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lundi 6 janvier 2014
Il a été acheté dimanche, lors de la première criée de l'année sur le marché aux poissons de Tsukiji, à Tokyo.

Un thon rouge de 230 kilos a été vendu dimanche à Tokyo 7,36 millions de yens (environ 51 000 euros), lors de la première criée de l'année sur le marché aux poissons de Tsukiji, le plus grand du monde. Ce prix est toutefois bien loin du record établi en 2013, souligne La Tribune, lorsqu'un spécimen de 222 kilos avait trouvé preneur pour 155,4 millions de yens (1,09 millions d'euros) !

Sur ce marché, c'est la première fois depuis cinq ans que l'enchère tombe sous les 10 millions de yens. Une baisse des prix principalement due à une offre plus importante de thons rouges pêchés au nord du Japon.

Source © Atlantico

...HIHIHI...HAHAHA....
Quelque 150 vols ont été affectés par un épais brouillard enveloppant la capitale indienne depuis tard dimanche soir, a rapporté lundi un haut gradé de l'aviation. 

"Au total, 150 vols domestiques et internationaux ont été affectés. Alors qu'une grande quantité de vols en direction de l'Aéroport international Indira Gandhi ont été déroutés vers d'autres villes, les autres ont été reportés, tandis que la visibilité sur la piste d'atterrissage était réduite à moins de 50 mètres en raison de l'épais brouillard", selon l'officiel. 

Le brouillard s'est installé à l'aéroport dimanche vers 21h30 et est resté jusqu'à 03h30 ce matin, a-t-il ajouté. Entre-temps, environ 40 trains en direction de la capitale nationale ont pris du retard et 10 autres en direction d'autres régions du nord de l'Inde ont été reportés en raison du brouillard, a fait savoir un responsable de la société Indian Railways. 

Le Service météorologique indien a prévu que le ciel se dégagerait plus tard dans la journée. Le brouillard est monnaie courante dans le nord de l'Inde en décembre et janvier, les mois hivernaux.

Source : © Chine information
Un groupe de 39 baleines a trouvé la mort sur une plage de Nouvelle-Zélande où elles se sont échouées volontairement, ont indiqué lundi des responsables de l'environnement.

Ces baleines, appelées aussi globicéphales, sont coutumières de ce genre d'échouage volontaire dont les scientifiques ne s'expliquent pas clairement les raisons. Elles avaient été repérées au moment de leur approche vers la plage de Golden Bay dans le sud du pays, mais les «rangers néo-zélandais n'ont pas été en mesure de les empêcher de s'échouer».

Douze de ces baleines sont mortes naturellement et les autres ont été abattues faute de pouvoir être remises à l'eau, selon le responsable des services de l'environnement de Golden Bay, John Mason.

PAS DE LIENS DE PARENTÉ

En mars dernier, une étude dirigée par le biologiste français Marc Orémus de l'université d'Auckland en Nouvelle-Zélande, publiée dans la revue Journal of Heredity, avait conclu que la parenté entre baleines était hors de cause dans ces échouages de masse.

Les scientifiques ont recensé l'ADN de 490 baleines-pilotes lors de douze épisodes d'échouage en Australie et en Nouvelle-Zélande. Ils attestent que la plupart des baleines échouées ensemble n'ont souvent aucun lien de parenté et que les baleineaux en particulier se trouvent très loin de leurs mères.

Scott Baker, de l'université américaine de l'Oregon, souligne qu'une autre hypothèse est envisagée. « Il pourrait s'agir de forces sociales à l'œuvre, mais elles ne reposeraient pas sur le lien de parenté comme nous le pensions jusqu'ici. Ce pourrait être une forme de concurrence entre différents groupes », avance-t-il. Les chercheurs évoquent des rivalités liées à la recherche de proies, à la reproduction et même des confrontations directes entre groupes.

