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lundi 26 novembre 2012
Le Panama a essuyé de très fortes pluies à l'origine d'inondations et de glissements de terrain qui ont fait 2 victimes. 

Les autorités ont déclaré l'Etat de désastre naturel pour les régions de Capira, Chorrera et Colon.

Les deux victimes ont péri dans un glissement de terrain qui a emporté leur habitation dans le secteur de Capira à 60 km à l'ouest de Panama City.

Dans la région de Chorrera, d'importantes inondations se sont produites. 800 habitations et commerces ont été sinistrés et 94 personnes ont été évacuées. Il s'agit des plus importantes crues en 38 ans dans cette partie du pays.



Source :  AP



Deluge damages Panama homes par reuters
lundi 19 novembre 2012
le 14 Novembre dernier les habitants du Sevenagala et  de l'Indikolapelessa dans le district Moneragala au Sri Lanka, ont été témoin d'un phénomène plutôt inhabituel. En effet des averses de pluies de couleur rouges sont tombé pendant plus de 15 minutes dans le Sewanagala, le Monaragala, le Manampitiya et le Polonnaruwa.

Un premier rapport initial d'un haut fonctionnaire du ministère de la météorologie a déclaré que cette pluie rouge n'était pas un phénomène naturel et la raison en était que certains produits chimiques libérés par des usines s'étaient mélangés aux nuages déjà lourds de pluies.

Oui mais voilà cette version est mise en doute par les autorités, en effet disent ils, l'année dernière une pluie rouge a déjà touché le  Kerala en Inde, et les scientifiques indiens ont découvert une variété de micro-organismes dans les eaux récoltés . Mais étant donné que ces micro-organismes n'avaient visiblement pas d'ADN, ils ont conclus qu'il devait y avoir là une sorte de phénomène étrange.

Le mystère restait donc entier

Bref, depuis Les expériences menées à l'Institut des Nanotechnologies de Sri Lanka (SLIN) a prouvé de façon concluante que la cause de la couleur inhabituelle de la pluie était du à la présence d'un micro-organisme unicellulaire appartenant au Royaume protistes, des Euglenozoa Phylum, connu sous le nom Trachelomonas. Ces Trachelomonas seraient donc la principale cause des pluies rougeâtres qui touchent d'autres régions du monde également affirment ils....et ben voilà...Nah...

© Nature Alerte


...et Chem ...chem...cheminey...chem...cheminer...dirait Mary Poppins....






Selon un rapport publié hier à Washington, la Banque mondiale redoute une hausse de la température du globe de 4°C dès 2060, bien au-delà du garde-fou posé par la communauté internationale, et s'alarme du "cataclysme" qui frapperait alors les pays pauvres.

D'après ce document "Un monde à +4°C (...) déclencherait une cascade de changements cataclysmiques, dont des vagues de chaleur extrême, une chute des stocks alimentaires et une montée du niveau de la mer frappant des centaines de millions de personnes", résume la BM, ajoutant qu'il n'y avait "aucune certitude" que le globe puisse s'adapater à une telle situation.

Ce scénario, le plus sombre envisagé dans le rapport, tranche avec l'engagement pris par la communauté internationale de contenir le réchauffement du globe à +2°C par rapport à l'ère pré-industrielle.Le niveau actuel d'émissions de C02 "devrait porter le réchauffement climatique bien-au delà de ce seuil", assure la Banque mondiale, qui prédit une hausse de 4°C "au cours du siècle" et "dès 2060" en cas d'inertie politique.

"Ce monde serait tellement différent de celui dans lequel nous vivons qu'il est difficile de le décrire", commente le président de la BM, Jim Yong Kim, soulignant que la responsabilité de l'homme dans le réchauffement du globe est "sans équivoque".

 
Listant les dangers qui menaceraient alors la planète (inondations, sécheresses, malnutrition...), l'institution prédit une aggravation des "pénuries d'eau" en Afrique de l'Est, au Moyen-Orient, ou en Asie du Sud et un "rebond significatif" de la mortalité infantile en Afrique sub-saharienne.

"L'intensification prévue des événements climatiques extrêmes pourrait inverser les efforts pour réduire la pauvreté, particulièrement dans les pays en développement", résume le rapport, assurant que la planète serait encore "plus inégalitaire" qu'à l'heure actuelle.

Aucune région ne sera épargnée, prévient toutefois le rapport. Les récentes sécheresses ayant frappé les Etats-Unis ou l'Europe de l'Est pourraient se reproduire et l'Occident serait aussi confronté à l'afflux de populations fuyant les bouleversements climatiques."Il faut faire baisser la température et seule une action internationale concertée et rapide peut y contribuer", clame la Banque mondiale, appelant à une utilisation plus "intelligente" de l'énergie et des ressources naturelles.



