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vendredi 9 décembre 2011
le 08 Décembre 2011 à DURBAN en AFRIQUE DU SUD -


Abigail Borah, une jeune étudiante américaine de 21 ans originaire de Middlebury College et membre de la délégation des jeunes sur le climat, est intervenue dans la salle plénière au moment où l'émissaire américain Todd Stern était invité à prendre la parole devant l'assemblé des ministres en pleine négociation sur le climat de Durban.
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A l'adresse des ministres réunis en réunion plénière elle a pu adresser ce message et signaler sa colère...

De la part de DemocracyNow!

«Je parle au nom des États-Unis d'Amérique parce que nos négociateurs ne le font pas. Les obstructionnistes du Congrès ont enchaîné notre justice et retarde les ambitions planétaires pour 2020 depuis déjà trop longtemps.

J'ai peur pour mon avenir. Il est aujourd'hui trop tard pour attendre.

Il nous faut ouvrir la voie à un traité juste, ambitieux et juridiquement contraignant.

Nous avons besoin de dirigeants qui s'engagent dans un véritable changement, et non plus de leur rhétoriques vides.

Tenez vos promesses. gardez notre espérance vivante ».


...BRAVO....

jeudi 24 novembre 2011
Après l'invention imaginaire du personnage de BD "Iceman", voici le très réel et bien plus ancien "glaçon de la mort" appelé en anglais "Brinicle", un phénomène de l'arctique sous-marin qui laisse de glace et dont la formation a été filmé en direct pour la première fois par une équipe de la BBC.

Leurs cameras sous-marines ont enregistré pour la première fois la formation de ces étranges colonnes sous-marines de saumure glacée, déjà constatées et connues depuis longtemps dans la région, mais dont la vitesse de formation était jusqu'ici totalement inconnues.

Ces colonnes appelées "Brinicle" se forment sous la banquise, lorsque la glace de surface lors de sa formation, en chasse le sel qui perturbe sa congélation. Dés lors une concentration d'eau extrêmement salée , et ainsi beaucoup plus lourde, se met à sombrer en plongeant vers les fonds marins dans une colonne d'eau, qu'une gaine de glace protège et dirige vers le fond.

La température de ces colonnes de saumure qui s'enfoncent vers les fonds marins sont bien en dessous de 0° C, et dés que ces "Brinicles" touchent le fond, c'est tout la région de l'impact qui se retrouve totalement congelée avec elle, comme dans un vrai film de science fiction, à vitesse beaucoup plus réduite tout de même, puisque dans ce film , il a fallu entre cinq et six heures à cette colonne pour atteindre le fond et congeler toute les étoiles de mer qui s'y trouvaient.

Je vous laisse admirer la formation de cette étrange phénomène, qui de même nous laisse de glace car béa d'admiration: Quand la réalité dépasse la fiction, on a vraiment envie d’applaudir cette nature qui tout les jours nous étonne et nous fait dés lors revivre, les plus forts et superbes... "oh" ...de notre enfance...Bravo à toute l'équipe de la BBC...



Brinicle : le doigt glacé de la mort [BBC Nature] par Spi0n
mardi 8 novembre 2011
Au nord du Chili, se trouve le désert d’Atacama, le plus aride du monde. Pourtant, certaines années, celui-ci se couvre de fleurs comme c'est le cas aujourd'hui, offrant ainsi un incroyable spectacle.

Cette année, le désert d’Atacama, au nord du Chili, s’est couvert d’un tapis de fleurs exceptionnel. D’abord blanches puis jaunes, bleues, rouges et oranges, une multitude de fleurs couvre à perte de vue le sable.

Partout, celles-ci émergent, envahissent les cactus et s'accrochent à la roche.

Mais ce "désert fleuri", méconnu, reste mystérieux pour les scientifiques. (??? ndrl N/A)

"On ignore tout par exemple du rôle des transferts entre les eaux de brume côtière et le désert, des phénomènes de ruissellement qui en découlent, au moins aussi importants que les précipitations directes",explique à l'AFP Carla Louit, directrice du parc national créé en 1994. On sait toutefois qu'El Niño, le phénomène climatique balayant les côtes Pacifique de l'Amérique du Sud tous les 6 ou 7 ans, apporte les pluies nécessaires à la germination des bulbes et rhizomes, qui peuvent rester des décennies en "latence". (???)