DES CAUSES POTENTIELLEMENT LIÉES À L'ACTIVITÉ HUMAINE

Reste surtout, en l'état actuel des connaissances, l'explication environnementale : désorientation due aux pollutions sonores, réchauffement de l'eau, montée des océans, etc. En 2008 par exemple, l'échouage d'une centaine de dauphins d'Electre près de Madagascar a été expliqué par l'utilisation d'un sonar de cartographie à haute fréquence par la compagnie pétrolière ExxonMobil – qui avait rejeté ces conclusions d'un rapport d'experts. Ces sonars produisent des sons puissants qui auraient désorienté les cétacés.

En novembre, ce sont huit cétacés d'une espèce très rare, des baleines à bec de Longman, qui s'étaient échoués sur une plage de Nouvelle-Calédonie. Quatre sont décédés. Dotée d'un rostre long et fin, cette baleine, d'assez grande taille, vit habituellement au large dans des eaux de plus de 1 000 mètres de profondeur dans l'océan Indo-Pacifique, et n'avaient jamais été vues sur l'île.

Des habitants de la région se sont aussitôt interrogés sur un lien avec la rupture, survenue quelques jours auparavant, d'une canalisation d'évacuation vers la mer des déchets de la gigantesque usine chimique de traitement de nickel de Vale, située à proximité du lieu d'échouage.


Source © Le Monde
Un nouveau cyclone pluvieux est venu à l'Apennin, un avis de tempête a été déclaré dimanche dans plusieurs régions italiennes, y compris dans la région métropolitaine de la Lazio.

La région de Ligurie a subi l’impact de l’élément. Dans la région de Gênes, plusieurs dizaines de familles ont dû quitter leurs maisons à cause des inondations. 

Après les orages violents, quelque routes périphérique de Rome ont été inondées. Il y a des rapports sur des arbres tombés et des tunnels inondés. En Toscane et Lombardie, un avertissement du danger de glissements de terrain a été lancé.

La mer n'est pas calme. Le trafic maritime avec les îles de Capri et d’Ischia est perturbé dans la baie de Naples.
Une éclosion du virus de l'influenza H1N1 a fait six morts en Alberta et en Ontario au cours des dernières semaines. 

Jeudi, de longues files d'attente ont été constatées à un centre de vaccination qui était ouvert à Calgary.

Cinq personnes sont décédées en Alberta, dont deux à Edmonton et deux autres à Calgary, ont confirmé les autorités de la santé publique. La grippe y a fait 965 malades déclarés, parmi lesquels 270 ont dû être hospitalisés. 

À Toronto, un malade a succombé au virus H1N1, aussi appelé « grippe porcine ». Deux autres personnes infectées par le virus pourraient également en être mortes mais ces cas font toujours l'objet d'une enquête. 

Les autorités sanitaires de la métropole ontarienne ont signalé un pourcentage de cas déclarés de H1N1 plus élevé cette année. Ainsi, 36 % des 210 cas déclarés d'influenza étaient, en fait, des cas de grippe porcine. L'an dernier, on ne comptait que 3,0 % de cas de cette grippe à la même période.

La porte-parole du Bureau de santé publique de Toronto, Kris Scheuer, a indiqué qu'il était difficile de prédire quel type de grippe ferait le plus de ravage cette année. Elle a toutefois noté que l'an dernier, le nombre de cas d'influenza enregistrés pendant la saison grippale avait doublé. 

Et alors que les Albertains se précipitent vers les centres de vaccination dans plusieurs localités de la province, les autorités sanitaires de Toronto invitent les résidants de leur région à en faire de même. Le vaccin dispensé cette année contient une souche pour protéger les patients contre le virus H1N1. 

Le ministère albertain de la Santé avait annoncé l'ouverture de nombreux centres de vaccination à travers la province. De longues files d'attente étaient d'ailleurs signalées jeudi à un centre de vaccination ouvert à Calgary. 

