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mardi 11 mars 2014
13:28
Le cyclone tropical Lusi a fait un mort, dans le village d'Adaptabanga, dans la province de Penama, au nord de Pentecost au Vanuatu.
Le cyclone, qui est passé en catégorie 2, n'est pas extrêmement violent, mais les vents atteignent quand même 130 km/h et ils ont fait des dégâts, détruisant des cultures, des cocotiers, des bananeraies, des champs de manioc.
Lusi fait route vers l'ouest de Fidji et pourrait passer en catégorie 3 d'ici mercredi après-midi.
Source : Tahiti Info
Le cyclone, qui est passé en catégorie 2, n'est pas extrêmement violent, mais les vents atteignent quand même 130 km/h et ils ont fait des dégâts, détruisant des cultures, des cocotiers, des bananeraies, des champs de manioc.
Lusi fait route vers l'ouest de Fidji et pourrait passer en catégorie 3 d'ici mercredi après-midi.
Source : Tahiti Info
mercredi 5 février 2014
09:09
Deux personnes se sont noyées et deux autres sont portées disparues en Nouvelle-Calédonie, où des dépressions tropicales provoquent des pluies diluviennes. Plusieurs communes du nord de l'archipel ont été placées mercredi en alerte cyclonique orange.
Mercredi matin, le gouvernement local a placé une vingtaine de communes de la Nouvelle-Calédonie en alerte cyclonique orange en raison de la dépression tropicale Edna qui menace le Nord de l'archipel. Le reste du territoire est en pré-alerte cyclonique.
Cette dépression modérée intervient après deux jours de pluies diluviennes provoquées par une autre dépression et qui ont fait deux morts, un jeune homme retrouvé dans une rivière à Koné et un enfant de six ans à Bourail, à 165 km au nord de Nouméa, où plus de 200 mm de pluie sont tombés. Deux personnes sont également portées disparues au Mont-Dore, à la périphérie de Nouméa.
Plusieurs routes sont impraticables en raison des inondations ou des éboulements. La direction de la sécurité civile et de la gestion des risques de la Nouvelle-Calédonie "recommande la plus grande prudence à la population. Elle l'invite à éviter tout déplacement inutile et à se tenir informée de l'évolution de la situation".
Mercredi matin, le gouvernement local a placé une vingtaine de communes de la Nouvelle-Calédonie en alerte cyclonique orange en raison de la dépression tropicale Edna qui menace le Nord de l'archipel. Le reste du territoire est en pré-alerte cyclonique.
Cette dépression modérée intervient après deux jours de pluies diluviennes provoquées par une autre dépression et qui ont fait deux morts, un jeune homme retrouvé dans une rivière à Koné et un enfant de six ans à Bourail, à 165 km au nord de Nouméa, où plus de 200 mm de pluie sont tombés. Deux personnes sont également portées disparues au Mont-Dore, à la périphérie de Nouméa.
Plusieurs routes sont impraticables en raison des inondations ou des éboulements. La direction de la sécurité civile et de la gestion des risques de la Nouvelle-Calédonie "recommande la plus grande prudence à la population. Elle l'invite à éviter tout déplacement inutile et à se tenir informée de l'évolution de la situation".
mercredi 22 janvier 2014
11:42
La pollution atmosphérique croissante en Chine et dans d'autres économies émergentes d'Asie contribuerait à renforcer les cyclones hivernaux dans le Pacifique du Nord-ouest, rapporte une étude publiée mardi dans la revue Nature Communications.
Depuis le milieu des années 90 et le décollage de l'économie chinoise, les cyclones d'hiver au niveau des moyennes latitudes (nord-est de la Chine, Japon et Corée du Sud) s'accompagnent de vents plus forts et de pluies plus importantes, disent les chercheurs.
À partir de modélisations, l'étude établit un lien entre ces cyclones plus puissants et la pollution croissante dans la région due aux particules fines liées aux activités humaines.
Les particules atmosphériques modifient la distribution de chaleur dans l'air et la formation des nuages ainsi que certaines de leurs propriétés physiques, explique à l'AFP Yuan Wang, chercheur au Jet Propulsion Laboratory, à l'Institut de technologie de Californie.
Selon les simulations, l'intensité des cyclones de moyennes latitudes s'en trouve significativement renforcée. «Nous n'avons pas trouvé de modifications évidentes dans la fréquence ou la localisation des tempêtes», a toutefois précisé le chercheur.
Ces conclusions signifient que la lutte contre la pollution de l'air en Chine a donc des implications sur le climat global, et «pas seulement pour la santé au niveau régional», souligne l'étude.
La pollution atmosphérique est devenue l'un des principaux sujets de mécontentement des Chinois, lassés de suffoquer et préoccupés par l'explosion des cancers du poumon dans les zones urbaines.
Les niveaux de pollution de l'air des principales villes chinoises ont atteint des records ces dernières années, en raison essentiellement des émissions des centrales à charbon. Les niveaux de particules fines ont ainsi dépassé de 27 fois, lors d'un nouveau pic survenu en janvier à Pékin, les seuils fixés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Les autorités chinoises ont annoncé en septembre leur intention de réduire d'un quart au maximum les niveaux de pollution atmosphérique à Pékin et dans les principales villes du pays d'ici 2017.
Source © AFP
Depuis le milieu des années 90 et le décollage de l'économie chinoise, les cyclones d'hiver au niveau des moyennes latitudes (nord-est de la Chine, Japon et Corée du Sud) s'accompagnent de vents plus forts et de pluies plus importantes, disent les chercheurs.
À partir de modélisations, l'étude établit un lien entre ces cyclones plus puissants et la pollution croissante dans la région due aux particules fines liées aux activités humaines.
Les particules atmosphériques modifient la distribution de chaleur dans l'air et la formation des nuages ainsi que certaines de leurs propriétés physiques, explique à l'AFP Yuan Wang, chercheur au Jet Propulsion Laboratory, à l'Institut de technologie de Californie.
Selon les simulations, l'intensité des cyclones de moyennes latitudes s'en trouve significativement renforcée. «Nous n'avons pas trouvé de modifications évidentes dans la fréquence ou la localisation des tempêtes», a toutefois précisé le chercheur.
Ces conclusions signifient que la lutte contre la pollution de l'air en Chine a donc des implications sur le climat global, et «pas seulement pour la santé au niveau régional», souligne l'étude.
La pollution atmosphérique est devenue l'un des principaux sujets de mécontentement des Chinois, lassés de suffoquer et préoccupés par l'explosion des cancers du poumon dans les zones urbaines.
Les niveaux de pollution de l'air des principales villes chinoises ont atteint des records ces dernières années, en raison essentiellement des émissions des centrales à charbon. Les niveaux de particules fines ont ainsi dépassé de 27 fois, lors d'un nouveau pic survenu en janvier à Pékin, les seuils fixés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Les autorités chinoises ont annoncé en septembre leur intention de réduire d'un quart au maximum les niveaux de pollution atmosphérique à Pékin et dans les principales villes du pays d'ici 2017.
Source © AFP
vendredi 10 janvier 2014
14:54
Les services d’urgence et de gestion des catastrophes naturelles du royaume de Tonga étaient vendredi en alerte maximale à l’approche du cyclone « Ian », phénomène qui a significativement gagné en puissance au cours des 24 dernières heures et qui devrait frapper les îles du Nord de cet archipel polynésien dans la soirée de vendredi (heure locale, GMT+12).
Ian, qui s’est formé en début de semaine au Nord-est des îles Fidji voisines, a depuis dans un premier temps fait mine de s’éloigner de Tonga, mais a ensuite incurvé sa trajectoire pour reprendre un cap Est-sud-est, avec, en son centre, des vents moyens de l’ordre de 170 kilomètres heure, avec des rafales destructrices à 200, selon les dernières prévisions disponibles.
