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mercredi 28 octobre 2015
Des orangs-outans victimes des violents incendies de forêt qui ravagent l'Indonésie tombent malades, affamés et traumatisés par la destruction d'une grande partie de leur habitat et les fumées toxiques polluant l'Asie du Sud-Est.

Au centre de réhabilitation de Nyaru Menteng dans la province de Kalimantan, sur la partie indonésienne de l'île de Bornéo, 16 bébés orangs-outans souffrant d'infections respiratoires provoquées par l'épaisse fumée âcre ont été mis en quarantaine.

Un employé du centre essaye de divertir avec des jouets et des jeux les plus jeunes orangs-outans ayant souffert de fortes fièvres et toux.

Dans une autre cage, plusieurs singes sont allongés, épuisés après des jours entiers passés à rechercher de la nourriture et de l'eau dans la forêt ravagée par les flammes, les obligeant à fuir.

Certains orangs-outans sautent de barre en barre dans leur cage en faisant claquer leurs lèvres, produisant un son qui inquiète le personnel qui s'occupe d'eux: «cela s'appelle un baiser rapide. Quand ils font ça, cela signifie qu'ils sont très stressés», explique à l'AFP un employé du centre, Hermansyah.

La culture sur brûlis, une technique agricole primitive utilisée comme moyen de défrichement et de fertilisation dans les zones tropicales, et les incendies volontaires en vue d'étendre diverses cultures comme les palmiers à huile ont détruit en quelques mois 1,7 million d'hectares sur les îles de Kalimantan et Sumatra.

Les incessants dégagements de fumée ont touché des dizaines de milliers de personnes victimes d'infections respiratoires, entraîné la fermeture temporaire d'écoles, provoqué la colère de pays voisins comme la Malaisie ou Singapour, et perturbé le trafic aérien jusqu'en Thaïlande et aux Philippines.

Ces incendies de forêts et terres agricoles qui se produisent tous les ans pendant la saison sèche sont en passe de devenir les pires jamais vus, accentués cette année par le phénomène météorologique El Niño, courant chaud provoquant une sécheresse plus importante que d'habitude.

«Incendies au-delà des limites»

Dans des conditions difficiles, un vétérinaire, un alpiniste professionnel et un technicien du centre, équipés de fléchettes sédatives, ont entrepris une mission risquée en forêt, bravant les flammes et l'air toxique à la recherche d'orangs-outans en détresse.

«La visibilité était très souvent inférieure à 30 mètres, et nous avons ressenti un serrement de poitrine et des maux de tête», raconte Hermansyah.

«Nous pensons que ces orangs-outans ont ressenti les mêmes souffrances», dit-il.

De nombreux orangs-outans sauvés des incendies sont mal nourris et déshydratés. Certains ont dû subir des opérations chirurgicales à la suite d'infections exacerbées par la fumée, ajoute Hermansyah.

Situé dans un espace de 62,5 hectares entouré de forêt, le centre maintient le niveau de menace actuel à «code jaune», mais l'ampleur des incendies pourrait le faire passer à «code rouge», ce qui signifierait une évacuation sans précédent des 470 orangs-outans du centre, selon le directeur de programme, Denny Kurniawan.

«Cette année, le désastre est sans doute le pire depuis 1997», dit-il en référence à la pire crise enregistrée jusqu'ici en Indonésie. En 1997 et 1998, des incendies similaires avaient échappé à tout contrôle, causant des pertes économiques estimées à 9,3 milliards de dollars.

«Nous n'avons jamais été contraints d'évacuer des orangs-outans ou d'établir un plan d'urgence, mais ces incendies sont au-delà des limites», s'alarme-t-il.

Le président indonésien, Joko Widodo, a écourté lundi son déplacement aux États-Unis pour revenir au pays et s'occuper de la crise des incendies. Une trentaine d'avions ont été déployés et des dizaines de milliers de militaires sont mobilisés pour lutter contre les feux de forêt.

Mais des responsables à Kalimantan se plaignent des moyens insuffisants à leur disposition, et le centre de réhabilitation des orangs-outans critique les faibles progrès réalisés depuis 20 ans pour lutter contre ces incendies dévastateurs qui sévissent chaque année.

