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jeudi 16 avril 2015
Une forte tempête de sable a balayé mercredi une grande partie du nord de la Chine, dont Beijing, rendant le ciel jaune.

La tempête a touché mercredi la région autonome de Mongolie intérieure, réduisant la visibilité à moins de 300 mètres dans certaines zones, selon la station météorologique régionale.

La tempête de sable, accompagnée de vents d'une vitesse pouvant atteindre 75 km/h, a commencé à frapper Beijing mercredi soir. Les piétons dans le centre-ville portaient des masques de protection ou se couvraient le nez et la bouche avec des mouchoirs, des écharpes ou leurs mains.

La station météorologique de Beijing a élevé son niveau d'alerte de bleu à jeune, prévoyant une visibilité de moins de 1.000 mètres mercredi soir.

La tempête de sable a également provoqué une grave pollution de l'air. Un grand nombre de sites de surveillance ont enregistré mercredi soir des taux de PM10 de 1.000 microgrammes par mètre cube, selon le Centre de surveillance environnementale de Beijing.

Le Centre national de météorologie prévoyait mardi que la tempête de sable frapperait de mercredi après-midi à mercredi soir certaines parties du Xinjiang, de la Mongolie intérieure, du Ningxia, de Beijing, de Tianjin, du Gansu, du Shaanxi, du Shanxi, du Hebei et du Jilin.

Le centre a également prévu un fort front froid dans le nord, y compris les régions le long du fleuve Jaune et de la rivière Huaihe. La température pourrait connaître une chute atteignant 12 degrés, et des vents violents sont attendus.

Source © Chine Nouvelle
Les cours européens du colza étaient à la hausse mercredi 15 avril 2015. Cette plante oléagineuse, qui est très cultivée dans le nord de la France et notamment en Bourgogne, suit les prix du pétrole.

A Londres comme à New York, les prix de l'or noir ont enregistré une hausse, car les investisseurs espèrent une hausse de la demande.

Les prix du colza en ont bénéficié par ricochet, car l'oléagineux sert notamment à la fabrication de biodiesel et ses cours sont donc très sensibles aux fluctuations du pétrole.

Sur Euronext vers 15H00 (13H00 GMT), la tonne de colza gagnait 2,25 euros à 377 euros sur l'échéance de mai, et 1,25 euro sur celle d'août à 362,75 euros. Environ 5.000 lots avaient été échangés.

En France, sur le marché physique, les graines de colza gagnaient un euro. Les tourteaux de colza exportés en prenaient huit.

Quel est le poids du colza en Bourgogne?

En Bourgogne, le colza est la troisième grande culture derrière le blé tendre et les orges. En 2014, environ 170 600 hectares étaient cultivés en colza. La Côte d’Or (164 357 tonnes) et l’Yonne (163 279 tonnes) sont les principaux producteurs, suivis de la Nièvre (64 176 tonnes) et de la Saône-et-Loire (40 315 tonnes).

A noter que 69 % du colza bourguignon est utilisé en France, principalement en Haute-Normandie et en Champagne-Ardenne, par la filière diester (biodiesel).

Le reste est exporté (16%) ou utilisé sur place en Bourgogne (15%).

Source © France 3 Bourgogne





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Source uicn
Voilà plusieurs jours que des citoyens bloquent l’accès à un site de forage de Total au nord du Danemark, à Ovnstrupvej. La compagnie française détient un permis – dit « de Nordjylland » – depuis 2010 pour explorer le gaz de schiste dans cette zone.

Ce projet de forage exploratoire de gaz de schiste est loin de faire l’unanimité chez les riverains. Le conseil municipal d’une commune voisine, Furesø, a envoyé une lettre au ministre de l’Environnement dans laquelle il rappelle que le Danemark est un des rares pays à s’alimenter en eau exclusivement à partir de ses ressources souterraines et que les risques de contamination liés à la fracturation hydraulique sont importants [1].

Total indique de son côté que la « production offshore [du Danemark] est en déclin » et que « les énergies renouvelables ne seront pas suffisantes dans les années à venir pour répondre aux besoins énergétiques du pays ». Or, les élus de Furesø précisent dans leur lettre que « la région et les municipalités ont fixé un objectif pour que la production d’électricité et de chaleur soit faite à 100 % sur la base d’énergies renouvelables ».

