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mardi 18 novembre 2014
La première affaire remonte à 2006, et les scientifiques pensaient bien ne jamais revoir ce genre de scène. Pourtant, depuis lors, plusieurs otaries à fourrure ont été prises en flagrant délit de coïts avec des manchots royaux, rapporte la BBC, qui relaie un article du journal Polar Biology et publie des vidéos le prouvant.

Ces cas étranges, relevés dans l’Antarctique-Sud, intriguent fortement les scientifiques. 

«Honnêtement, je ne m’attendais pas à observer à nouveau ce que nous avons vu en 2006, et surtout pas en de multiples occasions», explique Nico de Bruyn, chercheur à l’université de Pretoria, en Afrique du Sud, qui avoue, comme les co-auteurs de l’article, ne pas savoir précisément pourquoi les otaries agissent de la sorte.

Sexe inter-espèces

A chaque incident auquel ils ont assisté, la scène s’est déroulée selon un schéma précis: une otarie chasse puis capture un manchot, avec qui elle tente de copuler plusieurs fois, chacune d’elles durant cinq minutes, le tout entrecoupé de pauses. Sur quatre rapports sexuels répertoriés, trois manchots ont été laissés libres par le mammifère; le quatrième, lui, a été tué et dévoré. Un comportement plus classique chez l’otarie à fourrure, le manchot lui servant régulièrement de repas.

Jamais jusque-là des pinnipèdes n’avaient été vus avoir un rapport sexuel avec une espèce d’une autre classe biologique. A défaut de bien comprendre cette manière d’agir, les scientifiques avancent l'hypothèse d’un relâchement de «frustration sexuelle» en pleine saison de la reproduction. Les otaries ayant la capacité d’apprendre, ce comportement se serait répandu parmi les colonies. L’hypothèse d’un problème de «reconnaissance» de l’espèce, elle, a été écartée.

Source © 20 Minutes

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Des coïts entre otaries et manchots intriguent... par 20Minutes
mardi 30 septembre 2014
Turquie: La tempête qui a touché la mer Noire la semaine dernière a créé des vagues terrifiantes provoquant même un tsunami dans la ville de Giresun. 

Les vagues géantes ont pratiquement englouti la ville, créant d'importantes inondations et la destruction de plusieurs bâtiments, balayant camions et véhicules stationnés sur la côte.

La vidéo diffusée par la télévision locale , montre la puissance de la vague qui s'est engouffrée dans la ville.

© Nature alerte


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vendredi 28 mars 2014
L’armée chinoise a envoyé des bombardiers Xian H-6 pour larguer plus d’une vingtaine de bombes sur une portion gelée de la rivière Huang He, en région autonome de Mongolie-intérieure (République populaire de Chine). 

En effet, la grande quantité de glace bloquait l’écoulement de l’eau et menaçait d’engendrer des inondations.

jeudi 20 mars 2014
D’après les dernières estimations, à cette date, le continent africain pourrait devenir responsable de la moitié des émissions de polluants atmosphériques mondiales si aucune mesure environnementale n’est prise.

Les inventaires d'émissions des polluants dans l'air sont un passage obligé pour mesurer l'impact de la pollution sur la qualité de l'air et le climat. Ces données alimentent en effet les modèles atmosphériques et climatiques, et permettent de faire des projections. Les inventaires régionaux sont très précis pour l'Europe, l'Asie, ou l'Amérique du Nord. En revanche, jusqu'à présent, on ne disposait pour l'Afrique que d'inventaires globaux.

C'est pour répondre à ce déficit d'information que les chercheurs du laboratoire d’aérologie de l’université Paul Sabatier de Toulouse ont développé des cartes d'émissions anthropiques pour l'année 2005 pour l'ensemble des pays africains. Pour cela, ils se sont appuyés sur des données diverses : questionnaires de la consommation de carburants soumis aux autorités de différents pays, enquêtes de terrain, résultats de programmes de recherche tels qu’Amma (programme sur la mousson ouest-africaine) et Polca (programme sur la pollution des capitales africaines).

Les chercheurs ont également pris en compte des sources d'émission de gaz et de particules particulièrement polluantes en Afrique : d'une part les véhicules à deux roues, les vieilles voitures et les vieux camions dans les villes, et d'autre part la fabrication de charbon de bois pour la cuisine. Aujourd'hui, l'ensemble des sources d'émissions anthropiques représentent, selon les particules ou les gaz considérés (suies, carbone organique, dioxyde de soufre, dioxyde d'azote, monoxyde de carbone, etc.), entre 5 et 20 % de la pollution mondiale. La contribution de l'Afrique au changement climatique ne peut donc être négligée.

Particules et carbone organique venus d’Afrique

À partir de ces inventaires pour l'année 2005, les chercheurs ont estimé dans Environmental Research Letters les émissions polluantes africaines en 2030 en s'appuyant sur trois scénarios. Les deux premiers sont ceux du modèle économique Poles, scénarios de référence décrivant soit un monde sans politique environnementale, soit un monde incluant les engagements du protocole de Kyoto (autrement dit, une réduction de 5,5 % des émissions de gaz à effet de serre sur la période 2008-2012 par rapport au niveau atteint en 1990). Les scientifiques ont construit un troisième scénario incluant des réductions d'émissions spécifiques.

Principal résultat de cette évaluation : en l'absence de toute mesure de régulation efficace, le continent africain pourrait contribuer pour 20 à 55 % des émissions globales anthropiques de polluants gazeux et particulaires à l'horizon 2030. Ces chiffres sont nettement au-dessus des estimations sur lesquelles se basent actuellement les modèles de changement climatique.

Ces travaux permettront d'améliorer ces modèles par leur utilisation dans les futures publications du Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat). Les chercheurs pensent aussi utiliser ces inventaires pour mieux évaluer l'impact de ces émissions polluantes sur la santé des populations urbaines d'Afrique. Ils espèrent que leurs résultats aideront les décideurs africains à faire des choix sur le parc de véhicules et les combustibles utilisés afin d'améliorer la qualité de l'air dans les villes africaines.


mardi 4 février 2014
Leurs bras se nouent avant de partir chacun dans une direction différente. Des millions d'étoiles de mer meurent d'une mystérieuse maladie sur la côte ouest de l'Amérique du Nord, de l'Alaska au sud de la Californie, rapporte Gawker (en anglais), lundi 3 février. D'autres cas ont été observés sur la côte est. (voir cet ancien article de Nature Alerte de Juin 2013 avec une vidéo: http://naturealerte.blogspot.fr/2013/09/12092013canada-les-eaux-au-large-de-la.html )

Que sait-on de cette maladie ?

Les animaux touchés portent des lésions blanches qui s'étendent rapidement, puis se ramollissent avant que leurs bras ne se nouent et s'arrachent, causant la désintégration de leur corps et leur mort en quelques jours, parfois même en seulement vingt-quatre heures. 