Source : © Banque Mondiale



...Tiens donc...voilà que la banque mondiale se réveille...+ 4 ° C ...au moins ça c'est dit... mais encore espérer qu'on s'en sorte....là c'est du rêve....
mercredi 26 septembre 2012
Un rapport d'étude sur les conséquences possibles du réchauffement climatique, commandé à l'organisation humanitaire DARA par 20 gouvernements en voie de développement, affirme que d'ici 2030 plus de 100 millions de personnes en mourront prématurément et que la croissance économique mondiale sera réduite de 3,2 % .

Les conséquences de l'augmentation des températures sur la planète, comme la fonte des glaces aux pôles, les conditions météorologiques extrêmes, la sécheresse et l'augmentation du niveau des mers vont menacer gravement les moyens de subsistance des populations mondiales.

Les chiffres de cette étude sont effrayants: Plus de cinq millions de décès prématurés surviendront chaque année dans le monde.

Si les tendances actuelles de nos consommations de combustibles fossiles continuent, l'augmentation du c02 et des températures dans l’atmosphère terrestre entraineront une augmentation inéluctable de la pollution de l'air, de la faim et des maladies liées aux changements climatiques, mais pire encore ce chiffre s’élèvera probablement à plus de six millions de mort par an à l'horizon de 2030.


Selon ce même rapport, qui a calculé les statistique de l'impact du changement climatique sur 184 pays entre 2010 et 2030. Plus de 90 % de ces décès surviendront dans les pays en voie de développement.

Si rien n'est fait pour réduire urgemment l'augmentation des gaz à effet de serre, les effets du changement climatique réduiront la production de 1,6 % du PIB mondial, soit environ 1 200 milliards de dollars par an, ces pertes pourraient doubler pour atteindre 3,2 % du PIB mondial d'ici à 2030 .

Cette étude estime que le coût du réaménagement des économies mondiales vers une option bas-carbone sera d'environ 0,5 % du PIB mondial pour cette décennie.

L'économiste britannique Nicholas Stern a déclaré à Reuters que l'investissement équivalent de 2 pour cent du PIB mondial était nécessaire pour limiter, prévenir et s'adapter au changement climatique.

Son rapport de 2006 sur l'économie du changement climatique révélait qu'une hausse de la température mondiale moyenne de 2-3 degrés Celsius au cours des 50 prochaines années pourrait réduire la consommation globale par tête de près de 20 pour cent.

Les températures ont déjà augmenté d'environ 0,8 degré Celsius au-dessus de l'époque pré-industrielle. Près de 200 pays ont convenu en 2010 de limiter la hausse moyenne de la température mondiale en dessous de 2°C pour éviter les effets dangereux du changement climatique. Mais tous les climatologues nous ont déjà ont averti que la possibilité de limiter la hausse au-dessous de 2°C devient de plus en plus illusoire. En effet les émissions mondiales de gaz à effet de serre augmenteront, en particulier en raison de l'augmentation de la combustion des énergies fossiles des nations les plus pauvres.

Ces pays en voie de développement sont malheureusement aussi les plus vulnérables aux changements climatiques attendues. Ils vont devoir faire face à un risque accru de sécheresse, de pénuries d'eau, de pénuries agricoles, qui entraineront plus de pauvretés et de maladies sur leurs territoires. En moyenne, ils devront subir une perte de 11 % de leurs PIB à l'horizon de 2030 .

Par exemple au Bangladesh "Un degré Celsius d'augmentation de la température globale est associée à 10 % de pertes de productivité de notre agriculture. Cela signifie la perte d' environ 4 millions de tonnes métriques de céréales alimentaires, pour un montant total de 2,5 milliards de dollars. Cela représente environ 2 % de notre PIB," a déclaré le Premier Ministre.

Mais personne n'en sortira indemne. Les Etats-Unis et la Chine pourrait voir apparaitre 2.1 % de réduction de leurs PIB respectifs d'ici à 2030, tandis que l'Inde pourrait subir une perte de plus de 5 %


Le rapport complet est disponible à l'adresse: daraint.org


© Nature Alerte
Source / Reuters


...et cet autre reportage de Novembre 2011....


Le changement climatique a des conséquences de... par euronews-fr
jeudi 20 septembre 2012
Sept personnes ont péri et une centaine ont été blessées au Paraguay et en Bolivie en raison d'une forte tempête qui a également balayé le nord de l'Argentine et le sud de l'Uruguay voisins.