Alors que l’ensemble des recours juridiques menés par les opposants au gaz de schiste sont épuisés, les camions de Total arrivent chargés de matériel de forage. Les citoyens Danois, regroupés en collectifs et associations, et rejoints par des militants venus de Copenhague, ont décidé de multiplier les actions de désobéissance civile. Depuis le 5 avril, la police intervient chaque jour pour expulser les manifestants qui retardent l’arrivée des camions. Selon le directeur du projet d’exploitation au Danemark, cette occupation du site coûte des centaines de milliers de couronnes (plusieurs dizaines de milliers d’euros) chaque jour à l’entreprise [2].

« La compagnie Total, qui s’est vue retirer le permis de Montélimar en France en 2011 et a quitté la Pologne en 2014 suite à des recherches de gaz de schiste infructueuses, maintient ses projets de fracturation hydraulique au Nord du Danemark », dénonce dans un communiqué les collectifs français Non aux pétrole et gaz de schiste et de houille. Ils demandent l’arrêt immédiat de ces travaux et soulignent que « l’Europe continue à faire croître sa dette en termes d’émissions de carbone et gaz à effet de serre contribuant au dérèglement climatique ». Le second site d’exploration de gaz de schiste dans lequel est impliqué Total au Danemark pourrait aussi être l’objet de nouveaux blocages.

Source © Sophie Chapelle / multinational.org



mercredi 15 avril 2015
Malgré l’opposition massive des citoyens européens au gaz de schiste, la Commission persiste dans la direction opposée. Après avoir exempté ces activités d’études d’impact environnemental spécifiques, elle met en place aujourd’hui un « réseau » d’experts largement dominé par les industriels et les gouvernements favorables au gaz de schiste.

Selon les Amis de la terre Europe et le Corporate Europe Observatory, qui publient aujourd’hui une étude à ce sujet, sur 60 membres confirmés de ce réseau [1], 40% travaillent pour des entreprises comme Total, GDF Suez ou Shell, directement impliquées dans le gaz de schiste, ou pour des lobbies du secteur pétrolier et gazier [2]. 

Ceux qui représentent la société civile, en revanche, se comptent sur les doigts d’une main. Le reste est constitué soit de scientifiques dont la majorité est liée financièrement à l’industrie, soit de représentants de bureaux publics de recherche géologique, dont les intérêts sont souvent étroitement alignés sur ceux des promoteurs du gaz de schiste.

Le « réseau européen scientifique et technologique européen sur l’extraction des hydrocarbures non conventionnels » [3] a pour mission officielle de collecter des informations sur les développements du gaz de schiste en Europe et d’évaluer les technologies utilisées pour extraire les ressources non conventionnelles, autrement dit la fracturation hydraulique et ses alternatives potentielles (pour l’instant totalement chimériques). Le tout, selon la Commission, dans le cadre d’un « échange d’idées équitable et équilibré ». L’une des cinq personnes désignées par la Commission pour présider les groupes de travail du « réseau », le Polonais Grzegorz Pieńkowski, se montre plus franc dans un entretien avec un magazine professionnel : « La mise en place [de ce réseau] est un pas en vue de renverser l’attitude défavorable ou soupçonneuse envers le gaz de schiste qui prévaut en Europe en une attitude plus pragmatique et, en dernière instance, favorable. »

La cause pouvait pourtant sembler entendue. Les sondages réalisés au niveau européen démontrent que l’immense majorité des personnes interrogées sont opposées au développement du gaz de schiste sur le continent [4]. Les quelques pays dont les gouvernements sont ouvertement favorables à cette industrie – la Pologne et le Royaume-Uni notamment – ont été abandonnés des multinationales pétrolières et gazières, ou sont sur le point de l’être, en raison des résistances locales et de campagnes d’exploration décevantes (lire notre article).

Passage en force

La Commission européenne s’est déjà trouvée à nombreuses reprises sous le feu des critiques pour avoir mis en place des groupes d’« experts » dominés par les intérêts industriels, que ce soit dans le domaine des OGM, des perturbateurs endocriniens, de la régulation de la finance, ou de la pollution de l’air. Ce qui ne l’empêche pas de récidiver aujourd’hui avec le gaz de schiste. 

Elle a directement sélectionné les cinq présidents des groupes de travail : on y retrouve deux représentants d’entreprises pétrolières et gazières (CoconoPhillips et Cuadrilla), deux représentants de gouvernements pro-gaz de schiste (Royaume-Uni et Pologne) et le Français François Kalaydjian, employé d’une organisation de recherche française liée à l’industrie et connue pour ses prises de positions favorables aux énergies fossiles, l’Institut français du pétrole [5].

