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mardi 2 juin 2015
Une pollution d'origine inconnue a entraîné la mort de nombreux poissons dans la Vilaine. 

Un riverain et un pêcheur ont donné l'alerte ce matin : ils ont découvert de nombreux poissons morts dans la Vilaine, au Moulin de Brécé, à l'est de Rennes.

Des dizaines de poissons morts ; d'autres en détresse qui remontent à la surface pour trouver un peu d'oxygène. Quand ils ont vu ce triste spectacle, ce matin, dans la Vilaine au niveau du Moulin de Brécé, à Brécé à l'est de Rennes, un riverain et un pêcheur ont donné l'alerte.

Dans la matinée, les gendarmes ont constaté la présence de nombreux poissons morts (perches, brèmes et gardons) et d'une plaque d'écume.

Deux agents de l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques se sont déplacés dans l'après-midi.

"Ce n'est pas la conséquence d'un phénomène naturel. Je pense que les poissons meurent à cause d'une pollution", confie un pêcheur en colère.


Source © Ouest France
lundi 1 juin 2015
Des milliers de Menhaden de l'Atlantique ( ou alose tyran ) ont été retrouvés morts dans la mâtiné du 29 mai sur les rives de la Riverhead dans l'état de New York aux Etats Unis.

"Si vous avez des filets et le permis bateau, s'il vous plaît appeler la police de Riverhead pour nous le faire savoir et venir nous aider de toute urgence à sauver nos poissons", voilà comment les autorités gèrent actuellement la crise d'une mortalité de masse subite de poissons constatée dans la riverhead.

En effet les fonctionnaires de l'état totalement dépassés par l’événement ont lancé cet appel de détresse pour tenter de sauver un maximum de poissons de cette hécatombe majeure dans l'estuaire de Peconic et visiblement due à des niveaux exceptionnellement bas de l'oxygène dans l'eau. 

La ville paiera même les pêcheurs d'un montant qui n'a pas encore  été déterminé 

"Ceci est une urgence, parce que si nous ne sortons pas le poisson hors de l'eau tout de suite, alors qu'ils sont encore vie, nous allons avoir une hécatombe extrêmement importante", a déclaré le superviseur du sauvetage. "

Malgré cet appel des milliers de Menhaden de l'Atlantique se sont déjà échoués sur les rives de la rivière et de la baie. Une bio-toxine liée à la prolifération subite d'algues aussi connue comme "marée rouge" en est la cause. 

© Nature Alerte







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En nouvelle Zélande, une horrible puanteur a déclenché une enquête officielle de l'état concernant une mystérieuse hécatombes de million de crustacés sur la plage de Ngunguru Sandspit près de Whangarei dans le Northland. 

Aaron Franklin a alerté les autorités le jeudi 21 mai. L'ingénieur estime qu'il y avait plus d'un million de coques, de tuatuas et de pipis mortes sur la plage et près de l'embouchure de l'estuaire. 

Les représentants du Conseil régional du Northland ont prélevé des échantillons. Ils ont confirmé que la zone était infestée par la pourriture des crustacés. 

Les autorités recommandent à la population de ne pas consommer les mollusques de la région jusqu'à ce que la cause de cette hécatombes soit réellement connue. Dans un communiqué, le Ministère des Industries primaires (MPI) affirme que "les enquêtes de ce genre peuvent exiger des tests complexes et il est actuellement trop tôt pour dire combien de temps cela pourra prendre."

Il semble que la région est été frappé par une hypoxie soudaine, les niveaux d'oxygène tombent si bas dans l'eau de mer que toute vie marine est tuée dans un très court laps de temps. Des courants océaniques peuvent avoir causé l'arrivée soudaine d'un important niveau de dioxyde de carbone dans les eaux de mer vers les zones à forte concentration de crustacés. 

Néanmoins un porte-parole du Conseil régional du Northland affirme qu'il n'y a aucune preuve pour appuyer cette théorie particulière à ce stade de l'enquête. 

© Nature Alerte
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dimanche 31 mai 2015
Selon les scientifiques, près de la moitié des antilopes saïgas dans le monde seraient mortes depuis le 10 mai. 

Plus de 120.000 de ces animaux menacés d'extinction ont en effet été trouvées sans vie ces deux dernières semaines au Kazakhstan, leur décès mystérieux suscitant des craintes pour l'avenir de cette espèce rare.

