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lundi 23 février 2015
Dimanche matin, Une importante doline s'est ouverte au beau milieu d'une rue de Naples, en Italie. Elle a été probablement causé par la rupture d'une conduite d'égout.

Le gouffre a avalé une voiture en stationnement ,mais aucun des bâtiments environnants montrent pour l'instant des signes de dommages. 

Néanmoins les quatre immeubles autour du cratère ont été évacués dimanche par les responsables de la ville, 380 habitants ont été déplacé

© Nature Alerte





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jeudi 9 janvier 2014
Les résidents vivant à proximité d'une usine de traitement d'eau à Shanghai ont eu la mauvaise surprise de se réveiller avec leur rivière ayant viré bleu lagon dans la nuit. L'eau de la rivière a pris une couleur bleu vif et semblait extrêmement polluée , affirme l'agence Xinhua .

Il semble que ce soit l'usine de traitement d'eau de Changqiao dans le quartier de Xuhui de Shanghai qui ait libéré des eaux usées de couleur vives dans la rivière près de Chunshen Harbor et qui relie les rivières de Dingpu et de Huangpu .

L' Autorité de l'eau de Xuhui a déclaré que l'eau n'est pas toxique et respecte les normes de l'eau . Un représentant de l' autorité sanitaire a déclaré que la couleur bleue vif a été causé par un rejet de chlore qui ne polluera pas la rivière.

Selon eastday.com , plus de la moitié des rivières et des lacs de Shanghai sont fortement pollués et leurs lits gravement contaminé . 

Seulement 3 % des rivières et des lacs ont été labélisé pour pouvoir être utilisés en aquaculture .

© Nature Alerte



mardi 5 novembre 2013
Le 30 octobre dernier dans un village de la banlieue d'Austin, au Texas, plus de 65 000 litres de pétrole ont été déversés dans la nature, une nouvelle rupture d'un pipeline est de nouveau pointée du doigt. 

Selon la compagnie Koch Industries, propriétaire du pipeline , la cause de cette rupture est toujours sous enquête , mais la fuite est désormais maîtrisée.

Ce déversement n'est que le dernier incident d' une série de ruptures de pipelines désastreuses dans tout le pays cette année. 

Plus tôt ce mois-ci , un oléoduc a déversé 20.000 barils de pétrole dans un champ de blé du Dakota du Nord avant qu'il ne soit découvert par un agriculteur local . Les résidents du Mayflower, Arkansas, souffrent encore des complications de santé après qu'une fuite massive de pétrole en Mars dernier ait traversé les rues de leur village .

En dépit de ces catastrophes récurrentes , les constructions d'oléoducs s'accélèrent dans tout le pays . 

© Nature Alerte
lundi 4 novembre 2013
EDF et Areva rivalisent de semaine en semaine pour décrocher la timbale du meilleur initiateur d'une catastrophe nucléaire. 

Ce jeudi 31 octobre dans la matinée, alors que des fuites radioactives se poursuivent dans la centrale nucléaire d'EDF, c'est une nouvelle rupture de confinement de tuyauterie qui entraîne la dispersion de près de 30 kilos d'oxyde d’uranium dans une installation de Areva NC. L'exploitation de l'atelier est suspendue, la zone est contaminée et des salariés ont été conduit vers le contrôle radiologique pour des examens médicaux. 

Alors que toute la presse unanime vient de reprendre d'une seule voix les propos mensongers de la direction d'Areva, le nouvel incident nucléaire qui vient de se produire ce 31 octobre au matin dans une installation d'Areva au Tricastin (TU5) est de toute autre nature. Non il ne s'agit pas d'une "légère fuite" mais bien de la fuite de 30kg d'oxyde d’uranium radioactifs (U308) propulsés dans les airs et dont une partie s'est retrouvé au sol après la rupture de confinement d’une tuyauterie aérienne.

