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jeudi 12 novembre 2015
L’atmosphère terrestre semble synchronisée avec l’agenda de la diplomatie climatique. A trois semaines de l’ouverture, à Paris, de la 21e conférence mondiale sur le climat (COP21), le Met Office britannique et l’Organisation météorologique mondiale (OMM) ont séparément annoncé, lundi 9 novembre, le franchissement en cours ou imminent de deux seuils symboliques importants. Ces deux piqûres de rappel coïncident avec la « pré-COP21 », la réunion préparatoire qui rassemble une soixantaine de ministres à Paris jusqu’à mardi, afin d’ouvrir la voie à un accord contraignant et universel prenant la suite du protocole de Kyoto.

Le Met Office a ainsi proclamé, sur la foi des neufs premiers mois de l’année, que 2015 sera la première année dont la température franchira le cap de 1 °C de réchauffement par rapport à la période préindustrielle. Entre janvier et septembre, la moyenne des températures relevées à la surface de la Terre est ainsi supérieure de 1,02 °C à celle enregistrée, à période équivalente, dans les dernières décennies du XIXe siècle.

Un niveau de concentration inédit

L’OMM a de son côté annoncé que le seuil des 400 parties par millions (ppm) de concentration atmosphérique de dioxyde de carbone (CO2) devrait être franchi de manière imminente. Dans la semaine du 1er novembre, l’observatoire de référence de Mauna Loa (Hawaï) relevait une concentration de 399,06 ppm.

Un tel niveau de concentration de CO2 est inédit depuis le pliocène, voilà 5,3 à 2,6 millions d’années, à une époque où le niveau des océans fluctuait entre 5 mètres et 40 mètres au-dessus du niveau actuel, et où apparaissaient tout juste les premiers représentants du genre Homo habilis et rudolfensis. Ce taux était de 270 ppm environ au cours de la période préindustrielle et n’a jamais excédé 300 ppm au cours du dernier million d’années.

Urgence à agir

« Chaque année, les concentrations de gaz à effet de serre battent de nouveaux records », a déclaré dans un communiqué Michel Jarraud, le secrétaire général de l’OMM.

« Et chaque année, nous répétons que le temps presse. C’est maintenant qu’il faut agir pour réduire radicalement les émissions de gaz à effet de serre et pour qu’il nous reste une chance de contenir à un niveau raisonnable la hausse des températures. »

Le seuil des 400 ppm de CO2 atmosphérique a pour la première fois été atteint, ponctuellement et localement, en mai 2013. Mais les légères fluctuations saisonnières qui se superposent à la tendance haussière ont fait revenir le taux de gaz carbonique en deçà. Selon le bulletin de l’OMM, la moyenne annuelle de l’année 2014 a été relevée à 397,7 ppm. Au printemps 2015, dans l’hémisphère Nord, la concentration moyenne du principal gaz à effet de serre a franchi les 400 ppm. Et en moyenne mondiale annuelle, ce seuil pourrait être franchi dès l’an prochain.

La situation actuelle avait été correctement anticipée par les scientifiques dès les années 1970. Dans un article demeuré célèbre et publié en août 1975, le géochimiste américain Wallace Broecker (université Columbia, Etats-Unis) prévoyait non seulement l’imminence du « réchauffement global » – l’expression date de cette publication phare –, mais il estimait aussi que la vitesse avec laquelle les activités humaines modifiaient la composition de l’atmosphère porterait la concentration de CO2 à 400 ppm autour de 2010…

« Nous avançons en territoire inconnu »

« Nous ne voyons pas le CO2. C’est une menace invisible mais bien réelle, qui se traduit par des températures mondiales plus élevées, par une multiplication des phénomènes extrêmes – vagues de chaleur et inondations notamment –, par la fonte des glaces, la hausse du niveau de la mer et l’acidification des océans, a averti M. Jarraud. C’est la réalité d’aujourd’hui : nous avançons en territoire inconnu et la machine s’emballe à un rythme effrayant. »

Ce rythme est détaillé dans le bulletin de l’OMM. Au cours de la dernière décennie, la concentration atmosphérique de CO2 a augmenté de 2,06 ppm par an. Les deux autres principaux gaz à effet de serre, le méthane (CH4) et le protoxyde d’azote (N2O), sont également sur une pente ascendante. En particulier, le premier atteint aujourd’hui 2,5 fois son niveau du XVIIIe siècle.

