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jeudi 30 octobre 2014
Sept centrales nucléaires, dont une en déconstruction, ont été survolées par des drones en octobre, «sans conséquences sur la sûreté ni le fonctionnement des installations», a-t-on appris mercredi auprès d'EDF, qui a porté plainte.

Le premier survol «d'un aéronef assimilable à un drone» a été détecté le 5 octobre au-dessus de la centrale en déconstruction de Creys-Malville (Isère), selon EDF. Les autres survols ont eu lieu au-dessus des centrales de Gravelines (Nord), Cattenom (Moselle), du Blayais (Gironde), du Bugey (Ain), de Chooz (Ardennes) et de Nogent-sur-Seine (Aube).

EDF a porté plainte à deux reprises en dix jours après le survol de sa centrale nucléaire de Saint-Vulbas (Ain) par un «aéronef assimilable à un drone», selon une information du site internet de la centrale.

Source © AFP
vendredi 17 octobre 2014
Selon l'agence de presse japonaise Jiji Press, le typhon qui s'est abattu sur le Japon la semaine dernière a provoqué une augmentation importante de la radioactivité des eaux autour de le centrale nucléaire ruinée de Fukushima.

Les niveaux de césium mesurés dans les puits techniques autour de la centrale atteignent jusqu'à 251 000 becquerels par litre, trois fois plus que les précédentes mesures, (25 000 fois plus que les limites de l'Organisation mondiale de la santé pour l'eau potable). 

Les niveaux de strontium ont également été multiplié par un facteur 3 (3,7 exactement), à 7,8 millions de becquerels par litre (26 millions de fois supérieur aux limites autorisées). Les niveaux de tritium ont été multplié par 10 soit 150 000 becquerels par litre.

Les travailleurs de Fukushima tentent de limiter le passage des eaux contaminées dans l'océan, une tâche rendue quasi impossible, étant donnée les pluies torrentielles qui se sont abattues sur la centrale. La communication officielle fait état de l'impossibilté de faire plus que ce qui a été fait jusque maintenant, et d'un impact sur la contamination du Pacifique pour le moment inconnu. Pendant plus de deux ans après la catastrophe  Tepco, l'opérateur de la centrale, avait nié toute fuite d'eaux contaminées dans l'océan, contre toute évidence.

Inquiétudes américaine

Deux modèles mathématiques  de la dispersion des radionucléides dans l'océan, ont calculé un pic de contamination autour de 2016 le long des côtes américaines et canadienne,s bien que leurs résultats divergent d'un facteur 10.

Le site participatif américain How radioactive our our ocean, publie des mesures de la radioactivité des eaux sur les côtes américaines, mesures qui ne dépassent pas la normale pour le moment. Reste que les poissons et les mollusques peuvent concentrer les radionucléides à des taux des centaines de fois supérieurs à celui des eaux environnantes et certaines espèces, comme le thon, peuvent traverser le Pacifique.

inquiétudes Japonaises

Il n'est pas impossible que la contamination des aquifères au-dessous de la centrale de Fukushima Daïchi puisse gagner l'aquifère de Tokyo qui lui est connecté (3). Et ce d'autant plus que les efforts pour stocker des centaines de milliers de tonnes d'eau contaminée sur le site, dans des réservoirs de fortune, pourraient être anéantis par un nouveau tremblement de terre (ibid). 

1) Japanese Nuclear Plant May Have Been Leaking for Two Years. New York Times. 
2) Fukushima's Radioactive Ocean Plume to Reach US Waters by 2014. Article publié par LiveScience.
3) Interview de Michael Friedlander, Ingenieur nucléaire. Bloomberg.

Source © ddmag

mardi 23 septembre 2014
Les larves de papillon nourries aux feuilles légèrement contaminées recueillis sur le site de Daiichi prés de la centrale nucléaire de Fukushima au Japon souffrent d'anomalies physiques et ont un faible taux de survie révèle une nouvelle étude. 

Cette recherche suggère que l'environnement dans la région de Fukushima, et en particulier dans les zones interdites pour raisons de sécurité, restera dangereux pour la faune et la flore pendant longtemps.

Depuis la catastrophe de 2011, que ce soit sur le terrain ou en laboratoire, Joji Otaki, un biologiste de l'Université de Ryukyu dans le Nishihara a mené de nombreuses études des effets de la radiation nucléaires sur les insectes, et en particulier sur le papillon bleu pâle (Zizeeria maha), une espèce présente sur tout le territoire Japonnais. 