Cette puissance, qui le place déjà dans une catégorie 4, pourrait encore augmenter au cours des douze heures à venir pour atteindre les 195 kilomètres heure en vents constants, avec des rafales à 240, selon le centre d’alerte cyclonique de la marine américaine, basé à Pearl Harbour (Hawaii).
En fonction de sa trajectoire actuelle, Ian, désormais qualifié de « sévère », pourrait toucher en premier lieu les îles du Nord de Tonga, notamment l’île de Vava’u, l’un des principaux centres touristiques du pays, mais aussi l’île principale de Tongatapu. Il arriverait par le flanc Ouest de l’archipel, pour ensuite traverser latéralement et poursuivre sa route le long des côtes orientales.
Il s’agit du premier cyclone tropical de la saison (novembre 2013- mai 2014 pour les îles du Pacifique Sud.
Ian se déplace à une vitesse faible (environ 7 kilomètres heure) et devrait ainsi s’attarder au-dessus de Tonga jusqu’à dimanche, estiment les prévisionnistes.
Après cela, Ian devrait progressivement plonger en direction Sud-sud-est et perdre en puissance au cours de sa phase de transition extratropicale.
À Tonga, les services d’urgence ont transmis des messages de vigilance à la population, rappelant les consignes en pareilles circonstances, à savoir, en premier lieu, sécuriser les maisons et tout objet pouvant être emporté, avec en corollaire la consigne pour les habitants de rester chez eux, après avoir stocké matériel et provisions de première nécessité, tout en restant à l’écoute des messages radio des autorités.
Ian, qui s’est formé en début de semaine au Nord-est des îles Fidji voisines, a depuis dans un premier temps fait mine de s’éloigner de Tonga, mais a ensuite incurvé sa trajectoire pour reprendre un cap Est-sud-est, avec, en son centre, des vents moyens de l’ordre de 170 kilomètres heure, avec des rafales destructrices à 200, selon les dernières prévisions disponibles.
Cette puissance, qui le place déjà dans une catégorie 4, pourrait encore augmenter au cours des douze heures à venir pour atteindre les 195 kilomètres heure en vents constants, avec des rafales à 240, selon le centre d’alerte cyclonique de la marine américaine, basé à Pearl Harbour (Hawaii).
En fonction de sa trajectoire actuelle, Ian, désormais qualifié de « sévère », pourrait toucher en premier lieu les îles du Nord de Tonga, notamment l’île de Vava’u, l’un des principaux centres touristiques du pays, mais aussi l’île principale de Tongatapu. Il arriverait par le flanc Ouest de l’archipel, pour ensuite traverser latéralement et poursuivre sa route le long des côtes orientales.
Il s’agit du premier cyclone tropical de la saison (novembre 2013- mai 2014 pour les îles du Pacifique Sud.
Ian se déplace à une vitesse faible (environ 7 kilomètres heure) et devrait ainsi s’attarder au-dessus de Tonga jusqu’à dimanche, estiment les prévisionnistes.
Après cela, Ian devrait progressivement plonger en direction Sud-sud-est et perdre en puissance au cours de sa phase de transition extratropicale.
À Tonga, les services d’urgence ont transmis des messages de vigilance à la population, rappelant les consignes en pareilles circonstances, à savoir, en premier lieu, sécuriser les maisons et tout objet pouvant être emporté, avec en corollaire la consigne pour les habitants de rester chez eux, après avoir stocké matériel et provisions de première nécessité, tout en restant à l’écoute des messages radio des autorités.
lundi 6 janvier 2014
12:29
Le passage du cyclone Bejisa a causé de nombreux dégâts à La Réunion
Arrivé le matin pour constater les dégâts causés par le passage du cyclone Bejisa, le ministre des outre-mer, Victorin Lurel, a déclaré samedi 4 janvier à La Réunion que les conditions étaient « manifestement » remplies pour la déclaration de l'état de catastrophe naturelle, après le passage du cyclone sur l'île.
« On fera aussi bien que pour la Bretagne. Il y aura une égalité de traitement », a promis le ministre arrivé le matin même à Saint-Denis, appelant les mairies des communes touchées à « faire diligence » pour transmettre leurs demandes à la préfecture.
Le passage du cyclone à Saint-Gilles (La Réunion)
Dressant un bilan provisoire du cyclone, le préfet de l'île, Jean-Luc Marx, a indiqué qu'une personne âgée avait été retrouvée morte à l'extérieur de son domicile durant la nuit, sur la commune de Saint-Leu, sur la côte ouest. La personne décédée est une octogénaire qui vivait seule et qui a glissé et fait une chute dans son jardin après être sortie de son domicile, pendant l'alerte rouge. Elle a été victime d'un traumatisme crânien qui lui a été fatal, selon les premières constatations.
Le bilan humain du cyclone s'élevait donc vendredi matin à "une personne décédée, 2 blessés graves et 14 blessés légers", selon le préfet. Ce dernier n'a pas confirmé, pas plus que la mairie, l'information de médias concernant une deuxième mort qui serait survenue sur les hauteurs de Saint-Leu.
Le préfet a par ailleurs demandé aux Réunionnais de ne circuler qu'en "cas d'impérieuse nécessité", précisant que la vitesse des véhicules serait limitée à 50 km/h, en raison de la "liste impressionnante" des routes coupées ou encombrées de troncs d'arbre déracinés et de débris.
Des renforts d'une centaine de militaires des formations de la Sécurité civile (Formisc), sont mis à la disposition du préfet de la Réunion par le ministre de l'Intérieur
Arrivé le matin pour constater les dégâts causés par le passage du cyclone Bejisa, le ministre des outre-mer, Victorin Lurel, a déclaré samedi 4 janvier à La Réunion que les conditions étaient « manifestement » remplies pour la déclaration de l'état de catastrophe naturelle, après le passage du cyclone sur l'île.
« On fera aussi bien que pour la Bretagne. Il y aura une égalité de traitement », a promis le ministre arrivé le matin même à Saint-Denis, appelant les mairies des communes touchées à « faire diligence » pour transmettre leurs demandes à la préfecture.
Le passage du cyclone à Saint-Gilles (La Réunion)
Dressant un bilan provisoire du cyclone, le préfet de l'île, Jean-Luc Marx, a indiqué qu'une personne âgée avait été retrouvée morte à l'extérieur de son domicile durant la nuit, sur la commune de Saint-Leu, sur la côte ouest. La personne décédée est une octogénaire qui vivait seule et qui a glissé et fait une chute dans son jardin après être sortie de son domicile, pendant l'alerte rouge. Elle a été victime d'un traumatisme crânien qui lui a été fatal, selon les premières constatations.
Le bilan humain du cyclone s'élevait donc vendredi matin à "une personne décédée, 2 blessés graves et 14 blessés légers", selon le préfet. Ce dernier n'a pas confirmé, pas plus que la mairie, l'information de médias concernant une deuxième mort qui serait survenue sur les hauteurs de Saint-Leu.
Le préfet a par ailleurs demandé aux Réunionnais de ne circuler qu'en "cas d'impérieuse nécessité", précisant que la vitesse des véhicules serait limitée à 50 km/h, en raison de la "liste impressionnante" des routes coupées ou encombrées de troncs d'arbre déracinés et de débris.
Des renforts d'une centaine de militaires des formations de la Sécurité civile (Formisc), sont mis à la disposition du préfet de la Réunion par le ministre de l'Intérieur
lundi 9 décembre 2013
18:40
MADI est un cyclone tropical avec des vents de 120 km/h et des rafales pouvant atteindre les 148 km/h. La pression en son centre est estimée de 974 hPa. Le cyclone se situe à 480 km à l'est de Chenai, Inde, tout en ayant suivi une trajectoire au nord nord-est à la vitesse de 10 km/h ces dernières 6h
MADI devrait encore s'intensifier tout en suivant une trajectoire au nord durant les prochaines 24h avant de faire quasiment demi tour et prendre un cap Sud-Ouest vers les côtes Sud-Est de l'Inde qu'il atteindra d'ici 3 jours. A cette échéance, le système devrait s'être affaibli en tempête tropicale. Néanmoins Madi pourrait apporter de très fortes pluies suceptibles de causer des inondations.