C'est par hasard qu'un salarié a constaté la présence de poudre d'oxyde d’uranium radioactifs sur le sol, à l’extérieur de l’atelier W de transformation de l’hexafluorure d’uranium (UF6), atelier exploité par AREVA NC et situé dans le périmètre de l’INB n°155 (dite installation TU5)

La poudre radioactive provient d’une rupture de confinement d’une tuyauterie aérienne

La poudre radioactive provient d’une rupture de confinement d’une tuyauterie aérienne de transfert entre deux ateliers. Cette rupture a engendré la fuite de poudre radioactive et l’accumulation d’une trentaine de kilogrammes de poudre dans la partie basse du coffrage de protection des tuyauteries. Et comme ce coffrage n’est pas étanche, une dispersion dans l'air et une cascade au sol se sont produites, la valeur de près de 1 kilo de produits radioactifs mortels.

Areva a alors été contraint immédiatement de mettre à l'arrêt le fonctionnement de l'atelier puis de délimiter un périmètre de sécurité et de mener dans l'urgence des contrôles radiologiques à proximité de la tuyauterie défaillante et plus largement autour. Des intervenants ont alors du tenter de récupérer la matière radioactive dispersée. Plus d'une quinzaine de personnes travaillant à proximité a du être conduit au service médical afin d'examens médicaux. La zone contaminée est actuellement en cours de tentative d'assainissement. 

De premiers contrôles radiologiques dans l’environnement montre une contamination à l’intérieur du périmètre autour de la tuyauterie. Les personnels contrôlés ne présenteraient pas de contamination externe ou interne. Et comme à l'accoutumé la direction déclame : "Cet événement n’a pas conduit à des rejets à l’extérieur du site et n’a pas eu d’impact sur la santé des travailleurs". Mais la dispersion d'uranium en poudre est nettement plus dangereuse pour les travailleurs qu'en bloc : elle peut être inhalée et une contamination interne est ce qu'il y a de encore plus dangereux. Alors la direction, relayée béatement par les médias affirme que la poudre d'oxyde d'uranium est trois fois moins radioactive que l'uranium "naturel". Qu'est-ce qui justifie cette affirmation ? rien ! un pur bluff et mensonge.

En fait c'est la défaillance de la dernière barrière de confinement de matière radioactive qui a conduit à la dispersion de poudre à l’extérieur du bâtiment. Un défaut d'étanchéité au niveau du transfert pneumatique d'une des conduites circulant à l'extérieur entre deux bâtiments de l'atelier de défluoration de l'uranium naturel appauvri, Ce n'est pas anodin car le sens et la puissance du vent a pu entraîner les particules radioactives autant sur d'autres espaces du site nucléaire que bien au-delà de l'enceinte du site. Le fait que l'U308 sont incombustible ne retire rien à sa dangerosité et à sa toxicité mortelle.

L’incident nucléaire a été classé au niveau 1 de l’échelle INES par Areva mais l'ASN va instruire cette demande de classement au vu des éléments qui auront été recueillis. 

Une dizaine d'entreprises proches du site ont été mises en alerte et chez Gerflor à Saint-Paul les Trois Châteaux, les salariés présents au moment des faits ont été mis à l'abri à l'intérieur du bâtiment, dont les issues ont été fermées, pendant plus une partie de la matinée.

De difficultés en défaillances, d'incidents en accidents qui annoncent la catastrophe

L'usine W transforme l'hexafluorure d'uranium appauvri en provenance de l'établissement d'Eurodif (mis à l'arrêt depuis plus d'un an), en oxyde d'uranium stable permettant un entreposage radioactif de longue durée. Longue durée tant que cela ne fuit pas. L'atelier TU5 traite, quant à lui, le nitrate d'uranyle en provenance de la Cogema de la Hague. Le nitrate d'uranyle, un des produits résultant du retraitement des combustibles usées des centrales électronucléaires, est converti en tétrafluorure d'uranium ou en oxyde d'uranium. Cet uranium de retraitement est, pour une part, entreposé sur le parc P18, l'autre part étant expédiée à l'étranger pour enrichissement. Plus de 2220 000 tonnes d’uranium appauvri (en masse d’uranium) sont entreposée, essentiellement au Tricastin, sous forme d’U3O8. Cet uranium "appauvri" qui peut être incorporé dans l'armement militaire.

