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mardi 27 janvier 2015
Six carcasses de pachydermes ont été découvertes le 14 janvier 2015 dans le parc de Bouba-Bdjidda au Nord Cameroun par des éléments de la Brigade d’intervention rapide.

Ces éléphants, dont deux disposaient encore de leurs défenses, auraient été abattus au début du mois de janvier par des braconniers selon certaines sources. Les malfrats se seraient alors enfuis vers les pays voisins. 

Depuis le lancement de l’opération « Paix à Bouba-Ndjidda » en 2014, l’on avait plus enregistré des cas de massacre d’éléphants et l’activité touristique avait repris dans la zone du parc malgré les menaces qui pèsent sur la sécurité à cause de la nébuleuse islamiste Boko Haram.
Le nombre de papillons monarques qui ont rejoint leur aire d'hivernage au Mexique a bondi de 69% par rapport au creux noté l'an dernier, a indiqué mardi le Fonds mondial pour la nature (WWF).

L'an dernier, les papillons ne recouvraient que 1,67 acre, soit la superficie la plus faible depuis que des données ont commencé à être compilées en 1993.

Cette année, ils couvrent 2,79 acres, d'après des chiffres compilés par les responsables mexicains de l'environnement et dévoilés mardi.

Le directeur du WWF au Mexique, Omar Vidal, a dit que si ces données représentent une bonne nouvelle, la superficie demeure malgré tout très, très modeste.

Les papillons orangés et noirs souffrent d'une perte de l'habitat d'asclépiade aux États-Unis, de la déforestation illégale au Mexique et des changements climatiques.

Les papillons migrent chaque année vers le Mexique pour passer l'hiver dans les mêmes forêts de pins et de sapins.

Source © la presse.ca
Les inondations qui ont ravagé le centre et le nord du Mozambique la semaine dernière ont fait 117 morts et plus de 157 000 sinistrés, selon un nouveau bilan officiel communiqué lundi par l'Institut national de gestion des catastrophes naturelles (INGC).

Le précédent bilan mercredi dernier faisait état de 84 morts et près de 140 000 sinistrés dans ce pays pauvre d'Afrique australe.

Les victimes ont été «noyées, touchées par la foudre, ou coincées sous des constructions détruites par les inondations», a expliqué à l'AFP Rita Almeida, porte-parole de l'INGC.

«La situation est stable, il n'y a pas eu de nouvelles inondations ces derniers jours. Il pleut toujours, mais beaucoup moins fort, et sans conséquences notoires», a t-elle déclaré.

Plus de 50 000 personnes sont encore hébergées dans 41 centres de secours à travers le pays. La destruction des routes et des ponts ont ralenti le déploiement des secours.

«Nous ne pouvons pas encore dire que la situation est complètement sous contrôle, nous n'avons un tableau complet de la situation», a déclaré à l'AFP le porte-parole des Nations Unies, Pasquale Capizzi.

«Certains stocks d'aide humanitaire sont cependant déjà arrivés et le reste est en cours d'acheminement. Nous allons aussi distribuer des graines, puisque la plupart des gens ont perdu leurs cultures».

80% de la population du Mozambique vit de l'agriculture, qui compte pour 25% du PIB du pays.


Source © AFP
Cette somme correspondant à environ 2 % des quelque 40 milliards d'euros perçus par la France entre 2008 et 2012 dans le cadre de la politique agricole commune (PAC).

Le couperet bruxellois vient de tomber. La Commission européenne a finalement fixé officiellement à 1,078 milliard d’euros, le montant des aides agricoles, qu’elle juge avoir versé de manière non justifiée à la France.

Ce contentieux dure depuis des années puisque la contestation porte sur une période débutant en 2008. Le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, avait affirmé en 2014, alors qu’un montant de pénalité pouvant aller jusqu’à 3 milliards d’euros avait été évoqué, qu’il allait négocier. Soulignant au passage, qu’il héritait d’une situation dont il n’était pas responsable. Trois ministres de l’agriculture ayant été en poste durant cette période.

Le litige porte principalement sur la taille des parcelles éligibles à l’aide directe à l’hectare versée dans le cadre de la politique agricole commune. (PAC). Le montant correspondant est de 366 millions d’euros entre 2008 et 2010, et de 329 millions d’euros entre 2011 et 2012. Mais aussi sur l’application des règles d’écoconditionnalité quand certaines aides sont conditionnées au respect de règles environnementales. Sur les aides au développement rural ou le soutien aux producteurs de sucre.

Bruxelles envoie régulièrement des inspecteurs vérifier dans les différents Etats membres la réalité des déclarations faites par les exploitants agricoles. C’est au vu de ces contrôles qu’elle lance des procédures dites « d’apurement des comptes ». En décembre 2014, elle avait épinglé la Grèce, l’Irlande et la Slovénie pour un total de 102 millions d’euros.