Au final, une large majorité des membres du réseau, soit en personne soit à travers les entreprises, gouvernements et organisations qu’ils représentent, se sont déjà fait remarquer par leurs prises de position favorables au gaz de schiste ou par leur opposition à des régulations trop strictes de ces activités. Interpellé par les associations, le Joint Research Center (JRC), dont la mission est de coordonner les groupes d’experts de la Commission européenne, se content de jouer avec les mots : comme il ne s’agit pas d’un groupe officiellement chargé de « conseiller » la Commission, mais seulement de rassembler des informations, il ne serait pas sujet aux normes d’équilibre et d’indépendance requises pour les autres groupes d’experts. De sorte que le JRC ne voit « aucune raison de modifier les règles ou la structure des groupes de travail ou leurs présidents ».

« Sous couvert de mettre en place un ‘réseau scientifique et technologique’, la Commission utilise des fonds publics pour créer un lobby favorable à l’industrie pétrolière et gazière, dénoncent les Amis de la terre Europe et le Corporate Europe Observatory. Ce qui est particulièrement inquiétant, c’est que malgré l’opposition massive du public, la Commission cherche une nouvelle fois à faire entrer discrètement le gaz de schiste par la porte de derrière, en essayant de faire en sorte que la question ne soit pas ‘si’ l’Europe veut la fracturation hydraulique, mais ‘comment’. »

Source © Olivier Petitjean / multinationales.org

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[1] Le réseau compte 74 membres officiels, mais 14 sont des employés de la Commission européenne.

[2] L’Union française des industries pétrolières (UFIP) a deux représentants, dont Jean-Louis Schilansky, par ailleurs président du « Centre de documentation sur les hydrocarbures non conventionnels », le lobby récemment créé par les entreprises françaises intéressées au développement du gaz de schiste.

[3] European Science and Technology Network on Unconventional Hydrocarbon Extraction. Voir ici.

[4] Un baromètre européen de janvier 2013 montrait par exemple que seuls 9% des personnes interrogées estimaient que la production d’hydrocarbures non conventionnels devaient être priorisée. Dans le cadre de la consultation publique organisée par la Commission européenne elle-même en 2013, 64% des participants estimaient que le gaz de schiste ne devait absolument pas être développé en Europe, et 20% supplémentaires qu’il ne devait être développé qu’à conditions que des garanties sanitaires et environnementales suffisantes soient en place.

[5] Rebaptisé Institut français du pétrole – énergies nouvelles (IFP-EN) pour faire bonne mesure, mais selon François Kalaydjian, les « énergies nouvelles » semblent surtout se référer aux divers moyens de prolonger la vie des énergies fossiles, voir ici.



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Source uicn
Encore une mauvaise nouvelle concernant les Jeux olympiques de  Rio de Janeiro 2016, les hécatombes de poissons morts ne cessent de polluer les lagons qui accueilleront les épreuves nautiques.

Jeudi dernier c'est encore environ 32,4 tonnes de poissons morts qui ont été retiré de la Lagune Rodrigo de Freitas, au sud de Rio, cette lagune doit recevoir les épreuves de canoë et  kayak

Pour l’équipe du brésil s'y entraîner exige d'avoir le coeur bien accroché, comme le montre cette vidéo.

La municipalité affirme que se sont les fortes pluies et les basses températures qui en sont la seule raison tandis que la commission pour la Défense de l’environnement, qui va lancer une enquête, avance plutôt la pollution par le rejet de déchets industriels et domestiques. 

© Nature Alerte






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Source uicn
Hier matin vers 07h 00  des millions de crevettes mortes se sont échouées sur la plage de Playa Brava à Iquique au Chili, laissant derrières elles une large bande de couleur rouge morbide et effrayante.

Les scientifiques sont totalement déconcertés par cette nouvelle hécatombe apocalyptique, en effet la raison de cette mortalité massive est totalement inconnue.


© Nature Alerte


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Source uicn
Les inondations récentes au Kenya et en Tanzanie ont eu un impact significatif sur la vie quotidienne dans plusieurs régions des deux pays. Les fortes pluies au cours du week-end dernier ont fait grimper le bilan des victimes à 21 morts depuis fin Mars. 

Les inondations au Kenya 

Au moins 13 personnes sont mortes dans les inondations dans le sud et l'ouest du Kenya depuis que les fortes pluies ont commencé le 05 Avril. 

Les inondations à Homa Bay le 10 Avril ont fait au moins sept morts, les victimes ont été emporté par les eaux en crue en tentant de traverser des rivères près de Gongo et Kotieno. De nombreuses rivières ont débordé, dont le Achak, le Awach Kende et le Oluch

Environ 1500 personnes ont dû quitter leurs maisons.

