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Des paléontologues Chinois ont découvert un fossile remarquable: celui d'un dinosaure assis sur un nid plein d'œufs, certains avec des embryons encore à l'intérieur de leurs coquilles.
Le fossile en question est celui d'un oviraptorosaure ou oviraptoridé, un groupe de dinosaures nommé ainsi en raison de leurs supposées habitudes de voleur d'œufs.
Lorsqu'ils ont été décrits pour la première fois au début du 20e siècle, les restes squelettiques des oviraptoridés étaient généralement retrouvés à côté de nids d'œufs, faisant supposer aux paléontologues l'impression initiale que les dinosaures se nourrissaient de nids.
Ce qui rend cette découverte si extraordinaire, c'est que les œufs contiennent encore des embryons à l'intérieur. Découvert dans la province du Jiangxi, dans le sud de la Chine, le fossile remonte à la fin du Crétacé, il y a environ 70 millions d’années. Il consiste en un squelette incomplet d'un grand oviraptoridé adulte accroupi dans une posture couveuse sur une couvée de 24 œufs. Au moins sept de ces œufs contiennent des squelettes partiels d'embryons non éclos à l'intérieur.
Compte tenu du stade tardif de développement de ces embryons et de la proximité étroite de l'oviraptoridé par rapport aux œufs, l'équipe a supposé que le dinosaure était probablement mort en incubant son nid. Dans le fossile que nous avons découvert,les bébés étaient presque prêts à éclore. «Bien que quelques oviraptoridés adultes aient déjà été trouvés sur des nids d'œufs, aucun embryon n'a jamais été trouvé à l'intérieur d'œufs», a expliqué le co-auteur, le Dr Matthew Lamanna, du Carnegie Museum of Natural History.
«,Lamanna et ses collaborateurs de l'Académie chinoise des sciences (CAS) et de l'Université de Pennsylvanie ont également déterminé les températures de nidification en analysant les signatures d'oxygène dans les os embryonnaires. Leurs découvertes ont montré que les œufs étaient incubés à des températures élevées, semblables à celles des oiseaux, d’environ 36 à 38 °C, confirmant ainsi leur hypothèse de la découverte d'un dinosaures nidifiant.
Fait intéressant, les auteurs ont également constaté que les embryons étaient bien développés, mais que certains semblaient plus matures que d'autres et auraient probablement éclos plus tôt dans de meilleures circonstances. C'est ce qu'on appelle l'éclosion asynchrone, un phénomène également observé chez les oiseaux actuels.
Ce fossile fournit également des indices sur le régime alimentaire potentiel des oviraptoridés. Pour la première fois, des chercheurs ont découvert des pseudos «calculs gastriques» ou gastrolithes dans la région abdominale du spécimen. Ces roches auraient été délibérément avalées par le dinosaure pour faciliter sa digestion.
«C’est extraordinaire de penser à la quantité d’informations biologiques capturées dans un seul fossile. Nous allons encore apprendre beaucoup de ce spécimen pendant de nombreuses années à venir », a conclu l'auteur, le Dr Xu Xing, du CAS.
© Nature Alerte
Hier Berlin a été survolé par un nuage Mammatus, phénomène rare
Ces nuages présentent des protubérances arrondies à leurs bases, ressemblant à des mamelles, d'où leur nom: mammas ou mammatus.
Leur couleur est normalement bleu-gris comme le nuage lui-même mais ils peuvent prendre des tons or ou rougeâtres lorsque le soleil couchant les illumine. Ils sont le plus souvent associés à des orages mais peuvent également se voir sous des nuages non violents comme les altostratus
Ils se forment lorsqu'une partie instable d'un nuage dérive au-dessus d'une couche d'air très sèche. Les gouttelettes ou cristaux de glace du nuage s'évaporent en descendant dans la couche sèche ce qui la refroidit en enlevant de l'énergie pour l'évaporation. Comme la descente des gouttelettes n'est pas uniforme, l'humidification de la couche sous-jacente sera inégale et des zones seront donc plus sèches que d'autres. De plus, la température de la couche sèche ne sera pas uniforme à cause de l'évaporation différentielle.
