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mardi 21 octobre 2014
Plusieurs records de chaleur sont tombés durant le weekend des 18-19 octobre, a indiqué lundi MeteoNews dans un communiqué.

L'ensemble de l'Hexagone a été touché par ce phénomène, que ce soit à Calais (avec une température minimale de 17,5°C, anciennement 16,1°C) ou à Biscarosse (température maximale de 30,9°C, anciennement 30,4°C).

Ces records étonnent par leur arrivée tardive dans le mois. En effet, ceux établis à Calais et Biscarosse dataient respectivement du 05/10/2011 et du 03/10/1983.

Le maximum a été établi à Dax avec 31,5°C, qui efface le record fixé l'an dernier à 30,1°C.

Des conditions plus automnales, avec des pluies et des vents forts, sont attendues dès mardi sur la France.
mardi 14 octobre 2014
Le mois dernier a été le plus chaud jamais enregistré dans le monde depuis depuis 1880, a rappelé dimanche la NASA . 

L'année 2014 risque désormais, elle aussi, d'entrer dans le grand livre des records, en effet la température moyenne mondiale de Janvier à Septembre 2014 est désormais classée comme la troisième moyenne annuelle la plus chaude jamais enregistrée. 

Les projections de de la NOAA indiquent clairement que les chiffres de 2014 risque de l’entraîner vers le triste record de l'année la plus chaude enregistrée. 

Pour le deuxième mois d'affilé, les températures sur l'Antarctique occidental étaient comprises entre 4°C et 8,7 ° C . Une chaleur totalement anormale pour la saison.

© Nature Alerte


lundi 22 septembre 2014
La hausse des émissions de dioxyde de carbone (CO2) se poursuit à un rythme effréné et coïncide avec le plus pessimiste des quatre grands scénarios de développement imaginés par la communauté scientifique.
Dimanche 21 septembre au soir, le Global Carbon Project (GCP), un consortium d'organismes de recherche internationaux de référence, a rendu public le bilan des émissions anthropiques de CO2 pour l'année 2013 et confirme que celles-ci sont hors de contrôle.

En 2013, la combustion des ressources fossiles (pétrole, gaz, charbon) et les cimenteries, ont émis 36 milliards de tonnes de CO2 (GtCO2), en hausse de 2,3 % par rapport à l'année précédente. Quant à la déforestation, elle a conduit à l'émission de 3,3 GtCO2. Soit un total de près de 39,3 milliards de tonnes du principal gaz à effet de serre émis en 2013 par l'homme. C'est un nouveau record qui est battu, en dépit d'une augmentation en deçà du niveau moyen des années 2000, soit 3,3 %.

L'examen des données de chaque pays offre un aperçu saisissant de l'inexorable montée en puissance chinoise. La Chine était devenue, en 2008, le premier émetteur de CO2, devant les Etats-Unis. Mais, en rapportant ses émissions à sa démographie, elle demeurait loin des pays développés. Dans son dernier bilan, le GCP conclut que la Chine a franchi une nouvelle étape.

Non seulement l'Empire du milieu demeure le principal émetteur en valeur absolue – 28% des émissions mondiales en 2013 –, mais ses émissions par habitant ont désormais surpassé celles de l'Union européenne. En 2013, un Chinois moyen a donc émis plus de CO2 qu'un Européen moyen – les Américains qui émettent entre deux et trois fois plus par habitant, sont encore assez loin devant.

D'après un rapport publié ce mardi de l'OMM, l'Organisation météorologique mondiale, une agence de l'ONU, les émissions de dioxyde de carbone d'origine humaine entre 2012 et 2013 ont connu la plus forte augmentation depuis 1984, année des premières mesures fiables. 

'Nous devons donc prendre vraiment des actions urgentes, a déclaré le secrétaire général de l'Organisation météorologique mondiale, l'OMM. Plus le défi est important, plus il coûtera cher. Et à un moment, l'objectif ne pourra plus être atteint si nous n'agissons pas. C'est encore possible, mais cela exige une action urgente.' Les émissions de CO2 passées, présentes et futures auront des conséquences cumulées aussi bien sur le réchauffement climatique que sur l'acidification des océans, prévient l'OMM. La publication du rapport de l'organisation intervient avant le sommet sur le climat du 23 septembre à New York. 

