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mardi 9 septembre 2014
Sept années de recherche ont prouvé que le changement climatique est la plus grande menace pour les espèces d'oiseaux d'Amérique du Nord. 

Ainsi 50 % des espèces d'oiseaux d'Amérique du Nord, comme l'oriole de Baltimore ou le colibri roux, le plongeon huard ou l'aigle chauve, sont désormais sous la menace réélle du changement climatique et beaucoup d'entre eux pourraient s'éteindre rapidement, affirme une nouvelle étude de la société Audubon. 

"314 espèces d'oiseaux américains sont déjà confrontés à une baisse dramatique de leur populations, et si les tendances actuelles se poursuivent, nous courrons un grand risque de les voir disparaître définitivement" a rappelé David Yarnold dans un communiqué.

"Il est insupportable d'imaginer que nous allons perdre une grande partie de ces oiseaux pour toujours», a déclaré Gary Langham, scientifique en chef et responsable de l'étude . 

"Nos chercheurs ont constaté que depuis 50 ans, 126 des 588 espèces d'oiseaux répertoriées dans l'étude ont déjà perdu plus de la moitié de leurs population et sont toujours en déclin. Pire encore, 188 espèces devraient disparaître d'ici 2080". 

Ainsi l'état du Maryland perdrait son oriole de Baltimore, mascotte de l'état, qui ne serait plus en mesure de se reproduire dans le milieu de l'Atlantique. La Louisiane perdrait le pélican brun, le Minnesota le plongeon huard, etc, etc...L'Idaho, le Mississippi, le New Hampshire, le Nevada, la Pennsylvanie, l'Utah, le Vermont et l'état de Washington perdraient eux aussi leurs oiseaux mascottes. 

Le pygargue à tête blanche, autrefois considéré comme un succès de conservation aux états unis, pourrait ainsi perdre 75% de sa population d'ici 2080. D'autres, tels que le cygne trompette, perdrait la quasi-totalité de leurs population d'ici la fin du siècle, selon les projections de l'étude. 

Ce rapport a tout de même révélé que 274 oiseaux pourraient maintenir ou augmenter leur population. Néanmoins il révéle aussi que si ces oiseaux trouvent désormais plus de place pour se développer sur le territoire americain, ils devront aussi faire face à la concurrence de nouvelle espèces à venir, ainsi qu'à de nouveaux prédateurs. 

Les chercheurs de la société Audubon ont étudié au peigne fin plus d'un siècle d'observations d'ornithologues amateurs et l'historique des données de plus de 40 ans de l'US Geological Survey. Ils ont combiné ces données avec 17 modèles climatiques possibles. 

Cette étude n'a pas prise en compte la montée des océans qui pourrait d'ici peu noyer de nombreuses zones marécageuses du pays, ni le déclin dramatique des insectes, source principale de nourriture de nombreuses espèces d'oiseaux.

David Yarnold a décrit ces résultats comme "Un appel urgent à l'action". 

Bref Le groupe de chercheurs lance un cri d'alarme et appelle les citoyens du pays à intervenir afin que le gouvernement agisse rapidement en faveur des réductions des émissions de carbone responsables du changement climatique, et rappele aux autorités que des mesures urgentes visant à préserver les habitats des oiseaux d'amerique sont désormais devenues indispensables. 

© Nature Alerte

jeudi 28 août 2014
Plusieurs groupes environnementalistes américains ont engagé une procédure mardi auprès des autorités fédérales pour demander la protection des papillons monarques en déclin de plus de 90 % ces vingt dernières années.

Le « Center for Biological Diversity » et « the Center for Food Safety » réclament que ce grand papillon orange et noir, célèbre en Amérique du Nord, bénéficie de la protection de la loi sur les espèces en danger d'extinction.

Ces insectes migrateurs pourraient avoir perdu en superficie un habitat de la taille de la France dont près d'un tiers de leur zone d'accouplement en été, un phénomène attribué au recours de plus en plus étendu aux cultures génétiquement modifiées (OGM) et à l'herbicide Roundup, dans les plaines du Midwest où naissent la plupart de ces papillons.

« Les monarques connaissent une disparition rapide qui pourrait conduire à leur extinction et les menaces auxquelles ils sont confrontées sont désormais tellement importantes que la loi sur la protection des espèces en danger doit s'appliquer le plus tôt possible alors qu'il est encore temps d'inverser ce déclin », insiste Lincoln Brower, un expert reconnu de ces papillon qui les étudie depuis 1954, cité par l'AFP.

La plupart des cultures OGM sont résistantes au Roundup, l'herbicide qui permet de détruire dans le maïs et le soja les mauvaises herbes dont le laiteron, la seule nourriture de la chenille du papillon monarque.

« Protéger les monarques bénéficiera aussi aux pollinisateurs et autres insectes utiles, ce qui contribuera à protéger notre production alimentaire », fait valoir Bill Freese, un chercheur de l'ONG Center for Food Safety à Washington.

Le monarque se trouve partout aux Etats-Unis durant l'été mais l'hiver, ceux qui se trouvaient à l'est des Rocheuses migrent vers le centre du Mexique et ceux à l'ouest de ces montagnes se retrouvent sur les arbres le long de la côte californienne.