MADI devrait encore s'intensifier tout en suivant une trajectoire au nord durant les prochaines 24h avant de faire quasiment demi tour et prendre un cap Sud-Ouest vers les côtes Sud-Est de l'Inde qu'il atteindra d'ici 3 jours. A cette échéance, le système devrait s'être affaibli en tempête tropicale. Néanmoins Madi pourrait apporter de très fortes pluies suceptibles de causer des inondations.
jeudi 28 novembre 2013
13:49
Le cyclone Lehar a vu le jour Dimanche en plein océan Indien, et a circulé en début de semaine à proximité des îles Andaman. L'archipel a été touché par de violents orages et quelques inondations y ont même été rapportées.
Baptisé Lehar par les services météo indiens (ce qui signifie vague), il est devenu un cyclone de catégorie 1, avec des rafales de 150 km/h et une houle associée de 3 à 4 m.
L'est de l'Inde frappé ce jeudi
Il va maintenir son intensité jusqu'à son arrivée sur le littoral indien ce jeudi midi.
Comme lors de la tempête tropicale Helen, le point d'impact se situera dans le centre-est du pays avec des vents de l'ordre de 150 km/h. La houle cyclonique, voisine de 3 m, pourrait provoquer un phénomène de surcote dommageable. Quant aux cumuls de pluie, ils atteindront les 100 à 200 mm.
Une alerte a été émise dans les districts de l'Est et de l'Ouest de Godavari , de Guntur et de Krishna , ont indiqué des responsables locaux , elle invite les personnes à rester chez eux.
27 000 personnes ont été évacuées d'urgence à l'Est de Godavari, a annoncé C Parthasarathy , commissaire du département de gestion des catastrophes de l'Etat.
Le bureau météorologique de l'état annonce que le cyclone est «très sévére».
© Nature Alerte
Baptisé Lehar par les services météo indiens (ce qui signifie vague), il est devenu un cyclone de catégorie 1, avec des rafales de 150 km/h et une houle associée de 3 à 4 m.
L'est de l'Inde frappé ce jeudi
Il va maintenir son intensité jusqu'à son arrivée sur le littoral indien ce jeudi midi.
Comme lors de la tempête tropicale Helen, le point d'impact se situera dans le centre-est du pays avec des vents de l'ordre de 150 km/h. La houle cyclonique, voisine de 3 m, pourrait provoquer un phénomène de surcote dommageable. Quant aux cumuls de pluie, ils atteindront les 100 à 200 mm.
Une alerte a été émise dans les districts de l'Est et de l'Ouest de Godavari , de Guntur et de Krishna , ont indiqué des responsables locaux , elle invite les personnes à rester chez eux.
27 000 personnes ont été évacuées d'urgence à l'Est de Godavari, a annoncé C Parthasarathy , commissaire du département de gestion des catastrophes de l'Etat.
Le bureau météorologique de l'état annonce que le cyclone est «très sévére».
© Nature Alerte
lundi 4 novembre 2013
17:11
La tempête tropicale Sonia qui s’est formée dans l'océan Pacifique menace de nombreuses zones côtières dans le nord du Mexique.
Ce cyclone orageux, accompagné de rafales de vent jusqu'à 65 km/h, se situe sur l'île volcanique de Socorro à 455 kilomètres au sud de l'État mexicain de Baja California.
La Sonia se déplace à une vitesse de 11 km/h vers le nord. Les autorités mexicaines ont publié un avertissement sur les risques potentiels du cyclone pour les habitants vivant dans la zone côtière. Selon les météorologues, la tempête Sonia pourrait frapper la côte mexicaine dans 24 heures.
Il faut à nouveau redouter des inondations, et des risques de glissements de terrain.
Ce cyclone orageux, accompagné de rafales de vent jusqu'à 65 km/h, se situe sur l'île volcanique de Socorro à 455 kilomètres au sud de l'État mexicain de Baja California.
La Sonia se déplace à une vitesse de 11 km/h vers le nord. Les autorités mexicaines ont publié un avertissement sur les risques potentiels du cyclone pour les habitants vivant dans la zone côtière. Selon les météorologues, la tempête Sonia pourrait frapper la côte mexicaine dans 24 heures.
Il faut à nouveau redouter des inondations, et des risques de glissements de terrain.
vendredi 11 octobre 2013
12:54
Un puissant cyclone menace la côte nord-est de l'Inde où des dizaines de milliers d'habitants sont en cours d'évacuation, ont rapporté vendredi les autorités, qui prévoient qu'il abordera les terres samedi soir.
Phailin est actuellement situé dans le golfe du Bengale, à 600 km au large, et devrait toucher terre samedi soir entre Kalingapatnam, dans l'Etat d'Andhra Pradesh, et Paradip, dans l'Etat d'Odisha, avec des vents pouvant atteindre 220 km/h.
Le cyclone, qualifié de "très violent" par le service météorologique national indien, occupe une surface équivalente à la moitié de l'Inde.
Des prévisionnistes comparent sa taille et son intensité à l'ouragan Katrina qui avait dévasté La Nouvelle-Orléans en 2005. Des rafales pourraient culminer à 305 km/h, selon le centre d'alerte aux typhons de l'US Navy.
"Nous prévoyons d'évacuer 100.000 familles dans le district de Ganjam d'ici demain matin", a déclaré le coordinateur des secours d'urgence pour l'Etat d'Odisha, Pradeep Kumar Mohapatra.
Les habitants des zones situées sous le niveau de la mer ont été invités à rejoindre les abris anti-cyclone ou les constructions élevées. Les premières rafales ont été ressenties vendredi sur la côte et des témoins ont évoqué des vagues de 3,5 mètres de haut.
Dans le grand port de Paradip, les opérations de fret ont été suspendues. Le mouillage est également interdit.
La côte est de l'Inde a été frappée en 1999 par un "super cyclone" qui a fait 10.000 morts. L'Etat d'Odisha avait été balayé pendant trente heures par la tempête, avec des rafales atteignant 300 km/h.
Les autorités indiennes évitent toutefois les comparaisons et la plupart des prévisionnistes s'attendent à voir le cyclone faiblir en approchant des côtes.
Source © Frank Jack Daniel; Eric Faye / Reuters
Mise à jour du samedi 12 Octobre 2013 (11 h 00)
440 000 personnes évacuées
Une alerte rouge a été émise à l’approche du cyclone Phailin qui menace de ravager les côtes orientales du pays.
Les services météorologiques indiens ont émis une alerte rouge samedi à l’approche du cyclone Phailin qui menace de ravager les côtes orientales du pays et a contraint à l’évacuation de centaines de milliers de personnes. Le cyclone est accompagné de vents pouvant souffler jusqu’à 240 km/h et pourrait être le plus fort à balayer cette région de l’Inde en 14 ans, avec une montée des eaux de trois mètres.
Quelque 440 000 personnes habitant les zones côtières des deux Etats ont été évacuées samedi en milieu de journée, a annoncé un responsable de l’agence nationale de gestion des catastrophes, Marri Shashidhar Reddy. Ces personnes quittaient leur logement avec leurs biens dans un flot continu jusqu’aux abris d’urgence.
Il s’agit pour l’Inde d’un des plus importants mouvements de population jamais organisé, selon le responsable de l’agence des catastrophes.
«Le gouvernement a donné l’ordre d’évacuer de force les gens qui résisteraient», a prévenu de son côté le responsable de l’aide pour l’Orissa. Quelque 300 équipes de médecins de l’armée, d’ingénieurs, de sauveteurs ont été déployées dans les zones les plus à risque, a-t-il ajouté. La Croix-Rouge indienne a également positionné ses équipes de secours et les hélicoptères et avions de l’armée sont en alerte.
