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dimanche 22 novembre 2015
Une fuite dans la presse chilienne a confirmé qu'en juin dernier des scientifiques ont fait une horrible découverte pendant un vol d'observation au dessus d'un fjord isolé en Patagonie au sud du Chili: 337 baleines étaient mortes échouées sur les plages. C'est la plus grande hécatombe de baleines jamais observée par la science. 

La cause de cette hécatombe massive est actuellement à l'étude. Les scientifiques confirment qu'il s'agit de rorquals boréaux, espèce en voie de disparition. 

En raison de l'éloignement de la région et de la difficulté d'approche, les scientifiques n'ont toujours pas été en mesure d'examiner de prés les baleines, mais une photographie aérienne par satellite a déjà identifié 305 individus et 32 squelettes dans une zone située entre le Golfe de Penas et de Puerto Natales, vers la pointe sud du continent. 

Les carcasses en décomposition sont dans un état de délabrement avancé de sorte qu'il est difficile de savoir avec certitude à quelle espèce elles appartiennent, a rapporté le professeur Caroline Simon Gutstein de l'Université de Santiago, mais d’après les premières observations, de leur taille, et leurs emplacements, il est fort probable qu'il s'agisse de rorquals boréaux. 

Les rorquals boréaux sont de grandes baleines à fanons gris bleuté qui filtrent l'eau pour se nourrir de krill. Ils peuvent atteindre 19,5 mètres de long et peser plus de 50 tonnes. Considéré comme le plus rapide des cétacés, le rorqual boréal peut nager à des vitesses allant jusqu'à 50 kilomètres par heure. Leur durée de vie est de 50 à 70 ans, et on les retrouve généralement dans les eaux profondes loin des côtes. La population mondiale est estimée à environ 80.000 individus 

© Nature Alerte





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dimanche 15 novembre 2015
Une mystérieuse boue gélatineuse et violette est apparue sur les abords des côtes du nord de la Norvège. 

"Nous ne sommes pas réellement en mesure de savoir actuellement ce que c'est sans une analyse approfondie, sinon qu'il semble que nous soyons face à une énorme hécatombe de méduses en décomposition flottant entre deux eaux" assure le professeur Roger Larsen,  agrégé à l'Université de Tromsø.

"Les images que nous avons enregistrés avec nos sondeurs sont totalement atypique. Nous essayons actuellement de recueillir un maximum d'informations pour trouver les réponses, mais je suis absolument sûr que nous n'avons jamais vu ça auparavant ". 

L'émergence de cette boue visqueuse violette a été signalé par les pêcheurs de la région dés la fin Août dernier sur une large ceinture de 200m autour du fjord de Lyngen. 

Nous parlons désormais de millions de mètres cubes dans plusieurs zones maritimes, mais le mystére reste entier et sans réponse

Lundi, Tone Falkenhaug et Jan Helge Fosså, océanographes de l'Institut norvégien de recherche marine ont fait valoir que cette substance pourrait avoir été causé par une invasion gigantesque de méduse Cnétophores cigare qui se serait ensuite partiellement désintégrée.
  
© Nature Alerte







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lundi 9 novembre 2015
Un parking s'est effondré dans le Mississippi, engloutissant plusieurs véhicules.

Les habitants sont sous le choc, et les autorités bien en peine d’expliquer le phénomène. Un « trou » géant s’est subitement ouvert samedi soir sous le parking d’un restaurant d’une petite ville du Mississipi, au sud des Etats-Unis, engloutissant une quinzaine de véhicules.

La police de Meridian, une localité de 40.000 habitants, a reçu un appel samedi vers 19h15 concernant « des véhicules qui étaient passés à travers le sol » sur le parking d’un restaurant de pancakes qui avait ouvert quelques jours plus tôt, explique un responsable à la chaîne NBC News.

Pas de blessés

Arrivés sur place, ils découvrent cette vision apocalyptique : une tranchée de 11 mètres de large sur plus de 100 m de long, dans laquelle gisent « 14 ou 15 véhicules » à plusieurs mètres de profondeur. Par chance, personne ne semble avoir été blessé.