La population de ces papillons atteignait un nombre record d'environ un milliard dans le milieu des années 1990 et ils ne seraient aujourd'hui que 35 millions, selon la dernière estimation faite l'hiver dernier, le plus bas nombre jamais enregistré.
vendredi 4 juillet 2014
Le Premier ministre haïtien Laurent Lamothe a appelé jeudi la communauté internationale à continuer à financer la reconstruction du pays frappé par un violent séisme en 2010 et assuré que les législatives auraient bien lieu cet automne, dans un entretien exclusif à l'AFP.

Le Premier ministre, désigné en 2012 par le président Michel Martelly, a pressé la communauté internationale de "continuer à respecter ses engagements".

"Sur les 9 milliards de dollars promis à Haïti après le séisme, seuls 48% ont été livrés principalement dans l'humanitaire et l'urgence", a-t-il détaillé.

Le chef du gouvernement haïtien se félicite toutefois que des pays aient financé des projets de reconstruction de quartiers entièrement rasés par le violent tremblement de terre qui avait fait entre 200.000 et 250.000 morts et plus de 1,5 million de déplacés.

- 125.000 personnes dans les camps -

Après le séisme, "40% de la population de la capitale, soit 1,5 million de personnes vivaient sous des tentes. Aujourd'hui, il ne reste plus que 125.000 personnes dans les camps. D'ici à 2015, nous allons construire 10.000 logements sociaux avec l'aide de plusieurs bailleurs de fonds. Nous avons déjà construit plus de 3.000 maisons et rénové environ 4.000 autres avec nos maigres moyens", a-t-il relevé.

Jeudi, il a lancé le plan de rénovation de deux quartiers défavorisés de la capitale avec une assistance de 30 millions d'euros fournis par la France et l'Union européenne.

Concernant la reconstruction du centre de Port-au-Prince quasiment détruit par le séisme, le Premier ministre haïtien a annoncé un projet de 400 millions de dollars pour ériger une "cité administrative moderne, selon les réalités financières d'Haïti alors qu'un plan proposé par le Prince Charles s'élevait à plus de 3 milliards de dollars".

Le financement sera assuré en partie par des bailleurs et grâce à l'annulation par le FMI de la dette du pays. A la suite du séisme, le Fonds monétaire international avait accordé une remise de dette de 268 millions de dollars.

Dans le cadre de ces grands travaux, la démolition sur ordre du gouvernement de maisons à Port-au-Prince a entraîné la colère de certains habitants contraints de se déplacer.

"Nous nous sommes engagés à reloger les personnes forcées d'abandonner leurs maisons pour nous permettre de construire une ville qui rendra la fierté aux Haïtiens", a soutenu le Premier ministre.

- Législatives le 26 octobre -

M. Lamothe s'est également engagé à la tenue d'élections législatives, comme l'avait annoncé son gouvernement début juin. Le retard de ces élections, qui auraient dû être organisées il y a trois ans, provoque une crise politique dans le pays secoué par des manifestations anti-gouvernementales.

"Haïti jouit aujourd'hui d'une certaine stabilité que le pays n'avait pas connue avant", a néanmoins assuré le Premier ministre. "Il faut la préserver. Donc, nous allons vers les élections, car toutes les mesures sont prises pour réaliser ce scrutin le 26 octobre prochain", a-t-il assuré.

L'opposition exige notamment la mise en place d'un conseil électoral moins inféodé à l'administration de Michel Martelly.

Plus de 114 partis politiques se sont inscrits pour ces élections législatives (112 députés et 20 sénateurs) et municipales. Toutefois, d'importants partis politiques de l'opposition menacent de ne pas prendre part aux joutes si des changements ne sont pas apportés dans la composition de l'organisme électoral.

"Nous allons continuer à parler à tous les secteurs concernés. Mais la tenue des élections à la date fixée est essentielle et incontournable pour maintenir la stabilité dans le pays", a répété Laurent Lamothe, vu comme le dauphin de Michel Martelly, dont le mandat prendra fin en 2016.

Toutefois, le Premier ministre refuse de se projeter dans l'avenir.

"Je suis Premier ministre, je me concentre avec mon équipe sur le quotidien du pays. Je vois mon travail un jour à la fois. Je ne vois pas mon avenir personnel", a-t-il conclu.


Source © Le point



mardi 20 mai 2014
Le 18 mai, Thessalonique, dont l’agglomération dépasse un million d’habitants, devait voter pour ou contre la privatisation de son eau. Ce référendum populaire consultatif devait se tenir en même temps que les élections locales. Son organisation était soutenue par onze maires de l’agglomération, dont celui de Thessalonique. Qu’importe ! Le gouvernement grec du conservateur Antònis Samaràs a déclaré la consultation illégale.

C’est la « Troïka » – FMI, Banque centrale européenne et Commission européenne – qui exige de la Grèce de privatiser la gestion de l’eau dans les deux plus grandes villes du pays, Athènes et Thessalonique. 