Jusqu'à 315 km/h
Le centre américain de surveillance des typhons, géré par la Marine, a prévenu que les pointes de vente pourraient atteindre 315 km/h tandis qu’il a été classé dans la catégorie des cyclones les plus dangereux par le Tropical Storm Risk britannique.
Le gouvernement de l’Orissa, peuplé de 40 millions de personnes, a fixé un objectif de «zéro victime» et de 100% d’évacuation des populations des zones les plus à risque. Les photos satellite montraient une masse nuageuse inquiétante traversant le golfe de Bengale.
Phailin est actuellement situé dans le golfe du Bengale, à 600 km au large, et devrait toucher terre samedi soir entre Kalingapatnam, dans l'Etat d'Andhra Pradesh, et Paradip, dans l'Etat d'Odisha, avec des vents pouvant atteindre 220 km/h.
Le cyclone, qualifié de "très violent" par le service météorologique national indien, occupe une surface équivalente à la moitié de l'Inde.
Des prévisionnistes comparent sa taille et son intensité à l'ouragan Katrina qui avait dévasté La Nouvelle-Orléans en 2005. Des rafales pourraient culminer à 305 km/h, selon le centre d'alerte aux typhons de l'US Navy.
"Nous prévoyons d'évacuer 100.000 familles dans le district de Ganjam d'ici demain matin", a déclaré le coordinateur des secours d'urgence pour l'Etat d'Odisha, Pradeep Kumar Mohapatra.
Les habitants des zones situées sous le niveau de la mer ont été invités à rejoindre les abris anti-cyclone ou les constructions élevées. Les premières rafales ont été ressenties vendredi sur la côte et des témoins ont évoqué des vagues de 3,5 mètres de haut.
Dans le grand port de Paradip, les opérations de fret ont été suspendues. Le mouillage est également interdit.
La côte est de l'Inde a été frappée en 1999 par un "super cyclone" qui a fait 10.000 morts. L'Etat d'Odisha avait été balayé pendant trente heures par la tempête, avec des rafales atteignant 300 km/h.
Les autorités indiennes évitent toutefois les comparaisons et la plupart des prévisionnistes s'attendent à voir le cyclone faiblir en approchant des côtes.
Source © Frank Jack Daniel; Eric Faye / Reuters
Mise à jour du samedi 12 Octobre 2013 (11 h 00)
440 000 personnes évacuées
Une alerte rouge a été émise à l’approche du cyclone Phailin qui menace de ravager les côtes orientales du pays.
Les services météorologiques indiens ont émis une alerte rouge samedi à l’approche du cyclone Phailin qui menace de ravager les côtes orientales du pays et a contraint à l’évacuation de centaines de milliers de personnes. Le cyclone est accompagné de vents pouvant souffler jusqu’à 240 km/h et pourrait être le plus fort à balayer cette région de l’Inde en 14 ans, avec une montée des eaux de trois mètres.
Quelque 440 000 personnes habitant les zones côtières des deux Etats ont été évacuées samedi en milieu de journée, a annoncé un responsable de l’agence nationale de gestion des catastrophes, Marri Shashidhar Reddy. Ces personnes quittaient leur logement avec leurs biens dans un flot continu jusqu’aux abris d’urgence.
Il s’agit pour l’Inde d’un des plus importants mouvements de population jamais organisé, selon le responsable de l’agence des catastrophes.
«Le gouvernement a donné l’ordre d’évacuer de force les gens qui résisteraient», a prévenu de son côté le responsable de l’aide pour l’Orissa. Quelque 300 équipes de médecins de l’armée, d’ingénieurs, de sauveteurs ont été déployées dans les zones les plus à risque, a-t-il ajouté. La Croix-Rouge indienne a également positionné ses équipes de secours et les hélicoptères et avions de l’armée sont en alerte.
Jusqu'à 315 km/h
Le centre américain de surveillance des typhons, géré par la Marine, a prévenu que les pointes de vente pourraient atteindre 315 km/h tandis qu’il a été classé dans la catégorie des cyclones les plus dangereux par le Tropical Storm Risk britannique.
Le gouvernement de l’Orissa, peuplé de 40 millions de personnes, a fixé un objectif de «zéro victime» et de 100% d’évacuation des populations des zones les plus à risque. Les photos satellite montraient une masse nuageuse inquiétante traversant le golfe de Bengale.
jeudi 16 mai 2013
10:57
Le cyclone Mahasen a touché jeudi matin les côtes du Bangladesh après l'évacuation de 8000 000 personnes, tandis que les efforts se poursuivaient en Birmanie voisine, dans une région marquée par les violences communautaires meurtrières de l'an passé.
"Le cyclone Mahasen a commencé à traverser la côte Patuakhali vers 09H00 du matin heure locale (03H00 GMT), a déclaré Shamsuddun Ahmed, vice-directeur du département météorologique du Bangladesh.
"Ce n'est pas un cyclone très violent. Il n'a pas gagné en force lors de la dernière partie de son voyage avant de toucher la côte", a-t-il ajouté, précisant que l'épicentre se trouvait dans le Golfe du Bengale et toucherait la côte de Chittagong, deuxième ville du pays, dans l'après-midi.
Un homme s'est noyé dans un district côtier, selon les autorités.
Dacca avait auparavant annoncé avoir évacué plus de 800.000 personnes dans 2.000 abris anti-cycloniques. Les trois-quarts d'entre eux concernent la région de Chittagong, la plus exposée, selon l'administrateur provincial Mohammad Abdullah.
"Nous avons suffisamment de nourriture, de médicaments et de matériel dans ces abris", a-t-il assuré.
Mohammad Mehrajuddin, un responsable local de l'île de Nijhum Dwip (sud), a cependant indiqué que de nombreux villageois avaient refusé de partir pour ne pas risquer de se faire voler leur bétail.
Selon les Nations unies, plus de huit millions de personnes pourraient être affectées par les intempéries dans la région frontalière.
Les autorités birmanes ont elles aussi tenté de se préparer ces derniers jours. Elles ont prévu de reloger de façon temporaire plus de 166.000 personnes en Etat Rakhine (ouest), en majorité des musulmans de la minorité apatride des Rohingyas, selon des chiffres annoncés par le ministre à la présidence, Aung Min.
Mais la situation est très tendue dans la région après des affrontements entre bouddhistes de l'ethnie rakhine et rohingyas qui avaient fait environ 200 morts en 2012. L'Eta rakhine compte actuellement quelque 140.000 déplacés, entassés dans des camps dans des conditions déplorables.
Les évacuations se sont donc heurtées à une grande résistance, dans un climat de défiance vis-à-vis des forces de l'ordre, selon une équipe de l'AFP sur place.
"Ma famille est maintenant dans un village", a expliqué Than Win, 38 ans, un déplacé du camp de Ohndaw, situé près de la capitale rakhine, Sittwe.
"Certains déplacés ne font pas confiance aux autorités (...) Ils s'inquiètent d'être transférés dans un autre lieu et de ne jamais pouvoir revenir", a-t-il ajouté, précisant que des hommes étaient restés derrière femmes et enfants pour garder leurs affaires. "Ce qui m'inquiète maintenant c'est la nourriture".
Le quotidien d'Etat New Light of Myanmar a affirmé que 70.000 personnes avaient été évacuées. "L'Etat prend soin des victimes sur une base humanitaire, sans discrimination raciale ni religieuse", a assuré le journal, anticipant les critiques alors que des organisations étrangères ont accusé le pouvoir de complicité dans les violences de l'an passé.
Les agences humanitaires craignaient de leur côté pour la capacité de populations déjà très démunies à faire face aux intempéries.
"La faible qualité des logements fait que les populations sont mal protégées", a estimé Jeff Wright, directeur des opérations d'urgence à World Vision. "Souvent, les maisons sont détruites ou sévèrement endommagées dans des tempêtes comme celles-là, et les moyens de subsistance sont entamés".