Les travaux du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), non prescriptifs, ne déterminent pas de niveau à ne pas dépasser. Le seul seuil fixé est un niveau de réchauffement par rapport à la période préindustrielle, fixé à 2 °C par la communauté internationale, en 2009 à la conférence de Copenhague (COP15). Une équipe de chercheurs internationaux conduits par le climatologue américain James Hansen (NASA) avait quant à elle publié une étude cherchant à identifier la limite de concentration de CO2 à ne pas franchir pour éviter des bouleversements majeurs et avait conclu à un seuil de 350 ppm, atteint autour de 1990.

El Niño

Année cruciale pour les négociations climatiques, 2015 est aussi celle d’un puissant El Niño. Ce phénomène naturel, qui revient tous les trois à sept ans et fait grimper le thermomètre du Pacifique tropical, tire les températures mondiales vers le haut, en plus de la tendance lourde au réchauffement. L’année en cours est donc en passe d’être celle de tous les records.

« Cette année marque une première importante, mais cela ne signifie pas que toutes les années à partir de maintenant seront plus chaudes d’un degré ou plus par rapport aux niveaux préindustriels, car la variabilité naturelle jouera toujours un rôle déterminant, explique Peter Stott, chef de l’analyse climatique au Met Office, l’une des trois institutions chargées de colliger les températures mondiales. Cependant, à mesure que le monde se réchauffera dans les prochaines décennies, nous verrons de plus en plus d’années passant la barre des 1 °C de réchauffement, jusqu’à ce que cela devienne la norme. »

En attendant, la National Oceanic and Atmospheric Administration a examiné les mois les plus chauds de ses relevés, qui indexent 1 629 mois mesurés depuis 1880 : sur les dix mois les plus chauds, six appartiennent à l’année en cours. Qui n’est pas finie…


Source ©  Stéphane Foucart / Le Monde


lundi 9 novembre 2015
Le record, datant pour certains de 1995 et pour d'autres de l'année dernière, vient d'être battu. Clermont a atteint 24.4°C samedi après-midi. 

On vous annonçait des températures au-dessus de saison. Selon l'observatoire français des tornades et vents violents (Keraunos), nous avons atteint samedi le record de chaleur en passant à 24.4°C samedi après-midi.

Si selon Keraunos le précédent record datait de l'an dernier (24.3°C), il était, selon Météo France, en réalité bien plus vieux (1955 !).



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lundi 5 octobre 2015
La gouverneure de Caroline du Sud a appelé la population à rester chez elle sauf urgence dans les prochains jours, à cause des inondations majeures provoquées par des pluies torrentielles qui s’abattent sur le sud-est des Etats-Unis depuis plusieurs jours.

Les précipitations sont « de niveau millénaire » (survenant statistiquement une fois tous les mille ans) dans certaines parties de Caroline de sud, a déclaré dimanche après-midi la gouverneure de l’Etat, Nikki Haley, dans une conférence de presse.

« Restez à l’écart des routes », a ajouté la gouverneure, demandant aussi à ce que les écoles restent fermées et que les gens, qui le peuvent, n’aillent pas travailler lundi.

Les très fortes précipitations et les inondations ont provoqué la mort de trois personnes depuis jeudi en Caroline du sud, a confirmé Mme Haley. Une personne est aussi morte en Caroline du Nord, selon les médias. Le président Barack Obama a décrété l’état d’urgence dans l’Etat pour débloquer l’aide fédérale.

La tendance est à la diminution des pluies mais la météo prévoit encore que 5 à 15 centimètres d’eau pourrait tomber dans les prochaines heures dans certains endroits.

Une masse d’air tropical chargé d’humidité est à l’origine de ces pluies diluviennes qui ont atteint des niveaux record comme à Charleston, une grande ville côtière dans le sud de l’Etat. La station météo de l’aéroport de la ville avaient enregistré dimanche matin plus de 40 centimètres d’eau depuis le 1er octobre, un record selon le service national de météo américain (National Weather Service).

Le déluge a eu des conséquences pour le moins macabres. Plusieurs cimetières ont en effet été sérieusement touchés par la violence des éléments avec, pour résultat, le déracinement de nombreuses tombes et le spectacle désolant de cercueils à la surface de l'eau. 

Source :7sur7.be
lundi 14 septembre 2015
Le réchauffement climatique, combiné à des phénomènes naturels tel que le courant El Niño, devrait produire des moyennes de températures très élevées en 2015 et en 2016, relève un rapport publié lundi par l'Institut météorologique britannique (Met Office).

Une accélération. "Il est très probable que 2014, 2015 et 2016 seront parmi les années les plus chaudes qui auront jamais été mesurées" sur la planète, souligne Rowan Sutton, professeur au Centre national de Science atmosphérique. Associé à cette étude du Met Office, Rowan Sutton estime ainsi probable que le réchauffement s'accélère à nouveau après une décennie de relative stabilité.