Des 2011 ,son équipe a alimenté en laboratoire des groupes de larves de papillon avec des feuilles irradiées d'Oxalis corniculata receuillies sur le terrain près de la centrale quelques mois après l'accident. Le taux de rayonnement des feuilles représentaient alors des milliers de becquerels par kilogramme (Bq / kg)  (A titre de comparaison, le gouvernement japonais a fixé une limite de 100 Bq / kg pour la consommation humaine de riz, de viande et de poisson, et 50 Bq / kg pour le lait et les préparations pour nourrissons). 

Les larves avaient dés lors un faible taux de survie ou présentaient des anomalies physiques nombreuses, en particulier sur les ailes inférieures. Ces résultats corroborent aux enquêtes de terrain qui ont révélé une forte baisse de la population de papillons dans les zones contaminées. 

Aujourd'hui avec cette nouvelle étude, le proffesseur Otaki et son équipe, démontre que les larves nourries avec des feuilles présentant des taux de radiation beaucoup plus faibles sont tout autant endommagées. 

Les larves nourries avec des feuilles recueillies entre 16 et 20 mois après l'accident dans un rayon de 60 à 1750 kilomètres autour de la centrale, et présentant des niveaux de contamination variant de 161 à 0,2 Bq / kg ont permis de constaté deux choses importantes. 

En premier lieu que la contamination a augmenté sur un plus large secteur, et que les taux d'anomalies et de mortalité des papillons ont augmenté. 

"Ces résultats suggèrent que l'ingestion de plante à faibles doses d'irradiation ( environ 100 Bq / kg ) peut être sérieusement toxique pour certains organismes»,  écrit l'équipe de chercheurs dans un article publié aujourd'hui dans le magazine BMC Evolutionary Biology. 

Plus étonnant encore, pour leurs études les chercheurs ont divisé les descendants de papillons déjà nourris de feuilles irradiées en deux groupes: leurs Larves nourries avec des feuilles toujours contaminées présentaient des taux de survie et des anomalies encore plus importantes, alors que celles nourries avec des feuilles saines devenaient des papillons ne présentant presque plus de symptômes.

Les conclusions de cette étude sont «révolutionnaire», affirme, Timothy Mousseau, biologiste à l'Université de Caroline du Sud, qui étudie également les effets des radiations sur la faune près de Fukushima et de Tchernobyl. 

Il rappelle qu'il n'y a «presque pas d'études" sur les effets de l'ingestion d'aliments irradiés. Néanmoinsle proffesseur Mousseau se veut rassurant:

"Je pense que les papillons en tant qu'espéce à part entière sont susceptibles d'être beaucoup plus sensibles que les humains aux radiocontaminants ingérés" 

© Nature Alerte

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vendredi 19 septembre 2014
Le gouvernement finlandais a approuvé jeudi un projet de construction d'une centrale nucléaire dans le pays Hanhikivi-1 avec la participation de la société d’Etat russe Rosatom, selon le site du cabinet finlandais.

Désormais, le parlement de Finlande devrait rendre une décision concernant le soutien du projet.

Plus tôt, le Premier ministre finlandais Alexander Stubb a déclaré que la Finlande continuerait à travailler avec la Russie sur le projet de construction de cette centrale nucléaire en dépit des sanctions. Selon Stubb, le projet est tellement important qu'il ne doit pas être mélangé avec la politique.

La nouvelle usine nucléaire finlandaise sera dotée de réacteur russe VVER-1200. Il est prévu que la centrale va commencer à produire de l'électricité en 2024.
samedi 28 juin 2014
Tepco admet finalement la « possibilité » que la contamination soit descendue dans les couches profondes du sol. Tepco l'a annoncé au cours de la conférence de presse extraordinaire du 24 juin 2014. Le Fukushima Diary signale cette possibilité depuis des mois 

Tepco affirmait que les eaux extrêmement radioactives étaient descendues jusqu'à 15 m en sous-sol mais qu'elles avaient été arrêtées par la couche imperméable juste en dessous. 

Or, dans un échantillon du 10 juin 2014, on relevait à nouveau entre 120 et 140 000 Bq/m³ de tritium à 25 m de profondeur en sous-sol. 

Tepco est toujours « en investigation » pour en trouver la cause et ils affirment que la construction du mur congelé a pu accidentellement répandre la radioactivité. 

Il y a peu de solutions pour empêcher la diffusion des eaux extrêmement radioactives si elles pénètrent dans les couches profondes. Elles peuvent alors voyager en sous-sol sous l'océan et ressurgir en mer bien au large de la centrale de Fukushima. 

