...
samedi 31 décembre 2011
23:58
USA, Un nouveau séisme de magnitude 4.3 dans la région de Youngstown a poussé l'État à faire fermer un puits d'extraction de gaz de schiste qui utilisait la technique de forage appelée «fracturation».
Le ministère des ressources naturelles de l'Ohio a annoncé aujourd'hui qu'un puits d'extraction par injection profonde dans la région de Youngstown a été sommé de suspendre ses opérations.
La région a bizarrement connu une série de petits tremblements de terre depuis que l'exploitation a commencé il y a environ neuf mois. Le plus récent, à la veille de Noël, se situé à moins de trois km de la ville et à environ 1 k 500 du site d'injection.
James Zehringer responsable des Ressources naturelles, a ajouté que jusqu'ici personne n'a prouver de façon concluante que l'activité sismique est liée à cette activité, mais il a décidé tout de même de resté prudent.
Il rappelle dans un communiqué que la priorité de l'État est la santé publique et la protection des ressources naturelles, et qu'il n'est absolument pas disposé à jouer avec la sécurité.
La région n'avait jusqu'ici jamais connue de tremblements de terre jusqu'à ce que la "Northstar Disposal Services" s’installe à Youngstown et commence l'extraction de gaz de schiste par la technique dite de fracturation.
Après une série de secousses constatées, l'Etat a fait installé quatre sismomètres pour surveiller la zone.
L'état de l'Ohio comptabilise prés de 200 puits similaires opérant sur son territoire. Tous utilisent la technique hydraulique de fracturation pour briser les couches de schiste du sous sol qui se fracturent sous une forte pression (600 bars) en libérant leur gaz naturels et le pétrole.
Les sociétés d'exploitation de gaz de schiste utilisant la technique de fracturation prévoient d'augmenter considérablement leurs activités d'extraction dans l'état de l'ohio dans les deux prochaines années.
Source wksu.org Trad Nature Alerte
Gaz de schiste : explications. par nonaugazschiste07
Le ministère des ressources naturelles de l'Ohio a annoncé aujourd'hui qu'un puits d'extraction par injection profonde dans la région de Youngstown a été sommé de suspendre ses opérations.
La région a bizarrement connu une série de petits tremblements de terre depuis que l'exploitation a commencé il y a environ neuf mois. Le plus récent, à la veille de Noël, se situé à moins de trois km de la ville et à environ 1 k 500 du site d'injection.
James Zehringer responsable des Ressources naturelles, a ajouté que jusqu'ici personne n'a prouver de façon concluante que l'activité sismique est liée à cette activité, mais il a décidé tout de même de resté prudent.
Il rappelle dans un communiqué que la priorité de l'État est la santé publique et la protection des ressources naturelles, et qu'il n'est absolument pas disposé à jouer avec la sécurité.
La région n'avait jusqu'ici jamais connue de tremblements de terre jusqu'à ce que la "Northstar Disposal Services" s’installe à Youngstown et commence l'extraction de gaz de schiste par la technique dite de fracturation.
Après une série de secousses constatées, l'Etat a fait installé quatre sismomètres pour surveiller la zone.
L'état de l'Ohio comptabilise prés de 200 puits similaires opérant sur son territoire. Tous utilisent la technique hydraulique de fracturation pour briser les couches de schiste du sous sol qui se fracturent sous une forte pression (600 bars) en libérant leur gaz naturels et le pétrole.
Les sociétés d'exploitation de gaz de schiste utilisant la technique de fracturation prévoient d'augmenter considérablement leurs activités d'extraction dans l'état de l'ohio dans les deux prochaines années.
Source wksu.org Trad Nature Alerte
Gaz de schiste : explications. par nonaugazschiste07
31/12/2011...France, Des milliers de poissons morts dans l'étang de Berre ...et des débats d'experts
10:15
Mercredi tout au long de la journée, les Martégaux ont assisté à un triste spectacle : l'agonie de milliers de poissons morts - des allaches, une espèce de grosse sardine - dans l'étang de Berre.
Les pompiers ont effectué des relevés pour vérifier s'il s'agissait d'un phénomène naturel ou d'une pollution chimique. Selon les premières informations recueillies sur place, il s'agirait d'une diminution de la salinité dans l'étang ces derniers jours, qui expliquerait le phénomène.
Non crie le Gipreb
Le Gipreb qui oeuvre pour la réhabilitation de l'étang et que personne n'a pu joindre au moment des faits (!) a tenu à réagir hier. En effet, pour le syndicat mixte, la mortalité subite des allaches ne serait pas liée à une baisse de la salinité. Elles auraient "été piégées par le froid et peut-être en plus par les sédiments en suspension du fait du mistral".
La salinité hors de cause
"La salinité n'a rien à voir : elle est de 23,5g/l (Les minima imposés à EDF sont de 15g/l et de 20g/l). Il n'y a donc pas non plus d'anoxie des fonds car ces taux de salinité se retrouvent sur l'ensemble de la colonne d'eau (surface, milieu et fond), justifie le Gipreb. Les allaches n'aiment pas le froid. Or la température de l'eau de l'étang est actuellement à 8 degrés, bien en dessous de celle de la Méditerranée. Des bancs d'allaches sont entrés dans l'étang de Berre, sans doute pour se nourrir. Les poissons, peu adaptés aux conditions difficiles d'un milieu lagunaire, auraient alors été surpris par une brusque baisse de température et une importante quantité de limons en suspension dans l'eau, dues au vent violent qui soufflait sur l'étang de Berre."
Cette argumentation est en partie confirmée par Frédéric Tron, du service maritime, à savoir la police de l'eau de la préfecture. "Les allaches sont des proies faciles pour les calamars ou les thonidés, elles ont peut-être remonté l'étang pour échapper à leurs prédateurs et se sont retrouvées piégées, explique ainsi notre interlocuteur. L'an passé, nous avions rencontré le même phénomène dans un bassin de la Joliette à Marseille. Suite à un coup de froid, les allaches sont mortes dans un lieu insolite".
Le froid serait fonction de plusieurs éléments : le vent, qui a refroidi les eaux, les récentes chutes de neige dans les Alpes dont l'étang est l'un des réceptacles naturels et, enfin, le fait que les eaux saumâtres d'un étang sont, toujours, plus froides en hiver que la mer. Sauf que l'argument du froid laisse sceptique bien des observateurs. En effet, les pompiers, qui ont effectué des relevés de température avant-hier, ont noté des eaux de surface à...14ºC. Hier, de nouveaux relevés ont été effectués sur des eaux à 12ºC. Soit loin des 8º enregistrées par les sondes du Gipreb, situés à plusieurs centaines de mètres des lieux de mortalité des poissons.
Une eau limpide
Ensuite, là où le Gipreb relève un taux de salinité de 23,5g/l (et jugé comme très bon par les services maritimes), les mesures effectuées sur site, avant-hier, ont démontré l'existence de poches d'eau à seulement 9g/l de salinité et, plus généralement au bord, de 19 g/l. Enfin, dernier argument du Gipreb et qui laisse sceptique à la fois les services de l'Etat tout comme les sapeurs-pompiers, celui des "sédiments en suspension". Au moment du décès des poissons, les eaux étaient d'une limpidité absolue. À ce stade donc, une seule vérité peut être avancée : il ne s'agit, en rien, d'un problème de pollution. Ce qui est, en soi, déjà un signe plutôt positif. La mort des allaches serait donc, "simplement" à mettre au crédit des dégâts collatéraux de la nature.
Source © la provence
...
...Questions:
1/ Aimez vous les débats d'experts?
2/ Et les sardines prés du port de Marseille, ne bouchent elles pas certaine perspectives...?
Mais j'oubliais, c'est vrai que s'est con une sardine, dés qu'elle flippe, elle perd son sang froid et se réfugie en boite...à sardine ...bien sur.
Les pompiers ont effectué des relevés pour vérifier s'il s'agissait d'un phénomène naturel ou d'une pollution chimique. Selon les premières informations recueillies sur place, il s'agirait d'une diminution de la salinité dans l'étang ces derniers jours, qui expliquerait le phénomène.
Non crie le Gipreb
Le Gipreb qui oeuvre pour la réhabilitation de l'étang et que personne n'a pu joindre au moment des faits (!) a tenu à réagir hier. En effet, pour le syndicat mixte, la mortalité subite des allaches ne serait pas liée à une baisse de la salinité. Elles auraient "été piégées par le froid et peut-être en plus par les sédiments en suspension du fait du mistral".
La salinité hors de cause
"La salinité n'a rien à voir : elle est de 23,5g/l (Les minima imposés à EDF sont de 15g/l et de 20g/l). Il n'y a donc pas non plus d'anoxie des fonds car ces taux de salinité se retrouvent sur l'ensemble de la colonne d'eau (surface, milieu et fond), justifie le Gipreb. Les allaches n'aiment pas le froid. Or la température de l'eau de l'étang est actuellement à 8 degrés, bien en dessous de celle de la Méditerranée. Des bancs d'allaches sont entrés dans l'étang de Berre, sans doute pour se nourrir. Les poissons, peu adaptés aux conditions difficiles d'un milieu lagunaire, auraient alors été surpris par une brusque baisse de température et une importante quantité de limons en suspension dans l'eau, dues au vent violent qui soufflait sur l'étang de Berre."
Cette argumentation est en partie confirmée par Frédéric Tron, du service maritime, à savoir la police de l'eau de la préfecture. "Les allaches sont des proies faciles pour les calamars ou les thonidés, elles ont peut-être remonté l'étang pour échapper à leurs prédateurs et se sont retrouvées piégées, explique ainsi notre interlocuteur. L'an passé, nous avions rencontré le même phénomène dans un bassin de la Joliette à Marseille. Suite à un coup de froid, les allaches sont mortes dans un lieu insolite".
Le froid serait fonction de plusieurs éléments : le vent, qui a refroidi les eaux, les récentes chutes de neige dans les Alpes dont l'étang est l'un des réceptacles naturels et, enfin, le fait que les eaux saumâtres d'un étang sont, toujours, plus froides en hiver que la mer. Sauf que l'argument du froid laisse sceptique bien des observateurs. En effet, les pompiers, qui ont effectué des relevés de température avant-hier, ont noté des eaux de surface à...14ºC. Hier, de nouveaux relevés ont été effectués sur des eaux à 12ºC. Soit loin des 8º enregistrées par les sondes du Gipreb, situés à plusieurs centaines de mètres des lieux de mortalité des poissons.
Une eau limpide
Ensuite, là où le Gipreb relève un taux de salinité de 23,5g/l (et jugé comme très bon par les services maritimes), les mesures effectuées sur site, avant-hier, ont démontré l'existence de poches d'eau à seulement 9g/l de salinité et, plus généralement au bord, de 19 g/l. Enfin, dernier argument du Gipreb et qui laisse sceptique à la fois les services de l'Etat tout comme les sapeurs-pompiers, celui des "sédiments en suspension". Au moment du décès des poissons, les eaux étaient d'une limpidité absolue. À ce stade donc, une seule vérité peut être avancée : il ne s'agit, en rien, d'un problème de pollution. Ce qui est, en soi, déjà un signe plutôt positif. La mort des allaches serait donc, "simplement" à mettre au crédit des dégâts collatéraux de la nature.
Source © la provence
...
...Questions:
1/ Aimez vous les débats d'experts?
2/ Et les sardines prés du port de Marseille, ne bouchent elles pas certaine perspectives...?
Mais j'oubliais, c'est vrai que s'est con une sardine, dés qu'elle flippe, elle perd son sang froid et se réfugie en boite...à sardine ...bien sur.
09:41
Une épaisse et mystérieuse couche de mousse blanche a doucement envahi les bords de mer de la ville balnéaire de Cleveleys près de Blackpool, mercredi, ça peut ressembler à tout, sauf à une neige de saison.
L’agence de l'Environnement a rapidement dépêché ses agents sur place pour tenter d’éclairer cette mystérieuse apparition de mousse qui s'étale dans les rues en engloutissant les voitures des promeneurs du dimanche.
La mousse semble être attisée par les vents forts du front de mer, et ce régulièrement et pour la deuxième fois cette année, mais son apparition reste toujours un mystère.
Les tests effectués en laboratoire les années précédentes n'y ont pas trouvé de signes de pollution. Il semble plutôt qu'une décomposition massive de matière algale en soit à l'origine.