Ceci créera une alternance de zones de mouvements convectifs ascendants et subsidents. Les deux effets combinés donneront à la base de la couche nuageuse l'aspect en mamelon
Le pélican Bigbird a perdu la trace de sa volée un jour de tempête. Devenu soudain orphelin, la vie de cet oiseau était désormais fortement compromise. Les pélicans vivent en effet en communauté et chassent en groupe. Seul, il doit tout réapprendre. Les responsables d'un safari tanzanien ont décidé d'adopter ce solitaire pour lui enseigner les habitudes nécessaires à sa survie.
Recueilli par Jeffrey Condon, le pélican semble se comporter comme un réel animal de compagnie, multipliant les marques d'affection pour son "maître". Une complicité aussi tendre qu'inédite entre l'animal sauvage et l'homme à découvrir sur la séquence ci-dessus.
Source © GOPRO
L'Ile-de-France accueille une nouvelle plateforme de traitement des sols pollués. Une installation qui contribuera à accueillir les millions de mètres cube de terres pollués qui seront générés par les travaux du Grand Paris.
Le site d'Extract Ecoterres, filiale de Vinci Construction, est situé à Bruyères-sur-Oise (Val d’Oise). D'une superficie de trois hectares, il est capable de valoriser jusqu’à 230 000 tonnes de matériaux par an – 300 000 tonnes en 2017- et jusqu’à 2 500 tonnes par jour. Grâce à quatre procédés de traitement – ressuyage dynamique, lavage physico-chimique, bioremédiation et tri mécanique par criblage – la plateforme permet de traiter une grande variété de pollutions (mercure, hydrocarbure, cadmium, etc.) et de valoriser jusqu’à 80 % des volumes traités, selon les caractéristiques physiques et chimiques des matériaux entrants.
Le site de Bruyères-sur-Oise bénéficie également d'un accès fluvial permettant le recours aux péniches pour l'évacuation des terres.
Source © Environnement Magazine
La faille s’étend sur près de 700 mètres de long sur 50 mètres de large.
L'élevage coûte plus d'1 euro par luciole
Heureux sont les visiteurs, qui peuvent ainsi admirer ces petits points illuminés habituellement invisibles en ville. Le journal britannique Daily Mail explique comment l'endroit féérique, qui abrite environ 10 000 lucioles, a été aménagé : «Il est divisé en 5 zones séparées : une zone de vol, une zone d'observation, une zone dans laquelle il est possible d'être au plus près des insectes, une zone où ceux-ci se nourrissent et une zone d'explication scientifique.»
A noter que mettre à l'honneur ces insectes fascinants et les élever a un coût : environ 10 yuan par insecte, soit un peu plus d'1 euro.
Source © Le Parisien
Dans leur déclaration commune historique, les dirigeants des 10 compagnies actuellement membres de l'OGCI (Oil and Gas Climate Initiative) – BG Group, BP, Eni, Pemex, Reliance Industries, Repsol, Saudi Aramco, Shell, Statoil et Total –reconnaissent l'ambition générale de contenir le réchauffement climatique à 2°C, tout en admettant qu'en matière d'émissions nettes de gaz à effet de serre (GES), la tendance mondiale actuelle n'est pas compatible avec cet objectif.
Les compagnies membres de l'OGCI ont pris des actions significatives en faveur de la réduction de leur empreinte carbone en diminuant d'environ 20 % au cours des 10 dernières années les émissions de GES de l'ensemble de leurs opérations.
"Notre ambition commune est un futur à 2°C. C'est un défi pour l'ensemble de la société. Nous sommes prêts à jouer notre rôle. Au cours des prochaines années, nous renforcerons nos actions et nos investissements visant à réduire l'intensité en carbone du mix énergétique mondial. Nos compagnies sont prêtes à collaborer dans un certain nombre de domaines afin d'obtenir davantage que la somme de leurs efforts individuels" ont déclaré les 10 CEO.