«Pourquoi n'avons-nous tiré aucune leçon? Pourquoi est-ce que ça continue de se produire?», interroge M. Kurniawan.


Source © AFP


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lundi 20 avril 2015
Le maire de Haïfa, port industriel du nord d'Israël, a exigé la fermeture de cinq usines pétrochimiques après la publication d'un rapport établissant un lien entre la pollution de l'air et un taux élevé de cancer chez les résidents de la ville.

Le maire, Yona Lahav, a envoyé ce matin des camions bloquer les entrées de deux raffineries du port. "A partir de maintenant, aucun camion-citerne n'aura accès à l'usine", a-t-il déclaré, ajoutant que cinq usines en tout étaient concernées par cet ordre de fermeture. Cette décision fait suite à la fuite dans les médias israéliens d'un document du ministère de la Santé accusant, entre autres, les émanations industrielles d'être responsables de près de la moitié des cancers développés par les enfants de Haïfa.

"Comparé à la moyenne nationale, la population de la région de Haïfa a un risque plus élevé de développer des cancers du poumon, de l'oesophage, de la vessie, du col de l'utérus et des cancers gastriques, colorectaux et cérébraux", détaille ce rapport rédigé par le directeur du ministère en charge de la Santé publique et qui cite une étude de l'Université hébraïque de Haïfa. "Si ces dernières données sont exactes, alors nous exigeons l'arrêt immédiat de toutes les usines polluantes de la région de Haïfa", a ajouté M. Yahav.

Le port de Haïfa, où sont concentrés de nombreux terminaux pétroliers et les sièges de grandes industries israéliennes, est situé en contrebas de la ville où vivent plus de 270.000 personnes.

Source © Le Figaro

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Source uicn
lundi 23 février 2015
Fermez les yeux, et imaginez plus d’un million de volailles entassées dans une seule exploitation. 11 000 porcs serrés les uns à côté des autres. 120 000 agneaux engraissés dans un même lieu. Non, ce n’est pas un cauchemar, mais les différents visages de l’industrialisation de notre agriculture. Voici la carte qui recense ces dérives industrielles.

La Confédération paysanne publie aujourd’hui une carte de France de ce phénomène sans précédent. Le syndicat recense une trentaine de « projets phares », témoins d’un dévoiement dangereux du modèle productiviste. « C’est une agriculture destructrice d’emplois, incompatible avec la préservation de notre environnement et prédatrice d’une agriculture à taille humaine », explique le syndicat paysan.

Que nous révèle cette carte ? « Nous avons voulu montrer une dérive lourde du système actuel, dont le symbole est la ferme-usine », explique Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération paysanne. La ferme des 1000 vaches dans la Somme n’est qu’un des avatars de cette industrialisation tous azimuts. Une tendance à la concentration et à l’hyper-spécialisation qui touche tous les types d’élevages, mais aussi les cultures maraîchères.

Comme ces 25 ha de serres de tomates hors sol à Echillais (Charente-maritime), chauffées par un méga incinérateur... pour produire 50 tonnes de tomates par jour. Un phénomène souvent porté par des grands groupes industriels, mais aussi par des agriculteurs. « En Aveyron, un paysan engraisse plus de 120 000 agneaux, et nous ne cautionnons pas cette pratique juste parce qu’elle est portée par un paysan », précise Laurent Pinatel.

Une tendance nocive ? Le gouvernement ne semble pas de cet avis. « Ceux qui disent qu’on peut se passer d’une agriculture industrielle se mentent à eux-mêmes. » Mercredi 17 février, Stéphane Le Foll a une nouvelle fois mis les pieds dans le plat. « Pas de faux débats », a-t-il précisé à nos confrères du Parisien. « On a besoin d’une industrie agroalimentaire, et on a aussi besoin, pour la production de certains aliments, d’une production suffisamment industrialisée pour qu’elle soit accessible. » Alors qui a raison ?

Qu’entend-on par industrialisation de l’agriculture ?