Au Paraguay, quatre élèves d'une école de police sont morts dans leur sommeil lorsque le toit du bâtiment qui les abritait s'est effondré, dans la commune de Roque Alonso, près de la capitale, Asuncion. Quinze autres personnes ont été blessés dans cet accident. Dans la même localité, une jeune fille de 16 ans est morte écrasée par la chute du réservoir d'eau d'un centre commercial.

Les vents violents qui ont atteint jusqu'à 140 km/h ont causé une centaine de blessés et un nombre indéterminé de sans-abris dans la capitale et sa périphérie. De nombreux dégâts matériels et des coupures de courant ont également été constatées. 2000 habitations ont été sinistrées

En province, le vent et la grêle ont également causé de nombreux dégâts et le décès d'un nombre encore indéterminé de têtes de bétail. Selon le directeur des opérations du SEN, quelque 5.000 habitations ont été détruites dans plusieurs régions du pays.

 En Bolivie, de fortes pluies ont provoqué une montée soudaine du niveau des cours d'eau dans la région de Santa Cruz, où une femme et son fils sont morts noyés lorsque leur véhicule s'est trouvé piégé par une crue.

Des vents violents et la grêle ont également balayé le nord-est argentin voisin et la capitale Buenos Aires, causant d'important dégâts matériels. Aucun blessé n'avait toutefois été enregistré à la mi-journée.

Plus à l'ouest, le sud de l'Uruguay et sa capitale Montevideo ont été placés en alerte rouge jusqu'à avec l'arrivée de la tempête accompagnée de vents ont soufflé jusqu'à 150 km/h, selon les prévisions météo.

De nombreuses routes, commerces et bâtiments administratifs ont été fermés et d'importants dégâts matériels ont déjà été répertoriés, avec notamment une centaine d'arbres arrachés par les rafales à Montevideo et quelque 100.000 personnes privées de courant dans l'ensemble du pays. Trois blessés avaient été enregistrés à la mi-journée et le port de Montevideo a été fermé jusqu'à nouvel ordre.

Source : AP




dimanche 12 août 2012
Le bilan d'une inondation survenue vendredi matin s'est alourdi à 11 morts à la suite de la rupture d'un barrage dans la province du Zhejiang (est), alors que des secouristes ont récupéré samedi le corps d'une femme.

Le corps a été retrouvé à environ un kilomètre en aval du réservoir de Shenjiakeng, un barrage recueillant les eaux de pluie situé dans le district de Daishan de la province, selon un communiqué du gouvernement du district.

Le barrage en terre de 28,5 m de haut de ce réservoir s'est effondré vers 5H00 vendredi, inondant un village en aval. Vingt-sept personnes ont été blessées dans l'inondation.

"Le barrage s'est effondré en quelques minutes seulement. Certaines personnes se sont réfugiées dans les lieux où le niveau d'eau était bas, tandis que d'autres ont dû rester chez elles", a expliqué un habitant parvenu à quitter son habitation inondée.

La province a été frappée par des pluies torrentielles ces derniers jours en raison de l'arrivée du typhon Haikui, qui a touché mercredi matin le Zhejiang avant de se déplacer vers la province voisine de l'Anhui.

Source: © Chine Nouvelle (Xinhua)

Les pluies de mousson provoquées par le typhon Haikui qui se sont abattues ces derniers jours sur les Philippines ont noyé la moitié de la capitale Manille, paralysé les transports, les administrations et les écoles, et fait 60 morts à travers le pays, selon un bilan encore provisoire annoncé mardi.

Au moins 20 000 personnes ont dû abandonner leurs maisons, les plus pauvres, vivant à proximité des égouts et des cours d'eau en crue dans les bidonvilles de la métropole de 15 millions d'habitants, étant les plus vulnérables.


Les inondations ont coupé les routes et les écoles. La Bourse, les bureaux et les administrations étaient quasiment déserts mardi. L'armée a été appelée en renfort pour assurer les évacuations et secourir les habitants réfugiés dans les étages ou sur les toits.

"Au moins 50% du grand Manille est inondé. De fortes pluies sont attendues dans les prochaines 24 heures. Les inondations vont s'aggraver", a déclaré à l'AFP Jean Navarez de l'agence météorologique des Philippines.
Dans les rues submergées où la crue atteint par endroit la hauteur d'un homme, des enfants offraient leur concours au moyen de radeaux de fortune confectionnés avec des planches de bois et des troncs de bananiers.

Les secours sont ralentis localement par les courants violents qui mettent en danger les équipes de sauveteurs, a expliqué Cora Agulan, du Conseil national de gestion et de prévention des catastrophes naturelles.