Les deux pays savent parfaitement ce que peut représenter la violence d'un cyclone. En novembre 2007, Sidr avait fait 3.300 morts, 800 disparus et 8,7 millions de sinistrés au Bangladesh. Nargis, qui s'était abattu en 2008 sur le delta birman de l'Irrawaddy, avait fait 138.000 morts et disparus.
Source AFP
"Le cyclone Mahasen a commencé à traverser la côte Patuakhali vers 09H00 du matin heure locale (03H00 GMT), a déclaré Shamsuddun Ahmed, vice-directeur du département météorologique du Bangladesh.
"Ce n'est pas un cyclone très violent. Il n'a pas gagné en force lors de la dernière partie de son voyage avant de toucher la côte", a-t-il ajouté, précisant que l'épicentre se trouvait dans le Golfe du Bengale et toucherait la côte de Chittagong, deuxième ville du pays, dans l'après-midi.
Un homme s'est noyé dans un district côtier, selon les autorités.
Dacca avait auparavant annoncé avoir évacué plus de 800.000 personnes dans 2.000 abris anti-cycloniques. Les trois-quarts d'entre eux concernent la région de Chittagong, la plus exposée, selon l'administrateur provincial Mohammad Abdullah.
"Nous avons suffisamment de nourriture, de médicaments et de matériel dans ces abris", a-t-il assuré.
Mohammad Mehrajuddin, un responsable local de l'île de Nijhum Dwip (sud), a cependant indiqué que de nombreux villageois avaient refusé de partir pour ne pas risquer de se faire voler leur bétail.
Selon les Nations unies, plus de huit millions de personnes pourraient être affectées par les intempéries dans la région frontalière.
Les autorités birmanes ont elles aussi tenté de se préparer ces derniers jours. Elles ont prévu de reloger de façon temporaire plus de 166.000 personnes en Etat Rakhine (ouest), en majorité des musulmans de la minorité apatride des Rohingyas, selon des chiffres annoncés par le ministre à la présidence, Aung Min.
Mais la situation est très tendue dans la région après des affrontements entre bouddhistes de l'ethnie rakhine et rohingyas qui avaient fait environ 200 morts en 2012. L'Eta rakhine compte actuellement quelque 140.000 déplacés, entassés dans des camps dans des conditions déplorables.
Les évacuations se sont donc heurtées à une grande résistance, dans un climat de défiance vis-à-vis des forces de l'ordre, selon une équipe de l'AFP sur place.
"Ma famille est maintenant dans un village", a expliqué Than Win, 38 ans, un déplacé du camp de Ohndaw, situé près de la capitale rakhine, Sittwe.
"Certains déplacés ne font pas confiance aux autorités (...) Ils s'inquiètent d'être transférés dans un autre lieu et de ne jamais pouvoir revenir", a-t-il ajouté, précisant que des hommes étaient restés derrière femmes et enfants pour garder leurs affaires. "Ce qui m'inquiète maintenant c'est la nourriture".
Le quotidien d'Etat New Light of Myanmar a affirmé que 70.000 personnes avaient été évacuées. "L'Etat prend soin des victimes sur une base humanitaire, sans discrimination raciale ni religieuse", a assuré le journal, anticipant les critiques alors que des organisations étrangères ont accusé le pouvoir de complicité dans les violences de l'an passé.
Les agences humanitaires craignaient de leur côté pour la capacité de populations déjà très démunies à faire face aux intempéries.
"La faible qualité des logements fait que les populations sont mal protégées", a estimé Jeff Wright, directeur des opérations d'urgence à World Vision. "Souvent, les maisons sont détruites ou sévèrement endommagées dans des tempêtes comme celles-là, et les moyens de subsistance sont entamés".
Les deux pays savent parfaitement ce que peut représenter la violence d'un cyclone. En novembre 2007, Sidr avait fait 3.300 morts, 800 disparus et 8,7 millions de sinistrés au Bangladesh. Nargis, qui s'était abattu en 2008 sur le delta birman de l'Irrawaddy, avait fait 138.000 morts et disparus.
Source AFP
lundi 13 mai 2013
19:59
Ce lundi, les autorités du pays ont annoncé qu'un autre cyclone menaçait les côtes probablement à partir de jeudi.
Ce lundi, les autorités ont mis en garde des millions d’habitants vivant le long des côtes contre son arrivée qui pourrait les frapper au cours des prochains jours.
En 2009, le Bangladesh avait déjà énormément souffert du passage d’un cyclone faisant au moins 300 morts et plus de 400 000 sinistrés. Pis, en 2007, un cyclone avait fait 3 300 morts, 800 disparus, 8,7 millions de sinistrés et 1,5 milliard de dollars de dégâts.
Cette fois, la tempête s’appelle «Mahasen» et risque encore de faire de nombreux dégâts. Pour l’instant, le cyclone se trouve dans le golfe du Bengale, à 1 355 km au sud-ouest de Chittagong, la deuxième plus grande ville du Bangladesh, et pourrait atteindre jeudi les côtes du sud-est.
A ce stade, «Mahasen est toujours une tempête cyclonique. Elle ne s’est pas encore suffisamment renforcée pour se transformer en puissant cyclone mais elle devrait s’intensifier», a expliqué le chef adjoint du département météorologique, Shamsuddin Ahmed.
Evacuation de 30 millions de personnes ?
Le gouvernement s’est préparé à l’arrivée du cyclone mais il devrait attendre d’avoir la certitude absolue qu’il se dirige vers les côtes avant de diffuser un ordre d’évacuation aux habitants.
«Nous avons alerté la population vivant en zone côtière mais nous ne l’avons pas évacuée parce que nous ne savons toujours pas où le cyclone va frapper. Mais nous sommes pleinement préparés à affronter la situation», a précisé l’administrateur de la province de Chittagong, Muhammad Abdhullah.
Ils sont environ 30 millions à vivre le long des côtes, sur une population de 153 millions de Bangladais.
Source: Le Parisien
Ce lundi, les autorités ont mis en garde des millions d’habitants vivant le long des côtes contre son arrivée qui pourrait les frapper au cours des prochains jours.
En 2009, le Bangladesh avait déjà énormément souffert du passage d’un cyclone faisant au moins 300 morts et plus de 400 000 sinistrés. Pis, en 2007, un cyclone avait fait 3 300 morts, 800 disparus, 8,7 millions de sinistrés et 1,5 milliard de dollars de dégâts.
Cette fois, la tempête s’appelle «Mahasen» et risque encore de faire de nombreux dégâts. Pour l’instant, le cyclone se trouve dans le golfe du Bengale, à 1 355 km au sud-ouest de Chittagong, la deuxième plus grande ville du Bangladesh, et pourrait atteindre jeudi les côtes du sud-est.
A ce stade, «Mahasen est toujours une tempête cyclonique. Elle ne s’est pas encore suffisamment renforcée pour se transformer en puissant cyclone mais elle devrait s’intensifier», a expliqué le chef adjoint du département météorologique, Shamsuddin Ahmed.
Evacuation de 30 millions de personnes ?
Le gouvernement s’est préparé à l’arrivée du cyclone mais il devrait attendre d’avoir la certitude absolue qu’il se dirige vers les côtes avant de diffuser un ordre d’évacuation aux habitants.
«Nous avons alerté la population vivant en zone côtière mais nous ne l’avons pas évacuée parce que nous ne savons toujours pas où le cyclone va frapper. Mais nous sommes pleinement préparés à affronter la situation», a précisé l’administrateur de la province de Chittagong, Muhammad Abdhullah.
Ils sont environ 30 millions à vivre le long des côtes, sur une population de 153 millions de Bangladais.
Source: Le Parisien
jeudi 14 mars 2013
17:11
La tempête tropicale Tim a pris naissance au large des côtes du Nord-Est de l'Australie. Sa trajectoire n'est pas menaçante dans les 48 prochaines heures, puisqu'elle restera essentiellement maritime. A plus longue échéance en revanche, ce devrait devenir un cyclone de catégorie 1 à 2.
