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vendredi 2 octobre 2015
16:14
La trypanosomiase africaine, ou la maladie du sommeil, transmise par la piqûre de la mouche tsé-tsé, reste présente dans 38 pays d'Afrique subsaharienne et constitue une menace pour plus de 60 millions de personnes et 50 millions de bovins et diverses autres espèces domestiques et sauvages sensibles, a déclaré mardi à N'Djamena Dr Hassan Mahamat, coordinateur de la Campagne panafricaine d'éradication de la trypanosomiase et de la mouche tsé-tsé (PATTEC).
S'adressant aux experts de la PATTEC et du Conseil scientifique international pour la recherche et la lutte contre les trypanosomiases (CSRILT), réunis dans la capitale tchadienne du 14 au 18 septembre, le Dr Mahamat a affirmé que l'augmentation du nombre de cas a été stoppée grâce à la stratégie panafricaine de lutte contre la mouche tsé-tsé et la trypanosomiase en juillet 2000 à Lomé sous l'égide de l'Union africaine (UA).
Selon la classification de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Tchad figure parmi les pays endémiques qui enregistrent entre 100 et 1.000 nouveaux cas par an et est actuellement au troisième rang pour les cas notifiés, derrière la République démocratique du Congo (RDC) et la République centrafricaine.
Pendant cinq jours, lex experts de la PATTEC et du CSRILT analysent les méthodes et outils de recherche mis en œuvre dans le cadre de la lutte contre la mouche tsé-tsé et les trypanosomiases, ainsi que les résultats obtenus par la recherche et les interventions dans le domaine.
Le Dr Mahamat a exhorté les partenaires techniques et financiers à apporter des ressources nécessaires à la disposition des Etats afin qu'ils se débarrassent, une fois pour toutes, des mouches tsé-tsé et des trypanosomiases.
S'adressant aux experts de la PATTEC et du Conseil scientifique international pour la recherche et la lutte contre les trypanosomiases (CSRILT), réunis dans la capitale tchadienne du 14 au 18 septembre, le Dr Mahamat a affirmé que l'augmentation du nombre de cas a été stoppée grâce à la stratégie panafricaine de lutte contre la mouche tsé-tsé et la trypanosomiase en juillet 2000 à Lomé sous l'égide de l'Union africaine (UA).
Selon la classification de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Tchad figure parmi les pays endémiques qui enregistrent entre 100 et 1.000 nouveaux cas par an et est actuellement au troisième rang pour les cas notifiés, derrière la République démocratique du Congo (RDC) et la République centrafricaine.
Pendant cinq jours, lex experts de la PATTEC et du CSRILT analysent les méthodes et outils de recherche mis en œuvre dans le cadre de la lutte contre la mouche tsé-tsé et les trypanosomiases, ainsi que les résultats obtenus par la recherche et les interventions dans le domaine.
Le Dr Mahamat a exhorté les partenaires techniques et financiers à apporter des ressources nécessaires à la disposition des Etats afin qu'ils se débarrassent, une fois pour toutes, des mouches tsé-tsé et des trypanosomiases.
16:12
L’Islande a annoncé mercredi que sa saison 2015 de chasse à la baleine s’était achevée avec la capture de 155 rorquals communs, le pays continuant d’ignorer les appels à la fin de cette pratique.
Le gouvernement avait accordé un quota de 171 prises pour cette espèce, le deuxième plus grand animal après la baleine bleue.
Le ministère de la Pêche et de l’Agriculture a ajouté dans un communiqué que 29 baleines de Minke, une espèce plus petite, avaient également été harponnées, sur un quota de 275.
Un des deux pays qui refusent le moratoire de la commission baleinière internationale
Depuis qu’elle a repris cette chasse en 2006, l’Islande fait partie, avec la Norvège, des deux pays qui refusent un moratoire de la Commission baleinière internationale (CBI) sur la chasse à la baleine à des fins commerciales.
Le Japon chasse aussi la baleine, officiellement à des fins scientifiques.
Cette chasse suscite la réprobation de nombreux États, dont les États-Unis qui en 2014 avaient menacé l’Islande de sanctions économiques, ou encore les membres de l’Union européenne.
Des pétitions en lignes
Des organisations non gouvernementales tentent aussi de convaincre l’Islande d’arrêter. Une pétition lancée en juin sur le site internet de cyber-militantisme Avaaz.org a dépassé le million de signatures, soit l’équivalent de trois fois la population islandaise.
La demande pour la viande de baleine est en baisse en Islande comme au Japon, le principal débouché à l’export.
D’après les médias islandais, la société baleinière islandaise Hvalur la poursuit par principe, malgré les millions d’euros de pertes qu’elle génère chaque année. Elle compense grâce aux dividendes tirés de sa participation de 33,5 % dans une des plus grandes sociétés de pêche islandaises, HB Grandi.
Source © Le Quotidien
Le gouvernement avait accordé un quota de 171 prises pour cette espèce, le deuxième plus grand animal après la baleine bleue.
Le ministère de la Pêche et de l’Agriculture a ajouté dans un communiqué que 29 baleines de Minke, une espèce plus petite, avaient également été harponnées, sur un quota de 275.
Un des deux pays qui refusent le moratoire de la commission baleinière internationale
Depuis qu’elle a repris cette chasse en 2006, l’Islande fait partie, avec la Norvège, des deux pays qui refusent un moratoire de la Commission baleinière internationale (CBI) sur la chasse à la baleine à des fins commerciales.
Le Japon chasse aussi la baleine, officiellement à des fins scientifiques.
Cette chasse suscite la réprobation de nombreux États, dont les États-Unis qui en 2014 avaient menacé l’Islande de sanctions économiques, ou encore les membres de l’Union européenne.
Des pétitions en lignes
Des organisations non gouvernementales tentent aussi de convaincre l’Islande d’arrêter. Une pétition lancée en juin sur le site internet de cyber-militantisme Avaaz.org a dépassé le million de signatures, soit l’équivalent de trois fois la population islandaise.
La demande pour la viande de baleine est en baisse en Islande comme au Japon, le principal débouché à l’export.
D’après les médias islandais, la société baleinière islandaise Hvalur la poursuit par principe, malgré les millions d’euros de pertes qu’elle génère chaque année. Elle compense grâce aux dividendes tirés de sa participation de 33,5 % dans une des plus grandes sociétés de pêche islandaises, HB Grandi.
Source © Le Quotidien
jeudi 1 octobre 2015
16:36
Le typhon Dujuan a engendré de lourdes pertes dans les province côtières chinoises du Zhejiang et du Fujian.
Dujuan, le 21e typhon de cette année, a touché terre mardi matin au Fujian, apportant des vents atteignant 33 mètres par seconde. Le typhon avait fait deux morts et 324 blessés sur l'île de Taiwan avant d'atteindre les côtes de la partie continentale.
Au Fujian, Dujuan a affecté plus d'un million de personnes, et un total de 430.200 habitants ont été évacués, a déclaré le centre provincial de contrôle des inondations. Aucune victime n'a pour l'heure été signalée, mais les pertes économiques directes sont estimées à 2,4 milliards de yuans (377,5 millions de dollars).
Quatre cents maisons ont été détruites, et environ 31.000 hectares de cultures ont été endommagés dans sept villes et 51 districts de la province.
Mardi à 13h30, les fortes pluies avaient cessé, et le centre de contrôle des inondations avait levé ses mesures d'urgence face au typhon.
Au Zhejiang, Dujuan a affecté 663.400 personnes et causé 1,75 milliard de yuans de pertes économiques. Aucun décès n'a été rapporté.
La ville de Ningbo, au Zhejiang, a été gravement touchée par le typhon. 359.600 personnes ont été affectées, et 123 villages et bourgs inondés.
Bien que le typhon se soit affaibli, les chutes de pluie se poursuivaient jeudi au Zhejiang en raison d'un front froid.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua)
Dujuan, le 21e typhon de cette année, a touché terre mardi matin au Fujian, apportant des vents atteignant 33 mètres par seconde. Le typhon avait fait deux morts et 324 blessés sur l'île de Taiwan avant d'atteindre les côtes de la partie continentale.
Au Fujian, Dujuan a affecté plus d'un million de personnes, et un total de 430.200 habitants ont été évacués, a déclaré le centre provincial de contrôle des inondations. Aucune victime n'a pour l'heure été signalée, mais les pertes économiques directes sont estimées à 2,4 milliards de yuans (377,5 millions de dollars).
Quatre cents maisons ont été détruites, et environ 31.000 hectares de cultures ont été endommagés dans sept villes et 51 districts de la province.
Mardi à 13h30, les fortes pluies avaient cessé, et le centre de contrôle des inondations avait levé ses mesures d'urgence face au typhon.
Au Zhejiang, Dujuan a affecté 663.400 personnes et causé 1,75 milliard de yuans de pertes économiques. Aucun décès n'a été rapporté.
La ville de Ningbo, au Zhejiang, a été gravement touchée par le typhon. 359.600 personnes ont été affectées, et 123 villages et bourgs inondés.
Bien que le typhon se soit affaibli, les chutes de pluie se poursuivaient jeudi au Zhejiang en raison d'un front froid.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua)
mercredi 16 septembre 2015
12:36
Les populations d'animaux marins (mammifères, oiseaux, reptiles et poissons) ont chuté de moitié depuis les années 1970 du fait de la surpêche, de la pollution et du changement climatique, a averti mercredi l'ONG environnementale WWF.