Les pluies de mousson et le typhon Saola qui a balayé le nord du pays la semaine dernière ont fait au total 60 morts et plus de 268 000 déplacés, selon le dernier bilan officiel qui ne prend pas en compte le déluge de la dernière nuit.

   Source © Belga


lundi 16 juillet 2012
La ville de Chicago a mis en place des panneaux de signalisation dans ses rues pour indiquer à la population où trouver un abri en cas de conditions météorologiques extrêmes.

Ils sont répartis dans 16 endroits différents, mais surtout dans le centre d'affaire de la ville, le long de Michigan Avenue et de Grant Park.

Le bureau de gestion des situations d'urgence et des communications sociales a indiqué avoir installé ces panneaux afin d'avertir la population de leurs options de sécurité si des vents violents ou des tempêtes extrêmes venaient à traverser la région.


© Nature Alerte
L'Occident est responsable de la sécheresse qui frappe le sud de l'Iran dans le cadre de sa "guerre non déclarée" contre la République islamique, a affirmé un vice-président iranien cité lundi par l'agence Fars.
 
"J'ai des doutes sur la sécheresse anormale qui touche le sud du pays. L'oppression et le colonialisme mondial (appellations de l'Occident par les dirigeants iraniens) influencent la situation météorologique avec des moyens technologiques (...) et cela fait partie de la guerre non déclarée" des Occidentaux contre l'Iran, a déclaré le vice-président chargé du tourisme, Hassan Moussavi.



Source © Europe1.fr avec AFP
Aux Etats Unis, le ministère de l'Agriculture a déclaré plus de 1000 comtés dans 26 états , en zones de catastrophes naturelles en raison de l’extrême sécheresse qui frappe le pays. C'est la plus grande déclaration de "catastrophe naturelle"  jamais traversée par les États-Unis réunis.


La déclaration de sécheresse couvre environ la moitié de la nation, et donne aux agriculteurs et aux éleveurs durement touchés l'accès à l'aide fédérale, y compris les prêts d'urgence à faible taux d'intérêt.


Selon un observatoire économique des États-Unis, 56 pour cent du pays a connu des conditions de sécheresse extrême, c'est le plus grand pourcentage jamais répertorié.


La moyennes des température des six derniers mois ont été les plus chauds d'un premier semestre, jamais enregistré aux États-Unis.


© Nature Alerte






Les récoltes touchées


Le département américain de l'Agriculture (USDA) a fortement abaissé ses prévisions de récoltes de maïs dans son rapport mensuel paru mercredi dernier, en raison de la sécheresse qui frappe la majeure partie de la « corn belt ». En conséquence, l'USDA a réduit sa prévision de récoltes de maïs de 37% par rapport aux prévisions du mois dernier. En juin, il estimait la production américaine de maïs à 375 millions de tonnes, contre désormais 330 millions de tonnes. Cette baisse des récoltes du premier producteur mondial de maïs devrait être en partie compensée par une baisse des exportations estime l'USDA.


Cette annonce a provoqué une envolée des cours du maïs à la Bourse de Chicago. Les cours des contrats maïs d'échéance septembre à Chicago ont ainsi gagné 22 cents, à 7,40 dollars le boisseau, après la publication du rapport du USDA. Entre le 22 juin et le 9 juillet, le cours de maïs a progressé de 32 % à la Bourse de Chicago, provoquant des hausses de prix sur le marché européen des matières premières agricoles.


L'USDA a également abaissé sa prévision de production mondiale de blé pour la campagne 2012/2013 en raison de récoltes moins bonnes notamment en Russie, au Kazakhstan et en Chine. La production aux Etats-Unis, premier producteur mondial de blé, serait stable par rapport au mois dernier.


Source Reuters

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Tornades dans le nord de la Pologne: un mort et dix blessés
 
Une vague de 3 tornades a balayé dimanche le nord de la Pologne, dévastant des zones forestières et des habitations et faisant un mort, ainsi que dix blessés. La victime est un homme de 60 ans, décédé sous les décombres de sa maison à Wycinki, ont indiqué les pompiers.


D'après la chaine de télévision TVN24, les tornades ont été classées en catégorie 2 avec des vents atteignant les 200 kilomètres par heure. Une zone située autour de la forêt de Bory Tucholskie, un parc national et une destination prisée par les touristes, a notamment été frappée par une tornade dont la largeur frisait les 800 à 1.000 mètres.


Selon le dernier bilan réalisé par les autorités, cinq cents hectares de bois ont été dévastés dans cette zone et plus de 100 maisons ont été détruites. Une caravane avec trois membres d'une même famille à l'intérieur a même été emportée en l'air dans la localité de Stara Rzeka et s'est brisée en chutant, mais ses occupants n'ont pas souffert de blessures graves




Depuis hier, pas moins de 1.200 secouristes se sont mis à pied d'oeuvre pour dégager les arbres abattus et remettre en état routes, pylônes électriques et autres installations touchées dans la région de Poméranie, au bord de la Baltique.