L'hécatombe aurait commencé en juin 2013 et frappe différentes variétés d'étoiles de mer vivant sur le littoral et en captivité, précise Jonathan Sleeman, directeur du Centre de recherche de la faune sauvage de l'Institut américain de géophysique (USGS), dans une note publiée sur le site internet (en anglais) de l'organisme.

Les scientifiques qui surveillent les écosystèmes de cette zone n'ont identifié aucune cause de cette mortalité massive. "Nous pensons qu'un élément pathogène comme un parasite, un virus, ou une bactérie pourrait infecter ces étoiles de mer et compromettre leur système immunitaire, ce qui les rendrait vulnérables à des infections bactériennes secondaires responsables des dommages physiques observés", explique à l'AFP Pete Raimondi, professeur de biologie à l'université de Californie, à Santa Cruz

Quelles étoiles de mer sont touchées ?

Parmi les quelque 1 500 espèces recensées, les deux plus touchées sont la Pisaster ochraceus, une étoile de mer de couleur pourpre, et la Pycnopodia helianthoides, aussi appelée Soleil de mer. De couleurs variables, cette dernière est considérée comme la plus grande des étoiles de mer, son diamètre pouvant dépasser un mètre. Mais une dizaine d'autres espèces sont concernées, précise The Columbian (en anglais).

Des populations entières de ces étoiles de mer ont été décimées dans le détroit de Puget, dans l'Etat de Washington (nord-ouest des Etats-Unis), et la mer des Salish en Colombie-Britannique (Canada) ainsi que le long de la côte californienne, indique le document de l'USGS. Le taux de mortalité est estimé à 95%.

A-t-on déjà observé une telle hécatombe ?

Ce phénomène a déjà été observé dans le passé, mais il était lié à un réchauffement des eaux côtières, ce qui n'a pas été le cas en 2013. Dans ces précédents accès de mortalité nettement moins étendus géographiquement, les scientifiques avaient soupçonné un agent pathogène qui se serait développé à la faveur du réchauffement de l'eau, mais sans jamais le confirmer.

En 1983, une vague de mortalité sur la côte sud de la Californie avait presque entièrement éliminé l'étoile de mer Pisaster ochraceus du littoral. Une hécatombe plus limitée s'était produite en 1997, attribuée surtout au réchauffement de l'océan résultant du grand courant du Pacifique Sud El Niño. Une mortalité de masse nettement plus réduite de certaines espèces d'étoiles de mer s'est également produite au printemps 2013 sur la côte est des Etats-Unis.

Quelles conséquences sur l'écosystème ?

L'étoile de mer Pisaster ochraceus est "un prédateur clé dans son écosystème côtier", dit le professeur Pete Raimondi. Cet animal se nourrit de crustacés comme les moules, les berniques et les escargots de mer. Si l'étoile de mer venait à disparaître, les populations de ces mollusques augmenteraient considérablement, ce qui pourrait profondément modifier l'écosystème rocheux situé entre le maximum et le minimum des marées, jugent les scientifiques.

Les larves d'étoiles de mer sont aussi un composant important du plancton, la base de la chaîne alimentaire des océans. Les étoiles de mer ont assez peu de prédateurs, qui peuvent être d'autres étoiles de mer, des mouettes et parfois des loutres de mer.





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jeudi 23 janvier 2014
Les chercheurs et les secouristes tentent d'expliquer l'apparition d'une immense vague de glace de 9 mètres de haut aux abords du village sibérien éloigné d'Enourmino situé sur le littoral de la mer de Tchoukotka.

Selon les habitants locaux, la vague de glace longue de plusieurs kilomètres a apparu soudainement il y a quelques jours et s'est arrêtée à quelques mètres de la côte. Sa progression était accompagnée d'un bruit sourd.

Les spécialistes penchent à croire qu'il s'agit d'une banquise côtière en dérive poussée par un vent fort et un courant d'eau venant du côté de la mer. Des phénomènes semblables, bien que de moindre ampleur, se produisent périodiquement sur le littoral.

Source © La Voix de la Russie





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lundi 20 janvier 2014
D'immenses écrans plasma installés dans la capitale chinoise diffusaient ce jeudi la vidéo d'un lever de soleil... 

Avis de recherche: le soleil a de nouveau disparu du ciel de Pékin. Et jeudi matin, il n'était visible que sur les écrans plasma géants disposés à travers la ville. 

Une photo postée sur Twitter par un journaliste chinois et retweetée sur le correspondant du New York Times à Pékin, Edward Wong, montre en effet un film de lever de soleil diffusé sur l'un des écrans traditionnellement utilisés pour l'information touristique. Un erzatz de soleil qui illustre la gravité de la situation dans la capitale chinoise qui se trouve une nouvelle fois plongée depuis jeudi dans un épais brouillard de pollution.

La densité de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2,5), les plus nocives, a atteint dans la nuit de mercredi à jeudi à Pékin le seuil de 671 microgrammes par mètre cube, selon l'ambassade américaine. Soit un niveau 27 fois plus élevé que le plafond préconisé par l'Organisation mondiale de la santé pour une exposition de 24 heures. 

Cette nouvelle «airpocalypse» survient alors que le pays est en proie à une vague de froid et que les centrales thermiques au charbon tournent à plein régime. Alors que les enfants et personnes âgées sont vivement encouragés à rester à la maison, les touristes et travailleurs qui s'aventurent dans la rue sont contraints de porter un masque pour respirer.

Source © 20 Minutes


Pékin: le soleil uniquement sur écrans à cause... par 20Minutes

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lundi 13 janvier 2014
Crevette, thon, crabe, homard, on un coût aux état unis, c'est 650 000 mammifères marins tués ou blessés par la pêche commerciale dans les océans du monde entier. C'est ce que révèle un nouveau rapport publié aujourd'hui par le Conseil de défense des ressources naturelles .

91% des fruits de mer consommés aux États-Unis sont importés et leur pêche viole une loi fédérale sur la protection des mammifères marins selon cette étude. Cette étude accuse les pêcheries étrangères d'utiliser des piéges ou des engins de pêche dangereux et dont l'utilisation viole la loi des États-Unis pour protéger les mammifères marins.

Elle appelle les consommateurs à jouer un rôle dans la protection des baleines, des dauphins et des lions de mer en choisissant de préférence les produits américains.

«Personne ne veut de leur cocktail de crevettes à côté d'un dauphin mort, mais c'est pourtant ce qui se passe quand nous mangeons des fruits de mer importés qui ne sont pas tenus aux mêmes normes que les fruits de mer américains », a déclaré Zak Smith , avocat du NRDC et co-auteur du rapport . "

Depuis 40 ans, le gouvernement fédéral n'a pas réussi à faire respecter une loi qui pourrait sauver des milliers de baleines et de dauphins des pratiques de pêche étrangères négligentes .