Dimanche, les autorités étaient toujours incapables d’expliquer le phénomène. Selon Buck Roberts, responsable de la Sécurité publique de la ville, il ne s’agirait pas d’une doline, un phénomène d’effondrement du sol provoqué par la dissolution de la roche calcaire en-dessous. Pour l’instant,  « C’est la première fois que je vois ça, c’est tout bonnement incroyable ». La pluie annoncée pour les prochains jours pourrait retarder l’extraction des véhicules « engloutis ».



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jeudi 8 octobre 2015
Les analyses effectuées n’ont montré aucune pollution. Voilà ce qu’a révélé la direction départementale des territoires (DDT). « Des analyses ont été menées en eau potable notamment, mais également des analyses plus poussées, ainsi que des prélèvements sur des poissons. Selon les résultats, la qualité de l’eau du Guil est correcte », note Sylvain Vedel, directeur de la DDT.

En août dernier, la pêche sur le Guil et le torrent du Bouchet avait été interdite jusqu’à la fin de la saison à cause d’une mortalité anormale de poissons. Les pêcheurs avaient signalé la mort d’une centaine de poissons sur ces deux cours d’eau du Queyras depuis fin juillet, entre Abriès et Aiguilles. L’épisode avait connu un précédent en 2014.

“On ne peut pas dire si la pollution est naturelle”

« Cela doit être une pollution ponctuelle, ajoute le directeur de la DDT. Nous allons mettre en place un système continu permanent car cela s’est produit à plusieurs reprises, pour capter la pollution au moment où elle passe. »

La pollution est-elle naturelle ? À ce stade, « on ne peut pas le dire. Il faudrait capter des éléments à l’origine pour pouvoir répondre. Des cas de mortalité peuvent être causés par des substances naturelles ».

Source © le dauphine
jeudi 1 octobre 2015
Le réservoir de Mountain Meadows, encore appelé le lac Walker, est situé juste à l'ouest de la ville de Susanville près de la frontière de la Californie dans le Nevada. Il était jusqu’à la semaine dernière un site de pêche très populaire. 

Le lac a disparu du jour au lendemain, il est désormais totalement asséché. 

La compagnie Pacific Gas and Electric Company, qui détient les droits d'exploitation du lac, pour vendre de l'énergie hydroélectrique aux zones voisines, affirme être aussi surpris que tout le monde ."Nous avons travaillé dur pour éviter cette situation mais la réalité est que nous sommes dans une période de sécheresse très grave, nous avons également des préoccupations pour la survie des poissons en aval", a noté son porte-parole PG & E, Paul Moreno. 

les responsables de PG & E affirment que personne n'a ouvert les vannes de retenue du barrage et que l'eau a tout simplement disparu en une nuit. 

" Tous les réservoirs d'eau de la région sont tous à des niveaux bien inférieur à la normale», a déclaré Doug Carlson «Nous sommes dépendants des précipitations pour reapprisionner ces lacs, et la secheresse est désormais devenue une veritable catastrophe"

© Nature Alerte 




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Des milliers de poissons morts se sont échoués sur la côte de la mer Rouge, en Arabie Saoudite. Une vidéo de l'incident a été publié par le quotidien saoudien Okaz. 

Les autorités saoudiennes enquêtent sur l'incident essayent actuellement de savoir pourquoi les poissons sont morts. 

© Nature Alerte
mercredi 12 août 2015
La surveillance de l'environnement d’Australie enquête actuellement sur l'apparition subite d'un énorme panache d' eau brunâtre qui a englouti la moitié de la Gold Coast Seaway cette semaine.

Pour l'instant, tous les experts du Conseil des voies navigables sont toujours incapables d'en expliquer ni la cause ni la source. Le panache de pollution s'étend désormais sur des kilomètres.

Chaque jour, 94 millions de litres d'eaux usées sont traitées par les quatre usines de traitement des eaux usées de la ville, puis sont rejetés dans la Voie maritime pendant les marées descendantes. 

