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lundi 18 mars 2013
Le Canada pourrait devenir le premier pays au monde à autoriser l’importation d’aliments pour consommation humaine contenant de faibles quantités d’organismes génétiquement modifiés (OGM) non approuvés par ses propres agences de réglementation. Une décision économique pour le gouvernement fédéral, mais qui portera atteinte à notre système de salubrité alimentaire, disent les opposants.

Ottawa vient de terminer une deuxième étape de consultation sur une politique de gestion de la «présence de faibles quantités» (PFQ) de cultures GM dans tous les grains et produits alimentaires importés destinés aux humains et aux animaux. Les PFQ renvoient uniquement à des OGM non autorisés par le pays importateur.

Les pourcentages d’acceptation proposés sont de 0,1% ou 0,2%, qu’Ottawa juge «non susceptibles de poser un risque». Mais pour le Réseau canadien sur les biotechnologies (RCAB), qui regroupe des organisations opposées aux OGM de tout le pays, rien ne permet de dire que cette dose est sans danger, puisqu’elle ne repose sur aucune étude scientifique.

Pour sa part, l’Union européenne accepte des doses d’OGM qu’elle n’a pas approuvés jusqu’à 0,1% pour l’alimentationanimale et dans certaines circonstances seulement.

Le RCAB s’inquiète de l’effet qu’une telle acceptation aurait sur la confiance des consommateurs à l’égard de notre système de salubrité alimentaire. On demande aux Canadiens «d’accepter des aliments GM comme étant des aliments sûrs, même si Santé Canada ne les a pas jugés sûrs pour la consommation humaine», peut-on lire dans son mémoire au Comité permanent de l’agriculture.

Ottawa invoque de son côté la hausse prévue des cultures OGM dans le monde, qui passeront d’une trentaine à plus de 100 d’ici 2015, ce qui accroîtra nécessairement les cas de PFQ.

Tolérance zéro

De nombreux pays appliquent une politique de tolérance zéro envers les cultures GM non approuvées par leurs agences. Dès que des quantités infimes sont détectées, ces importations peuvent être rejetées. «Cela entraîne une certaine imprévisibilité et peut avoir des retombées économiques néfastes sur les échanges commerciaux mondiaux [...]. Ces dernières années, certaines perturbations du commerce attribuables à la PFQ ont coûté des millions de dollars aux négociants de céréales et aux économies locales», explique Agriculture et Agroalimentaire Canada sur son site Internet.

Le RCAB estime pour sa part que la politique n’atteindra pas les objectifs économiques souhaités. «Plutôt que d’améliorer la position des produits canadiens dans les marchés internationaux, il est fort probable que l’acceptation de la PFQ portera atteinte à la réputation internationale du Canada à l’égard de sa réglementation sur la salubrité alimentaire et de l’intégrité de son système alimentaire – car elle ouvre la voie à la contamination de notre système alimentaire, sans assurer une surveillance réglementaire nationale», écrit l’organisme. Le projet de politique est accessible à http://goo.gl/m8GU6.

Source : La Presse.ca

vendredi 15 février 2013

Interdites après la crise de la vache folle, les farines animales feront leur retour sur le marché européen, à compter du 1er juin.

L'annonce résonne étrangement, en plein scandale de la viande de cheval : la Commission européenne a indiqué, jeudi 14 février, que les poissons d'élevage pourront à nouveau être nourris avec des farines de porc et de volailles à compter du 1er juin. Ce mode d'alimentation avait été totalement interdit dans l'Union européenne (UE) en 2001, après cinq années de crise de la "vache folle" due à une épizootie d'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB).

C'est une mesure qui "tombe mal", a estimé vendredi le ministre français de l'agroalimentaire Guillaume Garot. La décision a pourtant été approuvée par les experts des Etats membres dès juillet 2012. Elle prévoit d'autoriser le recours à des "protéines animales transformées" (PAT) qui ne présenteraient pas les mêmes risques que les farines animales produites jusque dans les années 1990 pour nourrir poissons, poules ou mammifères d'élevage. Ainsi les PAT ne seraient fabriquées qu'à partir de produits d'abattage propres à la consommation humaine et prélevés sur des animaux sains, quand les farines ont longtemps utilisé toutes sortes de sous-produits de carcasses.