Le rôle d'El Niño. 

L'étude publiée lundi par le Met Office s'intéresse beaucoup à El Niño, réapparu en mars et qui pourrait "être l'un des plus intenses dans les annales". Le courant équatorial chaud du Pacifique, dont on estime qu'il contribuera au réchauffement global, aura aussi des répercussions sur le plan local: des conditions plus sèches dans certains pays asiatiques et en Australie, selon le Met Office.

En Californie et en Europe du Nord. A l'inverse, les précipitations devraient être plus abondantes cet automne et durant l'hiver sur la Californie, en proie à une intense sécheresse depuis quatre ans. Le Met Office estime enfin que le léger refroidissement observé actuellement dans l'océan Atlantique pourrait amener des étés moins chauds et plus secs en Europe du nord.

Source © AFP

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mardi 1 septembre 2015
Pour la première fois dans l'histoire, trois ouragans de catégorie 4 ont été détectés en même temps dans l'océan Pacifique. 

Samedi et dimanche derniers, Kilo (à gauche), Ignacio (au centre), et Jimena (à droite) étaient parfaitement alignés dans l'océan Pacifique .

Samedi, le satellite Terra de la NASA a capturé un trio d'ouragans, tous de catégorie quatre, nommés Kilo, Ignacio et Jimena, ils ont été enregistrés alors qu'ils traversent actuellement le Pacifique (central et oriental). 

Les ouragans de catégorie quatre sont au deuxième niveau le plus haut sur l'échelle des vents de Saffir-Simpson, indiquant que la vitesse des vents y oscille entre 209 et 251 kilomètres par heure. 

Les vents maximums de l'ouragan Kilo ont été mesurées à près de 220 kilomètres par heure, et ils devraient rester forts jusqu'à jeudi. 

Les vitesses de pointe de vent de l'ouragan Ignacio étaient similaires à Kilo, mais elles devraient se dissiper d'ici mardi. L'ouragan Jimena est un peu moins intense, et le "National Hurricane Center" a prédit qu'il cesserait dés lundi. 

Tous les trois ont été enregistrés entre 800 et 3000 kilomètres au large des côtes d'Hawaï dimanche. 

© Nature Alerte




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vendredi 21 août 2015
Juillet et les sept premiers mois de 2015 ont été les plus chauds enregistrés à la surface de la Terre depuis le début des relevés de températures, a annoncé jeudi l'Agence américaine Océanique et atmosphérique. 

Le réchauffement climatique est bien en marche. L'Agence américaine Océanique et atmosphérique (NOAA) a annoncé jeudi que le mois de juillet et les sept premiers mois de 2015 ont été les plus chauds enregistrés à la surface du globe depuis le début des relevés de températures en 1880. 

Record de chaleur en juillet. Non seulement juillet a battu un record de chaleur sur la Terre pour ce mois depuis plus d'un siècle mais "la température y a également été au plus haut de tous les mois pour la période 1880-2015", a souligné la NOAA dans un communiqué.

Jean Jouzel, climatologue, y voit une bonne piqûre de rappel avant la conférence climat COP21 à la fin de l'année : "c'est un peu un concours de circonstances mais ces données renforcent le message de l'urgence à mettre en œuvre des mesures pour limiter le réchauffement à deux degrés. Il faut tout faire pour éviter cela", a-t-il dit sur Europe1.

En chiffres. La température moyenne combinée à la surface des terres et des océans en juillet 2015 s'est située 0,81°C au-dessus de la moyenne du 20e siècle (15,8°C), surpassant de 0,08 degré le précédent record établi en juillet 1998. 

Juillet qui est normalement le mois le plus chaud de l'année globalement a été cette année, avec une température globale de 16,61°C, le plus chaud de tous les 1.627 mois depuis janvier 1880. La température en juillet augmente actuellement de 0,65 degré C en moyenne par siècle, précise la NOAA.

Source © AFP

jeudi 6 août 2015
« Les températures moyennes de juillet ont été supérieures aux normales saisonnières sur l'ensemble du territoire, avec des épisodes caniculaires lors de la première quinzaine », indique le SSP (service de la statistique et de la prospective) du ministère de l'Agriculture dans Agrestes Infos rapides - Climatologie d'août 2015.

Particulièrement élevées pendant les deux premières décades, où elles ont dépassé de 3°C les valeurs de saison, elles ont retrouvé des valeurs plus normales lors des dix derniers jours du mois.

L'écart à la normale a été moins marqué dans l'Ouest et le Nord. 