Pendant ce temps, on a découvert de la contamination au sol, en césium, dans une école 
jeudi 19 juin 2014
Une inspection marine chinoise a détecté du césium 134, un nucléide marqueur de Fukushima, a annoncé mercredi l'Administration nationale des Affaires océaniques (ANAO). 

L'ANAO est en train d'établir un réseau d'inspection de l'environnement marin et d'alerte précoce dans l'ouest de l'océan Pacifique. 

Durant une expédition de 27 jours qui a couvert plus de 5.500 miles nautiques, 53 stations d'observation ont été installées, dont cinq avec une profondeur de surveillance supérieure à 1.000 mètres. 

Du césium 134, un nucléide caractéristique qui a fui de la centrale nucléaire Daiichi de Fukushima après le passage du tsunami en 2011, a été détecté par plusieurs stations d'observation, selon l'administration. He Jianhua, directeur scientifique de l'expédition a expliqué que l'augmentation de la profondeur de surveillance permettrait de surveiller les polluants radioactifs dans les mers chinoises.

Source © chine information
mardi 27 mai 2014
L'Autorité de sûreté nucléaire japonaise a avalisé lundi le projet d'un «mur de glace» souterrain pour ralentir l'accumulation d'eau radioactive dans le sous-sol de la centrale accidentée Fukushima Daiichi.

L'Autorité a examiné les plans proposés par la société Tokyo Electric Power (TEPCO, exploitante de la centrale accidentée en mars 2011) en vue d'un début des travaux en juin prochain, a indiqué un officiel de l'organisation.

Le projet, financé par le gouvernement, consiste à créer une sorte de «mur de glace» de 1,5 km de long au moyen de canalisations remplies de liquide réfrigérant pour bloquer les écoulements.

Le but est d'éviter que de l'eau saine provenant des collines aux alentours ne passe sous le site. Actuellement, de l'eau non polluée circule sans arrêt sous Fukushima Daiichi, où elle se mélange avec l'eau utilisée notamment pour refroidir les réacteurs et qui, elle, est radioactive. Avec ce mur, TEPCO voudrait enrayer ce phénomène qui augmente sans arrêt la quantité d'eau souillée sur le site.

«Nous avions quelques préoccupations, mais fondamentalement pas d'objections majeures et avons donc conclu que TEPCO pouvait démarrer partiellement ce projet», a expliqué cet officiel sous couvert de l'anonymat.

Selon lui, TEPCO devra tout de même revoir une partie de ses plans, car, en l'état, le projet pourrait endommager le réseau existant de canalisations souterraines.

Ce problème d'eau est le plus difficile qu'ait actuellement à gérer la compagnie et un de ceux qui inquiètent le plus la communauté internationale en raison des risques de pollution de l'océan Pacifique voisin.

Plus de 435 000 mètres cubes d'eau contaminée sont actuellement stockés dans plus d'un millier de gigantesques réservoirs montés à la hâte dans le complexe atomique, et TEPCO continue d'en faire installer entre 20 et 40 par mois pour tenter de suivre le rythme du flux continu de liquide radioactif provenant des sous-sols du site et des arrosages permanents des réacteurs ravagés.

Mercredi dernier, TEPCO a par ailleurs commencé à rejeter  dans l'océan Pacifique de l'eau non contaminée pompée en amont des réacteurs, avant justement qu'elle ne passe sous le site et n'y soit contaminée.

Source © AFP
mardi 22 avril 2014
Un séisme de magnitude 4,4 a frappé la Slovénie, au sud-ouest de la capitale Ljubljana , à une profondeur de 12,4 km , dit USGS .

Selon le Centre sismologique euro-méditerranéen , l'ampleur du séisme a été mesurée à 4,5 , à une profondeur de 2 kilomètres .

L'épicentre du seisme a frappé à seulement 200 kilomètres de la centrale nucléaire de Krsko , une ville de l'est de la Slovénie . La centrale est co- détenue par la Slovénie et la Croatie .

Le séisme a frappé à environ 11h00 heure locale ( 09h00 GMT ) .

Selon le US Geological Survey (USGS ) , le séisme a frappé à environ 5 kilomètres au nord-est de la ville d'Ilirska Bistrica , et à 32 kilomètres au nord-ouest de la ville croate de Rijeka et 37 kilomètres à l'est de la ville italienne de Trieste .

La centrale nucléaire de Krsko située à l'est du pays, a été construite dans l'une des régions les plus sismiques de la Slovénie et a toujours été une cause de préoccupation pour les scientifiques.