"Lorsque les marées et les vents se combinent la décompositions des algues de fond remontent à la surface et elles produisent cette mousse" ont l'air d'affirmer les autorités sanitaires du pays.
Néanmoins des agents sanitaires sont de nouveau sur place depuis mercredi pour recueillir une fois de plus quelques échantillons dans leurs éprouvettes.
Les résultats des tests sont impatiemment attendus, ils risquent de confirmer que cette mousse est d'origine naturelle et non causé par des détergents comme le laisse supposer certain.
"Si seulement nous pouvions comprendre les conditions météo qui en sont la cause, cela nous aidera à prédire et à informer les autorités locales impliquées dans les opérations de nettoyage", a t-elle ajouté.
Source: The Guardian
....
....Humm....
- ...mais après tout les fuites de pétrole constatées en mer du nord, peut on imaginer que des dispersants puissent...?
- NON.
-...(silence)...
L’agence de l'Environnement a rapidement dépêché ses agents sur place pour tenter d’éclairer cette mystérieuse apparition de mousse qui s'étale dans les rues en engloutissant les voitures des promeneurs du dimanche.
La mousse semble être attisée par les vents forts du front de mer, et ce régulièrement et pour la deuxième fois cette année, mais son apparition reste toujours un mystère.
Les tests effectués en laboratoire les années précédentes n'y ont pas trouvé de signes de pollution. Il semble plutôt qu'une décomposition massive de matière algale en soit à l'origine.
"Lorsque les marées et les vents se combinent la décompositions des algues de fond remontent à la surface et elles produisent cette mousse" ont l'air d'affirmer les autorités sanitaires du pays.
Néanmoins des agents sanitaires sont de nouveau sur place depuis mercredi pour recueillir une fois de plus quelques échantillons dans leurs éprouvettes.
Les résultats des tests sont impatiemment attendus, ils risquent de confirmer que cette mousse est d'origine naturelle et non causé par des détergents comme le laisse supposer certain.
"Si seulement nous pouvions comprendre les conditions météo qui en sont la cause, cela nous aidera à prédire et à informer les autorités locales impliquées dans les opérations de nettoyage", a t-elle ajouté.
Source: The Guardian
....
....Humm....
- ...mais après tout les fuites de pétrole constatées en mer du nord, peut on imaginer que des dispersants puissent...?
- NON.
-...(silence)...
09:33
Un écrin de nature dans le grand sud chilien, un parc alliant glaciers et lacs andins, forêts et steppe de Patagonie, est depuis trois jours la proie d'un incendie qui inquiète de plus en plus les autorités et a déjà détruit 8500 hectares, soit 3 à 4% de sa superficie.
Le Parc national Torres del Paine, visité chaque année par plus de 100 000 personnes, a été fermé jeudi, et le restera pendant tout le mois de janvier, a annoncé vendredi le président Sebastian Piñera, après la réunion d'une cellule de crise.
En dépit des premiers communiqués évoquant un incendie «circonscrit», les autorités ont déployé chaque jour davantage de renforts sur la zone: 400 personnes devraient être sur le pied de guerre samedi. Et elles parlent à présent, comme M. Piñera vendredi, d'une «situation extrêmement complexe».
La zone de l'incendie est une langue rocheuse accidentée entre des sommets enneigés de 3000 m d'altitude et un lac navigable, le lac Grey. Un mélange de forêts, d'arbustes et de lande y fournit depuis 72 heures un combustible de choix.
«Nous sommes face à une situation extrêmement complexe, un scénario extrême, principalement en raison de la topographie, de vents violents et de l'état de la végétation, hautement inflammable», a expliqué vendredi Vicente Nuñez, directeur du Bureau national des urgences (Onemi).
La superficie de végétation réduite en cendres demeure toutefois relativement modeste, représentant moins de 4% du parc de 230 000 hectares, un des joyaux prisés de la Patagonie, situé à 3000 km de Santiago, la capitale.
Mais la progression des derniers jours, avec une superficie consumée doublant du jour au lendemain, et la persistance de conditions hostiles, inquiètent.
Surtout, le feu touche un site emblématique des amoureux de la nature, classé depuis 1978 réserve de biosphère par l'UNESCO et considéré par nombre de randonneurs comme l'un des plus beaux parcs d'Amérique du Sud.
Les rares images aériennes prises depuis les hélicoptères de secours ont permis de voir surtout un vaste nuage de fumée s'élevant d'une cheminée de granit, obstruant un décor somptueux de roche enneigée, de verdure et de lac couleur turquoise.
L'incendie s'est déclaré mardi, non loin d'un sentier de randonnée proche du lac Grey, ce qui a fait évoquer par le ministre de l'Intérieur Rodrigo Hinzpeter «une cause humaine hautement probable, sans doute une négligence».
Après l'évacuation «préventive» mercredi de 20 touristes d'un refuge situé à 2 km du foyer, ce sont au total 700 personnes qui ont été évacuées, entre touristes et employés d'auberges.
Les autorités ont été stigmatisées pour la lenteur de leur réaction.
Luis Mariano Rendon, coordinateur de l'ONG Accion ecologica, a en particulier osé une amère comparaison avec l'efficacité des autorités dans la répression des manifestations étudiantes de 2011, à l'aide de lances à eau.
«On aurait aimé voir ce gouvernement aussi doué pour lancer de l'eau sur les flammes qui consument notre patrimoine naturel que sur les citoyens défendant leurs droits», a-t-il déclaré.
Entre pompiers professionnels, militaires, agents de l'office des forêts Conaf et des renforts venus de l'Argentine voisine, le nombre de personnes luttant contre le feu devrait atteindre 400 samedis, selon M. Piñera.
L'appui aérien par hélicoptères reste aléatoire et soumis aux conditions climatiques, notamment aux rafales qui ont atteint ces derniers jours les 100 km/h, attisant les flammes.
M. Piñera a souligné qu'une expertise pour ce type d'incendie était sollicitée auprès de l'Argentine, des États-Unis et de l'Australie.
D'ici là, un répit crucial pourrait venir du ciel, avec des chutes de pluie de 10 à 15 millimètres attendues entre vendredi soir et samedi.
Source © AFP
Le Parc national Torres del Paine, visité chaque année par plus de 100 000 personnes, a été fermé jeudi, et le restera pendant tout le mois de janvier, a annoncé vendredi le président Sebastian Piñera, après la réunion d'une cellule de crise.
En dépit des premiers communiqués évoquant un incendie «circonscrit», les autorités ont déployé chaque jour davantage de renforts sur la zone: 400 personnes devraient être sur le pied de guerre samedi. Et elles parlent à présent, comme M. Piñera vendredi, d'une «situation extrêmement complexe».
La zone de l'incendie est une langue rocheuse accidentée entre des sommets enneigés de 3000 m d'altitude et un lac navigable, le lac Grey. Un mélange de forêts, d'arbustes et de lande y fournit depuis 72 heures un combustible de choix.
«Nous sommes face à une situation extrêmement complexe, un scénario extrême, principalement en raison de la topographie, de vents violents et de l'état de la végétation, hautement inflammable», a expliqué vendredi Vicente Nuñez, directeur du Bureau national des urgences (Onemi).
La superficie de végétation réduite en cendres demeure toutefois relativement modeste, représentant moins de 4% du parc de 230 000 hectares, un des joyaux prisés de la Patagonie, situé à 3000 km de Santiago, la capitale.
Mais la progression des derniers jours, avec une superficie consumée doublant du jour au lendemain, et la persistance de conditions hostiles, inquiètent.
Surtout, le feu touche un site emblématique des amoureux de la nature, classé depuis 1978 réserve de biosphère par l'UNESCO et considéré par nombre de randonneurs comme l'un des plus beaux parcs d'Amérique du Sud.
Les rares images aériennes prises depuis les hélicoptères de secours ont permis de voir surtout un vaste nuage de fumée s'élevant d'une cheminée de granit, obstruant un décor somptueux de roche enneigée, de verdure et de lac couleur turquoise.
L'incendie s'est déclaré mardi, non loin d'un sentier de randonnée proche du lac Grey, ce qui a fait évoquer par le ministre de l'Intérieur Rodrigo Hinzpeter «une cause humaine hautement probable, sans doute une négligence».
Après l'évacuation «préventive» mercredi de 20 touristes d'un refuge situé à 2 km du foyer, ce sont au total 700 personnes qui ont été évacuées, entre touristes et employés d'auberges.
Les autorités ont été stigmatisées pour la lenteur de leur réaction.
Luis Mariano Rendon, coordinateur de l'ONG Accion ecologica, a en particulier osé une amère comparaison avec l'efficacité des autorités dans la répression des manifestations étudiantes de 2011, à l'aide de lances à eau.
«On aurait aimé voir ce gouvernement aussi doué pour lancer de l'eau sur les flammes qui consument notre patrimoine naturel que sur les citoyens défendant leurs droits», a-t-il déclaré.
Entre pompiers professionnels, militaires, agents de l'office des forêts Conaf et des renforts venus de l'Argentine voisine, le nombre de personnes luttant contre le feu devrait atteindre 400 samedis, selon M. Piñera.
L'appui aérien par hélicoptères reste aléatoire et soumis aux conditions climatiques, notamment aux rafales qui ont atteint ces derniers jours les 100 km/h, attisant les flammes.
M. Piñera a souligné qu'une expertise pour ce type d'incendie était sollicitée auprès de l'Argentine, des États-Unis et de l'Australie.
D'ici là, un répit crucial pourrait venir du ciel, avec des chutes de pluie de 10 à 15 millimètres attendues entre vendredi soir et samedi.
Source © AFP
09:29
Au moins 33 personnes ont été tuées par le cyclone Thane qui a frappé vendredi le sud de l'Inde, ont indiqué samedi des responsables locaux.
Le cyclone a frappé la côte entre la ville de Cuddalore, dans l'Etat du Tamil Nadu, et le territoire de l'ancienne enclave française de Pondichéry.
Au moins 21 personnes sont mortes à Cuddalore, où les vents ont atteint 140 km/h, cinq autres dans l'Etat du Tamil Nadu et sept à Pondichéry, selon ces responsables.
Le cyclone a également provoqué des dégâts matériels dans la zone touchée où les coupures de courant persistaient samedi.
Un cargo s'est également échoué à Madras, selon l'agence PTI.
Source Belga
Le cyclone Thane tue en Inde par Zoomin_France
Le cyclone a frappé la côte entre la ville de Cuddalore, dans l'Etat du Tamil Nadu, et le territoire de l'ancienne enclave française de Pondichéry.
Au moins 21 personnes sont mortes à Cuddalore, où les vents ont atteint 140 km/h, cinq autres dans l'Etat du Tamil Nadu et sept à Pondichéry, selon ces responsables.
Le cyclone a également provoqué des dégâts matériels dans la zone touchée où les coupures de courant persistaient samedi.
Un cargo s'est également échoué à Madras, selon l'agence PTI.
Source Belga
Le cyclone Thane tue en Inde par Zoomin_France
Libellés :
cyclone
|
0
commentaires
09:22
Le volcan Cleveland, situé dans les îles Aléoutiennes à environ 75 km à l'ouest du village de Nikolski, est de nouveau entré en éruption, mais cette fois ci elle est importante puisque son panache de cendre a été propulsé à plus de 4500 m de hauteur
Après plusieurs semaines d'une sage activité, le niveau d'alerte du volcan a été plusieurs fois déclassé cette année, avant d'être de nouveau en alerte "orange" depuis avant hier. (zone de danger pour l'aviation)
L'AVO a déclaré que l'imagerie par satellite de jeudi, a confirmé la présence d'un nuage de cendres important, dont le panache s'étale sur plus de 100 km.
La dernière éruption importante de Cleveland en Février dernier a vu ses cendres atteindre les 12 000 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Les compagnies aériennes sont encouragés à faire preuve de prudence, mais l'AVO a déclaré que cette éruption est peut être qu'un événement isolé.
Le volcan Cleveland est dépourvu de tout équipement de surveillance en temps réel.
________________________________________________________________________________________
________________________________________________________________________________________
Après plusieurs semaines d'une sage activité, le niveau d'alerte du volcan a été plusieurs fois déclassé cette année, avant d'être de nouveau en alerte "orange" depuis avant hier. (zone de danger pour l'aviation)
L'AVO a déclaré que l'imagerie par satellite de jeudi, a confirmé la présence d'un nuage de cendres important, dont le panache s'étale sur plus de 100 km.