"C'est une année exceptionnelle, il a plu plus de 50 millimètres. Les fleurs commencent à pousser à partir de 15 mm par an, mais cette année toutes les espèces sont sorties", indique la directrice. Une bonne pluviométrie ne suffit pourtant pas, précise Sciences et Avenir. Il faut également que les pluies surviennent à intervalles réguliers, qu’elles soient ni trop fortes ni trop éparses et que les gelées de l’hiver austral ne viennent pas perturber la germination. (???)

Des fleurs rares victimes des visiteurs

Si toutes ces conditions sont réunies, le désert fleuri peut alors perdurer de septembre à décembre.

"La dernière fois qu'il y a eu autant de fleurs, c'était en 1989. Depuis il y a eu des déserts fleuris, mais jamais comme celui-là", s'émerveille le père Lucio, curé d'un village voisin et botaniste amateur. "

Nous avons plus de 200 espèces de fleurs endémiques, qui ne poussent nulle part ailleurs au monde, dont 14 en danger d'extinction", précise Yohan, un garde du parc, qui déplore les pratiques de certains visiteurs. "Des gens les arrachent pour les emmener chez eux pensant qu'elles vont pousser, évidemment elles ne poussent jamais. Et quand on arrache un bulbe, il est perdu pour le désert".

Par exemple, l'emblématique Griffe du Lion (Leontochir Ovallei) est très rare. Il s’agit d’une grosse fleur rouge évoquant le rhododendron, et qui marque l'apogée du "désert fleuri". "Elle est la dernière à fleurir car ses bulbes sont enterrés très profond, et il faut qu'il tombe beaucoup d'eau avant qu'elle commence à sortir", explique le père Lucio. "Elle est "monotypique", c'est la seule représentante de son espèce sur terre. Vous vous rendez compte ?" dit-il.

"Il existe peu d'études intégrales sur le désert fleuri, juste des études ponctuelles sur certains de ses éléments", explique Carla Louit. "Il n'y a pas de fonds pour étudier un phénomène aussi sporadique". Pourtant, seules des données scientifiques permettrait de mettre en place un plan de conservation efficace.

Source Maxiscience


Ca vous étonne ... mais enfin...rappelez vous c'est ici...Et oui qui dit eau... dit vie...un véritable mirage qui n'a pas de quoi se mettre la tête à l'envers...si...hein?...ah les chameaux....


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jeudi 20 octobre 2011
La capitale bolivienne La Paz a accueilli triomphalement mercredi quelque 2.000 indiens amazoniens qui ont parcouru 600 kilomètres à pied en deux mois pour protester contre un projet de route traversant un parc naturel.

Les marcheurs seront reçus dès jeudi par le président Evo Morales, qui s'est résolu à les appeler au dialogue mardi soir après avoir refusé d'aller à leur rencontre ces dernières semaines.

"Nous verrons demain (jeudi) si le président Morales" est prêt à répondre à nos exigences, a annoncé Fernando Vargas, un des leaders de la marche, dans une allocution pleine de détermination clôturant le parcours.

Au terme d'un périple entamé le 15 août à Trinidad (nord-est), les marcheurs ont été accueillis mercredi par des dizaines de milliers de personnes massées le long des rues escarpées de la capitale.

Les nombreux badauds et représentants de la société civiles et d'ONG ont accompagné le cortège avec des chants et des slogans, tout en brandissant des drapeaux tricolores boliviens et des banderoles blanches ornées du "patuju", une fleur amazonienne qui figure parmi les symboles nationaux du pays andin.

"Pourvu que cet accueil (de la population) serve de message" aux autorités, a exhorté M. Vargas.

Dans l'après-midi, les marcheurs ont atteint leur but, la place Murillo, où est situé le palais Quemado, siège de l'exécutif, avant de rejoindre la place de l'Eglise San Francisco, située à quelques centaines de mètres, pour y assister à une messe.

Ceux qu'on appelle "indigènes" en Bolivie exigent l'annulation pure et simple d'un projet contesté de route de 300 kilomètres reliant deux provinces enclavées et qui doit couper sur 177 kilomètres le parc naturel amazonien du Tipnis.