La température nationale moyenne du mois a atteint 23,3°C, soit 2,3°C au-dessus de la normale saisonnière. Selon Météo France, ce mois de juillet a été le troisième mois de juillet le plus chaud depuis 1900.

« De nombreux records de chaleur absolus sont tombés entre le 1er et 17, battant les pics caniculaires des mois de juillet 2006 et 1947 », indique par ailleurs Météonews. Quelques stations ont même battu leurs records de chaleur annuelle datant souvent d'août 2003 : Munster, Saint-Etienne, Embrun, Mende, Melun, Dieppe, Boulogne-sur-Mer...

Le maximum national a été de 41,4 degrés à Brive-la-Gaillarde le 16. A l'inverse, le thermomètre a chuté à -0,1 degré le 31 à Mouthe, à 900 m d'altitude dans le Doubs. En plaine, c'est à Reims qu'il a fait le plus froid avec 1,7 degrés le 31, pas très loin du record de froid du 12 juillet 1929 qui est de 1,2 degré.

Selon le SSP, les précipitations de juillet sont par ailleurs déficitaires sur l'ensemble du pays. Le Centre-Est et la Corse n'ont reçu que 29 % et 23 % respectivement de leur pluviométrie normale. Excepté l'Ouest (90 %), les autres régions ont connu des hauteurs de pluie inférieures de plus 50 % aux normales.

Au 1er août, l'indice d'humidité des sols était déficitaire sur l'ensemble du territoire, à l'exception de quelques zones éparses (les Pyrénées et dans quelques départements de l'Ouest et des Alpes).

Par ailleurs, Météonews informe que de fortes chaleurs sont encore attendues dès ce mercredi et jusqu'à vendredi, voire encore la semaine prochaine jusqu'au 15 août. Des pointes proches des 36 voire 38 degrés à l'ombre sont susceptibles de se produire sur le flanc Est du pays notamment, déjà fortement touché par les canicules au mois de juillet.

Source © la france agricole


vendredi 17 juillet 2015
Les gaz à effet de serre qui sont à l'origine du changement climatique ont atteint des sommets de concentration dans l'atmosphère en 2014, tandis que la planète a enregistré une température record à sa surface, ont rapporté des chercheurs du monde entier ce jeudi.

"Le dioxyde de carbone, le méthane et le protoxyde d'azote, qui sont les principaux gaz émis dans l'atmosphère, ont atteint des records de concentration dans l'atmosphère pour l'année" 2014, précise le rapport de ces chercheurs sur "l'Etat du climat" (State of the Climate), publié par l'Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA). Les océans eux aussi ont connu l'an dernier des records de températures tandis que le niveau de la mer a atteint son plus haut niveau.

"L'Europe a connu son année la plus chaude et de loin, avec une vingtaine de pays qui ont battu de précédents records", précise le rapport. "Beaucoup de pays en Asie ont connu des températures annuelles parmi les dix plus chaudes. L'Afrique a recensé des températures supérieures à la moyenne sur la majorité du continent, l'Australie a battu un record de températures pour la troisième fois, après un sommet en 2013". En Amérique latine, le Mexique a connu son année la plus chaude tandis que l'Argentine et l'Uruguay ont atteint pour la deuxième fois des sommets de températures. 

Exception en matière de température, la région Est de l'Amérique du Nord est la seule zone dans le monde à avoir connu l'an dernier des températures inférieures à la moyenne.

Quant au niveau global des mers, il a atteint, "suite au réchauffement des océans et à la fonte des glaces", un record en 2014, en hausse de 6,7 centimètres par rapport à la moyenne de 1993, quand a débuté la mesure par satellites du niveau des océans. Au total, 413 scientifiques de 58 pays ont contribué à ce rapport, basé sur des données collectées par les postes de surveillance de l'environnement et publié dans le Bulletin of the American Meteorological Society.

Source © Le Figaro.fr avec AFP




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lundi 6 juillet 2015
Hier une chaleur intense a touché l’Allemagne avec un record national relevé à la station météorologique de l’université de Karlsruhe avec 40.8°C ! (Pour information, la température moyenne pour un mois de juillet est de 25°C).

On relevait aussi 38.8°C à Frankfort, 36.6°C à Berlin.

La fournaise continue aussi en Espagne avec :

42.6°C à Grenade, 41.3°C à Gérone, 41.2°C à Cordoba, 40.3°C à Séville, 40.3°C à Zaragoza, 37.6°C à Madrid.
vendredi 19 juin 2015
Mai 2015 a été le plus chaud pour ce mois dans le monde depuis le début de relevés de températures en 1880, montrant que le réchauffement de la planète se poursuit, a annoncé jeudi l'Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA).