Dans sa dernière décision en date, elle réclame un total de 1,4 milliard d’euros à treize Etats membres dont 1,078 pour la France. La facture est de 128 millions d’euros pour la Roumanie, de 97 millions d’euros pour l’Italie ou de 60 millions d’euros pour la Belgique.

« C'est le résultat de mois de négociation entre la Commission et Paris. Régulièrement, Bruxelles procède à des vérifications, pas que pour la France, pour tous les autres pays européens, explique une source européenne contactée par Le Monde. Le montant peut paraître considérable, mais il faut le relavitiser : la France est le plus gros bénéficiaire de la PAC. »  La France a en effet reçu, entre 2008 et 2012, 35 milliards d’euros. Elle doit en reverser près de 3 %. Si l’Espagne et l’Allemagne font mieux avec 2 %, d’autres pays comme la Belgique sont à 10 % et le Portugal entre 8 et 10 %.

Stéphane Le Foll a assuré mardi que l'Etat prendrait à sa charge le remboursement. « Les agriculteurs ne seront pas comptables de cet apurement [ qui sera financé sur le budget de l'Etat en 2015, 2016 et 2017] », a expliqué le ministre. « Les aides ne bougeront pas, (…) les agriculteurs ne seront pas concernés », a-t-il ajouté. 

Source © AFP



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Des météorologistes anglais paniqués ont lancé hier une alerte après avoir repéré une tempête de verglas monstre à venir sur leurs modèles météorologiques. 

Elle semble identique au phénomène qui touche actuellement les États-Unis et menace de déclencher sa fureur à travers le pays dés la semaine prochaine.

Ils estiment que les températures chuteront au-dessous des -15 ° C , déclenchant l'un des pires hivers à venir de l'histoire du pays.L'ensemble du Royaume-Uni devrait être donc confronté à d'importants coups de vent de tempêtes de blizzards venant de l'Arctique toute la première moitié du mois de Février. Un gel historique est attendu avec des températures extremement froides entrainant la fermetures des aéroports est même à craindre.

Les services Météo affirment qu'ils ont émis une alerte rouge aux services d'urgence du pays et incité le gouvernement à prendre des mesures d'urgence dès maintenant. Les aéroports, les lignes de chemin de fer et les routes devraient être totalement paralysés, le froid extrême pourraient même menacé la vie de milliers de personnes.

Piers Corbyn, prévisionniste pour WeatherAction, a averti qu'un "ensemble catastrophique de circonstances" se sont réunis pour déclencher une météo mortelle.

"Nous sommes à 95 % certain que l'ensemble du pays sera affectée dès le début de Février. Nous nous attendons à d'énormes tempêtes de neige et à des températures extremement basses. Telle est la gravité de cette situation, j'ai écrit au Cabinet de l'Office Briefing Room (COBRA) leur demandant de prendre des mesures immédiates."

La prédiction terrifiante est le résultat du déplacement d' un vortex polaire extrêmement changeant qui se déplace violemment depuis quelques jours à travers l'Atlantique nord.

James Madden, prévisionniste pour Météo Exacta, a déclaré que le pays tout entier pourrait être recouvert d'un tapis de neige dés la fin de la semaine prochaine. Il a expliqué que cet hiver chaotique est soutenue par une forte oscillation négative  de l'AO dans l'arctique. L'AO décrit le mode d'écoulement de l'air autour de l'hémisphère nord, dans une phase négative elle aspire l'air de l'Arctique vers le Royaume-Uni. Le pays devrai donc plongé dans un grand froid sévère et pour une période assez longue .

De ce son coté le Met Office a averti que des averses hivernales vont se répendre et que les températures chuteront à -10 ° C d'ici la fin de la semaine.

La première vague de froid devrait même atteindre le pays dés mercredi et devrait durer 5 jours.


© Nature Alerte

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La ville qui ne dort jamais s’est retrouvée plongée, lundi 26 janvier dans la soirée, dans une léthargie ouatée. New York se trouve au cœur d’un immense corridor abritant plus de 35 millions d’habitants, allant de Boston à Philadelphie, qui est touché pour une trentaine d’heures par une violente tempête de neige baptisée Juno.

Plus aucun véhicule, pas même les célèbres taxis jaunes, n’ont désormais le droit de sillonner la plus grande ville des Etats-Unis. Priorité est donnée au ballet des 1800 déneigeuses et 500 saleuses déployées par la mairie. Un silence inhabituel s’est imposé, seulement perturbé de temps en temps par le raclement des chasse-neige sur l’asphalte, tandis que les autorités ont demandé aux habitants de se calfeutrer chez eux. On mesure dèjà 30 cm de neige.