«L'action de l'homme est à l'origine de ces tendances: de la surpêche et des industries extractives à l'aménagement du littoral et à la pollution, en passant par les émissions de gaz à effet de serre responsables de l'acidification océanique et du réchauffement des mers», a dénoncé l'organisation internationale basée en Suisse dans un nouveau rapport.
Et l'appétit de l'homme pour le poisson ne cesse d'augmenter: à l'échelle mondiale, la consommation moyenne par habitant est passée de 9,9 kg dans les années 1960 à 19,2 kg en 2012.
Dans son rapport, le WWF explique que son indice Planète Vivante des populations marines, qui mesure la tendance suivie par les populations d'animaux marins, «a enregistré une régression de 49% entre 1970 et 2012».
Certaines ont même vu leur effectif fondre de près de 75%, s'alarme le WWF dont l'étude est effectuée sur une base d'observation de 5829 populations appartenant à 1234 espèces.
La période s'étendant de 1970 au milieu de la décennie 1980 a connu la contraction la plus marquée, suivie d'une relative stabilité, avant que l'effectif des populations ne reparte récemment à la baisse.
L'indice global masque toutefois des écarts considérables entre régions: si les effectifs sont en hausse sous les latitudes élevées (par rapport à un niveau lui-même en net retrait), ils déclinent en revanche en milieu tropical et subtropical.
Plus de récifs coralliens d'ici 2050
Les experts lancent ainsi l'alerte : les récifs coralliens et prairies sous-marines pourraient disparaître du globe d'ici 2050 sous l'effet du réchauffement climatique.
Or sachant que plus de 25% de toutes les espèces marines y habitent et que près de 850 millions de personnes bénéficient directement de leurs services économiques, sociaux et culturels, la perte des récifs coralliens représenterait une «extinction catastrophique, aux conséquences dramatiques sur les communautés».
«Nous conduisons collectivement l'océan au bord du précipice», a souligné le directeur général du WWF, Marco Lambertini, dans la préface du document.
«En l'espace d'une seule génération, les activités humaines ont gravement dégradé les océans en capturant les poissons à un rythme supérieur à celui de leur reproduction et en détruisant les nourriceries», a-t-il expliqué, soulignant que l'effondrement des écosystèmes océaniques risque de déclencher «une grave crise économique».
À titre d'exemple, la mer Méditerranée est l'une des plus anciennes zones de pêche du globe et fait vivre les gens depuis des siècles. Mais elle est aujourd'hui largement surexploitée: à peu près 1,5 million de tonnes de poissons y sont prélevées chaque année et 89% des stocks sont épuisés.
Le rapport du WWF indique aussi que les espèces essentielles à la pêche commerciale et à la pêche de subsistance sont peut-être celles subissant le déclin le plus marqué. En guise d'exemple, le rapport fait état d'un spectaculaire recul de 74% des effectifs de la famille englobant des poissons aussi prisés que le thon, le maquereau et la bonite.
«Les décisions prises lors de la conférence mondiale pour le climat à Paris dans quelques semaines auront un impact décisif sur l'avenir des océans», estime le WWF en soulignant que «les engagements internationaux existants sont très loin de suffire à éviter des niveaux de réchauffement et d'acidification jugés désastreux pour les systèmes océaniques dont, en fin de compte, nous dépendons tous».
Mais des solutions existent: sauvegarder et reconstituer le capital naturel marin, consommer plus raisonnablement et donner la priorité au développement durable, selon le WWF.
Source © AFP
«L'action de l'homme est à l'origine de ces tendances: de la surpêche et des industries extractives à l'aménagement du littoral et à la pollution, en passant par les émissions de gaz à effet de serre responsables de l'acidification océanique et du réchauffement des mers», a dénoncé l'organisation internationale basée en Suisse dans un nouveau rapport.
Et l'appétit de l'homme pour le poisson ne cesse d'augmenter: à l'échelle mondiale, la consommation moyenne par habitant est passée de 9,9 kg dans les années 1960 à 19,2 kg en 2012.
Dans son rapport, le WWF explique que son indice Planète Vivante des populations marines, qui mesure la tendance suivie par les populations d'animaux marins, «a enregistré une régression de 49% entre 1970 et 2012».
Certaines ont même vu leur effectif fondre de près de 75%, s'alarme le WWF dont l'étude est effectuée sur une base d'observation de 5829 populations appartenant à 1234 espèces.
La période s'étendant de 1970 au milieu de la décennie 1980 a connu la contraction la plus marquée, suivie d'une relative stabilité, avant que l'effectif des populations ne reparte récemment à la baisse.
L'indice global masque toutefois des écarts considérables entre régions: si les effectifs sont en hausse sous les latitudes élevées (par rapport à un niveau lui-même en net retrait), ils déclinent en revanche en milieu tropical et subtropical.
Plus de récifs coralliens d'ici 2050
Les experts lancent ainsi l'alerte : les récifs coralliens et prairies sous-marines pourraient disparaître du globe d'ici 2050 sous l'effet du réchauffement climatique.
Or sachant que plus de 25% de toutes les espèces marines y habitent et que près de 850 millions de personnes bénéficient directement de leurs services économiques, sociaux et culturels, la perte des récifs coralliens représenterait une «extinction catastrophique, aux conséquences dramatiques sur les communautés».
«Nous conduisons collectivement l'océan au bord du précipice», a souligné le directeur général du WWF, Marco Lambertini, dans la préface du document.
«En l'espace d'une seule génération, les activités humaines ont gravement dégradé les océans en capturant les poissons à un rythme supérieur à celui de leur reproduction et en détruisant les nourriceries», a-t-il expliqué, soulignant que l'effondrement des écosystèmes océaniques risque de déclencher «une grave crise économique».
À titre d'exemple, la mer Méditerranée est l'une des plus anciennes zones de pêche du globe et fait vivre les gens depuis des siècles. Mais elle est aujourd'hui largement surexploitée: à peu près 1,5 million de tonnes de poissons y sont prélevées chaque année et 89% des stocks sont épuisés.
Le rapport du WWF indique aussi que les espèces essentielles à la pêche commerciale et à la pêche de subsistance sont peut-être celles subissant le déclin le plus marqué. En guise d'exemple, le rapport fait état d'un spectaculaire recul de 74% des effectifs de la famille englobant des poissons aussi prisés que le thon, le maquereau et la bonite.
«Les décisions prises lors de la conférence mondiale pour le climat à Paris dans quelques semaines auront un impact décisif sur l'avenir des océans», estime le WWF en soulignant que «les engagements internationaux existants sont très loin de suffire à éviter des niveaux de réchauffement et d'acidification jugés désastreux pour les systèmes océaniques dont, en fin de compte, nous dépendons tous».
Mais des solutions existent: sauvegarder et reconstituer le capital naturel marin, consommer plus raisonnablement et donner la priorité au développement durable, selon le WWF.
Source © AFP
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12:26
Le bilan des inondations survenues dans l'Utah (ouest des Etats-Unis) s'est élevé à 16 morts, ont confirmé mardi les autorités locales.
Une crue éclair a eu lieu lundi dans le sud de cet Etat, à la frontière avec l'Arizona. Plusieurs véhicules ont été emportés dans les cours d'eau après de fortes pluies qui se sont abattues vers 17h00 heure locale (23h GMT), dont deux véhicules qui transportaient au moins 16 personnes dans le canyon Maxwell au nord de Hildale, selon les pompiers.
La mort de 12 de ces 16 personnes a été confirmée, alors qu'une autre est toujours portée disparue, a-t-on indiqué.
Dans le Parc national de Zion, quatre touristes ont péri au moment où ils parcouraient le canyon Keyhole quand plus de 16 mm de pluie sont tombés en moins d'une heure, ont annoncé les responsables du parc.
Par ailleurs, trois autres personnes sont portées disparues, mais les secouristes disent ne pouvoir se rendre dans le canyon tant que les conditions météo ne s'amélioreront pas.
Le gouverneur de l'Utah Gary Herbert, en visite en Chine, a fait part de son émotion après ce drame survenu dans le comté de Washington. "L'Etat a mis à la disposition de la ville d'Hildale tous les moyens disponibles pour contribuer aux opérations de recherche et de secours", a-t-il dit dans un communiqué.
"C'est l'une des pires catastrophes météorologiques de l'histoire de l'Utah", a estimé le vice-gouverneur Spencer Cox lors d'une conférence de presse mardi.
Une crue éclair a eu lieu lundi dans le sud de cet Etat, à la frontière avec l'Arizona. Plusieurs véhicules ont été emportés dans les cours d'eau après de fortes pluies qui se sont abattues vers 17h00 heure locale (23h GMT), dont deux véhicules qui transportaient au moins 16 personnes dans le canyon Maxwell au nord de Hildale, selon les pompiers.
La mort de 12 de ces 16 personnes a été confirmée, alors qu'une autre est toujours portée disparue, a-t-on indiqué.
Dans le Parc national de Zion, quatre touristes ont péri au moment où ils parcouraient le canyon Keyhole quand plus de 16 mm de pluie sont tombés en moins d'une heure, ont annoncé les responsables du parc.