Paradoxalement, ce seuil est franchi alors que les émissions chinoises n'ont crû « que » de 4,2 % par rapport à 2012, soit « le plus faible taux d'augmentation depuis 2007-2008 ». Les auteurs attribuent cette situation à deux facteurs : « une croissance économique plus faible et des améliorations de l'intensité-carbone de l'économie », c'est-à-dire des efforts conduits en termes d'efficacité énergétique. Au contraire, l'autre grand pays asiatique émergent, l'Inde, a vu ses émissions croître de 5,1 %, porté par une forte croissance économique et une détérioration de l'efficacité énergétique de son économie.

Quant aux Vingt-huit, leurs émissions décroissent de 1,8 %, « du fait d'une économie faible, le déclin des émissions de certains pays étant compensé par un retour au charbon conduit par la Pologne, l'Allemagne et la Finlande », écrivent les auteurs. L'Union a connu son pic d'émissions dans les années 1980 et voit sa contribution réduire régulièrement depuis – le fait, aussi, d'un transfert d'émissions vers l'Asie, où une part de l'activité industrielle a été délocalisée. En tenant compte de ces transferts, les émissions européennes « ne se sont que stabilisées », notent les auteurs.

La poursuite des tendances actuelles conduirait la Chine à émettre, vers 2019, plus de CO2 que les Etats-Unis, l'Union européenne et l'Inde combinés.

Autre surprise relevée par les membres du GCP : les Etats-Unis, dont les émissions de CO2 chutaient depuis 2008 sous l'effet du développement du gaz de schiste, voient celles-ci augmenter à nouveau et de manière significative. Elles ont gagné 2,9 % en 2013 par rapport à l'année précédente, sous l'effet d'un « rebond du charbon », notent les auteurs.

Au niveau mondial, les quantités cumulées de dioxyde de carbone émises par l'humanité apparaissent considérables et éloignent toujours plus la perspective d'un maintien du thermostat terrestre sous le seuil des 2 °C, la limite fixée par la communauté internationale pour éviter une détérioration dangereuse du climat terrestre.

« Nous connaissons à peu près la quantité totale de carbone que nous pouvons émettre dans l'atmosphère en restant 'probablement', c'est-à-dire avec deux chances sur trois, sous la barre des 2 °C, explique le climatologue Philippe Ciais, chercheur au Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement et membre du GCP. Or si on fait le compte, on voit que nous avons émis depuis la révolution industrielle les deux tiers de cette quantité. Il ne nous en reste plus qu'un tiers à émettre, ce qui représente environ trente ans d'émissions au niveau actuel. »

Pour l'heure, les premières estimations pour 2014 ne montrent bien sûr pas le début d'une amélioration. Le GCP anticipe une augmentation de 2,5 % des émissions de CO2 toutes sources anthropiques confondues, ce qui placerait l'année en cours au-dessus du seuil symbolique des 40 milliards de tonnes de CO2 émises par les activités humaines.

Source © Le Monde
mercredi 17 septembre 2014
La période allant de janvier à fin août 2014 a été la plus chaude jamais enregistrée dans l'histoire de l'Etat de Californie, selon l'administration nationale océanique et atmosphérique (NOAA).

Avec une moyenne de 62,6 Fahrenheit, les huit premiers mois de l'année ont été ainsi plus chauds de plus de 4 degrés que la moyenne enregistrée au cours du 20è siècle et de plus d'un degré depuis le lancement des relevés de chaleur en 1895. 

Le service météorologique national (National Weather Service) a indiqué récemment que le premier semestre de l'année a été en moyenne le deuxième plus chaud dans la métropole de Los Angeles dans les 70 dernières années, avec une température moyenne au-dessus de 63 degrés Fahrenheit. Les villes de la Californie du nord, dont San Francisco et Sacramento, ont, pour leur part, connu la période la plus chaude jamais enregistrée. 

L'Etat semble être sur le chemin d'enregistrer de nouveaux records alors qu'il enregistre actuellement des températures de 40 degrés Celsius, une canicule qui devrait se maintenir dans les prochains jours. 

L'extrême sécheresse qui sévit dans l'Etat et la hausse soutenue de chaleur favorisent des départs réguliers de feux de forêt. Un incendie s'est déclenché dimanche près du parc Yosemite, dans le centre de la Californie, provoquant l'évacuation d'un millier de personnes. Les flammes qui ont ravagé quelque 133 hectares menaçaient des centaines d'habitations. 

Les pertes engendrées par cette grave sècheresse devraient se chiffrer à 2,2 milliards de dollars en 2014, selon un récent rapport de l'université de Californie à Davis. 

Le rapport explique qu'environ 17.100 emplois saisonniers et à temps partiel liés à l'agriculture seraient perdus, soit 3,8 % des emplois dans ce secteur névralgique de l'"Etat de l'or". 