« Il s’agit d’appliquer à l’agriculture des processus qui ont fait leurs preuves dans l’industrie : produire toujours à plus grande échelle pour produire au moindre coût monétaire », explique l’agronome Marc Dufumier. Mécanisation, robotisation, augmentation de la taille et concentration des exploitations.

Pourtant, « l’idée que l’on va faire des économies d’échelle avec des grands troupeaux est fausse », dit André Pfimlin, spécialiste des élevages laitiers. « Aux États-Unis, des chercheurs ont montré que ces grands troupeaux, nécessitant des équipements nouveaux, avaient des coûts par tonne de lait plus élevés et étaient plus vulnérables aux variations du prix du lait et de l’aliment. Leur rentabilité provenait du recours à de la main d’œuvre bon marché, souvent immigrée. »


Malgré tout, la marche de l’agriculture vers l’industrialisation se poursuit, poussée par les grands groupes agro-industriels. Pour la Confédération, « ce sont eux qui captent la valeur ajoutée, et on les retrouve derrière la plupart des projets de ferme-usine. » Reporterre a mené l’enquête sur le plus tentaculaire de ces groupes : Avril-Sofiprotéol


Cette industrialisation est-elle inévitable ?

Pour André Pfimlin, l’élevage industriel est inacceptable : « Ces feedlots sont en compétition directe avec l’alimentation humaine car gros consommateurs de grains… Ils sont destructeurs de l’environnement, parce qu’ils sont en partie responsables de la déforestation pour faire de la monoculture industrielle de maïs ou de soja, et ils sont de gros producteurs de gaz à effet de serre. »

Surtout, ces méga-projets détruisent des emplois, des marchés locaux et la vie rurale. « Dans un contexte de chômage massif et de désertification de nombreuses régions rurales, l’industrialisation de l’élevage est injustifiable, même sur le seul plan socio-économique », conclut-il.

Un avis partagé par Pablo Servigne, chercheur agronome : « L’agriculture industrielle est un modèle toxique, qui se coupe l’herbe sous les pieds, en détruisant les écosystèmes. » Un système nocif et condamné. « Comme il dépend du pétrole, des minerais et d’autres ressources fossiles, c’est un système déjà mort. »

Un mort-vivant alors, car les fermes-usines sont en plein essor. « Il y a une grande inertie du système », affirme Pablo Servigne. En cause, le verrouillage socio-technique : « Nous héritons de techniques inventées dans le passé, comme les pesticides, les OGM, qui ne sont plus efficaces, mais qui sont très intégrées dans nos usages et nos modes de pensée. » Lui appelle donc à de « grands déclics imaginaires », pour changer de paradigme.

« Nous sommes au moins d’accord avec la FNSEA sur un point », admet Laurent Pinatel. « Le système actuel est à bout de souffle. Eux proposent d’y remédier par les fermes-usines, nous par l’agriculture paysanne, orientée vers un marché local. » Agroécologie, circuits courts, culture biologique. D’autres modèles existent.

« Partout dans nos campagnes, il y a des paysans qui sont déjà entrés dans l’ère post-pétrole », estime Pablo Servigne. « L’exode urbain a déjà commencé, les néo-ruraux sont de plus en plus nombreux, c’est un énorme mouvement qui n’a pas encore conscience de lui-même. » Chercheur agronome de formation, il s’est lui-même installé en Ardèche et formé à la permaculture. « L’effondrement inéluctable de la civilisation industrielle va permettre l’épanouissement de nouvelles pousses », dit-il. « Et ces jeunes pousses sont déjà là. »

Source © Reporterre



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mercredi 28 janvier 2015
Pour la première fois le pétrole coule au Québec avec un débit suffisant pour permettre une industrialisation, a annoncé mardi Junex, une petite société d'exploitation pétrolière.

C'est un des six puits à l'ouest de Gaspé, que Junex a enregistré «un débit de production constant de 161 barils de pétrole léger par jour» au cours de six jours de son essai de production.

Le flux est limité par «la configuration des équipements de pompage de surface installés sur le puits», a indiqué Junex en annonçant un volume total de production de 2017 barils de pétrole léger.