En effet, ce rapport examine l'échec du gouvernement américain à faire respecter la protection des océans en vertu de la "Marine Mammal Protection Act ", qui exige que les pays exportateurs de produits de la pêche prouvent que leurs prises n'ont pas été récolté en violation des normes américaines qui limitent les blessures graves et la mort des mammifères marins .

Ce rapport examine donc les espèces et les populations primaires menacées d'extinction qui serait aidé par l'application de la loi américaine de la protection de l'océan à l'importation. Il tente de mettre en évidence les pratiques de pêche clés qui mettent en danger les mammifères marins , et les régions du monde où les prises accessoires sont une préoccupation essentielle . La capture accidentelle d'animaux dans les engins de pêche, ou les prises accessoires , pousse certaines populations de mammifères marins à bord de l'extinction rappelle t il.

Les espèces les plus touchées par les exportations de fruits de mer pour les marchés américains sont :

  • La baleine noire de l'Atlantique Nord : par les risques des pratiques de pêche du homard et du crabe du Canada
  • Le lion de mer de Nouvelle-Zélande : par les risques des pratiques de pêche du calamar de Nouvelle-Zélande
  • Le cachalot de Méditerranée : par les risques des pratiques de pêche  de l'Italie et de la Turquie 
  • Le Vaquita : par les risques des pratiques de pêche de la crevette ne respectant pas les règlements Mexicains
  • Le Dauphins Spinner : par les risques des pratiques de pêche de l'industrie du thon du Sri Lanka de l'Inde et des pays Baltes 
  • Le marsouins communs de la mer Noire  : par les risques des pratiques de pêche inadéquats
  • Le Stock des petits rorquals : par les risques des pratiques de pêche japonais et sud-coréens
  • Le faux orque l'espadon et le marlin : par les risques des pratiques de pêche du thon dans l'océan Pacifique 



Ben voilà, ça c'est dit ... c'est pas moi c'est ma sœur qu'a cassé la machine à vapeur...quoi qu'en observant l'actu de plus près ....tout s'explique ...voir article ci-dessous...

© Nature Alerte

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Peut être faut il rappeler à Zak Smith , avocat du NRDC et co-auteur du rapport que la Navy a annoncé que 2014 serait le début de:...



Dans les cinq ans à venir, la marine américaine a prévu d'augmenter ses tests de sonars. Et tant pis pour les baleines, les cachalots et les dauphins, mis en danger par ces petites expériences militaires.


Une technique particulièrement nuisible pour ces cétacés. En cause : l'intensité du son émis, si puissant qu'il les désoriente complètement.


A tel point que la nuisance sonore peut les conduire dans des eaux peu profondes, où ces cétacés peuvent s'ensabler, ou finir par s'échouer. C'est notamment le cas de la baleine à bec, très sensible au son. Mais le plus gros animal vivant, la baleine bleue, pourrait également être affectée, préviennent les biologistes.


"Ces résultats doivent être pris en compte par les organismes chargés de la régulation, et par ceux qui planifient les exercices navals", a prévenu Stacy DeRuite, qui a participé aux études menées par l'université St Andrews, en Ecosse, sur l'impact des sonars sur plusieurs espèces de baleines.


Ces études ont reproduit le son d'un sonar de 200 décibels auprès des baleines. Dans un diamètre de 3 à 10 km, toutes les espèces présentes ont cessé de s'alimenter et de nager, avant de se livrer à un comportement très inhabituel, dangereux pour leur survie.


Des considérations dont ne semblent pas s'embarrasser la marine américaine. Les défenseurs de l'environnement ont accusé la Navy de s'être empressée d'obtenir ce permis de cinq ans auprès de l'industrie nationale de la pêche marine sans avoir pris en compte les dangers pour les cétacés.

Pourtant, selon les propres chiffres de la marine américaine, cette activité pourrait tuer des milliers de baleines et de dauphins, uniquement sur la côte est.  Et plus encore dans les zones de test prévues, 13 000 cétacés seraient grièvement blessés, et 2 millions seraient "légèrement" blessés et pourraient perdre leur faculté auditive. 


Bon ben ...euh...c'est la guerre des effets d'annonces NON!!!









mercredi 27 novembre 2013
Emmanuel Giboulot, viticulteur sur la Côte de Beaune et la Haute-Côte de Nuits, est convoqué par la justice pour avoir refusé de traiter ses vignes contre la cicadelle de la flavescence dorée. Il encourt jusqu'à six mois d'emprisonnement et 30.000 euros d'amende.

En juin, un arrêté préfectoral avait imposé le traitement de «l'ensemble des vignobles de la Côte d'Or» au moyen «d'une application unique d'un insecticide» contre la cicadelle, insecte vecteur de la flavescence dorée, une maladie de la vigne présente notamment dans le nord Mâconnais, en Saône-et-Loire.

«Je me suis refusé à faire ce traitement», a dit à l'AFP Emmanuel Giboulot, qui exploite dix hectares de vignes en biodynamie sur la Côte de Beaune et la Haute-Côte de Nuits.

«On sait que le traitement systématique ne règle pas le problème», a-t-il poursuivi. «Même les insecticides naturels ne sont pas inoffensifs car ils ne sont pas sélectifs et on détruit toute la faune auxiliaire. Or, notre approche en biodynamie, que l'on applique sur nos vignes depuis les années 1970, est de travailler sur les équilibres biologiques».

Après un contrôle en juillet de la direction régionale de l'Agriculture, M. Giboulot a fait l'objet d'une convocation devant le délégué du procureur de la République du tribunal d'instance de Beaune. Prévue le 12 novembre, sa comparution a été reportée à une date qui n'a pas encore été fixée.

Dans sa convocation, que l'AFP a pu consulter, il est reproché au viticulteur un «refus d'effectuer les mesures de protection des végétaux contre les organismes nuisibles en l'espèce en refusant de traiter contre la flavescence dorée (...)». Il encourt jusqu'à six mois d'emprisonnement et 30.000 euros d'amende.

«On a l'impression qu'on veut faire un exemple et qu'on manque de recul et de discernement sur les choses», a dit M. Giboulot.

Source: © AFP



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Une méduse au venin mortel aurait été découverte par hasard par une femme relâchant une tortue à la mer. Mesurant plus de 60 cm, cette méduse n’avait pas été aperçue depuis plus de 100 ans en Australie.

Une méduse mortelle, la Crambione Cookii a donc été découverte par Puk Scivyer, de l’Aquarium UnderWater World de Mooloolaba en Australie. 