Si le vaccin contre l'influenza est déjà offert dans la plupart des pharmacies et des cabinets de médecins, les enfants de moins de neuf ans ne peuvent être vaccinés en pharmacie. Les plus vulnérables à ce type de virus sont d'ailleurs les enfants de moins de cinq ans, selon une récente étude de chercheurs du Centre de contrôle des maladies de la Colombie-Britannique. 

Un haut fonctionnaire de la santé publique de l'Alberta, le docteur Gerry Predy, a expliqué que la plupart des cas de grippe s'étaient manifestés au cours des trois dernières semaines, ce qui n'est pas étonnant puisque la saison des Fêtes est propice à la transmission des virus. 

Il a ajouté que les autorités seraient particulièrement attentives lors de la prochaine rentrée scolaire. 

Environ 41% des Canadiens disent avoir reçu le vaccin contre la grippe l'an dernier, conclut un sondage de la firme Harris-Décima mené pour La Presse Canadienne. Cette année, 44 % disent l'avoir déjà reçu, tandis que 33 % affirment avoir l'intention de se faire vacciner.

Source: © Jeff McIntosh, La Presse Canadienne


...Pub...ben vi ...va ...c'est sain...


Une fois de plus, il a plus ce week-end, et une fois de plus, l’eau n’a pas eu le temps de se retirer que les ruisseaux, rivières et fleuves bretons sont à nouveau en crue. Toutefois la situation tend un peu à s’améliorer par rapport au début de la semaine dernière puisque les coefficients de marée tendent à diminuer et que la Vilaine amont et ses affluents sont enfin revenus à des niveaux à peu près normaux, comme la Loire en amont d’Ancenis d’ailleurs.

Toutefois la Bretagne n’est pas sortie de l’auberge. Aujourd’hui, il va en effet continuer de pleuvoir, beaucoup, surtout sur le Morbihan, l’Ille-et-Vilaine et la Loire-Atlantique qui recevront chacun près de 10 mm de pluie, le Finistère et les Côtes d’Armor connaissant une relative accalmie en ce début de semaine. Le cumul des pluies devrait voir les niveaux remonter dès cette nuit, puis tout au long de la journée. La décrue pourrait s’amorcer dès mardi dans le Finistère, dès mercredi dans le reste de la Bretagne sauf sur le tronçon aval de la Vilaine, de Beslé à la mer, où il faudra attendre un jour de plus. Le retour du beau temps attendu de mardi jusqu’à la fin de la semaine pourrait permettre aux eaux de s’évacuer pour de bon.

Morlaix, Quimperlé et Quimper en première ligne

Sont actuellement en vigilance orange la rivière de Morlaix, la Laïta, le Blavet, la Vilaine de Rennes jusqu’à la mer (aval et médiane)  et la Meu. L’Aulne, l’Odet et la Seiche sont en vigilance jaune. Morlaix devrait logiquement être à nouveau inondé lundi 6 janvier vers 10h, mais plus faiblement que les deux dernières fois, les débordements seraient contenus à la place des Otages. Du fait de coefficients de marée qui restent important (94), la Laïta pourrait à nouveau sortir de son lit à Quimperlé et l’Odet déborder à Quimper.

Situation tendue sur la Vilaine, moins en Loire

Dans le bassin versant de la Vilaine, l’Oust remonte à nouveau et devrait atteindre sa côte maximale dans l’après-midi du 6 janvier et dans la nuit de lundi à mardi  au confluent à Redon ; la Vilaine médiane atteindra son maximum dans la journée. Il y a moins d’eau qui y arrive, notamment parce qu’au-delà de Rennes, la Vilaine est revenue à des hauteurs plus raisonnables et que ses affluents l’Ille, la Valière et le Semnon, situé pour sa part sur la Vilaine entre Rennes et Redon (médiane), ont largement amorcé leur décrue. La situation est plus tendue en revanche pour la Vilaine de Redon à la mer (aval) vers laquelle convergent l’Oust déjà très gonflé, mais aussi la Chère, le Don et l’Isac (canal de Nantes à Brest) dont les bassins versants en Loire-Atlantique sont saturés.