Les conditions seront alors favorables à une incurvation vers le sud-ouest de sa trajectoire, en direction de la côte nord-est de l'Australie. Le point d'impact potentiel se situerait dans la région de Mackay, mais de nombreuses incertitudes sont encore présentes.
Les conditions seront alors favorables à une incurvation vers le sud-ouest de sa trajectoire, en direction de la côte nord-est de l'Australie. Le point d'impact potentiel se situerait dans la région de Mackay, mais de nombreuses incertitudes sont encore présentes.
mercredi 27 février 2013
11:25
Ce cyclone est peu mobile, il ne touchera la côte australienne que dans l'après-midi. A cause de son manque de mobilité il apportera probablement des précipitations très importantes et durables. Des inondations importantes sont à redouter. Les vents de 150 à 170 km/h formeront une lame d'au moins 400 mm sur la cote.
Des orages violents sont également annoncés
les autorités locales ont émis une alerte appelant les populations côtières à migrer vers l'intérieur des terres.
© Nature Alerte
Des orages violents sont également annoncés
les autorités locales ont émis une alerte appelant les populations côtières à migrer vers l'intérieur des terres.
© Nature Alerte
lundi 25 février 2013
09:57
Le cyclone Haruna et les pluies qui l'ont précédé ont fait au total 10 morts, 17 blessés et près de 5.000 sinistrés en une semaine à Madagascar, a indiqué samedi le Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC).
Le cyclone lui-même --qui est arrivé dans la région de Morombe (sud-ouest) vendredi matin et a quitté la Grande Ile vingt-quatre heures plus tard-- a fait 6 morts, 17 blessés et 3.600 sinistrés, a précisé le BNGRC dans un nouveau bilan, ne comptant plus le nombre des bâtiments ayant perdu leurs toits, où les cases inondées.
L'aéroport de Toliara (Tuléar) a été fermé au moins jusqu'à lundi.
Accompagnés de fortes pluies, les vents ont atteint de 150 à 180 km/h, avec des rafales jusqu'à 200 km/h.
"La ville de Morombe été détruite à 70%", a précisé à l'AFP le secrétaire exécutif du Bureau, Raymond Randriatahina, tandis qu'un journaliste de la radio nationale sur place a dit "à 99%".
La presse malgache a fait état samedi d'un bilan plus lourd de 9 morts et près de 6.000 sinistrés depuis vendredi matin.
Les fortes pluies qui avaient précédé l'arrivée du cyclone depuis le début de la semaine avaient déjà fait 4 morts et plus de 2.100 sinistrés.
La coupure des communications avec les zones sinistrées complique le recueil des informations.
Haruna, qui était un cyclone tropical de catégorie 2, a été rétrogradé au rang de perturbation tropicale après être reparti en mer vers 05H30 (02H30 GMT) samedi matin.
"Cette perturbation tropicale devrait encore apporter beaucoup de pluies dans le sud de Madagascar durant deux jours", a expliqué à l'AFP le responsable des prévisions de la météorologie nationale malgache, Ndinizara Newsman de Priscofe.
Source © AFP
Le cyclone lui-même --qui est arrivé dans la région de Morombe (sud-ouest) vendredi matin et a quitté la Grande Ile vingt-quatre heures plus tard-- a fait 6 morts, 17 blessés et 3.600 sinistrés, a précisé le BNGRC dans un nouveau bilan, ne comptant plus le nombre des bâtiments ayant perdu leurs toits, où les cases inondées.
L'aéroport de Toliara (Tuléar) a été fermé au moins jusqu'à lundi.
Accompagnés de fortes pluies, les vents ont atteint de 150 à 180 km/h, avec des rafales jusqu'à 200 km/h.
"La ville de Morombe été détruite à 70%", a précisé à l'AFP le secrétaire exécutif du Bureau, Raymond Randriatahina, tandis qu'un journaliste de la radio nationale sur place a dit "à 99%".
La presse malgache a fait état samedi d'un bilan plus lourd de 9 morts et près de 6.000 sinistrés depuis vendredi matin.
Les fortes pluies qui avaient précédé l'arrivée du cyclone depuis le début de la semaine avaient déjà fait 4 morts et plus de 2.100 sinistrés.
La coupure des communications avec les zones sinistrées complique le recueil des informations.
Haruna, qui était un cyclone tropical de catégorie 2, a été rétrogradé au rang de perturbation tropicale après être reparti en mer vers 05H30 (02H30 GMT) samedi matin.
"Cette perturbation tropicale devrait encore apporter beaucoup de pluies dans le sud de Madagascar durant deux jours", a expliqué à l'AFP le responsable des prévisions de la météorologie nationale malgache, Ndinizara Newsman de Priscofe.
Source © AFP
09:53
Des inondations ont sérieusement touché l’Etat de Nouvelle -Galles du Sud en Australie au cours du dernier mois. Les forêts, les villes et les terres agricoles sont arrosées par des pluies torrentielles qui ne s’arrêtent plus depuis plusieurs semaines, provoquant la mort de deux personnes.
L’état d’urgence a été déclaré à Campsie et Bellingen, certains habitants ont été évacués de ces régions. Les routes de l'Etat ressemblent à de véritables fleuves, et les sauveteurs interviennent régulièrement pour sauver les hommes et les voitures. 10.000 foyers sont restés sans électricité dans la région.
Des pluies torrentielles et une tornade ont frappé l'est de l'Australie
Des milliers d'habitants de l'est de l'Australie ont été coupés du monde entier en raison de graves inondations causées par les pluies.
Les fortes pluies et, selon certaines informations, une mini-tornade ont causé de grandes destructions dans l'Etat de New South Wales dans la nuit du dimanche. Au moins deux personnes ont été tuées. Des milliers de maisons ont été privées d'électricité. Comme prévu, le niveau d'eau atteindra son apogée ce dimanche.
De plus, selon les prévisions météorologiques, un cyclone va frapper l'ouest de l'Australie dans quelques jours.
L’état d’urgence a été déclaré à Campsie et Bellingen, certains habitants ont été évacués de ces régions. Les routes de l'Etat ressemblent à de véritables fleuves, et les sauveteurs interviennent régulièrement pour sauver les hommes et les voitures. 10.000 foyers sont restés sans électricité dans la région.
Des pluies torrentielles et une tornade ont frappé l'est de l'Australie
Des milliers d'habitants de l'est de l'Australie ont été coupés du monde entier en raison de graves inondations causées par les pluies.
Les fortes pluies et, selon certaines informations, une mini-tornade ont causé de grandes destructions dans l'Etat de New South Wales dans la nuit du dimanche. Au moins deux personnes ont été tuées. Des milliers de maisons ont été privées d'électricité. Comme prévu, le niveau d'eau atteindra son apogée ce dimanche.
De plus, selon les prévisions météorologiques, un cyclone va frapper l'ouest de l'Australie dans quelques jours.
mardi 19 février 2013
12:24
Les pluies diluviennes causées par une masse nuageuse au dessus du canal de Mozambique ont fait 4 morts et 4 disparus ainsi que 2 146 sinistrés.
La partie ouest de l’île a été la plus durement touchée par les intempéries. A Miandrivazo, un district de la région du Menabe, une digue de protection située aux abords d’une rivière a cédé dernièrement provoquant de graves inondations. Selon un bilan provisoire émis ce mardi matin par le Bureau national de la gestion des risques et catastrophes (BNGCR), 3 morts et 4 disparus y sont recensés. Les inondations y ont aussi détruit 424 habitations, faisant 1 546 sinistrés.
Un peu plus au nord, dans le district de Mampikony, 1 décès est à déplorer jusqu’ici.
Cette masse nuageuse s’est formée dans le Canal de Mozambique le vendredi 15 février. Depuis, elle a entraîné des foyers orageux qui sont encore observés sur le tout le territoire national dans les prochaines 48 heures.