Des témoins affirment pourtant que la pollution sort par une des bouches d'une usine près de la tour VMR . Hier, un porte-parole du conseil de l'usine soupçonnée, a fermement démenti 

"Il n'y a eu absolument aucun changement dans nos procédures concernant la sortie des eaux traitées vers la Voie maritime, notre système fonctionne à merveille comme il le fait depuis de nombreuses décennies», a déclaré le porte-parole." 

"Il est totalement inexact de suggérer de quelque manière que ce soit qu'une de nos stations d'épuration soit défaillante. Nos processus sont surveillés 24 heures sur 24 et nous respectons à la lettre les plus hautes réglementations sanitaires d'Australie qui nous sont imposés." 

Hier soir, le ministère de l'Environnement et de la protection du patrimoine a confirmé qu'il enquêtait sur l'incident sur la base des photographies aériennes prises dans la journée. Les informations fournies par le Bulletin de la Gold Coast est utilisée pour approfondir la question. 

Le responsable de la Gold Coast Waterways Authority, Hal Morris,  a confirmé qu'il n'y avait eu aucun dragage dans la Voie maritime lundi. 

"Aucun navire ayant des problèmes de pollution n'a été signalé et je peux confirmer que notre équipe d'intervention d'urgence n'a pas été appelé ", a déclaré M. Morris. 

Bref l'apparition de cet énorme panache de pollution est un mystère de plus à ajouter à la longue liste des phénomènes étranges non résolus, quel suspense .

© Nature Alerte



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Le Commissaire sanitaire du New Jersey Jamie Fox a déclaré mardi que le panache brun qui a touché la baie de Barnegat la semaine dernière provenait bien d'une station de pompage mais qu'il n'était en aucun cas un panache d'eaux usées ni même à l'origine d'une pollution de quelques nature que ce soit. 

«Je dois être très clair sur ce point, le panache d'eau boueuse provenant de la pompe sur la 8e Avenue n'était en aucun cas des eaux usées, le Ministère de la protection de l'environnement a testé l'eau. elle est parfaitement saine. La santé et la sécurité du public est toujours notre première préoccupation ". 

Les stations de pompage ont été construites pour drainer les eaux de ruissellement en excès lors de fortes intempéries après la tempête de sable qui a touché la région dernièrement et afin d’éviter les inondations sur l'île-barrière au nord de la baie lors de fortes pluies. 

Le panache semble provenir du limon accumulé au fond de la baie lors des nombreuses constructions portuaires du passé, il aurait donc été aspiré par l'un des tuyaux de la station. 

Les premiers résultats ont montré que l'eau est sans danger et il n'y a pas de pollution bacterienne

Pourtant cette pollution aurait du etre évitée puis que la station doit normalement aider à réduire la pollution issues des eaux de ruissellement. En effet le nouveau système de drainage qui comprend 76 unités de traitement sont normalement là pour filtrer les déchets, les huiles et les sédiments avant qu'elles ne se jettent dans la baie. 

Bref il y a bien eu un bug, mais lequel? 

© Nature Alerte


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mercredi 5 août 2015
Riverains et élus de Saint-André-de-la-Roche sont toujours dans l'attente d'une explication pour cette morte massive et mystérieuse de poissons dans le cours d'eau qui traverse la ville de Nice. Pollution ? Manque d'eau ? Les pistes demeurent.

Depuis la mi juillet, le mystère demeure. C'est à cette date qu'environ 200 kg de poissons morts ont été retrouvé dans La Banquière, la rivière qui traverse la commune.

"Certaines années de fortes chaleurs en été, le cours d’eau baisse fortement et les poissons meurent car ils n’ont plus d’eau, ni d’oxygène", souligne le maire Honoré Colomas. "La dernière fois que j’ai vu ça, c’était il y a bien 20 ans".

Les poissons ont été congelés et adressés à un laboratoire de Sophia Antipolis pour analyses.

En attendant, le mystère demeure et les recherches se poursuivent.
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vendredi 31 juillet 2015
Des milliers d'araignées de mer mortes se sont échouées sur les plages de Port Monmouth dans le parc de Waterfront Bayshore dans le New Jersey. 

