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lundi 10 août 2015
Quelque 170 exploitations étaient fermées vendredi soir à la suite de la découverte d'un cas de tuberculose bovine à Meeuwen (Limbourg). Ce chiffre ne devrait plus énormément évoluer au cours de la prochaine semaine, selon Philippe Houdard de l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire. "Nous n'aurons un bon aperçu de la situation que vers la fin du mois", a-t-il indiqué.

Les 170 exploitations en question ont été en contact avec la ferme de Meeuwen, là où la maladie a été mise au jour. Des tests sont actuellement effectués afin de vérifier si des animaux ont été contaminés par la tuberculose bovine. Si la réponse est négative, les blocages seront levés.

Les fermes qui ne sont pas directement entrées en contact avec l'exploitation en cause mais qui l'ont été indirectement seront analysées dans les 30 prochains jours. "Nous aurons un bon aperçu de la situation d'ici la fin du mois", indique l'Afsca.

Les entreprises à l'arrêt se situent principalement au Limbourg, mais plusieurs exploitations des provinces d'Anvers et de Liège sont également concernées. Les provinces du Brabant flamant et wallon ont jusqu'à présent été épargnées mais il demeure un risque que plusieurs fermes y soient également momentanément fermées.

La Belgique était débarrassé de la tuberculose bovine depuis plus de dix ans, bien que des infections surviennent sporadiquement.

Source © Belga
lundi 6 juillet 2015
La ferme des « 1 000 vaches », située à Drucat dans la Somme, devrait revenir à un troupeau de 500 têtes. 

C’est en tout cas le sens de la mise en demeure prononcée par Nicole Klein, la préfète de la Somme. Signé mardi 1er juillet, l’arrêté donne 15 jours à l’exploitant pour se mettre en conformité, à compter de sa notification vendredi 3 juillet.

S’il ne se conforme aux dispositions de cette mise en demeure, le propriétaire s’expose à des sanctions administratives, soit une amende maximale de 15 000 euros et une astreinte journalière maximum de 1 500 euros. Ceci en dehors des poursuites pénales susceptibles d’être engagées comme le précise la Préfecture dans un communiqué publié jeudi 2 juillet.

Dépassement non autorisé

Cette décision de la préfecture fait suite à un contrôle diligenté le 9 juin dans la ferme de l’homme d’affaires Michel Ramery. Les inspecteurs avaient constaté un dépassement du nombre de vaches laitières autorisées.

Ils avaient dénombré 796 bêtes, alors que l’arrêté préfectoral délivré le 1er février 2013 fixait le seuil à 500 vaches. Le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, avait immédiatement réagi en affirmant que des sanctions devaient être appliquées.

Suite à l’envoi du rapport et du projet d’arrêté de mise en demeure, l’exploitant avait fait part de ses observations, dans un courrier adressé le 17 juin aux services de l’Etat.

Source © Le Monde

jeudi 18 juin 2015
Le Parlement européen a réclamé, mercredi 17 juin, d'interdire le territoire de l'UE aux animaux clonés, à leurs descendants et aux produits en étant issus, au risque de fâcher les fournisseurs américains, que la Commission européenne veut ménager.

Les commissions agriculture et environnement du Parlement ont uni leurs forces pour demander ce moratoire généralisé, fruit d'un accord entre les six grandes formations politiques du Parlement, de la droite aux verts. Dans leur rapport, adopté par 82 députés (8 votes contre, 8 abstentions), les élus soutiennent le projet de la Commission d'interdire le clonage d'animaux à des fins agricoles dans l'UE, et la mise sur le marché de tels animaux.

Une interdiction à tous les niveaux

Mais, en invoquant le bien-être animal, des soucis éthiques et les réserves des consommateurs européens, les élus veulent aller loin, en interdisant aussi la vente et l'importation des produits issus d'animaux clonés, notamment spermes et embryons, ainsi que des descendants de ces animaux et des produits en étant issus.

Cette mise au ban généralisée s'impose car sinon « nous ferions la promotion de la technique du clonage dans les pays tiers », notamment aux États-Unis, a plaidé la rapporteure démocrate-chrétienne allemande, Renate Sommer. Le Parlement réclame aussi des obligations de traçabilité de la part des partenaires commerciaux de l'UE, pour empêcher que sa mise au ban soit contournée.