Le gouvernement local distribue actuellemnt des médicaments pour lutter contre l'arrivée du choléra et d'autres maladies d'origine hydrique dans les zones touchées par les inondations. 

Tanzanie 

De fortes pluies dans certaines régions de Manyara au cours des trois derniers jours ont fait au moins 1 mort et environ 300 sans-abris. 

La zone la plus touchée est le district de Babati. 

Magugu, Mdori, Mbuyuwa-Mjerumani et des parties de Minjingu ont également été touchés, bien que des évaluations complètes de l'étendue des dégâts sont encore à compléter. 

Au moins sept personnes sont mortes et 5000 personnes ont été forcé d'évacuer après à Dar es Salaam depuis la fin du mois de Mars 2015, où 91 mm de pluie sont tombés en 24 heures.

© Nature Alerte
Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron a accordé mardi une concession limitée pour l'extraction de sable coquillier dans la baie de Lannion (Côtes-d'Armor), suscitant l'immédiate désapprobation des opposants à ce projet qui ont claqué la porte d'une réunion à Bercy.

"La baie est en danger, non seulement d'un point de vue environnemental, mais aussi sur le plan de l'emploi. Les premiers touchés, ce seront les pêcheurs professionnels qui ne pourront plus travailler à très court terme", a alerté l'opposant Alain Bidal, président du collectif "Le peuple des dunes du Trégor", à la sortie d'une réunion avec le ministre à Bercy.

M. Macron a limité l'extraction, sollicitée par la Compagnie armoricaine de navigation (CAN) en décembre 2009, à un maximum de 250.000 m3 de sable par an, contre 400.000 envisagés initialement, et elle sera interdite pendant la période estivale, entre mai et août, a indiqué le ministère dans un communiqué diffusé après une rencontre avec les élus de la région, des opposants et des représentants de la CAN (groupe Rouillier).

L'extraction sera limitée à 50.000 m3 au cours de la première année, avant d'augmenter progressivement pour atteindre les 250.000 m3 après cinq années d'exploitation. L'arrêté préfectoral ne sera initialement délivré que pour une période d'un an "afin de rendre effectif le suivi des opérations d'extraction et en permettre l'arrêt si nécessaire", a précisé Bercy.

"Les études concluent avec suffisamment de certitude à l'absence d'impact significatif sur l'environnement et les autres activités pour pouvoir débuter l'extraction", a constaté Emmanuel Macron, cité dans le communiqué. "Mais il faut être vigilant et démarrer progressivement avec un suivi strict pour pouvoir déceler tout impact imprévu et adapter en conséquence le projet", a-t-il ajouté.

Les opposants du collectif ont exprimé leur désaccord pendant la réunion et ont quitté les lieux. "Puisque nous n'avions plus rien à faire en discussion, nous avons quitté la salle", a déclaré Alain Bidal.

- "Attaque" contre la biodiversité -

Quant à l'extraction limitée à 250.000 m3, il n'est pas convaincu par cette mesure. "Le problème ne réside pas dans les volumes. Dès l'instant où l'on attaque la dune, on attaque la biodiversité", a-t-il regretté.

M. Bidal a assuré que la mobilisation contre le projet allait se poursuivre. Le 24 janvier, entre 4.500 et 7.000 personnes ont manifesté à Lannion pour protester contre ce projet. Il a également laissé entendre que cette décision pourrait avoir un coût politique pour le gouvernement en Bretagne, une région en mains socialistes.

"Si le département des Côtes-d'Armor est passé à droite dernièrement, je pense que nous n'y sommes pas complètement pour rien. Et nous avons les régionales qui se profilent à la fin de l'année. Si c'est la seule façon de se faire entendre du gouvernement, nous le ferons", a-t-il prévenu.

M. Macron et la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, ont lancé une mission d'inspection pour examiner "la manière dont les aspects environnementaux ont été pris en compte dans les différentes études et avis ainsi que dans les mesures d'encadrement et de suivi", a rappelé le ministère.

Le rapport, rendu public début février, a confirmé, selon Bercy, que "toutes les procédures de concertation et d'enquête publique prévues par les textes ont été respectées".

M. Macron a ouvert dans la foulée "une nouvelle phase de concertation" avant de communiquer sa décision. "Toutes les parties prenantes se sont largement exprimées", a précisé le ministère.

