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mardi 16 septembre 2014
17:45
Les Philippines ont ordonné l'évacuation des populations vivant près d'un des volcans les plus actifs de l'archipel, craignant une éruption dans les semaines à venir.
Le magma a atteint le cratère du Mayon situé dans une région côtière et agricole à 330 kilomètres au sud-est de Manille, dans le sud de l'île principale de l'archipel, Luzon, selon le directeur de l'agence de vulcanologie, Renato Solidum.
"Une éruption importante est possible dans les semaines à venir", a-t-il déclaré.
Les habitants dans un rayon de six kilomètres autour du volcan devraient être évacués, a précisé le responsable régional de la défense civile, Bernardo Alejandro. Plus d'une centaine de personnes ont déjà quitté la zone.
L'alerte a été portée au niveau trois sur une échelle de cinq.
Le magma a atteint le cratère du Mayon situé dans une région côtière et agricole à 330 kilomètres au sud-est de Manille, dans le sud de l'île principale de l'archipel, Luzon, selon le directeur de l'agence de vulcanologie, Renato Solidum.
"Une éruption importante est possible dans les semaines à venir", a-t-il déclaré.
Les habitants dans un rayon de six kilomètres autour du volcan devraient être évacués, a précisé le responsable régional de la défense civile, Bernardo Alejandro. Plus d'une centaine de personnes ont déjà quitté la zone.
L'alerte a été portée au niveau trois sur une échelle de cinq.
lundi 15 septembre 2014
13:38
Un millier de personnes ont été évacuées près du parc Yosemite, dans le centre de la Californie, en raison de feux de forêts qui se sont déclenchés à l'issue d'un week-end de canicule.
Un incendie ravage des milliers d'hectares en Californie Quelque 133 hectares ont déjà brûlé à la suite d'un feu qui a démarré dimanche près de Bass Lake, à moins d'une heure de voiture du parc Yosemite.
L'incendie, «qui n'est pas contenu du tout pour l'instant», a déjà détruit ou endommagé une dizaine de bâtiments, a déclaré une porte-parole de CalFire, l'organisme gouvernemental d'information sur les incendies. «Environ 400 maisons, soit 1.000 personnes, ont été évacuées» et l'accès au site de l'incendie «est difficile d'accès» pour les 400 pompiers mobilisés.
«Le rythme de propagation du feu menace des centaines de maisons», a ajouté dans un communiqué dimanche le bureau du gouverneur de Californie Jerry Brown, qui ajoute que les autorités s'inquiètent d'autres départs de feu ailleurs dans cet Etat de l'ouest des Etats-Unis.
Des températures de 40 degrés ce week-end
Un autre incendie qui a démarré fin juillet dans le parc Yosemite (Meadow fire) était par ailleurs à 50% contenu dimanche et les autorités estimaient qu'il devrait être totalement éteint d'ici à une semaine. Le feu qui s'est par ailleurs déclenché vendredi dans le sud de la Californie près de San Diego était contenu à 20% dimanche. Il a forcé l'évacuation de quelque 200 habitations.
Un énorme incendie avait ravagé une partie du parc Yosemite fin août 2013 et menacé les séquoias centenaires.
Les températures dans le centre de la Californie sont montées non loin de 40°C ce week-end, une canicule qui devrait se maintenir dans les prochains jours. L'Etat est régulièrement touché par de puissants incendies en été et à l'automne, et l'extrême sécheresse des derniers mois accroit les risques de les voir se multiplier cette année.
Source © AFP
Un incendie ravage des milliers d'hectares en Californie Quelque 133 hectares ont déjà brûlé à la suite d'un feu qui a démarré dimanche près de Bass Lake, à moins d'une heure de voiture du parc Yosemite.
L'incendie, «qui n'est pas contenu du tout pour l'instant», a déjà détruit ou endommagé une dizaine de bâtiments, a déclaré une porte-parole de CalFire, l'organisme gouvernemental d'information sur les incendies. «Environ 400 maisons, soit 1.000 personnes, ont été évacuées» et l'accès au site de l'incendie «est difficile d'accès» pour les 400 pompiers mobilisés.
«Le rythme de propagation du feu menace des centaines de maisons», a ajouté dans un communiqué dimanche le bureau du gouverneur de Californie Jerry Brown, qui ajoute que les autorités s'inquiètent d'autres départs de feu ailleurs dans cet Etat de l'ouest des Etats-Unis.
Des températures de 40 degrés ce week-end
Un autre incendie qui a démarré fin juillet dans le parc Yosemite (Meadow fire) était par ailleurs à 50% contenu dimanche et les autorités estimaient qu'il devrait être totalement éteint d'ici à une semaine. Le feu qui s'est par ailleurs déclenché vendredi dans le sud de la Californie près de San Diego était contenu à 20% dimanche. Il a forcé l'évacuation de quelque 200 habitations.
Un énorme incendie avait ravagé une partie du parc Yosemite fin août 2013 et menacé les séquoias centenaires.
Les températures dans le centre de la Californie sont montées non loin de 40°C ce week-end, une canicule qui devrait se maintenir dans les prochains jours. L'Etat est régulièrement touché par de puissants incendies en été et à l'automne, et l'extrême sécheresse des derniers mois accroit les risques de les voir se multiplier cette année.
Source © AFP
13:35
Des pluies torrentielles qui se sont abattues en Europe centrale, ont inondé plusieurs régions en Autriche, en Slovénie et en Croatie. En Autriche, c’est l’état fédéral de Styrie qui est devenu l'épicentre des intempéries. Des centaines de bâtiments et les principales routes de la région se sont retrouvées sous l’eau. 3500 sauveteurs travaillent dans la zone du sinistre.
La partie centrale de la Slovénie est également touchée par les inondations. 1500 maisons ont été inondées.
La situation est également difficile en Croatie voisine, où le niveau d’eau dans certains fleuves augmente de 10 centimètres chaque heure. Certains villages sont coupés du monde extérieur. L’évacuation de la population est en cours.
La partie centrale de la Slovénie est également touchée par les inondations. 1500 maisons ont été inondées.
La situation est également difficile en Croatie voisine, où le niveau d’eau dans certains fleuves augmente de 10 centimètres chaque heure. Certains villages sont coupés du monde extérieur. L’évacuation de la population est en cours.
13:32
L'ouragan Odile a touché terre au Mexique tard dimanche près de la ville touristique de Cabo San Lucas où des dizaines de milliers de touristes ont trouvé refuge dans des hôtels de luxe transformés en abris, ont annoncé lundi des représentants du gouvernement mexicain.
Odile, un ouragan "très dangereux" de catégorie 4 redescendu à catégorie 3 sur l'échelle de Saffir-Simpson qui en compte 5, a frappé le Mexique vers 04H45 GMT (06h45 en belgique) lundi avec des vents soutenus de 205 km/h, selon le Centre national des ouragans (NHC) des Etats-Unis. A Los Cabos, des pluies intenses et des vagues allant jusqu'à 4 mètres ont été enregistrées, et les opérations à l'aéroport international ont été suspendues dimanche soir.
Les autorités mexicaines avaient lancé l'alerte quelques heures avant l'arrivée d'Odile, afin de limiter les pertes humaines et matérielles, les services météo craignant l'arrivée de fortes pluies, susceptibles de provoquer des inondations et des coulées de boue.