Ils ont adressé au gouvernement une liste de doléances en 16 points demandant la préservation de leur habitat et la réaffirmation de leur droit à vivre dans un milieu naturel préservé.

"Nous sommes venus dire (au gouvernement) que nous ne nous démobiliserons pas tant que le dernier des 16 points de notre plateforme ne sera pas satisfait". Quand à la route, "elle peut être construite, mais en dehors du Tipnis", a encore déclaré M. Vargas.

Le 25 septembre, les marcheurs avaient été victimes d'une tentative de dispersion musclée par la police ayant fait 74 blessés selon un bilan officiel.

Cet incident avait provoqué une vague d'indignation, une grève générale, et plusieurs démissions au sommet de l'Etat, dont celles de deux ministres.

Face à la pression des marcheurs et de l'opinion, le président socialiste avait suspendu le projet début octobre et promis une consultation dans les provinces concernées, mais il avait aussi suggéré que son résultat n'aurait pas valeur contraignante.

Au delà des dégradations provoquées par les travaux, les indiens craignent l'arrivée de planteurs de coca, voire d'entreprises d'exploitation d'hydrocarbures, qui selon eux convoitent certains terrains du Tipnis, parc naturel d'un million d'hectares et territoire ancestral de 50.000 indiens.

"Tipnis si! Coca No!", scandaient en cœur les soutiens du cortège mercredi à La Paz.

Evo Morales, premier président amérindien (aymara) élu en 2005 et réélu en 2009, traverse une phase délicate en se voyant contesté par une partie de sa base indienne et de son électorat d'origine modeste fragilisé par la situation économique.

"La terre-mère, les zones protégées et les indigènes ne peuvent être détruits sous un gouvernement indigène", a insisté M. Vargas, tout en appelant la population à rester vigilante face à l'attitude du gouvernement pendant les négociations à venir.

Source: AFP



vendredi 30 septembre 2011
Wangari Maathai rêvait "qu'en replantant des millions d'arbres, on oriente l'Afrique vers la paix"

La Kényane Wangari Maathai, première femme africaine à avoir reçu le prix Nobel de la paix pour son engagement en faveur de l'environnement, est morte, dimanche 25 septembre, des suites d'un cancer.

Le Mouvement de la ceinture verte (Green Belt Movement), qu'elle avait fondé en 1977, a annoncé ce lundi sa mort sur son site Internet: "C'est avec une immense tristesse que la famille du Pr Wangari Maathai annonce son décès, survenu le 25 septembre 2011 après un long et courageux combat contre le cancer."

Auteure de nombreux ouvrages, cette biologiste et vétérinaire de formation était âgée de 71 ans. Elle était une figure du combat écologiste dans son pays dès les années 1970. En 2004, lorsqu'elle s'est vu décerner le prix Nobel, le jury avait alors motivé son choix en louant son "approche holistique du développement durable, qui englobe la démocratie, les droits humains et en particulier ceux de la femme".


DES ARBRES POUR LA BIODIVERSITÉ ET LE DROIT DES FEMMES

Le Green Belt Movement œuvre, grâce à des projets de plantations d'arbres en Afrique, à promouvoir la biodiversité tout en créant des emplois pour les femmes et en valorisant leur image dans la société. Depuis sa création, il y a bientôt quinze ans, l'organisation a permis de planter près de 40 millions d'arbres sur le continent.

Dans son autobiographie publiée en 2006, Unbowed: A Memoir ("Insoumise : Mémoires", Celle qui plante des arbres, éditions EHO), Wangari Maathai racontait comment, sous l'effet du changement climatique notamment, l'environnement s'était dégradé dans sa région du mont Kenya. "A l'époque de ma naissance, les paysages autour d'Ihithe (Centre) étaient riches, verts et fertiles, (...) les saisons étaient si régulières", raconte-t-elle. "Aujourd'hui, le climat et l'environnement ont changé" et sont devenus "imprévisibles".

Au-delà de son pays natal, Wangari Maathai avait étendu son combat pour l'environnement à toute l'Afrique. Ces dernières années, la militante s'était investie dans la sauvegarde de la forêt du bassin du Congo, en Afrique centrale, deuxième massif forestier tropical au monde.