Le National Climatic Data Center avait, de son côté, fait savoir en avril dernier que cette sécheresse qui frappe la Californie pour la troisième année consécutive, la pire en un siècle, touche désormais l'ensemble de l'Etat pour la première fois en 15 ans, avec une gravité allant d'extrême à exceptionnelle. 

La Californie est fréquemment en proie à la sécheresse. En 2009, elle avait demandé au gouvernement fédéral de déclarer l'état de catastrophe naturelle dans une partie du territoire de l'Etat.
mardi 9 septembre 2014
Le week-end des 6 et 7 septembre, une dépression située au large de l’Écosse a dirigé une perturbation active en mer du Nord. Le sud de la Norvège a été touché par des pluies particulièrement soutenues entre la matinée du samedi 6 et dimanche soir.

À Kristiansand (données de la station de l’aéroport de Kjevik, ouverte en 1946) dimanche à 6 h UTC, il était tombé en 24 h, 261,2 mm*. L’ancien record de pluie en 24 h (tous mois confondus) était de 99 mm*. Au total, lors de cet épisode qui a duré 30 heures, on a relevé 301 mm de cumul de pluie. Ce chiffre fait déjà de ce mois de septembre 2014 le plus pluvieux observé à cette station (ancien record : 274 mm en 1979). En moyenne**, il tombe en septembre à Kristiansand 141 mm de précipitations cumulées et la normale annuelle s’élève à près de 1 300 mm (plus de deux fois ce qu’il tombe à Paris).

Dimanche soir, le front s’est décalé vers l’est, laissant un cours répit avant le retour de la pluie nettement moins intense, lundi 8 septembre. La dépression devrait se décaler vers la Baltique dès lundi soir et le temps devrait redevenir plus sec.

Source : Meteo France

vendredi 25 juillet 2014
Les orages de mercredi dernier ont déversé plus de 1 cm de pluie sur le plus grand feu de forêt de l'histoire de l'état de Washington, mais ces averses n'ont malheureusement pas été suffisant pour en éteindre totalement les flammes.

«Il en faudrait beaucoup plus que cela», a déclaré Andrew Sandri, porte-parole des pompiers du feu appelé  "Carlton".

L'incendie a déjà détruit plus de 250 000 hectares de foret, 2.500 pompiers sont à pied d'oeuvre pour tenter de le contrôler, néanmoins grâce à ces intempéries de mercredi,  55 % de l'immense foyer de flammes étaient contenu hier, toutes les équipes se concentrent désormais sur le front des feux encore existants.

Environ 150 maisons ont été entièrement détruites et on déplore un décès (un homme est mort d'une crise cardiaque).

Mercredi matin le président Barack Obama a déclaré l'état d'urgence sur l'état de Washington. Cette déclaration autorise la Federal Emergency Management Agency et le Department of Homeland Security des États-Unis à coordonner les secours et les organismes étatiques à financer d'urgence les ressources necessaires aux actions humanitaires.

Ces ressources supplémentaires permettront d'aider les milliers de personnes touchées par ces incendies, a déclaré le gouverneur Jay Inslee. "J'apprécie la réponse rapide du président "

Le gouverneur a également demandé des ressources fédérales supplémentaires, y compris l'aide de l'US Army Corps of Engineers pour aider aux évaluations des dégats, aux planifications des aides et à l'installation de groupes électrogènes d'urgence pour rétablir le courant aux communautés endommagées par le feu. Il s'agit notamment de rétablir les systèmes de distribution d'eau potable et des systemes de traitement des eaux usées qui sont les premières urgences sanitaires.

S'exprimant lors d'une collecte de fonds mardi à Seattle, M. Obama a déclaré cet immense incendie, ainsi que d'autres incendies dans l'Ouest du pays, peuvent sans aucun doute être désormais attribués au changement climatique.

Àvec plus de 250 000 hectares déjà dévastés, le feu Carlton est désormais devenu le plus grand feu de foret de l'histoire de l'état de Washington, plus grand que le précédent record, celui de l'incendie du Yacolt Graver en 1902, qui avait consommé 238 920 hectares dans le sud-ouest de Washington, selon HistoryLink.org.

© Nature alerte
Selon l'Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA), le mois de juin 2014 a été le plus chaud dans le monde depuis le début des relevés des températures en 1880. 

Ce nouveau record de température à l'échelle mondiale confirme la tendance à long terme du réchauffement climatique en cours. En juin 2014, la température moyenne combinée à la surface des sols et des océans a atteint 16,22 degrés Celsius, soit 0,72 °C au-dessus de la moyenne (15,5 °C) du 20e siècle pour ce mois-là, dépassant ainsi le dernier record de chaleur pour juin, qui remontait à 2010, précise la NOAA. 