(Helge Lund, BG Group ; Bob Dudley, BP ; Claudio Descalzi, Eni ; Emilio Lozoya, Pemex ; Mukesh Ambani, Reliance Industries ; Josu Jon Imaz, Repsol ; Ben van Beurden, Royal Dutch Shell ; Amin Nasser, Saudi Aramco ; Eldar Sætre, Statoil ; et Patrick Pouyanné, Total.)
L'OGCI a également publié ce jour son rapport commun, intitulé « More energy, lower emissions » (Plus d'énergie, moins d'émissions), qui détaille les mesures concrètes prises par les compagnies membres pour améliorer la gestion de leurs émissions de GES et travailler à la réduction des impacts du changement climatique sur le long terme. Parmi ces mesures figurent des investissements significatifs dans le gaz naturel, le captage et le stockage de CO2 (CSC) et les énergies renouvelables, ainsi que dans la R&D afin de réduire les émissions de GES.
La déclaration et le rapport communs définissent des domaines clés où la collaboration des compagnies membres de l'OGCI sera particulièrement concentrée :
Efficacité : optimiser l'efficacité de leurs opérations ; améliorer l'efficacité énergétique de leurs carburants et autres produits finaux ; travailler avec les constructeurs automobiles et les consommateurs à l'amélioration de l'efficacité énergétique des véhicules.
Gaz naturel : contribuer à la croissance de la part du gaz naturel dans le mix énergétique ; garantir que le gaz naturel fourni rejette moins d'émissions sur l'ensemble du cycle de vie que les autres carburants fossiles ; éliminer le torchage de routine et réduire les émissions de méthane de leurs opérations.
Solutions à long terme : investir dans la R&D et l'innovation pour réduire les émissions de GES ; prendre part à des partenariats pour faire avancer le déploiement du CSC ; contribuer à l'augmentation de la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique mondial.
Accès à l'énergie : développer des projets visant à donner accès à l'énergie à davantage d'individus en partenariat avec les autorités régionales et nationales ainsi qu'avec d'autres parties prenantes.
Partenariats et initiatives plurilatérales : identifier des opportunités pour accélérer la mise en œuvre de solutions visant à lutter contre le changement climatique en travaillant seul ou à plusieurs, en collaboration avec les entreprises du secteur et d'autres organisations.
Climat 2°C : "La tendance mondiale actuelle n'est pas compatible"
** L'OGCI est une initiative volontaire des dirigeants des compagnies pétrolières et gazières, basée sur le partage de bonnes pratiques et la collaboration, qui vise à déployer des actions pratiques pour lutter contre le changement climatique. L'OGCI a été créée à la suite d'échanges lors de la rencontre annuelle du forum économique mondial en janvier 2014 et a été officiellement lancée lors du sommet de l'ONU sur le climat en septembre 2014.
C'est une étude qui risque de faire du bruit, à deux mois de la COP21.
Selon la Global e-sustainability Initiative (GeSI), Internet pollue autant que les avions. En effet, à en croire le rapport, le Web générerait 2 % des émissions de CO2 mondiales... soit la même quantité que le trafic aérien.
Regarder des vidéos sur Internet, tchater, partager des photos sur les réseaux sociaux..., autant de comportements qui inquiètent les ONG comme Greenpeace. "Si vous ajoutez l'électricité consommée par les centres de données ainsi que les réseaux nécessaires pour connecter tous nos appareils, cela représenterait le sixième pays qui consomme le plus au monde", alarme Gary Cook, analyste des technologies de l'information à Greenpeace, dans les colonnes du Time.