Tandis qu’elle relâchait une tortue à la mer, la femme a aperçue l’étrange spécimen. “Dès que je l’ai vue, j’ai tout de suite réalisé que c’était une espèce que je n’avais jamais observé auparavant. Et découvrir ensuite que j’étais la première personne à voir cette espèce en plus de cent ans, c’était incroyable“, confie-t-elle au Sunshine Coast Daily. “C’est la plus grosse méduse que j’ai jamais vue dans les eaux australiennes“, ajoute-t-elle.

Cette découverte est d’autant plus exceptionnelle que cette espèce de méduse n’avait pas été aperçue depuis plus de cent ans  en Australie. Les experts n’expliquent alors pas comment un tel spécimen a pu échapper à leur vigilance depuis plus d’un siècle.



samedi 5 octobre 2013
En Equateur, le Congrès a donné son feu vert à l’exploitation de pétrole dans le parc Yasuní. A la demande du président Rafael Correa, les députés ont levé le blocage constitutionnel à l’exploitation de ressources naturelles de cette réserve abritant 20% des réserves pétrolières du pays.

C’est un changement de cap après l‘échec d’un plan pour justement éviter l’exploitation de l’or noir dans cette zone protégée, en échange d’une compensation financière de la communauté internationale.

Les champs pétroliers en question se trouvent au milieu d’une forêt tropicale humide de plus d’un million d’hectares, abritant une très riche biodiversité.

L’Equateur espère ainsi obtenir des revenus supplémentaires de l’ordre de 14 milliards d’euros, soit plus de la moitié de son budget annuel.

vendredi 23 août 2013
Le gouvernement britannique prévoit la fermeture des 600 stations de surveillance de la qualité de l'air de la Defra d'ici la fin du mois d'Aout, en prétextant des réductions de couts urgents et devenus nécessaires.

Le gouvernement veulent tout simplement supprimer les obligations faites aux autorités locales du pays d'évaluer et de diffuser les chiffres de la qualité de l'air dans leur région.


Les militants écologiste accusent eux la Defra de dissimuler les véritables chiffres de cette pollution, l'un des plus grands problèmes de santé publique du pays. On estime que plus de 29.000 personnes en sont tués par an au Royaume-Uni, et que les coûts pour les services de santé s’élèvent à plus de 16 milliards de £.

Les limites européennes de pollution de l'air destinées à protéger la santé des concitoyens ne sont pas respectées dans les zones urbaines du pays, les plus hauts niveaux de pollution étant enregistrés à Londres. Selon le ministère de l'Environnement de l'Alimentation et des Affaires rurales (Defra), les limites toxiques de dioxyde d'azote, ont été dépassées dans 40 des 43 zones de surveillance de qualité de l'air du Royaume-Uni en 2010.

Aujourd'hui la Defra a lancé une consultation de six semaines, annonçant la fermeture des 600 stations de surveillance le 30 Août en proposant une refonte radicale du régime de gestion de la qualité de l'air locale qui avait été mis en place en 1997.

Ces nouvelles propositions visent tout simplement à faire reculer la législation afin d'aider les entreprises dans leur croissance.

Les options privilégiées sont de baisser les exigences actuelles de la législation en cours, la Defra indique ainsi que cela pourrait conduire à la fermeture de 600 sites de surveillance, et en particuliers celles qui mesurent le dioxyde d'azote et les pollutions aux micro particules.

Ces fermetures engendreraient 50 millions de £ d'économie sur 10 ans selon la Defra.

Ces propositions s’appliqueraient uniquement à l'Angleterre, puisqu'elles ont rejeté par le gouvernement écossais au motif qu'"elles n'offraient aucun avantage évident".

"Le gouvernement britannique veut nous cacher les niveaux de la pollution de l'air et ne se soucie guère de la santé publique», a déclaré Simon Birkett, directeur du groupe de campagne "air pur"  à Londres. Il souligne que cette consultation se déroule pendant les vacances d'été et décrit le gain financier annoncé comme illusoire.

«Pire encore, ces changements sur la législation en vigueur signifieraient la perte des protections clés dans notre système de santé et la perte des expertises nécessaires pour améliorer la qualité de l'air."


Le Prof Duncan Laxen, directeur général des Consultants en qualité de l'air à Bristol, a déclaré que la plupart de nos connaissances sur la pollution de l'air en Angleterre est venu de la surveillance de l'air par les autorités locales: «Ce sera un pas en arrière si l'option privilégiée par le gouvernement est de supprimer ces surveillances locales."

La Defra a souligné que l'objectif de cette consultation est de "relancer et de recentrer" la gestion locale de la qualité de l'air. Elle indique que les niveaux d'information locales actuelles se détournent des objectifs de l'amélioration de la qualité de l'air en Angleterre".

© Nature Alerte
/ Guardian
jeudi 11 avril 2013
Sur une vidéo filmée en caméra cachée, des ouvriers agricoles brûlent les chevilles de chevaux du Tennessee avec des produits chimiques. Une autre montre des éleveurs dans le Wyoming donner des coups de poings et de pieds à des porcs et porcelets, les bousculer ou les jeter en l'air. Et chez l'un des principaux fournisseurs d'œufs du pays, on découvre des poules en cage aux côtés de cadavres en décomposition d'oiseaux, tandis que des ouvriers brûlent et cassent le bec de poussins.

Ces films d'une cruauté extrême, réalisés au cours des deux dernières années par des militants de la cause animale, essentiellement Mercy for Animals, The Humane Society of the United States et PETA (People for the Ethical Treatment of Animals), ont choqué l'opinion publique et entraîné une réaction rapide : le dresseur de chevaux du Tennessee a été reconnu coupable d'avoir enfreint la loi. Des autorités locales du Wyoming ont inculpé neuf ouvriers agricoles de cruauté envers les animaux. Et le fournisseur d'oeufs a perdu l'un de ses plus gros clients, la chaîne de restauration McDonald.

"LOIS BÂILLONS"

Pourtant, depuis quelques mois, une douzaine d'Etats américains ont proposé ou adopté des lois criminalisant la dénonciation de ces pratiques dans les élevages et abattoirs. Avec quelques différences selon les Etats, ces législations interdisent de filmer ou de prendre des photos secrètement au sein de fermes d'élevage et de postuler pour un emploi dans l'un de ces établissements sans divulguer des liens avec des groupes de défense des animaux – un délit punissable d'un an d'emprisonnement et de 1 500 dollars d'amende en Utah. Elles contraignent aussi les ONG à livrer les vidéos dénonçant des abus aux autorités dans les 24 ou 48 heures qui suivent leur réalisation. Le plus extrême de ces textes, en Arkansas, va même jusqu'à proposer d'interdire à quiconque d'autre que les autorités d'enquêter sur les animaux.

La plupart de ces projets de loi punissent non seulement les militants qui prennent des photos et des films, mais aussi les médias et les organisations de défense des droits des animaux qui diffusent les documents.