Cette fuite d'oxyde d'uranium fait suite à une série d'incidents qui touchent le site nucléaire du Tricastin depuis plusieurs semaines tant chez Areva que chez EDF. Le 7 octobre, trois salariés de la centrale nucléaire du site avaient été touchés par des effluents liquides radioactifs lors de l'explosion d'une pompe hydraulique. Le 16 septembre, l'ASN avait annoncé avoir demandé à EDF une surveillance renforcée des eaux souterraines de la centrale nucléaire et d'identifier la cause d'une "présence anormale" de tritium depuis début juillet. Fuite toujours en cours. Les autres incidents et défaillances de TU5 sont répertoriés - dans un jargon bien aseptisé et à décrypté - par l'ASN

L’ASN mentionnait d'ailleurs dans son "appréciation 2012" que l'exploitant Areva rencontrait des "difficultés à maîtriser la quantité d’hydrogène présente dans le procédé de l’usine W " depuis 2011 et que des travaux de modernisation de la zone d’entreposage de l’acide fluorhydrique (cuves et structures) de l’usine W devraient commencer courant 2013. La mise en évidence, en 2011, d’une dose cumulée supérieure à 1mSv sur deux des dosimètres de surveillance placés à la clôture de l’établissement ont contraint à entreprendre des déplacements d’entreposages. Mais l'ASN constatait que "ces actions n’ont pas encore permis d’améliorer notablement la situation et des investigations complémentaires sont en cours". Doutant de la bonne volonté d'Areva à respecter les prescriptions l'Autorité de Sûreté Nucléaire a demandé une tierce-expertise de l’étude de dangers de la nouvelle unité d’entreposage. Et pour enfoncer le clou du danger : " AREVA NC doit améliorer la rigueur de réalisation des rondes de surveillance sur l’installation". 

Le "patron" du site Areva est plus prompte à ordonner à ses troupesde pourchasser les citoyens antinucléaires qu'à assumer ses responsabilités de sécurité. Un peu à l'image de son alter-égo de EDF qui vient d'être débarqué en une soirée de la direction de la centrale nucléaire du Tricastin.




Source © coordination-antinucleaire-sudest.net
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mardi 8 octobre 2013
Trois salariés de la centrale nucléaire du Tricastin (Drôme) ont été touchés lundi par des effluents liquides radioactifs lors de l'explosion d'une pompe hydraulique, selon les pompiers.

Les trois ouvriers ont été «choqués» mais pas blessés dans l'explosion. Du liquide contaminé s'est répandu sur leurs vêtements, selon la même source. 

Les salariés, dont l'un a toutefois été hospitalisé, ont été pris en charge par un service spécialisé en radioprotection pour y suivre la procédure de décontamination. 

L'incident, dont on ignore la cause, s'est produit au sein de la zone contrôlée, entre les tranches 3 et 4 de la centrale du Tricastin.

Des élus écologistes locaux avaient demandé mi-septembre la fermeture du site après que l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) se soit alarmée d’une fuite de tritium dans une nappe souterraine.

Source © Le Parisien
lundi 8 avril 2013
Au moins 300 personnes ont été évacuées tôt dimanche matin à Atitalaquia, une ville du centre du Mexique, en raison d'un incendie dans une usine pesticide et qui a libéré un important «nuage toxique», l'état d'urgence a été décrété dans la région.

"Certaines personnes ont été transportées à l'hôpital avec des signes d'intoxication," a affirmé porte-parole du bureau des urgences Patricia Muñoz Valderrama.

L'incendie s'est déclaré à 03h15 dans trois entrepôts appartenant à AGROQUIMICOS ATC Atitalaquia.

Les résidents des quartiers de Marzo 18  et de Bojay ont été évacués et certains habitants du quartier Tlamaco ont également été invité à quitter leurs maisons.


Le feu est désormais sous contrôle et le pire est derrière nous ce qui permet à certaines personnes de rentrer chez eux, a déclaré le gouverneur Francisco Olvera Hidalgo sur Twitter.

On ne connait toujours pas les raisons de cet incendie


© Nature Alerte
vendredi 25 janvier 2013
Incroyable, des villageois des Îles Salomon ont massacré plus de 900 dauphins après un litige avec une association de conservation environnementale, la "Earth Island Institute".

Les insulaires disent que la "EII" basée à Berkeley n'aurait pas réussi à les rémunérer comme convenu en échange d'un accord passé avec eux pour arrêter la chasse traditionnelle dans la région.