L’entreprise qui gère la distribution de l’eau à Thessalonique (EYATH) est déjà une société anonyme. Elle reste cependant contrôlée par l’Etat à 51%, qui doit donc vendre sa participation. 

Plusieurs municipalités de l’agglomération ont proposé de racheter les parts de l’État grec. En vain. 

Un collectif de syndicats et de citoyens ont tenté de participé à l’appel d’offre, via un réseau de coopératives d’usagers : chaque habitant de la ville aurait acquis une part du service de l’eau, pour un montant de 136 euros par logement connecté au réseau. 

D’où le nom donné à cette mobilisation, « l’initiative 136 » [1]. L’appui d’« investisseurs éthiques » internationaux et des acteurs de la finance solidaire pour aider les résidents à acquérir leur part était même envisagé. En vain.

« Right2Water » : la Commission européenne méprise les citoyens

Ce sont au contraire deux entreprises privées qui sont, pour l’instant, sur les rangs : la société israélienne Mekorot et la française Suez environnement, associée à un groupe de BTP grec. 

Suez détient déjà 5% des parts d’EYATH. Les entreprises sont en négociation avec l’agence spéciale en charge du programme de privatisations grecques, qui n’est soumise à aucune forme de supervision parlementaire.

 « Thessalonique a des besoins en infrastructures d’eau et d’assainissement importants nécessitant des investissements chiffrés par le management de Thessalonique. Des chiffres de l’ordre de 250 millions d’euros sont évoqués », fait valoir la direction de Suez, contactée par notre Observatoire des multinationales. Par la voix de Diane d’Arras, directrice adjointe Eau Europe de Suez, l’entreprise promet la création de 2 000 à 4 000 emplois et de transformer EYATH en « opérateur de premier rang au niveau mondial ». Les opposants à la privatisation craignent une augmentation drastique de l’eau.

En attendant, comme s’il fallait justifier sa privatisation, le service de l’eau est laissé quasiment à l’abandon. Selon les syndicats, l’effectif d’EYATH serait passé de 700 à 235 employés, faute de remplacement des départs à la retraite. La compagnie ne disposerait plus aujourd’hui que de onze plombiers pour plus de 2 300 kilomètres de canalisations !

A l’automne dernier, l’initiative citoyenne européenne sur le droit à l’eau et contre la privatisation, « Right2Water », annonçait avoir recueilli suffisamment de signatures – 1,9 million dans toute l’Union – pour obliger les institutions européennes à se saisir du dossier. 

C’est la première fois que cette nouvelle procédure participative, introduite par le traité de Lisbonne, est mise en œuvre avec succès. La Commission a donc été obligée de reconnaître que l’eau est un « bien public » et qu’il revient aux collectivités locales d’assumer la responsabilité ultime de ce service. En totale contradiction avec ce qui se passe aujourd’hui à Thessalonique. Malgré l’interdiction du ministère de l’Intérieur, le référendum a malgré tout été organisé, devant les bureaux de vote. Les municipalités ont fourni les listes électorales. Selon les premiers dépouillements, le résultat serait de 98% contre la privatisation de l’eau 

...

bref ...VEOLIA quoi déjà ?...

« Quand vous venez d’ailleurs, vous voyez des choses que ceux qui sont plus familiers avec l’environnement ne remarquent plus. »

 Louis Malle 

...nous ne connaissons de l'"a priori" des choses que ce que VEOLIA y met soi même...




mardi 6 mai 2014
Au moins 350 personnes ont péri vendredi dans le nord-est de l'Afghanistan à la suite de glissements de terrain provoqués par des pluies torrentielles, les autorités craignant un bilan encore plus élevé en raison des milliers de personnes disparues ou ensevelies.

Le gouverneur de la province a ainsi indiqué que "2.500 personnes, dont des femmes et des enfants, pourraient avoir trouvé la mort", tout en soulignant que ce chiffre, établi sur la base de "témoignages des habitants", devait encore être confirmé. 

La catastrophe est survenue à la mi-journée dans le district d'Argo de la province du Badakhshan, une région pauvre et montagneuse frontalière du Tadjikistan, de la Chine et du Pakistan. 

A la suite des pluies torrentielles qui ont balayé la province ces derniers jours, des glissements de terrain ont recouvert des zones habitées, touchant principalement le village d'Aab Bareek où vivent plusieurs centaines de familles.

Selon le vice-gouverneur de la province, "le village a été frappé par deux glissements de terrain en l'espace d'une heure". Le premier a touché principalement "des villageois qui se trouvaient dans deux mosquées du village pour la prière du vendredi", le deuxième "frappant ceux qui étaient venus les secourir".

Vers 21H00 locales (16H30 GMT), le bilan était de "350" morts, a annoncé la mission de l'ONU en Afghanistan (Unama), précisant que les services de l'ONU travaillaient avec les autorités locales pour secourir des victimes "encore piégées" dans les décombres. 

Mais les autorités s'inquiétaient du sort de "300 familles" toujours portées disparues plusieurs heures après les glissements de terrain, a indiqué l'Agence afghane de gestion des situations de crise (ANDMA).