Avions, trains, voitures, métros, interdits de circulation

La pression est montée tout au long de la journée de lundi. « Il s’agit vraisemblablement de l’un des plus gros blizzards de l’histoire de New York », a prévenu lundi après-midi, Bill de Blasio. Le maire de la ville n’a pas voulu cette fois se faire prendre de court, alors que son manque de réactivité face aux tempêtes de neige, en janvier 2014, avait suscité la polémique. « C’est une sérieuse tempête, qui ne doit pas être prise à la légère », a renchéri Andrew Cuomo, le gouverneur de l’Etat de New York, avant d’annoncer la suspension de la circulation des trains dans la région à partir de 23 heures.

Plus de 6 000 vols ont été annulés lundi, tandis que plusieurs compagnies aériennes ont carrément suspendu leur activité mardi. A 20 h 45, une alerte a été lancée sur tous les téléphones mobiles pour prévenir les automobilistes qu’à partir de 23 heures aucune circulation ne plus sera tolérée. Les aventureux, qui voudraient braver l’interdit, risquent une amende de 300 dollars. Enfin, décision exceptionnelle, le métro de New York s’est lui aussi arrêté pour la nuit.

« A partir de maintenant, seuls les véhicules ayant une autorisation spéciale peuvent circuler dans les rues de New York. Merci de ne pas prendre la route et de rester prudent » a indiqué sur Twitter le maire de la ville à 23 heures locales (5 heures à Paris).

De fait, les New-Yorkais n’ont pas pris ces alertes à la légère. Dès dimanche soir, les épiceries de la ville étaient quasiment impraticables : de longues files s’attentes se formaient, tandis qu’ils étaient des milliers à tenter de faire quelques provisions au prix de parfois plus d’une heure d’attente. « Ce qui s’est passé avec [l’ouragan] Sandy [en 2012] a marqué les esprits. Les gens prennent leurs précautions », explique Kathy, une mère de famille de l’Upper West Side, venue remplir son cabas en ce lundi matin. « On retrouve un peu la même solidarité entre les gens, on se parle plus », souligne Steven, lui aussi venu faire ses courses.

Ecoles fermées

L’activité s’est ralentie progressivement tout au long de la journée. Si les écoles sont restées ouvertes lundi, les activités périscolaires ont été annulées pour permettre aux élèves de regagner leur domicile le plus tôt possible. En revanche mardi, les établissements resteront fermés jusqu’à nouvel ordre. Toutes les représentations prévues dans les théâtres à Broadway ou au Metropolitan Opera ont été annulées.
L’accès à Central Park a été interdit dès 18 heures, afin de laisser travailler les équipes municipales pour permettre une ouverture la plus rapide possible après le passage de la tempête. Les bureaux, eux se sont vidés dès le mileu de l’après-midi, les salariés craignant de ne pas trouver de train pour rentrer chez eux. Pour Wall-Street en revanche, c’est « business as usual » : la Bourse continuait à fonctionner mardi.

Les précipitations ont commencé à s’intensifier lundi en début d’après-midi, avant que le vent ne force au cours de la nuit. Mais le gros des intempéries est attendu pour la matinée de mardi. Le record de chute de neige à New York remonte à 1947 et 2006 où il était tombé 68 centimètres. Une hauteur qui pourrait être dépassée dans les prochaines heures.

Une lame de fond de neige

Les zones côtières, de la presqu’île de Cape Code (Massachusetts) aux plages du New Jersey en passant par Long Island (New York), sont également en état d’alerte. Les services météo annoncent des vents qui pourraient dépasser les 100 kilomètres/heures dans la journée de mardi. Des rafales susceptibles de mettre à nouveau en péril une côte qui a été gravement endommagée par l’ouragan Sandy. « Il s’agit d’une lame de fond de neige, qui va se répandre sur toute la Nouvelle Angleterre », affirme Henry Margusity météorologiste au sein de la société AccuWeather. « Cette tempête a suffisamment d’intensité pour ouvrir de nouvelles brèches au sein des digues le long des plages », affirment les services météo de Boston.

Le gouverneur du Connecticut, Dannel Malloy, a mis en garde sur le fait qu’une centaine de milliers de personnes pourraient être privés d’électricité dans les prochaines heures et ce pendant plusieurs jours. Dans le Massachusetts, la compagnie d’électricité locale, National Grid, parle, elle, de plusieurs centaines de milliers de foyers. Au palais de justice de Boston, la sélection du jury dans le cadre du procès de l’attentat perpétré lors du marathon de 2013 a été suspendue.


Source © Le Monde

...la neige tombe...ben reste les 4X4....non?...
Madagascar rapporte que le bilan de la tempête tropicale Chedza s’alourdit sans cesse. Le bilan provisoire avancé par le Bureau national de gestion des risques et catastrophes (BNGRC) ce dimanche 25 janvier à 18 heures annonce 68 morts, 131 469 sinistrés, dont 45 447 déplacés. Dans le Grand Tana, on recense 4 décès, 49 826 sinistrés et 32 549 déplacés.