CARRIÈRE POLITIQUE

Wangari Maathai a été la première lauréate d'un doctorat en Afrique centrale et de l'Est. Elle a dirigé la Croix-Rouge kényane dans les années 1970, s'impliquant surtout dans le combat contre le régime autoritaire du président de l'époque, Daniel Arap Moi.

Plusieurs fois blessée par les forces de sécurité lors de manifestations, elle a connu à plusieurs reprises la prison.

Après l'avènement du multipartisme et l'élection de Mwai Kibaki, en 2002, Wangari Maathaï devient secrétaire d'Etat à l'environnement entre 2003 et 2005. Elle sera vite déçue de cette expérience et, quand le Kenya se retrouve au bord du chaos dans la foulée de la réélection contestée de Kibaki en 2007, elle accuse ce dernier d'avoir "échoué à protéger ses citoyens et leurs biens". Ce qui lui vaudra, dira-t-elle, des menaces de mort.

Certaines de ses déclarations controversées sur le sida en 2003 – sur lesquelles elle est revenue – avaient cependant suscité des réserves à son égard, notamment de Washington.

Mme Maathai a été mariée un temps à un politicien, qui a divorcé d'elle, la laissant avec trois enfants – Waweru, Wanjira et Muta – et une petite-fille, Ruth Wangari. Son ex-mari lui reprochait d'être "trop instruite, trop forte, trop brillante, trop têtue et trop difficile à contrôler".

Source: © Le monde




...Et en hommage à cette grande dame, je souhaite vous faire partager cette magnifique histoire de Jean Giono, écrite en 1953 et racontée par la sublime voix de Philippe Noiret...

L'auteur d'un d'homme qui plantait des arbres était il visionnaire?

...j'en doute, car en vrai,...

c'est "l'histoire d'une femme qui plantait des arbres"


lundi 26 septembre 2011

Lors du mouvement citoyen du 24 septembre à Montréal...le message était clair.

Petit Clin d'oeil de soutien à tous, nos amis du Québec, qui viennent nombreux sur ce blog... tenez bon, nous sommes avec vous...


dimanche 11 septembre 2011
Un bateau de 20 mètres de long, entièrement confectionné avec du papier, par l'artiste Marten Winters et 3.000 bénévoles, a navigué sans couler dimanche après-midi, sur un cours d'eau de la ville de Leeuwarden, aux Pays-Bas.

Des milliers de spectateurs s'étaient massés autour de l'embarcation pour voir si elle allait résister à l'épreuve de l'eau.

L'embarcation, qui mesure quatre mètres de large et quatre mètres de haut, possède une coque réalisée avec du papier-maché. Durant la construction, le bateau était entreposé dans l'ancienne prison de la ville de Leeuwarden, dans la province de Frise.

Le navire a été extrait par une grue, puis transporté par un camion jusqu'à sa destination, avant d'être envoyé à l'eau par quatre hommes forts.

Source :
belga

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lundi 5 septembre 2011
Dans le cadre d'une demande de soutien au blog Nature Alerte qui prépare pour vous une future compilation musicale de groupes différents sur le thème... "Nature Alerte"... le groupe Oscar Nip nous a fait parvenir son dernier clip en date

"Le clash".

Ce titre sera présent dans leur prochain album "l'homme vertical" disponible dès fin Octobre 2011. En attendant vous pouvez les rejoindre pour les soutenir sur leur page facebook ici ou sur leur site ici

Je tiens à remercier tous les membres du groupe Oscar Nip, pour leurs soutiens et leur participation.

Ce clip est fort... et "Oui", il va falloir briser le silence.


Cette future compilation "Nature Alerte" est ouverte à tous les candidats musiciens ou groupes (toutes tendances confondues) qui désirent soutenir cette action en me contactant ici.

Elle est appelée soutenir notre action mais aussi à faire connaitre de nouveaux talents en les aidants à se faire mieux connaitre... Aujourd'hui 5 mois après son début notre blog frôle les 300 000 visites (avec plus au moins 2 000 pages vues/jour)...merci à vous tous...

Mais cette compilation est surtout appelée à sensibiliser le plus large public possible aux nombreux défits qui nous attendent : L'urgence à mieux mesurer la situation écologique catastrophique actuelle de la planète et de la nécessaire mise en œuvre d'une action où les mots "tous ensemble" dépasseraient tous les clivages pour enfin changer rapidement de comportement vis à vis de notre meilleur compagnon, la terre.