Le géologue autrichien Heinz Hoegelsberger, ancien consultant pour Greenpeace, confirme que l'emplacement de cette centrale est une véritable bombe à retardement et quelle doit être arrêté le plus rapidement possible .

© Nature Alerte
La centrale de Fessenheim a été mise à l'arrêt total du 18 avril au 20 avril 2014, suite à la survenance d'"incidents" ayant touché les deux réacteurs.

"Un arrêt automatique du réacteur n°2 a été déclenché suite à la fermeture intempestive d'une soupape qui règle l'arrivée de la vapeur sur le groupe turbo-alternateur dans la partie non-nucléaire de la centrale", a indiqué à l'AFP un porte-parole d'EDF Fessenheim.

Le réacteur n°1 était quant à lui déjà à l'arrêt depuis le 9 avril, en raison d'une fuite détectée dans sa tuyauterie d'alimentation en eau.

"Il n'y a aucune conséquence pour la sûreté des installations et pour l'environnement", a assuré EDF. Ces deux anomalies concernent les "parties non nucléaires" de la centrale et ne sont, selon l'exploitant, pas liées à l'âge avancé de la plus ancienne centrale du parc nucléaire français.

Pour Europe Ecologie Les Verts (EELV), "la prise de conscience est inéluctable : nos centrales nucléaires les plus vieilles sont fragiles et il faut les fermer. EELV dénonce l'acharnement thérapeutique de ceux qui voudraient maintenir en activité tous les réacteurs y compris au-delà de leur âge limite".

La centrale de Fessenheim, en service depuis 1977, devrait être fermée d'ici fin 2016.

Source © Pierre Emmanuel Bouchez / Actu-Environnement
mercredi 16 avril 2014
Sur cet ancien site militaire, destiné à devenir une carrière de gypse à ciel ouvert, un niveau de radioactivité 10 à 20 fois supérieur à la normale a été relevé

L’Autorité de sûreté nucléaire vient de publier, ce mardi, les résultats des mesures de radioactivité du site du Fort de Vaujours, à l'est de Paris à la limite entre la Seine-Saint-Denis et la Seine-et-Marne. Elles ont mis en évidence « un niveau de rayonnement 10 à 20 fois supérieur au niveau naturel dans une casemate », a indiqué l’ASN dans sa note d’information publiée sur son site.

Ces mesures ont été réalisées par l’ASN, l’ACRO (Association pour le contrôle de la radioactivité dans l’ouest) et la Criirad (Commission de recherche et d’information indépendante sur la radioactivité) à la demande de la préfecture de Seine-et-Marne. En effet, le site racheté par Placoplatre, filiale de Saint-Gobain, est voué à devenir une carrière de gypse à ciel ouvert. 

C’est la première fois qu’un organisme d’Etat reconnaît une pollution radioactive sur cet ancien site d’expérimentation du Commissariat à l’énergie atomique, fermé en 1997. C’est là que, durant 40 ans, des essais de détonique à l’uranium ont été réalisés à l’air libre et en casemates, notamment le détonateur de la première bombe atomique française « Gerboise bleue ». 

Depuis plusieurs années, les associations locales se battent pour que la pollution du site soit reconnue. En 2011, l’association Sauvons la Dhuis y avait relevé un « point chaud » 30 fois supérieur à la norme. Une mesure que l’IRSN à l’époque avait balayée.


Source © LeParisien.fr

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lundi 14 avril 2014
Quatre pompes qui fonctionnaient par erreur sur le site nucléaire de Fukushima ont répandu d'importantes quantités d'eau hautement radioactive dans divers bâtiments de la centrale accidentée, selon un courriel de la compagnie Tepco. 

Ces pompes, qui ne devaient pas être en service, ont été stoppées dimanche après-midi après avoir toutefois eu le temps d'inonder les sous-sols de deux bâtiments.

Tepco a évalué à 203 mètres cubes la quantité de liquide qui s'est répandue dans ces lieux d'incinération situés non loin des réacteurs mais censés rester secs. Cette eau a une teneur énorme en césium radioactif (137 et 134) évaluée à 37 millions de becquerels par litre. Tepco, qui a assuré que l'eau n'est pas sortie des bâtiments, a promis d'enquêter pour comprendre les raisons de cette erreur. 