Elles ont été retrouvé tout le long de la côte de la région, l'odeur de leur décomposition est devenue insupportable. Elles proviennent probablement de la baie de Raritan. 

Un porte-parole du ministère de la protection de l'environnement a confirmé que cette hécatombe mystérieuse remonte probablement à au moins deux semaines, une enquête est en cours pour tenter d'en déterminer l'origine. 

© Nature Alerte



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Des milliers de truites mortes dans la rivière la Dunière et le flou total

C’est un bien triste spectacle qui a été découvert dès mardi dans la rivière la Dunière. Partout, des poissons ont été retrouvés morts.

« Il y a des milliers de truites décédées, même des truitelles de cette année », explique Lucien Giraudon, président de l’AAPPMA Les Amis des deux eaux, à Sainte-Sigolène. Le désastre démarre entre « Vaubarlet » et « Latour » et on ne sait pas où cela s’arrête, en aval.

Pour l’heure, si des prélèvements ont été effectués pour être analysés, aucune piste n’est privilégiée. Surtout, tout le monde est dans l’inconnu concernant le produit meurtrier et son origine. Plusieurs hypothèses sont envisagées pour expliquer les faits mais rien n’est certain.

Un acte de vandalisme, un rejet venu d’une station d’épuration ou d’une société ou encore l’écoulement des produits retardants utilisés pour combattre le feu qui a ravagé 25 hectares dans les gorges du cours d’eau en ce début de semaine. 

«Mais cela est peu plausible», selon Antoine Lardon, président de la fédération départementale de pêche. Des investigations et des analyses permettront sans doute d’en dire plus prochainement.


Source © Le Progres


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mercredi 8 juillet 2015
Les biologistes tentent actuellement de comprendre la raison qui a poussé des milliers d'oiseaux nicheurs a abandonné subitement leurs nids et leurs oeufs sur l'île de Seahorse Key au large de la côte du Golfe de Floride.   

En effet des petits hérons, des spatules rosées, des aigrettes neigeuses, des pélicans et de nombreux autres oiseaux ont tous quitté subitement l'île en mai. 

L'agence de l'US Fish and Wildlife affirme que ce qui était autrefois la plus grande colonie d'oiseaux sur la côte du Golfe est désormais devenue une «zone morte." 

Les scientifiques n'ont jusqu'ici trouvé aucune explication à cette incroyable fuite massive de toutes les espèces d'oiseaux de l'île; aucune maladie ni aucun contaminant ni aucun prédateur ont été retrouvé pour expliqué ce phénomène totalement inattendu et devenu pour le coup totalement mystérieux. 

Cet abandon massif de l'île par les oiseaux consternent les biologistes, car il pourrait entraîné des conséquences graves: De nombreuses espèces d'oiseaux reviennent ici chaque année sur les même sites de nidification.  Cette disparition mystérieuse affectera probablement les autres animaux de l'île, dont certains comptent sur les oiseaux pour survivre.

© Nature Alerte





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mardi 23 juin 2015
Neuf rorquals communs, une espèce menacée de baleines ont été retrouvés morts au large de l’Alaska. Les scientifiques étudient leur mort mystérieuse pour en déterminer les causes.

Les baleines mortes ont été découvertes dans les eaux de Kodiak Island, au large de la côte sud de l’Alaska, jusqu’à Unimak Pass à la pointe est des îles Aléoutiennes, d’après ce que des chercheurs de l’Université de Fairbanks ont déclaré.

Le nombre de baleines mortes signalées depuis fin mai intrigue les chercheurs qui ne recensent généralement qu’un rorqual commun mort tous les deux ans dans cette région, d’après Kate Wynne, une spécialiste des mammifères marins de l’Université de Fairbanks.

« C’est très étonnant pour un certain nombre de raisons » a déclaré Kate Wynne. Elles semblent être toutes mortes au même moment. Et ce qui est étrange c’est qu’elles appartiennent toutes à la même espèce, à l’extinction d’une baleine à bosses découverte dans un autre endroit ».

Après la baleine bleue, le rorqual commun est le deuxième plus grand mammifère vivant dans le monde. Les baleines, qui vivent dans toutes les eaux profondes des océans majeurs, ont été inscrites à la catégorie des espèces menacées aux Etats-Unis depuis 1973.