La dernière éruption importante de Cleveland en Février dernier a vu ses cendres atteindre les 12 000 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Les compagnies aériennes sont encouragés à faire preuve de prudence, mais l'AVO a déclaré que cette éruption est peut être qu'un événement isolé.
Le volcan Cleveland est dépourvu de tout équipement de surveillance en temps réel.
________________________________________________________________________________________
________________________________________________________________________________________
jeudi 29 décembre 2011
16:55
Poules pondeuses: Une surface de deux tickets de métro en plus dans leurs cages
Elles auront un peu plus de place à partir du 1er janvier grâce à une nouvelle règlementation européenne...
Un peu d'air pour les poules pondeuses, ou presque. Les volailles devraient disposer d'un peu plus de place - l'équivalent de la surface de deux tickets de métro - dans leurs cages à partir du 1er janvier, mais resteront parquées dans des batteries, qui hébergent actuellement 80% des gallinacés produisant les oeufs consommés en France, selon l'association L214 pour l'élevage en liberté.
«Actuellement les poules disposent d'une surface équivalente à une feuille de format A4 (550 cm2 par poule) et à partir du 1er janvier 2012, elles disposeront d'une surface supplémentaire d'un peu plus de deux tickets de métro», souligne jeudi l'association dans un communiqué.
Minimum de 750 cm2 par poule dans la cage
Les nouvelles normes européennes pour l'élevage en batterie, adoptées en 1999, entreront en vigueur dimanche pour tous les Etats membres de l'UE. Elles imposent un minimum de 750 cm2 par poule dans la cage (dont 600 cm2 de surface utilisable), une mangeoire d'au moins 12 cm de long par poule et l'accès à un abreuvoir. D'autres aménagements sont également rendus obligatoires comme le nid et la litière permettant le picotage et le grattage, un perchoir et un dispositif de raccourcissement des griffes.
Selon une enquête menée par L214 dans quelques élevages ayant déjà adopté les nouvelles normes en France, le «nid», indique-t-elle, se limite à quelques lamelles de plastique sur un sol grillagé et un bout de papier de verre collé dans un coin de la cage fait office de raccourcisseur de griffes.
«Les conditions de vie des poules restent misérables, entassées dans les cages sans accès à l'extérieur», souligne l'association qui invite les consommateurs à boycotter les oeufs de poules en batterie, reconnaissables
Source 20minutes.fr
...Alors 0, 1, 2 ou 3...?....à vous de choisir...!!!...
...En attendant , vous connaissez surement vos classiques!
La Poule aux oeufs d'or
L'avarice perd tout en voulant tout gagner.
Je ne veux, pour le témoigner,
Que celui dont la Poule, à ce que dit la Fable,
Pondait tous les jours un oeuf d'or.
Il crut que dans son corps elle avait un trésor.
Il la tua, l'ouvrit, et la trouva semblable
A celles dont les oeufs ne lui rapportaient rien,
S'étant lui-même ôté le plus beau de son bien.
Belle leçon pour les gens chiches :
Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vus
Qui du soir au matin sont pauvres devenus
Pour vouloir trop tôt être riches ?
© jean de la fontaine
...Voilà...comme sur du billard...
Sport_Biliard_(poule) par katch50
Elles auront un peu plus de place à partir du 1er janvier grâce à une nouvelle règlementation européenne...
Un peu d'air pour les poules pondeuses, ou presque. Les volailles devraient disposer d'un peu plus de place - l'équivalent de la surface de deux tickets de métro - dans leurs cages à partir du 1er janvier, mais resteront parquées dans des batteries, qui hébergent actuellement 80% des gallinacés produisant les oeufs consommés en France, selon l'association L214 pour l'élevage en liberté.
«Actuellement les poules disposent d'une surface équivalente à une feuille de format A4 (550 cm2 par poule) et à partir du 1er janvier 2012, elles disposeront d'une surface supplémentaire d'un peu plus de deux tickets de métro», souligne jeudi l'association dans un communiqué.
Minimum de 750 cm2 par poule dans la cage
Les nouvelles normes européennes pour l'élevage en batterie, adoptées en 1999, entreront en vigueur dimanche pour tous les Etats membres de l'UE. Elles imposent un minimum de 750 cm2 par poule dans la cage (dont 600 cm2 de surface utilisable), une mangeoire d'au moins 12 cm de long par poule et l'accès à un abreuvoir. D'autres aménagements sont également rendus obligatoires comme le nid et la litière permettant le picotage et le grattage, un perchoir et un dispositif de raccourcissement des griffes.
Selon une enquête menée par L214 dans quelques élevages ayant déjà adopté les nouvelles normes en France, le «nid», indique-t-elle, se limite à quelques lamelles de plastique sur un sol grillagé et un bout de papier de verre collé dans un coin de la cage fait office de raccourcisseur de griffes.
«Les conditions de vie des poules restent misérables, entassées dans les cages sans accès à l'extérieur», souligne l'association qui invite les consommateurs à boycotter les oeufs de poules en batterie, reconnaissables
Source 20minutes.fr
...Alors 0, 1, 2 ou 3...?....à vous de choisir...!!!...
...En attendant , vous connaissez surement vos classiques!
La Poule aux oeufs d'or
L'avarice perd tout en voulant tout gagner.
Je ne veux, pour le témoigner,
Que celui dont la Poule, à ce que dit la Fable,
Pondait tous les jours un oeuf d'or.
Il crut que dans son corps elle avait un trésor.
Il la tua, l'ouvrit, et la trouva semblable
A celles dont les oeufs ne lui rapportaient rien,
S'étant lui-même ôté le plus beau de son bien.
Belle leçon pour les gens chiches :
Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vus
Qui du soir au matin sont pauvres devenus
Pour vouloir trop tôt être riches ?
© jean de la fontaine
...Voilà...comme sur du billard...
Sport_Biliard_(poule) par katch50
15:26
Une nappe phréatique contaminée par les techniques d'extraction du gaz de schiste: le ministre Arcand prend la situation «très au sérieux»
Le ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP), Pierre Arcand, dit prendre «très au sérieux» les premiers indices de contamination de l'eau souterraine par un puits de gaz de schiste.
Il affirme toutefois que ce cas de migration de gaz dans la nappe phréatique reste «hypothétique» en attendant des détails supplémentaires.
Samedi, La Presse a révélé l'existence d'un test mené par un expert albertain pour le compte d'une société d'exploration gazière non nommée.
M. Arcand a fait savoir par courriel à La Presse qu'il a «ordonné aux fonctionnaires du MDDEP de s'enquérir du lieu où les échantillons ont été prélevés et pour connaître le nom de la société qui [...] a fourni les échantillons».
Même signature chimique
Ce test indique que du gaz capté dans une nappe d'eau souterraine au Québec a la même signature chimique que le gaz recueilli dans le gisement, à plus de 1000 mètres plus bas. Il a été réalisé par le professeur Karlis Muehlenbachs, de la faculté des sciences de la Terre et de l'atmosphère à l'Université d'Edmonton, qui a dévoilé ses résultats lors d'un colloque à Washington en novembre.
M. Muehlenbachs affirme que les tests de «profil isotopique» qu'il réalise permettent d'établir précisément l'origine du gaz en vérifiant le taux de carbone-13 dans ses molécules.
Selon lui, soit le gaz a trouvé un chemin par une faille naturelle après la fracturation du puits, soit il est remonté le long du tubage du puits à cause d'une mauvaise cimentation, soit il s'y trouvait déjà naturellement.
Une explication humaine
Cette dernière hypothèse ne peut être écartée parce qu'on ne détient pas les données de base sur la signature chimique du gaz dans les eaux souterraines au Québec.
Cependant, M. Muehlenbachs penche pour une explication humaine plutôt que naturelle. «Du point de vue géologique, le schiste s'est scellé il y a 300 millions d'années, dit-il. Et puis l'homme est intervenu.»
Tout comme le MDDEP, La Presse s'est heurtée au refus du chercheur de divulguer le nom de la société qui lui a fourni les échantillons.
En entrevue la semaine dernière, le MDDEP a indiqué qu'un nouveau règlement prévoyait la transmission d'informations au sujet des forages gaziers. En vertu de ce règlement, des sociétés ont fourni au Ministère certains profils isotopiques, mais pas ceux de M. Muehlenbachs.
Scott McKay, porte-parole de l'opposition officielle en matière d'environnement, croit que le ministre et ses fonctionnaires doivent se faire insistants. «Le ministre Arcand doit assumer pleinement sa responsabilité de protéger l'environnement des Québécois, dit-il. Il doit savoir de quel puits on parle et faire ses vérifications.»
La semaine dernière, Charles Lamontagne, hydrogéologue au MDDEP, a affirmé à La Presse qu'il serait utile qu'une étude du profil isotopique des eaux souterraines soit faite pour l'ensemble du territoire visé par l'industrie gazière.
M. Muelhenbachs estime que c'est particulièrement souhaitable au Québec, qui n'a pas une longue histoire de forages pétroliers et gaziers. «L'eau souterraine au Québec est encore dans son état d'origine», a-t-il dit.
Le comité de l'EES décidera
Mais le ministre Arcand considère que la technique d'analyse employée par M. Muehlenbachs, bien que «prometteuse», en est «seulement à l'étape du développement scientifique» et doit encore être «validée par la communauté scientifique».
Selon M. Arcand, il revient au Comité de l'évaluation environnementale stratégique (EES) sur les gaz de schiste de décider si cette étude doit être faite ou non.
M. McKay croit toutefois que le MDDEP doit prendre l'initiative. «Le Ministère semble avoir délégué ses responsabilités au comité de l'EES, alors que ça ne devrait pas être le cas», dit-il.
Source © Cyberpresse.ca
________________________________________________________________________________________
________________________________________________________________________________________
Masoschiste par Lesrecycleurs
Le ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP), Pierre Arcand, dit prendre «très au sérieux» les premiers indices de contamination de l'eau souterraine par un puits de gaz de schiste.
Il affirme toutefois que ce cas de migration de gaz dans la nappe phréatique reste «hypothétique» en attendant des détails supplémentaires.
Samedi, La Presse a révélé l'existence d'un test mené par un expert albertain pour le compte d'une société d'exploration gazière non nommée.
M. Arcand a fait savoir par courriel à La Presse qu'il a «ordonné aux fonctionnaires du MDDEP de s'enquérir du lieu où les échantillons ont été prélevés et pour connaître le nom de la société qui [...] a fourni les échantillons».
Même signature chimique
Ce test indique que du gaz capté dans une nappe d'eau souterraine au Québec a la même signature chimique que le gaz recueilli dans le gisement, à plus de 1000 mètres plus bas. Il a été réalisé par le professeur Karlis Muehlenbachs, de la faculté des sciences de la Terre et de l'atmosphère à l'Université d'Edmonton, qui a dévoilé ses résultats lors d'un colloque à Washington en novembre.
M. Muehlenbachs affirme que les tests de «profil isotopique» qu'il réalise permettent d'établir précisément l'origine du gaz en vérifiant le taux de carbone-13 dans ses molécules.
Selon lui, soit le gaz a trouvé un chemin par une faille naturelle après la fracturation du puits, soit il est remonté le long du tubage du puits à cause d'une mauvaise cimentation, soit il s'y trouvait déjà naturellement.
Une explication humaine
Cette dernière hypothèse ne peut être écartée parce qu'on ne détient pas les données de base sur la signature chimique du gaz dans les eaux souterraines au Québec.
Cependant, M. Muehlenbachs penche pour une explication humaine plutôt que naturelle. «Du point de vue géologique, le schiste s'est scellé il y a 300 millions d'années, dit-il. Et puis l'homme est intervenu.»
Tout comme le MDDEP, La Presse s'est heurtée au refus du chercheur de divulguer le nom de la société qui lui a fourni les échantillons.
En entrevue la semaine dernière, le MDDEP a indiqué qu'un nouveau règlement prévoyait la transmission d'informations au sujet des forages gaziers. En vertu de ce règlement, des sociétés ont fourni au Ministère certains profils isotopiques, mais pas ceux de M. Muehlenbachs.
Scott McKay, porte-parole de l'opposition officielle en matière d'environnement, croit que le ministre et ses fonctionnaires doivent se faire insistants. «Le ministre Arcand doit assumer pleinement sa responsabilité de protéger l'environnement des Québécois, dit-il. Il doit savoir de quel puits on parle et faire ses vérifications.»