Il s'agit d'un phénomène «catastrophique» pour ces antilopes facilement reconnaissables par leur museau allongé qui a l'aspect d'une courte trompette et dont les ancêtres vivaient déjà dans cette région à l'ère glaciaire, s'est alarmé cette semaine le Programme des Nations unies pour l'environnement (Unep). 

La mort était inattendue et rapide: «Les premiers 117 cadavres de saïgas ont été découverts le 10 mai. Onze jours plus tard, il y en avait déjà 28.000», selon l'antenne russe du Fonds mondial pour la nature (WWF).

Une «combinaison de facteurs biologiques et écologiques»

«Cette perte est un coup majeur porté aux efforts de préservation des saïgas au Kazakhstan et dans le monde entier, dans la mesure où 90% de la population globale des saïgas vit dans notre pays», a déploré le vice-ministre kazakh de l'Agriculture, Erlan Nyssanbaïev. «Nous sommes résolus à identifier la cause de ces décès et prendre toutes les mesures possibles pour empêcher la répétition de tels évènements», a-t-il assuré.

Ces morts en masse, survenues en même temps dans trois régions du pays, sont dues à une «combinaison de facteurs biologiques et écologiques», selon les experts. Les animaux auraient été tués par une maladie infectieuse causée par des bactéries du type Pasteurella ou Clostridium.

«La mortalité de 100% pour les troupeaux affectés est tout à fait extraordinaire»

Mais ces «bactéries sont mortelles uniquement pour un animal dont le système immunitaire est déjà affaibli» par des facteurs écologiques comme les pluies abondantes survenues en mai au Kazakhstan, qui auraient pu influer de manière néfaste sur la qualité de l'herbe, précisent-ils.

Le fait qu'aucun animal n'ait survécu dans les troupeaux affectés rend perplexes les scientifiques qui étudient depuis des années le mode de vie et le comportement de ces antilopes. «La mortalité de 100% pour les troupeaux affectés est tout à fait extraordinaire», estime Richard Kock, professeur au Collège vétérinaire royal à Londres, qui s'est rendu récemment au Kazakhstan. Même si les antilopes saïgas, dont la durée de vie oscille en général entre six et dix ans, sont des «créatures avec une résistance très faible», ajoute-t-il.

«Leur population est capable de se reproduire rapidement»

En 1993, la population des saïgas, qui vivent dans les steppes du Kazakhstan, dans l'ouest de la Mongolie et en Russie près de la mer Caspienne, était estimée à un million d'individus, avant de chuter de manière catastrophique. Les autorités du Kazakhstan se vantaient jusqu'ici d'avoir réussi à porter la population de cette antilope de quelque 20.000 têtes en 2003 à plus de 250.000 en 2013.

Mais désormais, il faudra au moins une décennie pour que la population de ces antilopes puisse se rétablir après la maladie, estiment des scientifiques. Le secrétaire exécutif du Secrétariat de la Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage, Bradnee Chambers, se montre toutefois plus optimiste. 

«Les autorités au Kazakhstan réagissent rapidement à ce désastre et travaillent dur pour résoudre le mystère de ces morts en masse», affirme-t-il dans un communiqué. «Les antilopes saïgas donnent souvent naissance à des jumeaux et leur population est capable de se reproduire rapidement», souligne-t-il.

Source © AFP




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mercredi 27 mai 2015
70 pélicans frisés (Pelecanus crispus) ont été retrouvés morts à Atyrau Oblast, a rapporté le bureau de presse du ministère de l'Agriculture du Kazakhstan. 

Les Pélicans ont été retrouvés dans les eaux peu profondes d'un delta d'une rivière dans le district de Kigach Kurmangazy lors d'une campagne de comptage d'oiseaux par la société North Caspian Operating.  

Les pélicans frisés sont répertoriés dans le Livre rouge des espèces menacées d'extinction du Kazakhstan. 

Il y a environ 2000 couples de pélicans frisés connus au Kazakhstan. Leurs aires de nidification se répartissent dans les bassins de la région de l'Oural, le long de la côte de la mer Caspienne et dans le Torgai et les réserves de Naurzum. 

Ce grand oiseau est le plus grand des espèces de pélicans et l'une des plus grandes espèces d'oiseaux connues. Il mesure entre 160 et 183 cm de longueur, pése de 7,25 à 15 kg et deploie une envergure comprise entre 290 à 345 cm. Son poids moyen est d'environ 11,5 kg, ce qui le rend l'un des oiseaux les plus lourds de la planète. 