Les baleines ne présentaient aucun signe de blessure.

« Jusqu’à présent, c’est un réel mystère environnemental » a déclaré Kate Wynne.

Les rorquals communs vivent en groupes de deux à sept et vivent en moyenne 80 ans, d’après la NOAA. Les adultes peuvent atteindre 21 mètres de long et peser près de 45 tonnes.

Source © actualités news environnement

mercredi 10 juin 2015
Vendredi 5 juin, des milliers de poissons ont été retrouvés morts, échoués sur la plage de la réserve naturelle Moëze-Oléron à Saint-Froult, près de Rochefort. Ce sont des gestionnaires de la réserve qui ont découvert l'hécatombe.

Tout la côte de la réserve est concernée, soit 4,5 km de long. Et certainement au-delà.

Une enquête a été ouverte auprès de la gendarmerie et de la Direction départementale des territoires et de la mer.

"Il y a un poisson tous les 10 mètres. Ça peut aussi aller jusqu'à 10, voire 15 poissons tous les 10 mètres", constate Pierre Rousseau, garde-technicien à la réserve, qui note que toute la côte de la réserve, soit 4,5 km, est concernée. Et certainement au-delà

On ignore encore les raisons de cette surmortalité spontanée.

Les poissons échoués sont des mulets à une écrasante majorité, peut-être 90%. On a quelques congres et des anguilles aussi".

Une enquête a été ouverte auprès de la gendarmerie et de la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM) pour déterminer les causes de cette surmortalité spontanée. Quelques spécimens seront analysés pour déterminer si une cause biologique, comme une bactérie, est à l'origine de l'hécatombe. 

Source © Sud Ouest



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Échoués au fond de lit ou flottant à plat sur l'eau... Plus d'une centaine de poissons ont été retrouvés morts, ce mardi après-midi, dans la Brague. Sous le pont au niveau de la Siesta, sur la route du bord de mer à Antibes.

«Nous avons fait des reconnaissances sur une partie du fleuve en remontant jusqu'à Biot, explique Jean-Marie Aicardi, de la Protection civile d'Antibes. Et n'avons constaté aucune pollution d'origine organique.»

Accompagnés de sapeurs-pompiers, les agents de la protection civile ont réalisé plusieurs prélèvements (Ph neutre, taux d'oxygène, température...) Des analyses qui n'ont rien révélé d'anormal. Tout au plus une température de l'eau légèrement élevée (24°).

Les poissons auraient-ils eu un coup de chaud fatal? Difficile à croire. Ce matin, les agents de la protection civile poursuivent leurs investigations en gardant un œil sur les branchies des poissons de la brague.

vendredi 5 juin 2015
Une plage de Palavas, près de Montpellier, a été évacuée ce jeudi matin, en raison d'une pollution dont la nature exacte n'est pas déterminée, a-t-on appris auprès des pompiers.

Selon la préfecture maritime, il pourrait s'agir d'un rejet de l'émissaire en mer de la station d'épuration Maera.

Plusieurs nappes d'un produit blanc et visqueux avec des matières fécales ont touché des plages de la rive droite de la cité balnéaire de l'Hérault, ont indiqué les pompiers, précisant que dès dimanche cette pollution, constituée de nappes de 10m sur 3m, avait été repérée au large de Palavas sur une étendue d'un kilomètre.


Selon le CROSS-MED, un pêcheur a donné l'alerte, ce jeudi matin, après avoir repéré de nouvelles nappes de pollution à 500 mètres des côtes.


Le plan communal de sauvegarde par la mairie a été enclenché et un arrêté municipal a été pris pour interdire la plage jusqu'à vendredi, a précisé le chef de la police municipale de Palavas.


Même si l'hypothèse d'un rejet de l'émissaire de la station d'épuration de Montpellier métropole est privilégié, il débouche à 11 kilomètres au large du golfe de Palavas, les douanes sont sur place, des recherches aériennes ont été entreprises pour déterminer si un navire n'était pas à l'origine de cette pollution.