La semaine dernière, Charles Lamontagne, hydrogéologue au MDDEP, a affirmé à La Presse qu'il serait utile qu'une étude du profil isotopique des eaux souterraines soit faite pour l'ensemble du territoire visé par l'industrie gazière.
M. Muelhenbachs estime que c'est particulièrement souhaitable au Québec, qui n'a pas une longue histoire de forages pétroliers et gaziers. «L'eau souterraine au Québec est encore dans son état d'origine», a-t-il dit.
Le comité de l'EES décidera
Mais le ministre Arcand considère que la technique d'analyse employée par M. Muehlenbachs, bien que «prometteuse», en est «seulement à l'étape du développement scientifique» et doit encore être «validée par la communauté scientifique».
Selon M. Arcand, il revient au Comité de l'évaluation environnementale stratégique (EES) sur les gaz de schiste de décider si cette étude doit être faite ou non.
M. McKay croit toutefois que le MDDEP doit prendre l'initiative. «Le Ministère semble avoir délégué ses responsabilités au comité de l'EES, alors que ça ne devrait pas être le cas», dit-il.
Source © Cyberpresse.ca
________________________________________________________________________________________
________________________________________________________________________________________
Masoschiste par Lesrecycleurs
12:04
Si les anglais ont d'étranges nuages (voir article précédent) , ils vont aussi faire la récolte des légumes trois mois plus tôt que prévu...
Des récoltes exceptionnelles de légumes risquent d'arriver trois mois plus tôt que prévu, c'est la dernière saga de la clémence climatique et météorologique en Angleterre .
Les agriculteurs sont presque arrivés à la récolte des choux (et ce pas à en mode de chez nous ndlr N/A), des brocolis et des choux-fleurs. Ils vont arrivé à maturité trois mois plus tôt que d'habitude et certains craignent de voir des pénuries aux printemps.... ( mais au printemps les choux c'est devenu has been, aujourd'hui tout le monde sait qu'en mai on fait ce qui nous plait et donc qu'on fait pousser de l'essence ...N/A)
Les prévisionnistes anglais on annoncé hier que les températures de début d'année pourraient atteindre 14°C pour le réveillon du Nouvel An. Un événement météorologique des plus inhabituel et idéal pour les fêtards.( youkoulélé)
Avec un temps pareil les agriculteurs ont maintenant tendance à récolter les cultures bien en avance sur le calendrier
Après une journée fraîche aujourd'hui, des vents forts et quelques averses, un nouveau climat de douceurs va s’installer dés demain sur la région sud de l’Angleterre et continuer pendant toute la première semaine de 2012.
Cette année Décembre a vu pousser les fleurs du printemps presqu'avant les chutes des feuilles d'automne qui s'attarde ... donc qu'est il arrivé à notre hiver? s'interroge le Daily mail...
À la ferme Riverford près de Totnes dans le Devon, qui fournit plus de 40 000 ménages en légumes chaque semaine, entre 15 et 20 pour cent de la récolte du choux de Milan est déjà à floraison, ceux là seront mis en cagot dés fin février...
Le gestionnaire des récoltes Ed Scott a déclaré, que sans aucune vague de froid cette année, les poireaux et les choux qui sont normalement en «hibernation» vont continuer à croître et seront probablement disponibles dés Février ou mi-Mars.
"La floraison s'effectue normalement en mars, aujourd'hui ils fleurissent en Décembre."
"Notre souci est maintenant de savoir si les cultures tiendront jusqu'à la récolte. Après l'hiver brutal de l'an dernier, on espère qu'aucune gelée ou même de la neige ne viennent détruire notre production les deux prochains mois".
Philippe Pryor, un autre producteur près de Truro en Cornouailles craint lui que ce temps trop chaud cause un engorgement des légumes au printemps et une baisse des prix.
"si la météo ne revient pas à la normale: Les volumes risquent de s'accroitre plus que prévu et faire chuter les prix".
La "National Farmers Union" quant à elle minimise ces inquiétudes; "c'est un évènement qui ne touche que le sud-ouest de l'Angleterre, ce n'est pas une vérité nationale, les rayons des supermarchés ne seront pas vide ce printemps, bien au contraire ,on risque même de voir les légumes de saison arriver plus tôt sur les étalages."
La vague de chaleur qui a débuté à la fin du mois de Septembre n'a guère diminué depuis, avec des températures atteignant même 15.5C (60F) ces derniers jours dans l'Aberdeenshire, une température moyenne du mois de Juin.
A Noël, dans le Devon et le Buckinghamshire, des jardiniers amateurs ont affirmé avoir vu des perce-neige, qui apparaissent généralement en Février, et même au début de l'éclosion des jonquilles.
Sacha Hubbard, pepiniériste à Hill House dans l'Ashburton prés de Devon a écrit sur Twitter:
«Une jonquille est en fleur - c'est pas un événement ordinaire, bonnes fêtes à tous!».
Source dailymail Trad Nature Alerte
Des récoltes exceptionnelles de légumes risquent d'arriver trois mois plus tôt que prévu, c'est la dernière saga de la clémence climatique et météorologique en Angleterre .
Les agriculteurs sont presque arrivés à la récolte des choux (et ce pas à en mode de chez nous ndlr N/A), des brocolis et des choux-fleurs. Ils vont arrivé à maturité trois mois plus tôt que d'habitude et certains craignent de voir des pénuries aux printemps.... ( mais au printemps les choux c'est devenu has been, aujourd'hui tout le monde sait qu'en mai on fait ce qui nous plait et donc qu'on fait pousser de l'essence ...N/A)
Les prévisionnistes anglais on annoncé hier que les températures de début d'année pourraient atteindre 14°C pour le réveillon du Nouvel An. Un événement météorologique des plus inhabituel et idéal pour les fêtards.( youkoulélé)
Avec un temps pareil les agriculteurs ont maintenant tendance à récolter les cultures bien en avance sur le calendrier
Après une journée fraîche aujourd'hui, des vents forts et quelques averses, un nouveau climat de douceurs va s’installer dés demain sur la région sud de l’Angleterre et continuer pendant toute la première semaine de 2012.
Cette année Décembre a vu pousser les fleurs du printemps presqu'avant les chutes des feuilles d'automne qui s'attarde ... donc qu'est il arrivé à notre hiver? s'interroge le Daily mail...
À la ferme Riverford près de Totnes dans le Devon, qui fournit plus de 40 000 ménages en légumes chaque semaine, entre 15 et 20 pour cent de la récolte du choux de Milan est déjà à floraison, ceux là seront mis en cagot dés fin février...
Le gestionnaire des récoltes Ed Scott a déclaré, que sans aucune vague de froid cette année, les poireaux et les choux qui sont normalement en «hibernation» vont continuer à croître et seront probablement disponibles dés Février ou mi-Mars.
"La floraison s'effectue normalement en mars, aujourd'hui ils fleurissent en Décembre."
"Notre souci est maintenant de savoir si les cultures tiendront jusqu'à la récolte. Après l'hiver brutal de l'an dernier, on espère qu'aucune gelée ou même de la neige ne viennent détruire notre production les deux prochains mois".
Philippe Pryor, un autre producteur près de Truro en Cornouailles craint lui que ce temps trop chaud cause un engorgement des légumes au printemps et une baisse des prix.
"si la météo ne revient pas à la normale: Les volumes risquent de s'accroitre plus que prévu et faire chuter les prix".
La "National Farmers Union" quant à elle minimise ces inquiétudes; "c'est un évènement qui ne touche que le sud-ouest de l'Angleterre, ce n'est pas une vérité nationale, les rayons des supermarchés ne seront pas vide ce printemps, bien au contraire ,on risque même de voir les légumes de saison arriver plus tôt sur les étalages."
La vague de chaleur qui a débuté à la fin du mois de Septembre n'a guère diminué depuis, avec des températures atteignant même 15.5C (60F) ces derniers jours dans l'Aberdeenshire, une température moyenne du mois de Juin.
A Noël, dans le Devon et le Buckinghamshire, des jardiniers amateurs ont affirmé avoir vu des perce-neige, qui apparaissent généralement en Février, et même au début de l'éclosion des jonquilles.
Sacha Hubbard, pepiniériste à Hill House dans l'Ashburton prés de Devon a écrit sur Twitter:
«Une jonquille est en fleur - c'est pas un événement ordinaire, bonnes fêtes à tous!».
Source dailymail Trad Nature Alerte
Y'a plus de saison! from Skimorgan on Vimeo.
10:27
Alors que l’Amérique du Sud compte déjà des millions d’hectares de cultures OGM, le Pérou affirme sa différence en interdisant l’importation et la production d’organismes génétiquement modifiés sur son territoire pour une période de dix ans.
Le président du Pérou entend conserver la biodiversité nationale.
La production et l'importation de produits contenant des OGM sont désormais interdites au Pérou. Le président péruvien Ollanta Humala vient de promulguer une loi qui bannit les organismes génétiquement modifiés pour une durée de dix ans. Il réalise ainsi une de ses promesses électorales, qui visait à protéger la biodiversité et l'agriculture biologique de son pays. Le Pérou est le seul pays d’Amérique latine à avoir pris une telle décision.
Seules les plantes utilisées à des fins scientifiques et celles destinées à la fabrication de produits pharmaceutiques ou vétérinaires seront encore autorisées.
La détermination d’Ollanta Humala a été saluée par la Convention nationale de l’agriculture péruvienne (CONVEAGRO), qui se réjouit que le président ait pu prendre une décision sans céder aux pressions exercées par les puissants lobbys qui contrôlent le marché des OGM. L’exécutif devra maintenant règlementer ce nouveau texte et établir les infractions et les sanctions encourues en cas de non respect de la loi.
Le président du Pérou entend conserver la biodiversité nationale.
La production et l'importation de produits contenant des OGM sont désormais interdites au Pérou. Le président péruvien Ollanta Humala vient de promulguer une loi qui bannit les organismes génétiquement modifiés pour une durée de dix ans. Il réalise ainsi une de ses promesses électorales, qui visait à protéger la biodiversité et l'agriculture biologique de son pays. Le Pérou est le seul pays d’Amérique latine à avoir pris une telle décision.
Seules les plantes utilisées à des fins scientifiques et celles destinées à la fabrication de produits pharmaceutiques ou vétérinaires seront encore autorisées.
La détermination d’Ollanta Humala a été saluée par la Convention nationale de l’agriculture péruvienne (CONVEAGRO), qui se réjouit que le président ait pu prendre une décision sans céder aux pressions exercées par les puissants lobbys qui contrôlent le marché des OGM. L’exécutif devra maintenant règlementer ce nouveau texte et établir les infractions et les sanctions encourues en cas de non respect de la loi.
09:31
Les personnes vivant à proximité de trois volcans dans l'est de l'ile de Java ont été invité à rester sur le qui-vive car tous montraient des signes d'activité volcanique accrue.
Ces trois volcans sont: le mont Ijen, le Mt Semeru et le Mt Bromo. De tous c'est le Mt Ijen qui semble le plus proche d'une eruption imminente. Une zone d'excusion de 1,5 km autour des pentes du volcan a été mise en place.
Les autorités sont en alerte.
Il faut rappeler que cinq autres volcans sont déjà en éruption en Indonésie:
Le Mt Gamalama (sur l'ile de Ternate dans l'archipel de Moluques), le Mt Papandayan (Garut, à l'ouest de Java ), le Gunung Karangetang et le Gunung Lokon (au nord de l'ile Sulawesi), et le Anak Krakatau (dans le détroit de la Sonde).
Ces trois volcans sont: le mont Ijen, le Mt Semeru et le Mt Bromo. De tous c'est le Mt Ijen qui semble le plus proche d'une eruption imminente. Une zone d'excusion de 1,5 km autour des pentes du volcan a été mise en place.
Les autorités sont en alerte.
Il faut rappeler que cinq autres volcans sont déjà en éruption en Indonésie:
Le Mt Gamalama (sur l'ile de Ternate dans l'archipel de Moluques), le Mt Papandayan (Garut, à l'ouest de Java ), le Gunung Karangetang et le Gunung Lokon (au nord de l'ile Sulawesi), et le Anak Krakatau (dans le détroit de la Sonde).
08:58
Comme nous vous l’annoncions le 20 Décembre dernier dans cet article une éruption est bien en cours dans la mer rouge...mais c'est en fait la naissance d'une nouvelle ile juste à coté de l'ile de Saba et de Jebel Zubair qui en est la cause, de nouvelles images (ci-dessous) de la Nasa nous le confirment .
