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mardi 28 juin 2011
Le Soudan a besoin d'un milliard de dollars pour approvisionner le Darfour en eau

Le gouvernement soudanais et les Nations unies ont lancé lundi un appel à la communauté internationale pour obtenir un milliard de dollars afin de faire face au rapide déclin des ressources hydriques du Darfour, principale cause de conflits dans cette région.

Nous voulons faire de l'eau qui est actuellement une cause de conflits fréquents l'instrument d'une paix durable, a déclaré Salahedin Youssef, ministre soudanais de l'Irrigation et des Ressources hydriques.

De longues années de conflits et de sécheresse ont fait de l'eau une ressource sans prix pour les habitants du Darfour. Le grand nombre de personnes déplacées de ce fait a accru la pression, a ajouté le ministre.

Les organisateurs d'un Congrès pour l'eau à des fins de paix durable veulent réunir des fonds pour financer 65 projets liés à l'eau sur six ans.

Les deux sujets abordés par plusieurs intervenants lors de l'inauguration à Khartoum de ce congrès de deux jours étaient d'une part l'explosion démographique dont le Darfour a été le théâtre au cours des dernières décennies, d'autre part les sécheresses de plus en plus fréquentes.

Dans le Nord du Darfour, où des affrontements sanglants ont éclaté entre les troupes gouvernementales et des forces rebelles il y a à peine dix jours, on a enregistré sur les vingt années écoulées seize des pires sécheresses que le pays ait connues depuis 1972.

Parallèlement, la population du Darfour est passée de 1,3 million d'habitants au début des années 70 à 8,2 millions, avec un doublement des citadins qui consomment jusqu'à six fois plus d'eau par tête d'habitant que les paysans.

Mais la majorité de la population est de type agro-pastoral et l'essentiel des conflits régionaux a pour origine des disputes sur l'exploitation des ressources naturelles.

Selon des déclarations du ministre à l'AFP en marge de la conférence, Khartoum doit participer aux 65 projets à hauteur de 216 millions de dollars. La dépense globale est estimée à 1,9 milliard de dollars sur les quatre années à venir.

Source: © AFP

Dans l'etat du Nouveau Mexique, le complexe nucléaire de Los Alamos, qui a pour mission d’assurer la sécurité et la fiabilité de l’arsenal nucléaire militaire américain, est menacé par un violent incendie de forêt, pas encore maîtrisé.

Des flammes ont brièvement pénétré lundi sur une surface de 0,4 hectare à l’intérieur de la limite sud-ouest du site,qui s’étend sur 11 000 hectares dans les monts Jemez situé dans le nord du Nouveau-Mexique à une quarantaine de km de Santa Fe, avant d’être éteintes par les pompiers.Aucun bâtiment du Laboratoire n’a été touché par les flammes, déclarent les autorités.

La ville de Los Alamos, qui compte 12 000 habitants, a du être évacuée sur ordre des autorités, surprises par la rapidité de l’incendie. Celles-ci assurent que les zones sensibles du complexe ne sont guère menacées.




lundi 27 juin 2011
Dimanche matin, des inspecteurs de la NRC se sont rendus à la centrale de Fort Calhoun, où un talus de 600 mètres de long s'est effondré, vers 01 h 30. Dans un communiqué, l'organisme a précisé que l'eau s'était accumulée autour de l'enceinte de confinement et du bâtiment des auxiliaires.

L'Omaha Public Power District a indiqué que la centrale ne serait pas remise en fonction avant le recul des eaux. Son porte-parole, Jeff Hanson, a affirmé que le talus n'était pas essentiel à la protection de l'installation. Il a ajouté qu'une équipe examinerait la paroi pour déterminer si cette dernière pouvait être colmatée.

Au dire de M. Hanson, le talus n'était qu'une mesure de protection de plus.

L'alimentation électrique de la centrale a été coupée après que l'eau eut entouré les principaux transformateurs électriques, a précisé la NRC. Dimanche, des génératrices de secours alimentaient la centrale, tandis que des travailleurs tentaient de rétablir le courant.