La violence de l'ouragan, qui se déplace à une vitesse de 28 km/h vers le nord-est, a obligé les autorités a accueillir quelque "30.000 touristes, 26.000 étrangers et 4.000 Mexicains" dans 18 hôtels de la zone refuge, a déclaré Luis Felipe Puente, directeur de la Protection civile mexicaine. Juan Manuel Caballero, coordonnateur du Service météorologique national (SMN) du Mexique, n'a pas écarté la possibilité que l'ouragan "puisse arriver dans le golfe de Californie", raison pour laquelle des plans de sécurité ont été activés dans les Etats mexicains du Sinaloa, Nayarit (nord-ouest) et Colima.
Odile, un ouragan "très dangereux" de catégorie 4 redescendu à catégorie 3 sur l'échelle de Saffir-Simpson qui en compte 5, a frappé le Mexique vers 04H45 GMT (06h45 en belgique) lundi avec des vents soutenus de 205 km/h, selon le Centre national des ouragans (NHC) des Etats-Unis. A Los Cabos, des pluies intenses et des vagues allant jusqu'à 4 mètres ont été enregistrées, et les opérations à l'aéroport international ont été suspendues dimanche soir.
Les autorités mexicaines avaient lancé l'alerte quelques heures avant l'arrivée d'Odile, afin de limiter les pertes humaines et matérielles, les services météo craignant l'arrivée de fortes pluies, susceptibles de provoquer des inondations et des coulées de boue.
La violence de l'ouragan, qui se déplace à une vitesse de 28 km/h vers le nord-est, a obligé les autorités a accueillir quelque "30.000 touristes, 26.000 étrangers et 4.000 Mexicains" dans 18 hôtels de la zone refuge, a déclaré Luis Felipe Puente, directeur de la Protection civile mexicaine. Juan Manuel Caballero, coordonnateur du Service météorologique national (SMN) du Mexique, n'a pas écarté la possibilité que l'ouragan "puisse arriver dans le golfe de Californie", raison pour laquelle des plans de sécurité ont été activés dans les Etats mexicains du Sinaloa, Nayarit (nord-ouest) et Colima.
13:30
Le typhon Kalmaegi a touché le Nord de l'archipel des Philippines causant des inondations et des glissements de terrain. On déplore la mort de 3 personnes qui ont péri emportées par la forte houle généré par le système.
Le typhon a touché terre en produisant des vents violents (> à 150 km/h) et des pluyies diluviennes. SEn 24 h il est ainsi tombé 378,4 mm dans l'ouest des Philippines (Subic Bay). Les provinces de Cagayan et de Isabela ont été les plus affectées.
Les écoles de cinq régions du nord du pays ont été fermées et des dizaines de vols ont été annulés à l'aéroport de Manille.
7800 personnes ont été évacuées et ont trouvé refuge dans des abris mis en place par les autorités. Kalmaegi a causé de nombreux débordements de rivières, provoqué des glissements de terrain. De nombreux habitations ont été sinistrées.
Un ferry, pris dans la tempête, a sombré au large de la province de Leyte. 110 personnes ont été secourues.
Le typhon, prend maintenant la direction du Sud de la Chine (Hong Kong, îles du Hainan) où des alertes ont été émises par les autorités.
Source : Reuters
Le typhon a touché terre en produisant des vents violents (> à 150 km/h) et des pluyies diluviennes. SEn 24 h il est ainsi tombé 378,4 mm dans l'ouest des Philippines (Subic Bay). Les provinces de Cagayan et de Isabela ont été les plus affectées.
Les écoles de cinq régions du nord du pays ont été fermées et des dizaines de vols ont été annulés à l'aéroport de Manille.
7800 personnes ont été évacuées et ont trouvé refuge dans des abris mis en place par les autorités. Kalmaegi a causé de nombreux débordements de rivières, provoqué des glissements de terrain. De nombreux habitations ont été sinistrées.
Un ferry, pris dans la tempête, a sombré au large de la province de Leyte. 110 personnes ont été secourues.
Le typhon, prend maintenant la direction du Sud de la Chine (Hong Kong, îles du Hainan) où des alertes ont été émises par les autorités.
Source : Reuters
mardi 9 septembre 2014
11:23
Un flot de lave s'échappant du volcan Kilauea à Hawaï menace des habitations de l'île. L'état d'urgence a été décrété jeudi par les autorités.
L'état d'urgence a été déclaré sur l'île d'Hawaï après l'éruption d'un volcan. Le flot de lave menace des habitations qui pourraient être évacuées.
Le maire du comté d'Hawaï Billy Kenoi a proclamé l'état d'urgence après qu'un flot de lave du volcan Kilauea, situé dans le sud-est de l'île, fut arrivé à moins d'un kilomètre et demi de zones résidentielles.
Préparer les familles
"Nous prenons ces mesures pour que nos résidents aient le temps de préparer leurs familles, leurs animaux domestiques, leur bétail à évacuer en sécurité et sans encombre depuis Ka'ohe au cas où le flot continuerait à avancer", a commenté Billy Kenoi.
L'état d'urgence permet aux autorités de fermer les routes aux non-résidents afin de faciliter l'évacuation rapide des riverains si nécessaire. D'après le quotidien "Honolulu Star", le flot de lave pourrait atteindre des maisons d'ici quelques jours, voire une semaine.
Source: © RTS
L'état d'urgence a été déclaré sur l'île d'Hawaï après l'éruption d'un volcan. Le flot de lave menace des habitations qui pourraient être évacuées.
Le maire du comté d'Hawaï Billy Kenoi a proclamé l'état d'urgence après qu'un flot de lave du volcan Kilauea, situé dans le sud-est de l'île, fut arrivé à moins d'un kilomètre et demi de zones résidentielles.
Préparer les familles
"Nous prenons ces mesures pour que nos résidents aient le temps de préparer leurs familles, leurs animaux domestiques, leur bétail à évacuer en sécurité et sans encombre depuis Ka'ohe au cas où le flot continuerait à avancer", a commenté Billy Kenoi.
L'état d'urgence permet aux autorités de fermer les routes aux non-résidents afin de faciliter l'évacuation rapide des riverains si nécessaire. D'après le quotidien "Honolulu Star", le flot de lave pourrait atteindre des maisons d'ici quelques jours, voire une semaine.
Source: © RTS
lundi 19 mai 2014
17:13
Au moins 45 personnes sont mortes en Serbie et en Bosnie après les graves inondations qui ont touché les deux pays la semaine dernière. Près de Belgrade, la rivière menace ce lundi une centrale thermique qui produit 50% de la consommation d’électricité de Serbie.
Les pires intempéries depuis un siècle dans les Balkans. Depuis plusieurs la Bosnie et la Serbie sont sous l’eau.
Au moins 45 personnes sont mortes et les autorités redoutent ce lundi la crue de la Sava, qui inonderait de nouvelles villes. "Malheureusement, on estime que le nombre de morts sera encore plus important", a indiqué le Premier ministre serbe Aleksandar Vucic. Plusieurs pays de l’Union européenne, des Balkans et de la Russie ont envoyé des secours, des médicaments et des vivres.