Cette position doit encore être avalisée en plénière, en principe en septembre, avant l'ouverture de négociations entre élus, gouvernements et Commission pour finaliser les règles européennes en la matière.

La Commission veut ménager les partenaires de l'UE

La viande des clones, des spécimens très coûteux, ne se mange pas, mais leurs embryons et semences sont commercialisés et exportés, et leurs descendants sont élevés, en particulier aux États-Unis, en Argentine, au Brésil et en Uruguay, sans système de traçabilité.

Dans son projet législatif présenté en 2013 pour encadrer cette pratique, l'exécutif européen avait renoncé à bannir la vente de viande ou de lait des descendants des animaux clonés pour ne pas indisposer ses partenaires commerciaux. Il avait aussi exclu un étiquetage de ces produits, arguant des coûts induits pour les producteurs, tout en prédisant d'emblée une bronca du Parlement contre ses propositions.

Source © la France Agricole
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vendredi 27 février 2015
La maladie bovine IBR arrive en Suisse. Les autorités ont mis sous séquestre 30 exploitations dans douze cantons. Incurable chez les animaux, ce virus n'est toutefois pas dangereux pour l'homme.

Deux bêtes ont été testées positifs à l'IBR (rhinotrachéite infectieuse bovine), tandis qu'une troisième présentait un résultat douteux. Ces animaux ont été abattus sans tarder, écrit jeudi l'Office fédéral de la sécurité alimentaire (OSAV).

Le virus a été introduit en Suisse par des bovins importés du Tyrol, en Autriche. Les autorités vétérinaires autrichiennes ont informé leurs homologues helvétiques le 17 février dernier.

Durant la période critique, entre décembre 2014 et janvier 2015, 63 animaux ont été importés. Les autorités suisses recherchent toutes les bêtes entrées en contact avec les bovins en question pour les examiner. Une mise sous séquestre implique une interdiction des mouvements d'animaux pour éviter la propagation de la maladie.


Source © ATS  

samedi 14 février 2015
Un cas d'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), communément appelé vache folle, a été détecté en Alberta (Ouest du Canada), a indiqué vendredi l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA).

Ce cas d'ESB a touché une vache de réforme (destinée à la boucherie), selon l'Agence qui a précisé qu'"aucune partie de la carcasse de l'animal ne s'est retrouvée dans la filière d'alimentation des humains ni des animaux". 

1er cas depuis 2011

C'est le premier cas de vache folle au Canada depuis 2011, a indiqué l'ACIA qui a lancé une enquête "en étroite collaboration avec les autorités compétentes de la province et l'industrie". 

Pour son enquête, les services vétérinaires veulent "confirmer l'âge de l'animal, ses antécédents et le mode de transmission" de la maladie, a indiqué l'ACIA dans un communiqué. Ces services veulent connaître la nature et la composition des aliments de cet animal "durant sa première année de vie", et déterminer précisément "tous les animaux posant un risque équivalent". 

Bovins abattus

Une fois ces bovins répertoriés, l'ACIA a indiqué qu'ils seraient "abattus et soumis à des tests de dépistage de l'ESB". Avec son statut sanitaire de "pays à risque maîtrisé à l'égard de l'ESB" attribué par l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE), le Canada a les autorisations nécessaires pour exporter sa viande de boeuf. 

Cas isolé

Ce cas de vache folle isolé "ne devrait avoir aucune incidence sur les exportations actuelles de boeuf ou de bovins canadiens", a estimé l'ACIA. La crise de la vache folle avait principalement touché la Grande-Bretagne dans les années 1990 avec une origine dans l'alimentation du bétail à partir des farines animales.

Source © AFP
mardi 6 mai 2014
La France a décidé d'interdire les importations de porcs vivants et de produits à base de porc en provenance des Etats-Unis, du Canada, du Mexique et du Japon, afin de se prémunir contre le virus de la diarrhée épidémique porcine (PED). Cette maladie a déjà tué quelque 7 millions de porcelets aux Etats-Unis en près d'un an, et fait atteindre des records au prix du porc, dans un secteur déjà fragile. 