Si vous voulez vous aussi nous soutenir, vous pouvez toujours faire un don ou acheter les livres que nous avons sélectionnés pour vous avec nos partenaires en cliquant sur les images dans la colonne de droite "Les livres du mois".

Sinon, vous pouvez toujours nous soutenir en faisant circuler le plus possible notre lien sur vos facebooks et vos blogs ...

...Et maintenant place à Oscar Nip...


vendredi 26 août 2011
La 15ème édition de la nuit européenne de la chauve-souris se déroule ce week-end: une occasion unique de mieux connaître ces petits mammifères volants, lors de conférences ou de sorties découvertes aux quatre coins de la France.

Effrayants pour beaucoup, ces animaux sont pourtant indispensables au bon fonctionnement des écosystèmes. En Europe, il existe environ un millier d'espèces de chauve-souris, dotées de caractéristiques hors normes, dont le fameux "sonar" à ultrasons qui permet aux animaux volants de se diriger dans la nuit.

Pour découvrir le programme de ces nuits européennes de la chauve-souris, il vous suffit de cliquer sur le lien ci dessous, puis de choisir la région où vous vous trouvez. Si vous résidez à l'étranger en Europe, sachez que l'événement se déroule dans 30 pays, de l'Irlande à l'Ukraine. Tous les événements sont gratuits, alors n'hésitez pas à sortir à la découverte de cet animal hors normes.

Le programme c'est ici

ça c'est bat man!!!




L'alpiniste autrichienne Gerlinde Kaltenbrunner devient la première femme à gravir les 14 plus hauts sommets de la planète sans oxygène.

Elle rejoint ainsi les dix hommes à avoir accomplis le même exploit avant elle.

Gerlinde Kaltenbrunner, aujourd'hui âgée de 40 ans, a commencé l'escalade quand elle n'avait que 13 ans. À 23 ans, elle a grimpé le Broad Peak au Pakistan, son premier sommet qui domine à 8.000 mètres.

Le K2 était le dernier qui lui resté à gravir sur sa liste et il était aussi l'un des plus redoutables.
Elle était accompagnée par les alpinistes kazakhs Maxout Zoumaïev et Vassili Pivtsov et le polonais Darius Zaluski.

Gerlinde Kaltenbrunner a atteint le sommet à 18 h 18 le 23 Aout 2011 sous un ciel bleu et avec une vue magnifique.

Bravo


..Ici en vidéo son ascension de l'Everest en 2010



samedi 20 août 2011
Affiche officielle de la manifestation
du 20 août 2011 contre Belo Monte


Belo Monte : tous devant la Grande Arche de la Défense samedi 20 août de 15 h 00 à 18 h 00 pour sauver le "poumon vert" de la Terre

Organisée dans le cadre des journées mondiales d'action contre le barrage de Belo Monte et soutenue par France Libertés, Movimento Xingú Vivo Para Siempre (Brésil) et l'ONG américaine Amazon Watch, une manifestation se tiendra le samedi 20 août 2011 de 15h à 18h devant les marches de la Grande Arche de la Défense (côté Paris). Soyez nombreux à venir demander l'abandon définitif du projet Belo Monte, la suspension de tout autre projet de barrage en Amazonie allant à l'encontre du respect des droits des peuples autochtones et de la biodiversité et la recherche d'une alternative énergétique non destructrice pour l'environnement.

Le poumon de la Terre a son cancer : Belo Monte. Ce barrage, qui s'attaque directement à un bastion symbolique, le cœur inviolé de la partie brésilienne de la forêt Amazonienne, va entraîner dans son sillage mort et destruction. Il nous incombe à tous d'enrayer cette tumeur avant qu'elle ne se propage en métastases incurables, afin que nos enfants et ceux qui viendront après ne nous maudissent pas pour une passivité qui aura fait de nous les complices d'un crime contre (la) nature. N'oublions pas que l'air que nous respirons est la base de toute vie.