Les vidéos sont impressionnantes


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 En Allemagne


le 13 juillet Une tornade a touché terre a Remscheid en Rhénanie du Nord en Allemagne, la toiture d'une école et de nombreux arbres ont été arraché.

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En Lettonie

le 13 juillet une petite tornade a été aperçu dans le golfe de Riga au large de la ville du même nom. Elle a durée entre 5 et 6 minutes


jeudi 12 juillet 2012
Plus d'un million de personnes ont été touchés dans le Sud-ouest et le Nord-ouest de la Chine à cause des pluies torrentielles. À la suite des precipitations qui se sont abattues sur la province de Guizhou (Sud-ouest de la Chine) jeudi.

Environ 200.000 personnes ont été blessées ou se sont retrouvées sans abri, rapporte l’agence Xinhua.

Dans la province du Shaanxi au Nord-ouest de la Chine, 840.000 personnes ont été victimes des intempéries. La nourriture, l’eau et les produits de première nécessité sont actuellement transférés dans la zone du sinistre.



Source Xinhua
Pluies torrentielles au Japon : 6 morts et 20 disparus sur l'île de Kyushu
 
Au moins six personnes ont été tuées et 20 autres sont portées disparues alors que des pluies torrentielles ont frappé plusieurs préfectures sur l'île de Kyushu, dans le sud-ouest du Japon, où des milliers de personnes doivent être évacuées jeudi, d'après des sources concordantes.

Selon la télévision publique japonaise NHK, de fortes pluies ont provoqué des glissements de terrain dans la ville d'Aso et ses environs, dans la préfecture de Kumamoto, qui a reçu jeudi matin d'intenses précipitations, soit entre 100 et 120 millimètres par heure.

Au moins cinq personnes ont été découvertes sans vie et 19 autres personnes sont portées disparues dans la préfecture, selon NHK.Jeudi, dans la ville de Taketa de la préfecture d'Oita, le corps d'un homme a été découvert après qu'il soit tombé dans une rivière gonflée, et un autre homme a été porté disparu près d'une rizière, lorsque les autorités de la ville ont demandé, ou ordonné, à quelque 25 000 personnes de quitter leurs maisons situées près de la rivière.

Selon les météorologues, les pluies torrentielles pourraient provoquer plus d'inondations et de glissements de terrain dans les régions côtières, dans l'ouest du Japon.

Source © Chine Nouvelle (Xinhua)


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La Grèce suffoquait jeudi sous la canicule, avec des températures devant atteindre jusqu'à 42 degrés dans le Péloponnèse (sud) et le centre, selon les services météo.

La journée s'annonce comme la plus chaude de l'année jusque-là, les villes d'Argos, dans le Péloponnèse et de Larissa, dans la plaine agricole de Thessalie (centre), devant être les plus touchées par l'envolée des températures.


A Athènes, où la pollution atmosphérique était à la hausse, en l'absence du moindre souffle d'air, le thermomètre doit grimper jusqu'à 40 degrés Celsius. Des salles climatisées y ont été mises à la disposition du public par la municipalité.

Les autorités sanitaires ont aussi réitéré les consignes de prudence à la population, appelant les familles à veiller sur les personnes âgées et les personnes vulnérables à se garder de déplacements inutiles.

Frappant le pays depuis près d'une semaine, la vague de chaleur ne doit reculer qu'à partir de mardi prochain, avec une chute attendue de quelque 8 degrés des températures, ont ajouté les services météo.


Source
©AFP


Finalement, 2 mois et demis après que le pays ait été contraint le 29 mars 2012 de prendre des mesures drastiques de restrictions d'eau, face à une sécheresse de plus de trois ans pour sauver sa bio diversité, les nappes phréatiques et les rivières retrouvent des niveaux convenables.(voir l'animation ci dessous).


Cette recharge inespérée du niveau des eaux du pays s'est faite aux prix de quelques inondations, qui risquent de se voir multiplier par 4 d'ici 2035 préviennent les chercheurs...


En effet les risques d’inondations en Angleterre pourrait être multiplié par quatre d’ici 2035 préviennent les conseillers du gouvernements. Des mesures pour limiter l’impact du changement climatique doivent être urgemment conduites assurent ils.


Après le mois de Juin le plus humide jamais enregistré dans les annales météorologies du pays, les conseillers climatiques du gouvernement d’Angleterre ont indiqué que davantage d’investissements et une meilleure planification pour les nouveaux logements dans les plaines inondables étaient nécessaires.