Par ailleurs, trois autres personnes sont portées disparues, mais les secouristes disent ne pouvoir se rendre dans le canyon tant que les conditions météo ne s'amélioreront pas.
Le gouverneur de l'Utah Gary Herbert, en visite en Chine, a fait part de son émotion après ce drame survenu dans le comté de Washington. "L'Etat a mis à la disposition de la ville d'Hildale tous les moyens disponibles pour contribuer aux opérations de recherche et de secours", a-t-il dit dans un communiqué.
"C'est l'une des pires catastrophes météorologiques de l'histoire de l'Utah", a estimé le vice-gouverneur Spencer Cox lors d'une conférence de presse mardi.
mardi 15 septembre 2015
14:38
Les particules fines responsables de la majeure partie de la pollution de l'air en Chine ont baissé de 17,4% au premier semestre de cette année, a indiqué lundi Wu Xiaoqing, vice-ministre de la Protection de l'environnement.
La baisse de la densité des PM2,5, particules fines possédant un diamètre inférieur à 2,5 micromètres, dans 161 villes est attribuée à l'adoption d'une nouvelle norme de protection de l'environnement introduite en 2012 qui doit être appliquée au niveau national d'ici 2016, a expliqué M. Wu.
Cette nouvelle norme ajoute les PM2,5 et l'ozone à la liste des polluants devant être surveillés par les autorités pour déterminer la qualité de l'air d'une région.
S'exprimant dans le cadre d'un forum sur l'environnement et le développement organisé à Beijing, M. Wu a déclaré que la Chine ouvrirait davantage son marché, soutiendrait la recherche et le développement et améliorerait ses normes environnementales et techniques pour renforcer la protection de l'environnement de manière continue.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua)
La baisse de la densité des PM2,5, particules fines possédant un diamètre inférieur à 2,5 micromètres, dans 161 villes est attribuée à l'adoption d'une nouvelle norme de protection de l'environnement introduite en 2012 qui doit être appliquée au niveau national d'ici 2016, a expliqué M. Wu.
Cette nouvelle norme ajoute les PM2,5 et l'ozone à la liste des polluants devant être surveillés par les autorités pour déterminer la qualité de l'air d'une région.
S'exprimant dans le cadre d'un forum sur l'environnement et le développement organisé à Beijing, M. Wu a déclaré que la Chine ouvrirait davantage son marché, soutiendrait la recherche et le développement et améliorerait ses normes environnementales et techniques pour renforcer la protection de l'environnement de manière continue.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua)
14:37
La Chine a traité 1.790 affaires criminelles liées à la pollution de l'environnement entre janvier et juillet de cette année, a indiqué lundi le vice-ministre de la Protection de l'environnement Wu Xiaoqing.
Lors d'un symposium sur l'environnement et le développement, M. Wu a révélé que depuis l'entrée en vigueur de la nouvelle loi sur la protection de l'environnement, les autorités concernées étaient très occupées.
Le ministère a mené des inspections et averti les responsables locaux ayant de graves problèmes environnementaux dans leurs régions, a-t-il expliqué.
Le ministère a renforcé son travail concernant la pollution. Dans les 161 villes mettant en oeuvre les nouvelles normes sur la qualité de l'air, le nombre de jours conformes à ces normes a progressé de 8,2% en glissement annuel au premier semestre.
Un plan d'action sur la pollution de l'eau a été complètement mis en oeuvre, et les autorités élaborent actuellement un plan d'action sur la pollution des sols, a ajouté M. Wu.
Le ministère a aidé les gouvernements locaux et les entreprises d'Etat administrées par les autorités centrales à établir des plans sur la réduction des émissions. La demande chimique en oxygène, ainsi que les émissions d'ammoniac, de dioxyde de soufre et d'oxydes d'azote, ont respectivement baissé de 2,9%, 3,18%, 4,63% et 8,8% sur un an au premier semestre.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua)
Lors d'un symposium sur l'environnement et le développement, M. Wu a révélé que depuis l'entrée en vigueur de la nouvelle loi sur la protection de l'environnement, les autorités concernées étaient très occupées.
Le ministère a mené des inspections et averti les responsables locaux ayant de graves problèmes environnementaux dans leurs régions, a-t-il expliqué.
Le ministère a renforcé son travail concernant la pollution. Dans les 161 villes mettant en oeuvre les nouvelles normes sur la qualité de l'air, le nombre de jours conformes à ces normes a progressé de 8,2% en glissement annuel au premier semestre.
Un plan d'action sur la pollution de l'eau a été complètement mis en oeuvre, et les autorités élaborent actuellement un plan d'action sur la pollution des sols, a ajouté M. Wu.
Le ministère a aidé les gouvernements locaux et les entreprises d'Etat administrées par les autorités centrales à établir des plans sur la réduction des émissions. La demande chimique en oxygène, ainsi que les émissions d'ammoniac, de dioxyde de soufre et d'oxydes d'azote, ont respectivement baissé de 2,9%, 3,18%, 4,63% et 8,8% sur un an au premier semestre.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua)
vendredi 4 septembre 2015
04/09/2015...La deforestation dans le monde en 2014 correspond à deux fois la superficie du Portugal
12:58
Soixante-deux pour cent de la perte de couverture arborée en 2014 s’est faite dans des pays autres que le Brésil et l’Indonésie, les deux pays les plus touchés historiquement par la déforestation.
La déforestation de la planète continue.
Le recul de la couverture forestière dans le monde, en 2014, correspond à deux fois la superficie du Portugal, ou encore à celle du Cambodge ou de la Syrie, soit plus de 18 millions d’hectares (ou 180 000 km2), selon les données de l’université du Maryland, aux Etats-Unis, et de Google, publiées mercredi 2 septembre par la plate-forme Global Forest Watch.
Cette diminution des forêts (définies comme un couvert végétal d’au moins 5 mètres de haut), qui représentent un tiers de la surface émergée de la planète, ne cesse de s’amplifier. L’année 2014 se révèle être, à l’exception de 2012, la plus mauvaise depuis le début du XXIe siècle. A chaque minute, ce sont quelque 2 400 arbres qui sont coupés. Et plus de la moitié des hectares de forêts perdus le sont dans les pays tropicaux.
De nouvelles zones de recul apparaissent, comme dans le bassin du Mékong, principalement au Cambodge, en Afrique de l’Ouest (Sierra Leone, Liberia, Guinée…), à Madagascar, dans la région du Gran Chaco, en Amérique du Sud, plus particulièrement au Paraguay. « Cette nouvelle analyse indique une poussée vraiment alarmante de la perte de forêts dans des zones auparavant négligées », estime Nigel Sizer, directeur international du programme des forêts au World Resources Institute (WRI).
Soixante-deux pour cent de la perte de couverture arborée en 2014 se sont faits, en zone tropicale, dans des pays autres que le Brésil et l’Indonésie, les deux pays les plus touchés historiquement par la déforestation ; contre 47 % en 2001.
« Dans beaucoup de ces pays, l’accélération de la déforestation est due aux productions de plus en plus importantes de caoutchouc, de soja, d’huile de palme et de bœuf, analyse Nigel Sizer.
Pour ralentir cette perte de forêts, nous devons améliorer la gouvernance forestière pour empêcher les défrichements illégaux, planifier de façon plus équilibrée l’utilisation des terres et les demandes des grands importateurs, pour arriver à une production de produits de base durable. »
Sous la pression des besoins agricoles
Ce scénario d’une forêt qui recule sous la pression des besoins agricoles se répète aussi bien en Asie qu’en Amérique latine ou en Afrique. Au Cambodge, par exemple, qui est le pays dans le monde où la perte de la couverture arborée a augmenté le plus rapidement depuis 2001, ce sont les plantations de caoutchouc qui sont les principales responsables. Une étude (avril 2015) de chercheurs danois, allemands et américains établit une « forte corrélation » entre la déforestation dans la région du Mékong, au Cambodge surtout, et l’augmentation des prix du caoutchouc au niveau mondial.
Au Paraguay, ce sont les cultures du soja et l’élevage de bovins qui détruisent des forêts dont la biodiversité est très importante. Madagascar doit sa perte de plus de 318 000 hectares, environ 2 % de sa superficie forestière totale dans la seule année 2014, aux activités minières et à l’exploitation de bois précieux, comme le bois de rose ou le palissandre. Quant à la production d’huile de palme, elle continue de ravager les forêts d’Afrique de l’Ouest et du bassin du Congo.
Ces données publiées par le Global Forest Watch sont réactualisées tous les huit jours grâce à une surveillance des satellites du programme Landsat développé par la NASA, permettant une résolution à 30 mètres près. Elles seront au centre des discussions du 14e Congrès forestier mondial qui se tient à Durban, en Afrique du Sud, du 7 au 11 septembre.
A quelques semaines de la conférence des Nations unies sur le climat, la COP21, qui s’ouvrira à la fin de novembre à Paris, ces nouveaux éléments assombrissent un tableau déjà bien noir. La maîtrise des forêts est un élément indispensable pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
La déforestation serait ainsi responsable de quelque 20 % des émissions de gaz à effet de serre. Enfin, l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture rappelle que 60 % des populations indigènes dépendent presque entièrement des forêts, que 300 millions de personnes vivent dans ou aux alentours des forêts et que plus de 1,6 milliard de personnes dépendent d’elles pour vivre.