L'année 2014 avait déjà été la plus chaude jamais enregistrée.

Le mois de mai 2015 a été le «plus chaud mois de mai dans les annales», a déclaré Derek Arndt, un scientifique de la National Oceanic and Atmospheric Administration, lors d'une conférence de presse téléphonique, soulignant que la période recouvrant les cinq premiers mois de 2015 a également été la plus chaude jamais enregistrée.

La température moyenne à la surface du globe (océans et terres) a été en mai 0,87 degré au-dessus de la moyenne du 20e siècle pour ce mois, soit le plus élevé pour la période de 1880 à 2015, surpassant légèrement (0,08 degré) le précédent record établi en 2014, précise la NOAA.

Dans l'océan Arctique, la superficie moyenne des glaces en mai a été 5,5% inférieure à la moyenne de la période 1981 à 2010.

Les glaces arctiques ont représenté en mai 2015 la troisième plus faible surface depuis le début des observations satellitaires en 1979, selon le Centre national de la neige et de la glace utilisant les données de la NOAA et de la NASA.

En revanche, dans l'Antarctique la superficie des glaces a été en mai 12,1% au-dessus de la moyenne de 1981 à 2010. Il s'agit aussi de la plus grande étendue des glaces antarctiques pour ce mois dans les annales, surpassant le précédent record de mai 2014.

Source © AFP




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mardi 19 mai 2015
Le sud de l'Europe a vécu une canicule historique cette semaine. 

Les températures ont dépassé les 40°C dans le sud de l'Espagne. L'Espagne détient maintenant le nouveau record mensuel européen de chaleur absolu pour un mois de mai.

Jusqu'à avant ce début mai 2015 exceptionnel autour de la Méditerranée occidentale, le record de chaleur pour un mois de mai en Europe était de 41.7°C à Andujar en Espagne le 17 mai 2006. Mai 2015 a débuté par une première vague de chaleur inédite sur la Méditerranée occidentale : ainsi, le 6 mai dernier, cet ancien record mensuel européen a été battu en Sicile, avec 41.9°C à Catenanuova.

Mais jeudi dernier (14 mai), la chaleur est encore montée d'un cran. De l'air saharien est remonté sur l'Espagne. En conséquence, l'ancien record de chaleur mensuel européen (41.9°C à Catenanuova le 6 mai dernier) a été à nouveau battu dans plusieurs villes espagnoles, qui ont aussi pulvérisé leur précédent record de chaleur pour un mois de mai (voire pour un mois de juin, comme à Lanzarote dans les Canaries). Dans certaines villes les anciens records ont été pulvérisé de 2 à 3°C par rapport aux anciens, et jusqu'à 6°C de plus à Valence (42,6°C contre 36,2°C).

Source © La Chaîne Météo


lundi 18 mai 2015
L'Équateur a établi samedi un record mondial en matière de reforestation en plantant 647 250 arbres de plus de 200 espèces différentes en un seul jour sur l'ensemble de son territoire, a annoncé samedi le président de ce pays latino-américain, Rafael Correa.

«Je viens d'être informé que nous avons battu le record du Livre des records Guinness pour la reforestation», a dit le chef de l'État dans son allocution hebdomadaire.

La ministre équatorienne de l'Environnement Lorena Tapia a écrit sur son compte Twitter que 44 883 personnes s'étaient mobilisées pour planter les arbres sur plus de 2000 hectares au total.

Une équipe travaillant avec Guinness était présente pour l'événement à Catequilla, une ville située non loin de la capitale Quito.

Le précédent record a été établi l'année dernière aux Philippines, a précisé Guinness.

Source © AFP
jeudi 7 mai 2015
La concentration de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère a atteint un niveau record au mois de mars, un signe évident du réchauffement climatique, selon l'Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA) mercredi.

En mars, la concentration mondiale moyenne mensuelle de CO2 dans l'atmosphère a ainsi dépassé pour la première fois le seuil des 400 parties par million (ppm). 

"Ce n'était qu'une question de temps", a souligné Pieter Tans, le principal scientifique chargé de la surveillance des gaz à effets de serre à la NOAA. Celui-ci a précisé que les stations de mesure de l'agence avaient déjà mesuré des seuils supérieurs aux 400 ppm dans l'Arctique au printemps 2012, et à Hawaï en 2013. 

"Atteindre le seuil des 400 ppm en moyenne dans l'ensemble du monde est significatif", a estimé ce scientifique.

Jusqu'à la révolution industrielle et le recours massif aux énergies fossiles, ce taux n'avait pas dépassé les 300 ppm durant au moins 800.000 ans, selon des prélèvements effectués dans les carottes de glace polaire. 