Elevage de porcs en Mayenne.

Ces futures lois, surnommées "agriculture bâillonnée" ("ag-gag" en anglais), sont actuellement débattues dans les Etats de l'Arkansas, la Californie, l'Indiana, le Nebraska, la Pennsylvanie, le Tennessee et le Vermont. Elles ont d'ores et déjà été votées dans l'Iowa, l'Utah et le Missouri, à la fin de l'année dernière. Dans le New Hampshire, le Nouveau-Mexique et le Wyoming, par contre, leur examen a été reporté en raison de l'opposition des défenseurs des droits des animaux, mais également des organismes veillant sur la sûreté sanitaire, comme le Food and Water Watch.
THINK-TANK CONSERVATEUR

Selon le New York Times, ces tentatives de l'industrie de l'élevage de mettre fin aux enquêtes dans leurs enclos ont en partie été chapeautées par l'American Legislative Council (ALEC), un think-tank conservateur connu pour ses travaux législatifs controversés – comme la loi "Stand your Ground" ("Défends-toi") qui autorise tout citoyen à utiliser la force, quitte à tuer, s'il se sent menacé. Cet organisme avait aussi proposé le premier texte en matière de bien-être animal, en 2002, le Animal and Ecological Terrorism Act (AETA), qui interdisait de pénétrer "dans une ferme pour prendre des photos ou vidéos avec l'intention de porter atteinte à l'image de l'établissement ou de son propriétaire", les contrevenants se voyant placer sur un "registre terroriste".

Plusieurs législateurs des récentes lois "ag-gag" sont liés à l'industrie agro-alimentaire et l'ALEC, confirme le journaliste d'investigation indépendant Will Potter. "Ces lois ne portent aucune trace de leurs auteurs, et il est impossible de savoir si elles proviennent de l'ALEC, mais cet organisme fait sans aucun doute partie du contexte général qui a permis de les promulguer", affirme l'enquêteur.

Elevage de porcs. Le Plan Ecoantibio 2017 prévoit de réduire de 25% l'usage vétérinaire des antibiotiques en France.

"DROIT DE SAVOIR"

Selon les représentants des firmes d'élevage, ces tournages, dont ils mettent en cause l'honnêteté, nuisent injustement à la réputation de la filière. "C'est aussi une question de droits à la propriété et à la vie privée, estime, dans les colonnes d'Associated Press, Bill Meierling, porte-parole de l'ALEC. Vous ne voudriez pas que je vienne dans votre maison avec une caméra cachée."

"Ces projets de loi pourraient créer un précédent dangereux dans le pays en fermant les portes de fermes d'élevage industriel et en permettant aux abus d'animaux, aux atteintes à l'environnement, et à la contamination de la nourriture de passer inaperçus", rétorque Nathan Runkle, directeur exécutif de Mercy for Animals, interrogé par ABC. Car pour les ONG, les agences officielles, dont le nombre d'inspecteurs est réduit par les coupes budgétaires, ne disposent pas de ressources suffisantes pour empêcher l'ensemble des cas de maltraitance animale et de manquements aux normes sanitaires.
Elevage de poules pondeuses en batterie.

"Les fermes industrielles, comme toutes les maisons et entreprises, sont déjà protégées par la loi contre les intrusions. Les lois "ag-gag" n'ont en réalité rien à voir avec la protection des biens, dénonce le New York Times dans un éditorial engagé, mardi 9 avril. Leur seul but est de maintenir les consommateurs dans l'obscurité, afin de s'assurer qu'ils en savent le moins possible sur le fonctionnement sombre de l'élevage industriel. Ces projets de loi sont poussés par le lobbying intensif des sociétés de l'agrobusiness. A la place, nous avons besoin de lois qui garantissent notre droit de savoir comment notre nourriture est produite."


Source © Le monde



jeudi 4 avril 2013
La ville de La Plata, à 60 km de Buenos Aires, a été noyée sous deux mètres d'eau dans la nuit de mardi à mercredi, à la suite d'inondations subites qui ont causé la mort de 46 personnes.

La nuit précédente, des pluies diluviennes avaient causé la mort d'au moins 8 personnes à Buenos Aires, la capitale.

Le gouverneur provincial Daniel Scioli a indiqué que face à la montée des eaux, qui a atteint 2 mètres de haut par endroits, les gens avaient tenté de se réfugier sur les toits et dans les arbres, mais certains n'y étaient pas parvenus.

Les corps sont apparus au fur et à mesure que les eaux ont commencé à baisser, a ajouté au cours d'une conférence de presse le gouverneur de la province de Buenos Aires, qui englobe La Plata.

Le bilan s'est rapidement aggravé mercredi après-midi, passant en moins d'une heure de 25 à 46 morts, et pourrait encore s'alourdir, selon le gouverneur.

La moitié de cette agglomération de 900.000 habitants a été inondée et privée de courant mercredi. Des voitures flottaient dans les rues et la ville était partiellement paralysée. Plus de 2.500 personnes ont dû abandonner leurs logements envahis par les eaux et ont été hébergés dans une vingtaine de centres d'accueil temporaires.

Des personnes âgées et des mères portant leur enfant dans les bras étaient évacuées à bord de canoës, tirés dans les rues transformées en cours d'eau par des voisins ou des secouristes.

Selon les services météorologiques, il est tombé 400 mm de pluie en deux heures mardi soir, un record pour La Plata. L'eau s'est accumulée dans les parties basses de la ville, située à une dizaine de kilomètres du Rio de la Plata, dans une région marécageuse.

Dans le quartier périphérique de Tolosa, plusieurs dizaines de voitures émergeaient à peine de l'eau.

Ca fait 40 ans que je vis ici et c'est la première fois que je vois ça. J'héberge trois familles là-haut, deux vieux, trois enfants, dont un handicapé; ce sont des voisins que nous avons accueillis, dit en montrant les étages de sa maison Maximiliano Miceli, affairé à nettoyer sa voiture remplie d'eau, dans le quartier de Tolosa.

A La Plata, importante ville universitaire, les écoles et les services publics ont été fermés.

Ce qui s'est passé à La Plata, c'est du jamais vu. La moitié de la ville est sans électricité. Il y a des gens sur les toits, dans les arbres, attendant qu'on puisse aller les chercher, a déclaré le vice-ministre argentin de la Sécurité, Sergio Berni.

Nous sommes arrivés mardi à 15h00, et nous sommes bloqués ici (à La Plata), on ne nous permet pas d'avancer. il n'y a pas moyen de sortir, a confié à une radio Vanesa Silletti, recluse dans sa voiture avec son bébé de 10 mois. La batterie est à plat. Je donne le sein au bébé. Je n'ai rien, on ne peut pas bouger, se désespère-t-elle.