Source © Le Monde
La déforestation de la planète continue.
Le recul de la couverture forestière dans le monde, en 2014, correspond à deux fois la superficie du Portugal, ou encore à celle du Cambodge ou de la Syrie, soit plus de 18 millions d’hectares (ou 180 000 km2), selon les données de l’université du Maryland, aux Etats-Unis, et de Google, publiées mercredi 2 septembre par la plate-forme Global Forest Watch.
Cette diminution des forêts (définies comme un couvert végétal d’au moins 5 mètres de haut), qui représentent un tiers de la surface émergée de la planète, ne cesse de s’amplifier. L’année 2014 se révèle être, à l’exception de 2012, la plus mauvaise depuis le début du XXIe siècle. A chaque minute, ce sont quelque 2 400 arbres qui sont coupés. Et plus de la moitié des hectares de forêts perdus le sont dans les pays tropicaux.
De nouvelles zones de recul apparaissent, comme dans le bassin du Mékong, principalement au Cambodge, en Afrique de l’Ouest (Sierra Leone, Liberia, Guinée…), à Madagascar, dans la région du Gran Chaco, en Amérique du Sud, plus particulièrement au Paraguay. « Cette nouvelle analyse indique une poussée vraiment alarmante de la perte de forêts dans des zones auparavant négligées », estime Nigel Sizer, directeur international du programme des forêts au World Resources Institute (WRI).
Soixante-deux pour cent de la perte de couverture arborée en 2014 se sont faits, en zone tropicale, dans des pays autres que le Brésil et l’Indonésie, les deux pays les plus touchés historiquement par la déforestation ; contre 47 % en 2001.
« Dans beaucoup de ces pays, l’accélération de la déforestation est due aux productions de plus en plus importantes de caoutchouc, de soja, d’huile de palme et de bœuf, analyse Nigel Sizer.
Pour ralentir cette perte de forêts, nous devons améliorer la gouvernance forestière pour empêcher les défrichements illégaux, planifier de façon plus équilibrée l’utilisation des terres et les demandes des grands importateurs, pour arriver à une production de produits de base durable. »
Sous la pression des besoins agricoles
Ce scénario d’une forêt qui recule sous la pression des besoins agricoles se répète aussi bien en Asie qu’en Amérique latine ou en Afrique. Au Cambodge, par exemple, qui est le pays dans le monde où la perte de la couverture arborée a augmenté le plus rapidement depuis 2001, ce sont les plantations de caoutchouc qui sont les principales responsables. Une étude (avril 2015) de chercheurs danois, allemands et américains établit une « forte corrélation » entre la déforestation dans la région du Mékong, au Cambodge surtout, et l’augmentation des prix du caoutchouc au niveau mondial.
Au Paraguay, ce sont les cultures du soja et l’élevage de bovins qui détruisent des forêts dont la biodiversité est très importante. Madagascar doit sa perte de plus de 318 000 hectares, environ 2 % de sa superficie forestière totale dans la seule année 2014, aux activités minières et à l’exploitation de bois précieux, comme le bois de rose ou le palissandre. Quant à la production d’huile de palme, elle continue de ravager les forêts d’Afrique de l’Ouest et du bassin du Congo.
Ces données publiées par le Global Forest Watch sont réactualisées tous les huit jours grâce à une surveillance des satellites du programme Landsat développé par la NASA, permettant une résolution à 30 mètres près. Elles seront au centre des discussions du 14e Congrès forestier mondial qui se tient à Durban, en Afrique du Sud, du 7 au 11 septembre.
A quelques semaines de la conférence des Nations unies sur le climat, la COP21, qui s’ouvrira à la fin de novembre à Paris, ces nouveaux éléments assombrissent un tableau déjà bien noir. La maîtrise des forêts est un élément indispensable pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
La déforestation serait ainsi responsable de quelque 20 % des émissions de gaz à effet de serre. Enfin, l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture rappelle que 60 % des populations indigènes dépendent presque entièrement des forêts, que 300 millions de personnes vivent dans ou aux alentours des forêts et que plus de 1,6 milliard de personnes dépendent d’elles pour vivre.
Source © Le Monde
mercredi 2 septembre 2015
15:17
► 99% des Rhinocéros ont disparu depuis 1914.
► 97% des Tigres ont disparu depuis 1914.
► 90% des Lions ont disparu depuis 1993.
► 90% des tortues marines ont disparu depuis 1980.
► 90% des papillons monarques ont disparu depuis 1995.
► 90% des gros poissons marins ont disparu depuis 1950.
► 80% des gorilles ont disparu depuis 1955.
► 60% des éléphants de forêt ont disparu depuis 1970.
► 50% des barrières de corail mondiales ont disparu depuis 1985.
► 50% des poissons d'eau douce ont disparu depuis 1987.
► 40% des Girafes ont disparu depuis 2000.
► 40% du phytoplancton des océans a disparu depuis 1950
► l'acidification des océans doublera d'ici 2050 , triplera d'ici 2100.
► 30% des oiseaux marins ont disparu depuis 1995.
► 28% des animaux terrestres ont disparu depuis 1970.
► 28% de la totalité des animaux marins ont disparu depuis 1970.
► le bétail et les humains représente 97% de la la biomasse des vertébrés de la terre ( il y a 10.000 ans les humains et leurs bétails représentaient seulement 0,01% de la biomasse des vertébrés terrestres .)
► Les terres cultivées et les pâturages ont causé la perte de 80% de toutes les extinctions d'espèces de vertébrés terrestres.
► 1.000.000 d' humains s'ajoutent à la population mondiale tous les 4½ jours.
► Nous devrons produire plus de nourriture au cours des 50 prochaines années que depuis les 500 dernières années. (Pour ce faire nous avons besoin de 6 millions d'hectares de nouvelles terres agricoles chaque année.)
► Nous perdons 12 millions d'hectares de terres agricoles chaque année uniquement en raison de la dégradation des sols.
► Dans 10 ans, 4 milliards de personnes seront à court d'eau douce.
► Aujourd'hui plus d'un milliard de personnes font plus d'1 kilometre chaque jour pour trouver de l'eau douce.
► Les humains et le bétail mangent 40% de la production annuelle de la chlorophylle terrestre.
► Le cycle de l'azote est tellement corrompu par nos engrais chimiques qu'il tue la vie des fleuves et des rivières et la vie des océans.
► Il y a 80.000 produits chimiques non testés dans notre environnement.
► Nous pulvérisons tellement d'herbicides et de pesticides que nos terres agricoles sont devenus de veritables «déserts verts».
► Les cultures OGM ont détruit 90% des papillons monarques en 20 ans.
► 3 graines traitées aux néo-nicotinoïdes infusées dans un verre d'eau tuent un oiseau. les Nicotinoides sont solubles dans l'eau.
► Les monocultures provoquent la perte des insectes par un manque de bio-diversité et des sources de pollen.
► Nous ajoutons des nanoparticules à nos aliments sans en tester la sécurité à long terme.
► la moitié de tout le soja cultivé en Amérique du Sud dans les anciennes forets tropicales sert a nourrir les porcs consommés en Chine.
► l'huile de palme est brûlé comme bio-carburant en Europe du Nord.
► 50% des espèces de vertébrés restantes sur terre va disparaitre dans les 40 prochaines années.
► Les 6 facteurs directs de l'extinction de masse sont:
... 1) les Espèces envahissantes
... 2) les excédents de population
... 3) la surexploitation
... 4) la Perte de l'habitat
... 5) le Changement climatique
... 6) la Pollution
► Au taux de croissance actuel notre demande d'énergie va dépasser celle de la puissance du soleil dans 1500 ans.
► la demande d'énergie devrait doubler en 50 ans.
► Les émissions de CO2 doivent baisser de 80% en 30 ans pour respecter les normes sécuritaires concernant le réchauffement.
► Il faut une tonne de charbon pour faire 6 panneaux solaires.
► L'énergie verte ne fonctionne pas qu'avec le soleil et le vent, il fonctionne sur l'exploitation de minéraux rares.
► L'énergie verte telle qu'elle présentée au public actuellement est entraînée par un capitalisme avide de richesses.
► 40% d'énergie verte exigera 200% de plus de cuivre
► Le pic de cuivre frappera en 2030-2040 (Il n'existe pas de substitut réel pour le cuivre).
► Nous avons extrait 50% de tout le cuivre en seulement 30 ans.
► 100% d'énergie verte exige 500% de plus de cuivre.
► En 2050 nous atteindrons les pics pour l'étain, l'argent, le nickel, le zinc, le cadmium etc...
...
...
Bon allez ...Vive ...WALL ...street
© Nature Alerte
► 97% des Tigres ont disparu depuis 1914.
► 90% des Lions ont disparu depuis 1993.
► 90% des tortues marines ont disparu depuis 1980.
► 90% des papillons monarques ont disparu depuis 1995.
► 90% des gros poissons marins ont disparu depuis 1950.
► 80% des gorilles ont disparu depuis 1955.
► 60% des éléphants de forêt ont disparu depuis 1970.