Des craintes subsistent en raison des risques d'inondation le long de la rivière Missouri à la suite du relâchement de grandes quantités d'eau par l'Army Corps of Engineers à partir de retenues se trouvant en amont.

le niveau d'eau d'un lac majeur a dépassé le niveau d'alerte Les pluies torrentielles qui se sont abattues le long du fleuve Yangtsé ces derniers jours ont fait monter le niveau d'eau du lac Taihu, le deuxième plus grand lac d'eau douce de Chine, au-dessus du niveau d'alerte, a annoncé dimanche 26 juin le Comité national de lutte contre les inondations et la sécheresse. Dimanche à 10H00, le niveau d'eau moyen du lac Taihu s'est établi à 3,84 mètres, soit 34 cm au-dessus du niveau qui pourrait déclencher une alerte de contrôle des inondations autour du lac. La situation s'est améliorée dimanche après-midi, après que le niveau d'eau a atteint 3,9 m, le plus haut niveau de cette année, et a commencé ensuite à baisser. Pourtant, le niveau d'eau des rivières et des lacs à proximité de Taihu, selon 13 stations d'observation, restent encore au-dessus du niveau d'alerte. Les inondations ont fait 94 morts, 78 disparus et ont forcé l'évacuation de milliers d'habitants dans 13 provinces depuis le début de la saison des pluies cette année. Source: xinhua



Les autorités ont procèdé au déversement du réservoir de Xin'anjiang

Une opération de déversement a eu lieu sur le plus gros réservoir de l'Est de la Chine afin d'empêcher qu'il ne déborde. En raison des fortes averses du début du mois, le niveau du réservoir était critique, et les autorités ont dû procéder à un déversement. Le réservoir de Xin'anjiang est construit sur les hauteurs de la rivière Qiantang, la plus longue rivière de la province du Zhejiang. Plus d'une trentaine d'heures après le début des opérations, le niveau d'eau du réservoir est revenu à la normale.

10 mille tonnes d'eau ont jailli du réservoir. Selon les opérateurs, cette scène magnifique ne peut être vue qu'une fois tous les 10 ans. Seules 3 des 9 vannes ont été ouvertes, afin d'éviter que le courant en aval ne soit trop fort.

Hu Yaowen

Chef adjoint

Centre de contrôle des inondations du Zhejiang

"On estime que le courant d'eau en aval pourrait passer à 8000 mètres cubes par seconde, ce n'est même pas la moitié du dernier déversement d'il y a 12 ans. Le niveau de l'eau en aval ne s'élèvera que de 2 mètres, mais la rivière se calmera après que le pic sera dépassé."

La plupart des habitants vivant en aval, ont été évacués avant le déversement. Cependant, de faibles dégâts n'ont pu être évités.

Plus de 50 hectares de cultures ont ainsi été inondés et des dizaines d'usines ont dû être fermées.


Passage de la tempête tropicale Meari 164 000 personnes ont été affectées, a déclaré lundi le ministère des Affaires civiles.

Des vents violents et des averses, suite au passage de la tempête tropicale Meari, ont provoqué des inondations dans 17 districts de trois provinces sur la côte est du pays depuis samedi et 164 000 personnes ont été affectées, a déclaré lundi le ministère des Affaires civiles.

Lundi à 15h00, les inondations provoquées par Meari dans les provinces du Liaoning, du Zhejiang et du Shandong ont obligé l'évacuation de 7 500 personnes, endommagé 33 000 hectares de terres cultivées et détruit 400 maisons.

Les pertes économiques directes suite à ces catastrophes naturelles dans les trois provinces ont été estimées à environ 200 millions de yuans (environ 30,89 millions de dollars).

Le ministère a exhorté les autorités locales à surveiller étroitement la tempête tropicale et à renforcer les efforts dans les rapports d'informations des catastrophes et dans les secours.

Selon les prévisions de lundi, le Shandong et le Liaoning ne verront pas de pluies torrentielles ces 24 prochaines heures car Meari se déplace vers la péninsule de Corée.

la tempête tropicale Haima a affecté quelque 5 100 personnes et forcé 800 d'entre eux à évacuer


De fortes précipitations apportées par la tempête tropicale Haima, qui a atteint jeudi matin la côte de la province du Guangdong (sud), ont affecté quelque 5 100 personnes et forcé 800 d'entre eux à évacuer, a indiqué vendredi le ministère des Affaires civiles.