Même les localités du sud-est et du centre de l’île ne sont pas épargnées par les pluies diluviennes. Selon toujours le BNGRC, près de 900 sinistrés sont enregistrés pour le moment dont environ 800 dans la capitale malgache, notamment dans les bas quartiers et 100 à Ifanadiana, dans le centre-est de l’île.
Concernant les habitations inondées, on en totalise actuellemet 325 dont 45 à Manakara (côte est), 250 à Vohipeno (un peu plus au sud), et 30 à Ifanadiana.
Sur son site, le BNGRC a annoncé ce matin à 6h17 locales que cette masse nuageuse poursuit progressivement son intensification et entraîne de fortes pluies sur l’ensemble du territoire malgache.Elle est accompagnée par des vents moyens d’environ 50 km/h avec des rafales pouvant atteindre 70 km/h.
Hier à 15h00 locales, son centre se trouvait à 400 km au Sud-Ouest de Maintirano (ndlr : ville de la côte occidentale malgache, située à environ 325 kilomètres à l’ouest de la capitale Antananarivo). Selon les prévisionnistes locaux, elle devrait poursuivre une trajectoire vers le Sud, provoquant plus particulièrement des précipitations importantes (>50mm / 24h) sur les Régions Menabe, Sud Ouest et Androy.
Pour ce mardi 19 février, 12 régions pourraient encore enregistrer une pluviométrie de plus de 50mm en 24 heures. Dix d’entre elles seront encore arrosées abondamment le lendemain.
La tempête tropicale Haruna, futur cyclone, menace Madagascar
Ce mardi, une nouvelle tempête tropicale a vu le jour. Baptisée Haruna, elle circule actuellement entre le Mozambique et Madagascar. Elle s'organisera rapidement aujourd'hui pour devenir avant ce soir un cyclone. Son déplacement sera assez lent, comme souvent lorsque des phénomènes tropicaux se forment dans le canal du Mozambique.
D'ici à la fin de semaine, la côte sud de Madagascar devrait être impactée par Haruna, alors cyclone de catégorie 1 ou 2.
La houle cyclonique atteindra les 4 à 5 m, des vents de près de 150 km/h sont possibles sur les caps exposés et l'on attend jusqu'à 200 mm de pluie. Cette situation reste à surveiller car le sud-ouest de Madagascar est une région assez vulnérable. Ensuite, Haruna devrait se dissiper.
La partie ouest de l’île a été la plus durement touchée par les intempéries. A Miandrivazo, un district de la région du Menabe, une digue de protection située aux abords d’une rivière a cédé dernièrement provoquant de graves inondations. Selon un bilan provisoire émis ce mardi matin par le Bureau national de la gestion des risques et catastrophes (BNGCR), 3 morts et 4 disparus y sont recensés. Les inondations y ont aussi détruit 424 habitations, faisant 1 546 sinistrés.
Un peu plus au nord, dans le district de Mampikony, 1 décès est à déplorer jusqu’ici.
Cette masse nuageuse s’est formée dans le Canal de Mozambique le vendredi 15 février. Depuis, elle a entraîné des foyers orageux qui sont encore observés sur le tout le territoire national dans les prochaines 48 heures.
Même les localités du sud-est et du centre de l’île ne sont pas épargnées par les pluies diluviennes. Selon toujours le BNGRC, près de 900 sinistrés sont enregistrés pour le moment dont environ 800 dans la capitale malgache, notamment dans les bas quartiers et 100 à Ifanadiana, dans le centre-est de l’île.
Concernant les habitations inondées, on en totalise actuellemet 325 dont 45 à Manakara (côte est), 250 à Vohipeno (un peu plus au sud), et 30 à Ifanadiana.
Sur son site, le BNGRC a annoncé ce matin à 6h17 locales que cette masse nuageuse poursuit progressivement son intensification et entraîne de fortes pluies sur l’ensemble du territoire malgache.Elle est accompagnée par des vents moyens d’environ 50 km/h avec des rafales pouvant atteindre 70 km/h.
Hier à 15h00 locales, son centre se trouvait à 400 km au Sud-Ouest de Maintirano (ndlr : ville de la côte occidentale malgache, située à environ 325 kilomètres à l’ouest de la capitale Antananarivo). Selon les prévisionnistes locaux, elle devrait poursuivre une trajectoire vers le Sud, provoquant plus particulièrement des précipitations importantes (>50mm / 24h) sur les Régions Menabe, Sud Ouest et Androy.
Pour ce mardi 19 février, 12 régions pourraient encore enregistrer une pluviométrie de plus de 50mm en 24 heures. Dix d’entre elles seront encore arrosées abondamment le lendemain.
La tempête tropicale Haruna, futur cyclone, menace Madagascar
Ce mardi, une nouvelle tempête tropicale a vu le jour. Baptisée Haruna, elle circule actuellement entre le Mozambique et Madagascar. Elle s'organisera rapidement aujourd'hui pour devenir avant ce soir un cyclone. Son déplacement sera assez lent, comme souvent lorsque des phénomènes tropicaux se forment dans le canal du Mozambique.
D'ici à la fin de semaine, la côte sud de Madagascar devrait être impactée par Haruna, alors cyclone de catégorie 1 ou 2.
La houle cyclonique atteindra les 4 à 5 m, des vents de près de 150 km/h sont possibles sur les caps exposés et l'on attend jusqu'à 200 mm de pluie. Cette situation reste à surveiller car le sud-ouest de Madagascar est une région assez vulnérable. Ensuite, Haruna devrait se dissiper.
lundi 28 janvier 2013
17:19
Les Seychelles, frappées par des inondations et glissements de terrain, faits exceptionnels dans la région, ont décrété l'état d'urgence en trois endroits de Mahé, la principale île de l'archipel, et lancé lundi un appel à l'aide internationale face aux dégâts provoqués par les intempéries.
L'archipel des Seychelles, dans l'Océan Indien, est généralement relativement épargné par les cyclones, mais a subi de violentes intempéries dimanche, conséquences d'une tempête tropicale en formation dans la région.
Les autorités n'ont fait état d'aucune victime, mais ont rapporté de nombreux dégâts dans trois districts de Mahé -- Pointe Larue, Anse aux pins, Au cap -- où plus de 150 maisons ont été inondées.
Une équipe doit désormais évaluer les dégâts. Mais le président seychellois, James Michel, a d'ores et déjà lancé un appel à l'aide internationale, estimant que son pays ne pourrait pas faire face seul "au désastre".
Des pluies intermittentes entravaient encore lundi les travaux de déblaiement et d'évaluation de la situation. Les Seychelles, ancienne colonie française puis britannique, sont composées de 115 îles et peuplées de quelque 85.000 habitants. Mahé compte à elle seule environ 70.000 personnes.
Source © Belga
L'archipel des Seychelles, dans l'Océan Indien, est généralement relativement épargné par les cyclones, mais a subi de violentes intempéries dimanche, conséquences d'une tempête tropicale en formation dans la région.
Les autorités n'ont fait état d'aucune victime, mais ont rapporté de nombreux dégâts dans trois districts de Mahé -- Pointe Larue, Anse aux pins, Au cap -- où plus de 150 maisons ont été inondées.
Une équipe doit désormais évaluer les dégâts. Mais le président seychellois, James Michel, a d'ores et déjà lancé un appel à l'aide internationale, estimant que son pays ne pourrait pas faire face seul "au désastre".
Des pluies intermittentes entravaient encore lundi les travaux de déblaiement et d'évaluation de la situation. Les Seychelles, ancienne colonie française puis britannique, sont composées de 115 îles et peuplées de quelque 85.000 habitants. Mahé compte à elle seule environ 70.000 personnes.
Source © Belga
17:16
Des pluies violentes dans le nord-est de l'Australie ont causé la mort de trois personnes et l'inondation de centaines de maisons, dont certains habitants ont dû se réfugier sur les toits pour échapper aux flots, ont indiqué lundi les autorités.
Les corps de deux personnes disparues ont été retrouvés lundi, s'ajoutant ainsi au décès d'un homme la veille, parti inspecter son bateau, près de la ville de Bundaberg, à quelques centaines de kilomètres au nord de Brisbane, sur la côte est.