Si à l'échelle de l'individu l'empreinte carbone reste assez faible, au niveau mondial le chiffre monte rapidement. Ainsi, si Facebook jure que chacun de ses utilisateurs ne représente que 263 g de dioxyde de carbone par an, soit "moins qu'un café latte (340 g)", le chiffre grimpe très vite si on prend en compte les 1,69 milliard d'utilisateurs. "Plus les gens sont connectés et utilisent du digital, plus les centres de données hébergeant les serveurs doivent pouvoir répondre à la demande et donc s'agrandir", explique Sud-Ouest. Alors que ces derniers utilisent de plus en plus d'énergie, ils essayent dans le même temps de garder leurs serveurs à une température raisonnable.
L'engagement des géants du Web
Alors pour limiter son empreinte carbone, Facebook a trouvé la solution : le réseau social a installé son centre de données en Suède, à Lulea, près du cercle arctique, afin de refroidir ses serveurs naturellement. La méthode est plutôt efficace, rapporte le quotidien local : Facebook assure que son empreinte carbone était de 285 000 tonnes d'équivalent CO2 en 2012, soit cinq fois moins que celle de Google la même année.
Mais les efforts de ces géants du Web ne doivent pas s'arrêter là. Le secteur s'est engagé à ne pas augmenter son empreinte carbone d'ici 15 ans. Malgré cet engagement, Gary Cook reste sceptique : "Si vous observez l'évolution croissante de la demande des centres de données du monde digital, vous verrez que l'efficacité énergétique réduira la courbe des émissions de CO2. Mais cette même courbe continuera quand même à monter jusqu'à la lune."
Source © Le Point
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Le statut légal qui fait de l'écran un bien d'équipement salutaire ne peut être remis en question sans le consentement formel de son utilisateur...il devient donc évident que l’être restera assigné à résidence, surveillée...yeahp !!!
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Les autorités ont répondu à des appels de résidents qui ont rapporté des dommages à leurs maisons dans les villes de Chrzanow, Libiaz et Zarki.
Aucun blessé a été signalé
Dans le village Zarki, deux familles ont été évacuées.
Les autorités affirment qu'un effondrement dans une mine de Libiaz a probablement causé ce tremblement de terre insolite.
© Nature Alerte
Le lac a disparu du jour au lendemain, il est désormais totalement asséché.
La compagnie Pacific Gas and Electric Company, qui détient les droits d'exploitation du lac, pour vendre de l'énergie hydroélectrique aux zones voisines, affirme être aussi surpris que tout le monde ."Nous avons travaillé dur pour éviter cette situation mais la réalité est que nous sommes dans une période de sécheresse très grave, nous avons également des préoccupations pour la survie des poissons en aval", a noté son porte-parole PG & E, Paul Moreno.
les responsables de PG & E affirment que personne n'a ouvert les vannes de retenue du barrage et que l'eau a tout simplement disparu en une nuit.
" Tous les réservoirs d'eau de la région sont tous à des niveaux bien inférieur à la normale», a déclaré Doug Carlson «Nous sommes dépendants des précipitations pour reapprisionner ces lacs, et la secheresse est désormais devenue une veritable catastrophe"
© Nature Alerte
La découverte a été faite dans le bassin du Tarim, dans la province chinoise du Xinjiang (nord-ouest), rapporte la chaîne Discovery.
Pendant des travaux de recherche sur le réchauffement climatique dans cette région, les scientifiques se sont aperçus que d'importantes quantités de dioxyde de carbone y disparaissaient sans aucune raison apparente.
En fait, le bassin du Tarim est un énorme "puits de carbone", une zone qui contribue à limiter le réchauffement climatique. D'habitude, ce sont des forêts ou des océans qui aspirent le carbone. En mesurant des échantillons de dioxyde de carbone dans différents emplacements du désert, les chercheurs sont parvenus à estimer la quantité d'eau infiltrée dans le bassin.
« C'est une quantité d'eau terrifiante », déclarait le professeur Li Yan, qui conduit l'étude, au South China Morning Post. « Personne n'avait jamais imaginé qu'il puisse y en avoir autant sous le sable. Nous allons devoir revoir notre définition du désert ». Il se peut également qu'il y ait d'autres océans souterrains dans le monde, estime le professeur. En effet, il y aurait 1.000 milliards de tonnes de carbone "manquantes" sur la planète.