► 50% des barrières de corail mondiales ont disparu depuis 1985.
► 50% des poissons d'eau douce ont disparu depuis 1987.
► 40% des Girafes ont disparu depuis 2000.
► 40% du phytoplancton des océans a disparu depuis 1950
► l'acidification des océans doublera d'ici 2050 , triplera d'ici 2100.
► 30% des oiseaux marins ont disparu depuis 1995.
► 28% des animaux terrestres ont disparu depuis 1970.
► 28% de la totalité des animaux marins ont disparu depuis 1970.
► le bétail et les humains représente 97% de la la biomasse des vertébrés de la terre ( il y a 10.000 ans les humains et leurs bétails représentaient seulement 0,01% de la biomasse des vertébrés terrestres .)
► Les terres cultivées et les pâturages ont causé la perte de 80% de toutes les extinctions d'espèces de vertébrés terrestres.
► 1.000.000 d' humains s'ajoutent à la population mondiale tous les 4½ jours.
► Nous devrons produire plus de nourriture au cours des 50 prochaines années que depuis les 500 dernières années. (Pour ce faire nous avons besoin de 6 millions d'hectares de nouvelles terres agricoles chaque année.)
► Nous perdons 12 millions d'hectares de terres agricoles chaque année uniquement en raison de la dégradation des sols.
► Dans 10 ans, 4 milliards de personnes seront à court d'eau douce.
► Aujourd'hui plus d'un milliard de personnes font plus d'1 kilometre chaque jour pour trouver de l'eau douce.
► Les humains et le bétail mangent 40% de la production annuelle de la chlorophylle terrestre.
► Le cycle de l'azote est tellement corrompu par nos engrais chimiques qu'il tue la vie des fleuves et des rivières et la vie des océans.
► Il y a 80.000 produits chimiques non testés dans notre environnement.
► Nous pulvérisons tellement d'herbicides et de pesticides que nos terres agricoles sont devenus de veritables «déserts verts».
► Les cultures OGM ont détruit 90% des papillons monarques en 20 ans.
► 3 graines traitées aux néo-nicotinoïdes infusées dans un verre d'eau tuent un oiseau. les Nicotinoides sont solubles dans l'eau.
► Les monocultures provoquent la perte des insectes par un manque de bio-diversité et des sources de pollen.
► Nous ajoutons des nanoparticules à nos aliments sans en tester la sécurité à long terme.
► la moitié de tout le soja cultivé en Amérique du Sud dans les anciennes forets tropicales sert a nourrir les porcs consommés en Chine.
► l'huile de palme est brûlé comme bio-carburant en Europe du Nord.
► 50% des espèces de vertébrés restantes sur terre va disparaitre dans les 40 prochaines années.
► Les 6 facteurs directs de l'extinction de masse sont:
... 1) les Espèces envahissantes
... 2) les excédents de population
... 3) la surexploitation
... 4) la Perte de l'habitat
... 5) le Changement climatique
... 6) la Pollution
► Au taux de croissance actuel notre demande d'énergie va dépasser celle de la puissance du soleil dans 1500 ans.
► la demande d'énergie devrait doubler en 50 ans.
► Les émissions de CO2 doivent baisser de 80% en 30 ans pour respecter les normes sécuritaires concernant le réchauffement.
► Il faut une tonne de charbon pour faire 6 panneaux solaires.
► L'énergie verte ne fonctionne pas qu'avec le soleil et le vent, il fonctionne sur l'exploitation de minéraux rares.
► L'énergie verte telle qu'elle présentée au public actuellement est entraînée par un capitalisme avide de richesses.
► 40% d'énergie verte exigera 200% de plus de cuivre
► Le pic de cuivre frappera en 2030-2040 (Il n'existe pas de substitut réel pour le cuivre).
► Nous avons extrait 50% de tout le cuivre en seulement 30 ans.
► 100% d'énergie verte exige 500% de plus de cuivre.
► En 2050 nous atteindrons les pics pour l'étain, l'argent, le nickel, le zinc, le cadmium etc...
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© Nature Alerte
mercredi 19 août 2015
12:22
Les inondations ont déjà fait 232 morts et 55 disparus à l'échelle nationale depuis le début de l'année, alors que les plus lourdes pertes humaines ont été rapportées dans le sud de la Chine, a annoncé mardi le Comité national de lutte contre les inondations et la sécheresse.
Selon un bilan établi lundi, environ 59,32 millions d'habitants dans 29 régions provinciales ont été touchés par les inondations et l'eau stagnante. Les pertes économiques directes ont été estimées à 117,6 milliards de yuans (18,4 milliards de dollars), d'après les statistiques publiées par le centre.
Les dégâts causés par les inondations et l'eau stagnante ont été moins graves en comparaison avec les années précédentes et le bilan des morts pendant cette période a été le moins important de l'histoire, a révélé Zhang Jiatuan, un haut responsable du comité.
Les régions les plus touchées sont les provinces du Fujian, du Jiangsu et du Zhejiang, a ajouté M. Zhang.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua)
Selon un bilan établi lundi, environ 59,32 millions d'habitants dans 29 régions provinciales ont été touchés par les inondations et l'eau stagnante. Les pertes économiques directes ont été estimées à 117,6 milliards de yuans (18,4 milliards de dollars), d'après les statistiques publiées par le centre.
Les dégâts causés par les inondations et l'eau stagnante ont été moins graves en comparaison avec les années précédentes et le bilan des morts pendant cette période a été le moins important de l'histoire, a révélé Zhang Jiatuan, un haut responsable du comité.
Les régions les plus touchées sont les provinces du Fujian, du Jiangsu et du Zhejiang, a ajouté M. Zhang.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua)
mardi 11 août 2015
12:22
La province du Zhejiang (Chine) panse ses plaies, lundi 10 août, alors que le nombre de villages inondés par le typhon Soudelor commence à décroître. Autour de la ville de Wenzhou, plus de 17 000 hectares ont été noyés par les eaux.
Cette vue aérienne montre d'ailleurs l'étendue des dégâts. Quelque 1,58 million de personnes dans la ville ont été touchées par la catastrophe et l'agence de presse officielle estime les pertes à quatre milliards de yuans (580 millions d'euros).
Au moins 17 morts dans l'est de la Chine
Les intempéries ont provoqué des glissements de terrain dans les zones rurales et les victimes pourraient avoir été emportées par les inondations ou ensevelies sous des maisons effondrées, selon des responsables cités par l'agence Chine nouvelle. Au total, dans tout l'est de la Chine, 17 personnes au moins sont mortes et au moins cinq autres sont portées disparues.
Cette vue aérienne montre d'ailleurs l'étendue des dégâts. Quelque 1,58 million de personnes dans la ville ont été touchées par la catastrophe et l'agence de presse officielle estime les pertes à quatre milliards de yuans (580 millions d'euros).
Au moins 17 morts dans l'est de la Chine
Les intempéries ont provoqué des glissements de terrain dans les zones rurales et les victimes pourraient avoir été emportées par les inondations ou ensevelies sous des maisons effondrées, selon des responsables cités par l'agence Chine nouvelle. Au total, dans tout l'est de la Chine, 17 personnes au moins sont mortes et au moins cinq autres sont portées disparues.
lundi 10 août 2015
13:01
Le bilan des graves inondations qui touchent la Birmanie depuis plus d'une semaine a dépassé les 100 morts, d'après les journaux officiels lundi, avec près d'un million de personnes touchées et des craintes de plus en plus grandes concernant la récolte de riz.
Dans le pays, 12 des 14 régions ont été frappées par des pluies diluviennes qui ont provoqué une rapide montée des eaux, des glissements de terrain et la crue des rivières, notamment celle du fleuve Irrawaddy (sud-ouest). L'aide internationale a été renforcée ces derniers jours après une demande officielle du gouvernement.
100 morts et un million de victimes
D'après le quotidien Global New Light of Myanmar, le nouveau bilan des autorités fait état de plus de 100 morts et près d'un million de personnes affectées dans tout le pays. Par ailleurs, plus de 486.000 hectares de rizières sont actuellement sous l'eau, dont plus de 430.000 hectares détruits par les inondations, a ajouté le journal. Les ONG redoutent des problèmes d'eau potable et de nourriture dans les semaines à venir.
Source © Belga
Dans le pays, 12 des 14 régions ont été frappées par des pluies diluviennes qui ont provoqué une rapide montée des eaux, des glissements de terrain et la crue des rivières, notamment celle du fleuve Irrawaddy (sud-ouest). L'aide internationale a été renforcée ces derniers jours après une demande officielle du gouvernement.
100 morts et un million de victimes
D'après le quotidien Global New Light of Myanmar, le nouveau bilan des autorités fait état de plus de 100 morts et près d'un million de personnes affectées dans tout le pays. Par ailleurs, plus de 486.000 hectares de rizières sont actuellement sous l'eau, dont plus de 430.000 hectares détruits par les inondations, a ajouté le journal. Les ONG redoutent des problèmes d'eau potable et de nourriture dans les semaines à venir.
Source © Belga
12:59
Le typhon Soudelor a fait au moins 17 morts dans l'est de la Chine, et au moins cinq personnes étaient portées disparues dans le pays, frappé par endroits par les plus fortes pluies depuis un siècle, rapportaient lundi des médias officiels.