"Cela montre que la combustion du charbon et du pétrole a entraîné une augmentation de plus de 120 ppm des concentrations de CO2 depuis l'ère pré-industrielle, dont la moitié depuis 1980", a insisté Pieter Tans. 

L'Agence internationale de l'énergie a annoncé le 13 mars que l'augmentation des émissions mondiales de C02 provenant de la combustion des énergies fossiles s'était arrêtée en 2014 pour se stabiliser au même niveau qu'en 2013. 

Mais stabiliser le taux des émissions des gaz à effet de serre n'est pas suffisant pour empêcher le changement climatique, a souligné M. Tans. 

Les concentrations moyennes mensuelles sont calculées à partir de mesures continues. Il existe environ 130 stations de mesure du CO2 réparties sur la planète.


Source © Belga





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lundi 20 avril 2015
Record battu. Mars 2015 a été le mois de mars le plus chaud sur la planète depuis le début des relevés des températures en 1880, a annoncé vendredi l'Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA).

«Pendant le mois de mars, la température moyenne à la surface des terres et des océans a été de 0,85°C au-dessus de celle du 20e siècle», a expliqué la NOAA dans un rapport. «C'est la température moyenne la plus élevée pour un mois de mars depuis 1880, elle surpasse le précédent record établi en 2010 de 0,05°C».




mercredi 15 avril 2015
Après un lundi particulièrement ensoleillé et chaud, les conditions anticycloniques ont persisté mardi 14 avril sur tout le pays et le seuil des 30°C a été franchi pour la première fois cette année !

Sur la côte aquitaine, il a fréquemment fait entre 29 et 31°C l'après-midi. Météo-France a même relevé 31,6°C au Cap Ferret. Il s'agit d'un nouveau record mensuel pour cette station ouverte en 1887, l'ancien record de 31,5°C datait du 22 avril 1893. À Biscarrosse le record de 30,8°C du 30 avril 2005 a été égalé (relevés depuis 1965).

Dans de nombreuses autres villes françaises, la température maximale, sans atteindre des records, affichait mardi après-midi un excédent de 10 à 14 degrés au dessus de la normale*. On a ainsi relevé :

24°C à Reims
25°C à Brest et Bourges
26°C à Paris et Tours
28°C à Toulouse et Auch
29°C à Biarritz, Bordeaux, Cognac et Limoges
30°C à Nîmes

Avec 17,4°C, c'est Nice, soumise à la brise, qui a été la ville (de plaine) la plus fraîche de France.

Un seuil de 30°C franchi précocement

Le franchissement du seuil des 30°C s'effectue relativement précocement cette année. Sur la période 1981-2010, on atteint en effet en moyenne les 30°C en métropole (sur une région significative) le 9 mai.
Toutefois la date a tendance au fil des ans à être plus précoce. Toujours sur la période 1981-2010, le seuil a été franchi 8 fois en avril et de 2010 à 2013, systématiquement au cours de ce mois. Deux des franchissements de seuil les plus précoces sont en effet récents : le 6 avril 2011, suivi du 14 avril 2013. Mais c'est en 1990 que le seuil des 30°C a été franchi le plus tôt : le 21 mars avec 29,9°C à Dax dans les Landes, et plus de 30°C sur quelques stations des environs.  

Habituellement, comme cela a été le cas mardi 14 avril, c'est la région Aquitaine qui franchit ce seuil la première, particulièrement le sud de la région. Sur la période 1981-2010, cela s'est produit 22 fois en Aquitaine, et à 9 reprises sur le pourtour méditerranéen.

Pourquoi la Méditerranée n'est-elle pas toujours en première ligne ?

Malgré des normales de température plus élevées en fin de printemps dans le Sud-Est que dans le Sud-Ouest, le seuil de forte chaleur y est généralement franchi plus tard. Le climat y est plus chaud en moyenne mais connaît des excès moins marqués. Il est en effet plutôt rare, surtout en avril, d'avoir les premières fortes chaleurs près de la Méditerranée. La température de l'eau de la mer est encore fraîche, et les masses d'air chaudes qui remontent du Sud se refroidissent souvent en passant au-dessus, ce qui limite les possibilités d'avoir ces fortes chaleurs dans le sud-est du pays. Au contraire, l'air chaud se refroidit par la base, s'humidifie par évaporation et une couche de nuages bas peut se former, piégée par l'anticyclone. Des bancs de stratus côtiers peuvent ainsi se former, apportant grisaille et fraîcheur sur les bords de la mer Méditerranée, tandis que le reste du pays profite de la douceur, voire d'une chaleur précoce.