Avant
Après
mercredi 28 décembre 2011
23:45
Des crues éclairs causées par un cyclone tropicale ont provoqué des inondations soudaines et spectaculaires dans le nord de l’Australie, en coupant des routes et en faisant dérailler un train qui transportait des produits chimiques dangereux.
Le train de marchandises, qui transportait du cuivre très concentré a déraillé prés de la ville de Katherine, à environ 40km au nord, et aux abords du fleuve "Edith River", en soulevant de profondes inquiétudes au sujet d'un déversement possible de produits chimiques dangereux dans l'environnement.
Si la route principale de la région devrait rouvrir dans les 48 heures, la ligne ferroviaire qui relie Darwin à Adélaïde, est susceptible elle de prendre plus de temps à réparer. En effet une large portion de rails, environ 350 mètres, a été emporté par les eaux.
Le Bureau de la météorologie de la région a averti que l'apparition de pluies torrentielles sont toujours possibles, et que le cyclone pourrait frapper de nouveau.
La société d’exploitation de la ligne ferroviaire mesure actuellement les nombreux dégâts à réparer, pendant que les autorités environnementales se concentrent exclusivement sur le déversement probable de produits chimiques qui pourraient menacer gravement la rivière.
En effet la socièté Genesee and Wyoming Australia (GWA) a confirmé dans un communiqué ce mercredi que deux des 33 wagons contenaient du concentré de cuivre à très forte concentration.
«Seule une observation aérienne nous permet actuellement d'évaluer l'ampleur réelle des dégâts ", a t-elle précisé à la presse australienne
Un porte-parole du ministère des Ressources naturelles et de l'environnement (NRETAS) a confirmé que des équipes spécialisées sont actuellement sur les lieux
"Nous prenons ce danger très au sérieux, nous menons une enquête approfondie de l'impact écologique de cet accident."
La GWA exploite la ligne ferroviaire de 2200 km comprise entre Tarcoola et Darwin.
Le train de marchandises, qui transportait du cuivre très concentré a déraillé prés de la ville de Katherine, à environ 40km au nord, et aux abords du fleuve "Edith River", en soulevant de profondes inquiétudes au sujet d'un déversement possible de produits chimiques dangereux dans l'environnement.
Si la route principale de la région devrait rouvrir dans les 48 heures, la ligne ferroviaire qui relie Darwin à Adélaïde, est susceptible elle de prendre plus de temps à réparer. En effet une large portion de rails, environ 350 mètres, a été emporté par les eaux.
Le Bureau de la météorologie de la région a averti que l'apparition de pluies torrentielles sont toujours possibles, et que le cyclone pourrait frapper de nouveau.
La société d’exploitation de la ligne ferroviaire mesure actuellement les nombreux dégâts à réparer, pendant que les autorités environnementales se concentrent exclusivement sur le déversement probable de produits chimiques qui pourraient menacer gravement la rivière.
En effet la socièté Genesee and Wyoming Australia (GWA) a confirmé dans un communiqué ce mercredi que deux des 33 wagons contenaient du concentré de cuivre à très forte concentration.
«Seule une observation aérienne nous permet actuellement d'évaluer l'ampleur réelle des dégâts ", a t-elle précisé à la presse australienne
Un porte-parole du ministère des Ressources naturelles et de l'environnement (NRETAS) a confirmé que des équipes spécialisées sont actuellement sur les lieux
"Nous prenons ce danger très au sérieux, nous menons une enquête approfondie de l'impact écologique de cet accident."
La GWA exploite la ligne ferroviaire de 2200 km comprise entre Tarcoola et Darwin.
22:59
Les responsables du département de la faune et la flore de l'inde enquêtent sur une nouvelle hécatombe massive d'environ 4 tonnes de poissons, ils seraient morts inexplicablement ces 3 derniers jours dans un étang d'Ahmedabad.
Des échantillons de poissons ont été prélevés et des examens sont en cours pour tenter d'en déterminer la véritable cause.
L'étang de Lo et situé au pied d'un village de 7000 habitants, et couvre environ 2 hectares pour une profondeur moyenne de 30 mètres. L'abaissement subit des niveaux d'oxygène constaté peut a première vue en expliquer la raison mais Les autorités craignent surtout d'y voir un signe avant-coureur d'un tremblement de terre qui pourraient frapper la région dans les prochains jours.
Source: terra real time
Des échantillons de poissons ont été prélevés et des examens sont en cours pour tenter d'en déterminer la véritable cause.
L'étang de Lo et situé au pied d'un village de 7000 habitants, et couvre environ 2 hectares pour une profondeur moyenne de 30 mètres. L'abaissement subit des niveaux d'oxygène constaté peut a première vue en expliquer la raison mais Les autorités craignent surtout d'y voir un signe avant-coureur d'un tremblement de terre qui pourraient frapper la région dans les prochains jours.
Source: terra real time
16:25
Solidarité et volonté politique sont indispensables au sauvetage du fleuve Niger mis à mal par le réchauffement climatique, la désertification et la pollution, entre autres fléaux.
Le Niger, troisième fleuve d’Afrique après le Nil et le Congo, est bien mal en point. Son état inquiète les autorités des pays qu’il traverse. Pour tenter de sauver le fleuve de tous les maux dont il souffre, un forum baptisé «solidarité pour l’eau dans les pays du bassin du Niger», a été organisé conjointement par le Mali, la Fondation Jacques Chirac et l’Autorité du Bassin du Niger (ABN), à Bamako en octobre dernier, en présence de plusieurs chefs des Etats concernés.
Le travail «exemplaire» de nombreuses ONG a été salué, mais l’accent a été surtout mis sur la volonté politique des Etats, indispensable à la sauvegarde du fleuve.
«Nous avons plus que jamais besoin de cette solidarité pour conjurer le péril écologique qui guette le fleuve Niger. Les changements climatiques nous ont non seulement pris nos terres, nos pâturages, nos cours d’eau, mais nous ont dépossédé de nos mythes», a déclaré le président du Mali, Amadou Toumani Touré (ATT) dans son discours d’ouverture.
Or, la solidarité avec les pays voisins, ATT sait qu’il en a besoin pour son pays, dans la mesure où le fleuve est inégalement réparti. Le Mali, le Niger et le Nigeria à eux seuls regroupent 82% du cours du fleuve. La coopération transfrontalière a d’ailleurs été un sujet de débat majeur du forum.
Outre l’appel à la solidarité, les participants se sont donnés pour objectif d’accroître la sensibilisation et la mobilisation des populations et de réfléchir à des solutions innovantes en faveur du droit à l’eau et à l’assainissement de la région.
«L’eau est vitale pour le développement. La santé, la paix et la sécurité y sont liées. Il est inconcevable que l’accès à l’eau soit mis au second rang des priorités du monde. Si l’eau est attaquée, nous devons la défendre», a notamment expliqué le président du Conseil mondial de l’eau, Loïc Fauchon.
Un fleuve épuisé
Depuis plusieurs décennies, le Niger long de 4.184 kilomètres est menacé par la sécheresse et l’avancée du désert. Il souffre de l’ensablement de l’érosion, de l’envahissement des jacinthes d’eau et des pollutions industrielles. Malgré ses atouts en matière d’agriculture, de pêche et d’énergie, les ressources du fleuve se sont considérablement dégradées. Un afflux permanent de «réfugiés écologiques» vient en outre grossir les rangs d’une population riveraine d’environ 110 millions d’âmes, vivant dans une extrême pauvreté.
C’est pour résoudre les problèmes du fleuve, que l’Autorité du Bassin du Niger (ABN) regroupant le Burkina Faso, le Bénin, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Mali, le Niger, le Nigeria et le Tchad a été créée il y a longtemps déjà, en novembre 1980.
Réunis à N'Djamena, la capitale tchadienne, quelques jours avant le forum de Bamako, ses membres ont évalué les besoins nécessaires à son sauvetage. A Bamako, le président tchadien et président en exercice de l’ABN, Idriss Deby Itno, l’a répété: «L’heure n’est plus aux discours. Il faut agir vite», 600 milliards de francs CFA (915 millions d’euros) sont nécessaires pour prévenir la catastrophe qui se profile. Le président tchadien sait de quoi il parle, la superficie du lac Tchad largement situé sur le territoire de son pays, a connu une baisse spectaculaire. Elle est passée en près de cinquante ans de 25.000 à 2.500 km2.
Pousser les états à agir
ATT et Idris Deby ont invité leurs pairs des pays du bassin à consacrer une partie de leurs budgets nationaux au sauvetage du fleuve. Le quotidien de Bamako, Le Républicain, croit savoir qu’ils ont été entendus et espère que ces Etats «sauront mettre la main à la poche comme ils s’y sont engagés, plutôt que de dépendre une fois de plus du chéquier de la communauté internationale».
Rendez-vous est maintenant pris à Marseille du 12 au 17 mars 2012 où se tiendra 6 ème Forum mondial de l’eau. Les conclusions du Forum de Bamako serviront de base de travail à la délégation africaine pilotée par l’AMCOW, une entité qui rassemble les ministres africains en charge de l’eau.
Depuis longtemps des associations de défense du fleuve se démènent pour que les autorités réagissent. En août 2010, un collectif baptisé «Forum des organisations de la société civile du Mali» avait déjà dénoncé «le complot de l’Etat malien contre l’écosystème» sans écarter une «éventuelle plainte contre l’Etat pour ses actes honteux qui ternissent l’image du Mali». Le sauvetage du Niger pourrait bien être un enjeu dans la campagne pour l’élection présidentielle prévue en avril 2012 au Mali.
«Nous les Africains, nous ne produisons pas de gaz à effet de serre, mais nous en subissons les conséquences, la désertification, les feux de brousse, la réduction des nappes phréatiques…», déplore Tiemoko Sangaré, ministre de l’Environnement du Mali et président de la conférence des ministres africains de l’Environnement (CMAE) qui ont parlé d’une seule voix pour exiger le maintient du protocole de Kyoto à la 17ème conférence de l’ONU sur le climat qui vient d’avoir lieu à Durban en Afrique du Sud et qui a abouti à la signature d’un accord au rabais.
Source © Anne Collet Slate Afrique
__________________________________________________________________________________________
_________________________________________________________________________________________
Un fleuve & des hommes par lorbleu
Le Niger, troisième fleuve d’Afrique après le Nil et le Congo, est bien mal en point. Son état inquiète les autorités des pays qu’il traverse. Pour tenter de sauver le fleuve de tous les maux dont il souffre, un forum baptisé «solidarité pour l’eau dans les pays du bassin du Niger», a été organisé conjointement par le Mali, la Fondation Jacques Chirac et l’Autorité du Bassin du Niger (ABN), à Bamako en octobre dernier, en présence de plusieurs chefs des Etats concernés.
Le travail «exemplaire» de nombreuses ONG a été salué, mais l’accent a été surtout mis sur la volonté politique des Etats, indispensable à la sauvegarde du fleuve.
«Nous avons plus que jamais besoin de cette solidarité pour conjurer le péril écologique qui guette le fleuve Niger. Les changements climatiques nous ont non seulement pris nos terres, nos pâturages, nos cours d’eau, mais nous ont dépossédé de nos mythes», a déclaré le président du Mali, Amadou Toumani Touré (ATT) dans son discours d’ouverture.
Or, la solidarité avec les pays voisins, ATT sait qu’il en a besoin pour son pays, dans la mesure où le fleuve est inégalement réparti. Le Mali, le Niger et le Nigeria à eux seuls regroupent 82% du cours du fleuve. La coopération transfrontalière a d’ailleurs été un sujet de débat majeur du forum.
Outre l’appel à la solidarité, les participants se sont donnés pour objectif d’accroître la sensibilisation et la mobilisation des populations et de réfléchir à des solutions innovantes en faveur du droit à l’eau et à l’assainissement de la région.
«L’eau est vitale pour le développement. La santé, la paix et la sécurité y sont liées. Il est inconcevable que l’accès à l’eau soit mis au second rang des priorités du monde. Si l’eau est attaquée, nous devons la défendre», a notamment expliqué le président du Conseil mondial de l’eau, Loïc Fauchon.