Des dizaines de villes de Bosnie et de Serbie ont été envahies par les eaux depuis mercredi. Les deux pays n’ont pas connu de telles pluies diluviennes depuis 120 ans. Des dizaines de milliers de personnes sont piégées dans leurs immeubles et maisons, accessibles uniquement par bateau pneumatique.
Maglaj, Doboj et Samac, dans le nord de la Bosnie, et Obrenovac, en Serbie, ont été les plus touchées. En Bosnie, dans la région de Zenica, plusieurs dizaines de bourgades ont été évacuées à la suite de glissements de terrain.
Des centaines d’habitants ont fui leurs foyers à pied pour chercher un refuge.
« C’est une catastrophe, un chaos total »
Les hélicoptères évacuent femmes et enfants, mais ne peuvent pas prendre tout le monde. Les pilotes racontent que beaucoup de gens leur font des signes depuis les toits d’immeubles », a raconté le maire de Samac, Savo Minic.
Ce qui inquiète encore plus depuis ce weekend, c’est la centrale thermique serbe d’Obrenovac, près de Belgrade. Elle menace d’être inondée et produit la moitié de la consommation nationale d’électricité du pays. Le Premier ministre serbe a souligné qu'il s'agissait de l'"ouvrage le plus important du pays" et qu'il fallait le protéger à tout prix.
Selon un journaliste de l’AFP sur place, la centrale est totalement isolée par les eaux. Dimanche, une dizaine d’hommes entassait des sacs de sable pour éviter que les eaux n’inondent l’édifice en cas de crue. 20.000 habitants ont été évacués d’Obrenovac. Dans cette ville, les eaux ont atteint cinq mètres.
Les pires intempéries depuis un siècle dans les Balkans. Depuis plusieurs la Bosnie et la Serbie sont sous l’eau.
Au moins 45 personnes sont mortes et les autorités redoutent ce lundi la crue de la Sava, qui inonderait de nouvelles villes. "Malheureusement, on estime que le nombre de morts sera encore plus important", a indiqué le Premier ministre serbe Aleksandar Vucic. Plusieurs pays de l’Union européenne, des Balkans et de la Russie ont envoyé des secours, des médicaments et des vivres.
Des dizaines de villes de Bosnie et de Serbie ont été envahies par les eaux depuis mercredi. Les deux pays n’ont pas connu de telles pluies diluviennes depuis 120 ans. Des dizaines de milliers de personnes sont piégées dans leurs immeubles et maisons, accessibles uniquement par bateau pneumatique.
Maglaj, Doboj et Samac, dans le nord de la Bosnie, et Obrenovac, en Serbie, ont été les plus touchées. En Bosnie, dans la région de Zenica, plusieurs dizaines de bourgades ont été évacuées à la suite de glissements de terrain.
Des centaines d’habitants ont fui leurs foyers à pied pour chercher un refuge.
« C’est une catastrophe, un chaos total »
Les hélicoptères évacuent femmes et enfants, mais ne peuvent pas prendre tout le monde. Les pilotes racontent que beaucoup de gens leur font des signes depuis les toits d’immeubles », a raconté le maire de Samac, Savo Minic.
Ce qui inquiète encore plus depuis ce weekend, c’est la centrale thermique serbe d’Obrenovac, près de Belgrade. Elle menace d’être inondée et produit la moitié de la consommation nationale d’électricité du pays. Le Premier ministre serbe a souligné qu'il s'agissait de l'"ouvrage le plus important du pays" et qu'il fallait le protéger à tout prix.
Selon un journaliste de l’AFP sur place, la centrale est totalement isolée par les eaux. Dimanche, une dizaine d’hommes entassait des sacs de sable pour éviter que les eaux n’inondent l’édifice en cas de crue. 20.000 habitants ont été évacués d’Obrenovac. Dans cette ville, les eaux ont atteint cinq mètres.
mercredi 16 avril 2014
11:34
Un nouveau séisme d'une magnitude de 4,2 a secoué la capitale du Nicaragua, Managua, dans la nuit de lundi à mardi, provoquant une nouvelle fois l'inquiétude de la population, a annoncé l'Institut nicaraguayen d'étude territoriales (Ineter).
Le séisme a été enregistré à 22h28 (04h28 GMT), et son épicencentre était situé à 5 km du volcan Apoyeque, sur les rives du lac Xolotlan, à une profondeur de 5,6 km.
Cette nouvelle secousse a été ressentie avec force dans la capitale et dans le département de Granada (sud) où beaucoup d'habitants sont sortis de leurs maisons par mesure de précaution, selon Radio Ya.
Le pays subit depuis plusieurs jours une série de séismes près des volcans Momotombo et Apoyeque, proches du lac Xolotlan. Jeudi dernier, un séisme avait déjà fait un mort et 38 blessés. Plus de 2.000 maisons ont été détruites par cette serie de séismes à Managua et dans les régions voisines.
Les autorités du Nicaragua ont donc mis tout le pays en "alerte rouge" , le plus haut degré possible.
Les personnes vivant dans les bâtiments les plus à risque d'effondrement sont évacués vers des abris. Les nicaraguayens ont été invités à dormir dehors avertis par les sismologues du pays de la possibilité de l'arrivée d'un puissant tremblement de terre .
Les autorités ont déclaré que les tremblements récents ont réactivé une faille qui a déjà causé un tremblement de terre dévastateur en 1972 .
La première Dame et porte-parole du gouvernement Rosario Murillo a appellé les citoyens " nous avons vivre en état d'alerte constant " . Elle a également exhorté la population à dormir à ciel ouvert jusqu'à nouvel ordre.L'agence gouvernementale en charge de la préparation aux catastrophes , le SINAPRED , a déclaré qu'il était prêt pour une «catastrophe de grande ampleur " .
Les soldats érigent actuellement des hôpitaux de campagne et la Croix-Rouge exhortent les gens à donner du sang pour reconstituer les banques de sang du pays . Une grande partie de Managua a été détruit dans le tremblement de terre 1972 et de nombreuses familles continuent de vivre dans des bâtiments endommagés alors .
La semaine dernière , le Nicaragua a été frappé par trois séismes de magnitudes comprises entre 5.1 et 6.7 , ainsi que des dizaines de répliques .
© Nature alerte
Le séisme a été enregistré à 22h28 (04h28 GMT), et son épicencentre était situé à 5 km du volcan Apoyeque, sur les rives du lac Xolotlan, à une profondeur de 5,6 km.
Cette nouvelle secousse a été ressentie avec force dans la capitale et dans le département de Granada (sud) où beaucoup d'habitants sont sortis de leurs maisons par mesure de précaution, selon Radio Ya.
Le pays subit depuis plusieurs jours une série de séismes près des volcans Momotombo et Apoyeque, proches du lac Xolotlan. Jeudi dernier, un séisme avait déjà fait un mort et 38 blessés. Plus de 2.000 maisons ont été détruites par cette serie de séismes à Managua et dans les régions voisines.
Les autorités du Nicaragua ont donc mis tout le pays en "alerte rouge" , le plus haut degré possible.
Les personnes vivant dans les bâtiments les plus à risque d'effondrement sont évacués vers des abris. Les nicaraguayens ont été invités à dormir dehors avertis par les sismologues du pays de la possibilité de l'arrivée d'un puissant tremblement de terre .