© Nature Alerte

mardi 19 mai 2015
Avant hier, de nouveaux corps boursouflés de dizaines de tortues d'eau douce, des Malaclemys terrapin, une espèce qui vie dans les zones humides côtières le long de la côte Est, ont été retrouvés dispersés sur plusieurs plages vers Jamesport dans la Flandre Bay  

"Nous recevons de plus en plus d'appels chaque jour, depuis la fin Avril.", a déclaré Karen Testa, directrice exécutif du sauvetage des tortues basée à Jamesport des Hamptons. Nous avons déjà recueilli au moins 50 tortues mortes depuis le 21 Avril.

Et les témoignages se multiplient

Hier Une riveraine a appelé sa fille qui a dit avoir vu une centaine de tortues mortes sur la plage, a déclaré Jim Divan "Je suis abasourdi une centaine de tortues, çà parait beaucoup. Mais après vérification auprès des résidents, il m'a bien été confirmé qu'environ 100 d'entre elles ont été retiré de la plage le week-end dernier. 

"On jamais rien vu de tel dans la région", a déclaré Divan.

Et nous parlons là que de celles que nous arrivons à retrouver, combien d'entre elles sont peut être actuellement en train de mourir dans les zones humides inaccessibles, personne ne le sait. a déclaré Karen Testa à la presse.

Karen Testa appelle la population a signalé les hécatombes qu'ils aperçoivent.

Pourtant plusieurs techniciens de la faune tirent la sonnette d'alarme depuis plusieurs années.

Nos zones humides ne sont actuellement pas en bonnes santé, affirme l'un d'eux, par exemple, cet endroit était idéal pour les palourdes, il y a une dizaine d'année on pouvait en ramasser une centaine par jour. Il n'y en plus aucune depuis quelques années,  quelque chose s'est détraqué quelque part.

Kevin McAllister, ancien chef de l'ONG Peconic Baykeeper et fondateur de l'H20, soupçonne lui une contamination possible de la principale source de nourriture de la tortue.

Les terrapins Diamondback sont les tortues d'eau douce les plus fréquente en Amérique du Nord, on les retrouve de la Floride au Massachusetts. Après qu'elles aient été chassés jusqu'à leur presque extinction au 20e siècle en raison de leur popularité comme mets délicat, elles ont été reconnu comme espèce menacée dans le Rhode Island et le Massachusetts et comme espèce en état préoccupante dans six autres Etats, y compris ici dans l'état de New York. 

© Nature Alerte



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Les autorités chiliennes ont indiqué lundi avoir ouvert une enquête sur la mort mystérieuse de quelque 1.300 oiseaux retrouvés sur une plage au sud du Chili.

Les oiseaux, qui appartiennent à la famille des Procellariidés ou Pétrels, pourraient être morts noyés après avoir été pris dans des filets ou victimes d'une forme de grippe aviaire, qui n'est pas endémique au Chili, selon les services d'agriculture et d'élevage du Chili (SAG). 

Les oiseaux ont été retrouvés morts dimanche sur la plage de Lenga, à environ 550 km au sud de Santiago, une crique qui abrite quelques centaines d'habitants vivant essentiellement du tourisme et de la pêche artisanale. 

Le SAG a envoyé des échantillons à un laboratoire pour déterminer la cause de leur mort. En 2010 des centaines d'oiseaux morts avaient été retrouvés dans la même zone et les autorités avaient conclu qu'ils avaient été pris dans des filets de pêcheurs.

Source © Reuters


Des milliers de carpes et autres poissons ont été retrouvé morts dans le lac Khatyng en République de Sakha, la région la plus froide de Russie.

Les sections locales du village de Tulagino accuse très fortement le dynamitage des rivières, qui s'effectue par les autorités pour éviter que la glace cause des dommages aux barrages de la région, d'en être la cause.

Le ministère des situations d'urgence de la république nie en bloc ces accusations

Un porte-parole a déclaré que : "Le 13 mai, nous avons effectivement fait sauter de la glace, mais s'était près du village de Namtsy, à plus de 100 km de Tulagino. Même si nous supposons que ces poissons sont bien morts à cause d'une explosion, il est peu probable qu'elle le soit de notre fait." 