Les populations autochtones d'Amazonie, farouches opposants à ce projet et garants de la préservation de la forêt et de sa merveilleuse biodiversité, précieuse pour l'humanité entière, comptent sur votre présence à cette manifestation. Le Brésil ne pourra plus continuer à les ignorer si nous sommes nombreux de par le monde à affirmer notre soutien au combat qu'ils mènent pour nous tous.

Merci de confirmer votre présence à la manifestation en envoyant un email à contact@raoni.fr ce qui nous permettra de vous informer des éventuels changements de dernière minute. Un nombre important de confirmations facilitera la médiatisation de l'événement.

N'hésitez pas à diffuser cette page et l'affiche qui l'accompagne.

Source : raoni.fr



jeudi 11 août 2011

Cliquez pour agrandir ou voir en bas d'article
Une nouvelle carte pour aider à sauver les récifs coralliens dans le monde et faire l'état des lieux

Certains coraux (taches vertes) sont situés dans des endroits du monde où les conditions climatiques sont susceptibles de leur permettre de survivre au réchauffement climatique, alors que d'autres (points rouges) sont eux en voie critique d'extinction dans des zones sujettes à des changements climatiques beaucoup moins favorables à leurs survies.

Une nouvelle carte publiée aujourd'hui, met clairement en évidence les récifs qui peuvent encore être sauvés de ceux qui sont susceptibles de s’éteindre.

L'équipe de scientifiques qui ont créé cette carte espèrent ainsi que les données qu'ils ont recueillis auprès de 370 chercheurs et 96 administrateurs de zones coralliennes aideront les gestionnaires des récifs à mieux cibler leurs efforts de conservation.

A l'heure actuelle, environ 19% des récifs coralliens dans le monde ont déjà disparu et 15 % sont en voie d'extinction dans les quinze prochaines années.

Plus de 100 millions de personnes dans le monde en dépendent directement pour leur alimentation, les récifs coralliens étant toujours très poissonneux. Mais ils sont aussi un rempart réputé contre la houle, et si ils venaient à disparaitre, ces vagues pourraient être fatales à certaines iles isolées.

Pour aider les gestionnaires de récifs à mieux concentrer leurs efforts, l'écologiste et spécialiste spatial Joseph Maina de l'Université Macquarie de Sydney, en Australie, et ses collègues ont effectué une évaluation globale des zones les plus vulnérables au blanchiment des coraux. Les données recueillies par leurs recherche ont permis de mettre en évidence les zones où l'eau de mer a tendance à se réchauffer ce qui cause la mort prématurée des récifs corallien très sensibles aux variations de température. Dans cette étude tout les facteurs de ce réchauffement ont été pris en compte et mesurés, courants, hauteurs de vagues, vents, rayonnements ultra violet, variations de température, mais aussi les courants d'eau douces des rivières et des fleuves et leurs apport en polluant (engrais, etc..),ainsi que l'invasion croissante des algues et même jusqu'à l'érosion des sols.

Toutes ces données une fois compilées en formules mathématiques ont permis de dresser cette carte. Elle permet de mieux évaluer l'état mondial des récifs coralliens dans le monde.

On y constate par exemple que l'ile de la réunion, dans le pacifique, qui a récemment fortement intensifié sa politique de protection de ses récifs, a gagné l'espoir le plus susceptible de réussite à sauver son récif corallien dans le monde. Sur une échelle de stress allant de 0 à 1, elle est notée d'un 0,13 qui est plutôt un bon signe. Les efforts risquent de payer.

En revanche de l'autre coté du monde dans l'ile de Lombock, qui reste tout de même le meilleur score de l’Indonésie, son score de 0,74 est très inquiétant. Il est grand temps là-bas de prendre des mesures radicales de sauvetage des récifs côtiers.


En Floride le Key Largo fait un score impressionnant de 0,25 en climatique, mais la surpêche et les eaux de ruissellement ont endommagé ses récifs, son niveau de stress total est en fait de 0,85 . Voilà un candidat idéal pour le renforcement urgent de la protection écologique, sourit joseph Maina .

D'autres récifs sont parfaitement sains, dans des endroits comme Bonaire au large du Venezuela, ou les îles d'Hawaï. Cette étude devrait inciter les dirigeants à poursuivre leurs efforts, dit-il.