Déposé en 2010 après enquête publique à l'issue de laquelle le commissaire enquêteur avait rendu un avis favorable, le dossier attendait la réponse du ministre de l'Economie auquel revenait la responsabilité d'accorder ou non la concession minière.

Source © AFP







Après un lundi particulièrement ensoleillé et chaud, les conditions anticycloniques ont persisté mardi 14 avril sur tout le pays et le seuil des 30°C a été franchi pour la première fois cette année !

Sur la côte aquitaine, il a fréquemment fait entre 29 et 31°C l'après-midi. Météo-France a même relevé 31,6°C au Cap Ferret. Il s'agit d'un nouveau record mensuel pour cette station ouverte en 1887, l'ancien record de 31,5°C datait du 22 avril 1893. À Biscarrosse le record de 30,8°C du 30 avril 2005 a été égalé (relevés depuis 1965).

Dans de nombreuses autres villes françaises, la température maximale, sans atteindre des records, affichait mardi après-midi un excédent de 10 à 14 degrés au dessus de la normale*. On a ainsi relevé :

24°C à Reims
25°C à Brest et Bourges
26°C à Paris et Tours
28°C à Toulouse et Auch
29°C à Biarritz, Bordeaux, Cognac et Limoges
30°C à Nîmes

Avec 17,4°C, c'est Nice, soumise à la brise, qui a été la ville (de plaine) la plus fraîche de France.

Un seuil de 30°C franchi précocement

Le franchissement du seuil des 30°C s'effectue relativement précocement cette année. Sur la période 1981-2010, on atteint en effet en moyenne les 30°C en métropole (sur une région significative) le 9 mai.
Toutefois la date a tendance au fil des ans à être plus précoce. Toujours sur la période 1981-2010, le seuil a été franchi 8 fois en avril et de 2010 à 2013, systématiquement au cours de ce mois. Deux des franchissements de seuil les plus précoces sont en effet récents : le 6 avril 2011, suivi du 14 avril 2013. Mais c'est en 1990 que le seuil des 30°C a été franchi le plus tôt : le 21 mars avec 29,9°C à Dax dans les Landes, et plus de 30°C sur quelques stations des environs.  

Habituellement, comme cela a été le cas mardi 14 avril, c'est la région Aquitaine qui franchit ce seuil la première, particulièrement le sud de la région. Sur la période 1981-2010, cela s'est produit 22 fois en Aquitaine, et à 9 reprises sur le pourtour méditerranéen.

Pourquoi la Méditerranée n'est-elle pas toujours en première ligne ?

Malgré des normales de température plus élevées en fin de printemps dans le Sud-Est que dans le Sud-Ouest, le seuil de forte chaleur y est généralement franchi plus tard. Le climat y est plus chaud en moyenne mais connaît des excès moins marqués. Il est en effet plutôt rare, surtout en avril, d'avoir les premières fortes chaleurs près de la Méditerranée. La température de l'eau de la mer est encore fraîche, et les masses d'air chaudes qui remontent du Sud se refroidissent souvent en passant au-dessus, ce qui limite les possibilités d'avoir ces fortes chaleurs dans le sud-est du pays. Au contraire, l'air chaud se refroidit par la base, s'humidifie par évaporation et une couche de nuages bas peut se former, piégée par l'anticyclone. Des bancs de stratus côtiers peuvent ainsi se former, apportant grisaille et fraîcheur sur les bords de la mer Méditerranée, tandis que le reste du pays profite de la douceur, voire d'une chaleur précoce.

* : Normales 1981-2010

Source © Meteo France




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Source uicn
Une étude de l'Insee montre l'évolution du territoire sur trois décennies. La place prise par les villes a des conséquences directes sur l'équilibre générale de la France.

La France détruit son territoire à vitesse grand V. C'est ce que l'on apprend à la lecture d'une enquête consacrée à l'évolution des villes depuis trente ans publiée ce mercredi par l'Insee. 

Les chiffres, parfois, sont terribles. Entre 1982 et 1991, la population des villes s'est accrue de 23%, en gagnant près de 9 millions d'habitants supplémentaires. Le problème est que l'espace urbain a, lui, augmenté beaucoup plus rapidement : il a gagné... 42%, en passant de 84000 km² à 119000 km². 

Dit comme cela, évidemment, cela peut laisser de marbre. Tout change quand on sait que ces 35000 km² perdus correspondent à l'équivalent de... sept départements français. C'est comme si, en l'espace d'une génération, nous avons collectivement bétonné l'équivalent de l'Ariège, de la Haute-Loire, du Jura, des Bouches-du-Rhône, de la Lozère, de la Mayenne et du Lot, sans y laisser le moindre centimètre carré de bois ou de terre agricole !  