Source © Sputnik. Andrei Maximov
De nombreux bâtiments agricoles ont été touchés.
Arbres arrachés, toitures endommagées, le coup de vent, accompagné de pluies, n'a duré qu'une quinzaine de minutes mais a créé des dégâts importants. Des bâtiments agricoles ont été touchés ainsi qu'une cuve qui n'a pas résisté à la violence des rafales.
Les pompiers de 6 casernes ont dû tronçonner de nombreux arbres pendant que les techniciens d'EDF travaillaient à réinstaller les lignes électriques. Plusieurs familles ont dû quitter leurs logements pour passer la nuit à l'abri dans l'attente des réparations des toitures qui ont démarré dès hier soir.
On pensait jusqu'à présent que les manuscrits du Titanic datant d'il y a 103 ans étaient les plus anciens au monde. Le plus vieux manuscrit provenant d’une bouteille jetée à la mer a été récupéré par une femme sur une plage au nord de l’Allemagne. Marianne Winklern, une retraitée allemande, était en vacances sur l’île d’Amrun lorsqu’elle a découvert la mystérieuse bouteille comme le rapporte le journal local AmrumNews. Elle était émerveillée car la bouteille datait de 108 ans et contenait une note scientifique avec des instructions très précises.
La note était signée du zoologiste et biologiste marin britannique George Parker (1863-1963), célèbre au début du XXème siècle pour ses nombreuses recherches biologiques en mer du Nord.
La Marine Biological Association of United Kingdom (MBA), basée à Plymouth en Angleterre avait conçu au début du siècle plus de 1 ,000 bouteilles flottantes destinées à étudier les courants marins en mer du Nord. Les bouteilles étaient jetées au large des côtes britanniques avec des instructions précises. Ces consignes étaient traduites en anglais, allemand et néerlandais et demandaient aux personnes récupérant la bouteille de bien vouloir la renvoyer à Plymouth en contrepartie d’un shilling.
Marianne Winkerl s’est empressée de renvoyer la bouteille à l’association et Guy Baker, directeur de la communication de la Marine Biological Association (toujours basée à Plymouth) n’en revenait pas et a pris soin d’offrir un shilling à la touriste allemande comme prévu par le règlement de l'époque. L’association de biologie marine dispose évidemment de moyens perfectionnés aujourd’hui pour étudier les courants marins mais cela reste une découverte majeure car la bouteille avait commencé son périple en mer du nord en 1906 et c'est à ce jour le plus ancien manuscrit découvert provenant d’une bouteille à la mer.
Source © Atlantico
Des millions d'araignées ont laissé des mètres carrés de toile ces dernières heures, après avoir envahi la ville de Lezama, au sud de Buenos Aires (Argentine). Les badauds sont venus observer le phénomène, qui serait dû à la surélévation d'un cours d'eau qui coule à proximité.
"La bave du diable"
Le phénomène, connu sur place sous le nom de "Las babas del diablo" ("La bave du diable") est une accumulation des toiles d'araignée portées par le vent sur les arbres, arbustes, poteaux, panneaux de signalisation, ou toute autre surface. L'invasion des arachnides s'explique par l'augmentation du débit de la rivière après de fortes inondations qui ont frappé la région ces derniers jours. La rivière en crue pousse les araignées vers des terrains immergés. Elles créent davantage de toile pour se protéger de la pluie.
La municipalité de Lezama, qui a évalué la situation, affirme que les araignées sont inoffensives.
Source © Reuters
Au total, 96 millions de balles en plastique ont été bennées sur le site de Van Norman, à Sylmar. D’autres réservoires devraient suivre.
Pourquoi ces balles en polyéthylène sont-elles noires et pas blanches? Selon la mairie, la couleur sombre «permet de mieux bloquer les rayons ultraviolets» et de minimiser l'invasion d'algues.