La gestion de l'eau contaminée est le plus gros problème auquel est actuellement confrontée la compagnie qui ne sait que faire des centaines de milliers de tonnes accumulées dans les bâtiments et des réservoirs installés sur le site ravagé par le tsunami du 11 mars 2011. Ce problème est d'autant plus difficile à résoudre que le système de traitement de l'eau, ALPS, est tout sauf fiable: il n'en finit pas de tomber en panne.

Source © Reuters

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lundi 7 avril 2014
Tepco a découvert le 18 mars 2014 dernier que l'un des 3 systèmes de filtration des eaux ne filtrait plus rien. les eaux avaient déjà pollué 21 citernes et 1 km de tuyauteries quand ils s'en sont rendus compte. Ils supposent que le problème se situe dans l'un des filtres de ce système. Cependant, ils ne peuvent aller explorer cet endroit à cause de sa trop grande radioactivité. 

Le volume actuel des eaux extrêmement radioactives est d'environ 450 000 m³ (=45 000 Hl). Le systéme ALPS doit traiter 1 960 m³/jour (196 Hl/j) d'eau extrêmement radioactive à partir de cet été. Or l'ALPS n'a jamais été totalement opérationnel depuis le début de 2013.


mercredi 2 avril 2014
Le dégel du permafrost arctique suite au réchauffement climatique pourrait constituer une menace pour les décharges radioactives situées sur l'archipel de Nouvelle-Zemble, estime le ministère russe des Situations d'urgence.

« La dégradation du pergélisol sur l'archipel, dans les zones de stockage de déchets radioactifs, représente un danger particulier », lit-on dans une prévision établie par le ministère pour 2014.

Le document souligne également que la fonte du permafrost dans les régions arctiques de la Russie risque d'avoir des conséquences négatives pour les infrastructures pétrolières aménagées sur ces territoires qui recèlent plus de 70% des réserves prospectées de pétrole et environ 93% des réserves de gaz naturel.

Selon les spécialistes du ministère des Situations d'urgence, le dégel du permafrost sur les bords de la mer de Kara pourrait intensifier l'érosion du littoral qui recule de 2 à 4 mètres chaque année.

Les golfes de la mer de Kara abritent de nombreux objets ayant servi aux essais nucléaires effectués en Nouvelle-Zemble, des fragments du brise-glace atomique Lénine, ainsi que le sous-marin nucléaire K-27. D'après le ministère des Situations d'urgence, un abysse avoisinant l'archipel renferme près de 1.200 objets radioactifs dangereux.

Ces objets sous-marins sont consignés au registre tenu par le ministère. A l'heure actuelle, ce document compte plus de 24.000 objets. Il s'agit de déchets radioactifs stockés principalement à des profondeurs allant jusqu'à 500 mètres.


Source © la voix de la russie





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mercredi 26 mars 2014
Le groupe belge d'électricité Electrabel (GDF Suez) a annoncé hier avoir été contraint d'arrêter une nouvelle fois deux réacteurs nucléaires dont la sécurité a déjà été mise en cause en 2012. 

Le réacteur numéro 3 de la centrale de Doel, située près d'Anvers (nord), et le réacteur numéro 2 de la centrale de Tihange, près de Liège (sud-est), avaient été stoppés pendant une année, de juin 2012 à juin 2013, après la découverte de milliers de microfissures dans leurs cuves.

Pour pouvoir les redémarrer, Electrabel s'était engagé auprès de l'autorité de sureté nucléaire (AFCN) à mener des tests pour évaluer le comportement des cuves. "Sur l'ensemble des tests réalisés, l'un d'entre eux portant sur la résistance mécanique d'un échantillon analogue à la composition des cuves concernées ne donne pas de résultats conformes aux attentes des experts", a expliqué le groupe dans un communiqué. "De nouveaux tests vont être reconduits. Par mesure de précaution, Electrabel a décidé d'anticiper les arrêts programmés des deux réacteurs dès aujourd'hui, dans l'attente des résultats complémentaires", a annoncé Electrabel. "Les résultats de ces tests devraient être connus à partir du 15 juin et feront l'objet d'échanges permanents avec les autorités de sureté nucléaire", a ajouté le groupe.

Les réacteurs en cause sont les plus modernes du parc et avec une capacité cumulée de 2.000 mégawatts (MW) ils fournissent un tiers de la capacité nucléaire belge. Les problèmes de sécurité des deux réacteurs ont relancé le débat sur le nucléaire en Belgique. Electrabel exploite sept réacteurs dans le royaume --quatre dans la centrale de Doel et trois à Tihange-- qui doivent être progressivement mis à l'arrêt définitif entre 2015 et 2025, au moment où ils auront 40 ans. Les problèmes rencontrés par les deux réacteurs les plus récents ont conduit le gouvernement à aménager le plan de sortie du nucléaire et a prolonger la durée de vie du plus vieux des réacteurs.