Bienvenue près des rocades et des zones d'activité commerciales

Les causes de ce phénomène sont connues. Depuis les années 1970, les Français cherchent à fuir les grands ensembles. Un mouvement encouragé par l'Etat, qui a mis en place des aides à la maison individuelle tandis que le déclin de l'agriculture encourage les élus ruraux, pour sauver leur école et leur bureau de poste, à accueillir les populations et les entreprises à la recherche de terrains disponibles. 

Résultat : "L'urbanisme s'effectue pour l'essentiel sous forme d'étalement urbain, avec des lotissements, des rocades, des espaces commerciaux, des zones d'activité économique conçus sans l'intervention d'architecte ni d'urbaniste", rappelle l'urbaniste David Mangin.  

Il ne s'agit donc pas de condamner les Français. Après tout, des enfants heureux au grand air, des parents épanouis dans leur pavillon, des bourgs ruraux qui se repeuplent: tout cela revêt des aspects positif. 

Il s'agit simplement de prendre conscience que cette addition de bonheurs individuels ne correspond pas forcément à l'intérêt général. 

Car ce mouvement de société a sa face sombre: destruction d'espaces fragiles, diminution de la biodiversité, imperméabilisation des sols et augmentation du risque d'inondation, dégradation des paysages... Pour ne rien arranger, ces implantations en périphérie se traduisent inévitablement par une explosion des déplacements en voiture, seul moyen de transport efficace en zone rurale. Avec la pollution, les accidents et les bouchons que cela suppose. Nous ne pourrons pas continuer longtemps ainsi. A ce rythme, en effet, l'ensemble du territoire métropolitain sera couvert de béton en moins de 4 siècles. Voulons-nous reproduire, à l'échelle du pays tout entier, l'énorme gâchis de la Côte d'Azur ? 

Une solution au vilain nom de densification

Bref, il est temps de changer de logiciel. La solution, au demeurant, existe. Elle porte hélas le vilain nom de densification ce qui, dans l'imaginaire collectif, renvoie inévitablement aux cités des années 1960 et 1970, synonymes de mal-vivre et de ghettoïsation. Autrement dit à un contre-modèle absolu. Fort heureusement, on sait aujourd'hui densifier intelligemment. "A Rotterdam, on construit des maisons individuelles accolées les unes aux autres, avec des toits-terrasses: chacune possède un jardin sur son toit! C'est-à-dire qu'en plein centre d'une grande métropole, on parvient à recréer un mode de vie quasi identique à celui que les gens vont chercher en grande banlieue", cite par exemple l'urbaniste Alain Cluzet.  

En France aussi, de plus en plus d'élus cherchent à construire autrement, de manière plus dense, en concentrant les logements le long des axes de transports en commun, par exemple, comme à Bordeaux. D'autres s'efforcent de préserver une "ceinture verte" autour de la ville, comme à Rennes.  

Bref, une prise de conscience est amorcée. Et de premières réalisations concrètes sont engagées. Compte tenu de l'ampleur du problème, il en faudra bien d'autres... 

Source © L'express



La Chine utilise un tiers des engrais consommés dans le monde.

La pollution des terres agricoles s'aggrave en Chine malgré les mesures prises pour réduire une utilisation excessive d'engrais et de pesticides, a déclaré mardi le ministère chinois de l'Agriculture. 

Le pays le plus peuplé de la planète a longtemps cultivé la plus grande opacité sur tout ce qui relevait de la qualité des sols. « Pour le gouvernement chinois, c’était un secret d’État. En 2013, la cartographie publiée a permis de lever un coin du voile », observe Dominique Arrouays dans un entretien publié dans Dimanche-Ouest France le 12 avril .

La pollution des sols liée à l’exploitation des mines ou à l’industrie est une catastrophe pour l’agriculture. «20 % des terres sont contaminées à un niveau inacceptable entraînant des pertes considérables. 13 % de la production de céréales et de riz ne serait pas commercialisable. Ceci entraîne des milliards de dollars de perte. »

La Chine utilise un tiers des engrais consommés dans le monde, et leur croissance rapide, ces dernières années, est engrande partie imputable à la hausse de la production de fruits et de légumes.