« Quand on voit les chiffres, il y a de quoi être inquiet. Il y a peu de maladies qui ont une si forte mortalité à une si grande échelle, a expliqué Jean-Luc Angot, directeur général adjoint de direction générale de l'alimentation (DGAL) et chef des services vétérinaires. Si elle [la diarrhée épidémique porcine] apparaissait dans des régions comme la Bretagne, qui concentre l'essentiel de la production porcine, cela serait dramatique. » 

La décision, qui doit paraître au Journal officiel samedi 3 mai, entérine l'interdiction d'importer des porcs vivants, des semences et du sperme de porc - des produits que la France importe peu en provenance de ces pays - , ainsi que les sous-produits à base de viande de porc comme l'alimentation animale. 

La diarrhée épidémique porcine, qui tue principalement les porcelets de moins de dix jours, se propage par contact direct mais aussi par l'alimentation animale. Des restes de porcs adultes infectés, tels que du sang séché, peuvent être incorporés dans l'alimentation animale pour porcins, et transmettre ainsi le virus. 

Vers un élargissement européen? 

Si la Chine et le Japon ont déjà imposé des restrictions aux importations de porc américain, la France est le seul pays de l'Union européenne à les interdire. Elle avait proposé l'adoption d'un embargo européen le mois dernier, mais, malgré l'intérêt de grands producteurs de porc comme les Pays-Bas, le Danemark ou l'Allemagne, la Commission avait refusé cette initiative, selon M. Angot. 

Pour autant, la direction de l'alimentation compte toujours sur un accord. « Nous avons décidé de prendre des mesures au niveau national, en espérant qu'elles soient élargies au niveau européen », a expliqué Jean-Luc Angot. Le ministère a également demandé aux professionnels du secteur, qu'il a rencontrés cette semaine, de renforcer les mesures de biosécurité permettant d'éviter la pénétration de tout virus dans un élevage.

Source © AP


jeudi 19 septembre 2013
Le Professeur Robert Oswald affirme dans les conclusions de sa dernière étude sur les liens entre la fracturation hydraulique et de les maladies chez les animaux de ferme que le nombre de décès et de malformations du bétail américain prés des puits d'extraction de gaz de schiste sont tellement alarmant que la Grande-Bretagne devrait mettre fin rapidement à cette pratique » jusqu'à ce que son impact soit entièrement évalué "

"La fracturation dans la campagne britannique pose un tel risque pour le bétail qu'un moratoire devrait être imposé à l'industrie jusqu'à ce que son impact sur la sécurité alimentaire du pays puissent être totalement évalué ".

Cette sévère mise en garde intervient alors que des planificateurs anglais se préparent à examiner des demandes pour étendre les activités de forage d'exploration dans le département de Sussex, première zone de production laitière du pays.

Le Professeur Oswald , expert en médecine moléculaire à l'Université Cornell , a déjà compilé plus de 24 incidents à travers six États américains où toutes les têtes de bétail de fermes adjacentes aux sites de forage sont mortes ou ont souffert de maladie chroniques, y compris des problèmes de reproduction ou de graves problèmes neurologiques dues à l'exposition aux produits chimiques de fracturation .

Parmi les incidents étudiés par le professeur Oswald la révélation d'un incident d'une fuite d'eaux usées de fracturation en Louisiane qui aurait tué 17 vaches par insuffisance respiratoire . 

Ou encore cet autre, en Pennsylvanie, ou un troupeau a subi un taux de 50 pour cent de mortalité dans un champ contaminé par des produits chimiques échappés d'un bassin de rétention des déchets de fracturation.

"les agriculteurs vivant dans les zones voisines des puits d'extraction  devraient être très préoccupés par l'exposition potentielle de leurs cultures et leurs troupeaux à des contaminants de gaz de schiste, dans l'eau, l'air et le sol. "

Et il rappelle que contrairement aux États-Unis , les opérateurs britanniques doivent divulguer les détails des produits chimiques qu'ils utilisent dans leurs fracturations "

Le scientifique a déclaré que toutes les fracturations doivent être arrêtées en Grande-Bretagne jusqu'à ce qu'un programme de test soit mise en place pour évaluer l'impact sur ​​les terres agricoles et d'élevage . Un éventail de produits chimiques , y compris les substances cancérigènes , est déployée au cours de la fracturation hydraulique . 

Professeur Oswald a déclaré: «Les agriculteurs ont le droit de savoir ce à quoi leurs familles et leurs troupeaux sont exposés.