D’après les indications du BNGRC, les 17 décès supplémentaires ont été signalés à Ikongo suite au glissement de terrain, qui s’est produit environ une semaine après le passage de Chedza.

Dimanche 25 janvier, le chef de l’Etat avait affirmé que la présidence et certains membres du gouvernement ont effectué des descentes sur terrain. Il avait soulevé que toutes les infrastructures sont vulnérables et ne sont pas dans les normes, des constructions sont érigées sur des zones inondables. 

"Le non-respect de l’environnement, de la propreté et de l’hygiène a aggravé la situation. Mis à part les mesures d’urgence, un plan d’urbanisation devra être mis en place", a indiqué Hery Rajaonarimampianina.

En attendant, les aides aux sinistrés arrivent au niveau du BNGRC. Il a été reçu la somme de 1 000 000 d’ariary, en plus d’environ 63 585 kg vivres ainsi que d’autres dons non vivre.

Le mauvais temps se poursuit presque sur l’ensemble de la Grande Île, bien que Chedza soit parti. D’après les prévisionnistes du service de la météorologie d’Ampandrianomby, "un amas nuageux actif porteur de pluies orageuses associé à un minimum dépressionnaire au Nord-Est de Madagascar manifeste une activité sur la moitié Nord de l’Île". Il en ressort la présence sur place de fortes pluies pouvant être accompagnées de rafales.

Ainsi, une vigilance verte s’adresse aux régions Sofia, Boeny, Melaky, Betsiboka, Analanjirofo, Atsinanana, Alaotra Mangoro, Analamanga, Itasy et Bongolava.

A Ankasina – Deux-tiers de la population sinistrés

Les sinistrés d’Ankasina restent chez eux à cause des sites d’hébergement insuffisants. Le centre médico-social craint les risques sanitaires liés à l’inondation.

Le quartier d’Ankasina en extrême détresse. Sur environ 15 000 habitants, 9 623 issus de 2 191 foyers, sont sinistrés après le passage du cyclone Chedza, la semaine dernière. 

Sur ces neuf milliers de sinistrés, sept cent quatre personnes sont abritées dans des tentes d’hébergement et les autres, plus nombreux restent dans leurs foyers, les pieds dans l’eau. Selon le président du fokontany d’Anka­sina, Jaoson Ranaivoarivony, samedi, l’insuffisance des tentes d’hébergement qui sont au nombre de quinze pour sept cent quatre personnes, oblige la population à rester chez elle, dans des conditions déplorables. «Les serpents, les grenouilles et les parasites diverses s’invitent désormais chez nous, alors qu’on a les pieds dans l’eau en permanence», se plaint Ra-Marthe, l’une des sinistrés qui n’a pas pu quitter sa maison inondée.

Face à de telles conditions de vie, le président du fokontany interpelle les autorités sur la situation. Selon lui, ces sinistrés sont «oubliés» des autorités. «Cela fait deux semaines que j’ai demandé des insecticides pour nos sinistrés, mais, aucune réponse favorable jusqu’à maintenant. Les nôtres n’ont jamais bénéficié d’aucune aide de la part de l’État, pourtant, des sinistrés des autres sites en ont bénéficié», constate-t-il. Celui-ci n’est toutefois pas le seul à être inquiet sur les conditions précaires de la population sinistrée d’Ankasina.

Le médecin-chef du Centre médico-social Betania-Ankasina, le docteur Lala­harison Randriambinintsoa, qui, avec deux médecins déployés par le Service de santé de district d’Antanana­rivo-ville, pour la prise en charge sanitaire des sinistrés d’Ankasina, tire la sonnette d’alarme sur la situation qui y est préoccupante. «En une journée, on effectue 50 à 90 consultations des sinistrés. La diarrhée, l’insuffisance respiratoire, les toux, le syndrome grippal et les maladies de la peau dont la teigne sont cependant les plus fréquents. Pour le moment, il n’y a que le centre-médico-social Betania-Ankasina qui fournit les médicaments à ces personnes, mais à ce rythme, il n’y aura plus de médicaments à la fin de la semaine prochaine, et qu’est-ce qu’on fera pour la suite », interroge le médecin-chef.

Le cyclone Chedza a frappé fort la grande île. Le bilan émanant du Bureau national de la gestion des risques et catastrophes et de la gendarmerie nationale, fait état de 72 décès dont 17 à Ikongo, 131 469 sinistrés dont 45 447 personnes déplacées. Avec l’inondation des champs de cultures, les risques d’effondrement de maisons, de tunnel et d’infrastructures routières, la population est encore loin d’être tranquille.
En tout cas, le risque d’inondation dans la capitale n’est plus à craindre, selon l’Autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d’Antananarivo (Apipa). Celle-ci a levé, samedi, l’alerte rouge de la plaine d’Anta­nanarivo après une baisse de 0,14m du niveau de l’Ikopa.
Le plus grand glacier de l'Antarctique oriental est en train de fondre à cause du réchauffement de l'océan. 