Dans le bassin versant de la Loire, bien que l’Erdre et la Sèvre Nantaise soient aussi en crue, les hausses de niveaux devraient rester dans les normales saisonnières. Toutefois, au moment des ondes de marée, notamment lundi et mardi matin (coefficients de marée 94 puis 88), les surcotes devraient être encore significatives en Basse-Loire, où d’ores et déjà des kilomètres carrés de marais sont inondés, comme tous les hivers. De la même façon que les 1600 hectares du château d’eau naturel que constitue la zone humide de Notre-Dame des Landes entre les bassins versants de la Vilaine et du canal, menacée par un projet d’aéroport, ces marais évitent à de nombreuses localités du département d’être inondées des semaines entières tous les hivers.


Source © Breizh-info.com

La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud Belkacem, a annoncé vendredi que l'état de catastrophe naturelle serait «établi» après les inondations en Bretagne «dès que les conditions seront réunies»...


Les assureurs prennent les devants. Les personnes sinistrées après les inondations en Bretagne peuvent déclarer «tout de suite» leur sinistre.

«On peut déclarer tout de suite son sinistre à son assureur", a fait savoir le directeur de la fédération française des sociétés d'assurance (FFSA), Stéphane Penet, sur i-Télé, l'état de catastrophe naturelle étant, dans le cas présent, «une formalité administrative». 

«Les assureurs n'attendent pas une déclaration de catastrophe naturelle pour instruire les dossiers de sinistres parce qu'ils savent très bien que des villes comme Morlaix ou Quimperlé vont être déclarées en état de catastrophe naturelle», a-t-il ajouté. La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud Belkacem, a annoncé vendredi que l'état de catastrophe naturelle serait «établi» après les inondations en Bretagne «dès que les conditions seront réunies».

Assurance: «Etat de catastrophe naturelle», mode d'emploi

Tous les contrats d'assurances «prévoient une indemnisation»

Selon Stéphane Penet, tous les contrats d'assurances «prévoient une indemnisation en cas d'un dommage causé par un péril naturel» mais la garantie joue uniquement si «la commune où se trouve le bien endommagé est déclarée en état de catastrophe naturelle». En termes de réparation, «la loi dit que deux mois après la déclaration de catastrophe naturelle, l'assureur doit au moins donner une provision à la victime et l'indemniser dans les trois mois», a détaillé Stéphane Penet. Pour des petits sinistres, comme des nettoyages de cave, «cela peut aller beaucoup plus vite» et «prendre une, deux, trois semaines».



Après huit nouvelles annulations de vols dimanche matin à l'aéroport de Nice, la situation est revenue à la normale. Les fortes précipitations ont par ailleurs provoqué des éboulements et des effondrements sur le réseau de routes secondaires dans l'arrière-pays. 

Le trafic de l'aéroport de Nice était revenu à la normale dimanche matin, grâce à des conditions météorologiques plus favorables, tandis que des éboulements perturbaient la circulation dans l'arrière-pays. "La situation est désormais très bonne avec une météo qui s'est largement calmée", a indiqué à l'AFP le directeur de permanence de l'aéroport Marc Terraillon. Huit vols ont été annulés dimanche matin, car les avions n'avaient pas pu rejoindre l'aéroport la veille, mais "pas un de plus que ceux qui étaient prévus", a-t-il souligné. 

Les vols à l'arrivée et au départ de l'aéroport de Nice-Côte d'Azur ont été fortement perturbés samedi après-midi et soir en raison d'un manque de visibilité dû à des nuages au niveau de la mer. Ces nuages étaient accompagnés de fortes pluies. Au total, 48 vols ont été annulés depuis samedi et 10 déroutés vers d'autres aéroports, a précisé M. Terraillon. Tout les passagers bloqués à l'aéroport - environ 600 - "ont pu dormir à l'hôtel" et les passagers qui devaient s'envoler samedi soir pourront prendre un vol dimanche, a-t-il indiqué. 