Un fleuve épuisé
Depuis plusieurs décennies, le Niger long de 4.184 kilomètres est menacé par la sécheresse et l’avancée du désert. Il souffre de l’ensablement de l’érosion, de l’envahissement des jacinthes d’eau et des pollutions industrielles. Malgré ses atouts en matière d’agriculture, de pêche et d’énergie, les ressources du fleuve se sont considérablement dégradées. Un afflux permanent de «réfugiés écologiques» vient en outre grossir les rangs d’une population riveraine d’environ 110 millions d’âmes, vivant dans une extrême pauvreté.
C’est pour résoudre les problèmes du fleuve, que l’Autorité du Bassin du Niger (ABN) regroupant le Burkina Faso, le Bénin, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Mali, le Niger, le Nigeria et le Tchad a été créée il y a longtemps déjà, en novembre 1980.
Réunis à N'Djamena, la capitale tchadienne, quelques jours avant le forum de Bamako, ses membres ont évalué les besoins nécessaires à son sauvetage. A Bamako, le président tchadien et président en exercice de l’ABN, Idriss Deby Itno, l’a répété: «L’heure n’est plus aux discours. Il faut agir vite», 600 milliards de francs CFA (915 millions d’euros) sont nécessaires pour prévenir la catastrophe qui se profile. Le président tchadien sait de quoi il parle, la superficie du lac Tchad largement situé sur le territoire de son pays, a connu une baisse spectaculaire. Elle est passée en près de cinquante ans de 25.000 à 2.500 km2.
Pousser les états à agir
ATT et Idris Deby ont invité leurs pairs des pays du bassin à consacrer une partie de leurs budgets nationaux au sauvetage du fleuve. Le quotidien de Bamako, Le Républicain, croit savoir qu’ils ont été entendus et espère que ces Etats «sauront mettre la main à la poche comme ils s’y sont engagés, plutôt que de dépendre une fois de plus du chéquier de la communauté internationale».
Rendez-vous est maintenant pris à Marseille du 12 au 17 mars 2012 où se tiendra 6 ème Forum mondial de l’eau. Les conclusions du Forum de Bamako serviront de base de travail à la délégation africaine pilotée par l’AMCOW, une entité qui rassemble les ministres africains en charge de l’eau.
Depuis longtemps des associations de défense du fleuve se démènent pour que les autorités réagissent. En août 2010, un collectif baptisé «Forum des organisations de la société civile du Mali» avait déjà dénoncé «le complot de l’Etat malien contre l’écosystème» sans écarter une «éventuelle plainte contre l’Etat pour ses actes honteux qui ternissent l’image du Mali». Le sauvetage du Niger pourrait bien être un enjeu dans la campagne pour l’élection présidentielle prévue en avril 2012 au Mali.
«Nous les Africains, nous ne produisons pas de gaz à effet de serre, mais nous en subissons les conséquences, la désertification, les feux de brousse, la réduction des nappes phréatiques…», déplore Tiemoko Sangaré, ministre de l’Environnement du Mali et président de la conférence des ministres africains de l’Environnement (CMAE) qui ont parlé d’une seule voix pour exiger le maintient du protocole de Kyoto à la 17ème conférence de l’ONU sur le climat qui vient d’avoir lieu à Durban en Afrique du Sud et qui a abouti à la signature d’un accord au rabais.
Source © Anne Collet Slate Afrique
__________________________________________________________________________________________
_________________________________________________________________________________________
Un fleuve & des hommes par lorbleu
28/12/2011...France, Marseille : données très inquiétantes sur la pollution aux pesticides et au DDT
16:17
Un chercheur montre qu'il y a du DDT dans l'Arc, produit interdit depuis 1970
Fehmi Kanzari a fait une série de prélèvements sur 16 sitesdu cours de l'Arc pour sa thèse de doctorat. Il a découvert la présence de DDT, d'origine agricole ou industrielle. Avec des taux pouvant affecter l'environnement.
"Délinquance environnementale" : nous avons employé ce terme le 14 décembre dernier pour évoquer les relevés de l'Agence de l'eau révélant que l'on retrouve dans nos rivières et nos nappes phréatiques des pesticides interdits depuis 2003. Depuis nous avons été contactés par un chercheur, Fehmi Kanzari, qui montre par ses mesures que le problème de pollution de l'eau par des produits illicites est encore plus grave.
"J'ai fait une série de seize prélèvements dans les sédiments sur le cours de l'Arc, entre Rousset et l'Etang de Berre et j'ai mis en évidence la présence de DDT, un insecticide interdit en agriculture depuis 1970, révèle-t-il. Cela dans le cadre d'une thèse de doctorat sur les micropolluants dans l'Arc, l'Huveaune et la Durance au sein de l'équipe Analyse, Développement Durable et Méthodologie (AD2M) à l'Europôle de l'Arbois à Aix-en-Provence."
On peut penser qu'il s'agit de dépôts anciens seulement voilà, selon ce spécialiste, le DDT et ses produits de dégradation ont une durée de vie de 15 ans dans les sédiments. Et on parle là d'un produit interdit depuis 41 ans. Alors se confirme ce qu'évoquait un participant à la récente réunion de l'agence de l'eau : l'existence de filières illicites d'approvisionnement.
Des dizaines de produits
"C'est effectivement une piste mais il y en a une autre pour l'Arc, indique Fehmi Kanzari dont les travaux ont été publiés dans la revue "Environmental Science and Pollution Research". Entre Rousset et Trets, au bord du cours de l'Arc, était installé une entreprise, Pepro qui a utilisé du DDT pour faire de la "formulation", c'est-à-dire en le mélangeant à d'autres matières premières, pour des produits pharmaceutiques destinés à l'exportation." Et a donc pu en rejeter. Pour cette utilisation sanitaire et pharmaceutique, l'interdiction n'existait pas. Avec des déversements et des dégâts sur l'environnement de l'Arc.
Les prélèvements du chercheur aixois portent sur des dizaines de pesticides, sur des hydrocarbures (HAP) résultant des chauffages, de la circulation automobile et sur le PCB.
Ainsi, concernant l'endrine, un insecticide utilisé sur les pommiers, le maïs ou les grains de récolte mais interdit pour les agriculteurs depuis 1994, il montre que 45 % de ses prélèvements effectués entre 2008 et 2010 comprennent un taux de ce produit pouvant avoir un effet notable sur la flore et la flore.
"Le DDT, sur certains de mes points de mesure, est présent dans ces proportions pouvant agir sur l'environnement aquatique, reprend le doctorant. Il faut se poser la question des stocks restants, de leur contrôle et de leur destruction. Je suis originaire de Tunisie et on y trouve 1 300 tonnes de pesticides, notamment du DDT, retirés du marché, stockés à l'air libre sans aucune sécurité comme dans nombre d'autres pays du continent africain."
Fehmi Kanzari met aussi en avant des prélèvements d'endosulphan, utilisé pour traiter les céréales et les arbres fruitiers et interdit depuis 2007, du lindane, illicite depuis 2001.
Son travail sur la Durance et l'Huveaune va prochainement donner lieu à publication, sous l'autorité de ses directeurs de thèse les Pr Gilbert Mille et Pierre Doumenq, de la fac de Saint- Jérôme de Marseille. "La Durance est touchée par les HAP et les pesticides, du DDT au chlorfenvinphos." La police de l'eau a du pain sur la planche pour remonter à la source des pollutions.
Source laprovence.com © Philippe LARUE
Fehmi Kanzari a fait une série de prélèvements sur 16 sitesdu cours de l'Arc pour sa thèse de doctorat. Il a découvert la présence de DDT, d'origine agricole ou industrielle. Avec des taux pouvant affecter l'environnement.
"Délinquance environnementale" : nous avons employé ce terme le 14 décembre dernier pour évoquer les relevés de l'Agence de l'eau révélant que l'on retrouve dans nos rivières et nos nappes phréatiques des pesticides interdits depuis 2003. Depuis nous avons été contactés par un chercheur, Fehmi Kanzari, qui montre par ses mesures que le problème de pollution de l'eau par des produits illicites est encore plus grave.
"J'ai fait une série de seize prélèvements dans les sédiments sur le cours de l'Arc, entre Rousset et l'Etang de Berre et j'ai mis en évidence la présence de DDT, un insecticide interdit en agriculture depuis 1970, révèle-t-il. Cela dans le cadre d'une thèse de doctorat sur les micropolluants dans l'Arc, l'Huveaune et la Durance au sein de l'équipe Analyse, Développement Durable et Méthodologie (AD2M) à l'Europôle de l'Arbois à Aix-en-Provence."
On peut penser qu'il s'agit de dépôts anciens seulement voilà, selon ce spécialiste, le DDT et ses produits de dégradation ont une durée de vie de 15 ans dans les sédiments. Et on parle là d'un produit interdit depuis 41 ans. Alors se confirme ce qu'évoquait un participant à la récente réunion de l'agence de l'eau : l'existence de filières illicites d'approvisionnement.
Des dizaines de produits
"C'est effectivement une piste mais il y en a une autre pour l'Arc, indique Fehmi Kanzari dont les travaux ont été publiés dans la revue "Environmental Science and Pollution Research". Entre Rousset et Trets, au bord du cours de l'Arc, était installé une entreprise, Pepro qui a utilisé du DDT pour faire de la "formulation", c'est-à-dire en le mélangeant à d'autres matières premières, pour des produits pharmaceutiques destinés à l'exportation." Et a donc pu en rejeter. Pour cette utilisation sanitaire et pharmaceutique, l'interdiction n'existait pas. Avec des déversements et des dégâts sur l'environnement de l'Arc.
Les prélèvements du chercheur aixois portent sur des dizaines de pesticides, sur des hydrocarbures (HAP) résultant des chauffages, de la circulation automobile et sur le PCB.
Ainsi, concernant l'endrine, un insecticide utilisé sur les pommiers, le maïs ou les grains de récolte mais interdit pour les agriculteurs depuis 1994, il montre que 45 % de ses prélèvements effectués entre 2008 et 2010 comprennent un taux de ce produit pouvant avoir un effet notable sur la flore et la flore.
"Le DDT, sur certains de mes points de mesure, est présent dans ces proportions pouvant agir sur l'environnement aquatique, reprend le doctorant. Il faut se poser la question des stocks restants, de leur contrôle et de leur destruction. Je suis originaire de Tunisie et on y trouve 1 300 tonnes de pesticides, notamment du DDT, retirés du marché, stockés à l'air libre sans aucune sécurité comme dans nombre d'autres pays du continent africain."
Fehmi Kanzari met aussi en avant des prélèvements d'endosulphan, utilisé pour traiter les céréales et les arbres fruitiers et interdit depuis 2007, du lindane, illicite depuis 2001.
Son travail sur la Durance et l'Huveaune va prochainement donner lieu à publication, sous l'autorité de ses directeurs de thèse les Pr Gilbert Mille et Pierre Doumenq, de la fac de Saint- Jérôme de Marseille. "La Durance est touchée par les HAP et les pesticides, du DDT au chlorfenvinphos." La police de l'eau a du pain sur la planche pour remonter à la source des pollutions.
Source laprovence.com © Philippe LARUE
16:03
En France, 2011 a été l'année la plus chaude depuis le début du XXe siècle et que les données des archives météo existent. Elle a dépassé de 1,5 °C la température moyenne de la période 1971-2000. Elle s'est en plus accompagnée d'une sécheresse importante. Des résultats qui confirment la tendance au réchauffement.
Météo France vient d'annoncer, avant même le 31 décembre que 2011 serait l’année la plus chaude jamais enregistrée en France depuis que des relevés de températures sont effectués régulièrement, soit depuis le début du XXe siècle. Même 2003, année de la canicule, ne fait pas le poids face à au douze derniers mois qui viennent de s’écouler.
Ces déclarations confirment l’annonce de l’organisation météorologique mondiale. Pendant le sommet de Durban, l’OMM avait en effet présenté son bilan provisoire de l’année, indiquant des records de températures. Selon elle, 2011 – pourtant accompagnée d'un épisode La Niña – entrait dans le top 10 des années les plus chaudes depuis 1950.
Ainsi, en France métropolitaine, la température moyenne a été de 13,6 °C au cours des douze derniers mois, ce qui correspond à une anomalie positive de 1,5 °C par rapport à la moyenne calculée sur la période 1971-2000. À titre de comparaison, pour 2003, l’anomalie était de +1,3 °C.