Les autorités ont déclaré que les tremblements récents ont réactivé une faille qui a déjà causé un tremblement de terre dévastateur en 1972 .
La première Dame et porte-parole du gouvernement Rosario Murillo a appellé les citoyens " nous avons vivre en état d'alerte constant " . Elle a également exhorté la population à dormir à ciel ouvert jusqu'à nouvel ordre.L'agence gouvernementale en charge de la préparation aux catastrophes , le SINAPRED , a déclaré qu'il était prêt pour une «catastrophe de grande ampleur " .
Les soldats érigent actuellement des hôpitaux de campagne et la Croix-Rouge exhortent les gens à donner du sang pour reconstituer les banques de sang du pays . Une grande partie de Managua a été détruit dans le tremblement de terre 1972 et de nombreuses familles continuent de vivre dans des bâtiments endommagés alors .
La semaine dernière , le Nicaragua a été frappé par trois séismes de magnitudes comprises entre 5.1 et 6.7 , ainsi que des dizaines de répliques .
© Nature alerte
dimanche 13 avril 2014
20:39
Au moins seize personnes ont trouvé la mort dans le gigantesque incendie qui a ravagé la ville de Valparaiso, sur la côte centrale du Chili, détruisant au moins 500 habitations et forçant l'évacuation de plus de 10.000 personnes, selon les autorités dimanche.
"A cette heure, nous confirmons 16 morts", a déclaré sur la chaine 24 Horas le général Julio Pineda, chef de la police de la région de Valparaíso.
Par ailleurs, au moins trois personnes ont été grièvement blessées dans l'incendie, a confirmé à l'AFP l'Office national des situations d'urgence (Onemi).
L'incendie qui s'est déclaré samedi après-midi près de la ville portuaire de Valparaiso, à 120 km à l'ouest de Santiago a été qualifié de "pire de son histoire" par la présidente Michelle Bachelet et le bilan pourrait s'alourdir.
Au fil des heures alors que les forces de police fouillent les décombres des quelque 500 habitations détruites, la police trouve les restes de victimes calcinés dans l'incendie et dont l'identification se révèle difficile.
Plus de 800 hectares ont été ravagés par les flammes selon l'Onemi, et certains foyers demeurent encore actifs, faisant craindre aux autorités qu'ils puissent être ravivés par la chaleur qui règne dans la région et les vents forts.
La présidente chilienne Michelle Bachelet, arrivée à Valparaiso dimanche matin, a rapidement déclenché le plan catastrophe, permettant aux forces armées de participer aux opérations d'évacuation de la population.
Valparaiso, ville coloniale aux 44 collines inscrite en 2003 par l'Unesco au patrimoine de l'humanité, est visitée chaque année par des milliers de touristes chiliens et étrangers.
"A cette heure, nous confirmons 16 morts", a déclaré sur la chaine 24 Horas le général Julio Pineda, chef de la police de la région de Valparaíso.
Par ailleurs, au moins trois personnes ont été grièvement blessées dans l'incendie, a confirmé à l'AFP l'Office national des situations d'urgence (Onemi).
L'incendie qui s'est déclaré samedi après-midi près de la ville portuaire de Valparaiso, à 120 km à l'ouest de Santiago a été qualifié de "pire de son histoire" par la présidente Michelle Bachelet et le bilan pourrait s'alourdir.
Au fil des heures alors que les forces de police fouillent les décombres des quelque 500 habitations détruites, la police trouve les restes de victimes calcinés dans l'incendie et dont l'identification se révèle difficile.
Plus de 800 hectares ont été ravagés par les flammes selon l'Onemi, et certains foyers demeurent encore actifs, faisant craindre aux autorités qu'ils puissent être ravivés par la chaleur qui règne dans la région et les vents forts.
La présidente chilienne Michelle Bachelet, arrivée à Valparaiso dimanche matin, a rapidement déclenché le plan catastrophe, permettant aux forces armées de participer aux opérations d'évacuation de la population.
Valparaiso, ville coloniale aux 44 collines inscrite en 2003 par l'Unesco au patrimoine de l'humanité, est visitée chaque année par des milliers de touristes chiliens et étrangers.
vendredi 11 avril 2014
16:34
Le cyclone Ita devrait pénétrer les terres vendredi en Australie et a déjà entraîné l’évacuation de nombreux habitants des zones côtières.
Les touristes et les habitants côtiers évacuaient des parties de la Grande Barrière de Corail jeudi alors qu’un cyclone puissant s’intensifiait dans la Mer de Corail et se dirigeait vers le nord-est de l’Australie.
Le cyclone Ita devrait pénétrer les terres vendredi au nord de la ville tropicale de Cairns, entraînant la possibilité d’inondations et de dommages étendues, d’après ce qu’ont déclaré des responsables.
Des rafales de vent soufflant jusqu’à 280 km/h sont prévues, entraînant des pluies torrentielles, d’après le Bureau de Météorologie d’Australie.
Ita est potentiellement la tempête la plus puissante à menacer la région depuis le cyclone Yasi il y a trois ans
« La mer devrait augmenter de manière constante jusqu’à un niveau qui sera bien supérieur à la marée normale, avec des vagues dévastatrices, des courants forts et des inondations des zones de basse altitude s’étendant à l’intérieur des terres » a déclaré le Bureau.
La tempête était encore classifiée comme une dépression tropicale lorsqu’elle s’est dirigée dans les Iles Salomon la semaine dernière, faisant au moins 23 victimes près de la capitale Honiara, d’après l’ONU.
En Australie, des hélicoptères de secourisme ont été envoyés pour trouver les habitants dans les régions isolées et les avertir de l’approche de la tempête. Les campings ont été évacués et fermés et les îles près de la côte ont aussi été évacuées.
La trajectoire prévue de la tempête devrait l’entraîner dans une partie peu peuplée de l’Etat du Queensland vendredi, s’étendant sur une superficie de près de 400 km.
Le Premier Ministre du Queensland, Campbell Newman a déclaré que près de 9000 personnes pourraient être évacuées en prévision du cyclone, y compris des habitants et des touristes à Port Douglas, un lieu de vacances très couru.
Le ministre de l’énergie a déclaré qu’Ita était potentiellement la tempête la plus puissante à menacer la région depuis le cyclone Yasi il y a trois ans. Il a déclaré que les habitants devaient se préparer à perdre l’électricité pendant au moins un mois.
Le cyclone Yasi avait fait près de 3,5 milliards de dollars australiens de dégâts lorsqu’il avait traversé le Queensland en Février 2011.
Les touristes et les habitants côtiers évacuaient des parties de la Grande Barrière de Corail jeudi alors qu’un cyclone puissant s’intensifiait dans la Mer de Corail et se dirigeait vers le nord-est de l’Australie.
Le cyclone Ita devrait pénétrer les terres vendredi au nord de la ville tropicale de Cairns, entraînant la possibilité d’inondations et de dommages étendues, d’après ce qu’ont déclaré des responsables.
Des rafales de vent soufflant jusqu’à 280 km/h sont prévues, entraînant des pluies torrentielles, d’après le Bureau de Météorologie d’Australie.