Les fortes précipitations ont par ailleurs provoqué des éboulements et des effondrements sur le réseau de routes secondaires dans l'arrière-pays. Samedi dans la matinée un éboulement de 30 m3 s'est produit sur une route menant à la commune de montagne de Saint-Sauveur-sur-Tinée (Alpes-Maritimes). La route, qui conduit notamment aux stations de ski Isola 2000 et Auron, est ouverte en demi-chaussée durant la journée, mais sera fermée pour la nuit à partir de 17h30-18h. Plusieurs autres éboulements ou effondrements ont touché l'arrière-pays grassois (Alpes-Maritimes) mais aussi le Var, entraînant des mesures de circulations alternées et des fermetures de routes du réseau secondaire.
Le passage du cyclone Bejisa a causé de nombreux dégâts à La Réunion

Arrivé le matin pour constater les dégâts causés par le passage du cyclone Bejisa, le ministre des outre-mer, Victorin Lurel, a déclaré samedi 4 janvier à La Réunion que les conditions étaient « manifestement » remplies pour la déclaration de l'état de catastrophe naturelle, après le passage du cyclone sur l'île.

« On fera aussi bien que pour la Bretagne. Il y aura une égalité de traitement », a promis le ministre arrivé le matin même à Saint-Denis, appelant les mairies des communes touchées à « faire diligence » pour transmettre leurs demandes à la préfecture.

Le passage du cyclone à Saint-Gilles (La Réunion)

Dressant un bilan provisoire du cyclone, le préfet de l'île, Jean-Luc Marx, a indiqué qu'une personne âgée avait été retrouvée morte à l'extérieur de son domicile durant la nuit, sur la commune de Saint-Leu, sur la côte ouest. La personne décédée est une octogénaire qui vivait seule et qui a glissé et fait une chute dans son jardin après être sortie de son domicile, pendant l'alerte rouge. Elle a été victime d'un traumatisme crânien qui lui a été fatal, selon les premières constatations. 

Le bilan humain du cyclone s'élevait donc vendredi matin à "une personne décédée, 2 blessés graves et 14 blessés légers", selon le préfet. Ce dernier n'a pas confirmé, pas plus que la mairie, l'information de médias concernant une deuxième mort qui serait survenue sur les hauteurs de Saint-Leu.

Le préfet a par ailleurs demandé aux Réunionnais de ne circuler qu'en "cas d'impérieuse nécessité", précisant que la vitesse des véhicules serait limitée à 50 km/h, en raison de la "liste impressionnante" des routes coupées ou encombrées de troncs d'arbre déracinés et de débris.


Des renforts d'une centaine de militaires des formations de la Sécurité civile (Formisc), sont mis à la disposition du préfet de la Réunion par le ministre de l'Intérieur

Environ 18'000 personnes ont dû quitter leurs foyers en Indonésie occidentale après de fortes crues de deux rivières qui ont inondé des milliers de maisons, a déclaré un responsable lundi.

Plus de 4500 maisons et 500 magasins de la ville côtière de Tebing Tinggi, sur l'île de Sumatra, ont été inondés depuis samedi, où les rivières Padang et Bahilang ont débordé après plusieurs jours de pluies torrentielles, selon le porte-parole de l'Agence nationale de gestion des catastrophes, Sutopo Purwo Nugroho.

«La niveau d'eau à l'intérieur des habitations a atteint un mètre», a déclaré le responsable, ajoutant que l'eau devrait encore monter. Quelques 17'648 personnes ont trouvé refuge dans des tentes fournies par le gouvernement ou chez des voisins, a-t-il dit, soulignant qu'il n'y avait pas de victimes.