PROSCRIRE LE CANNIBALISME

Pour Bruxelles, cette décision "améliorera la durabilité à long terme du secteur de l'aquaculture, car ces PAT pourraient être un substitut précieux aux farines de poisson, qui sont une ressource rare". "Elle est conforme aux avis scientifiques les plus récents selon lesquels le risque de transmission d'ESB entre animaux non ruminants est négligeable, pour autant qu'il n'y a pas de recyclage entre les espèces." En clair : il faut proscrire le cannibalisme. Interdit donc de nourrir les porcs ou les volailles avec des farines issues de leur propre espèce, ce qui se pratiquait auparavant.

En effet, si l'autorisation ne concerne pour l'instant que les produits de l'aquaculture, la Commission européenne "entend proposer une autre mesure pour réintroduire l'utilisation des PAT de porc et de volailles pour les volailles et les porcs", même si cette décision ne devrait pas intervenir avant 2014. L'interdiction pour les ruminants (bovins, ovins et caprins), décidée dès 1997, serait en revanche maintenue, de même que les PAT de ruminants à destination des animaux d'élevage non ruminants, bien que "la situation épidémiologique actuelle montre que l'UE est désormais dans la phase finale de l'éradication de l'ESB au sein de son cheptel bovin".

"UN VÉRITABLE ESPRIT DE RESPONSABILITÉ"

L'industrie agroalimentaire peut-elle garantir le respect de cette alimentation croisée en ne mélangeant pas les circuits de production et de distribution des farines de porc et de volaille ? Beaucoup en doutent, même si des tests permettent théoriquement de vérifier la conformité des farines. L'épisode des lasagnes au cheval étiquetées pur bœuf risque à ce titre de renforcer les suspicions.
"La France s'était prononcée contre cette disposition européenne", a indiqué le ministre français de l'agroalimentaire, qui a rappelé que la disposition de Bruxelles ne rendait "heureusement" pas obligatoire l'utilisation des farines animales. "Il faudra la mettre en œuvre au plan français avec un véritable esprit de responsabilité de nos industriels", a-il ajouté. En octobre 2011, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) avait émis un avis négatif au retour des farines animales, estimant que "les conditions permettant une utilisation sécurisée des PAT ne sont pas à ce jour totalement réunies".
Le précédent ministre de l'agriculture, Bruno Le Maire (UMP), avait affirmé en 2011 que "les farines animales ne seraient pas réintroduites en France tant qu'il serait ministre de l'agriculture". Nul doute que l'actuel titulaire du portefeuille, Stéphane Le Foll (PS), sera très attendu sur le sujet.

Source Le Monde.fr / Grégoire Allix
mardi 8 mai 2012
Les autorités chinoises ont ouvert une enquête sur des vendeurs de légumes, soupçonnés d'asperger les choux avec du formol pour préserver leur fraîcheur, nouveau scandale alimentaire dans ce pays qui en a connu beaucoup, a indiqué un responsable mardi. 

Cette affaire est la dernière d'une longue série de scandales dans l'industrie agro-alimentaire chinoise, après notamment ceux du porc piqué au clenbutérol, un anabolisant, et du lait contaminé à la mélamine, un additif mimant un taux élevé de protéines. 

Selon des informations parues dans la presse et sur internet, des dizaines de marchands de légumes dans la province du Shandong (est), grande région agricole, utilisent des produits chimiques pour maintenir la fraîcheur de leurs légumes jusqu'à ce qu'ils parviennent sur les marchés. 

Le formaldéhyde --ou formol-- est un liquide utilisé couramment pour préserver des spécimens de laboratoires ou pour embaumer les corps. Cette substance, cancérigène, peut être mortelle si elle est ingérée en trop grande quantité. 

Un responsable de la ville de Dongxia a confirmé la pratique des vendeurs. 

Nous enquêtons sur cette affaire, a-t-il déclaré, sans vouloir donner de détails. Cette pratique serait répandue dans le Shandong et la province voisine de Hebei, notamment lors des mois les plus chauds, selon l'agence officielle Chine Nouvelle. On fait ça couramment pour garder les choux frais. Sinon, les choux qui sont empilés les uns contre les autres dans les camions pourriraient en deux ou trois jours, a expliqué à l'agence un agriculteur de Dongxia. 