Sur les ondes d'une autre radio, l'ancien footballeur Juan Sebastian Veron, dit depuis La Plata son angoisse de ne pas voir apparaître certains proches. Nous sommes coupés du monde, s'inquiète-t-il.

A Buenos Aires, 350.000 personnes ont été touchées par les inondations survenues en pleine nuit, mardi entre 00h00 et 07h00.

Un agent du métro est mort électrocuté dans une station lors d'une opération de pompage. Les habitations précaires ont été particulièrement touchées, et la tempête a également causé une série de coupures de courant, des chutes d'arbres et l'interruption de plusieurs services de transports en commun.

Mercredi, la vie avait repris son cours quasi-normal dans la capitale, mais des administrations déploraient des coupures de liaison Internet ou du matériel endommagé. De nombreux feux de signalisation étaient en panne.

Le maire de Buenos Aires Mauricio Macri a averti ses administrés que les inondations se reproduiraient. Ces pluies violentes qui se répètent, affirme-t-il, sont dues au réchauffement climatique.

Si les inondations sont peu fréquentes à La Plata, elles sont plus habituelles à Buenos Aires et dans son agglomération de 13 millions d'habitants, où l'urbanisation le long du Rio de la Plata s'est faite en partie sur des terres inondables.

Pour l'architecte Roberto Livingston, les inondations de Buenos Aires et La Plata ont des origines similaires : des villes qui ont été bâties de manière irresponsable sans prendre en compte l'hydrographie de la zone.

L'homme construit et pense dominer la nature. Des gens vivent sur des cours d'eau sans le savoir. Il n'y a pas suffisamment de parcs pour absorber l'eau et le système d'évacuation des eaux de pluie n'est pas en bon état.


Source ©AFP



vendredi 15 février 2013
Plus de 250 personnes ont été blessées, dont trois gravement, par la chute de météorites dans la région russe de l'Oural, a indiqué vendredi l'antenne locale du ministère de l'Intérieur, citée par l'agence Interfax. 

 Une pluie de météorites causée par la destruction d'une météorite au-dessus de la région russe de l'Oural, accompagnée de violentes explosions, a semé la panique après avoir soufflé les fenêtres dans plusieurs localités.

"Nos informations font à cette heure état de plus de 250 blessés, dont trois blessés graves", a déclaré un porte-parole du ministère, ajoutant que des dégâts avaient été enregistrés dans six villes de la région.

"Une météorite s'est désintégré au-dessus de l'Oural, brûlant partiellement dans les couches basses de l'atmosphère. Des fragments de la météorite ont atteint la Terre et sont tombés dans des zones peu habitées de la région de Tcheliabinsk", a indiqué l'antenne locale du ministère russe des Situations d'urgence.
"Selon des données préliminaires, quatre personnes ont été blessées par des éclats de verre", a ajouté le ministère. Des témoins cités par les agences ont fait état de plusieurs violentes explosions entendues dans la région, qui ont semé la panique parmi la population.

La pluie de météorites survenue vendredi 15 février au-dessus de l'Oural a fait de "nombreux" blessés, a rapporté l'agence Interfax citant l'administration de la région de Tcheliabinsk.

"A 11H00 locales (5H00 GMT, ndlr), nous avons de nombreux appels pour des traumatismes, des coupures et des contusions", a indiqué le gouvernement local cité par Interfax.


Les autorités locales avaient précédemment fait état de quatre personnes blessées à Tcheliabinsk par des éclats de verre, l'onde de choc ayant soufflé les fenêtres de nombreux bâtiments.


© reuters.
© afp.









Dernières minutes 

MOSCOU - Des météorites se sont abattus vendredi matin sur la région russe de l'Oural, accompagnés d'éclairs incandescents et de violentes explosions, soufflant des murs et des fenêtres, semant la panique et blessant des centaines de personnes. 

Une boule incandescente accompagnée d'une très vive lumière blanche, se déplaçant à très grande vitesse, est apparue dans le ciel de Tcheliabinsk, une ville de plus d'un million d'habitants, à 09H20 locales, soit 03H20 GMT. 

 Un météorite s'est désintégré au-dessus de l'Oural, brûlant partiellement dans les couches basses de l'atmosphère. Des fragments ont atteint la Terre et sont tombés dans des zones peu habitées de la région de Tcheliabinsk, a indiqué l'antenne locale du ministère russe des Situations d'urgence dans un communiqué. 

 Le météorite, un bolide qui se serait désintégré à 5.000 mètres au-dessus de l'Oural, faisait des dizaines de tonnes, selon un spécialiste russe, Sergueï Smirnov, cité sur la chaîne Rossia 24. Ce bolide se déplaçait du nord-est vers le sud-ouest, selon la télévision publique. 

Plusieurs explosions ont alors retenti, qui ont soufflé les vitres de nombreux bâtiments. Un correspondant local de la chaîne publique Rossia, qui se trouvait dans les locaux d'une université, a raconté avoir vu lors d'une de ces explosions une boule de feu repartir dans l'autre sens. 

Le nombre de victimes augmente au fur et à mesure, a indiqué l'antenne locale du ministère de l'Intérieur, cité par Interfax. Le ministère a d'abord fait état de 50, puis de plus de 150, plus de 250 et plus de 400 blessés, dont au moins trois graves.  

Les blessés ont pour l'essentiel été touchés par des éclats de verre, selon ces sources. Selon la chaîne Rossia, des fragments du météorite sont tombés dans différents endroits de la région. Des images tournées à Tcheliabinsk montraient apparemment la chute au loin d'un fragment dans un éclair incandescent. La chaîne a également montré le bâtiment d'une usine de la ville partiellement détruit, un mur et le toit effondrés, sans qu'il soit précisé si ces dégâts avaient été causés par l'onde de choc d'explosions dans l'atmosphère, ou par la chute d'un fragment. Aucun incendie n'était visible. 

Un employé cité par l'agence Interfax a fait état de trois à quatre blessés dans cette usine. Les images filmées par la chaîne Rossia à l'université montraient plusieurs jeunes gens ensanglantés, apparemment blessés par des éclats de verre. Les agences ont également fait état de plusieurs blessés dans une école de Tcheliabinsk. Des vidéos placées par des habitants sur l'internet ont montré des boules incandescentes traversant le ciel à basse altitude. Sur une autre vidéo, des habitants dont certains sont sortis de chez eux torse nu, observent le même phénomène au-dessus de leur immeuble, alors que des explosions se font entendre. 

L'onde de choc a soufflé les vitres du bureau d'Itar-Tass dans le centre de Tcheliabinsk, a indiqué l'agence. Le ministère des Situations d'urgence a indiqué avoir mobilisé 20.000 hommes, placés en état d'alerte, et trois avions ou hélicoptères pour inspecter les territoires. 