Des analyses vont être effectuées pour en déterminer la nature exacte, ont ajouté les pompiers.

A Villeneuve-lès-Maguelone, commune voisine, pour l'instant non touchée, "on reste attentif" mais "aucune interdiction n'a été prise", a assuré le directeur général des services Philippe Gabaudan.

Source © France 3


C'est une nouvelle pollution, de provenance mystérieuse, qui pose question en Bretagne. Depuis quelques jours, sur les côtes du Finistère, on constate l'échouage de boulettes blanches, a indiqué la préfecture du département ce jeudi 4 juin. 

Après analyse par le Centre de documentation, de recherche et d'expérimentations sur les pollutions accidentelles des eaux (Cedre), "il s'avère que la substance recueillie sur les plages est constituée de paraffine, à base d'huile minérale raffinée", précise la préfecture du Finistère. 

Pas de danger pour la santé

"Il s'agit d'un distillat obtenu lors du procédé de raffinage du pétrole contenant des hydrocarbures". La préfecture assure qu'il "n'y a pas de risque particulier pour l'homme si le collectage des amas et blocs sur les plages se pratique en se protégeant les mains à l'aide de gants".

L'Agence régionale de Santé (ARS) estime de son côté qu'un contact cutané peut entraîner une irritation de la peau.

"On sait que c'est de la paraffine mais on ne sait pas d'où elle vient", a indiqué le directeur du Cedre 

Gilbert Le Lann à l'AFP. Il estime que de tels échouages "ne sont pas réguliers mais se produisent de temps à autres et pas uniquement dans le Finistère". 

Source © AFP
lundi 1 juin 2015
En nouvelle Zélande, une horrible puanteur a déclenché une enquête officielle de l'état concernant une mystérieuse hécatombes de million de crustacés sur la plage de Ngunguru Sandspit près de Whangarei dans le Northland. 

Aaron Franklin a alerté les autorités le jeudi 21 mai. L'ingénieur estime qu'il y avait plus d'un million de coques, de tuatuas et de pipis mortes sur la plage et près de l'embouchure de l'estuaire. 

Les représentants du Conseil régional du Northland ont prélevé des échantillons. Ils ont confirmé que la zone était infestée par la pourriture des crustacés. 

Les autorités recommandent à la population de ne pas consommer les mollusques de la région jusqu'à ce que la cause de cette hécatombes soit réellement connue. Dans un communiqué, le Ministère des Industries primaires (MPI) affirme que "les enquêtes de ce genre peuvent exiger des tests complexes et il est actuellement trop tôt pour dire combien de temps cela pourra prendre."

Il semble que la région est été frappé par une hypoxie soudaine, les niveaux d'oxygène tombent si bas dans l'eau de mer que toute vie marine est tuée dans un très court laps de temps. Des courants océaniques peuvent avoir causé l'arrivée soudaine d'un important niveau de dioxyde de carbone dans les eaux de mer vers les zones à forte concentration de crustacés. 

Néanmoins un porte-parole du Conseil régional du Northland affirme qu'il n'y a aucune preuve pour appuyer cette théorie particulière à ce stade de l'enquête. 

© Nature Alerte
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mardi 26 mai 2015
Dans l' Essonne la société canadienne Vermilion a dépêché des équipes sur une de ses collectes de production d’hydrocarbures pour confiner une fuite dont l’origine n’est pas encore connue.

Une odeur de souffre, des hommes en combinaison qui s’affairent dans un champ, la route de Leudeville coupée puis mise en circulation alternée et des allers-retours de camions de pompiers. Le tout à proximité d’une des concessions de pétrole gérées par la société canadienne  Vermilion… Il n’en a pas fallu plus pour que les membres du collectif Non au gaz de schiste 91 tirent la sonnette d’alarme ce dimanche matin : « Alerte vers Vert-le-Grand, un grave incident s’est produit cette nuit sur le site de Vermilion.