Totten, qui fait 120 kilomètres de long sur plus de 30 km de large, était pourtant, jusqu'ici, considéré comme étant situé dans une zone épargnée par les courants chauds, où la glace demeurait donc très stable et peu sujette aux variations.

De retour d'une expédition sur place, des scientifiques australiens ont cependant indiqué que l'eau autour du glacier s'était avérée plus chaude qu'attendue et que le glacier allait donc fondre par sa partie immergée.
«L'Est Antarctique est plus vulnérable qu'on ne le pensait»

«Le fait que des eaux chaudes puissent atteindre ce glacier témoigne que l'Est Antarctique est potentiellement plus vulnérable à l'impact du réchauffement global qu'on ne le pensait jusqu'alors», estime aujourd'hui Steve Rintoul, chef d'une expédition menée dans l'Antarctique durant cet été austral.

Le glacier Totten ne devrait pas, pour autant, fondre instantanément, et aucune montée brutale du niveau des mers n'est à craindre. Mais à terme, sa disparition pourrait engendrer une hausse de six mètres du niveau des mers, On rappellera toutefois que le rythme de la fonte des glaciers dans la zone de l'Antarctique la plus exposée à ce phénomène a triplé au cours de la dernière décennie, selon une étude publiée le mois dernier portant sur les 21 dernières années.

Source © AFP


Les symptômes de la grippe aviaire ou H5N1 ont été observés sur les dindes d'une ferme de la région de Sharon en Israël samedi. Le ministère de l'Agriculture a immédiatement commencé l'abattage des 40.000 volailles et l'établissement a été fermé.

La découverte du virus H5N1 dans cette ferme intervient moins d'une semaine après qu'un autre élevage de dinde ait été contaminé dans le nord d'Israël , le premier cas en près de trois ans.

L'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) a déclaré que le virus avait été observé dans une ferme du village de Avi'el (au sud de Haïfa) et avait conduit à l'abattage de 15.000 volatiles, dont 61.000 dindes dans une ferme voisine le lundi .

Le ministère de l'Agriculture a indiqué que "l'abattage de tous les élevages est en cours".

En Egypte, une femme et son enfant sont les dernières victimes signalées.

Le nombre total de cas en Egypte a atteint les 20 cette année, avec deux nouveaux actuellement traités selon le ministère de l'Agriculture.

En 2014, au moins 10 personnes sont mortes de la grippe aviaire en Egypte.
Le carburant échoué
contre les rochers
qui protègent le littoral
Le ministère de l'Environnement des Seychelles a commencé une enquête le 22 janvier à la suite d’un incident de déversement d’hydrocarbures dans la mer près de l'île principale Mahé.  

La nappe de carburant a été vue flottante dans la mer depuis le lundi 19 janvier, près de l’île artificielle de Persévérance situé au nord de Mahé. 
La zone de l’incident est cependant loin des plages de sable blanc, dont les Seychelles sont mondialement connues pour leur beauté.

D’après un communique « les agents du ministère de l’environnement ont été déployés sur les lieux pour évaluer la situation ».

« Le carburant qui ressemble à de l’huile de vidange se trouvait le 22 janvier dans les environs de la zone industrielle de Providence, et pourrait aller plus au sud vers Cascade demain, poussé par le vent » a dit à la SNA, André Freminot Chef de la police de l’environnement.

Le nettoyage a été terminé à Eden, sur les lieux qui ont été souillés par le carburant.

Le ministère de l’environnement essaye de contenir, et de ramasser le liquide pour éviter qu’il ne continue de se répandre dans les zones côtières et n’affecte la faune et la flore se trouvant sur place.

« Dès que la marée sera haute, nous allons essayer, avec les gardes côte, de localiser cette  nappe, pour la contenir avec de grosses bouées et ensuite de répandre des copeaux de bois qui l’absorbera, et l'on aura plus qu’à la ramasser » a expliqué Freminot.

Le ministère de l’environnement demande aux membres du public qui ont des informations sur la source possible de cette marée noire d’appeler le Greenline (2722111) et d'aider l'enquête en cours.


C'est une "étape importante" qui a été franchie ce week-end selon les organisations écologistes. Les pays membres de l'ONU se sont mis d'accord samedi pour commencer à négocier un traité qui protégerait pour la première fois la biodiversité dans la profondeur  

Le futur traité, qui serait le premier du genre, concernerait la haute mer, des zones qui s'étendent au-delà des eaux territoriales (200 milles nautiques) que chaque État riverain gère à sa guise. Ces zones et les fonds marins qu'elle recouvrent sont menacés par la pollution, la surpêche ou le réchauffement climatique.  
Elles représentent 64% des océans et 43% de la surface de la Terre, ce qui en fait la plus grande biosphère de la planète.  