Choqué les habitants ont posté des photos des poissons morts sur les reseaux sociaux 

En attendant de démêler le mystère, les autorités procèdent à des tests sur la qualité des eaux du lac qui sont en cours d'analyse: "Il y a peut être une pollution"

© Nature Alerte


vendredi 15 mai 2015
Les apiculteurs américains ont perdu 42% de leurs colonies d'abeilles entre avril 2014 et avril 2015, la seconde plus grande perte sur un an, selon un rapport préliminaire de l'organisme Bee Informed Partnership et du ministère de l'Agriculture.

Ces pertes sont jugées trop fortes pour être surmontées - comme les pertes l'ont été depuis 2006 -, ont indiqué l'organisme et le ministère.

Ce rapport relance l'inquiétude sur la disparition des abeilles aux États-Unis, importants pollinisateurs pour de nombreuses cultures, comme les amandes ou les pommes.

«Des pertes de colonies si importantes durant l'été et toute l'année reste très inquiétantes», a dit Jeff Pettis, entomologiste à la section recherche du ministère de l'Agriculture et co-auteur de l'étude.

«Les chercheurs doivent trouver de meilleures réponses à l'origine des événements qui mènent aux pertes de colonies en hiver comme en été», a-t-il ajouté.

La mortalité importante des abeilles ces dernières années reste à ce stade inexpliquée.

Les mites, parasites, maladies, pesticides et autre pollution ont tous été montrés du doigt pour tenter d'apporter une réponse au phénomène appelé «colony collapse disorder», soit l'effondrement des colonies.

Egalement confrontée à une forte mortalité des abeilles depuis plusieurs années, l'Union Européenne a interdit trois grandes classes de pesticides néonicotinoïdes, accusés de décimer les colonies d'abeilles. Mais leur utilisation reste autorisée aux États-Unis.

«Ces chiffres terribles ajoutent (...) aux pertes des dernières années qui menacent notre équilibre alimentaire», a ajouté Tiffany Finck-Haynes, militante chez Friends of the Earth (Amis de la terre).

«La science est claire. Nous devons agir maintenant pour protéger ces pollinisateurs essentiels contre les pesticides» qui les menacent.

La Maison-Blanche devrait rendre public prochainement un nouveau plan de protection des abeilles.

En juin 2014, le président Barack Obama avait déjà appelé à la mise en place d'une stratégie au niveau fédéral pour leur protection.

En avril, l'Agence de protection de l'environnement a lancé un moratoire sur l'utilisation des pesticides néonicotinoïdes jusqu'à l'évaluation complète des risques.

Le rapport préliminaire sur les pertes de colonies d'abeilles a été rendu public mercredi, mais les responsables ont fait savoir que les chiffres pourraient évoluer et seront publiés dans un rapport définitif qui devrait paraître en fin d'année.

En 2012-2013, les États-Unis avaient connu leur pire épisode avec 45% des colonies d'abeilles qui avaient disparu.

Source © AFP
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lundi 11 mai 2015
Le rythme du massacre des rhinocéros s'est encore accéléré en Afrique du Sud, avec 393 animaux tués par des braconniers sur les quatre premiers mois de l'année. 

C'est 18% de plus que pour la même période en 2014, selon la ministre de l'Environnement Edna Molewa.

Le célèbre parc national Kruger, à la frontière avec le Mozambique, reste le plus touché: 290 animaux y ont été abattus, contre 212 un an plus tôt, a précisé la ministre lors d'une conférence de presse.

Cette progression du braconnage malgré l'intervention de l'armée est d'autant plus inquiétante que l'on approche du moment où la mortalité va être supérieure aux naissances parmi les quelque 20'700 rhinos sud-africains, qui représentent environ 80% de la population mondiale.

Elle s'explique par la vente à prix d'or des cornes en Asie, en particulier au Vietnam où elles sont prisées dans la médecine traditionnelle. La corne des rhinocéros est pourtant exclusivement composée de kératine, comme les ongles humains.

Les records sont tristement battus les uns après les autres: les statistiques officielles montrent que 1215 rhinocéros avaient été abattus par des braconniers en Afrique du Sud en 2014, contre 1004 en 2013, 668 en 2012, 448 en 2011, 333 en 2010, 122 en 2009, 83 en 2008 et seulement 13 en 2007.

En-deçà de la réalité

Or, de nombreux spécialistes estiment que ces chiffres sous-estiment la réalité, des carcasses échappant au macabre recensement des rangers.

Edna Molewa a quand même voulu se montrer optimiste dimanche, estimant que les efforts du gouvernement sud-africain pour lutter contre le braconnage "portent leurs fruits" même si certaines stratégies doivent être affinées.