Mais l'étude a donné aussi des résultats beaucoup plus surprenants. Sur les îles britanniques de Chagos par exemple, qui se situe au beau milieu de la plus grande réserve marine au monde,dans le centre de l'océan Indien, un niveau élevé de stress climatique de 0,80 y est enregistré. Ou encore dans les îles Phoenix dans le Pacifique , dont les récifs sont protégés, qui score un 0,87 de stress climatique, et à sa proximité l'atoll le plus étudié au monde, un 0,83, là c'est carrément pas bon.

L'atoll de Takapoto en Polynésie française a marqué un bien meilleur de 0,66, mais il reste en grand danger.

C'est en Asie du Sud que ça se gâte vraiment. Les conditions climatiques sont si mauvaises que la plupart des coraux meurent et disparaissent beaucoup plus rapidement que les autres récifs stressés dans le monde, et malheureusement la région abrite le fameux Triangle de corail, qui abrite plus de 500 des 700 espèces du monde corallien. Cette biodiversité remarquable avait déjà conduit à créer l'initiative pour le Triangle de Corail en 2009, dans laquelle les Etats-Unis, la Banque asiatique du développement, et d'autres partenaires y ont promis plus de 400 millions de $ sur 5 ans pour protéger les récifs de la surpêche et de la pollution. Rien n'y fait la région reste très vulnérable aux changements climatiques.


"Il y a beaucoup de récifs dans le monde que nous pouvons encore sauver, mais ils ne reçoivent qu'une infime partie des montants alloués à la sauvegarde des récifs coralliens", explique le co-auteur Tim McClanahan de la Wildlife Conservation Society à Mombasa, au Kenya.

"Beaucoup d'argent est gaspillé sur des récifs qui ont malheureusement un triste avenir", dit-il.

"Nous devons concentrer nos efforts sur les gagnants, pas sur les perdants", ajoute McClanahan.

"Ces récifs sont dans le Pacifique, le sud de l'Afrique orientale, le Sri Lanka, et le nord de la mer Rouge. Ils sont tous peu protégés et nous pouvons faire beaucoup mieux"

Les données de variation de température entre 1982 et 2009 sur les récifs coralliens de cette étude, est un très bon indicateur des tendances futures. C'est une contribution précieuse qui va nous aider à identifier les endroits qui souffrent le moins aux changements climatiques et ainsi pouvoir lancer des programme d'aide à la conservation mieux répartie" explique Alan Friedlander, un biologiste marin à l'Université de Hawaï, Manoa, qui étudie les récifs.

D'autres sont plus sceptiques, tel John Bruno, un écologiste marin à l'Université de Caroline du Nord, pour lui rien ne peut prédir le blanchiment des coraux, il en veut pour preuve

"«Ceux des Bahamas ont blanchi en 1998 mais pas en 2003, tandis qu'aux îles Vierges ils ont blanchi en 2010 mais pas avant, et cela uniquement dans le région des Caraïbes." ...Alors?

Source: Science Mag trad N/A




...perdants ou gagnants, pourquoi ne pas tenter de tous les sauver?...cela reste la grande question...non?...







jeudi 4 août 2011
Les citoyens belges sont appelés à compter les papillons qu'ils pourront apercevoir ce week-end dans leur jardin. L'action

"Devine, qui papillonne au jardin ? " est menée par l'association de protection de la nature Natagora depuis cinq ans.

"Avec leurs exigences écologiques variées, les papillons sont de précieux indicateurs de la qualité de notre environnement. Il est donc très utile de recueillir des informations les concernant", précise le communiqué de Natagora diffusé jeudi.

Lors de l'édition 2010, 35.000 papillons appartenant à plus de 50 espèces ont été renseignés par les 1.800 participants. Néanmoins, 51% des 115 espèces de papillons de jour recensées au total en Wallonie sont menacées de disparition. 18 ont déjà disparu et 41 sont menacées à des degrés divers.

"La destruction de leur habitat, l'isolement des populations restantes et les pressions intensives exercées par nos activités humaines en sont les principales causes", souligne l'association.

Plus d'informations sur www.papillonsaujardin.be. Le public pourra y encoder ses observations et trouver une description ainsi que les photos des principales espèces de papillons présents dans les jardins wallons.

Source @ belga



Papillons par proscopia
vendredi 3 juin 2011
(...plein écran et...)

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