Le chou est un des aliments de base de la nourriture chinoise, notamment dans le nord. En mars, une grande entreprise de volailles chinoise avait licencié quatre employés soupçonnés d'être impliqués dans une affaire de vente de viande de canards abattus alors qu'ils étaient malades. Le scandale alimentaire le plus retentissant reste celui du lait contaminé à la mélamine qui, en 2008, avait provoqué la mort de six enfants et rendu malade 300.000 autres. (

Source ©AFP 

mercredi 28 septembre 2011
Les agrocarburants sont néfastes pour l'environnement selon l'Agence européenne pour l'environnement si on ne tient pas compte du changement indirect d'affectation des sols. Ce qui fait écho à ce que clamaient les associations écologiques depuis longtemps. Se dirige-t-on vers une nouvelle législation sur les agrocarburants ?

Le comité scientifique de l’Agence européenne pour l’environnement (EEA) vient de publier un rapport très critique sur les agrocarburants. Cet avis, attendu de longue date par les associations environnementales, est particulièrement sévère pour un procédé inscrit dans une gestion durable de l’environnement. Or selon l’EEA, agence chapeautée par l’Union européenne, les agrocarburants ne sont pas si verts qu’ils devraient l’être.

Bien sûr, ils font l’objet de vives critiques depuis longtemps et les associations écologistes, notamment, n’ont pas attendu l’avis des experts scientifiques de l’Union européenne pour donner leur opinion sur la question. Ce qu’on reproche aux agrocarburants, c’est de ne pas tenir compte du changement indirect d’affectation des sols. En d’autres termes, quand une forêt est décimée pour laisser place à un champ de colza, par exemple, dont le rendement sera destiné à la production d’agrocarburant, le bilan énergétique doit tenir compte du manque à gagner qu’engendre la déforestation sur le plan écologique.


L'Union européenne sommée de revoir sa législation

En effet, la forêt stocke une quantité importante de dioxyde de carbone, ce qui diminue la concentration atmosphérique de ce gaz à effet de serre. Cette quantité de carbone n’est pas séquestrée par le colza et doit entrer dans le bilan énergétique du biocarburant. En résumé, les agrocarburants sont, en soi, effectivement neutres mais ils viennent remplacer des phénomènes bénéfiques. Donc, ils sont globalement néfastes... Tout l'inverse de ce pour quoi ils sont utilisés.

Finalement, tout cela est assez logique et ne demande pas réellement d’expertise scientifique. Des rapports indépendants de plusieurs associations environnementales, dont Greenpeace, étaient d’ailleurs déjà parvenus à la même conclusion. Mais la voix de l’EAA est bien plus forte que la leur et les recommandations qu’elle préconise devront être suivies.

À l’Union européenne, l'EEA somme notamment de revoir sa législation et ses objectifs afin que les cultures destinées à la production de carburant ne rentrent en conflit avec aucune autre. Elle encourage également la filière agrocarburant utilisant les déchets végétaux, à condition qu’ils ne soient pas utiles pour fertiliser les sols. Enfin, elle demande que les bilans carbone tiennent compte de ces paramètres. Il ne reste maintenant plus qu’à appliquer ces recommandations…

Source @ AFP



...Moi ce que j'en dis...ben prffff...cliquez donc ci dessous...sur tout ce qui bouge...



...Ou tout ce qui ne bouge pas...

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...et enfin pour ceux qui auraient raté la première séance, laissez vous guider dans la découverte de notre beau terroir...

mardi 13 septembre 2011
Deux organisations non gouvernementales, le Corporate Europe Observatory (CEO) de Belgique et le Réseau Santé Environnement (RES) ont révélé aujourd’hui par un communiqué de presse les liens de deux experts de l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (AESA) avec l’industrie agroalimentaire.

Communiqué de presse du Corporate Europe Observatory et du Réseau Environnement Santé

Mardi 13 Septembre 2011

Des ONG demandent le licenciement de deux experts de l’AESA qui ont omis de déclarer leurs liens avec l’industrie alimentaire

Bruxelles / Paris, 13 Septembre -

De nouvelles recherches ont révélé aujourd’hui de nouveaux conflits d’intérêt entre les experts conseillant l’Autorité européenne de sécurité alimentaire (AESA) sur la sécurité des additifs alimentaires, y compris l’aspartame .