Ita est potentiellement la tempête la plus puissante à menacer la région depuis le cyclone Yasi il y a trois ans
« La mer devrait augmenter de manière constante jusqu’à un niveau qui sera bien supérieur à la marée normale, avec des vagues dévastatrices, des courants forts et des inondations des zones de basse altitude s’étendant à l’intérieur des terres » a déclaré le Bureau.
La tempête était encore classifiée comme une dépression tropicale lorsqu’elle s’est dirigée dans les Iles Salomon la semaine dernière, faisant au moins 23 victimes près de la capitale Honiara, d’après l’ONU.
En Australie, des hélicoptères de secourisme ont été envoyés pour trouver les habitants dans les régions isolées et les avertir de l’approche de la tempête. Les campings ont été évacués et fermés et les îles près de la côte ont aussi été évacuées.
La trajectoire prévue de la tempête devrait l’entraîner dans une partie peu peuplée de l’Etat du Queensland vendredi, s’étendant sur une superficie de près de 400 km.
Le Premier Ministre du Queensland, Campbell Newman a déclaré que près de 9000 personnes pourraient être évacuées en prévision du cyclone, y compris des habitants et des touristes à Port Douglas, un lieu de vacances très couru.
Le ministre de l’énergie a déclaré qu’Ita était potentiellement la tempête la plus puissante à menacer la région depuis le cyclone Yasi il y a trois ans. Il a déclaré que les habitants devaient se préparer à perdre l’électricité pendant au moins un mois.
Le cyclone Yasi avait fait près de 3,5 milliards de dollars australiens de dégâts lorsqu’il avait traversé le Queensland en Février 2011.
mercredi 2 avril 2014
12:58
Un tremblement de terre de magnitude 8,2 a eu lieu à environ 89 kilomètres, et à 46 kilomètres de profondeur, au large de la ville d'Iquique, dans le nord du Chili, mardi 1er avril. Des dizaines répliques ont ensuite atteint des magnitudes de 5,5 et 6,2, selon le Centre américain d'alerte des tsunamis dans le Pacifique (PTWC).
Une alerte au tsunami a été lancée au Chili et au Pérou avant d'être levée en début de matinée.
Des vagues d'une hauteur de 2,11 mètres ont tout de même été aperçues sur les côtes du nord-ouest du Chili, incitant les autorités à évacuer la zone. Au moins 5 personnes sont mortes à la suite du séisme, « victimes de crise cardiaque ou écrasées sous les décombres », selon le ministère de l'intérieur chilien.
La présidente Michelle Bachelet a déclaré l'état de catastrophe naturelle dans les régions d'Arica, Parinacota et Tarapacá et devrait se rendre mercredi dans les zones touchées, où tous les vols ont été annulés.
Les services d'urgence du Chili et du Pérou ont rapidement demandé l'évacuation de l'ensemble de la zone côtière. De dizaines de milliers de Chiliens ont ainsi reçu un SMS des autorités leur recommandant de partir. Les opérations sont compliquées par des glissements de terrain qui bloquent partiellement certaines routes et voies de chemins de fer, indiquent les autorités chiliennes.
Malgré des embouteillages initiaux, le processus d'évacuation s'est déroulé sans problèmes et sera maintenu pendant au moins six heures, selon les autorités chiliennes. Les communications téléphoniques et les services d'eau potables n'ont pas été affectés, mais des coupures d'électricité frappent plusieurs régions. Pour compliquer un peu plus la situation pour les autorités, près de 300 détenues ont profité du séisme pour s'enfuire de leur prison. Des effectifs des forces armées ont été déployés « comme mesure préventive », selon le ministère de l'intérieur.
UN PAYS CIBLE DE FRÉQUENTS SÉISMES
Le Chili est un des pays les plus touchés par les séisme au monde. Un tremblement de terre d'une magnitude de 8,8 avait provoqué la mort de plus de 700 personnes en 2010, détruisant plus de 220 000 maisons. Le séisme le plus puissant enregistré dans le monde l'a été au Chili – d'une magnitude de 9,5 en 1960, tuant plus de 5 000 personnes.
Des centaines de tremblements de terre ont secoué la pointe nord du pays au cours de ces deux dernières semaines, mettant les nerfs des habitants à vif, tandis que les spécialistes ne pouvaient confirmer s'il s'agissait d'un signe avant-coureur d'un désastre. Une secousse de magnitude 6,7, le 16 mars, avait notamment entraîné quelques dégâts mineurs et la brève évacuation de 100 000 personnes mais aucun tsunami n'avait été signalé.
Source © Le Monde
Une alerte au tsunami a été lancée au Chili et au Pérou avant d'être levée en début de matinée.
Des vagues d'une hauteur de 2,11 mètres ont tout de même été aperçues sur les côtes du nord-ouest du Chili, incitant les autorités à évacuer la zone. Au moins 5 personnes sont mortes à la suite du séisme, « victimes de crise cardiaque ou écrasées sous les décombres », selon le ministère de l'intérieur chilien.
La présidente Michelle Bachelet a déclaré l'état de catastrophe naturelle dans les régions d'Arica, Parinacota et Tarapacá et devrait se rendre mercredi dans les zones touchées, où tous les vols ont été annulés.
Les services d'urgence du Chili et du Pérou ont rapidement demandé l'évacuation de l'ensemble de la zone côtière. De dizaines de milliers de Chiliens ont ainsi reçu un SMS des autorités leur recommandant de partir. Les opérations sont compliquées par des glissements de terrain qui bloquent partiellement certaines routes et voies de chemins de fer, indiquent les autorités chiliennes.
Malgré des embouteillages initiaux, le processus d'évacuation s'est déroulé sans problèmes et sera maintenu pendant au moins six heures, selon les autorités chiliennes. Les communications téléphoniques et les services d'eau potables n'ont pas été affectés, mais des coupures d'électricité frappent plusieurs régions. Pour compliquer un peu plus la situation pour les autorités, près de 300 détenues ont profité du séisme pour s'enfuire de leur prison. Des effectifs des forces armées ont été déployés « comme mesure préventive », selon le ministère de l'intérieur.
UN PAYS CIBLE DE FRÉQUENTS SÉISMES
Le Chili est un des pays les plus touchés par les séisme au monde. Un tremblement de terre d'une magnitude de 8,8 avait provoqué la mort de plus de 700 personnes en 2010, détruisant plus de 220 000 maisons. Le séisme le plus puissant enregistré dans le monde l'a été au Chili – d'une magnitude de 9,5 en 1960, tuant plus de 5 000 personnes.
Des centaines de tremblements de terre ont secoué la pointe nord du pays au cours de ces deux dernières semaines, mettant les nerfs des habitants à vif, tandis que les spécialistes ne pouvaient confirmer s'il s'agissait d'un signe avant-coureur d'un désastre. Une secousse de magnitude 6,7, le 16 mars, avait notamment entraîné quelques dégâts mineurs et la brève évacuation de 100 000 personnes mais aucun tsunami n'avait été signalé.
Source © Le Monde
mardi 25 mars 2014
16:52
Etat d'urgence déclaré au nord du Brésil
De fortes pluies dans les régions de Porto Velho et Mutum Parana, situées au nord du Brésil à la frontière avec la Bolivie, ont provoqué des inondations massives le long du fleuve Madeira depuis février.