L'Indonésie est frappée chaque année par des inondations meurtrières au cours de la saison des pluies, qui dure environ six mois. Les écologistes accusent l'exploitation forestière et l'absence de reboisement des terres déforestées d'aggraver les inondations dans ce quatrième pays le plus peuplé du monde.

Source: afp/Newsnet
Le volcan Sinabung en Indonésie a explosé à plus de 60 reprises ces derniers jours, obligeant les habitants de la région à fuir les coulées de lave et autres projections volcaniques.

Le vice-ministre de la Santé, Eduardo Espinoza, a souligné au cours d'une conférence de presse à San Salvador le danger constitué par l'inhalation de dioxyde de carbone ou de dioxyde de soufre. 

"Le dioxyde de carbone est incolore et inodore, les gens ne peuvent pas le percevoir, et si de grandes quantités en sont produites et restent sur place, les gens peuvent mourir bêtement", a déclaré le vice-ministre. Quant au dioxyde de soufre, "il peut causer des brûlures lorsqu'on en respire", a dit M. Espinoza.

En éruption depuis plusieurs mois, un volcan de l'ouest de l'Indonésie a provoqué au total l'évacuation de plus de 20.000 habitants en raison de gerbes de lave. 

Le volcan Sinabung, situé dans le nord de l'île de Sumatra, et entré en éruption à la mi-septembre, a rejeté des flots de lave jusqu'à 4.000 mètres d'altitude, a indiqué un porte-parole de l'agence chargée de la prévention des catastrophes naturelles. Endormi depuis près d'un siècle, le volcan s'était déjà réveillé en août dernier et en septembre 2010.

L'Indonésie, située sur la "ceinture de feu" du Pacifique, est le pays comptant le plus de volcans en activité au monde (129). Le Merapi, sur l'île centrale de Java, avait provoqué la mort de 350 personnes fin 2010.



Des chercheurs de l'EPFL étudiant une zone humide située près d'une mine désaffectée d'uranium dans le Limousin (France) ont pu montrer que l'uranium présent dans ce type de milieux pouvait être beaucoup plus mobile que prévu.

Connus pour absorber les polluants, les marais artificiels sont considérés comme un outil efficace pour contenir l'uranium hydrique. Or, des scientifiques étudiant une zone humide naturelle contaminée près d'un ancien site minier du Limousin (France) ont découvert que l'uranium pouvait s'écouler dans les eaux environnantes dans certaines circonstances.

Une récente publication dans Nature Communications explique comment cet élément radioactif est capable de s'échapper d'un terrain humide sur de minuscules composés métalliques et organiques, et ce grâce à un coup de pouce des bactéries du milieu environnant. Cette étude réalisée en collaboration avec le HZDR en Allemagne et Areva en France a été mise en avant par un communiqué de presse du journal.

La mobilité de l'uranium stocké dans les marais fortement sous-estimée

L'uranium est présent sous 2 formes dans la nature: l'U-4 et l'U-6, les chiffres indiquant combien de liaisons chimiques l'atome est capable de former. « Jusqu'ici, les scientifiques pensaient que l'U-4 se comportait comme un minéral statique, l'U-6 étant considéré comme la seule et unique forme soluble existante », explique la professeure Rizlan Bernier-Latmani, responsable de l'étude. Les chercheurs ont désormais prouvé que cette distinction n'était pas si claire en repérant une forme non soluble mais mobile d'U-4.

Des processus bactériens ou chimiques des milieux humides transforment l'U-6, la forme soluble d'uranium, en U-4. « Ce phénomène était censé être bénéfique pour l'environnement, car on supposait que le contaminant était emprisonné et maintenu loin de l'eau », poursuit la chercheuse.