L'adaptation aux nouvelles contraintes du réchauffement climatiques, doit nous éveiller au risque de voir les périodes d' inondations et de sécheresse se multiplier dans l'avenir. Les inondations seront le risque climatique majeur que devra confronter la Grande-Bretagne au cours de ce siècle

Tous les scientifiques s'accordent pour constater que la multiplication des évènements catastrophiques liés à des périodes de climats extrêmes seront beaucoup plus fréquentes du fait du changement climatique.



Outre les risques accrus d’inondation, les périodes de sécheresse devraient sévir régulièrement à l'avenir, la rareté de l’eau pourrait aussi devenir beaucoup plus fréquente, et cela est aggravée par l'une des consommation d'eau par habitant parmi les plus élevé d'Europe


Des économies d'eau doivent être incitées, plus de 700 millions de litres d'eau sont consommées chaque jour par les citoyens anglais.  Mais l'eau, aujourd'hui, avec le changement climatique est devenue une ressource rare préviennent le chercheurs. Il faut encourager les initiatives visant à réduire notre consommation.


Est ce que la décision du gouvernement  d'Angleterre d'exploiter ses sous sols pour y extraire  le gaz de schiste qui s'y trouve fait partie de ces mesures sages de restriction?...ça le gouvernement d'Angleterre ne le dit pas....


© Nature Alerte


...Et viva la géo-ingénierie...



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Carte des inondations enregistrés ces dernières semaines en Angleterre





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les cliquez sur liens " Ground water" et "réservoir stocks" pour voir l'évolution des niveaux de recharge des réserves d'eau entre Mars 2012 et Aujourd'hui en Angleterre...





mardi 10 juillet 2012
Dans le terrible chaos écologique et météorologique que traverse les USA, un blogueur américain  qui surveille de près les changements climatiques aux états unis, vient de mettre en ligne une nouvelle vidéo.


C'est une petite compilation des événements météorologiques extrêmes des 2 dernière semaines passées qui ont traversé le pays, et qu'il a titré d'une citation effroyablement précise d'un chroniqueur connu du Washington Post


"Bienvenue dans ce qui reste à nos vies"

No Comment



Source http://climatecrocks.com

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cliquez pour agrandir
L’année 2012 est encore loin d’être finie, l’été ne s’est installé que depuis quelques semaines et pourtant la fonte de la banquise en Arctique a déjà battu un record en juin. La surface affichée le 30 juin 2012 par cette étendue de glace aurait dû, en se basant des chiffres antérieurs, être atteinte le 21 juillet.  


L’Arctique, tout comme l’Europe et bien d’autres régions sur la planète, est soumis au rythme des saisons avec des hivers froids et des étés plus chauds. Par conséquent, la surface de la banquise évolue continuellement au cours du temps. Elle atteint généralement sa taille maximale en mars et sa surface minimale en septembre. La fonte de la banquise est particulièrement bien suivie depuis de nombreuses années, notamment à partir de satellites (par exemple par IceSat), afin de comprendre, entre autres, les conséquences du réchauffement climatique.


À la lueur de nouveaux résultats, 2010, 2011 et 2012 semblent être des années à records en Arctique. La banquise n’a jamais été aussi petite en juin qu’il y a 2 ans. L’année dernière, c’est surtout la température particulièrement élevée de l’air dans la région, un record inégalé alors depuis un demi-siècle, qui avait marqué les esprits. En 2012, c'est au tour de la vitesse de la fonte des glaces observée une fois encore en juin de faire parler d’elle. Selon l’US government's National Snow and Ice Data Centre (NSIDC), elle viendrait en effet d’atteindre une valeur inédite depuis la mise en place du suivi de l’Arctique par satellite en 1979.




Le graphique (ci dessous) datant du 2 juillet 2012 présente l'évolution de la surface de la banquise entre les mois de mars et de juillet pour ces 6 dernières années (2007 à 2012). La ligne grise correspond à la courbe de référence calculée en compilant des données récoltées entre 1979 et 2000. Le tracé de 2012 est coloré en bleu turquoise.

Un quart de la surface de la France en moins… par jour


La surface de la banquise en juin 2012 s’élevait à environ 10,97 millions de km², ce qui est inférieur de 1,18 million de km² à la moyenne observée entre 1979 et 2000. Cette valeur reste néanmoins supérieure de 140.000 km² à celle mesurée en juin 2010. Cependant, Les glaces de l’Arctique auraient fondu le mois dernier, en perdant 2,86 millions de km², à un rythme jamais atteint auparavant. Vers le milieu du mois, la surface de la banquise se serait parfois réduite de 100.000 à 150.000 km² (soit à peu près un quart de la surface de la France) par jour. Le 30 juin 2012, il existait encore 9,59 millions de km² de glace autour du pôle Nord. En se basant sur des modèles établis à partir de mesures prises entre 1979 et 2010, cette valeur aurait normalement dû être atteinte le 21 juillet, soit 3 semaines plus tard.