Les niveaux d'eau ont atteint des records le 20 mars, atteignant 19 mètres au-dessus du niveau normal, et il est prévu que la crue du fleuve continue de s'étendre jusqu'à début avril.
L'état d'urgence vient d'être déclaré par les autorités et 22 000 maisons ont du être évacuées dans de nombreux villages, où les routes sont désormais coupées et les maisons inondées. L'évacuation rapide des habitants a toutefois permis de ne déplorer aucune victime.
De fortes pluies dans les régions de Porto Velho et Mutum Parana, situées au nord du Brésil à la frontière avec la Bolivie, ont provoqué des inondations massives le long du fleuve Madeira depuis février.
Les niveaux d'eau ont atteint des records le 20 mars, atteignant 19 mètres au-dessus du niveau normal, et il est prévu que la crue du fleuve continue de s'étendre jusqu'à début avril.
L'état d'urgence vient d'être déclaré par les autorités et 22 000 maisons ont du être évacuées dans de nombreux villages, où les routes sont désormais coupées et les maisons inondées. L'évacuation rapide des habitants a toutefois permis de ne déplorer aucune victime.
vendredi 7 février 2014
13:22
Des pluies torrentielles et des inondations ont fait au moins 38 victimes en Bolivie et ont considérablement affecté les secteurs de l’élevage et de l’agriculture.
Des pluies torrentielles et des inondations ont tué 38 personnes en Bolivie et fait de nombreux sans-abris, d’après ce qu’a indiqué le gouvernement jeudi, alors que les météorologues prévoyaient davantage de précipitations au nord du pays andin probablement le plus affecté.
Le Ministère de la Défense bolivien a déclaré avoir envoyé une aide alimentaire dans les régions affectées et que l’armée évacuait actuellement des familles des régions les plus touchées telles que le département de Beni, au nord-est de la capitale La Paz.
Près de 100 000 têtes de bétail sont menacées et près de 6000 hectares de cultures ont été détruits, soit près de 0,2% du total de la Bolivie d’après ce qu’a indiqué le gouvernement.
Plus de 40 000 foyers ont été affectées par les pluies saisonnières depuis le mois d’Octobre, soit cinq fois plus que l’an dernier, les régions du centre et du nord du pays étant les plus gravement touchées.
La saison des pluies dure habituellement jusqu’à Mars en Bolivie, augmentant les chances d’inondations encore pires, notamment dans le nord du pays andin.
« C’est une des pires catastrophes que j’ai jamais vue en trente ans. Les rues sont complètement inondées et recouvertes de boue. C’est difficile de voir nos voisins, qui sont principalement des populations indigènes qui vivaient sur les rives du Fleuve Beni.
Ils ont été déplacés et ont besoin d’aide, mais nous ne pouvons pas leur en offrir nous-mêmes car nos propres situations sont très critiques » a déclaré Don José Melgar, un des nombreux habitants de la ville de Rurrenabaque, qui souffrent d’un sentiment d’impuissance de ne pas être capable d’aider ses voisins, dont certains vivent dans des zones extrêmement vulnérables.
Dans le département de Beni, il y a plus de 2600 familles affectées, notamment dans les zones rurales telles que la ville de Rurrenabque.
Source © AFP
Des pluies torrentielles et des inondations ont tué 38 personnes en Bolivie et fait de nombreux sans-abris, d’après ce qu’a indiqué le gouvernement jeudi, alors que les météorologues prévoyaient davantage de précipitations au nord du pays andin probablement le plus affecté.
Le Ministère de la Défense bolivien a déclaré avoir envoyé une aide alimentaire dans les régions affectées et que l’armée évacuait actuellement des familles des régions les plus touchées telles que le département de Beni, au nord-est de la capitale La Paz.
Près de 100 000 têtes de bétail sont menacées et près de 6000 hectares de cultures ont été détruits, soit près de 0,2% du total de la Bolivie d’après ce qu’a indiqué le gouvernement.
Plus de 40 000 foyers ont été affectées par les pluies saisonnières depuis le mois d’Octobre, soit cinq fois plus que l’an dernier, les régions du centre et du nord du pays étant les plus gravement touchées.
La saison des pluies dure habituellement jusqu’à Mars en Bolivie, augmentant les chances d’inondations encore pires, notamment dans le nord du pays andin.
« C’est une des pires catastrophes que j’ai jamais vue en trente ans. Les rues sont complètement inondées et recouvertes de boue. C’est difficile de voir nos voisins, qui sont principalement des populations indigènes qui vivaient sur les rives du Fleuve Beni.
Ils ont été déplacés et ont besoin d’aide, mais nous ne pouvons pas leur en offrir nous-mêmes car nos propres situations sont très critiques » a déclaré Don José Melgar, un des nombreux habitants de la ville de Rurrenabaque, qui souffrent d’un sentiment d’impuissance de ne pas être capable d’aider ses voisins, dont certains vivent dans des zones extrêmement vulnérables.
Dans le département de Beni, il y a plus de 2600 familles affectées, notamment dans les zones rurales telles que la ville de Rurrenabque.
Source © AFP
mercredi 5 février 2014
09:06
Un train de fret transportant des citernes de gaz a déraillé cette nuit à Kirov, à 900 km à l’est de Moscou en Russie. Il s’en est suivi un gigantesque incendie.
Selon le ministère russe des Situations d’urgence, il n’y a eu aucune victimes.
Mais plus de 400 personnes habitant dans les environs ont été évacuées.
Plus de 250 membres des services de secours ont été dépêchés sur les lieux.
Source © AFP
Selon le ministère russe des Situations d’urgence, il n’y a eu aucune victimes.
Mais plus de 400 personnes habitant dans les environs ont été évacuées.
Plus de 250 membres des services de secours ont été dépêchés sur les lieux.
Source © AFP
mardi 4 février 2014
16:53
Une des tours de la Bibliothèque nationale de France a été évacué à titre après la découverte d'un problème dans la qualité de l'air, a annoncé ce mardi la BNF.
La Bibliothèque nationale de France a évacué à titre préventif une tour de bureaux du site François Mitterrand après avoir constaté des problèmes de qualité de l'air, a annoncé mardi la BNF qui avait déjà subi en janvier une inondation. Les salles de lecture et les espaces publics ne sont pas concernés par cet incident. Une vérification générale du système de diffusion d'air conditionné est en cours à titre préventif, précise la BNF dans un communiqué.
Après le signalement par des personnels de problèmes concernant la qualité de l'air dans leur espace de travail, une vérification sur les installations techniques a conclu "à la présence en quantité significative d'éléments de laine minérale dans les batteries à débit variable qui alimentent en air conditionné l'ensemble des étages de bureaux de la tour 1 du site François-Mitterrand", explique la BNF. "Ces éléments proviennent d'une dégradation anormale du système situé en aval du filtrage de l'air extérieur, destiné à atténuer la nuisance sonore émise par les centrales de traitement d'air" (appelé "silencieux à baffles parallèles"). "Un tel dispositif est prévu pour avoir la même durée de vie que le bâtiment et n'est pas censé nécessiter des opérations de maintenance préventive", précise la Bibliothèque, ouverte au public depuis 1996.