Source © AFP
jeudi 20 mars 2014
Des militants de Greenpeace ont déployé une banderole sur le dôme de protection d'un des deux réacteurs de la centrale de Fessenheim, le 18 mars 2014.

Plusieurs dizaines de militants de Greenpeace sont entrés mardi matin sur le site de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin) pour dénoncer notamment le manque de sécurité entourant ses réacteurs.

En tout, 56 individus ont participé à cette action de l'association écologiste, dont «une quarantaine ont réussi à entrer en zone protégée», a affirmé le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Pierre-Henry Brandet. «Dix-neuf militants ont été interpellés immédiatement, puis quinze autres au fur et à mesure», a-t-il ajouté. Un porte-parole d'EDF, l'exploitant de la centrale, a également évoqué 34 interpellations.

Vers 10h plusieurs militants étaient toujours juchés sur le toit de la centrale et sur son dôme de protection du réacteur, en train de déployer une nouvelle banderole. Après l'arrivée de renforts, quelque 200 membres des forces de l'ordre (gendarmes départementaux, gendarmes mobiles et unités spécialisées) sont mobilisés dans la centrale et aux abords, appuyés par un hélicoptère, a précisé la place Beauvau.

Riposte adaptée des gendarmes

«Ces événements n'ont aucune conséquence sur la sûreté des installations qui fonctionnent normalement», a déclaré le porte-parole d'EDF. «A aucun moment l'intégrité de la centrale n'a été menacée», a confirmé le ministère de l'Intérieur.

Les individus qui sont entrés sur le site «ont été immédiatement détectés, et identifiés comme étant des militants écologistes menant une action exclusivement médiatique», a affirmé Pierre-Henry Brandet, porte-parole du ministère de l'Intérieur. Selon le ministère, «à aucun moment l'intégrité de la centrale n'a été menacée» et «la riposte des gendarmes a donc été adaptée pour les interpeller dans les conditions maximales de sécurité».

Une centaine de gendarmes sont mobilisés dans la centrale et aux abords, appuyés par un hélicoptère, a précisé la place Beauvau. Vers 9h une petite vingtaine de militants se trouvait toujours sur le dôme de protection du réacteur, tandis qu'un hélicoptère des forces de l'ordre prenait position pour les approcher, a constaté un photographe de l'AFP présent sur place.

Opération surprise

A l'aube une dizaine de militants ont déployé une banderole «Stop risking Europe» sur le dôme et une plus petite avec le même texte sur un bâtiment attenant. Europe Ecologie-Les Verts (EELV), qui compte deux membres au gouvernement, a de son côté «félicité» dans un communiqué Greenpeace pour son «coup d'éclat», «qui met en lumière la fragilité de nos installations nucléaires».

Selon Greenpeace, une cinquantaine de militants participaient à cette opération surprise qui a démarré vers 5h30. L'ONG appelle à mettre un coup d'arrêt à «la menace posée par les centrales nucléaires vieillissantes en Europe», selon un porte-parole. «Ce n'est pas la première fois que nous entrons dans une centrale. Mais au-delà de la sécurité du site (...) nous voulons alerter sur les risques que posent Fessenheim et toutes les centrales nucléaires en Europe», a déclaré un militant de Greenpeace.

«Fessenheim est un symbole de ces centrales, elle a 37 ans. Nous voulons que l'exploitation des réacteurs n'aille pas au-delà de 40 ans et que cette limite soit inscrite en France dans la loi de transition énergétique et dans le droit européen», a-t-il expliqué. La centrale de Fessenheim,  en service depuis 1977, est la doyenne des centrales françaises et la seule dont la fermeture a été annoncée par le président François Hollande, pour fin 2016.

Source AFP



jeudi 27 février 2014
Deux isotopes radioactifs ont été découverts au large de Vancouver, au Canada: du césium-134 et du césium-137. 

Des valeurs bien en dessous des seuils préconisés, selon les chercheurs. 

Des tests similaires au large des côtes des Etats américains de Washington, de Californie et d'Hawaii n'ont détecté aucune contamination.

Le césium 134 a une période de radioactivité d'environ deux ans et porte clairement la marque de la catastrophe de Fukushima, selon les experts, tandis que le césium 137 reste actif pendant une trentaine d'années. 