Les recherches menées par le « Corporate Europe Observatory » (CEO) et le Réseau Environnement Santé (RES) – un réseau français sur la santé et l’environnement – ont révélé que deux des nouveaux experts nommés par l’AESA dans le panel chargé d’examiner les additifs alimentaires ont omis de déclarer des activités de conseil pour le laboratoire d’idées et de lobbying financé par l’industrie agroalimentaire « l’International Life Sciences Institute (ILSI).

CEO et RES ont écrit à l’AESA pour demander le licenciement des deux experts. Ils ont également écrit au Commissaire européen Maroš Šefčovič pour exiger l’adoption de nouvelles règles plus efficaces régissant les conflits d’intérêt au sein des agences de l’UE.

Selon les nouvelles recherches, Riccardo Crebelli, directeur de recherche à l’Institut italien de la Santé, et Ursula Gundert-Remy, une ancienne experte en médecine à l’Institut allemand d’évaluation des risques, ont tous deux exercé comme conseillers pour l’ILSI dans les cinq dernières années. Gundert-Remy a été nommé conseiller scientifique à la Fondation pour la Recherchede l’ ILSI à Washington en 2005, et Crebelli a été membre du comité scientifique sur la sécurité des emballages alimentaires mis en place par l’ILSI en 2008.

Ces nouveaux éléments font suite à des violations similaires de la confiance envers l’AESA en juin de cette année. Quatre membres du même panel scientifique ont "mis à jour" leurs déclarations d’intérêts suite à un rapport du CEO révélant leurs activités non déclarées de conseil au sein l’ILSI . Le rapport a également constaté que 11 des 20 experts du panel avaient un conflit d’intérêts, tel que défini par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

Des questions ont été soulevées au sujet des avis rendus par l’AESA au cours des derniers mois et l’AESA a récemment été sommée de réexaminer ses avis sur l’aspartame en raison des préoccupations concernant ses impacts sur la santé.

Nina Holland, s’exprimant au nom de Corporate Europe Observatory, a déclaré :

« L’AESA a clairement échoué à apprendre de scandales précédents. En vertu des règles propres de l’AESA, les membres des groupes scientifiques sont tenus de déclarer leurs conflits d’intérêts potentiels. Deux nouveaux membres du groupe sur les additifs alimentaires (ANS) semblent être en violation de ces règle , et nous croyons par conséquent qu’ ils doivent être écartés ».

André Cicolella, du Réseau Environnement Santé, a déclaré :

« La Commission doit adopter des règles beaucoup plus strictes pour éviter ces scandales récurrents qui minent la confiance du public dans notre système de sécurité alimentaire. Les experts ayant fait de la consultance et du conseil sur une base rémunérée ou non pour les entreprises alimentaires, les associations de l’industrie alimentaire, ou les think tanks financés par l’industrie alimentaire durant ces cinq dernières années ne devraient pas être autorisés à siéger au sein de groupes scientifiques de l’AESA. »

Les règles de l’AESA sur les conflits d’intérêts exigent des membres de ses groupes d’experts qu’ils signalent tout travail pour le compte de l’industrie effectué dans les cinq dernières années et qui pourrait affecter leur indépendance . Selon ces règles, l’omission de divulguer « des conseils ou des services dans un domaine particulier relevant de la compétence de l’AESA » - même s’ils ne sont pas rémunérés - est considérée comme une « violation prima facie de confiance envers l’EFSA » qui pourrait conduire au licenciement de ces deux experts »

ILSI Europe se décrit comme « un partenaire clé pour l’industrie européenne » et fournit des fonds pour « construire la science dans les domaines réglementaire ». Ses bailleurs de fonds comprennent Nestlé, Unilever, Kraft Foods, Danone, Mars, Coca-Cola et Mc Donald.

L’ ILSI vise à influencer l’élaboration ou la révision des normes et procédures d’évaluation des risques pour la nourriture, les produits chimiques et les produits biotechnologiques, afin de les rendre plus favorables à l’industrie.

Source: http://www.combat-monsanto.org/spip.php?article906

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