* : Normales 1981-2010

Source © Meteo France




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Source uicn
mercredi 1 avril 2015
Fortement touché par le réchauffement climatique, l'Antarctique a connu un nouveau record de températures.

L'Antarctique a enregistré, mardi 24 mars, sa journée la plus chaude de l'histoire, selon le site de météorologie Weather Underground. Il a fait plus chaud sur le continent de glace du pôle Sud, avec 17,5°C que le même jour à Paris, où il ne faisait qu'un petit 8°C.

C'est un nouveau record pour le continent le plus froid de la planète. Le précédent date d'avril 1961 lorsque 17,1°C ont été enregistrés sur la base argentine de recherche Esperanza. Le nouveau record a été relevé sur cette même station de recherche. L'organisation météorologique mondiale (WMO) n'a toutefois pas encore validé ce pic de température.

L'Antarctique est le continent qui voit ses températures évoluer le plus rapidement avec le réchauffement climatique. Elles ont été multipliées par quatre en un peu plus d'un siècle (1900-2011). Ces hausses de température ont des conséquences concrètes en Antarctique : la fonte des glaciers, la disparition de colonies de pingouins ou encore la baisse de la population de manchots empereurs.

Vers une augmentation du niveau des océans

Et ces conséquences pourraient toucher le reste de la planète. La fonte des glaces pourrait faire augmenter le niveau des océans de trois mètres d'ici 1.000 ans ou seulement un siècle dans le scénario le plus pessimiste. Un danger pour les côtes fortement peuplées et les pays dont le niveau est particulièrement bas par rapport à la mer.

En effet, le plus grand glacier de l'Antarctique de l'Est, le Totten, fond lentement à cause du réchauffement climatique. Le glacier de 120 km de long sur 30 km de large se trouve dans une zone de l'Antarctique qui était considérée comme épargnée par le réchauffement climatique.

Depuis le début de l'année 2015, cinq pays ou territoires ont déjà enregistré des records de température. Ils étaient seulement deux en 2014, selon Weather Underground.


Source © Margaret Oheneba / le nouvel obs


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Source uicn
vendredi 9 janvier 2015
Sept-Îles a connu une des journées les plus froides de son histoire jeudi. En matinée, le mercure a chuté à - 37,2 °C entre 7h et 8h, fracassant le record vieux de 55 ans de - 31,7 °C ressentis pour un 8 janvier. En additionnant le facteur vent, c'est sous les 44 degrés que les Septiliens sont sortis de leur chaumière.

La Côte-Nord a durement été frappée par la vague de froid intense qui s'abat sur le Québec depuis le début de la semaine. Les bas degrés ont d'ailleurs eu raison de la distribution résidentielle du courrier à Sept-Îles. «Autour de - 40, on recommande à nos facteurs de ne pas sortir, c'est une question de santé-sécurité», a fait savoir la superviseure de Postes Canada, Nancy Gendron.

«Ça peut arriver une à deux fois par année qu'il n'y a pas de livraison à cause du froid, c'est très rare parce que souvent, ça se réchauffe dans la journée», a-t-elle ajouté. 

Mais pas hier, même si l'avertissement de froid extrême a été levé vers 15h, le mercure indiquait toujours - 36 °C avec le facteur vent en fin de journée à Sept-Îles.

Une réduction énergétique était aussi planifiée chez Aluminerie Alouette pour la pointe de consommation du début de soirée. C'est la troisième demande en trois jours que l'aluminerie reçoit d'Hydro-Québec pour retirer 150 mégawatts de sa puissance, en continu, pendant trois heures. Un effort comme celui-là équivaut à l'alimentation électrique de 15 résidences pendant une année.

Les Fermontois ne sont pas non plus en reste depuis mercredi alors que la froidure a atteint un sommet historique avec - 45,7 °C au mercure (- 55 °C avec le facteur éolien!), du jamais-vu depuis 1965. Ce froid sibérien a d'ailleurs entraîné la fermeture des écoles de Fermont, mercredi et hier, en avant-midi.

«Ce sont des températures exceptionnelles», a confirmé André Cantin d'Environnement Canada. «Ce n'est pas quelque chose que l'on voit souvent, mais des vagues de froid de 4,5 ou 6 jours, ce n'est pas inhabituel pour le Québec», a-t-il ajouté. Sur la Côte-Nord, les températures doivent revenir plus près des normales de saison aujourd'hui et redevenir très froides samedi, jusqu'au milieu de la semaine prochaine.

