation (128) secheresse (122) Tornade (109) accident (107) manifestation (102) Coup de chapeau (100) OGM (100) glissement de terrain (99) invasion (95) Typhon (90) evacuation (90) CO2 (89) coup de gueule (87) meteo (76) virus (72) Alergie (71) surpeche (65) catastrophe (62) sante (59) cyclone (54) economie (54) lac etang (53) famine (52) Evenement (51) chimique (50) contamination (50) Coup de coeur (49) record (48) vague de froid (47) cause animale (46) canicule (45) corruption (42) construction (40) Ouragan (38) appel (36) appel a l'aide (35) neige (35) surconsommation (35) Urgence (34) lac étang (34) sols (33) Intoxication (32) braconnage (31) epidemie (31) abeilles (30) alimentation (30) soleil (29) grippe aviaire (28) penurie (28) Orage (26) consommation (24) protection (24) pollution hertzienne (23) No comment (22) Scandale (22) pénurie (22) algues vertes (21) incroyable (21) vague de chaleur (21) acidification (20) Nitrate (19) PCB (19) science (19) biocarburant (18) decouverte (18) Tsunami (17) eutrophisation (16) algues rouges (15) censure (15) chikungunya (15) pollution sonore (15) Agenda (14) dechets nucleaires (14) energie renouvelable (14) sables bitumineux (14) ebola (13) elevage (13) gaspillage (12) ozone (12) clin d'oeil (11) mousson (11) petitions (11) politique (10) avalanche (9) Etat d urgence (8) grêle (8) incident (8) restriction (8) sauvegarde (8) Trombe (7) radiation (7) Chasse (6) Décontamination (6) Methane (6) industrie (6) crime (5) herbicides (5) hommage (5) mal-bouffe (5) plateforme (5) pollution plastique (5) techniques nouvelles (5) alimenation (4) dechets (4) disparus (4) geoingenierie (4) magnetisme terrestre (4) perturbateur endocrinien (4) proces (4) animal (3) cop21 (3) espoir (3) glaciers (3) journée mondiale (3) silence (3) verglas (3) Eureka (2) Géopolitique environnementale (2) Nouvelles technologies (2) ah bon... (2) amiante (2) conflis (2) crue (2) cyanobacteries (2) dengue (2) eclipse (2) espace (2) gag (2) malbouffe (2) poisson (2) projet de loi (2) pétrole (2) recolte (2) sinkhole (2) violence (2) zad (2) Elevage intensif (1) Finance (1) ONG (1) Recherche (1) Tempête (1) Toxique (1) Tristesse (1) commerce (1) consultation public (1) contribution (1) effet d annonce (1) extrane(l)us (1) fuite (1) greenwashing (1) infraction (1) initiative (1) inovation (1) intempérie (1) maree (1) massacre (1) météo (1) naufrage (1) peche (1) police (1) pollution interieur (1) pollution lumineuse (1) prétexte (1) requin (1) saisi (1) sanitaire (1) securite (1) semences (1) semences paysannes (1) séisme (1) trafic (1) victoire (1) zika (1)
Fourni par Blogger.