Selon le Premier ministre de l'Etat du Queensland (nord-est) Campbell Newman, quatre villes sont menacées par les flots après le passage du cyclone Oswald. A Bundaberg, 1.200 maisons sont d'ores et déjà inondées, a-t-il ajouté.
Toujours à Bundaberg, 18 habitants réfugiés sur les toits ont été hélitreuillés et une douzaine d'autres le seront au cours des prochaines heures, a indiqué le maire de cette ville de 50.000 habitants, Mal Forman. Trois personnes sont par ailleurs portées disparues.
Des inondations se sont produites à Gympie, Maryborough et dans la Lockyer Valley, épicentre des inondations dévastatrices d'il y a deux ans, qui avaient fait 35 morts dans l'est de l'Australie.
La capitale du Queensland, Brisbane, se préparait elle aussi à des dégâts: l'eau arrivait à mi-corps dans certains quartiers éloignés du centre et les plus proches du niveau de la mer. Les transports en ferry ont tous été suspendus dans l'agglomération.
Dans tout le Queensland, quelque 250.000 maisons étaient lundi privées d'électricité.
Non, les habitants de la petite mais touristique cité balnéaire de Mooloolaba n'ont pas organisé une soirée mousse géante. Ils ont simplement eu la surprise de découvrir, à leur réveil, les plages et les rues de leur ville envahies de flots d'écume de mer, lundi 28 janvier.
C'est l'une des conséquences du passage du cyclone Oswald sur la côte nord-est de l'Australie. Dans plusieurs villes de l'Etat du Queensland, des milliers de maisons sont inondées. A une centaine de kilomètres de la capitale de l'Etat, Brisbane, la banlieue de Sunshine Coast a échappé aux crues, mais pas aux éléments. Par endroit, cette mousse marine atteint plus de trois mètres de haut.
La mer démontée et le vent ont charié ces nuages d'écume sur la côte. De nombreux habitants ont sorti leurs appareils photo pour immortaliser ce phénomène naturel d'une rare ampleur. D'autres ont préféré batifoler dans ces flots d'écume pour une matinée mousse géante.
Source Francetv info
Les corps de deux personnes disparues ont été retrouvés lundi, s'ajoutant ainsi au décès d'un homme la veille, parti inspecter son bateau, près de la ville de Bundaberg, à quelques centaines de kilomètres au nord de Brisbane, sur la côte est.
Selon le Premier ministre de l'Etat du Queensland (nord-est) Campbell Newman, quatre villes sont menacées par les flots après le passage du cyclone Oswald. A Bundaberg, 1.200 maisons sont d'ores et déjà inondées, a-t-il ajouté.
Toujours à Bundaberg, 18 habitants réfugiés sur les toits ont été hélitreuillés et une douzaine d'autres le seront au cours des prochaines heures, a indiqué le maire de cette ville de 50.000 habitants, Mal Forman. Trois personnes sont par ailleurs portées disparues.
Des inondations se sont produites à Gympie, Maryborough et dans la Lockyer Valley, épicentre des inondations dévastatrices d'il y a deux ans, qui avaient fait 35 morts dans l'est de l'Australie.
La capitale du Queensland, Brisbane, se préparait elle aussi à des dégâts: l'eau arrivait à mi-corps dans certains quartiers éloignés du centre et les plus proches du niveau de la mer. Les transports en ferry ont tous été suspendus dans l'agglomération.
Dans tout le Queensland, quelque 250.000 maisons étaient lundi privées d'électricité.
Non, les habitants de la petite mais touristique cité balnéaire de Mooloolaba n'ont pas organisé une soirée mousse géante. Ils ont simplement eu la surprise de découvrir, à leur réveil, les plages et les rues de leur ville envahies de flots d'écume de mer, lundi 28 janvier.
C'est l'une des conséquences du passage du cyclone Oswald sur la côte nord-est de l'Australie. Dans plusieurs villes de l'Etat du Queensland, des milliers de maisons sont inondées. A une centaine de kilomètres de la capitale de l'Etat, Brisbane, la banlieue de Sunshine Coast a échappé aux crues, mais pas aux éléments. Par endroit, cette mousse marine atteint plus de trois mètres de haut.
La mer démontée et le vent ont charié ces nuages d'écume sur la côte. De nombreux habitants ont sorti leurs appareils photo pour immortaliser ce phénomène naturel d'une rare ampleur. D'autres ont préféré batifoler dans ces flots d'écume pour une matinée mousse géante.
Source Francetv info
jeudi 3 janvier 2013
08:13
L'alerte cyclonique rouge interdisant à la population de sortir "pour quelque cause que ce soit" entrera en vigueur jeudi à compter de 10h00 locales (07H00 à Paris), à la Réunion, à l'approche du cyclone tropical Dumile qui doit passer au plus près de l'île dans l'après-midi, a annoncé la préfecture de la Réunion.
"Cette décision est fondée sur les évolutions météorologiques du cyclone Dumile qui passera au plus près de la Réunion ce jour au cours de l'après-midi", précise le communiqué de la préfecture qui annonce que le "cyclone touchera l'île avec des vents moyens supérieurs à 100 km/h avec des rafales pouvant dépasser 140 km/h".
En raison d'un danger "imminent", la population est invitée à profiter du préavis "pour se mettre à l'abri le plus rapidement possible ou y rester" et à "ne plus sortir pour quelque cause que ce soit" à partir de 10H00. A 04H00 locales (01H00 à Paris), Dumile qui était toujours au stade de forte tempête tropicale se situait à 230 km au nord-nord-ouest de la Réunion et continuait à se rapprocher de l'île à la vitesse de 22 km/h.
L'île est actuellement arrosée par des pluies diluviennes et des routes ont été inondées. La route du littoral reliant le nord et l'ouest de l'île a été complètement fermée à la circulation. Des bulletins de "vigilance forte houle" et une "vigilance vents forts" sont en vigueur.
Source @ AFP
"Cette décision est fondée sur les évolutions météorologiques du cyclone Dumile qui passera au plus près de la Réunion ce jour au cours de l'après-midi", précise le communiqué de la préfecture qui annonce que le "cyclone touchera l'île avec des vents moyens supérieurs à 100 km/h avec des rafales pouvant dépasser 140 km/h".
En raison d'un danger "imminent", la population est invitée à profiter du préavis "pour se mettre à l'abri le plus rapidement possible ou y rester" et à "ne plus sortir pour quelque cause que ce soit" à partir de 10H00. A 04H00 locales (01H00 à Paris), Dumile qui était toujours au stade de forte tempête tropicale se situait à 230 km au nord-nord-ouest de la Réunion et continuait à se rapprocher de l'île à la vitesse de 22 km/h.
L'île est actuellement arrosée par des pluies diluviennes et des routes ont été inondées. La route du littoral reliant le nord et l'ouest de l'île a été complètement fermée à la circulation. Des bulletins de "vigilance forte houle" et une "vigilance vents forts" sont en vigueur.
Source @ AFP
mardi 30 octobre 2012
13:46
L'Inde a elle aussi lancé une alerte météo concernant la côte Est, du nord du Tamil Nadu au sud de l'Andhra Pradesh en passant par Pondichéry.
Une dépression pourrait se transformer en tempête cyclonique selon le département indien de météorologie, rapporte le Hindustan Times.
Les autorités s'attendaient à ce que des pluies fortes à très fortes s'abattent sur les côtes de Tamil Nadu et de Pondichery. Le cyclone Nilam est attendu mercredi sur les côtes.
Une dépression pourrait se transformer en tempête cyclonique selon le département indien de météorologie, rapporte le Hindustan Times.
Les autorités s'attendaient à ce que des pluies fortes à très fortes s'abattent sur les côtes de Tamil Nadu et de Pondichery. Le cyclone Nilam est attendu mercredi sur les côtes.
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