Ce record a été particulièrement marqué dans l'hémisphère Nord avec une anomalie positive moyenne de 0,81 °C, contre + 0,63 °C pour l'hémisphère sud.  Au niveau des terres émergées, la température moyenne fut de 0,95 °C au-dessus de la moyenne du 20e siècle (située à 13,3 °C), il s'agit du 7e mois de juin le plus chaud sur terre. 

C'est au niveau des océans que l'augmentation des températures a été la plus notable : + 0,64°C par rapport à la moyenne du 20e siècle (située à 16,4°C) : c'est le mois de juin le plus chaud depuis 1880 pour les océans. "Comme en mai, des zones éparpillées à travers tous les principaux bassins océaniques ont également connu des records de chaleur" précise la NOAA. 

En outre, juin 2014 est le 38e mois de juin consécutif ayant une température moyenne supérieure à la moyenne du 20e siècle pour ce même mois. La dernière fois que la température d'un mois de juin a été inférieure à cette moyenne remonte à juin 1976. 

Autre indicateur qui ne trompe pas sur le réchauffement climatique en cours : il faut remonter près de 30 ans en arrière pour trouver un mois dont la température est en-dessous de sa température moyenne au 20e siècle, c'était en février 1985… 

La première moitié de 2014 a été bien chaude Sur le premier semestre 2014, la température moyenne combinée terres-océans est de 0,67 °C au-dessus de la moyenne du 20e siècle (13,5 °C) : à égalité avec 2002 pour la troisième période la plus chaude jamais enregistrée. De plus, à l'exception du mois de février 2014, chaque mois respectif du premier semestre 2014 est classé dans les 4 premières places des mois les plus chauds depuis 1880. 

Déjà le mois de mai 2014 avait été le plus chaud dans le monde depuis le début des relevés de températures en 1880, dépassant le précédent record de mai 2010. 

"La majorité de la planète a fait face à des températures mensuelles supérieures à la moyenne, avec des records de chaleur dans des régions du sud-est du Groenland, du nord de l'Amérique du Sud, ou encore des zones de l'est et du centre de l'Afrique, ainsi que des parties du sud et du sud-est de l'Asie", indique la NOAA. 

Le mois de juin 2014 en France : 

En France, le mois de juin 2014 a été le 5e mois le plus chaud de tous les mois de juin en 115 ans, avec une anomalie positive de température de 1,3°C par rapport à la normale (1981-2010). 

Notons la forte activité orageuse pendant le premier semestre 2014 en France : le réseau de détection de la foudre de Météorage a enregistré environ 170 000 éclairs nuage-sol au cours des six premiers mois de l'année, soit un niveau de foudroiement qui dépasse d'un peu moins de 10% la moyenne des 20 dernières années. 

Cette très forte activité orageuse s'est notamment illustrée pendant le mois de juin 2014, 4e mois le plus actif des mois de juin durant ces 20 dernières années, indique Météo-France. Avec 120 000 éclairs nuage-sol, juin 2014 représente plus de 70% de l'activité de ces 6 premiers mois. 

L'épisode orageux le plus important a eu lieu les 9 et 10 juin, durant lequel près de 36 000 éclairs nuages-sols ont été enregistrés sur la France. Toutefois, Météorage a enregistré pour la seule journée du 20 juillet 2014, presque 80 000 éclairs ! L'activité orageuse a parcouru le pays d'ouest en est tout au long du weekend, touchant de très nombreux départements. Rappelons que vous pouvez suivre en temps quasi réel l'activité orageuse sur la France et une partie de l'Europe. 


jeudi 19 juin 2014
Pendant que l’est de l’Amérique du Nord grelottait, le reste du monde contribuait à faire du printemps 2014 l’un des plus chauds de l’histoire récente. Deux sources indépendantes viennent de confirmer que le mois de mai a battu un record.

L’Agence météorologique japonaise a été la première à l'annoncer lundi, 16 juin. Et la NASA a confirmé le 18 juin : à l’échelle de la planète, ce fut le mois de mai le plus chaud depuis 120 ans que de telles données existent. 

Les deux organismes utilisent les mêmes données, mais deux méthodes différentes de calculs. Un troisième organisme, l’agence américaine des océans et de l’atmosphère (NOAA) doit dévoiler ses propres résultats le 23 juin.