"Nous sommes sur le pied de guerre, nous pensons vraiment que ce combat devra être gagné et nous allons gagner", a-t-elle déclaré, notant que le nombre d'arrestations progresse.

Les autorités sud-africaines ont mis à l'abri des rhinocéros du parc Kruger dans des zones spécialement protégées et 192 bêtes ont été placées ailleurs en Afrique du Sud et dans les pays voisins. Plus de 200 rhinocéros doivent également être vendus au secteur privé.


Source © ATS  



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dimanche 10 mai 2015
Plus de 20 baleines d'une espèce protégée ont été trouvées mortes dans l'extrême sud du Chili, a annoncé vendredi le Service national de la pêche, et pourraient avoir été victimes d'un excès d'algues ou d'un virus.

«Le nombre de baleines mortes dépasserait la vingtaine, mais nous n'avons pas encore pu toutes les compter», a indiqué à l'AFP un responsable de l'organisme sous couvert d'anonymat.

Le Service national de la pêche avait auparavant fait état de la découverte d'une quinzaine de cétacés de plus de dix mètres de long, échoués dans une zone située au nord du Golfe de Penas, à près de 2000 kilomètres au sud de Santiago.

Les mammifères marins ont été trouvés par un groupe de scientifiques internationaux travaillant dans la région et qui en ont informé les autorités chiliennes.

Elles étaient éparpillées, aucune ne portait de blessures, donc nous pensons qu'elles ont souffert d'une marée verte (un dépôt de grandes quantités d'algues pouvant être toxique, NDLR) ou d'un virus quelconque», a expliqué à l'AFP Vreni Haissermann, biologiste allemande à la tête du groupe de scientifiques ayant fait la découverte.

L'endroit où ont été trouvées les baleines est un fjord entouré de verdures, loin de toute activité humaine, hormis une base militaire.

Il n'est accessible qu'en bateau, après un voyage de quatre jours depuis Puerto Montt, à 1.300 kilomètres au sud de la capitale.

Vreni Haissermann a précisé que les cadavres des mammifères marins ont été trouvés le 21 avril, mais les scientifiques ne sont revenus à Puerto Montt que mercredi, et c'est là qu'ils ont alerté les autorités.

«Je crois qu'elles ont été emportées par les courants», a-t-elle indiqué.

«Depuis 15 ans (que je travaille) dans la zone, je n'avais jamais vu quelque chose comme ça. Les gens du coin ont dit avoir vu parfois une baleine morte, mais pas autant (d'un coup), c'est un fait sans précédent», a-t-elle affirmé.

Les autorités chiliennes ont annoncé l'ouverture d'une enquête pour déterminer les causes de la mort des cétacés.

Le Service national de la pêche attend une amélioration des conditions climatiques pour tenter à nouveau de survoler la zone samedi, afin d'évaluer le nombre de baleines échouées.

Les autorités maritimes régionales et la police se rendront également sur place.

Les baleines appartiennent à l'espèce protégée «Sei», autrefois très prisée par la pêche et qui peut mesurer jusqu'à 16 mètres de long et peser 30 tonnes.


Source © AFP




jeudi 7 mai 2015
Depuis quelques jours, une pollution dans l’étang situé à la Creule décime les poissons et les canards. Ce matin, les pompiers sont intervenus afin de réoxygéner l’eau. Des prélèvements ont également été effectués.

Depuis quelques jours, les riverains de la zone de La Creule constatent un nombre important de poissons morts sur les rives du petit étang près du rond-point de la Creule. Cela pourrait être dû à une pollution de l’eau.

Alertés par une odeur suspecte, les habitants en ont référé à la municipalité qui a prévenu les pompiers ce jeudi matin. La police de l’eau ainsi qu’un cabinet privé ont effectué des prélèvements sur trois zones du bassin pour des analyses.

Grâce à une motopompe remorquable, les pompiers ont procédé à une « réoxygénation de l’eau », qui consiste à réinjecter l’eau pompée, directement dans le bassin. Un bâtardeau a également été installé pour éviter que l’eau ne se propage dans d’autres bassins voisins.

Des panneaux signalant aux habitants qu’il est interdit de pêcher seront également mis en place.


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Les scientifiques japonais affirment n'avoir jamais rien vu de pareil après avoir autopsié un groupe de dauphins morts retrouvés échoués sur une plage non loin du site de la catastrophe de 2011 à Fukushima.