Premier producteur de pommes

La Chine est le premier producteur au monde de pommes, de fraises et de plusieurs variétés de légumes.L'abus d'engrais chimiques et de pesticides a pollué les sources, contaminé les sols avec des métaux lourds et les produits alimentaires contiennent des résidus de pesticides, menace à la fois pour la santé publique et pour les rendements agricoles.

Les agriculteurs répandent 550 kg d'engrais par hectare par an dans les vergers et 365 kg par hectare dans les champs delégumes, observe le vice-ministre de l'Agriculture, Zhang Taolin.

Trop d'engrais

Selon des données de la Banque mondiale, la Chine a répandu en moyenne 647,6 kg d'engrais par hectare de terre arable en2012,contre 131 aux Etats-Unis et 124,3 en Espagne. Zhang Taolin a estimé que la consommation de pesticidesdevrait être ramené de 320.000 tonnes actuellement à 300.000 tonnes. L'utilisation d'engrais chimiques en Chine a connu unecroissance moyenne de 5,2 % par an au cours des 30 dernières années, atteignant 59 millions de tonnes en 2013, rapportait enmars l'agence Chine nouvelle. "Il existe une marge importante pour freiner cettecroissance", estime Zhang Taolin.

Source © Ouest France
Leur pétition sera publiée mercredi dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace ; 66 médecins et 2 dentistes de Strasbourg interpellent les pouvoirs publics sur "la gravité de la situation" en Alsace.

Inquiets des niveaux de pollution aux particules dans leur ville, près de 70 médecins demandant aux pouvoirs publics de prendre les mesures nécessaires pour améliorer la qualité de l’air à Strasbourg et les alertant sur "la gravité de la situation". 

Le texte de leur pétition, lancée à l’initiative du Collectif Strasbourg Respire et le Groupe Strasbourgeois pour la Santé et la Qualité de l’Air, sera publié ce mardi 14 avril dans le quotidien régional Les Dernières Nouvelles d’Alsace, le gratuit 20 Minutes Strasbourg et le siteRue89 Strasbourg.

Les médecins y expliquent refuser "l’indifférence face à ce problème de santé publique" et demandent que "la santé des patients soit reconnue comme une priorité dans les décisions relatives à la pollution de l’air". Les signataires rappellent que "de nombreuses études placent Strasbourg et Paris à un même niveau de pollution" et que "Strasbourg était même la ville la plus polluée de France ce jeudi 19 mars, selon la société Plume Labs". Pendant que la circulation alternée faisait débat à Paris, Strasbourg, étouffait en silence...

"La situation est vraiment préoccupante: en Alsace, le nombre d’AVC a augmenté de 105% entre 2003 et 2013", relève le Dr Thomas Bourdel, radiologue et président du collectif Strasbourg Respire qui estime que, de  par son statut unique en France d’Euro métropole, "Strasbourg devrait montrer l’exemple" alors qu'elle ne s'est toujours pas engagée pour la transition énergétique.

Source © Christel de Taddeo / JDD.fr
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Source uicn
Lorsque la chaleur arrive brutalement, les pics de pollution asphyxient l'Île-de-France. 

C'est dans ce contexte que l'Etat a décidé de réduire de 15% la subvention accordée à l'organisme de mesure de la qualité de l'air dans le département, Airparif. 

Les Ecologistes franciliens souhaitent ce mardi que la maire de Paris, Anne Hidalgo, fasse pression sur la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal.Selon Airparif, l'Etat a revu à la baisse sa participation au budget de l'organisme de mesure de la qualité de l'air en Île-de-France. Pourtant, les pics de pollution se multiplient.

L'outil de mesure de la pollution en Île-de-France Airparif s'inquiète ce mardi de la baisse de 15% de sa subvention par l'Etat.

Un geste que les écologistes franciliens goûtent peu à l'heure où la capitale est régulièrement asphyxiée par les particules fines (PM10). Dans l'après-midi, le Conseil de Paris doit examiner une requête des Verts qui demandent à la maire Anne Hidalgo de plaider la cause de l'association auprès de la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal. Une tâche compliquée depuis que les deux socialistes se déchirent sur la mise en place de la circulation alternée en cas de pic de pollution.

«On nous demande de faire plus avec moins»

Selon France Bleu, Airparif craint de ne pouvoir boucler son budget et continuer d'informer correctement le public sur la qualité de l'air. A moyens constants depuis des années, voire désormais en baisse, l'organisme doit faire face à une demande accrue compte tenu la pollution toujours plus dense et les demandes plus précises. Par exemple, les prévisions à deux jours sont une nouveauté qui demande un certain investissement. Or l'installation de matériel plus pointu a un coût et les employés doivent faire de nombreuses heures supplémentaires, tenir des réunions plus régulières, en période de pic.