La marque de 1968 pas égalée à Québec

Pas de record du côté de Québec, alors que la température la plus froide enregistrée jeudi matin était de - 30,1 °C, soit - 43 °C avec le refroidissement éolien. Le record de froid pour un 8 janvier se situe à - 31,7 °C, établi en 1968. Selon Environnement Canada, la journée d'aujourd'hui devrait se rapprocher notablement des moyennes saisonnières, avec un maximum attendu de - 10 °C. Il ne faut toutefois pas se réjouir trop vite, le froid sera de retour demain, alors qu'Environnement Canada prévoit une journée ensoleillée et un maximum de - 16 °C.  Camille B. Vincent

Source © la presse 


mardi 6 janvier 2015
2014 aura bien été l'année la plus chaude observée en France depuis 1900, a confirmé Météo-France, une année record aussi pour la Grande-Bretagne, la Belgique, l'Espagne et l'Allemagne.

La température moyenne annuelle sur l'Hexagone (13,8°C) a dépassé de 1,2°C la normale (mesurée sur la période 1981-2010), observe l'organisme national. L'année 2014 aura ainsi été plus chaude encore que 2011 (+1,1°C) et 2003 (+1,0°C). 

"L'année écoulée est également une année record chez nos voisins européens comme la Grande-Bretagne, la Belgique, l'Espagne et l'Allemagne où la température moyenne annuelle a dépassé la normale de 1,4°C", ajoute Météo-France dans son "bilan climatique définitif 2014", confirmant des prévisions publiées mi-novembre et mi-décembre. 

Ces records s'inscrivent dans une tendance au réchauffement très nette, les 15 années les plus chaudes observées en France depuis le début du XXe siècle l'ayant toutes été au cours des 25 dernières années, selon la même source.

Source © AFP



jeudi 27 novembre 2014
2014 est en passe de décrocher le record de l’année la plus chaude depuis 1880. 

Selon l’Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA), la température du globe est depuis le début de l’année au-dessus de la moyenne de celle du XXe siècle. Et les glaciers norvégiens le confirment, 33 sur 38 ont montré un fort rétrécissement. Celui de Grafjell a opéré un retrait de 120 mètres depuis l’an 2000.

“Le rétrécissement auquel nous assistons depuis 10 ans est dramatique quand on imagine la chose sur une perspective encore plus longue”, explique Jostein Bakke, Professeur à l’Université de Bergen.

Depuis l’an 2000, les années dites normales ou fraîches sont beaucoup moins fréquentes que les périodes chaudes. La vague de froid qui frappe le nord-est des Etats-Unis ne serait qu’une exception, selon l’Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA), les Etats-Unis ne représentant que 2 % de la surface de la planète.

Selon la même agence, la température élevée à la surface des océans est a l’origine d’un mois d’octobre chaud, signe d’un dérèglement. Au Maroc, les pluies torrentielles et les oueds en furie ont fait plus de trente morts ces derniers jours.

En Europe, notamment dans le nord de l’Italie, les multiples épisodes orageux tres violents ont aussi été meurtriers. Les experts attribuent ces phénomènes à la température anormalement élevée de la mer Méditerranée.

“Tout la pollution que nous avons projetée dans l’atmosphère au cours des dernières décennies nous condamne à voir la température monter d’un degré et demi dans les 50 prochaines années. Et il y a très peu de choses à faire pour lutter contre ça donc nous devons être en mesure de nous adapter à ces changements”, dit Rachel Kyte de la Banque mondiale et envoyée spéciale pour le changement climatique.

Il faut se préparer à de fortes sécheresses, comme celle qui sévit dans l‘État de Sao Paulo, au Brésil. Selon les experts, elle est la conséquence de la déforestation de l’Amazonie qui entraîne une réduction des pluies. Les fortes intempéries en Asie-Pacifique, la température élevée des océans, et la sécheresse en Californie font partie du même déséquilibre mondial.

Source © 2014 euronews



lundi 3 novembre 2014
La météo a atteint des sommets en ce mois d'octobre 2014. Dans le sud de la France, les températures sont de 8°C à 12°C supérieurs aux normales de saison.

Des records de températures ont été observés dans plusieurs villes françaises en cette journée du 31 octobre.

Ce mois d'octobre 2014 s'inscrit parmi les quatre mois d'octobre les plus chauds depuis ces 100 dernières années, avec un excédent de température de 2,5°C.

Même en prenant en compte les fortes pluies autour de la Méditerranée la première quinzaine d'octobre, il y a eu un excédent d'ensoleillement de plus de 20%.

Ce temps exceptionnel touche à sa fin. A partir de lundi, les habitudes climatiques de la saison vont revenir. Des précipitations sont en perspectives autour de la Méditerranée.

Source © Francetv info








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