Il faudra encore que l'Assemblée générale de l'ONU, à sa prochaine session fin septembre, entérine formellement l'accord obtenu tôt samedi matin à New York. Et un traité ne verra le jour au mieux qu'en 2018.  

Selon l'Agence France presse (AFP), un "comité préparatoire" devrait être mis sur pied en 2016 pour dessiner les contours d'un futur traité et faire des recommandations à l'Assemblée à sa session de septembre 2017.  

Celle-ci décidera alors si et quand il convient de réunir une "conférence intergouvernementale sous l'égide des Nations unies" afin de négocier un "instrument international juridiquement contraignant". Ce traité devra porter sur "la préservation et l'utilisation durable de la biodiversité marine dans les zones situées au-delà de la juridiction nationale".  

Il s'agira en particulier de créer des "zones marines protégées" et de "partager les bénéfices" tirés des grands fonds, par exemple en matière de génétique marine.  

Pour Karen Sack, de Pew Charitable Trusts, "c'est un grand moment pour la haute mer (...) et une vraie bonne nouvelle pour la vie dans les océans".  

Des conventions internationales réglementent déjà certaines activités comme la pêche ou certaines zones précises, mais il n'existe pas pour l'instant de texte couvrant l'ensemble des dangers qui menacent les fonds marins.  

Source © AFP

...En attendant... ce qu'on vous dit pas devrait plutôt se trouver sous une autre carte...non ?...,....


Au dernier jour d'une visite chargée en symboles à New Delhi, Barack Obama a appelé mardi l'Inde à s'engager pleinement dans la lutte contre le changement climatique, promettant une coopération renforcée entre les deux pays dans de nombreux domaines.

Jugeant que les Etats-Unis pouvaient être le meilleur partenaire de l'Inde, le président américain, qui a multiplié depuis trois jours les signes de complicité avec le Premier ministre Narendra Modi, a aussi, dans une allusion directe à la Chine, affiché sa fermeté face aux possibles conflits maritimes dans la région.

Les Etats-Unis sont favorables à un plus grand rôle de l'Inde en Asie-Pacifique, où la liberté de navigation doit être maintenue et où les différends doivent être réglés pacifiquement, a-t-il dit.

Le Premier ministre indien, arrivé au pouvoir en mai, se montre plus déterminé dans son discours que son prédécesseur face à l'influence chinoise dans la région et les Etats-Unis voient en l'Inde un partenaire clé pour la contre-balancer.

Dans un discours très applaudi devant 1.500 jeunes, Obama a dressé un constat clair sur le climat : même si des pays comme les Etats-Unis réduisaient leurs émissions, si les pays en croissance comme l'Inde - avec des besoins en énergie en forte croissance - ne se tournent pas vers des énergies plus propres, nous n'avons aucune chance contre le changement climatique.

L'Inde est le troisième émetteur mondial de gaz à effet de serre, derrière la Chine et les Etats-Unis. Ces deux derniers ont récemment scellé un accord inédit sur les émissions de gaz à effet de serre, engagements chiffrés à l'appui, à l'approche du sommet de Paris sur le climat prévu en fin d'année.

Mais l'Inde n'a pris aucun engagement en la matière, son Premier ministre Narendra Modi estimant n'avoir aucune pression et souhaitant pouvoir agir sans que cela nuise aux efforts de développement de son pays.

L'Inde et les Etats-Unis ne sont pas simplement des partenaires naturels, je pense que l'Amérique peut devenir le meilleur partenaire de l'Inde, a par ailleurs avancé M. Obama. Evidemment, seuls les Indiens peuvent décider du rôle de l'Inde dans le monde

Mais je suis ici, car je suis absolument convaincu que nos peuples auront plus d'emplois et d'opportunités, nos nations seront plus sûres et le monde sera plus juste et plus sûr si nos deux démocraties font front commun, a poursuivi Obama.

- 100 milliards de dollars - 

Sur le plan économique, leurs liens restent modestes par rapport aux échanges entre les Etats-Unis et la Chine, comme Obama l'a rappelé lundi devant un parterre de patrons.

Nos échanges commerciaux avec l'Inde s'élèvent à environ 100 milliards de dollars par an, ce qui représente une amélioration sensible depuis que je suis arrivé au pouvoir (en 2009), a-t-il souligné. Mais nous faisons environ 560 milliards de dollars par an avec la Chine, a-t-il ajouté.

La montée en puissance de l'Inde a aussi ses exigences, a plaidé le président américain, en particulier sur le changement climatique.

Etre des partenaires globaux implique aussi de s'attaquer au défi global urgent que constitue le changement climatique, a-t-il souligné. 

Symbole marquant de sa visite, Obama a assisté - une première pour un président américain en exercice - à l'immense parade de Republic Day qui marque l'entrée en vigueur de la Constitution post-coloniale de l'Inde en 1950.