Parallèlement, arrivent du Groenland des observations inédites, qui révèlent que, loin sous la couche de glace visible à l’oeil nu, le processus de fonte est beaucoup plus agité que ce qu’on voit à la surface. Le gel et dégel trop rapide contribuerait à réchauffer les régions environnantes, expliquant pourquoi on a observé ces dernières années l’accélération de la fonte d’un glacier mais pas de ses voisins.

L’étude, parue le 15 juin dans Nature Geoscience, pourrait probablement s’appliquer aussi à de semblables anomalies observées en Antarctique. Il y a un bout de temps que les glaciologues préviennent que ce qui se passe sous la surface des calottes glaciaires est sans doute plus important encore que les mesures de volume de la glace en surface, mais les données sont rares.

Ces mauvaises nouvelles arrivent alors que les météorologues se préparent à une année El Nino: si la tendance se maintient, ce phénomène atmosphérique propre au Pacifique sud, qui affecte en retour les températures globales, pourrait se développer l’automne prochain. Or, traditionnellement, une année El Nino est caractérisée par une hausse des températures moyennes à l’échelle planétaire. Écrivant dans Slate, le météorologue Eric Holthaus se fait plus catégorique: El Nino serait déjà commencé dans le Pacifique sud, et la hausse des températures constatée là-bas depuis la fin-mai va lentement s’accentuer cet été.


jeudi 12 juin 2014
A la pentecôte les Alsaciens ont eu chaud  Très chaud. le mercure est monté jusqu'à 36,7°C à la station de mesure de Strasbourg-Entzheim. Ce qui a fait de ce lundi de Pentecôte le jour de juin le plus chaud depuis le 27 juin 1947 (37°C avaient alors été mesurés à Entzheim). Le reste dze la région n'est pas en reste: 36,1°C à Colmar, 35,8°C à Mulhouse...

En conséquence, la qualité de l'air mesurée par l'ASPA est plutôt "médiocre" dans toute l'Alsace, sans pour autant avoir dépassé aujourd'hui les seuils d'information et de recommandation. Autre conséquence: les piscines ont toutes été prises d'assaut, et de longues files d'attente étaient visibles un peu partout devant les bassins.

Source © dernieres nouvelles d'alsace

dimanche 1 juin 2014
La chaleur, déjà bien installée sur l’est de la Chine depuis la mi-mai, a pris ces derniers jours des proportions caniculaires dans la région de Pékin et quelques régions voisines. Les masses d’air très chaud présentes sur le désert de Gobi ont été rabattues sur l’est de la Chine par un fort flux d’ouest, ce qui a fait grimper le thermomètre à un niveau record.

Jeudi 29 mai, la température maximale a ainsi atteint 41,1°C à Pékin, dépassant nettement le précédent record pour un mois de mai (38,3°C).  La température normale maximale (calculée sur la période 1981-2010) dans la capitale chinoise est de l’ordre de 27 à 28°C pour une fin mai. 

Il faut remonter 12 ans en arrière pour trouver une température aussi élevée dans la capitale chinoise (14 juillet 2002). À Pékin, on avait déjà relevé 36,9°C mercredi 28, et la température a également atteint près de 35°C ce vendredi. Les températures devraient baisser dimanche, avec l’arrivée d’un flux maritime un peu moins chaud.

Dans les régions voisines,  on a aussi relevé jeudi des températures très élevées : 42,8°C à Shijiazhuang, 41,4°C à Xinqtai et 40,5°C à Tianjin.

Cette chaleur de fin de mois de mai vient compenser une première quinzaine plutôt fraîche. La température moyenne du mois devrait être 1 à 2°C au dessus des normales à Pékin, ce qui prolonge une longue séquence de douceur : depuis novembre dernier, tous les mois y ont été plus doux que la normale, à l’exception de février.

Source :  Météo-France
lundi 26 mai 2014
Ce mois d'avril a été, à égalité avec celui de 2010, le mois d'avril le plus chaud enregistré sur la planète depuis le début des relevés en 1880, a indiqué mardi l'Agence américaine océanique et atmosphérique.

La température globale moyenne sur les terres et les océans s'est établie à 14,47°C, soit 0,77°C au-dessus de la moyenne du 20e siècle (13,7°C), précise l'Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA).

Il s'agit aussi du 38e mois d'avril consécutif, et du 350e mois d'affilée, durant lequel la température du globe est équivalente ou supérieure à la moyenne du 20e siècle.

Avec plus de 5°C au-dessus de la moyenne enregistrée entre 1981 et 2010, la Sibérie centrale a connu un mois d'avril particulièrement doux.