Sur place, les équipes de secours étaient lancées dans une course contre la montre pour tenter de retrouver des survivants ensevelis, et la Force internationale de l'Otan en Afghanistan (Isaf) travaillait conjointement avec l'armée afghane sur la question des recherches, selon l'Unama. 

La catastrophe a laissé des milliers de personnes complètement démunies, alors que "de 350 à 400 maisons" ont été détruites, a indiqué le gouvernement provincial.

Les autorités craignaient également de nouveaux glissements de terrain qui pourraient toucher quelque 580 familles, selon la mission de l'ONU, qui a souligné que la construction de canaux de drainage, susceptibles de contenir un nouvel éboulement, était une priorité. 

Ce drame survient une semaine après des crues subites qui ont fait plus d'une centaine de morts dans le nord de ce pays déchiré par trois décennies de guerre et qui figure parmi les plus pauvres du monde. Ces crues, auxquelles ne résistent pas les habitations précaires, sont très fréquentes pendant la saison des pluies qui sévit au printemps, dans la partie septentrionale du pays.

L’aide internationale met du temps à atteindre cette région montagneuse et reculée du nord-est du pays.

Environ 700 familles d’Aab Bareek ont tout perdu, c’est notamment le cas de Mohammed : “Six de mes proches sont encore ensevelis, dit-il. Nous vivons dans une tente que nous nous sommes procurée tous seuls. Nous n’avons pas encore reçu de couverture, de nourriture ou de tente.”

Les réactions de sympathie se sont multipliées à travers le monde, du Secrétaire général de l’ONU au pape François, mais plus que ces messages, c’est d’aide concrète dont les rescapés ont un besoin urgent, comme celle apportée dimanche par quelques hélicoptères de l’armée afghane.

On pourrait ne jamais connaître le bilan définitif, la zone ayant été recouverte de cinquante mètres de boue par endroits.




jeudi 20 mars 2014
Plusieurs milliers de tortues de Madagascar sont victimes chaque mois de trafic illégal pour finir dans l'assiette, dans l'armoire à pharmacie de riches Asiatiques ou dans une famille étrangère en mal d'animal domestique, selon une enquête WWF communiquée vendredi dernier.

Et cette espèce protégée de tortue terrestre risque de disparaître, du moins à l'état sauvage dans moins de cinquante ans, s'inquiète le Fonds mondial pour la nature.

En 2013, a exposé à l'AFP la nouvelle directrice du WWF à Madagascar, Anitry Ny Aina Ratsifandrihamanana, des recherches ont permis de constater que «93 à 2800 tortues sont saisies par mois à l'issue des contrôles» de la police des frontières malgache.

Mais l'ampleur du braconnage et du trafic est plus grave selon Mme Ratsifandrihamanana.

Une autre étude du WWF chiffrait en 2005 à 600 000 le nombre de ces petits reptiles faisant l'objet de trafic à l'échelle nationale et internationale: «Ce qui fait en moyen 5000 tortues victimes de trafic par mois».

«Cette année on peut s'attendre à une augmentation en raison des dernières saisies», a précisé un coordinateur du WWF, Tiana Ramahaleo.

Mardi, un Malgache a été arrêté pour avoir tenté de faire sortir illégalement 127 bébés tortues de l'aéroport international d'Antananarivo, une semaine après l'arrestation d'une Russe qui, elle aussi, tentait d'exfiltrer illégalement 50 bébés tortues du même aéroport.

Localement, précise Mme Ratsifandrihamanana, «ce sont les villes qui sont les grands consommateurs de viande de tortues à Madagascar».

Madagascar abrite aussi des tortues d'eau douce, mais leur viande n'est pas très appréciée selon M. Ramahaleo.

À l'échelle internationale, une grande partie des tortues «vont en Asie, surtout l'Asie du Sud-est, mais aussi aux États-Unis en transitant soit par l'Asie soit par l'Afrique du Sud.»

«Des pays asiatiques utilisent une partie de la tortue à des fins médicales ou autres», mais pour l'essentiel en font un animal de compagnie.

Source © lapresse.ca

jeudi 6 mars 2014
Afin d'évaluer la proposition présentée par le gouvernement fédéral des États-Unis , le Bureau de gestion de l'énergie des océans ( BOEM ) a publié une étude d'impact environnemental de l'utilisation des canons à air sismique . 

L'année dernière le gouvernement américain a proposé de faire usage de canons à air sismiques pour explorer la présence de pétrole et de gaz dans ces océans, le secteur de l'énergie estimant que les réserves fossiles sous le sud-est des États-Unis ne peuvent être découverts que par des études sismiques .

Les canons à air sismiques sont utilisés pour détecter la taille et l'emplacement des gisements d'hydrocarbures dans les océans en créant une onde acoustique dirigée vers les fonds pour en mesurer numériquement l'écho à partir d'une série de capteurs sismiques placés en surface. Les protecteurs de l'environnement estiment que cette technique pourrait s'avérer dévastateur pour la vie marine .