Plusieurs régions géographiques ont été particulièrement concernées : la mer de Kara, la mer de Beaufort, la baie de l’Hudson et la baie de Baffin. À l’inverse, les glaces de la côte est du Groenland semblent avoir moins régressé que les années antérieures. Ces résultats ne permettent cependant pas d’extrapoler des informations sur la fonte totale de la banquise qui sera observée d’ici la fin du mois de septembre, les tendances pouvant encore évoluer, positivement ou négativement, au cours des trois prochains mois.


Deux phénomènes météorologiques seraient en cause


Deux événements météorologiques, en grande partie attribués au réchauffement climatique dont les conséquences sont fortes au niveau des pôles, pourraient avoir joué un rôle non négligeable sur les observations réalisées le mois passé. La température moyenne de l’air (prise à 1.000 m d’altitude) était par exemple supérieure de 1 à 4 °C, en fonction des régions, par rapport aux moyennes calculées entre 1981 et 2010. Le record a été atteint au niveau de la baie de Baffin et de certaines régions de l’Eurasie avec une anomalie positive de la température comprise entre 7 et 9 °C.


L’arctique a également connu, comme de nombreux territoires de l’hémisphère nord, d’un déficit en neige durant les mois de mai et juin 2012. La couverture neigeuse sur la banquise n’a jamais été aussi faible en cette période (depuis le début de son suivi en 1967), jusqu’à 1 million de km² en moins par rapport à 2010. Or, la neige réfléchit bien les rayons du soleil. À l’inverse, les glaces noircies par la suie et non recouvertes par de la neige fraîche absorbent plus d’énergie solaire que la normale et fondent donc plus rapidement. 


Cette disparition de la banquise en juin aura des répercutions économiques relativement avantageuses pour plusieurs entreprises dans les semaines à venir. ( tiens donc...)Des navires partant d’Europe vont ainsi pouvoir rejoindre la Chine et le Japon, sans l’aide de brise-glaces, en passant par le nord de la Russie et la mer de Béring (où se sont formées un certain nombre de polynies, des zones libres de glace au milieu de la banquise). Ce raccourci permet de gagner 4.000 milles marins (environ 7.400 km) par rapport au trajet classique et donc de faire de grosses économies de temps et de carburant. Dans le même temps, plusieurs compagnies pétrolières pourraient également profiter du retrait des glaces pour réaliser des forages d’exploration.(...bye bye les baleines...) (...Voir article précédent...)


Source © Quentin Mauguit, Futura-Sciences

...et viva la géo-ingénierie...bon ok...ça va ...je sors....
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Et je ne peux m’empêcher de vous réinviter à regarder jusqu'au bout cette splendide publicité d'un constructeur de bateau d'exploration pétrolière, spécialement étudié pour les contrées des pôles,... une pure merveille de technologie, avec renfort de grands conforts, au service spéciale de nos fonds océaniques, mais évidemment au dépriment de tout ce qui peut vivre dans ces échos...

...les sanctuaires pour baleines ont été refusé dernièrement?...ah bon ...tiens donc....

...bon celà dit, ne pensons pas trop à ça pendant le départ en vacances de nos enfants...y'a des bouchons sur les routes...et ça c'est une inquiétude bien plus légitime et bien plus judicieuse par les temps qui courent...


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lundi 9 juillet 2012
Quelque 2.600 océanographes réunis en Australie ont prévenu lundi que les récifs coraliens dans le monde étaient en train de décliner rapidement et ont appelé à agir de manière urgente sur le changement climatique pour sauver ce qu'il en reste.

Dans un appel inédit publié à l'occasion du Symposium international sur les récifs coraliens, à Cairns (nord-est), ces scientifiques parmi les plus réputés dans leur domaine soulignent que les moyens de subsistance de dizaines de millions de personnes sont en danger.

Les récifs procurent travail et nourriture à nombre d'habitants des régions côtières dans le monde, génèrent des revenus via le tourisme et servent de brise-lames naturels en cas de fortes vagues et de tempêtes, indiquent-ils.

Les scientifiques réclament des mesures urgentes pour parer aux dégâts croissants causés par la montée de la température des océans, l'acidification des eaux, la surpêche et la pollution venue des terres.