Cette complicité affichée ne devait cependant pas détourner le Premier ministre indien du subtil exercice d'équilibre diplomatique auquel il se livre pour ne s'aliéner ni son puissant rival chinois ni son allié historique russe.

Seule ombre au tableau de cette deuxième visite de M. Obama en Inde: l'annulation, à la dernière minute, de la visite prévue de longue date au Taj Mahal, pour se rendre en Arabie Saoudite. 

Des centaines de personnes avaient été mobilisées pour nettoyer la route menant à l'immense mausolée dédié à l'amour. Et la photo de Barack et Michelle Obama devant ce haut-lieu touristique indien était, sans conteste, la plus attendue du voyage.


Source ©AFP   

lundi 26 janvier 2015
Des millions de moustiques génétiquement modifiés pourraient être libérés prochainement dans la ville de Key West en Floride si des chercheurs britanniques obtiennent des autorités sanitaires américaines l'autorisation de les utiliser pour tenter de contrer une épidémie de dengue et de chikungunya qui touche la région.

En effet avec le changement climatique et la mondialisation, la dengue et le chikungunya deviennent de plus en plus menaçant aux États-Unis et en particulier dans la ville la plus australe du continent américain, Key West.

Des insecticides sont pourtant pulvérisés chaque année dans les quartiers les plus touchés de la ville, mais rien y fait, la population de l'Aedes aegypti, dont les piqûres des femelles répandent des maladies tropicales, continue d'évoluer et résiste désormais à quatre des six insecticides utilisés pour tenter de les tuer.

Oxitec, une entreprise de biotechnologie britannique qui a breveté une nouvelle méthode de reproduction stérilisante sur l'Aedes aegypti a donc proposé ces services à la ville.

Les ADN des moustiques mâles génétiquement modifiés d'Oxitec ont vu leurs gènes transformé par l'introduction de fragments de gènes du virus de l'herpès simplex, de la bactérie E. coli et même de corail et de chou.  Oxitec affirme que cet ADN synthétique est couramment utilisé en laboratoire et pense que l'introduction de ces moustiques génétiquement modifiés dans la nature ne posera pas de risques significatifs pour l'environnement, mais qu'ils tueront à coup sûr les larves des moustiques à venir.

"C'est donc essentiellement pour tenter d'éradiquer cette invasion de moustiques qu'on va introduire des moustiques mâles génétiquement modifiés pour éviter la propagation de maladies», a déclaré Michael Doyle, directeur exécutif du district de lutte contre les moustiques de Key West , qui attend que la Food and Drug Administration autorise l'expérience.

En libérant des millions de moustiques OGM mâles qui ne piquent pas, nous visons à ce qu'ils s'accouplent aux femelles sauvages dont la descendance mourra, réduisant ainsi leur population dans la ville.

Oxitec qui a installé dernièrement un de ses laboratoire de reproduction à Marathon espère ainsi introduire ses moustiques dans un quartier de Key West dés ce printemps.

Theresa Eisenman, la porte-parole de la Food and Drogue Administration américaine a déclaré qu'aucun tests sur le terrain ne seront autorisés tant que l'agence n'aura pas soigneusement examiné toutes les données "

Chris Creese la porte-parole de l'entreprise OXITEC affirme elle, que le test sera de taille similaire à celui de l'expérience de 2012 dans les îles Caïmans, où 3,3 millions de moustiques modifiés avaient été libérés pendant six mois, entraînant la suppression de 96 pour cent des insectes ciblés. Dernièrement un lâché de moustiques génétiquement modifiés au Brésil a également réussi, et que les deux pays veulent désormais que nos services soient appliqués sur une plus grande envergure, rappelle t elle.


Pourtant les détracteurs d' Oxytec alertent d'un risque très grave, et en particulier du risque celui de la transmission de ces gènes modifiés du moustique à l'homme.

Guy Reeves, un généticien moléculaire à l'Institut Max Planck en Allemagne par exemple affirme qu'Oxitec devrait plutôt publier des études sérieuses avant d'affirmer que leur ADN synthétique ne causera aucun dommage et en particulier lors d'un transfert possible de cet ADN à l'homme .

Aucune étude sanitaire sérieuse n'a été mené aux îles Caïmans, et rien n'indique qu'une personne ait pu être piquée par une femelle ayant erré négligemment dans un de leur laboratoire ou dont le gène modifié lui ait été déjà transmis. Dire qu'il n'y a aucun risque de transmission génétique à l'homme est une pure aberration.

Oxitec a déjà libéré 70 millions de ses moustiques dans plusieurs pays et n'a reçu aucun rapport d'impacts sur les humains en dépit de la surveillance réglementaire qui encourage les gens à signaler les problèmes affirme pourtant l'entreprise. 