De nombreux dauphins ont été découverts échoués sur les côtes ces derniers temps. Le musée national des sciences a donc décidé d'enquêter. Trente chercheurs ont ainsi autopsié les 17 animaux retrouvés. Les poumons de ces dauphins étaient blancs, ce qui, d'après les scientifiques, est une indication du manque de sang acheminé vers les organes dû à un empoisonnement par radiation. 

D'après Yuko Tajima, qui dirige les recherches, "les poumons de la majorité d'entre eux étaient blancs pour cause d'ischémie, une maladie vasculaire qui diminue l'apport sanguin vers un organe. Non traitée, elle peut mener à la mort". Il ajoute qu'il a été démontré que les radiations ionisantes à petites doses et sous certaines conditions sont considérées comme étant un des mécanismes de base des maladies ischémiques.

Les risques de cancer provoqués par les effets des radiations ont été révélés après l'accident de Tchernobyl, et récemment, on a découvert que le risque de maladie  ischémique lié aux radiations serait statistiquement plus grand que le nombre de cancers. En 1990, le ministère de la santé biélorusse avait déjà dévoilé dans un rapport l'aggravation du nombre de personnes affectées par ces maladies: "Le nombre d'adultes atteints par les maladies ischémiques cardiaques est de 2 à 4 fois plus élevé en comparaison avec les années précédentes".

On peut donc s'attendre à ce type de constatations dans la région de Fukushima dans les années à venir.

Source © AFP
dimanche 26 avril 2015
Des milliers d'étoiles de mer se sont échouées sur une plage du comté de Cumbria en Angleterre après une période de marées exceptionnelles. 

C'est le Photographe Gary McKeating qui en a fait la découverte lundi soir alors qu'il souhaitait réaliser des photos de coucher de soleil sur la plage d'Harrington . Il estime qu'environ  2000 étoiles de mer sont mortes dans cette nouvelle hécatombe. 

Le Dr Emily Baxter, agent de conservation marine pour la Cumbria Wildlife Trust, estime que les forts vents et les marées exceptionnelles en sont probablement la cause.

"elles se sont échouées sur un banc de sable juste en face de la jetée, il y avait une  très grandes marées lundi, probablement la plus grande de cette année, et les forts courants les ont probablement rejeté à terre"

Un porte-parole du Lake District Coast Aquarium de Maryport qui se veut rassurant, affirme que cela ce produit environ deux à trois fois par an dans la région. 

"Ce n'est pas aussi inhabituel que vous pourriez le penser, ces hécatombes sont fréquentes lors de grandes tempêtes." 

Pourtant de nombreux riverains restent perplexes, eux n'ont jamais entendu parlé de ce genre de phénomène dans le passé.

© Nature Alerte


mardi 21 avril 2015
De grandes taches blanches de mycoses parsemant le corps des poissons : c'est l'image aperçue ce printemps sur de nombreux cours d'eau de Suisse, et davantage que jamais observé auparavant. Les populations d'ombres du Rhin sont même menacées de disparition.

Augmentation terrifiante d'une maladie parasitaire des poissons

Cela fait mal au cœur à tous les pêcheurs et amis de la nature», nous dit Samuel Gründler, biologiste à la Fédération Suisse de Pêche FSP. Il évoque les poissons dont notamment la tête et les nageoires sont atteintes d’une épaisse couche de mycose. Il s’agit du Saprolegnia, une sorte de champignon agressif et facilement transmissible. Le parasite peut coloniser l’intérieur du corps et entraîne souvent la mort des poissons infectés. Il ne constitue cependant pas un risque pour l’homme.

La souche Saprolegnia parasitica, particulièrement virulente, a été détectée pour la première fois dans le Doubs – mais également dans la Birse, l’Areuse, l’Aar, le Rhin et d’autres cours d’eau. 

Actuellement la situation est dramatique dans le Rhin près de Schaffhouse. Depuis 3 semaines, il a été constaté une augmentation massive des poissons parasités, principalement des ombres. 

Les poissons affaiblis se rassemblent dans des zones calmes proches des berges. «Ils sont tellement affaiblis qu’ils ne survivront pas», redoute Samuel Gründler. Particulièrement inquiétant est le fait que la maladie atteint maintenant aussi les jeunes poissons. Auparavant n’étaient touchés que les individus adultes, affaiblis par leur période de reproduction. De plus, les populations d’ombres n’ont pas encore récupéré des hécatombes de l’été caniculaire de 2003. La flambée de cette nouvelle maladie parasitaire menace de réduire à néant les efforts consentis depuis de nombreuses années par les pêcheurs pour reconstituer les populations d’ombres.