Cette entreprise reste au stade de l'exploration car aucune infrastructure ne permet actuellement d'acheminer une éventuelle production à grande échelle vers des unités de raffinage.

«Ce débit de production de 161 barils de pétrole par jour est le meilleur débit de production de pétrole atteint jusqu'à présent au Québec et, selon nos calculs, il s'agit d'un débit de production de pétrole commercial même aux prix actuels du pétrole», a estimé Peter Dorrins, Pdg de Junex en faisant référence à la chute des cours du brut sous les 50 dollars le baril.

Outre ces puits, Junex explore aussi d'autres secteurs en Gaspésie avec des réserves estimées de 330 millions de barils.

Par ailleurs, la société Petrolia explore au nord de la péninsule gaspésienne, au bord du golfe du Saint-Laurent. La municipalité de Gaspé avait, en vain il y a un an, cherché à bloquer les forages pour éviter les risques de pollution de l'eau.

Pétrolia possède par ailleurs des permis sur l'île d'Anticosti, dans le golfe du Saint-Laurent, en copropriété avec le gouvernement de la province via la société Ressources Québec. Cette dernière possède en partenariat avec Junex d'autres permis sur cette île où les associations environnementales dénoncent les risques d'une exploitation pétrolière.

Joyau écologique, Anticosti recèlerait 40 milliards de barils d'un pétrole de schistes.

Source © AFP



vendredi 16 mai 2014
Par un jugement du 14 mai 2014, le Tribunal de l'Union européenne a confirmé une décision de la Commission de mars 2012 selon laquelle l'Allemagne ne pouvait pas maintenir ses valeurs limites actuelles pour l'arsenic, l'antimoine et le mercure dans les jouets. 

La juridiction européenne a en effet conclu que l'Allemagne ne rapportait pas la preuve que ses propres valeurs limites, calées sur l'ancienne directive "jouets" de 1988, garantissaient une protection plus élevée que celles fixées par la nouvelle directive de 2009. 

L'Allemagne avait obtenu le 15 mai 2013 une décision provisoire du Tribunal l'autorisant à maintenir les anciennes valeurs limites jusqu'à ce qu'il soit statué au principal. C'est aujourd'hui chose faite et elle se voit contrainte d'appliquer les nouvelles valeurs limites pour l'arsenic, l'antimoine et le mercure dans les jouets. 

Les anciennes valeurs toujours valables pour le plomb ? 

En revanche, le Tribunal a annulé la décision de la Commission en ce qu'elle limitait jusqu'au 21 juillet 2013 l'approbation des valeurs limites allemandes pour le plomb. Il semble donc que l'Allemagne puisse continuer à appliquer les valeurs limites actuelles pour cette substance. Toutefois, la rédaction de la décision du Tribunal couplée à celle des dispositions de la décision qu'il annule partiellement peut donner lieu à interprétation. Il sera donc intéressant de voir quelles conclusions en tirent les parties. 

Quant au baryum, la juridiction européenne a constaté qu'il n'y a avait plus lieu de statuer sur le recours. Ce dernier était en effet devenu sans objet du fait d'une modification des valeurs limites opérée entre-temps par la Commission.
vendredi 4 avril 2014
La société Chinalco Mining Corporation , une filiale de China, a déclaré lundi qu'elle se voit contrainte d'arrêter partiellement les activités de sa mine de cuivre Toromocho au Pérou , stoppées par ordonnance du ministère de l'environnement du pays vendredi, en raison de graves préoccupations environnementales .

Après des inspections effectuées mi Mars l'agence de l'environnement a conclu que Chinalco déversait ses déchets dans les lacs et Huacrococha et Huascacocha, Le régulateur de l'environnement a même publié une vidéo montrant un liquide de couleur jaune s'écoulant dans les cours d'eau mentionnés.

La mine de Toromocho , dans le centre du Pérou , est en passe de devenir l'une des plus grandes usines de cuivre et de molybdène dans le monde . Elle a commencé sa production en Décembre dernièr et devait atteindre sa pleine production au troisième trimestre de 2014.

Le Pérou est le deuxième plus grand producteur de cuivre au monde .

© Nature Alerte

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