Cette partie du monde ainsi que des parties de l'Est de l'Australie, et certains endroits des grands bassins océaniques ont enregistré des records de chaleur.

À l'inverse, le Sud et l'Est du Canada ainsi que le Nord-Est des États-Unis et le Sud du Kazakhstan ont connu un mois d'avril plus froid que la moyenne.

Pour la période de janvier à avril, la température moyenne sur le globe a été la sixième plus chaude dans les annales avec 12,6°C.

Selon les prédictions de la NOAA, il y a plus de 66% de probabilités que le courant chaud du Pacifique El Niño réapparaisse plus tard cette année, ce qui pourrait avoir un impact majeur sur les températures et les précipitations partout dans le monde.
vendredi 9 mai 2014
La Corée du Nord enregistre actuellement la pire sécheresse de ces trente dernières années, menaçant des milliers d’hectares de cultures vivrières, ont annoncé vendredi les médias officiels.

La sécheresse affecte tout le pays avec des précipitations moyennes de 23,5 mm entre la mi-février et la fin avril — période cruciale pour les cultures — soit 35% de la normale, du jamais vu depuis 1982, selon l’agence KCNA. « Des milliers d’hectares de cultures de printemps comme l’orge, le blé et les pommes de terre ont souffert », a précisé KCNA. « Les récoltes céréalières devraient être très maigres », a-t-elle ajouté.

La Corée du Nord souffre de pénuries alimentaires chroniques dues à l’isolement économique de l’Etat communiste, à la sécheresse et aux inondations. Des famines auraient fait des centaines de milliers de morts dans les années 1990.

Source : © 7sur7.be
La tornade EF-4 qui a frappé les villes de Mayflower et de Vilonia le 27 avril a été déclarée lundi la tornade la plus meurtrière à toucher l’Arkansas depuis 1968, selon l’Institut d’études géologiques des États-Unis (USGS).

Ce triste record a été battu lundi 27 Avril, lorsqu’un enfant qui avait été blessé au cours de cette catastrophe a succombé à ses blessures.

Avec le décès de cette jeune victime, le bilan des morts s’élève désormais à 16.

Cela fait de la tornade du 27 avril 2014 la plus meurtrière depuis celle qui avait tué 35 personnes dans la ville de Tuckerman le 15 mai 1968.

Source : meteo media
mardi 6 mai 2014
Le week-end du 3 et 4 mai 2014 a été marqué en Nouvelle-Calédonie par la circulation d'une masse d'air chaude tropicale dans un flux faible de nord à nord-est sur le pays. Cette situation météorologique a permis aux températures de grimper bien au-dessus des normales saisonnières de jour comme de nuit (de +3 à +5 °C en général).

Durant la nuit de samedi à dimanche, les températures minimales sont restées comprises entre 22 et 25,4 °C sur l'ensemble du territoire, atteignant ou dépassant les niveaux record pour un mois de mai. Le thermomètre n'est pas descendu en-dessous de 25,4°C à La Tontouta (précédent record : 23,9 °C en mai 2000) ou encore de 24°C à Nouméa (3e minimale la plus élevée enregistrée pour un mois de mai).

Les températures mesurées dimanche 4 mai après-midi ont très souvent dépassé les 30 °C, atteignant aussi localement des records mensuels.

Ainsi à Nouméa le mercure a atteint 32,7°C dimanche à midi dépassant le précédent record mensuel (31,8°C) de 1957 pendant près de deux heures ! Ce record excède de 7°C la température maximale moyenne pour un mois de mai à Nouméa.

 Source : Météo France
vendredi 28 mars 2014
Alors qu’une bonne moitié ouest de l’Europe subissait en ce début de semaine l’influence d’une masse d’air frais et instable, l’est du continent, de la mer Noire à la région moscovite, bénéficiait d’un flux de sud, aspirant de l’air remarquablement doux pour la saison.

Sur les bords de la mer Noire, le thermomètre affichait mardi 25 mars des valeurs dépassant 20°C. On a ainsi relevé 22°C à Sotchi et à Simferopol, soit 11 °C au-dessus de la normale.

Les températures ont atteint en ce début de semaine des valeurs encore plus remarquables à Moscou, où des records mensuels ont été battus deux jours de suite. 

Lundi 24 mars, on a enregistré 18,8 ° C dans la capitale russe, devant l’ancien record de 17,5 °C établi le 30 mars 2007. Mardi 25, il a fait encore plus chaud, avec 19, 7 °C 

Les jours qui viennent devraient être marqués par un retour à des valeurs de saison.