Les chercheurs ont désormais prouvé que l'uranium retenu pouvait être bien plus mobile que prévu. L'analyse d'un ruisseau du Limousin traversant une zone humide près d'un site contaminé a démontré que l'uranium pouvait s'échapper hors dudit milieu, puis dans le cours d'eau. Les concentrations que l'on y mesure ne sont donc pas uniquement dues, comme on le pensait, aux gravats extraits de l'ancienne mine.

Pour que l'uranium puisse être remobilisé afin de quitter un milieu humide, un certain nombre de conditions spécifiques doit toutefois être remplies, explique Rizlan Bernier- Latmani. « Nous avons découvert que l'uranium ne pouvait s'échapper, s'il était présent sous sa forme U-4 mobile, que combiné à de grandes quantités de matière organique, à du fer, et à relativement peu de sulfites, » précise-t-elle.

Selon le premier auteur de l'étude Yuheng Wang, tout concordait parfaitement sur le terrain français inondé étudié par son équipe. L'uranium y a été observé dans une couche argileuse sous la forme de minuscules agrégats d'U-4 mobile, aux côtés de fer en quantité suffisante. Toute la zone humide était en outre riche en bactéries et en microparticules organiques particulières, comparables à de petites ficelles.

La remobilisation de l'uranium en elle-même est un procédé complexe. La bactérie utilise tout d'abord le fer comme énergie et le transforme pour qu'il s'associe aisément avec ces particules spéciales présentes en zone humide. Lorsque le fer s'accroche à ces particules, comme des perles sur une ficelle, il est libre de migrer dans le terrain jusqu'à rencontrer des agrégats d' U-4. L'uranium peut alors se fixer sur ces « billes » de fer et fuir hors du terrain inondé jusque dans l'eau.

La mobilité de l'uranium, que l'on pensait cantonné en terrain inondé, pourrait en effet être fortement sous-estimée. L'étude suggère toutefois une nouvelle stratégie susceptible de contenir la contamination des zones humides : "si les bactéries reçoivent assez de sulfates, elles libèrent en effet des sulfites qui emprisonnent le fer et diminuent sa concentration, stoppant de manière efficace la chaîne d'événements avant que l'uranium ne fuie."

L'archevêque de Naples, le cardinal Crescenzio Sepe, et les évêques des régions du sud de l'Italie où la mafia locale a enfoui des tonnes de déchets hautement toxiques ont supplié les autorités de prendre des mesures urgentes pour mettre fin à cette situation, qu'ils considèrent comme un «véritable drame humanitaire».

«Agissez rapidement. Nous appelons les autorités à intervenir et à faire preuve de décision afin de mettre fin à l'augmentation de l'angoisse, des craintes et des maladies», ont écrit les prélats dans une lettre ouverte au président Giorgio Napolitano, envoyée vendredi et publiée samedi sur les sites internet des médias italiens.

La mafia locale, la Camorra, a brûlé et enfoui illégalement depuis des décennies des millions de tonnes de déchets dans les zones rurales de la Campanie, mais l'ampleur du problème n'a été révélée que récemment, suscitant l'indignation de la population qui exige des mesures du gouvernement.

L'enfouissement des déchets, notamment industriels, a empoisonné la terre et les nappes phréatiques et entraîné une hausse importante du nombre de cancers.

«Même si les quelques mesures déjà prises étaient nécessaires et importantes, on discute encore de quelle autre mesure devant être prise», déplorent  les prélats.

En décembre, le gouvernement du premier ministre Enrico Letta a adopté un décret déclarant que brûler les déchets est illégal. Mais selon des associations, il faut encore identifier et purifier les sources d'eau et les terres empoisonnées dans les régions de Naples et de Caserte, et à cet égard, l'action des pouvoirs publics est insuffisante.

Dénonçant un «véritable drame humanitaire», les signataires demandent des  opérations de nettoyage, des contrôles médicaux et la mise sous séquestre des terrains pollués.