Environ 55 espèces marines, dont plusieurs espèces qui sont déjà menacées d'extinction et plus de 20 espèces de poissons pourraient subir gravement les incidences négatives de la pollution sonore générée par ces canons, a déclaré le Conseil national de la défense des ressources maritimes. De nombreuses espèces marines comme les baleines et les dauphins utilisent leurs capacités auditives pour chasser ou communiquer.

Selon les dernières recherches de la NOAA et de l'institut Cornell , la baleine noire de l'Atlantique Nord est la plus menacée par ces techniques affirme le rapport. Mais l'impact des canons à air sismiques ne s’arrête pas là, il pourrait causer la perte de 40 à 80 % de la population des églefins et des cabillauds mais aussi tuer toutes les larves et les œufs de poisson.

Tommy P. Beaudreau , le directeur de la BOEM , a déclaré à la presse que neuf entreprises ont déjà demandé un permis d'explorer la zone de 900 000 km² située en dessous de la baie du Delaware juste au sud de Cap Canaveral , en Floride. Environ 1,3 millions de barils par jour pourraient être ajoutés à la production d'énergie domestique en explorant l'Atlantique , a effectivement déclaré Erik Milito , directeur des opérations pour l'American Petroleum Institute (API ) .

Le prof.Tommy P. Beaudreau quant à lui estime que l'utilisation de canons à air sismiques pourrait causer la perte de 138 000 animaux marins et perturber gravement la vie de 13,6 millions d'autres poissons et mollusques.

© Nature Alerte





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samedi 15 février 2014
En début de semaine des échantillons prélévés dans les zone inondés du somerset en angleterre contenaient entre 60.000 et 70.000 bactéries dans 100 millilitres d'eau. C'est plus de 60 fois les niveaux autorisés par l'Organisation mondiale de la Santé pour l'eau à usage agricole.

L'Organisation mondiale de la Santé rappelle que l'eau agricole ne doit pas contenir plus de 1000 bactéries par 100 millilitres . Le niveau de sécurité pour l'eau d'un bain est plafonné à seulement 500 bactéries par 100 millilitres .

L' étude a été commandé par Sky News et réalisée jeudi par le microbiologiste Nathaniel Sorey de l'Université de Reading qui met en garde la population de possibles apparitions d'épidémies.

© Nature Alerte




Cameron appelle à l'aide l'UE 

Le Premier ministre britannique David Cameron a demandé l'aide financière de l'UE pour faire face aux intempéries qui s'abattent depuis des semaines sur le Royaume-Uni et privaient d'électricité jeudi quelque 56 000 foyers, alors qu'une nouvelle tempête était prévue vendredi soir. L'Irlande voisine était également particulièrement touchée par les coupures d'électricité avec 260 000 foyers privés de courant au pic de la tempête et encore 165 000 affectés jeudi après-midi, a indiqué la compagnie irlandaise ESB. 

« Nous cherchons à obtenir de l'aide de la part de l'Union européenne », a déclaré David Cameron. « L'argent que je cherche à obtenir pour les agriculteurs britanniques vient du budget de l'UE », a encore précisé le Premier ministre, qui s'est engagé en janvier 2013 à organiser d'ici 2017 - s'il est réélu - un référendum sur une sortie de son pays de l'Union. « Mais je pense que là où les pays étrangers peuvent le plus aider, c'est au niveau de l'expertise. Avoir des spécialistes néerlandais pour pomper l'eau et organiser des systèmes de protection contre les inondations a été très utile », a encore dit le Premier ministre. 

Le Premier ministre, qui a pris personnellement le dossier des inondations en main alors que son gouvernement était accusé d'inaction par des habitants en colère, a de nouveau présidé, jeudi matin, une réunion de crise sur les intempéries. 

Ces nouvelles intempéries, accompagnées de vents de plus de 160 km/h, ont causé la mort d'un homme par électrocution, et entraîné des perturbations dans les transports, avec des fermetures d'axes routiers et ferroviaires. Cette tempête a également causé en Irlande 80 000 coupures sur le réseau téléphonique et internet ainsi que d'importantes perturbations dans les liaisons de trains, ferries et bus du pays, conduisant également les aéroports de Shannon et Cork (ouest) à fermer temporairement du fait des vents violents. 

2 000 militaires déployés 

Au Royaume-Uni, le pays de Galles était la zone la plus affectée par les coupures, selon l'Energy Networks Association (ENA), qui assurait poursuivre ses efforts pour rétablir le courant pour l'ensemble des foyers dès que possible. 

Mercredi soir, ces coupures avaient touché plus de 400 000 foyers britanniques, selon de nouveaux chiffres d'ENA qui évoquait auparavant 147 000 clients touchés. Un chauffeur de poids lourd a été hospitalisé après avoir vu son véhicule renversé par des vents violents à Bristol (ouest de l'Angleterre), tandis qu'un homme a été blessé par la chute d'un arbre à Chivenor, dans le Devon (sud-ouest). Une nouvelle perturbation, avec des pluies et vents violents, était attendue vendredi soir et pendant le week-end. La Tamise pourrait atteindre par endroits son plus haut niveau depuis soixante ans. 