D'après les calculs, cette contamination de la côte ouest devrait atteindre son point culminant vers 2016 , mais les prévisions varient considérablement concernant le degré de contamination.

Source: © Reuters

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jeudi 20 février 2014
Tepco, l'opérateur de la centrale de Fukushima, au Japon, a annoncé, jeudi 20 février, avoir détecté une nouvelle fuite d'eau contaminée sur la partie supérieure d'un des nombreux énormes réservoirs.

Selon la compagnie, près de 100 m3 sont sortis de la citerne. « Il n'y a pas de fossé à proximité de ce réservoir qui est éloigné de l'océan Pacifique, et il est donc peu probable que l'eau ait fui jusqu'à la mer », a cependant assuré un porte-parole. La distance entre le réservoir et la côte est de l'ordre de 700 mètres.

Cette eau, bien que débarrassée de césium radioactif, reste contaminée en radionucléides émettant des rayons bêta. Tepco dit avoir mesuré une radioactivité de 230 000 becquerels de strontium et autres émetteurs de rayonnements bêta par litre. « La fuite a été stoppée et nous sommes en train de récupérer l'eau qui a coulé et la terre contaminée », a-t-il assuré.

Le problème de l'eau contaminée est un des plus épineux qu'ait à gérer la compagnie depuis près de trois ans. Plus de 350 000 m3 sont stockés dans des réservoirs montés sur le site et des dizaines de milliers d'autres ont envahi les sous-sols des bâtiments et tranchées souterraines.

Des systèmes de traitement ont été mis en place pour décontaminer cette eau, mais ils sont encore notoirement insuffisants. Tepco prévoit de les renforcer et de construire d'autres citernes pour atteindre une capacité de stockage de 800 000 mètres cubes d'ici à 2016.

Des experts, dont ceux de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), conseillent cependant d'ores et déjà d'étudier la possibilité de rejeter en mer l'eau qui aura été débarrassée de l'essentiel des radionucléides, tout en sachant qu'il restera encore du tritium que l'on ne peut pour le moment extraire.

Source © Le Monde



samedi 15 février 2014
Les niveaux de césiums radioactifs mesurés en 24 heures par la compagnie gérante de la centrale accidentée de Fukushima des eaux souterraines contenues dans un puits, situé entre les réacteurs ravagés et le Pacifique voisin, ont connu une brusque envolée que Tepco ne s'explique pas.

Une teneur en césium 134 de 37 000 becquerels par litre d'eau et de 93 000 becquerels par litre pour le césium 137 a été relevée, des niveaux bien supérieurs à ceux de la veille, selon les données publiées par Tokyo Electric Power (Tepco).

Cette eau a été puisée à 16 mètres de profondeur en un lieu où l'on savait déjà que l'eau souterraine avait été fortement contaminée par le biais de tranchées où s'est accumulé du liquide hautement radioactif venant des réacteurs accidentés le 11 mars 2011, après le passage d'un gigantesque tsunami. Selon Tepco, cette eau ne coulerait pas vers la mer.

L'EAU CONTAMINÉE, PROBLÈME LE PLUS ÉPINEUX

Le problème de l'eau contaminée est un des plus épineux qu'ait à gérer la compagnie depuis près de trois ans. Plus de 350 000 mètres cubes sont stockés dans des réservoirs montés sur le site et des dizaines de milliers d'autres ont envahi les sous-sols des bâtiments et tranchées souterraines.

Des systèmes de traitement ont été mis en place pour décontaminer cette eau, mais ils sont encore notoirement insuffisants. Tepco prévoit de les renforcer et de construire d'autres citernes pour atteindre une capacité de stockage de 800 000 mètres cubes d'ici à 2016.

D'ores et déjà cependant, des experts, dont ceux de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), conseillent d'étudier la possibilité de rejeter en mer l'eau qui aura été débarrassée de l'essentiel des radionucléides, tout en sachant qu'il restera encore du tritium que l'on ne peut pour le moment extraire.

Source © AFP

lundi 10 février 2014
Faisant partie du projet en cours  “Kelp Watch 2014» , les institutions gouvernementales et universitaires ont commencé à recevoir les résultats des échantillons des algues varech et des algues géantes Kelp recueillies le long de la côte de la Californie, ils confirment une présence radioactive plus élevée que la normale. 

«Nous essayons de comprendre si des éléments radioactif émanant de Fukushima ont déjà atteint  notre écosystème », a déclaré le Dr Matthew Edwards , un professeur de l'Université d'État de San Diego . «Que nous soyons de l'autre côté du Pacifique ne signifie pas que nous soyons protégé des radiations émises par l'accident de Fukushima" .