Une goutte d’eau contre la sécheresse
De la taille d'une pomme, les balles sont fabriquées dans la région et coûtent 36 cents pièce. Au total, la note se monte donc à 34.5 millions de dollars. Selon la ville, c’est 250 millions de moins que les solutions alternatives considérées comme celle d'un toit gigantesque de 800x800 mètres. A terme, Los Angeles mise sur la construction d'un nouveau réservoir couvert. Les balles ont une durée de vie de 10 ans et seront retirées le moment venu pour être recyclées.
Si les images sont spectaculaires, la mesure reste symbolique. Elle devrait permettre d’économiser 300 millions de gallons (plus d’un milliard de litres) par an. Il s’agit d’une goutte d’eau (moins de 0,5 % de l’eau consommée par Los Angeles chaque année). Mais face à la sécheresse du siècle, les petits ruisseaux font les grandes rivières.
Un avion de la compagnie Delta Airlines a dû atterrir d'urgence à l'aéroport de Denver vendredi. L'appareil a été pris dans une tempête de grêle. Les grêlons, "de la taille d'une balle de baseball" selon les témoins, ont endommagé le pare-brise et le nez de l'avion. Les photos sont impressionnantes.
L'avion s'est posé sans incident et les passagers ont pu rejoindre leur destination en prenant un autre vol. Une seule personne a été transportée à l'hôpital, à sa propre demande, selon le porte-parole de l'aéroport de Denver.
L'un des passagers de l'avion a partagé une photo de l'avion abîmé en notant: "Delta devrait donner un sacré bonus au pilote qui nous a sauvé les fesses." Il a ajouté qu'il était "heureux d'être en vie".
Les conversations des pilotes avec les contrôleurs de l'aéroport indiquent que la visibilité avait été compromise lors de l'atterrissage selon ABC. L'incident aurait pu être dramatique.
Source © 7/7
3,8 millions de litres d'eaux usées contenant des sédiments de fer et de zinc se sont ainsi répandus dans la rivière.
La rivière est devenue totalement orange
Les autorités appelent la population à ne pas paniquer. L'Agence américaine de protection de l'environnement du comté affirme que le déversement ne nuira pas. Toutefois les fonctionnaires fédéraux du Colorado ont invité les utilisateurs d'eau en aval de l'accident à couper leur réseau d'eau potable et appellent la population riveraine à éviter les activités récréatives sur la rivière .
La ville de Durango a déclaré que son eau potable était désormais sûr en disant dans un communiqué qu'elle a cessé de pomper l'eau de l' Animas pour la puiser dans la rivière voisine Florida non affectée.
© Nature Alerte
Cette doline - énorme trou causé par l'effondrement du sol - est apparue un peu après 7 heures du matin, à une intersection dans le quartier de Sunset Park à Brooklyn, selon les pompiers.
Elle a avalé plus de la moitié de la rue sur quelques mètres, selon les photos des pompiers qui montrent un trou d'une profondeur supérieure à la taille d'un homme au carrefour de la 5e avenue et de la 64e rue à Brooklyn, et des canalisations arrachées.
Personne n'a été blessé.
Les dolines sont des phénomènes naturels, variables en taille et profondeur. Parmi les plus spectaculaires, l'une d'elles avait avalé en mai 2010 un immeuble de trois étages au Guatemala à la suite de pluies torrentielles.
Source © Belga
Selon le quotidien local Il Tirreno, une vingtaine de personnes ont été blessées, dont un jeune homme de 19 ans assez grièvement, touché à la tête par une grosse branche.
Le vent a également déraciné un poteau d'alimentation de la voie ferrée autour de Florence, provoquant pendant la nuit une interruption de la circulation de plusieurs heures en direction de Rome.
La municipalité a invité samedi soir la population à ne pas sortir des maisons en raison des rues inondées et des arbres tombés sur la chaussée.
La situation revenait dimanche à la normalité à Florence, même si certains quartiers périphériques doivent encore être nettoyés des déchets qui couvrent les rues et rendent difficile la circulation.