Les résultats des analyses attendus dans une dizaine de jours
Dès la découverte du phénomène, la BNF a procédé à un diagnostic des installations concernées. En complément, des prélèvements de poussière sont effectués à partir de ce mardi par un laboratoire extérieur agréé. Dans l'attente des résultats qui prendront une dizaine de jours, la direction de la Bibliothèque a décidé, en application du principe de précaution, d'évacuer tous les personnels travaillant dans les sept étages de la Tour 1.
Les étages de magasin de stockage des collections situés au-dessus de ces bureaux, alimentés par un dispositif différent, ne sont pas concernés par le phénomène. A la mi-janvier, une importante fuite d'eau dans trois magasins de stockage de la BNF avait endommagé près de 12.000 ouvrages, "sans entraîner de perte irrémédiable pour le patrimoine", avait assuré la direction. Etablissement public, la BNF, ainsi dénommée depuis 1994, est la plus importante bibliothèque de France et l'une des plus grandes au monde.
Source © AFP
La Bibliothèque nationale de France a évacué à titre préventif une tour de bureaux du site François Mitterrand après avoir constaté des problèmes de qualité de l'air, a annoncé mardi la BNF qui avait déjà subi en janvier une inondation. Les salles de lecture et les espaces publics ne sont pas concernés par cet incident. Une vérification générale du système de diffusion d'air conditionné est en cours à titre préventif, précise la BNF dans un communiqué.
Après le signalement par des personnels de problèmes concernant la qualité de l'air dans leur espace de travail, une vérification sur les installations techniques a conclu "à la présence en quantité significative d'éléments de laine minérale dans les batteries à débit variable qui alimentent en air conditionné l'ensemble des étages de bureaux de la tour 1 du site François-Mitterrand", explique la BNF. "Ces éléments proviennent d'une dégradation anormale du système situé en aval du filtrage de l'air extérieur, destiné à atténuer la nuisance sonore émise par les centrales de traitement d'air" (appelé "silencieux à baffles parallèles"). "Un tel dispositif est prévu pour avoir la même durée de vie que le bâtiment et n'est pas censé nécessiter des opérations de maintenance préventive", précise la Bibliothèque, ouverte au public depuis 1996.
Les résultats des analyses attendus dans une dizaine de jours
Dès la découverte du phénomène, la BNF a procédé à un diagnostic des installations concernées. En complément, des prélèvements de poussière sont effectués à partir de ce mardi par un laboratoire extérieur agréé. Dans l'attente des résultats qui prendront une dizaine de jours, la direction de la Bibliothèque a décidé, en application du principe de précaution, d'évacuer tous les personnels travaillant dans les sept étages de la Tour 1.
Les étages de magasin de stockage des collections situés au-dessus de ces bureaux, alimentés par un dispositif différent, ne sont pas concernés par le phénomène. A la mi-janvier, une importante fuite d'eau dans trois magasins de stockage de la BNF avait endommagé près de 12.000 ouvrages, "sans entraîner de perte irrémédiable pour le patrimoine", avait assuré la direction. Etablissement public, la BNF, ainsi dénommée depuis 1994, est la plus importante bibliothèque de France et l'une des plus grandes au monde.
Source © AFP
15:56
Le volcan Sinabung était en sommeil depuis 400 ans mais s'est réveillé en 2010 puis en septembre 2013. Relativement calme depuis la mi-janvier, il a soudainement redoublé d'activité samedi matin, crachat des nuées ardentes jusqu'à 2 km d'altitude.
Depuis septembre, 30.000 personnes ont été évacuées de la région. Mais certains habitants ont été autorisés à rentrer chez eux vendredi suite à l'accalmie enregistrée.
Les recherches de survivants ont été vaines dimanche au pied du volcan indonésien Sinabung, après une nuée ardente qui a englouti 15 personnes et laissé un paysage apocalyptique où le seul signe de vie était un téléphone portable sonnant dans le vide.
Équipés de tronçonneuses et de masques à oxygène, 170 secouristes environ ont repris les fouilles dimanche matin, sous les grondements du volcan tout proche et dans une couche de cendres d'une trentaine de centimètres qui a totalement recouvert le village de Sukameriah, à 2,7 km du cratère.
Dimanche après-midi, et après seulement deux expéditions dans le village, les recherches ont été interrompues en raison de la faible visibilité et de la répétition des secousses.
La région a été transformée en paysage apocalyptique, où des cadavres au visage enflé et à la langue pendante surgissaient de l'épais manteau grisâtre.
Le bilan a été porté dimanche à 15 morts, l'ensemble des victimes se trouvaient dans la zone rouge déclarée no man's land autour du volcan, situé sur l'île de Sumatra (nord-ouest). La plupart d'entre elles étaient des touristes locaux.
Source: © AFP
Depuis septembre, 30.000 personnes ont été évacuées de la région. Mais certains habitants ont été autorisés à rentrer chez eux vendredi suite à l'accalmie enregistrée.
Les recherches de survivants ont été vaines dimanche au pied du volcan indonésien Sinabung, après une nuée ardente qui a englouti 15 personnes et laissé un paysage apocalyptique où le seul signe de vie était un téléphone portable sonnant dans le vide.
Équipés de tronçonneuses et de masques à oxygène, 170 secouristes environ ont repris les fouilles dimanche matin, sous les grondements du volcan tout proche et dans une couche de cendres d'une trentaine de centimètres qui a totalement recouvert le village de Sukameriah, à 2,7 km du cratère.
Dimanche après-midi, et après seulement deux expéditions dans le village, les recherches ont été interrompues en raison de la faible visibilité et de la répétition des secousses.
La région a été transformée en paysage apocalyptique, où des cadavres au visage enflé et à la langue pendante surgissaient de l'épais manteau grisâtre.
Le bilan a été porté dimanche à 15 morts, l'ensemble des victimes se trouvaient dans la zone rouge déclarée no man's land autour du volcan, situé sur l'île de Sumatra (nord-ouest). La plupart d'entre elles étaient des touristes locaux.
Source: © AFP
15:54
Les autorités équatoriennes ont déclaré l'état d'alerte autour du volcan Tungurahua, situé dans le centre du pays, et décidé d'évacuer plusieurs centaines d'habitants de villages environnants.
Le Service national de gestion des risques (SNGR) a annoncé samedi avoir décrété dans certaines zones l'alerte orange, dernier niveau avant l'alerte rouge, le degré maximum, après de nouvelles éruptions du volcan qui culmine à 5.029 mètres d'altitude dans la cordillère des Andes, à 135 km au sud de Quito.
Les services d'urgence ont également annoncé sur les réseaux sociaux avoir évacué avec l'aide de la police "tous les habitants" des localités voisines de Chacauco et Bilbao.
Le SNGR a précisé que l'activité du volcan était "élevée" samedi soir, avec d'importantes émissions de cendres dans certaines localités et des projections incandescentes ayant provoqué la fermeture de plusieurs routes.
Toutefois, dans son dernier bilan, l'Institut de géophysique équatorien a signalé une "diminution progressive de l'activité". Les régions de Tungurahua et Chimborazo, proches du volcan, constituent des voies d'accès vers l'Amazonie.