Trois personnes ont été tuées et une autre portée disparue dans un glissement de terrain à Ningde dans la province du Fujian, selon le quotidien local Fujian Ribao.
Dans la province voisine du Zhejiang, le bilan s'est alourdi à 14 morts et quatre personnes disparues, indiquait de son côté l'agence Chine nouvelle.
Selon des responsables locaux des secours cités par l'agence, les victimes pourraient avoir été emportées par les inondations ou ensevelies sous des maisons effondrées.
Quelque 1,58 million de personnes dans la ville avaient été touchées dimanche après-midi par le typhon Soudelor, qui a touché la Chine après avoir frappé Taïwan, avait précédemment rapporté Chine nouvelle.
Les pertes économiques directement imputables au typhon dans les deux provinces du Fujian et du Zhejiang étaient estimées lundi à environ 8 milliards de yuans (1,17 milliard d'euros).
Six personnes avaient déjà péri, et près de 380 blessées, lors du passage de Soudelor sur Taïwan, où des pluies torrentielles ont été enregistrées tandis que des coupures d'électricité sur l'île plongeaient dans le noir quatre millions de foyers .
En Chine continentale, les pluies les plus importantes depuis 100 ans se sont abattues sur le comté de Wencheng, qui a enregistré des précipitations de 645 millimètres en 24 heures.
Le typhon Soudelor, qui avait été qualifié de plus puissant de l'année à son approche de Taïwan avec des vents jusqu'à 230 km/h, a nettement faibli en touchant les côtes chinoises, puis en s'enfonçant dans les terres, et le Centre météorologique national a levé lundi son alerte typhon.
Source © Reuters
Trois personnes ont été tuées et une autre portée disparue dans un glissement de terrain à Ningde dans la province du Fujian, selon le quotidien local Fujian Ribao.
Dans la province voisine du Zhejiang, le bilan s'est alourdi à 14 morts et quatre personnes disparues, indiquait de son côté l'agence Chine nouvelle.
Selon des responsables locaux des secours cités par l'agence, les victimes pourraient avoir été emportées par les inondations ou ensevelies sous des maisons effondrées.
Quelque 1,58 million de personnes dans la ville avaient été touchées dimanche après-midi par le typhon Soudelor, qui a touché la Chine après avoir frappé Taïwan, avait précédemment rapporté Chine nouvelle.
Les pertes économiques directement imputables au typhon dans les deux provinces du Fujian et du Zhejiang étaient estimées lundi à environ 8 milliards de yuans (1,17 milliard d'euros).
Six personnes avaient déjà péri, et près de 380 blessées, lors du passage de Soudelor sur Taïwan, où des pluies torrentielles ont été enregistrées tandis que des coupures d'électricité sur l'île plongeaient dans le noir quatre millions de foyers .
En Chine continentale, les pluies les plus importantes depuis 100 ans se sont abattues sur le comté de Wencheng, qui a enregistré des précipitations de 645 millimètres en 24 heures.
Le typhon Soudelor, qui avait été qualifié de plus puissant de l'année à son approche de Taïwan avec des vents jusqu'à 230 km/h, a nettement faibli en touchant les côtes chinoises, puis en s'enfonçant dans les terres, et le Centre météorologique national a levé lundi son alerte typhon.
Source © Reuters
12:29
Un incendie dans une pinède de Saint-Bauzille-de-Montmel (Hérault), à une trentaine de kilomètres au nord de Montpellier, avait parcouru quelque 80 hectares samedi soir, entraînant l'évacuation de 120 personnes, ont indiqué à l'AFP les pompiers et la préfecture du département.
Aucune habitation n'a été touchée et il n'y a aucun blessé, selon les pompiers, qui ont précisé que le village de Saint-Bauzille a été «sécurisé», tandis que le hameau de Favas a été évacué «préventivement».
Quelque 120 habitants de ce hameau, qui compte une quarantaine de maisons, étaient hébergés dans le gymnase de Saint-Bauzille, a précisé la préfecture de l'Hérault.
Quelque 200 pompiers, sont intervenus avec 50 véhicules et des moyens aériens (trois avions Canadair et deux Trackers), contre ce feu dont la propagation a été «stoppée» dans la soirée de samedi.
Aucune habitation n'a été touchée et il n'y a aucun blessé, selon les pompiers, qui ont précisé que le village de Saint-Bauzille a été «sécurisé», tandis que le hameau de Favas a été évacué «préventivement».
Quelque 120 habitants de ce hameau, qui compte une quarantaine de maisons, étaient hébergés dans le gymnase de Saint-Bauzille, a précisé la préfecture de l'Hérault.
Quelque 200 pompiers, sont intervenus avec 50 véhicules et des moyens aériens (trois avions Canadair et deux Trackers), contre ce feu dont la propagation a été «stoppée» dans la soirée de samedi.
12:24
Les efforts de nettoyage du delta du Niger (sud du Nigeria) par le géant pétrolier anglo-néerlandais Shell restent "complètement inefficaces", a dénoncé jeudi Amnesty International, quatre ans après un rapport de l'ONU qui réclamait l'opération de dépollution la plus vaste jamais réalisée au monde.
"L'Ogoniland a été dévasté par des années de pollution pétrolière et les opérations de nettoyage de Shell ont été complètement inefficaces", a accusé Mark Dummet, enquêteur des droits de l'Homme d'Amnesty, dans un communiqué.
L'ONG basée à Londres reproche à la société pétrolière de ne pas être à la hauteur de l'implication du gouvernement nigérian pour s'attaquer au problème posé par la pollution pétrolière dans l'Ogoniland, une région au coeur du delta du Niger, et a demandé à Shell d'améliorer "radicalement" ses opérations de nettoyage.
Amnesty a rapporté que ses enquêteurs, présents sur le terrain ces derniers jours, avaient trouvé du pétrole dans le sol et les cours d'eau environnants, dans des zones que des sous-traitants de Shell étaient pourtant censés avoir récemment dépolluées.
"Il est scandaleux que Shell, qui veut désormais que le monde lui fasse confiance pour des opérations de forage dans l'Arctique, n'ait toujours pas réussi, après tant de temps, à appliquer convenablement les directives de l'ONU sur la réponse à avoir face à une pollution aux produits pétroliers", s'est insurgé M. Dummet.
Les dégâts dans cette région symbolisent pour beaucoup la tragédie que représente le pétrole pour le Nigeria, qui en est pourtant le premier producteur africain.
Des décennies de production ont rempli les poches d'importants responsables gouvernementaux et généré des profits énormes pour des compagnies comme Shell, mais causé une pollution si vaste qu'elle empêche des habitants de cette région de cultiver ou pêcher.
Amnesty s'est réjoui de la mise en place d'un fonds pour financer le nettoyage, annoncé cette semaine par le président nigérian Muhammadu Buhari et qui devrait être supervisé par le peuple Ogoni. Mais, a estimé l'ONG, ce plan sera un échec sans une implication réelle de Shell.
"L'initiative du président Buhari échouera, et le peuple Ogoni continuera à souffrir, tant que Shell ne fera pas de changements conséquents dans la manière dont ils s'occupent du nettoyage de la pollution", a prévenu M. Dummet.
En août 2011, une enquête scientifique sans précédent du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) avait établi l'étendue et l'impact de la pollution pétrolière dans l'Ogoniland. Elle estimait qu'elle pourrait nécessiter l'opération de nettoyage la plus vaste jamais entreprise au monde et durer 25 à 30 ans, et appelait industrie pétrolière et gouvernement nigérian à y participer à hauteur d'un milliard de dollars.
En avril 2013, Shell avait dépêché du personnel dans l'Ogoniland pour la première fois en deux décennies afin de faire un inventaire de ses installations.
La compagnie avait alors affirmé qu'il s'agissait d'une "étape-clé" pour se conformer au rapport de l'ONU de 2011.
"En 2011 le PNUE a mis en lumière de nombreux problèmes sérieux dans la manière dont Shell nettoie les sites pétroliers. Nous avons visité plusieurs de ces sites et trouvé du pétrole partout", a relaté M. Dummett
"De ce que nous avons pu constater, peu de choses ont changé depuis" 2011, a-t-il déploré.
Source © AFP
"L'Ogoniland a été dévasté par des années de pollution pétrolière et les opérations de nettoyage de Shell ont été complètement inefficaces", a accusé Mark Dummet, enquêteur des droits de l'Homme d'Amnesty, dans un communiqué.
L'ONG basée à Londres reproche à la société pétrolière de ne pas être à la hauteur de l'implication du gouvernement nigérian pour s'attaquer au problème posé par la pollution pétrolière dans l'Ogoniland, une région au coeur du delta du Niger, et a demandé à Shell d'améliorer "radicalement" ses opérations de nettoyage.
Amnesty a rapporté que ses enquêteurs, présents sur le terrain ces derniers jours, avaient trouvé du pétrole dans le sol et les cours d'eau environnants, dans des zones que des sous-traitants de Shell étaient pourtant censés avoir récemment dépolluées.
"Il est scandaleux que Shell, qui veut désormais que le monde lui fasse confiance pour des opérations de forage dans l'Arctique, n'ait toujours pas réussi, après tant de temps, à appliquer convenablement les directives de l'ONU sur la réponse à avoir face à une pollution aux produits pétroliers", s'est insurgé M. Dummet.