Source : meteo france
lundi 10 mars 2014
Plusieurs records de chaleur pour le début du mois de mars ont été battus dimanche, dont celui de 1880 à Paris, où une température de 21,6 degrés a été enregistrée, a indiqué lundi Météo-France.

Records également à Tours, Le Mans, Cherbourg, Orléans et Lille

Le précédent record pour les dix premiers jours de mars était de 21,2 degrés à Paris, a précisé Météo-France qui signale également des records de température au Mans (20,8°), à Lille (19,5°), Orléans (22,2°), Tours (21,4°) ou encore Cherbourg (19,8°).

Le record à Paris pour un 9 mars était de 20,7°, a indiqué à l’AFP Jérôme Lecou, prévisionniste à Météo-France, en précisant qu’un record portant sur les dix premiers jours de mars (1ère décade) était plus significatif que celui portant sur un seul jour.

Dans la moitié sud, les relevés se sont approchés des records sans les atteindre: il a fait 21° degrés à La Rochelle, 22,2° à Limoges, 21,5° à Montauban. A Biarritz, le thermomètre a grimpé jusqu’à 24°, mais le record pour la première décade de mars est de 26,7°.

Des températures dignes d’un mois de mai

«Ce sont des températures clairement printanières, du mois de mai, et cela vient prolonger l’hiver remarquable que l’on a eu», a expliqué Jérôme Lecou. De manière générale, «on était facilement entre 7 et 10° au-dessus des moyennes saisonnières», a indiqué le prévisionniste.

Retour à la normal prévu pour la fin de semaine

Toutefois, dimanche a été «la pointe de cet épisode de douceur» et, si les températures restent douces lundi et mardi, «elles vont ensuite baisser et retrouver des normales saisonnières en fin de semaine», a-t-il affirmé.

Source AFP
dimanche 9 février 2014
Plus des deux tiers des États-Unis est recouvert de neige.

En Janvier 2014, 4406 records de Températures basses, et 1073 records de totalité de chutes de neige par jours ont été battus. 





mardi 4 février 2014
L’air de Delhi serait encore plus dangereux pour la santé que celui de Pékin. Un article récent du New York Times le donne en tout cas à penser. Ce qui a déclenché ces derniers jours, alors que la capitale indienne plongée dans son hiver vit des épisodes de smog à trancher au couteau, une avalanche de textes dans les médias nationaux, grands lecteurs du NYT.

Beaucoup hésitent en vérité à y croire, comme Pékin est depuis longtemps considérée comme la mégapole où la pollution de l’air pose les problèmes les plus affolants au monde. Delhi plus nocive que Pékin? Impossible! 

La comparaison indique pourtant que la présence dans l’air de Delhi de particules fines (dites PM2.5, dix fois plus petites que l’épaisseur d’un cheveu) a été dans les trois premières semaines de janvier deux fois supérieures, en moyenne, à celle enregistrée à Pékin. Pendant ces trois semaines, la concentration de PM2.5 aurait franchi presque tous les jours à Delhi la barre des 300 microgrammes par mètre cube, soit au moins 12 fois plus que la limite jugée acceptable par l’OMS.

L’accablant tableau est contesté par certains, notamment parce que les chiffres sur lesquels il s’appuie — ceux du Delhi Pollution Control Committee — manquent notoirement de fiabilité. Mais là n’est pas la question. Le portrait que trace le NYT n’en reste pas moins épouvantable, surlignant une aggravation de la pollution à Delhi depuis cinq ans dans un contexte où ni le gouvernement ni, du reste, la population en général ne semblent vraiment prendre la mesure du problème. On sait pourtant déjà que l’Inde, avec 620 000 morts par année, a l’insigne honneur d’être le pays où le taux de mortalité lié à des maladies respiratoires est le plus élevé au monde.

La grande responsable de cette pollution est l’automobile, mais rien n’est fait si ce n’est que pour en limiter l’impact. Quelque 800 000 véhicules circulaient dans les rues de la capitale dans les années 1970. Il y en a aujourd’hui 7,5 millions , et leur nombre augmente de 1400 par jour. La majorité roule au diesel, carburant moins cher à la pompe que l’essence puisqu’il bénéficie de politiques de subventions gouvernementales.