En contrebas du volcan, la ville de Baños accueille en moyenne un million de touristes par an, dont 40% d'étrangers, selon les autorités. Le volcan Tungurahua (un nom qui signifie "gorge de feu" en langage indigène quechua) est en éruption depuis 1999, alternant les périodes d'accalmie et d'activité.
En 2006, six personnes sont mortes pendant une forte éruption. En 2010, une alerte rouge avait entraîné une évacuation massive d'habitants et de touristes.
Source : © AFP
Le Service national de gestion des risques (SNGR) a annoncé samedi avoir décrété dans certaines zones l'alerte orange, dernier niveau avant l'alerte rouge, le degré maximum, après de nouvelles éruptions du volcan qui culmine à 5.029 mètres d'altitude dans la cordillère des Andes, à 135 km au sud de Quito.
Les services d'urgence ont également annoncé sur les réseaux sociaux avoir évacué avec l'aide de la police "tous les habitants" des localités voisines de Chacauco et Bilbao.
Le SNGR a précisé que l'activité du volcan était "élevée" samedi soir, avec d'importantes émissions de cendres dans certaines localités et des projections incandescentes ayant provoqué la fermeture de plusieurs routes.
Toutefois, dans son dernier bilan, l'Institut de géophysique équatorien a signalé une "diminution progressive de l'activité". Les régions de Tungurahua et Chimborazo, proches du volcan, constituent des voies d'accès vers l'Amazonie.
En contrebas du volcan, la ville de Baños accueille en moyenne un million de touristes par an, dont 40% d'étrangers, selon les autorités. Le volcan Tungurahua (un nom qui signifie "gorge de feu" en langage indigène quechua) est en éruption depuis 1999, alternant les périodes d'accalmie et d'activité.
En 2006, six personnes sont mortes pendant une forte éruption. En 2010, une alerte rouge avait entraîné une évacuation massive d'habitants et de touristes.
Source : © AFP
lundi 16 décembre 2013
16:09
Plus de 40 000 habitants de Gaza ont été évacués en raison des inondations provoquées par les pluies torrentielles.
Les sauveteurs ont atteint les habitants dans certaines localités inondées à l’aide des bateaux. L'ONU a qualifié le nord de la bande de Gaza comme une zone sinistrée.
Malgré l'amélioration de la météo, les sauveteurs continuent à évacuer les personnes et à pomper l'eau des réservoirs débordant, les murs en terre desquels menacent ne pas résister à la pression.
Précédemment, la Cisjordanie et Israël ont été frappés par une tempête de neige. Des chutes de neige ont paralysé la circulation à Jérusalem.
Au Moyen-Orient, cet hiver est exceptionnellement froid. Au Caire, il a neigé pour la première fois en 112 années.
Les sauveteurs ont atteint les habitants dans certaines localités inondées à l’aide des bateaux. L'ONU a qualifié le nord de la bande de Gaza comme une zone sinistrée.
Malgré l'amélioration de la météo, les sauveteurs continuent à évacuer les personnes et à pomper l'eau des réservoirs débordant, les murs en terre desquels menacent ne pas résister à la pression.
Précédemment, la Cisjordanie et Israël ont été frappés par une tempête de neige. Des chutes de neige ont paralysé la circulation à Jérusalem.
Au Moyen-Orient, cet hiver est exceptionnellement froid. Au Caire, il a neigé pour la première fois en 112 années.
16:06
Quelque 150.000 personnes ont été évacuées depuis vendredi à la suite des inondations dues aux pluies dans la province insulaire de Hainan (extrême-sud de la Chine), ont déclaré dimanche les autorités locales.
Les précipitations ont atteint 510 mm dans certaines zones de la ville de Wanning et une moyenne de près de 300 mm de pluies a été enregistrée dans huit bourgs près de la ville depuis vendredi.
Les autorités ont envoyé des vedettes pour évacuer les habitants des zones inondées. Selon le département météorologique de Hainan, les pluies devraient persister jusqu'à lundi dans l'est de l'île, perturbant les opération de secours.
L'observatoire national chinois a maintenu lundi une alerte aux tempêtes, alors que de fortes pluies continueront à frapper les provinces méridionales du pays.
Des tempêtes sont attendues lundi et mardi dans plusieurs régions du Guangdong, de Hainan, du Jiangxi, du Fujian et du Zhejiang et devraient entraîner par endroits des précipitations atteignant 120 mm au cours des prochaines 24 heures, selon le Centre météorologique national (CMN).
Source : Chine Nouvelle
Les précipitations ont atteint 510 mm dans certaines zones de la ville de Wanning et une moyenne de près de 300 mm de pluies a été enregistrée dans huit bourgs près de la ville depuis vendredi.
Les autorités ont envoyé des vedettes pour évacuer les habitants des zones inondées. Selon le département météorologique de Hainan, les pluies devraient persister jusqu'à lundi dans l'est de l'île, perturbant les opération de secours.
L'observatoire national chinois a maintenu lundi une alerte aux tempêtes, alors que de fortes pluies continueront à frapper les provinces méridionales du pays.
Des tempêtes sont attendues lundi et mardi dans plusieurs régions du Guangdong, de Hainan, du Jiangxi, du Fujian et du Zhejiang et devraient entraîner par endroits des précipitations atteignant 120 mm au cours des prochaines 24 heures, selon le Centre météorologique national (CMN).
Source : Chine Nouvelle
jeudi 28 novembre 2013
13:51
Le volcan, situé dans l'ouest de l'Indonésie, a explosé huit fois au cours du week-end. Il fait «pleuvoir des roches» sur une zone étendue et oblige des milliers d'habitants à fuir.
Plus de 17.000 personnes ont été évacuées des villages environnants, 31 camps d'évacuation ont été mis en place dans quatre districts dans la régence de Karo .
Depuis le début de la semaine, les personnes déplacées dans le district de Langkat n'ont reçu que 15 sacs de riz et 25 boîtes de nouilles instantanées. Un membre du Conseil législatif de Karo a déclaré que l'administration doit envoyer de l'aide d'urgence à Langkat immédiatement.
Le niveau d'alerte a été élevé à son plus haut degré et la situation est préoccupante pour les personnes vivant dans les environs immédiat du volcan
Même si les éruptions explosives ont tendance à ne durer normalement que quelques semaines à quelques mois, nous avons néanmoins constaté des coulées pyroclastiques, courants de cendres chaudes et de roches qui se déplacent rapidement et peuvent être très dangereux "
© Nature Alerte
Plus de 17.000 personnes ont été évacuées des villages environnants, 31 camps d'évacuation ont été mis en place dans quatre districts dans la régence de Karo .
Depuis le début de la semaine, les personnes déplacées dans le district de Langkat n'ont reçu que 15 sacs de riz et 25 boîtes de nouilles instantanées. Un membre du Conseil législatif de Karo a déclaré que l'administration doit envoyer de l'aide d'urgence à Langkat immédiatement.
Le niveau d'alerte a été élevé à son plus haut degré et la situation est préoccupante pour les personnes vivant dans les environs immédiat du volcan
Même si les éruptions explosives ont tendance à ne durer normalement que quelques semaines à quelques mois, nous avons néanmoins constaté des coulées pyroclastiques, courants de cendres chaudes et de roches qui se déplacent rapidement et peuvent être très dangereux "
© Nature Alerte
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