Les autorités ont indiqué aux habitants de Windsor et du Surrey (ouest de Londres), où un millier de personnes ont été évacuées, qu'ils étaient exposés à de nouveaux risques d'inondations et devaient s'attendre à de nouvelles perturbations. Au total, depuis début décembre, 5 800 habitations ont été inondées au Royaume-Uni. Ces intempéries relèvent d'une « crise naturelle quasiment sans précédent », a estimé Patrick Sanders, le responsable de l'armée chargé de diriger les efforts des 2 000 militaires mobilisés pour aider les sinistrés et construire des digues. Le gouverneur de la Banque d'Angleterre Mark Carney a même jugé que le chaos entraîné par ces intempéries risquait d'entraver la reprise économique dans le pays.

mardi 21 janvier 2014
Nature Alerte relaie un appel à mobilisation:

Initié il y a une dizaine d'années par le SMICTOM (syndicat mixte intercommunal) de la région Ouest de l'Ille et Vilaine qui collecte et traite les déchets de 65 communes du centre Bretagne, le projet d'un méga décharge prévoit la création d'une usine capable de traiter 30.000 tonnes d'ordures par an et d'un centre de stockage susceptible d'accueillir 300.000 tonnes d'ordures sur une quinzaine d'années.

A la suite de nombreux recours administratifs déposés par les communes riveraines et l'association pour la Sauvegarde de Brocéliande, les permis de construire ont été annulés et les travaux gelés en 2010.

Les risques d'incendie "majeurs" sur cette zone, liés à des études d'impact jugées insuffisantes, ont principalement motivé ces annulations.

Le préfet de la région Bretagne, Michel Cadot, a pris la décision finale de valider le projet de décharge le 13 Mars 2013 malgré une opposition locale des deux communes concernées, les nombreuses irrégularités dénoncées auprès des instances juridiques et une mobilisation populaire.

"Il faut savoir qu'il y avait déjà une décharge près du site où on a enterré pendant des années des milliers de tonnes de déchets en tous genres, industriels, hospitaliers, ménagers..;", souligne Jean Guillouët, porte-parole de l'association de Sauvegarde de Brocéliande. "Il faudrait déjà commencer par dépolluer."

Selon cet élu municipal de Gaël, qui met en avant la situation "en tête de bassin versant" du site, cette ancienne décharge aurait entraîné la pollution des nappes phréatiques et des cours d'eau environnants et pourrait être à l'origine d'un nombre anormalement élevé de cancers dans ce secteur.

"80% des gens meurent de cancer sur deux kilomètres à la ronde. On ne peut pas affirmer que cela est dû à l'ancienne décharge mais il faudrait au moins faire une étude épidémiologique", estime Jean Guillouët.

Nombreux sont ceux qui dénoncent également les risques que les installations feraient peser sur l'image de Brocéliande, connue pour ses légendes liées aux chevaliers de la table ronde.

L'usine serait en effet située juste à l'entrée du massif forestier et à seulement 2 kilomètres du château et des étangs de Comper, domaine légendaire de la fée Viviane et où est installé aujourd'hui le Centre de l'Imaginaire Arthurien.

"On en a marre, trop c'est trop. On a déjà supporté depuis trop longtemps les déchets des soixante communes qui se sont déchargées sur nous, cela suffit, c'est notre forêt!", s'insurge Pascal Monnerais, formateur à Saint-Malon sur Mel, une commune voisine.

Même si Le 12 mars 2013, le préfet de Région a signé l' autorisation d' exploiter, le combat n' est "Point-Clos"! Votre engagement à nos côtés, est un acte militant contre l’irresponsabilité de nombreux élus qui font du déchet une fatalité et de sa gestion une bombe à retardement pour les générations futures.


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c'est ici: https://www.facebook.com/events/191417704334054

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c'est ici :https://secure.avaaz.org/fr/petition/Pas_Decharge_en_Broceliande/?fpla



lundi 4 novembre 2013
Les biologistes l'affirment: La prolifération d'algues toxiques qui appauvrissent l'eau en oxygène ont tué un nombre record de lamantins en Floride cette année.

Un total de 769 lamantins sont déjà morts faisant déjà de 2013 l' année la plus meurtrière jamais enregistrée, ce chiffre faisant déjà presque deux fois le nombre de lamantins tués par rapport à l'ensemble de l'année 2012 qui avait enregistré 392 décès .

Le dernier record de 766 morts remontait à 2010, quand un hiver exceptionnellement froid a tué des centaines de ces créatures délicates , selon la Florida Fish et  la Commission pour la conservation de la faune.

Deux événements majeurs semblent expliquer cette hécatombe record

Les marées rouges toxiques ont tué 276 lamantins cette année dans le sud-ouest la Floride , selon la Florida Fish et de la Commission de conservation de la faune. La plupart des décès ont eu lieu dans la région Myers Cape Cora, a déclaré le directeur exécutif du club de protection de Patrick Rose.

Le deuxième événement reste inexpliquée , mais a vu plus de 100 lamantins mourir de causes indéterminées à Brevard County au large de la côte atlantique. Le professeur Tripp estime lui que ces décès sont liés à la prolifération d' algues diverses et à la perte de 19.000 hectares de jonc de mer depuis 2010.