Bien que les scientifiques affirment que les niveaux de césium reste très faibles, la méfiance du public ne fait que croître compte tenu du refus persistant du gouvernement à informer la population de la côte ouest sur les questions liées aux radiations émise par la centrale de Fukushima accidentée.

Pourtant cette nouvelle découverte coïncide avec les déclarations faites par des chercheurs de l'Institut de Physique de la Croix en Espagne , qui prédisait l' arrivée début 2014 de rayonnement de Fukushima le long de la côte ouest de l'Amérique du Nord .

Suite à la découverte récente de niveaux de rayonnement de plus de 1400 % supérieures à la normale sur une plage de Californie et que le gouvernement continue de présenter sans risque des experts indépendants ont mis en garde les parents de ne pas laisser les enfants jouer sur les plages de Californie, le sable y est à risque disent ils .

Malgré les tentatives des médias pour minimiser l'importance de la catastrophe en cours, cette nouvelle découverte n'a fait que confirmer l'accumulation continue de rayonnement dans les eaux de la côte Ouest des Etats Unis.

Compte tenu de la capacité des rayonnements à accumuler dans les écosystèmes marins, beaucoup craignent que les mortalités massives de la vie marine constatés ces dernier temps tout le long de la côte ouest soit liées à l'augmentation continue d'isotopes radioactifs . 

Effectivement les découvertes récentes d'hécatombes massives de la vie marine sur la côte ouest est inquiétante, les étoiles de mer et les sardines sont mystérieusement atteintes d'anomalies étranges et mortelles depuis quelques mois ( voir cet article précédent ).

Malgré que le gouvernement tente de rassurer le public qu'il n'y a absolument aucun risque actuellement , des dizaines de millions de doses de iodure de potassium ont été discrètement acheté par le ministère de la Santé et des Services sociaux.

Les experts prédisent que la probabilité d'une augmentation de césium dans l'océan Pacifique semble inévitable, et que la radioactivité risque de durée environ une quarantaine d'année. 

© Nature Alerte


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dimanche 9 février 2014
TEPCO a actualisé les niveaux de radioactivité mesurés à la centrale nucléaire de Fukushima n ° 1. Les résultats sont inquiétant, 5 millions de becquerels de strontium par litre, c'est un nouveau record qui est près de cinq fois plus élevé que la lecture initiale de 900 000 becquerels par litre annoncée.

Le strontium -90 est un isotope radioactif de strontium produit par la fission nucléaire d'une durée de vide d'environ 30 ans. La norme internationale d'alerte pour les émissions de strontium est de 30 becquerels par litre . L’exposition à de strontium – 90 peut causer le cancer des os ,le  cancer de la peau, et la leucémie .

Tokyo Electric Power Co. avait annoncé le 5 juillet 2013 que 900 000 becquerels étaient mesurés dans les eaux prélevées. La compagnie a annoncé vendredi que ces niveaux de radioactivité précédents étaient "erronés" et que les lectures mesurées étaient susceptibles d’avoir été inexacte. 

La société japonaise TEPCO a présenté ses excuses, pour ce qui selon eux, serait du uniquement à une suite de dysfonctionnement des appareils de mesure.

TEPCO n’a toutefois pas révélé les niveaux radioactifs des autres échantillons prélevés et en particulier ceux la nappe phréatique et de l’eau de mer provenant des mesures effectuées entre Juin et Novembre 2013 .

Les lectures erronées ne concernent que les niveaux de rayonnement mesurés dans l’eau annonce TEPCO– les lectures prises pour mesurer les niveaux de radiation dans l’air ou dans le sol sont elles susceptibles d’avoir été précises .

Dans le sous-sol de la centrale, le système de drainage et des réservoirs spéciaux ont accumulé plus de 360.000 tonnes d’eau radioactive . Les fuites d’eau radioactive sont un problème récurent depuis l’accident survenu à la centrale nucléaire de Fukushima – 1 .

Nouvelle fuite

TEPCO a également déclaré jeudi une nouvelle fuite de 600 litres d’eau contaminée par 2800 becquerels de rayons bêta par litre,provenant d'une fuite de la tuyauterie conduisant à un réservoir de la centrale nucléaire . Un niveau record de rayons bêta libérés provenant du strontium – 90 a été détecté sous le réacteur de la centrale no 2 de Fukushima selon l’exploitant de l’ établissement.

© Nature Alerte



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