«Trop de personnes payent le prix de l'arrogance, de l'incivilité, de l'avidité et de la stupidité de criminels, qui sans se soucier même de leurs propres enfants, n'ont pas hésité à vendre leurs terres à des gens aussi malhonnêtes qu'eux, l'empoisonnant avec des déchets hautement toxiques et dangereux», s'indignent les prélats.

Selon l'association de protection de l'environnement Legambiente, 10 millions de tonnes de déchets industriels ont été brûlées ou enfouies entre 1991 et 2013 dans cette zone, baptisée «triangle de la mort».

Selon l'institut national d'oncologie Pascale, le nombre de tumeurs a augmenté de 40% chez les femmes de la région, de 47% chez les hommes. De nombreux enfants sont morts, comme on peut le constater dans les cimetières locaux.

Source: © AFP




Près de 150 personnes ont été victimes d'une intoxication, à Bouihi dans la wilaya de Tlemcen, après avoir consommé l'eau du robinet, selon des sources médicales.

Les victimes ont été évacuées en urgence vers l'hôpital de la ville, où elles présentaient toutes les mêmes symptômes, à savoir diarrhées et vomissements en raison de la pollution de l'eau du robinet qui serait à l'origine de cette intoxication, selon les mêmes sources.

Source © M. C.
A l’origine, les filets avaient été descendus dans le lit de la Tamise, au Royaume-Uni, afin de capturer une espèce invasive de crabes. 

Mais quand ils ont vu que les prises étaient essentiellement constituées d’objets en plastique, les chercheurs britanniques les ont étudiées de près. Et ont découvert qu’une rivière de déchets – dont un cinquième viennent des toilettes – circule dans les profondeurs de la Tamise, avant d’aller se jeter dans la mer du Nord.

En trois mois, les chercheurs du Royal Holloway (l’un des sept collèges de l’université de Londres) et du Muséum d’histoire naturelle ont remonté à la surface 8 490 gobelets, tampons et paquets de cigarettes. Les plus gros objets, dont les sachets plastique, ont échappé aux mailles des filets, empêchant de connaître l’étendue exacte de cette pollution sous-marine, invisible aux promeneurs. 

Ces déchets submergés poursuivent leur route jusqu’à l’estuaire puis la mer, ballottés au gré des marées et progressivement réduits en petits fragments. Ces derniers, qui contiennent des produits chimiques potentiellement toxiques, représentent un vrai danger pour la faune sauvage (oiseaux et poissons) qui peut les avaler.
Plus de 130 voitures d'occasion en provenance du Japon se sont vu refuser l'accès à la Russie l'an dernier, l'agence de surveillance des consommateurs Rospotrebnadzor demeure préoccupé par l'accident de Fukushima.

Un contrôle strict de toutes les marchandises en provenance du Japon, continuera en 2014 a déclaré Rospotrebnadzor sur son site Internet.

" En 2013 ,la Russie a interdit l'acces de 165 lots de marchandises, principalement des voitures (132), et des pièces de rechange (33), indique le communiqué .

Les livraisons de poissons en provenance du Japon ainsi que tous ceux qui sont pris dans l'océan Pacifique sont également surveillés de très près, a indiqué l'agence .

«Une attention particulière est accordée sur cette question dans l'Extrême-Orient Russe, où le contrôle de la radioactivité des poissons entrants est strictement mis en œuvre, y compris le contrôle de toute la chaîne de distribution ", a déclaré Rospotrebnadzor .

L'alimentation par du poisson japonais en Russie est actuellement autorisée avec une déclaration spéciale qui confirme leur non radioactivité et à la seule condition qu'ils soient conformes aux normes de sécurité établies par l' Union douanière Russe , ainsi que ceux de la Biélorussie et du Kazakhstan .

Aujourd'hui ces vérifications n'ont révélé jusqu'ici aucun poisson ni autres produits alimentaires qui " ne répondent pas à la réglementation sanitaire sur les indicateurs de rayonnement », a déclaré l'agence .


© Nature Alerte

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