Sur le nombre total de décès de cette année , 123 étaient mort-nés, nouveau-né ou jeune veaux.

© Nature Alerte







samedi 5 octobre 2013
Les militants veulent que François Hollande «affirme publiquement que les activités de protestation non-violentes ne sauraient être considérées comme des actes de piraterie»...

Greenpeace appelle vendredi le président français François Hollande à «intervenir» en faveur de la libération de ses 30 militants inculpés pour «piraterie» en Russie après une opération contre une plateforme pétrolière dans l'Arctique.

Le directeur exécutif de Greenpeace France, Jean-François Julliard, a adressé dans la matinée un courrier à François Hollande «afin de lui demander solennellement d’intervenir en faveur de la libération des militants de Greenpeace détenus en Russie et notamment Francesco Pisanu, ressortissant français incarcéré à Mourmansk», écrit l'ONG dans un communiqué.

Greenpeace demande à François Hollande qu'il prenne contact avec l'ambassadeur de Russie en France, qu'il «exprime son inquiétude au président Poutine», et qu'il «affirme publiquement que les activités de protestation non-violentes ne sauraient être considérées comme des actes de piraterie».

15 ans de prison

«Il s'agit de la plus grave atteinte contre nos activités pacifiques depuis que les services secrets français ont coulé le Rainbow Warrior en Nouvelle-Zélande, en 1985», estime Jean-François Julliard.

Le bateau qui transportait 28 militants de Greenpeace ainsi qu'un caméraman et un photographe freelance, l'Artic Sunrise, a été arraisonné le 19 septembre en mer de Barents par un commando héliporté des garde-côtes russes.

Auparavant, plusieurs militants avaient tenté d'escalader une plateforme pétrolière du géant russe Gazprom pour dénoncer le risque qu'elle fait, selon eux, courir à l'environnement.

Ils ont été inculpés jeudi pour «piraterie en bande organisée», et risquent à ce titre jusqu'à 15 ans de prison.

Mobilisation le 5 octobre

A l'heure actuelle, seuls les Pays-Bas - l'Artic Sunrise battait pavillon néerlandais - ont pris position publiquement et demandé qu'ils soient relâchés.

Greenpeace a appelé à une vaste mobilisation le 5 octobre dans plus d'une quinzaine de villes en France et dans 45 pays dans le monde.

L'ONG de défense de l'environnement revendiquait vendredi à la mi-journée plus d'un million de messages envoyés aux ambassades de Russie dans le monde, via son site internet, pour exiger la libération des militants.

Source ©  AFP

mercredi 18 septembre 2013
Deux militants de Greenpeace sont parvenus mercredi à escalader une plateforme du géant russe Gazprom dans l'Arctique pour protester contre ses projets de forage pétroliers dans cette région aux réserves très convoitées et deux autres militants ont été arrêtés, a annoncé l'ONG.

Les garde-côtes russes ont intercepté un canot pneumatique de Greenpeace qui se dirigeait vers la plateforme pétrolière Prirazlomnaïa dans la mer de Petchora, dans l'Arctique russe, a précisé l'ONG dans un communiqué.

Deux militants ont été arrêtés, tandis que deux autres, à bord d'un autre canot, ont réussi à se rendre sur la plateforme et s'y sont attachés avec des cordes.

"Gazprom prévoit de lancer la production sur la plateforme Prirazlomanaïa au premier trimestre 2014, faisant poser le risque d'une marée noire dans une zone où existent trois réserves naturelles protégées par la loi russe", explique l'association.

Selon elle, Gazprom doit ainsi devenir "la première compagnie à produire du pétrole dans les eaux glaciales de la région".

L'ONG avait déjà mené en août 2012 une campagne contre cette plateforme pour dénoncer les dangers qu'elle représentait dans l'Arctique. Six militants l'avaient escaladé, puis l'ONG avait trois jours plus tard intercepté un bateau qui y acheminait des employés.

La Russie a fait du développement de l'Arctique, une immense zone regorgeant de ressources en hydrocarbures qui n'a pour l'instant pas encore été exploitée, une priorité stratégique.

Greenpeace accuse aussi les majors occidentales de vouloir travailler en Russie pour profiter de normes environnementales plus laxistes que dans leurs propres pays.


Source © AFP
jeudi 11 avril 2013
Plus de 200 organisations environnementales, dont Greenpeace, Pew, Oceana ou WWF, ont annoncé jeudi avoir écrit aux ministres européens de la Pêche pour leur demander de s'engager en faveur de pratiques plus durables dans le cadre des discussions sur la réforme de la politique commune de la pêche.

Dans un courrier envoyé à tous les ministres, les organisations leur demandent "instamment" "de soutenir l'objectif fixé par le Parlement européen de restaurer les stocks de poissons d'ici 2020 et de mettre fin à la surpêche d'ici 2015".
Début février, le Parlement européen a approuvé à une large majorité une réforme qui, si elle est avalisée par les Etats membres, permettra de rendre plus durable la pêche dans l'Union européenne en mettant fin aux pratiques de surpêche.