 Il semblerait qu’il s’agisse d’une fuite importante sur une canalisation. »

Une information en partie confirmée par la société canadienne. « Ce dimanche matin à 6 h 23, Vermilion a été prévenue par les pompiers d’une fuite sur une de nos collectes de production sur la commune de Leudeville, à proximité de l’un de nos sites de production d’hydrocarbures sur la concession pétrolière de Vert-le-Grand, indique Jean-Pascal Simard, directeur des relations publiques pour la société canadienne. Nos équipes ont été déployées sur site, les installations de production concernées ont été arrêtées et l’activation du plan d’intervention de Vermilion a été lancé, avec le soutien des pompiers locaux et de la gendarmerie. »

Un mélange d’eau chaude et d’hydrocarbure s’est répandu sur 500 m2 de blé et de colza

C’est en fait un automobiliste qui a signalé la pollution vers 5 heures du matin ce dimanche. Arrivés sur place, les gendarmes constatent qu’une canalisation alimentant en eau chaude la concession pétrolière de Vert-le-Grand fuit. Un mélange d’eau chaude et d’hydrocarbures s’est répandu sur 500 m2 dans un champ de blé et de colza. La pollution a d’abord été traitée par les pompiers, puis les camions de pompage de Vermilion ont pris la suite.

Mais la préfecture se veut rassurante, estimant que l’affaire est minime. « Et l’exploitant s’est engagé à dépolluer le site », indiquent les services de l’Etat. 

« La fuite est confinée, assure ce dimanche après-midi Jean-Pascal Simard. Toutes les actions de nettoyage sont engagées. Nous déplorons cet incident qui a un impact sur l’environnement mais très limité car la fuite est réduite en quantité et en surface, et nous sommes intervenus très rapidement. Des analyses sont en cours pour comprendre les causes de cet incident, en toute transparence avec les autorités. »

Source © La parisien
mardi 19 mai 2015
Avant hier, de nouveaux corps boursouflés de dizaines de tortues d'eau douce, des Malaclemys terrapin, une espèce qui vie dans les zones humides côtières le long de la côte Est, ont été retrouvés dispersés sur plusieurs plages vers Jamesport dans la Flandre Bay  

"Nous recevons de plus en plus d'appels chaque jour, depuis la fin Avril.", a déclaré Karen Testa, directrice exécutif du sauvetage des tortues basée à Jamesport des Hamptons. Nous avons déjà recueilli au moins 50 tortues mortes depuis le 21 Avril.

Et les témoignages se multiplient

Hier Une riveraine a appelé sa fille qui a dit avoir vu une centaine de tortues mortes sur la plage, a déclaré Jim Divan "Je suis abasourdi une centaine de tortues, çà parait beaucoup. Mais après vérification auprès des résidents, il m'a bien été confirmé qu'environ 100 d'entre elles ont été retiré de la plage le week-end dernier. 

"On jamais rien vu de tel dans la région", a déclaré Divan.

Et nous parlons là que de celles que nous arrivons à retrouver, combien d'entre elles sont peut être actuellement en train de mourir dans les zones humides inaccessibles, personne ne le sait. a déclaré Karen Testa à la presse.

Karen Testa appelle la population a signalé les hécatombes qu'ils aperçoivent.

Pourtant plusieurs techniciens de la faune tirent la sonnette d'alarme depuis plusieurs années.

Nos zones humides ne sont actuellement pas en bonnes santé, affirme l'un d'eux, par exemple, cet endroit était idéal pour les palourdes, il y a une dizaine d'année on pouvait en ramasser une centaine par jour. Il n'y en plus aucune depuis quelques années,  quelque chose s'est détraqué quelque part.

Kevin McAllister, ancien chef de l'ONG Peconic Baykeeper et fondateur de l'H20, soupçonne lui une contamination possible de la principale source de nourriture de la tortue.

Les terrapins Diamondback sont les tortues d'eau douce les plus fréquente en Amérique du Nord, on les retrouve de la Floride au Massachusetts. Après qu'elles aient été chassés jusqu'à leur presque extinction au 20e siècle en raison de leur popularité comme mets délicat, elles ont été reconnu comme espèce menacée dans le Rhode Island et le Massachusetts et comme espèce en état préoccupante dans six autres Etats, y compris ici dans l'état de New York. 

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