Par ailleurs, les mesures doivent être encore plus fiables pour être incontestables en cas de mise en place par les pouvoirs publics de la circulation alternée en Île-de-France. Une mesure «très contraignante», a elle-même considéré Ségolène Royal lorsque, la semaine dernière, la maire Anne Hidalgo la souhaitait.

«Un non-sens écologique»

Avec la décision de se désengager pour partie de l'organisme en 2015, l’Etat ne le finance plus qu’à hauteur de 25% sur un budget d’environ 6,1 millions d’euros. «On nous demande de faire plus avec moins. (...) Une baisse brutale de 15% sur une année est incompréhensible d’autant plus que c’est un sujet très sensible», se désolele président d'Airparif, Jean-Félix Bernard. Les autres contributeurs, telle la région Ile-de-France ou la ville de Paris, risquent à terme de devoir compenser. Pour l'instant, seuls les industriels, qui financent 29% du budget, ont augmenté leur contribution.

«Ségolène Royal a remis en question à plusieurs reprises la qualité des informations qui étaient données par Airparif pour justement ne pas agir», accuse pour sa part David Belliard, le coprésident du groupe Vert au Conseil de Paris. Cette baisse de subvention est «un non-sens écologique», dénonce elle la secrétaire nationale d'EELV, Emmanuelle Cosse. «Pourquoi Ségolène Royal ?» interroge-t-elle sur Twitter.
15% de moins de subvention Etat pour @Airparif ? Un non-sens écologique, une contradiction avec CPER 


Source © Le Parisien
Des militants du Mexique, des États-Unis et du Canada demandent au Comité du patrimoine mondial de l'ONU d'inclure un sanctuaire d'hivernage de papillons monarques sur sa liste de sites menacés.

En 2008, l'UNESCO a désigné site du patrimoine mondial cette réserve de 56 259 hectares située dans les montagnes à l'ouest de Mexico. Les monarques des États-Unis et du Canada franchissent chaque année les 5740 kilomètres qui les séparent de la réserve forestière.

Cependant, le nombre de monarques migrant au Mexique a chuté abruptement au cours des dernières années, ce qui a mené certaines personnes à s'inquiéter de la fin définitive de la migration.

L'activiste et écrivain Homero Aridjis a affirmé lundi qu'il fallait ajouter la Réserve de biosphère du papillon monarque à la liste des sites menacés pour pousser les gouvernements à prendre les mesures nécessaires pour protéger l'habitat de ces insectes.

Presque toutes les asclépiades, dont se nourrissent les monarques, ont été tuées par les herbicides utilisées sur les champs de légumes génétiquement modifiés des États-Unis.

Les environnementalistes souhaitent que le gouvernement américain crée des corridors d'asclépiades et limite l'utilisation des pesticides le long des trajets de migration des papillons et dans leurs habitats naturels.

«Le Mexique a avancé à grands pas pour protéger la réserve de monarques de l'abattage illégal ou d'autres menaces, mais nous ne pouvons pas sauver la migration des monarques sans l'aide des États-Unis et du Canada», a écrit M. Aridjis, un ancien ambassadeur du Mexique pour l'UNESCO qui a joué un rôle important dans l'entrée de la Réserve de biosphère du papillon monarque sur la liste du patrimoine mondial.

Source © la presse canadienne
mardi 14 avril 2015
Le 10 avril 2015, la FAO (organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture), l'Unesco, la Banque mondiale, le Fonds pour l'environnement mondial (FEM) et l'Association internationale des hydrogéologues ont appelé la communauté internationale à agir d'urgence pour empêcher la dégradation et l'épuisement des ressources en eaux souterraines.

« En prévision du 7ème Forum mondial de l'eau (World Water Forum), qui se tient du 12 au 17 avril 2015 en Corée du Sud, ces cinq organisations ont proposé aux gouvernements un ensemble de principes permettant une meilleure gestion des eaux souterraines. Lancés lors du Forum, ils constituent un appel pressant pour une action collective et responsable de la part des gouvernements et de la communauté internationale en vue de garantir l'utilisation durable des eaux souterraines. »

« Au plan mondial, les prélèvements d'eau souterraine ont triplé au cours du dernier demi-siècle et plus d'un quart des prélèvements actuels ne sont pas durables. La pollution des eaux souterraines se généralise et menace à la fois l'homme et l'environnement », estiment les cinq organisations.




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