Censée entrée en vigueur en 2014, cette réforme doit encore faire l'objet de discussions entre le Parlement et le Conseil, qui représente les Etats de l'UE. Un accord est espéré avant la fin du mois de juin.


"Les prochaines négociations entre le Conseil et le Parlement constituent une bonne occasion de montrer votre volonté d'agir pour la restauration des stocks de poissons", écrivent les associations aux ministres, soulignant que des objectifs de restauration avaient "été adoptés par l'Australie, la Nouvelle-Zélande, la Norvège, la Russie et les États-Unis".



Dessous des Cartes - Pêche, la fin de l... par Ledessousdescartes
jeudi 31 janvier 2013
Les Manchots pygmées de la petite ile touristique de "Granite Island" dans le sud de l’Australie sont en voie d'extinction totale assure Graham Philp le maire de la commune voisine de Victor Harbor.

«Nous nous devons de sensibiliser le gouvernement à cette extrême vulnérabilité de notre petite colonie de manchots pygmées de "Granite Island" », a déclaré M. Philp.

La principale menace est l'augmentation incontrôlée de la population invasive de l’otarie de Nouvelle-Zélande. Une étude a prouvé que la multiplication des otaries à fourrure a eu un impact certain sur le milieu marin de la région, et pas seulement le long de la côte sud, mais aussi sur les "Kangaroo Island".

Le dernier recensement de la population des pingouins pygmées de Granite Island en 2012 a montré un déclin rapide de la colonie, seulement 26 d'entre eux ont été comptabilisés l'année dernière" affirme M. Philp

Il rappelle que les colonies de  West Island et l'île de Wright se sont dejà éteintes et que la colonie de Granite Island est maintenant trop faible pour assurer son existence et sa survie dans les conditions naturelles.

La colonie de Manly est déjà considérée comme en extrême danger et les populations de "Penguin Island" en Australie-Occidentale ont eux aussi besoin de toute notre attention.

Toute les colonie de l’Australie montrent des signes inquiétants de déclin rapide, et aucune mesure gouvernementale de protection n'a jusqu'ici était prise.


Graham Philp le maire de Victor Harbor lance un appel à l'aide et aux dons pour sauver sa petite colonie.


Il exhorte la population à écrire aux ministres d'État de toute urgence en les exhortant à appuyer l'initiative de sauvegarde dite "Car Little Penguin" avant qu'il ne soit trop tard.

Comment pouvez-vous aider?


Agissez dès maintenant en faisant un don direct à la Victor Harbor et Port Lions Club à Elliot Westpac Victor Harbor, BSB 035-621, aucun compte. 58-0853 ou en écrivant votre soutien à  mayor@victor.sa.gov.au


© Nature Alerte




Le Manchot pygmée (Eudyptula minor) est la plus petite espèce de manchots et possède un plumage bleu, lui valant le surnom de petit manchot bleu. Il est également appelé Little Penguin dans les pays anglophone, Fairy Penguin en Australie, Little Blue Penguin ou seulement Blue Penguin en Nouvelle-Zélande, Kororā pour les Māori de Nouvelle-Zélande et Pingüino pequeño ou Pingüino azul au Chili et dans les autres pays hispanophones.

Répartition géographique

Les manchots pygmées vivent autour du littoral de la Nouvelle-Zélande et des Chatham Islands aussi bien qu'au sud de la Tasmanie et de l'Australie. Ils semblent vivre également aux Chili mais il est difficile de déterminer s'il s'agit de traînards. Néanmoins, il a été suggéré qu'il y aurait une population non découverte de cette espèce dans la région de Patagonie. Récemment, le premier enregistrement d'un manchot pygmée a été rapporté de Namibie.

Il habite aussi en antarctique (découverte également récente).
lundi 28 janvier 2013
Les Seychelles, frappées par des inondations et glissements de terrain, faits exceptionnels dans la région, ont décrété l'état d'urgence en trois endroits de Mahé, la principale île de l'archipel, et lancé lundi un appel à l'aide internationale face aux dégâts provoqués par les intempéries.

L'archipel des Seychelles, dans l'Océan Indien, est généralement relativement épargné par les cyclones, mais a subi de violentes intempéries dimanche, conséquences d'une tempête tropicale en formation dans la région. 


Les autorités n'ont fait état d'aucune victime, mais ont rapporté de nombreux dégâts dans trois districts de Mahé -- Pointe Larue, Anse aux pins, Au cap -- où plus de 150 maisons ont été inondées.

Une équipe doit désormais évaluer les dégâts. Mais le président seychellois, James Michel, a d'ores et déjà lancé un appel à l'aide internationale, estimant que son pays ne pourrait pas faire face seul "au désastre".

Des pluies intermittentes entravaient encore lundi les travaux de déblaiement et d'évaluation de la situation. Les Seychelles, ancienne colonie française puis britannique, sont composées de 115 îles et peuplées de quelque 85.000 habitants. Mahé compte à elle seule environ 70.000 personnes.


Source © Belga

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