Déjà plus de 130 000 personnes ont signé une pétition sur Change.org contre l'expérience.

© Nature Alerte


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« Préparez-vous à quelque chose de pire que ce que nous avons vu jusqu'à présent. » Les mots du maire de New York, Bill de Blasio, dimanche 25 janvier, risquent fort de ne pas rassurer ses administrés. 

L'élu tentait de les préparer à l'arrivée imminente d'une tempête de neige, qui pourrait être, selon lui, l'une des « plus importantes de l'histoire de cette ville ».

Accompagnée de vents violents, elle doit toucher, lundi et mardi, le nord-est des Etats-Unis. La météo nationale a ainsi émis un avis de blizzard de New York à Boston, et jusqu'à la frontière canadienne. Plus de 50 millions de personnes pourraient être affectées. Dans la « Grosse Pomme », il pourrait tomber entre 60 à 90 cm de neige.

« Ne sous-estimez pas cette tempête », a souligné lors d'une conférence de presse Bill de Blasio, invitant les New-Yorkais à rester chez eux dans la mesure du possible. Au-delà de la vive recommandation de ne pas utiliser leurs véhicules, le maire a prévenu ses administrés que les établissements scolaires risquaient vraisemblablement d'être fermés, mardi.

Dimanche soir, de nombreux supermarchés de la ville ont été pris d'assaut par des habitants inquiets. Dans le quartier de Chelsea, dans le centre de Manhattan, une file d'attente s'était formée sur le trottoir devant le magasin Trader Joe's sur la VIe Avenue.

Source © AFP

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Le président Barack Obama va demander au Congrès l’extension de zones de parcs naturels en Alaska afin d’y préserver la faune et la nature, notamment des forages, sujet d’un vif débat entre partisans et opposants.

Ces parcs, dont les zones des plaines côtières de cet État au nord-ouest des États-Unis, bénéficieraient également de la classification la plus élevée en matière de préservation de l’environnement, celle de« zone sauvage », a annoncé dimanche le ministère de l’Intérieur.

Le ministère ne fait pas explicitement de référence à une interdiction de forer découlant de cette classification, dans un État où un vif débat oppose partisans et opposants à l’extraction d’hydrocarbures, dont il est riche.

La classification de zone sauvage signifie qu’on ne peut construire de routes, de bâtiments et qu’on ne peut ni y forer ni y abattre des arbres.

« Le parc naturel d’Alaska est un endroit magnifique, préservé. Il abrite des caribous et des ours polaires, des mammifères marins, d’innombrables espèces d’oiseaux et de poissons, et a permis pendant des siècles aux Indiens locaux d’y vivre, mais c’est un espace fragile », a indiqué le président dans une vidéo diffusée par la Maison-Blanche.

De son côté, la ministre de l’Intérieur Sally Jewell a indiqué dans le communiqué que « tout comme les parcs de Yosemite ou du Grand Canyon, le parc naturel national d’Alaska est un des joyaux de notre nation et nous devons le préserver pour les générations à venir ».

John Podesta et Mike Boots, conseillers de la Maison-Blanche, ont affirmé dans un blogue de la Maison-Blanche que « depuis plus de 30 ans, des voix s’élèvent, favorables aux forages dans les plaines côtières. Cela abîmerait de manière irréparable ce trésor écologique ».

La sénatrice républicaine de l’Alaska, Lisa Murkowski, présidente du comité de l’énergie et des ressources naturelles, s’est montrée en revanche très fâchée par la décision de Barack Obama : « Quelle chose terrible pour l’Alaska de découvrir ça dimanche matin en se réveillant : c’est un coup de poing dans le ventre de la Maison-Blanche à notre économie et à notre avenir », a-t-elle tweeté.

Une coalition d’organisations écologistes s’est pour sa part félicitée de cette décision : « Il est temps de protéger l’Arctique de manière permanente dans toute sa richesse et sa diversité avant qu’elles ne soient détruites au nom du profit à court terme », a ainsi déclaré Rebecca Noblin, du Centre pour la diversité biologique.

L’Alaska abriterait ainsi cinq millions d’hectares de zones naturelles sauvages protégées, contre trois millions actuellement. Huit millions d’hectares sont classés en parc naturel. Quatre fleuves et rivières (Atigun, Hula Hula, Kongakut et Marsh Fork Canning) seront inclus.

Cette classification implique que la terre et l’eau doivent rester intactes « pour le bonheur des générations futures », selon le ministère. Seul le Congrès a le pouvoir de désigner de telles zones avec cette classification.

Dans un paysage de lagons, toundras, forêts ou marais salants, l’Alaska abrite la faune la plus diverse de la région arctique, avec des caribous, des ours polaires, des loups gris et des boeufs musqués, plus de 200 espèces d’oiseaux, 37 espèces de mammifères, huit espèces de mammifères marins et 42 espèces de poissons.

Source © AFP

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