Les écoles ont été fermées dans toute la région, de nombreux établissements ayant eu leurs vitres soufflées par l'onde de choc, alors qu'il faisait -18 degrés vendredi dans l'Oural.

 Les autorités ont cependant appelé la population à ne pas céder à la panique. Il n'y a pas d'évacuation de la population, le niveau de radioactivité est dans la norme. Nous vous demandons instamment de ne pas céder à la panique, a indiqué l'antenne locale du ministère des Situations d'urgence sur son site. 

Un représentant de Rosatom, l'Agence russe de l'énergie atomique, a souligné que les installations nucléaires de la région n'avaient pas été touchées

Le ministère russe de la Défense a confirmé avoir observé la chute d'un objet non identifié (probablement d'un météorite) dans l'espace aérien, accompagnée d'explosions et d'éclairs. Les militaires ont indiqué que leurs installations n'avaient pas souffert, et ont envoyé des groupes de reconnaissance sur le lieu présumé de chute des fragments. Le phénomène a également été observé dans plusieurs régions voisines et au Kazakhstan. 

Source ©AFP / 15 février 2013 09h35 

Ajout 15 h 15

Le nombre de blessés approche les 1000 personnes

En tout 725 personnes, dont 159 enfants sont soignées dans les hôpitaux de Tcheliabinsk à la suite de la pluie des météorites qui s’est abattue ce vendredi matin sur la région.



A Cheliabinsk, une ville industrielle à 1500 km de Moscou, les hôpitaux regorgent de blessés. Pour l'instant, aucune victime n'est à déplorer mais les blessures provoquées par les vitres qui ont explosé dans toute la ville sont nombreuses et parfois sévères.

Les blessures des gens que nous recevons sont essentiellement des coupures et des contusions, toutes dues aux vitres et fragments de vitres qui ont volé en éclat.


Source © : RIA Novosti
vendredi 25 janvier 2013
Incroyable, des villageois des Îles Salomon ont massacré plus de 900 dauphins après un litige avec une association de conservation environnementale, la "Earth Island Institute".

Les insulaires disent que la "EII" basée à Berkeley n'aurait pas réussi à les rémunérer comme convenu en échange d'un accord passé avec eux pour arrêter la chasse traditionnelle dans la région.

Quant à elle la Earth Island affirme que le massacre n'était l'œuvre que d'un «groupe de renégats» qui essait de saboter tout le travail de conservation effectué sur le terrain depuis des mois.

Ce qui reste clair cependant, c'est que ce malentendu a entraîné l'un des pires massacre de dauphins jamais enregistré dans les îles Salomon.

C'est un énorme revers pour tout les efforts de conservation entrepris a travers le monde, et en particulier là où se trouvent les "hots spots" du commerce internationale de dauphins.


Les îles Salomon sont notoirement connus par les associations écologistes comme source potentiel de dauphins vivants pour les aquariums marins en particulier ceux de Chine et de Dubaï. Un dauphin captif se vend jusqu'à 150.000 dollars.


«Nous sommes très très déçus", a déclaré David Phillips, qui supervise les efforts internationaux pour la protection des dauphins à Earth Island. "C'est une véritable tragédie. C'est une mauvaise nouvelle pour les dauphins, mais c'est encore pire pour les communautés des Îles Salomon.

La Earth Island travaille avec les insulaires de Malaita depuis plus de deux ans pour tenter d'enrayer la chasse traditionnelle de  dauphins dans la région.

Néanmoins l'association ne semble pas été en mesure de payer les 400.000 dollars conclus lors d'accords précédents avec les pécheurs du village de Fanalei, conformément à l'accord conclu pour arrêter la chasse aux dauphins. Les villageois affirment n'avoir percu qu'à peine un tiers des fonds promis. Selon ces accords, les fonds devaient être versés sous forme de petites subventions pour des projets communautaires dans le village.

De son coté l'association affirme qu'un groupe rebelle aurait saisi les fonds qui devaient être reversés à la communauté.

David Phillips a déclaré que son association travaillait encore avec deux autres villages de l'île, et qu'il espérait résoudre très rapidement e différend avec les pécheurs de Fanalei.


© Nature Alerte



mardi 4 septembre 2012
Un cinquième des invertébrés dans le monde pourrait être menacés de disparition, selon un rapport de la Société zoologique de Londres préparé en collaboration avec l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), basée en Suisse.

La situation de plus de 12.000 invertébrés enregistrés dans la liste rouge de l'UICN a été examinée pour ce rapport intitulé "Invertébrés" diffusé vendredi, les espèces les plus menacées d'extinction étant celles vivant dans l'eau douce.

"Chercher des vers, chasser des papillons ou ramasser des clovisses pourraient bien devenir des gestes du passé si on n'en fait pas plus pour protéger les invertébrés", souligne ce rapport.

"Les invertébrés constituent environ 80% des espèces animales, et une espèce sur cinq pourrait être menacée de disparition", selon le Dr Ben Collen, de la Société zoologique de Londres. "Le coût pour les sauver sera élevé, le coût de ne pas tenir compte des menaces qu'ils subissent pourrait être bien plus élevé", ajoute-t-il, en soulignant le rôle crucial des invertébrés dans le fonctionnement des écosystèmes.

 
Source © AFP


mardi 14 août 2012
Dimanche dernier des centaines de milliers de poissons morts se sont échoués sur les plages de Galveston, au Texas
 

Peter Davis, responsable sanitaire de "Galveston Island Beach" a déclaré que ces aloses se sont probablement asphyxiés à causes des faibles niveaux d'oxygène dans le golfe du Mexique .

On dénombre pas moins d'une centaines de milliers de poissons dans cette hécatombe.
 

Les autorités sanitaires de la ville se veulent néanmoins rassurant pour les touristes et les amateurs de plages,  les eaux de baignade sont parfaitement saines et aucun risque de contamination ou de pollution sont à craindre .
 

Le Biologiste Steven Mitchell du "Texas Parks and Wildlife" affirme que les conditions météorologiques extrêmes que traverse le Texas actuellement, peuvent avoir contribué a cette hécatombe impressionnante.

Il confirme que plusieurs zones d'eutrophisation ont été repéré dans le golf depuis plusieurs mois.
 

Des résultats de tests plus approfondis sont attendus cette semaine, mais rien, absolument rien est à craindre pour les jours à venir...bonne baignade...

© Nature Alerte

Entre 53 et 86 espèces de poissons dulçaquicoles pourraient s’éteindre définitivement d’ici à 2050. 

Selon Noel M. Burkhead, de l’US Geological Survey, ce taux d’extinction est 877 fois plus élevé que son niveau moyen à l’échelle des temps géologiques. 

Cette même étude, reprise par Science Daily, estime qu’entre 1898 et 2010 ce ne sont pas moins de 57 espèces qui auraient disparues soit 3,2% des poissons d’eau douce nord-américains. 