Nous avons une fenêtre dans le temps pour que le monde puisse agir sur le changement climatique, mais elle se rétrécit rapidement, a déclaré Terry Hughes, président du symposium, qui se tient tous les quatre ans en présence de scientifiques de quelque 80 pays.

Aux Caraïbes par exemple, 75 à 85% de la surface occupée par les coraux a été perdue ces 35 dernières années, note Jeremy Jackson, océanographe au Smithsonian Institution (Etats-Unis). La Grande barrière de corail en Australie, qui est pourtant un des écosystèmes marins les mieux protégés au monde, a enregistré un déclin de 50% de ses coraux en un demi-siècle.

Ce qui est bon pour les coraux est aussi extrêmement important pour les gens, et nous devons nous réveiller, a déclaré M. Jackson. L'avenir des récifs coraliens n'est pas qu'un problème marin, c'est un problème capital pour l'humanité.

Stephen Palumbi, de la station marine Hopkins à l'université américaine de Stanford, souligne qu'il faut aussi résoudre les problèmes engendrés par un développement agraire anarchique et des pratiques de pêches intensives.

Plus de 85% des récifs dans le Triangle asiatique des coraux sont menacés directement par des activités humaines, telles que le développement des régions côtières, la pollution et la surpêche.

Le Triangle asiatique comprend l'Indonésie, la Malaisie, la Papouasie-Nouvelle Guinée, les Philippines, les îles Salomon, le Timor oriental. Il couvre près de 30% des récifs coraliens du monde et abrite plus de 3.000 espèces de poissons.

L'appel commun aux 2.600 scientifiques n'est pas un effort supplémentaire visant à décrire la situation, a insisté le président de la Société internationale de l'étude des récifs, Robert Richmond.

La communauté scientifique a produit une énorme quantité de recherches depuis des années, elles montrent toutes que nous sommes face à une véritable catastrophe à venir. Nous sommes comme des médecins qui ont diagnostiqué une maladie du patient, mais qui restent impuissants sans une véritable mobilisation financière internationale , a-t-il déclaré.

Nous devons tous être engagés de manière beaucoup plus active et apporter aux autorités publiques des solutions permettant de réussir, a-t-il ajouté.



Source ©AFP


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Ce weekend le sud de la Suède et les pays riverains de la Mer Baltique ont essuyé de violents orages qui ont occasionné des dommages matériels sans toutefois faire de victime.
Dans le Sud de la Suède, de très violents orages se sont produits et ont principalement concerné la région de Jonköping. 


Les cumuls sont remarquables avec 142 mm à Orrefors et 111 mm à Hultsfred. D'importantes inondations ont été observées dans la ville de Mariannelund, avec de gros dégâts.

D'autres orages plus isolés, mais tout aussi violents, ont concerné l'Europe Centrale, où l'épisode de canicule prend fin. 


Il est tombé jusqu'à 100 mm en Estonie et souvent de 60 à 80 mm en Pologne, où de fortes chutes de grêle et des dégâts liés à la foudre ont été signalés.


Source : © Euronews
Des records de chaleur ont encore frappé samedi le le Midwest et l'est des Etats-Unis, provoquant plusieurs décès et l'inquiétude des agriculteurs face à la sécheresse.

Pour le dixième jour consécutif, la température à l'ombre a dépassé les 35 degrés et s'établissait à 40 degrés dans la capitale fédérale Washington avant hier, tutoyant le record de 41 degrés remontant à 1930, selon la météo nationale.


Pour le moment, une trentaine de personnes seraient mortes des suites de cette vague de chaleur

Le mercure a frôlé  les 38 degrés dans une bande s'étirant du sud de l'Iowa (centre) à la Virginie occidentale (est) jusqu'en Caroline du Nord (sud-est).

Dans l'Ohio (nord), qui déplore trois morts liés à la canicule, le département de la Santé a appelé les habitants sur son site internet à faire attention aux autres. A Washington, les horaires d'ouverture des piscines publiques ont été prolongés pour permettre aux gens de se rafraîchir.

Sur les 30 derniers jours, plus de 4.500 records de température ont été enregistrés dans le pays, selon la chaîne CNN. Un répit était attendu lundi à la faveur d'un front froid attendu du Canada qui devrait faire tomber la température de près de dix degrés.

Les prévisionnistes mettent toutefois en garde contre le risque de violents orages, une semaine après un épisode très violent qui a coûté la vie à une dizaine de personnes et laissé des millions de personnes sans électricité, et donc sans ventilateur ou climatisation.


Huit jours après la tempête du 29 juin, 416.192 résidents de Virginie-Occidentale, Virginie, Ohio, New Jersey, Maryland et Indiana restaient sans électricité, selon le ministère de l'Energie américain.



Source © Afp

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