Quant à elle la Earth Island affirme que le massacre n'était l'œuvre que d'un «groupe de renégats» qui essait de saboter tout le travail de conservation effectué sur le terrain depuis des mois.

Ce qui reste clair cependant, c'est que ce malentendu a entraîné l'un des pires massacre de dauphins jamais enregistré dans les îles Salomon.

C'est un énorme revers pour tout les efforts de conservation entrepris a travers le monde, et en particulier là où se trouvent les "hots spots" du commerce internationale de dauphins.


Les îles Salomon sont notoirement connus par les associations écologistes comme source potentiel de dauphins vivants pour les aquariums marins en particulier ceux de Chine et de Dubaï. Un dauphin captif se vend jusqu'à 150.000 dollars.


«Nous sommes très très déçus", a déclaré David Phillips, qui supervise les efforts internationaux pour la protection des dauphins à Earth Island. "C'est une véritable tragédie. C'est une mauvaise nouvelle pour les dauphins, mais c'est encore pire pour les communautés des Îles Salomon.

La Earth Island travaille avec les insulaires de Malaita depuis plus de deux ans pour tenter d'enrayer la chasse traditionnelle de  dauphins dans la région.

Néanmoins l'association ne semble pas été en mesure de payer les 400.000 dollars conclus lors d'accords précédents avec les pécheurs du village de Fanalei, conformément à l'accord conclu pour arrêter la chasse aux dauphins. Les villageois affirment n'avoir percu qu'à peine un tiers des fonds promis. Selon ces accords, les fonds devaient être versés sous forme de petites subventions pour des projets communautaires dans le village.

De son coté l'association affirme qu'un groupe rebelle aurait saisi les fonds qui devaient être reversés à la communauté.

David Phillips a déclaré que son association travaillait encore avec deux autres villages de l'île, et qu'il espérait résoudre très rapidement e différend avec les pécheurs de Fanalei.


© Nature Alerte



dimanche 2 décembre 2012
Une nouvelle panne, survenue dans la nuit de vendredi à ce samedi sur le circuit secondaire du réacteur 1 de la centrale nucléaire de Flamanville (Manche), a conduit à découpler cette unité du réseau, a-t-on appris auprès de la direction du site.

«Le fonctionnement aléatoire d'une vanne de vapeur sur le circuit secondaire» a conduit à désactiver celui-ci et à réduire à 6% la puissance du réacteur, qui n'a pas été arrêté, a indiqué à l'AFP Eric Trelet, dirigeant d'astreinte.

Des travaux de réparation dès dimanche

«Il s'agit du même problème que celui de samedi dernier, qui n'avait pas été entièrement soldé», a précisé cette source. Le réacteur avait alors été découplé durant quelques heures du réseau, le 25 novembre.
Les travaux de réparation pourraient cette fois-ci débuter dimanche matin, après refroidissement des éléments, et s'achever dans la soirée, a indiqué Eric Trelet.

Une série noire

Cette nouvelle panne s'inscrit dans une série d'aléas qui affectent le fonctionnement de ce réacteur depuis son arrêt pour maintenance le 21 juillet, dont l'un de niveau 1 survenu fin octobre.


Prévu initialement le 24 septembre, son redémarrage avait été repoussé d'un mois mais a été compromis, dès le 24 octobre, par une fuite radioactive de près de six heures, avec un débit de 7.000 litres par heure, sur le circuit primaire.

Arrêté à froid, le réacteur avait redémarré le 15 novembre mais avait dû être momentanément découplé dix jours plus tard à cause de la vanne défectueuse à nouveau en cause samedi.


Un rapport d'analyse à venir

L’autorité de sûreté nucléaire a demandé à la centrale de fournir d'ici à la fin de l'année une analyse précise de l'incident des 24 et 25 octobre, qui a été classé de niveau 1 sur l'échelle Ines qui va de 0 à 7. La fuite était restée confinée à l'intérieur du bâtiment réacteur et n'avait pas fait de victime.

La centrale de Flamanville compte deux tranches de 1.300 MW chacune mises en service en 1985 et 1986 et une troisième en construction, le réacteur de nouvelle génération EPR, dénoncé par les écologistes et dont l'achèvement a été repoussé à plusieurs reprises en raison de contretemps techniques.
 


Source © AFP

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