Les dégâts dans cette région symbolisent pour beaucoup la tragédie que représente le pétrole pour le Nigeria, qui en est pourtant le premier producteur africain.
Des décennies de production ont rempli les poches d'importants responsables gouvernementaux et généré des profits énormes pour des compagnies comme Shell, mais causé une pollution si vaste qu'elle empêche des habitants de cette région de cultiver ou pêcher.
Amnesty s'est réjoui de la mise en place d'un fonds pour financer le nettoyage, annoncé cette semaine par le président nigérian Muhammadu Buhari et qui devrait être supervisé par le peuple Ogoni. Mais, a estimé l'ONG, ce plan sera un échec sans une implication réelle de Shell.
"L'initiative du président Buhari échouera, et le peuple Ogoni continuera à souffrir, tant que Shell ne fera pas de changements conséquents dans la manière dont ils s'occupent du nettoyage de la pollution", a prévenu M. Dummet.
En août 2011, une enquête scientifique sans précédent du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) avait établi l'étendue et l'impact de la pollution pétrolière dans l'Ogoniland. Elle estimait qu'elle pourrait nécessiter l'opération de nettoyage la plus vaste jamais entreprise au monde et durer 25 à 30 ans, et appelait industrie pétrolière et gouvernement nigérian à y participer à hauteur d'un milliard de dollars.
En avril 2013, Shell avait dépêché du personnel dans l'Ogoniland pour la première fois en deux décennies afin de faire un inventaire de ses installations.
La compagnie avait alors affirmé qu'il s'agissait d'une "étape-clé" pour se conformer au rapport de l'ONU de 2011.
"En 2011 le PNUE a mis en lumière de nombreux problèmes sérieux dans la manière dont Shell nettoie les sites pétroliers. Nous avons visité plusieurs de ces sites et trouvé du pétrole partout", a relaté M. Dummett
"De ce que nous avons pu constater, peu de choses ont changé depuis" 2011, a-t-il déploré.
Source © AFP
mardi 4 août 2015
11:11
Le ministère chinois de la Protection de l'environnement a nommé et dénoncé lundi la ville de Hohhot, capitale de la région autonome de Mongolie intérieure (nord) pour sa mauvaise qualité de l'air et de l'eau.
Selon le ministère, diverses infractions ont été constatées dans la ville, dont des émissions excessives, l'insuffisance des installations de traitement de la pollution et la supervision laxiste des régulateurs locaux.
Des équipes d'inspection ont été envoyées à Hohhot en mai et en juin afin de vérifier la prévention et le contrôle de la pollution. Elle est l'une des 30 villes ciblées cette année par une inspection environnementale nationale.
Les problèmes de pollution et de gaspillage excessifs sont faciles à voir dans la ville, a-t-on appris des inspecteurs.
Le manque d'installations de traitement des eaux usées a conduit chaque jour quelque 100.000 tonnes d'eau sale non traitée à sortir de la ville.
Le ministère a ordonné aux autorités locales de l'environnement de punir sévèrement les pollueurs et de soumettre les mesures de rectification au ministère d'ici 20 jours ouvrables.
Des équipes d'inspection ont également été envoyées dans les provinces du Hebei, du Henan et du Shanxi ainsi que dans les municipalités de Beijing et de Tianjin.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua)
Selon le ministère, diverses infractions ont été constatées dans la ville, dont des émissions excessives, l'insuffisance des installations de traitement de la pollution et la supervision laxiste des régulateurs locaux.
Des équipes d'inspection ont été envoyées à Hohhot en mai et en juin afin de vérifier la prévention et le contrôle de la pollution. Elle est l'une des 30 villes ciblées cette année par une inspection environnementale nationale.
Les problèmes de pollution et de gaspillage excessifs sont faciles à voir dans la ville, a-t-on appris des inspecteurs.
Le manque d'installations de traitement des eaux usées a conduit chaque jour quelque 100.000 tonnes d'eau sale non traitée à sortir de la ville.
Le ministère a ordonné aux autorités locales de l'environnement de punir sévèrement les pollueurs et de soumettre les mesures de rectification au ministère d'ici 20 jours ouvrables.
Des équipes d'inspection ont également été envoyées dans les provinces du Hebei, du Henan et du Shanxi ainsi que dans les municipalités de Beijing et de Tianjin.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua)
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En 2014, la puissance éolienne reliée au réseau de l'Union Européenne a atteint 129 GW, ce qui correspond à 8% de la demande européenne en électricité, soit l'équivalent de la consommation annuelle de la Belgique, des Pays-Bas, de la Grèce et de l'Irlande réunis.
Selon le dernier rapport du centre commun de recherche (JRC), la croissance "impressionnante" de l'industrie éolienne permettra de contribuer à hauteur d'au moins 12% dans l'électricité renouvelable d'ici à 2020, un apport significatif dans l'objectif européen du paquet climat-énergie fixé à 20% d'énergie de sources renouvelables.
Le rapport "JRC wind status report 2014" fait état des technologies, du marché et de l'économie du secteur de l'énergie éolienne avec un focus sur l'Union Européenne. L'énergie éolienne reste l'énergie renouvelable ayant connu un déploiement la plus large et la plus réussie au cours des deux dernières décennies, passant d'une capacité mondiale cumulée de 3 GW à 370 GW.
L'année dernière, la capacité éolienne installée ( 52,8 GW dont 2,7 GW offshore ) a connu un nouveau record dans le monde, avec une augmentation de 48% par rapport à 2013 et de 17% par rapport au record de 2012 (45,2 GW).
Avec 23,2 GW de nouvelles installations et une part de marché de 44%, la Chine est largement en avance sur les Etats membres de l'UE qui, ensemble, totalisent 13,05 GW de capacités éoliennes installées. L'UE reste toutefois encore en tête en terme de capacités cumulées. Ses 129 GW d'installations éoliennes (onshore et offshore), permettent à six pays - le Danemark, le Portugal, l'Irlande, l'Espagne, la Roumanie et l'Allemagne - de générer entre 10 et 40% de leur électricité à partir du vent.
Les fabricants européens de turbines ont représenté 78% du marché mondial (hors Chine) en 2014. Dans un contexte de forte concurrence et de diminution du prix des turbines, les fabricants ont réussi à améliorer leur bilan grâce à une meilleure gestion des coûts et à une réduction du prix des matières premières. Le coût de production de l'énergie éolienne continue sur une tendance baissière, hautement favorisé par une réduction du coût du financement des projets. Sur la base d'investissements planifiés en 2016-2017, le coût moyen actualisé de l'énergie est estimé entre 90 et 150 euros par MWh.
La part de 20% de la consommation énergétique de l'UE à partir de sources d'énergie renouvelables fait partie du paquet «20-20-20» des objectifs climatiques et énergétiques fixés en 2020. Celui-ci prévoit également une réduction de 20% des émissions de gaz à effet de serre dans l'UE - aux niveaux de 1990, et une amélioration de 20% de l'efficacité énergétique. En Octobre 2014, les dirigeants de l'UE ont convenu de nouveaux objectifs pour 2030: la réduction des émissions de gaz à effet de serre de 40% au moins par rapport à celle de 1990, et de 27% au moins pour l'énergie renouvelable et les économies d'énergie d'ici 2030.
Source © Enerzine
Selon le dernier rapport du centre commun de recherche (JRC), la croissance "impressionnante" de l'industrie éolienne permettra de contribuer à hauteur d'au moins 12% dans l'électricité renouvelable d'ici à 2020, un apport significatif dans l'objectif européen du paquet climat-énergie fixé à 20% d'énergie de sources renouvelables.
Le rapport "JRC wind status report 2014" fait état des technologies, du marché et de l'économie du secteur de l'énergie éolienne avec un focus sur l'Union Européenne. L'énergie éolienne reste l'énergie renouvelable ayant connu un déploiement la plus large et la plus réussie au cours des deux dernières décennies, passant d'une capacité mondiale cumulée de 3 GW à 370 GW.
L'année dernière, la capacité éolienne installée ( 52,8 GW dont 2,7 GW offshore ) a connu un nouveau record dans le monde, avec une augmentation de 48% par rapport à 2013 et de 17% par rapport au record de 2012 (45,2 GW).
Avec 23,2 GW de nouvelles installations et une part de marché de 44%, la Chine est largement en avance sur les Etats membres de l'UE qui, ensemble, totalisent 13,05 GW de capacités éoliennes installées. L'UE reste toutefois encore en tête en terme de capacités cumulées. Ses 129 GW d'installations éoliennes (onshore et offshore), permettent à six pays - le Danemark, le Portugal, l'Irlande, l'Espagne, la Roumanie et l'Allemagne - de générer entre 10 et 40% de leur électricité à partir du vent.
Les fabricants européens de turbines ont représenté 78% du marché mondial (hors Chine) en 2014. Dans un contexte de forte concurrence et de diminution du prix des turbines, les fabricants ont réussi à améliorer leur bilan grâce à une meilleure gestion des coûts et à une réduction du prix des matières premières. Le coût de production de l'énergie éolienne continue sur une tendance baissière, hautement favorisé par une réduction du coût du financement des projets. Sur la base d'investissements planifiés en 2016-2017, le coût moyen actualisé de l'énergie est estimé entre 90 et 150 euros par MWh.