Les eaux douces sont particulièrement touchées par les phénomènes d’extinction d’espèces. En effet, les rivières sont des milieux clos, souvent fortement anthropisés et donc particulièrement fragiles.

Aménagement du rivage, perte d’habitat, pollution, introduction d’espèces exotiques sont autant de facteurs qui menacent la biodiversité des rivières. A l’inverse, en milieu marin, les stocks de poissons s’épuisent et se raréfient mais les extinctions d’espèces sont nettement plus rares. En effet, les larges aires de répartition des espèces océaniques protègent ces dernières de l’extinction totale.

vendredi 3 août 2012
"Le processus d'enquête des fuites de pétrole dans le Delta du Niger au Nigeria est un véritable " Fiasco", la compagnie Shell consacre toute son énergie à faire de la mauvaise communication plutôt que d'affronter la réalité de la vétusté de ses installations sur place: Elles sont mal entretenues et sujetes à de nombreuses fuites, certaines d'entre elles ayant même un impact dévastateur sur les droit de l'homme en général" indique Audrey Gaughran,  responsable des questions relatives aux enjeux internationaux d'Amnesty International sur le site web de L'ONG


Les résultats de l’enquête sur les dernières fuites rapportées dans le delta du Niger et en particulier de celle du pipeline dans la région de Bodo Creek au Nigeria en juin et juillet dernier, sont sans appel.


Nos experts ont les preuves formelles que ces fuites sont dues à la corrosion des canalisations de la compagnie, mais Shell continue d'ignorer ces preuves.


" Nous avons beau les présenter aux responsable de Shell, la compagnie continue de nier les faits, et continue d'affirmer que les fuites sont dues à des sabotages"


Amnesty International et le CEHRD qui ont mené l'enquête en commun, ont demandé à la société américaine Accufacts, experte dans le domaine pétrolier et qui a de nombreuses années d'expérience dans l'examen d' infrastructure pétrolière, d'examiner les photographies du pipeline de Bobo Creek au point de fuite.


Ils ont déclaré:

"Cette fuite est apparemment due à la corrosion externe du pipeline. C'est la perte de la couche métallique extérieure du tuyau qui créée cette corrosion. C'est une avarie classique, nous la constatons régulièrement sur d'autres pipelines"



Lorsque Amesty International a contacté le siège de la compagnie Shell pour lui réclamer des preuves à l'appui de leurs accusations de sabotage du pipeline, il nous a été répondu que Shell n'a jamais porté de telles accusations, et que son enquête interne n'était pas encore achevée. 

Elle ne veut pas s'expliquer sur les déclarations faites par ses dirigeants sur place, qui devant les communautés locales désespérées, les accusaient suspicieusement de sabotages.


Néanmoins Shell affirme que son équipe d'enquête conjointe, qui comprend des membres de la communauté, les organismes de réglementation, le personnel de Shell et les représentants de la police et la Force opérationnelle interarmées, n'était pas en mesure d'achever son investigation parce que, soit disant, des jeunes locaux leur ont jeté des pierres dessus. Les témoins sur place contredisent cette version étant eux même des enquêteurs.


Shell indique qu'elle va maintenant remplacer cette longueur de pipeline défectueux, et examiner minutieusement la conduite impliquée, dans l'un de ses propres centres de recherche où, dit elle, des tests seront fait.


Le milieu communautaire locale et les militants des droits de l'homme craignent désormais que ce processus soit totalement sous le contrôle de Shell et manque de transparence, les résultats ne peuvent plus être crédibles.


Les pipelines de Shell dans la région sont vieux et beaucoup n'ont pas été correctement entretenus ou remplacés. Les populations locales et les ONG signalent que les tuyaux dans la zone de Bodo Creek n'ont pas été remplacés depuis 1958.

Lorsque Amnesty International a demandé à la compagnie Shell de confirmer l'âge et le statut des ses tuyaux dans cette région, la société n'a pas répondu.



Il y a un an, le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) a publié un important rapport sur les effets de la pollution par les hydrocarbures dans la région Ogoni du Delta du Niger. Parmi ses conclusions, le PNUE a confirmé que les organismes de réglementation du Nigeria "sont à la merci des compagnies pétrolières quand il s'agit de mener des inspections sur place". 

Le PNUE a également constaté que Shell avait omis de se conformer à ses propres normes internes en ce qui concerne le maintien de ses infrastructures.


«Des années de mauvaises pratiques en matière d'enquêtes sur les déversements accidentels d'hydrocarbures au Nigéria  ont conduit les communautés à être particulièrement méfiantes et vigilantes», a déclaré Stevyn Obodoekwe.


"Shell n'a jamais présenté de preuve de sabotage dans nos enquêtes précédentes, l'enquête à Bodo Creek est un exemple de plus. Ces fuites ne peuvent plus restées sous silence et continuées à être attribuées à des sabotages".

Des milliers de déversements accidentels de pétrole ont eu lieu dans le delta du Niger depuis que l'industrie pétrolière a commencé ses opérations dans les années 1950. La corrosion des tuyaux et la défaillance du matériel sont responsables de la majorité des fuites.


Ces dernières années, le sabotage, le vandalisme et le vol du pétrole ont également contribué à la pollution. Toutefois, la corrosion et la défaillance du matériel restent le principal problème et cette question n'est jamais abordée.


De plus, au Nigéria,  et par contrat,  les compagnies pétrolières sont tenues responsables de la surveillance de leurs infrastructures , et autant que possible, de les protéger de toutes vulnérabilités où manipulations potentielles. Sur cette question, Shell n'a pas répondu à notre demande pour obtenir des renseignements sur les mesures qu'elle a prise pour empêcher tout sabotage ou vandalisme sur ses installations.


En conséquence ce 3 Août 2012, Amnesty International et le CEHRD ont donc publié en commun un rapport sur l'enquête en cours, sur la fuite du pipeline de Bodo Creek en Juin et Juillet Dernier. 

Ce rapport met l'accent sur le manque de transparence dans le processus de l'enquête et l'échec de la compagnie Shell à divulguer toutes les informations nécessaires à l'enquête, par exemple sur l'état ou l'âge de ses tuyaux et ses infrastructures dans la région.


Depuis 2011, Shell publie des rapports d'enquête sur ses déversements accidentels d'hydrocarbures sur son site Internet.


Cette initiative a déjà été saluée par Amnesty International et le CEHRD. 

Cependant, nos deux organisations font clairement savoir au public que les processus d'enquête sur le terrain restent très problématiques, il y a un manque cruel d'indépendance et de transparence dans les investigations menées.




Source © Audrey Gaughran
Responsable des questions relatives aux enjeux internationaux d'Amnesty International




Le texte original sur le site d'Amnesty International est ici


Trad. © Nature Alerte




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