Campagne d’information de la fédération de pêche

La Fédération Suisse de Pêche fait tout son possible pour empêcher la dissémination de cette maladie parasitaire. La propagation peut se produire de manière naturelle via les oiseaux d’eau, mais aussi par les bottes, l’équipement de pêche, les poissons de repeuplement, les canoës ou les bateaux. C’est pourquoi les pêcheurs ainsi que les autres utilisateurs des rivières et des fleuves doivent désinfecter contre la maladie tout leur matériel avant de changer de cours d’eau. La Fédération Suisse de Pêche a prescrit des conseils de comportement aux pêcheurs sur des flyers et des affiches, et souhaite aussi une communication proactive de la part des autorités.

3 règles d’or

La Fédération Suisse de Pêche a énoncé trois règles d’or sur des flyers et des affiches destinées aux pêcheurs, afin d’éviter la propagation de la maladie parasitaire:

Ne pas transporter de l’eau ou des poissons entre différents cours d’eau

Sécher et désinfecter tous les équipements de pêche ainsi que les waders/cuissardes avant de pêcher dans un autre cours d’eau

N’utiliser des poissons d’appât que s’ils proviennent du cours d’eau où l’on pêche




Depuis quelques mois, les mammifères marins qui viennent s’échouer sur le littoral du golfe augmentent. Un phénomène confirmé par l’observatoire marin et qui serait dû à des parasites.

Le dernier cétacé qui a fini sa vie sur les rives du golfe de Saint-Tropez date de mardi dernier. C'était une femelle de 2 mètres et de type Stenella. Elle a été découverte, en état de décomposition à Grimaud sur la plage des Tamaris.

En mars dernier, ce sont deux dauphins, inertes, qui ont été récupérés. Le premier à La Croix-Valmer sur la plage de Gigaro. Un petit adulte 1,50 m et le deuxième sur la plage des Marines de Cogolin. Cette fois-ci, c'est un dauphin de Risso de 3,50 m qui a dérivé jusqu'à la plage.

À quelques brassées du golfe, au Lavandou, le 24 mars dernier, les souvenirs des images du rorqual, de 15 m de long et d'une douzaine de tonnes, ballotté par les eaux et projeté contre les rochers font encore parler.

Une accélération du phénomène

«Le rythme des échouages s'est accéléré, confirme Jean-Philippe Morin. L'occurrence sur tout le littoral varois est quasi hebdomadaire » et ce depuis l'automne dernier.

Le golfe est régulièrement impacté par ce phénomène, en raison de son exposition géographique au vent d'Est et aux courants marins dominants.

« Il n'y a, à ce jour, aucune certitude quant à la cause des échouages récents », rappelle l'observatoire marin.

Dans la plupart des cas, nous avons observé, sur ces individus, pas ou peu de traces pouvant s'apparenter à des blessures de type collision avec des navires. »

Et de poursuivre : « En revanche, certaines dissections ont révélé la présence de parasites au niveau des muscles ou organes.»

En effet, à chacun de leurs déplacements, le service Observatoire marin prélève sur les cétacés, avant équarrissage, des organes biologiques à des fins scientifiques : poumons, estomac, muscles, dents… Une équipe de quatre agents a été spécialement formée à cet effet.

Des cétacés parois contagieux

D'infimes précautions sont prises lors de l'observation et la manipulation des dauphins car ils peuvent être porteurs de virus et/ou de bactéries susceptibles d'être contagieux.

Les colis sont ensuite envoyés au Centre de recherches sur les mammifères marins à La Rochelle afin d'y être examinés.

Les membres de l'Observatoire rappellent collectivement de ne jamais toucher un cétacé échoué (1), même vivant. Si les habitants du golfe sont sensibilisés à cette directive, les résidents saisonniers ou temporaires le sont beaucoup moins…

1. Le numéro à appeler en cas de cétacé échoué. : 04.94.00.46.25. ou 06.89.09.41.86. ou les pompiers, le cas échéant.


Source :  © Var Matin



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Source uicn
lundi 20 avril 2015
Des millions de polypes bleus ont envahi les plages de la côte ouest de l'État de Washington et de l'Oregon, a rapporté CNN.