La part de 20% de la consommation énergétique de l'UE à partir de sources d'énergie renouvelables fait partie du paquet «20-20-20» des objectifs climatiques et énergétiques fixés en 2020. Celui-ci prévoit également une réduction de 20% des émissions de gaz à effet de serre dans l'UE - aux niveaux de 1990, et une amélioration de 20% de l'efficacité énergétique. En Octobre 2014, les dirigeants de l'UE ont convenu de nouveaux objectifs pour 2030: la réduction des émissions de gaz à effet de serre de 40% au moins par rapport à celle de 1990, et de 27% au moins pour l'énergie renouvelable et les économies d'énergie d'ici 2030.
Source © Enerzine
vendredi 31 juillet 2015
13:14
La dernière vague de chaleur et de fortes concentrations d'ozone a entrainé un pic de mortalité en Belgique, indique vendredi l'Institut de santé publique (ISP). Quelque 410 personnes supplémentaires sont décédées, comparé à une situation habituelle.
Il s'agit d'une surmortalité de 26%, le chiffre le plus élevé des dix dernières années.
La Belgique a subi une vague de chaleur du 30 juin au 5 juillet, avec des températures élevées et d'importantes concentrations d'ozone dans l'air. "Nous enregistrons un pic bref et intense dans le taux de mortalité, qui s'est fait ressentir dans tous les groupes d'âge", explique l'ISP. Les plus de 85 ans ont été les plus touchés, avec un taux de mortalité supplémentaire de 33%.
Ce pic est aussi plus important que lors d'épisodes similaires dans le passé. "À part en 2006, où la surmortalité avait atteint 23% pendant une période prolongée de fortes chaleurs, ce taux n'a pas dépassé les 18% au cours de la dernière décennie."
En cas de chaleur intense, la plupart des décès surviennent généralement chez les personnes déjà affaiblies. L'ISP n'exclut donc pas que cet excès de mortalité soit éventuellement compensé par une mortalité plus faible au cours des prochains mois.
Source © Belga
Il s'agit d'une surmortalité de 26%, le chiffre le plus élevé des dix dernières années.
La Belgique a subi une vague de chaleur du 30 juin au 5 juillet, avec des températures élevées et d'importantes concentrations d'ozone dans l'air. "Nous enregistrons un pic bref et intense dans le taux de mortalité, qui s'est fait ressentir dans tous les groupes d'âge", explique l'ISP. Les plus de 85 ans ont été les plus touchés, avec un taux de mortalité supplémentaire de 33%.
Ce pic est aussi plus important que lors d'épisodes similaires dans le passé. "À part en 2006, où la surmortalité avait atteint 23% pendant une période prolongée de fortes chaleurs, ce taux n'a pas dépassé les 18% au cours de la dernière décennie."
En cas de chaleur intense, la plupart des décès surviennent généralement chez les personnes déjà affaiblies. L'ISP n'exclut donc pas que cet excès de mortalité soit éventuellement compensé par une mortalité plus faible au cours des prochains mois.
Source © Belga
dimanche 19 juillet 2015
11:44
En l'espace de quelques minutes hier après-midi, un orage très violent a entraîné de nombreux dégâts matériels dans le secteur de Firminy. 800 foyers étaient toujours privés de courant dans la soirée.
Des arbres centenaires arrachés, notamment dans le parc Brunon, et des toitures endommagées. Les dégâts causés par l'orage qui s'est abattu sur Firminy ce samedi après-midi laissent imaginer la violence du vent qui a soufflé pendant plusieurs minutes. Les pompiers de la Loire, qui sont intervenus entre 60 et 70 fois rien que sur la commune appelouse, évoquent même un phénomène de mini-tornade.
Le capitaine Eric Collard, des pompiers de la Loire, raconte la violence de l'orage.
Les dégâts ne sont heureusement que matériels, mais ils sont importants. Des tuiles sont tombées et des toitures ont été en partie arrachées chez des particuliers. Mais aussi sur plusieurs bâtiments communaux. La toiture de la mairie est en partie touchée, et surtout, la salle polyvalente le Firmament : 500 m2 de toiture sont partis et de l'eau s'est infiltrée dans plusieurs salles, notamment le dojo.
Les dégâts sont importants à la salle le Firmament explique le maire de Firminy, Marc Petit.
Trafic SNCF perturbé entre le Puy-en-Velay et Saint-Étienne
Autre conséquence de cet orage, 800 foyers étaient toujours privés de courant samedi soir dans la Loire, essentiellement dans l'Ondaine mais aussi dans le Roannais où le ciel s'est également déchaîné. ERDF a fait venir des agents du Rhône en renfort, des prestataires de l'opérateur sont également à pied d'oeuvre afin de rétablir le courant d'ici ce dimanche soir. Au plus fort de la crise, près de 4000 foyers ligériens se sont retrouvés dans le noir, parfois seulement 10 ou 15 minutes.
Les orages ont également causé des dégâts en Haute-Loire ce samedi après-midi, essentiellement autour d'Aurec-sur-Loire et de Saint-Ferréol-d'Auroure. Là aussi, les pompiers sont intevenus plusieurs dizaines de fois pour des toitures et des arbres arrachés. Ces chutes d'arbres ont entraîné des coupures de courant et une interruption du trafic SNCF entre le Puy-en-Velay et Saint-Étienne. Les trajets se font en bus de substitution jusqu'à ce dimanche midi (le premier train prévu est celui qui part du Puy à 12h32).
Des arbres centenaires arrachés, notamment dans le parc Brunon, et des toitures endommagées. Les dégâts causés par l'orage qui s'est abattu sur Firminy ce samedi après-midi laissent imaginer la violence du vent qui a soufflé pendant plusieurs minutes. Les pompiers de la Loire, qui sont intervenus entre 60 et 70 fois rien que sur la commune appelouse, évoquent même un phénomène de mini-tornade.
Le capitaine Eric Collard, des pompiers de la Loire, raconte la violence de l'orage.
Les dégâts ne sont heureusement que matériels, mais ils sont importants. Des tuiles sont tombées et des toitures ont été en partie arrachées chez des particuliers. Mais aussi sur plusieurs bâtiments communaux. La toiture de la mairie est en partie touchée, et surtout, la salle polyvalente le Firmament : 500 m2 de toiture sont partis et de l'eau s'est infiltrée dans plusieurs salles, notamment le dojo.
Les dégâts sont importants à la salle le Firmament explique le maire de Firminy, Marc Petit.
Trafic SNCF perturbé entre le Puy-en-Velay et Saint-Étienne
Autre conséquence de cet orage, 800 foyers étaient toujours privés de courant samedi soir dans la Loire, essentiellement dans l'Ondaine mais aussi dans le Roannais où le ciel s'est également déchaîné. ERDF a fait venir des agents du Rhône en renfort, des prestataires de l'opérateur sont également à pied d'oeuvre afin de rétablir le courant d'ici ce dimanche soir. Au plus fort de la crise, près de 4000 foyers ligériens se sont retrouvés dans le noir, parfois seulement 10 ou 15 minutes.
Les orages ont également causé des dégâts en Haute-Loire ce samedi après-midi, essentiellement autour d'Aurec-sur-Loire et de Saint-Ferréol-d'Auroure. Là aussi, les pompiers sont intevenus plusieurs dizaines de fois pour des toitures et des arbres arrachés. Ces chutes d'arbres ont entraîné des coupures de courant et une interruption du trafic SNCF entre le Puy-en-Velay et Saint-Étienne. Les trajets se font en bus de substitution jusqu'à ce dimanche midi (le premier train prévu est celui qui part du Puy à 12h32).
jeudi 16 juillet 2015
12:53
La ministre de la Santé a annoncé ce jeudi que la période de canicule du 29 juin au 5 juillet avait causé la mort de 700 personnes supplémentaires, soit 7% de plus que la moyenne.
Marisol Touraine a précisé que les urgences ont été «fortement sollicitées» avec 3580 consultations, soit trois fois plus que dans une période d'affluence classique. Selon Le Figaro, SOS Médecin a également souffert des fortes chaleurs. Le service a été sollicité 10 fois plus que d'habitude avec 1460 consultations. La ministre a cependant souligné que la surmortalité avait «cette fois été limitée».
Alors que les températures repartent à la hausse en cette fin de semaine, la sécheresse et les pannes électriques s'ajoutent au problème sanitaire. Météo France a placé le département du Rhône en vigilance orange avec des températures atteignant les 38°C à Lyon dans l'après midi.
Marisol Touraine a précisé que les urgences ont été «fortement sollicitées» avec 3580 consultations, soit trois fois plus que dans une période d'affluence classique. Selon Le Figaro, SOS Médecin a également souffert des fortes chaleurs. Le service a été sollicité 10 fois plus que d'habitude avec 1460 consultations. La ministre a cependant souligné que la surmortalité avait «cette fois été limitée».
Alors que les températures repartent à la hausse en cette fin de semaine, la sécheresse et les pannes électriques s'ajoutent au problème sanitaire. Météo France a placé le département du Rhône en vigilance orange avec des températures atteignant les 38°C à Lyon dans l'après midi.
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