Dans le quotidien FirstPost, Anumita Roy Chowdhury, directrice du réputé Centre pour la science et l’environnement (CSE), basé à Delhi, souligne en outre que Pékin a le mérite d’en faire davantage que les autorités de la capitale indienne pour prémunir la population quand se produisent des épisodes de pollution extrême. Et s’en désole. «Il nous faudrait un changement complet de paradigme, dit-elle. Regardez-moi ce nombre de voitures au diesel, les ventes ne font qu’augmenter.»



jeudi 9 janvier 2014
La plus grande partie du territoire des Etats-Unis et du Canada continue à grelotter sous l’effet d’une vague de froid historique, à tel point qu’à Chicago, les ours polaires du zoo ont dû être rentrés dans leurs abris. New York a enregistré mardi ses températures les plus basses pour un 7 janvier depuis plus de 100 ans, mais c’est le Midwest qui est le plus affecté.

A Embarrass, dans le Minnesota, -37°C ont été enregistrés, le record de mardi pour tous les Etats-Unis. Il a fait -15,5°C à Central Park à New York mardi matin, où le précédent record pour un 7 janvier datait de 1896, avec -14,4°C. La température n’a pas dépassé -10° de toute la journée dans la plus grande ville américaine, avec un ressenti de -22°C. Au total, sous l’effet d’une vague de froid polaire se déplaçant vers l’est, ce sont au moins 49 villes qui ont battu un record de froid pour un 7 janvier, dont Philadelphie (-15,5°C) ou Baltimore (- 16,1°C).

Températures mortelles

Plus au sud, Atlanta, où il a fait plus froid qu’à Anchorage, la plus grande ville d’Alaska, a affronté des températures descendues jusqu’à -14,4°C, pulvérisant un record datant de 1970. La température maximale annoncée mardi était de -14°C à Chicago (ressenti de -28°C) et de -7,7°C (ressenti de -12°C) à Nashville, dans le Tennessee (sud). A Montreal, Ottawa et Toronto, même les Canadiens les plus endurcis se plaignaient du froid et des coupures d’électricité. Un peu partout aux Etats-Unis, les autorités ont mis en garde la population, soulignant que combinées à des vents en rafales, les températures ressenties pouvaient être mortelles.

« Nous demandons aux habitants de rester à l’abri, et de suivre les consignes des autorités locales », a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche Jay Carney. « Je demande à tous les New-Yorkais de rester dans un endroit chauffé, pour éviter hypothermie, engelures et autres problèmes qui pourraient mettre leur santé en danger », a également insisté le maire de New York Bill de Blasio. Les écoles sont restées fermées dans le Minnesota, à Chicago, Atlanta et Nashville notamment, en raison de ce « vortex polaire », des vents froids venant du Pôle nord en raison d’un affaiblissement du courant chaud du jet stream.

Source: © AFP

lundi 6 janvier 2014
Au Canada, les chutes de neige et la tempête hivernale ont notamment entraîné des coupures de courant massives à Terre-Neuve.

Les Etats-Unis se prépare à affronter un froid polaire, avec des températures ressenties pouvant descendre jusqu’à – 50°C, un record en deux décennies, après avoir été frappés par une tempête de neige qui a fait au moins 16 morts.

Les autorités ont appelé les Américains à rester chez eux et à faire des provisions face à cette vague de froid qui s’est abattue depuis le début de l’année sur le nord-est des Etats-Unis et du Canada.

« Les habitants de Chicago ont du coeur, mais quand les températures descendent aussi bas que ce qui est prévu, il vaut mieux prévoir les choses en avance », souligne un porte-parole des services locaux des affaires sociales et familiales, cité dans le Chicago Tribune. Ces derniers ont appelé tous ceux qui le pouvaient à rester à l’abri dans un endroit chaud au cours des prochains jours.

La ville pourrait battre lundi son record de température la plus basse enregistrée en journée — soit -24°C, un niveau atteint le 18 janvier 1994 et le 24 décembre 1983, rappelle The Weather Channel.

Dans le Minnesota (nord), le gouverneur Mark Dayton a d’ores et déjà annoncé que les écoles publiques seraient fermées lundi: « J’ai pris cette décision pour protéger tous nos enfants des températures dangereusement froides qui sont prévues pour lundi. J’exhorte tous les habitants du Minnesota (…) à faire preuve de la plus grande prudence face à ces conditions météorologiques extrêmes », explique-t-il dans un communiqué.

« L’exposition à des températures extrêmement froides peut être cause d’hypothermie ou de gelure », une lésion qui peut entraîner la nécrose des tissus de la peau, rappellent les services du gouverneur. « La peau peut geler en cinq minutes à peine avec des températures ressenties de -45°C », rappellent les services météo de Minneapolis et Saint Paul, les « Twin Cities » du Minnesota.

Source :© lalibre.be

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