L'année 2011 : chaude et sèche
Les mois qui ont le plus contribué à cette chaleur globale sont avril, novembre et mai avec des anomalies respectives de 4, 3 et 2,4 °C (par rapport aux mois respectifs de la période 1971-2000). Décembre devrait également intégrer cette élite puisque les valeurs provisoires semblent s’orienter vers une température de 3 °C supérieure à la moyenne. En revanche, juillet a été un mois plutôt froid avec une anomalie négative de 1,3 °C. C’est d’ailleurs le seul mois qui présente une température inférieure à la moyenne.
En outre, 2011 fut plutôt sèche. Le printemps a en effet été le plus sec depuis 1959. De fortes disparités résident néanmoins d’une région à l’autre. Si l’ouest et le nord de la France présentent une pluviométrie globale nettement inférieure à la période 1971-2000, il en va différemment pour les régions du sud est qui ont connu des précipitations égales ou supérieures à la moyenne.
Et les quatre derniers jours de décembre devraient confirmer la tendance...
Source © Bruno Scala, Futura-Sciences
France : 2011, année la plus chaude depuis le... par BFMTV
Météo France vient d'annoncer, avant même le 31 décembre que 2011 serait l’année la plus chaude jamais enregistrée en France depuis que des relevés de températures sont effectués régulièrement, soit depuis le début du XXe siècle. Même 2003, année de la canicule, ne fait pas le poids face à au douze derniers mois qui viennent de s’écouler.
Ces déclarations confirment l’annonce de l’organisation météorologique mondiale. Pendant le sommet de Durban, l’OMM avait en effet présenté son bilan provisoire de l’année, indiquant des records de températures. Selon elle, 2011 – pourtant accompagnée d'un épisode La Niña – entrait dans le top 10 des années les plus chaudes depuis 1950.
Ainsi, en France métropolitaine, la température moyenne a été de 13,6 °C au cours des douze derniers mois, ce qui correspond à une anomalie positive de 1,5 °C par rapport à la moyenne calculée sur la période 1971-2000. À titre de comparaison, pour 2003, l’anomalie était de +1,3 °C.
L'année 2011 : chaude et sèche
Les mois qui ont le plus contribué à cette chaleur globale sont avril, novembre et mai avec des anomalies respectives de 4, 3 et 2,4 °C (par rapport aux mois respectifs de la période 1971-2000). Décembre devrait également intégrer cette élite puisque les valeurs provisoires semblent s’orienter vers une température de 3 °C supérieure à la moyenne. En revanche, juillet a été un mois plutôt froid avec une anomalie négative de 1,3 °C. C’est d’ailleurs le seul mois qui présente une température inférieure à la moyenne.
En outre, 2011 fut plutôt sèche. Le printemps a en effet été le plus sec depuis 1959. De fortes disparités résident néanmoins d’une région à l’autre. Si l’ouest et le nord de la France présentent une pluviométrie globale nettement inférieure à la période 1971-2000, il en va différemment pour les régions du sud est qui ont connu des précipitations égales ou supérieures à la moyenne.
Et les quatre derniers jours de décembre devraient confirmer la tendance...
Source © Bruno Scala, Futura-Sciences
France : 2011, année la plus chaude depuis le... par BFMTV
13:31
Le chômage est le premier souci des Français mais il n'a pas occulté tous les autres.
L'état de l'environnement inquiète de plus en plus les français. Un sur deux (53,5 %) dit y être « très sensible », contre un sur trois (36 %) en 1995, révèle une récente étude du ministère de l'Ecologie.
Les craintes sont surtout fortes chez les moins jeunes (58 % chez les 40-59 ans, 71 % chez les 60-69 ans), mais augmentent nettement chez les moins de 25 ans (42 % en 2011 contre 27 % en 1995). Comme le signalait déjà seize ans plus tôt le baromètre du Crédoc qui sert de base à l'étude, les plus formés sont les plus sensibles à la cause environnementale (60 % chez les diplômés du supérieur). Enfin, les cadres et « hauts revenus » apparaissent comme les premiers concernés par ce sujet qui préoccupe autant les ruraux que les urbains.
Le réchauffement de la planète, en tête des préoccupations environnementales des Français depuis plusieurs années, n'a plus la cote. La pollution de l'air lui a ravi sa première place. L'état des rivières et des lacs, ainsi que les catastrophes naturelles dont la chronique n'a cessé de s'enrichir (tempête Xynthia, tremblement de terre en Haïti, éruption du volcan Eyjafjöll, tsunami au Japon, etc.) passent eux aussi devant le changement climatique.
Une écrasante majorité (85 %), particulièrement les jeunes, estime que le réchauffement de la planète est un fait scientifiquement prouvé.
Parmi les autres menaces qui préoccupent le plus les Français, on retrouve la destruction des forêts, la pollution de la terre et de l’eau par les engrais ou encore la pollution atmosphérique.
L’accident de Fukushima semble avoir marqué les esprits puisque 59% sont très inquiets au sujet des accidents de centrales nucléaires qui sont la menace la plus crainte par les Français.
A la veille des élections présidentielles où l’écologie a une place primordiale dans le débat, une majorité des personnes sondées estime que le gouvernement (40%) et les industriels (32%) sont les premiers responsables de la dégradation de la planète.
Face à cette inquiétude, les Français s’attendent déjà à voir augmenter le coup de l’énergie dans 2 ans (89%), 10 ans (98%) ou 20 ans (91%) ce qui devient une véritable angoisse dans les foyers français.
Le meilleur moyen reste de se responsabiliser : 77% des sondés estiment que le changement profond des mentalités reste la meilleure solution pour protéger l’environnement.
Cela passe pour 76% par un changement des habitudes de consommation et 61% par des travaux d’économie d’énergie. Ainsi, près d’un quart pensent utiliser l’énergie solaire pour chauffer leur maison d’ici 10 ans pour une moitié d’ici 20 ans.
Source: les echos/etc...
___________________________________________________________________________________________
___________________________________________________________________________________________
Les Shadoks (épisode pilote série 4) par Shadoks
L'état de l'environnement inquiète de plus en plus les français. Un sur deux (53,5 %) dit y être « très sensible », contre un sur trois (36 %) en 1995, révèle une récente étude du ministère de l'Ecologie.
Les craintes sont surtout fortes chez les moins jeunes (58 % chez les 40-59 ans, 71 % chez les 60-69 ans), mais augmentent nettement chez les moins de 25 ans (42 % en 2011 contre 27 % en 1995). Comme le signalait déjà seize ans plus tôt le baromètre du Crédoc qui sert de base à l'étude, les plus formés sont les plus sensibles à la cause environnementale (60 % chez les diplômés du supérieur). Enfin, les cadres et « hauts revenus » apparaissent comme les premiers concernés par ce sujet qui préoccupe autant les ruraux que les urbains.
Le réchauffement de la planète, en tête des préoccupations environnementales des Français depuis plusieurs années, n'a plus la cote. La pollution de l'air lui a ravi sa première place. L'état des rivières et des lacs, ainsi que les catastrophes naturelles dont la chronique n'a cessé de s'enrichir (tempête Xynthia, tremblement de terre en Haïti, éruption du volcan Eyjafjöll, tsunami au Japon, etc.) passent eux aussi devant le changement climatique.
Une écrasante majorité (85 %), particulièrement les jeunes, estime que le réchauffement de la planète est un fait scientifiquement prouvé.
Parmi les autres menaces qui préoccupent le plus les Français, on retrouve la destruction des forêts, la pollution de la terre et de l’eau par les engrais ou encore la pollution atmosphérique.
L’accident de Fukushima semble avoir marqué les esprits puisque 59% sont très inquiets au sujet des accidents de centrales nucléaires qui sont la menace la plus crainte par les Français.
A la veille des élections présidentielles où l’écologie a une place primordiale dans le débat, une majorité des personnes sondées estime que le gouvernement (40%) et les industriels (32%) sont les premiers responsables de la dégradation de la planète.
Face à cette inquiétude, les Français s’attendent déjà à voir augmenter le coup de l’énergie dans 2 ans (89%), 10 ans (98%) ou 20 ans (91%) ce qui devient une véritable angoisse dans les foyers français.
Le meilleur moyen reste de se responsabiliser : 77% des sondés estiment que le changement profond des mentalités reste la meilleure solution pour protéger l’environnement.
Cela passe pour 76% par un changement des habitudes de consommation et 61% par des travaux d’économie d’énergie. Ainsi, près d’un quart pensent utiliser l’énergie solaire pour chauffer leur maison d’ici 10 ans pour une moitié d’ici 20 ans.
Source: les echos/etc...
___________________________________________________________________________________________
___________________________________________________________________________________________
Les Shadoks (épisode pilote série 4) par Shadoks
12:44
...
Alerte à la pollution sur l'Agenais
La préfecture et l'organisme qui surveille la qualité de l'air sur Agen tirent la sonnette d'alarme et appellent à la vigilance en raison d'un pic anormal de pollution. La situation devrait s'améliorer dans quelques jours.
Le beau temps qui règne sur l'Agenais ne fait pas que des heureux. Les autorités conseillent même aux personnes les plus fragiles (personnes âgées, asthmatiques) de prendre quelques précautions.
Les conditions climatiques qui sévissent en ce moment sur l'agglomération agenaise entraînent un phénomène anormal. La zone agenaise est soumise à un pic de pollution atmosphérique aux particules fines, provenant des gaz d'échappement et des appareils de chauffage.
...
Source la Dépêche
Pyrénées: Tarbes
Sur Tarbes, il a été enregistré une concentration en particules en suspension (PM10) supérieure à 50 microgrammes par mètre cube (µg/m3) en moyenne sur 24 heures. Les concentrations moyennes mesurées s’élèvent, ce jour à 8h, à 60 µg/m3. La procédure d’information et de recommandation du public est déclenchée.
La préfecture des Hautes-Pyrénées attire l’attention des professionnels de santé, notamment des médecins généralistes, pédiatres, allergologues et pneumologues, sur l’existence d’une sensibilité individuelle particulière aux polluants atmosphériques. Pour un enfant comme pour un adulte, c’est l’expérience ou l’évolution d’une maladie, qui permet de savoir si la pollution atmosphérique a un impact perceptible sur sa santé.
Elle demande aux parents et à tous les personnels s’occupant d’enfants (puéricultrices, assistantes maternelles, enseignants, éducateurs, responsables d’éducation physique et sportive,…) d’être vigilants vis-à-vis de l’apparition de symptômes évocateurs (toux, gêne respiratoire, irritation de la gorge, des yeux,…) lors des épisodes de pollution et de ne pas hésiter à prendre un avis médical. Ces pics pourraient, en effet, révéler une sensibilité particulière de certains enfants. Il convient également de ne pas aggraver les effets de cette pollution en ajoutant des facteurs irritants : fumée de tabac, utilisation de solvants,…
Source Tarbes info
HAUTE-SAVOIE Nouvelle alerte à la pollution dans la vallée de l'Arve
Les températures minimales sont à la baisse et entrainent d'importants rejets de particules par le chauffage. De plus, la dispersion atmosphérique est très limitée (absence de vent, inversion de température). a-t-on appris ce mardi dans un communiqué d'Atmo Rhône-Alpes.
Le seuil d’alerte aux particules fines (80 microgrammes par mètre-cube) a été franchi sur la vallée de l’Arve. Les conditions météorologiques devraient peu évoluer demain.
Mercredi 28 décembre, l'Air de l'Ain et des Pays de Savoie prévoit en effet une dégradation de la qualité de l'air (température en baisse et temps anticyclonique propice à l'accumulation des poussières fines). La qualité de l'air devrait être "moyenne" (indice de 5) en Haute-Savoie mais "médiocre" à "mauvaise" sur la vallée de l'Arve (indices de 7 à 8).
Aucune amélioration significative de la qualité de l'air n'est attendue à court terme.
Source le Dauphiné
...
...
...
Alerte à la pollution sur l'Agenais
La préfecture et l'organisme qui surveille la qualité de l'air sur Agen tirent la sonnette d'alarme et appellent à la vigilance en raison d'un pic anormal de pollution. La situation devrait s'améliorer dans quelques jours.
Le beau temps qui règne sur l'Agenais ne fait pas que des heureux. Les autorités conseillent même aux personnes les plus fragiles (personnes âgées, asthmatiques) de prendre quelques précautions.
Les conditions climatiques qui sévissent en ce moment sur l'agglomération agenaise entraînent un phénomène anormal. La zone agenaise est soumise à un pic de pollution atmosphérique aux particules fines, provenant des gaz d'échappement et des appareils de chauffage.