Les agriculteurs en Irlande du Nord , où les entreprises énergétiques espèrent également commencer des forages , ont déjà souligné leur opposition à la fracturation dans une manifestation lors de la conférence du G8 de cet été. John Sheridan, l'Union des agriculteurs Ulster , a déclaré: «L'industrie des aliments et des boissons représente une valeur de près de 30 milliards €  en Irlande et la fracturation pourrait ruiner cette industrie. 


© Nature Alerte / independent.co.uk





mardi 26 mars 2013
Des milliers de têtes de bétail étaient prisonnières mardi de la neige tombée en abondance ces derniers jours en Irlande du Nord et un hélicoptère de la Royal Air Force a été appelé à la rescousse pour leur larguer du fourrage.

Jusqu'à 10.000 bêtes, selon les estimations, dont beaucoup de moutons, pourraient avoir été ensevelies sous le manteau neigeux qui atteint 5,5 m dans certaines parties de la province britannique semi-autonome. Les fermiers locaux craignent que beaucoup ne soient déjà mortes de froid.

"Nous avons demandé au ministère (britannique) de la Défense de nous fournir un hélicoptère car nous n'en avons pas de disponible ici pour distribuer de la nourriture", a expliqué Michelle O'Neill, la ministre nord-irlandaise de l'Agriculture. Les largages de nourriture devaient commencer dans l'après-midi.


La police et les services de secours en montagne sont déjà sur le terrain pour venir en aide aux fermes les plus isolées et des distributions de pain et de lait ont été organisées pour les habitants bloqués par la neige. Des médicaments et des vivres ont aussi été acheminés par hélicoptères. 1.000 tonnes de sel ont aussi été déversées sur le réseau routier local pour le rendre praticable.

Les intempéries qui sévissent sur le pays depuis le début du printemps ont déjà coûté la vie à plusieurs personnes. Une fillette de trois ans, emportée par une bourrasque alors qu'elle était assise dans sa poussette, a été écrasée par un camion qui passait à proximité. Par endroits, la couche de neige peut atteindre 5,5 mètres.



Source Reuters
vendredi 20 juillet 2012
La présence du virus de Schmallenberg vient d'être confirmée dans 174 nouvelles exploitations (depuis la dernière mise à jour du 3 juillet 2012) indique le bilan daté du 17 juillet 2012 en ligne sur le site du ministère de l'Agriculture.

Au total ce sont 2.650 élevages qui sont donc touchés dans 65 départements 


(01, 02, 03, 07, 08, 10, 12, 14, 16, 17, 18, 19, 21, 22, 23, 24, 27, 28, 33, 35, 36, 37, 39, 40, 41, 42, 45, 47, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 67, 68, 69, 70, 71, 72, 73, 76, 77, 79, 80, 82, 85, 86, 87, 88, 89, 90, 95).

 Il s'agit de 1.128 élevages ovins, 1.505 élevages bovins et 17 élevages caprins.

Le virus de Schmallenberg également décelé en Suisse

Le virus de Schmallenberg vient d’être diagnostiqué chez des vaches dans deux ex-ploitations du canton de Berne. Ces animaux souffraient de diarrhées et de fièvre. Le virus est donc également présent en Suisse. Les avortements et les naissances d’animaux présentant des malformations pourraient augmenter chez les bovins, ovins et caprins au printemps prochain.


mercredi 25 avril 2012
Le ministère américain de l'Agriculture a annoncé mardi avoir détecté un cas de maladie de la vache folle en Californie (ouest des Etats-Unis), tout en tentant de rassurer les consommateurs quant à la santé du bétail aux Etats-Unis.

Le ministère de l'Agriculture a confirmé le quatrième cas dans le pays d'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) sur une vache laitière du centre de la Californie, indique un communiqué.

Selon les autorités américaines, l'animal n'est pas utilisé pour faire de la viande. A aucun moment (la vache) n'a présenté un danger pour la chaîne alimentaire ou la santé publique. L'ESB ne se transmet pas par le lait, souligne le ministère.Nos mécanismes pour prévenir l'ESB fonctionnent.

Le ministère de l'Agriculture a confiance dans la santé du bétail américain et dans le fait que la viande et les produits laitiers ne représentent aucun danger.

L'exportation de viande de boeuf américaine représente 353 millions de dollars par an.

La maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), variante humaine de la vache folle, serait responsable de plus de 200 décès à travers le monde, principalement en Grande-Bretagne. 


Selon les scientifiques, l'épidémie se serait répandue par le biais de farines animales, destinées à l'alimentation du bétail, produites à partir d'animaux infectés.


Source ©AFP
mardi 27 mars 2012
Près de 10.000 têtes de bétail seraient atteintes par la flambée de fièvre aphteuse qui touche l'Egypte depuis un mois et menace la région, ont indiqué mardi les services vétérinaires égyptiens.

Selon le chef du service central de quarantaine, Essam Abdel Chakour, 93.734 bêtes sont suspectées d'avoir contracté la maladie, et 9.022 en sont mortes depuis le 26 février dernier.

Les plus forts taux d'infection sont relevés dans des gouvernorats du delta du Nil, a ajouté ce responsable cité par l'agence officielle Mena.

Jeudi dernier, l'organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a mis en garde contre cette flambée de fièvre aphteuse en Egypte, affirmant qu'elle pourrait se propager au reste de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, et avoir des conséquences sérieuses sur la sécurité alimentaire dans la région.

La FAO faisait état, sur la base d'estimations officielles, de 40.222 cas suspects en Egypte et de 4.658 animaux, essentiellement des veaux, qui auraient succombé.

Selon des données de la FAO, 6,3 millions de buffles et autres bovins, ainsi que 7,5 millions de moutons et de chèvres sont considérés à risque en Egypte, d'autant plus que la fièvre aphteuse qui touche le pays est d'un nouveau type, SAT2, contre lequel les animaux n'ont pas développé une immunité.

L'Egypte a également un problème de stocks limités de vaccins contre la fièvre aphteuse, spécialement celle du nouveau type SAT2.

La fièvre aphteuse, maladie extrêmement contagieuse qui touche les bovins, buffles, ovins, caprins, porcins et autres bi-ongulés, ne constitue pas une menace directe pour l'homme.

Cependant, les animaux infectés sont si faibles qu'ils ne peuvent plus servir aux labours ou aux récoltes, et les agriculteurs ne peuvent vendre leur lait à cause du risque d'infection.


Source ©AFP
vendredi 16 mars 2012
Ce sont des chercheurs belges de l'Institut de Médecine Tropicale et du Centre d'Etudes et de Recherche Vétérinaires et Agrochimiques qui sont arrivés les premiers à démontrer comment le virus de la langue bleue a pu se transmettre entre les animaux.

La propagation du virus serait causée par une mouche de la famille des Ceratopogonidea.

Le virus de Schmallenberg a été découvert en novembre 2011 en Allemagne dans des échantillons de boeufs et de moutons. Le virus, qui provoque des malformations chez les ovins et les bovins, s'est propagé aux Pays-Bas, en Belgique, au Luxembourg, en France, en Grande-Bretagne, en Italie ainsi qu'en Espagne.

Plus de 800 élevages sont touchés en Allemagne.

En Belgique, le virus affecterait plus de 200 élevages de bétail et touche principalement les moutons, annonce le site de l'Agence fédérale pour la protection de la chaîne alimentaire (Afsca).

Il n'existe actuellement ni vaccin ni remède contre le virus, qui n'est pas dangereux pour l'homme.

Source © Belga
samedi 3 mars 2012
La maladie touche six nouveaux départements selon le ministère

Au 2 mars 2012, 411 élevages dans 34 départements étaient touchés par le virus de Schmallenberg, selon le dernier décompte officiel.

Le ministère de l'Agriculture a publié, le 2 mars, un état de l'avancée du virus de Schmallenberg en France. Le virus a été dernièrement identifié dans l'Ain, l'Allier, le Cher, l'Indre-et-Loire, le Loiret et le Haut-Rhin. Au total, 34 départements sont touchés (01, 02, 03, 08, 10, 14, 16, 18, 21, 27, 36, 37, 45, 49, 50, 51, 52, 54, 55, 57, 58, 59, 60, 62, 67, 68, 70, 71, 76, 80, 86, 87, 88, 89).

Sa présence est confirmée dans 134 nouvelles exploitations. Au total, 411 élevages sont touchés. Il s'agit essentiellement d'élevages ovins. Mais 14 élevages bovins, 5 caprins et 1 mixte ovins-caprins ont également été répertoriés.

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