Depuis un mois des polypes du nom de Velella velella, ou vélelle, se sont échoués en raison de la hausse de la température à la surface de l'océan, qui incite ces créatures à se déplacer près des plages.

Ces polypes sont équipées d'une nageoire, un voile translucide, avec une légère courbure pour lui permettre de se tenir loin de la rive, a expliqué à Komo News M. Steve Green du centre d'interprétation Coastal situé à Ocean Shores dans l'État de Washington.

Sauf que lorsque le vent se met de la partie, comme cela a été le cas, elles ne peuvent plus contrôler leur navigation et leur trajectoire.

«Ces créatures n'ont aucune chance lorsqu'elles commencent à tourner en rond», a expliqué Steve Green.

Un phénomène semblable s'était d'ailleurs produit il y a six ans dans la région.

L'animal est sans danger pour l'humain puisqu'il n'est pas toxique et ne pique pas.

Il est cependant conseillé de ne pas se frotter les yeux, ni mettre son doigt dans la bouche après en avoir pris dans ses mains. Et on conseille d'éviter de marcher pieds nus sur les polypes fraîchement échoués.



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Source uicn




mercredi 15 avril 2015
Encore une mauvaise nouvelle concernant les Jeux olympiques de  Rio de Janeiro 2016, les hécatombes de poissons morts ne cessent de polluer les lagons qui accueilleront les épreuves nautiques.

Jeudi dernier c'est encore environ 32,4 tonnes de poissons morts qui ont été retiré de la Lagune Rodrigo de Freitas, au sud de Rio, cette lagune doit recevoir les épreuves de canoë et  kayak

Pour l’équipe du brésil s'y entraîner exige d'avoir le coeur bien accroché, comme le montre cette vidéo.

La municipalité affirme que se sont les fortes pluies et les basses températures qui en sont la seule raison tandis que la commission pour la Défense de l’environnement, qui va lancer une enquête, avance plutôt la pollution par le rejet de déchets industriels et domestiques. 

© Nature Alerte






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Source uicn
Hier matin vers 07h 00  des millions de crevettes mortes se sont échouées sur la plage de Playa Brava à Iquique au Chili, laissant derrières elles une large bande de couleur rouge morbide et effrayante.

Les scientifiques sont totalement déconcertés par cette nouvelle hécatombe apocalyptique, en effet la raison de cette mortalité massive est totalement inconnue.


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Source uicn
mardi 14 avril 2015
Des milliers de chasseurs maltais ont fêté dimanche soir leur victoire à une étroite majorité dans le referendum sur le maintien de chasse au printemps. Cette pratique reste décriée par les défenseurs des oiseaux migrateurs.

Selon les derniers résultats le camp du oui ne l'a emporté que par 2200 voix. La saison de printemps ouvrira d'ici le 30 avril à Malte.

"Nous n'avons rien gagné. Nous n'avons simplement rien perdu", a déclaré le président de la fédération des chasseurs Joe Percici Calascione. "Nous nous battions pour maintenir notre droit de chasser au printemps et les gens ont compris la campagne que nous avons menée" a-t-il ajouté. Il a appelé les chasseurs à garder leur calme et à s'abstenir de tirer en l'air pour exprimer leur joie.

De leur côté les opposants à la chasse ont déclaré par la voix de Saviour Balzan, qu'ils "respecteraient la décision de la majorité. Ils soulignent toutefois qu'ils vont continuer à travailler à la défense de l'environnement".

En 2009, Malte avait été condamné par la Cour européenne de justice pour avoir maintenu la saison de chasse de printemps interdite par une directive européenne. Le printemps est la période de reproduction et de retour vers le nord des oiseaux migrateurs, lesquels survolent chaque année le petit pays méditerranéen.

Chasse à la tourterelle

La cour avait cependant permis à Malte d'autoriser une courte saison de printemps pour la chasse à la tourterelle et à la caille, pour lesquelles la saison d'automne n'est pas appropriée. Mais les gouvernements successifs et les quelque 14'000 chasseurs licenciés du pays se sont saisis de cette petite fenêtre pour maintenir l'ensemble de la saison de printemps.

Près de 340'000 électeurs étaient appelés samedi à participer au 7e référendum en 145 ans à Malte. Plus de 10% des inscrits avaient signé une pétition réclamant le vote sur ce sujet qui suscite les passions dans l'île depuis des années.


Source © ATS



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