...
Source la Dépêche
Pyrénées: Tarbes
Sur Tarbes, il a été enregistré une concentration en particules en suspension (PM10) supérieure à 50 microgrammes par mètre cube (µg/m3) en moyenne sur 24 heures. Les concentrations moyennes mesurées s’élèvent, ce jour à 8h, à 60 µg/m3. La procédure d’information et de recommandation du public est déclenchée.
La préfecture des Hautes-Pyrénées attire l’attention des professionnels de santé, notamment des médecins généralistes, pédiatres, allergologues et pneumologues, sur l’existence d’une sensibilité individuelle particulière aux polluants atmosphériques. Pour un enfant comme pour un adulte, c’est l’expérience ou l’évolution d’une maladie, qui permet de savoir si la pollution atmosphérique a un impact perceptible sur sa santé.
Elle demande aux parents et à tous les personnels s’occupant d’enfants (puéricultrices, assistantes maternelles, enseignants, éducateurs, responsables d’éducation physique et sportive,…) d’être vigilants vis-à-vis de l’apparition de symptômes évocateurs (toux, gêne respiratoire, irritation de la gorge, des yeux,…) lors des épisodes de pollution et de ne pas hésiter à prendre un avis médical. Ces pics pourraient, en effet, révéler une sensibilité particulière de certains enfants. Il convient également de ne pas aggraver les effets de cette pollution en ajoutant des facteurs irritants : fumée de tabac, utilisation de solvants,…
Source Tarbes info
HAUTE-SAVOIE Nouvelle alerte à la pollution dans la vallée de l'Arve
Les températures minimales sont à la baisse et entrainent d'importants rejets de particules par le chauffage. De plus, la dispersion atmosphérique est très limitée (absence de vent, inversion de température). a-t-on appris ce mardi dans un communiqué d'Atmo Rhône-Alpes.
Le seuil d’alerte aux particules fines (80 microgrammes par mètre-cube) a été franchi sur la vallée de l’Arve. Les conditions météorologiques devraient peu évoluer demain.
Mercredi 28 décembre, l'Air de l'Ain et des Pays de Savoie prévoit en effet une dégradation de la qualité de l'air (température en baisse et temps anticyclonique propice à l'accumulation des poussières fines). La qualité de l'air devrait être "moyenne" (indice de 5) en Haute-Savoie mais "médiocre" à "mauvaise" sur la vallée de l'Arve (indices de 7 à 8).
Aucune amélioration significative de la qualité de l'air n'est attendue à court terme.
Source le Dauphiné
...
...
...
11:50
Selon le ministre russe des situation d'urgence Sergueï Choïgou , le séisme d'abord annoncé de magnitude 6.6 qui a touché la Sibérie hier, aurait en fait atteint une magnitude de 9.5 sur l’échelle de Richter
Ce séisme a atteint une puissance record
Le tremblement de terre qui a secoué la Sibérie orientale mardi soir a établi un record de puissance, avec une magnitude s'élevant à 9,5 sur l'échelle de Richter, a annoncé le ministre russe des Situations d'urgence Sergueï Choïgou.
"C'est pour la première fois qu'on observe un séisme d'une telle magnitude dans cette région", a déclaré le ministre, avant d'ajouter que les secouristes de l'antenne régionale du ministère étaient en état d'alerte.
L'épicentre du tremblement de terre se trouvait à une profondeur d'environ 10 km, à 120 km à l'est de Kyzyl, capitale de la république russe de Touva.
Selon des données provisoires, le séisme s'est produit sans faire de victimes ni causer de dégâts matériels. M.Choïgou a cependant mis en doute cette information, et a ordonné de créer des groupes chargés d'évaluer les conséquences du tremblement de terre.
Source: RIA Novosti
...Rajout sur cet article vers 19h00:
...les autorités Russes se sont probablement exprimées en se référant sur l’échelle d'intensité de Medvedev-Sponheuer-Karnik dite MSK64...dont voici ci dessous deux graphiques qui vous permettront d'en mesurer la différence avec l’échelle plus connue de Richter...
Ce séisme a atteint une puissance record
Le tremblement de terre qui a secoué la Sibérie orientale mardi soir a établi un record de puissance, avec une magnitude s'élevant à 9,5 sur l'échelle de Richter, a annoncé le ministre russe des Situations d'urgence Sergueï Choïgou.
"C'est pour la première fois qu'on observe un séisme d'une telle magnitude dans cette région", a déclaré le ministre, avant d'ajouter que les secouristes de l'antenne régionale du ministère étaient en état d'alerte.
L'épicentre du tremblement de terre se trouvait à une profondeur d'environ 10 km, à 120 km à l'est de Kyzyl, capitale de la république russe de Touva.
Selon des données provisoires, le séisme s'est produit sans faire de victimes ni causer de dégâts matériels. M.Choïgou a cependant mis en doute cette information, et a ordonné de créer des groupes chargés d'évaluer les conséquences du tremblement de terre.
Source: RIA Novosti
...Rajout sur cet article vers 19h00:
...les autorités Russes se sont probablement exprimées en se référant sur l’échelle d'intensité de Medvedev-Sponheuer-Karnik dite MSK64...dont voici ci dessous deux graphiques qui vous permettront d'en mesurer la différence avec l’échelle plus connue de Richter...
11:02
Des glissements de terrain et des coupures d‘électricité en Norvège: Dagmar est l’une des trois plus fortes tempêtes qu’ait connu le pays depuis cinquante ans.
Lundi, des vents soufflant à 200 kilomètres heures ont balayé les côtes Sud-Ouest. Et des pluies torrentielles ont provoqué des coulées de boue, coupant de nombreuses routes de la région.
Mardi, en fin d’après-midi, plusieurs milliers de personnes étaient toujours sans électricité.
“On peut parler d’un champ de bataille, mais en réalité, c’est pire que ça.” constate un Norvégien.
“Il fallait que je sorte mon fils de là, et que l’on se mette à l’abri.” raconte un père de famille. “Je suis très soulagé. C’est tout simplement énorme. Il y a tellement de pierres. De grosses pierres. C‘était un déchaînement des forces de la nature.”
D’après la police, aucune victime n’est à déplorer. Mais certaines zones ne sont pas accessibles, car le téléphone a été coupé. Les transports – trains et ferrys – ont aussi été fortement perturbés. D’après les assureurs, la facture des dégâts causés par la tempête Dagmar devrait s‘élever à 35 millions d’euros.
Plus d'actualités sur : Météo, Norvège, Tempête
Copyright © 2011 euronews
Lundi, des vents soufflant à 200 kilomètres heures ont balayé les côtes Sud-Ouest. Et des pluies torrentielles ont provoqué des coulées de boue, coupant de nombreuses routes de la région.
Mardi, en fin d’après-midi, plusieurs milliers de personnes étaient toujours sans électricité.
“On peut parler d’un champ de bataille, mais en réalité, c’est pire que ça.” constate un Norvégien.
“Il fallait que je sorte mon fils de là, et que l’on se mette à l’abri.” raconte un père de famille. “Je suis très soulagé. C’est tout simplement énorme. Il y a tellement de pierres. De grosses pierres. C‘était un déchaînement des forces de la nature.”
D’après la police, aucune victime n’est à déplorer. Mais certaines zones ne sont pas accessibles, car le téléphone a été coupé. Les transports – trains et ferrys – ont aussi été fortement perturbés. D’après les assureurs, la facture des dégâts causés par la tempête Dagmar devrait s‘élever à 35 millions d’euros.
Plus d'actualités sur : Météo, Norvège, Tempête
Copyright © 2011 euronews
Inscription à :
Articles (Atom)
Recevez nos articles par mail
Derniéres Actualités
ARTICLES LES PLUS RÉCENTS :
Rechercher dans ce blog
Membres
Annonces
annonces
Libellés/Tags
Alerte
(4887)
pollution
(1059)
inondation
(541)
Oceans
(507)
Hecatombes animales
(474)
Rechauffement
(440)
seisme
(374)
Insolite
(348)
rivieres
(348)
legislation
(337)
biodiversité
(332)
air
(268)
maree noire
(260)
eau
(250)
climat
(237)
Santé
(233)
deforestation
(210)
Extinction
(201)
volcan
(197)
intemperie
(190)
incendie
(188)
Mysteres
(184)
nucleaire
(174)
Eruption
(172)
Bilan
(161)
agriculture
(159)
justice
(159)
Mobilisation
(157)
La honte
(155)
Tempete
(153)
Pesticide
(147)
ce qu'on vous dit pas
(147)
gaz de schiste
(146)
bonnes nouvelles
(145)
conservation
(128)
secheresse
(122)
Tornade
(109)
accident
(107)
manifestation
(102)
Coup de chapeau
(100)
OGM
(100)
glissement de terrain
(99)
invasion
(95)
Typhon
(90)
evacuation
(90)
CO2
(89)
coup de gueule
(87)
meteo
(76)
virus
(72)
Alergie
(71)
surpeche
(65)
catastrophe
(62)
sante
(59)
cyclone
(54)
economie
(54)
lac etang
(53)
famine
(52)
Evenement
(51)
chimique
(50)
contamination
(50)
Coup de coeur
(49)
record
(48)
vague de froid
(47)
cause animale
(46)
canicule
(45)
corruption
(42)
construction
(40)
Ouragan
(38)
appel
(36)
appel a l'aide
(35)
neige
(35)
surconsommation
(35)
Urgence
(34)
lac étang
(34)
sols
(33)
Intoxication
(32)
braconnage
(31)
epidemie
(31)
abeilles
(30)
alimentation
(30)
soleil
(29)
grippe aviaire
(28)
penurie
(28)
Orage
(26)
consommation
(24)
protection
(24)
pollution hertzienne
(23)
No comment
(22)
Scandale
(22)
pénurie
(22)
algues vertes
(21)
incroyable
(21)
vague de chaleur
(21)
acidification
(20)
Nitrate
(19)
PCB
(19)
science
(19)
biocarburant
(18)
decouverte
(18)
Tsunami
(17)
eutrophisation
(16)
algues rouges
(15)
censure
(15)
chikungunya
(15)
pollution sonore
(15)
Agenda
(14)
dechets nucleaires
(14)
energie renouvelable
(14)
sables bitumineux
(14)
ebola
(13)
elevage
(13)
gaspillage
(12)
ozone
(12)
clin d'oeil
(11)
mousson
(11)
petitions
(11)
politique
(10)
avalanche
(9)
Etat d urgence
(8)
grêle
(8)
incident
(8)
restriction
(8)
sauvegarde
(8)
Trombe
(7)
radiation
(7)
Chasse
(6)
Décontamination
(6)
Methane
(6)
industrie
(6)
crime
(5)
herbicides
(5)
hommage
(5)
mal-bouffe
(5)
plateforme
(5)
pollution plastique
(5)
techniques nouvelles
(5)
alimenation
(4)
dechets
(4)
disparus
(4)
geoingenierie
(4)
magnetisme terrestre
(4)
perturbateur endocrinien
(4)
proces
(4)
animal
(3)
cop21
(3)
espoir
(3)
glaciers
(3)
journée mondiale
(3)
silence
(3)
verglas
(3)
Eureka
(2)
Géopolitique environnementale
(2)
Nouvelles technologies
(2)
ah bon...
(2)
amiante
(2)
conflis
(2)
crue
(2)
cyanobacteries
(2)
dengue
(2)
eclipse
(2)
espace
(2)
gag
(2)
malbouffe
(2)
poisson
(2)
projet de loi
(2)
pétrole
(2)
recolte
(2)
sinkhole
(2)
violence
(2)
zad
(2)
Elevage intensif
(1)
Finance
(1)
ONG
(1)
Recherche
(1)
Tempête
(1)
Toxique
(1)
Tristesse
(1)
commerce
(1)
consultation public
(1)
contribution
(1)
effet d annonce
(1)
extrane(l)us
(1)
fuite
(1)
greenwashing
(1)
infraction
(1)
initiative
(1)
inovation
(1)
intempérie
(1)
maree
(1)
massacre
(1)
météo
(1)
naufrage
(1)
peche
(1)
police
(1)
pollution interieur
(1)
pollution lumineuse
(1)
prétexte
(1)
requin
(1)
saisi
(1)
sanitaire
(1)
securite
(1)
semences
(1)
semences paysannes
(1)
séisme
(1)
trafic
(1)
victoire
(1)
zika
(1)
Fourni par Blogger.