Des inondations provoquées par les fortes précipitations dans les villes de Zhuhai, Yunfu, Zhaoqing et Yangjiang ont, au jour de vendredi 15H00, submergé 600 hectares de terre agricole et détruit 139 habitations, a précisé le ministère dans un communiqué, citant les rapports de l'agence locale des Affaires civiles.




Dans le même temps l'alerte d'urgence à la sécheresse a été déclenché dans certaines régions chinoises


Le Comité National pour la réduction des catastrophes naturelles et le Ministère des Affaires Civiles ont déclenché une alerte d'urgence à la sécheresse de niveau 4 dans plusieurs régions. Sont notamment concernées le centre et l'ouest de la Région autonome de la Mongolie intérieure, le centre et l'est de la province du Gansu, le sud de la Région autonome hui de Ningxia. Des groupes de travail ont été mobilisés dans les régions les plus touchées et des opérations de secours aux sinistrés engagées.

D'après un rapport publié par les gouvernements de ces 3 régions, la vague de sécheresse, qui a débuté en mars, avait affecté jeudi 23 juin, 11,67 millions d'habitants, 3,62 millions de bétail et 2,395 millions d'hectares de plantes agricoles, entièrement dévastées.


DROUGHT PERSISTS IN NW CHINA par tvnportal
Neuf personnes ont trouvé la mort et trois autres ont été portées disparues en Corée du Sud lundi après le passage du typhon Meari. Celui-ci a balayé la côte ouest du pays au cours du week-end, a-t-on appris lundi auprès des secours.

Le cyclone doit atteindre la Corée du Nord lundi matin et l'agence de presse officielle KCNA a diffusé des alertes. Meari fait près de 30 morts ou disparus la semaine dernière aux Philippines et au Vietnam.


aux Philippines

Près de 50.000 personnes ont dû être évacuées en raison des inondations provoquées par les pluies torrentielles qui se sont abattues sur les Philippines lors du passage de la tempête tropicale Meari, vendredi dernier a annoncé la sécurité civile.

Dans la capitale Manille, plus de 3.200 personnes ont quitté leur maison dans la nuit alors que de nombreuses rues étaient totalement inondées.


Thousands Flee Philippine Floods par NewsLook
jeudi 23 juin 2011
Plus de soixante plates-formes fonctionnent déjà et de nombreux forages sont en cours.

Les experts sont formels: les forages pétroliers vont se multiplier dans les années qui viennent en Méditerranée. «Essentiellement dans la partie orientale», précise Lucien Montadert, consultant en géologie pétrolière. Mais pas seulement.

Ces projets offshore seraient peut-être passés totalement inaperçus s'il n'y avait eu l'accident dramatique dans le golfe du Mexique le 20 avril 2010 de la plate-forme «Deepwater Horizon» qui a provoqué la mort de 11 personnes et laissé échapper pendant plus de trois mois près de 4 millions de baril de brut. Cet accident est d'ailleurs loin d'être un cas isolé.

«Depuis une trentaine d'années on a recensé dix incidents majeurs dont la moitié a donné lieu à des marées noires», rappelle le sénateur Roland Courteau qui a présenté mercredi un rapport de l'OPECST (office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et techniques) sur la pollution en Méditerranée.



Nouvelles techniques

À ce jour, cette grande mer semi-fermée compte 232 plates-formes d'exploitation d'hydrocarbures dont un tiers environ concerne du pétrole. La très grosse majorité se trouve au large de la Tunisie (43), l'Italie en compte 13, la Libye 5 et la Grèce 3. Mais d'ores et déjà, onze sont en cours de forage (6 en Égypte, 2 en Italie, 20 en Tunisie, 1 en Croatie) et d'autres projets dans les cartons attendent le dernier feu vert.

Cet engouement s'explique en partie par les nouvelles techniques de forage qui permettent d'extraire du pétrole des grandes profondeurs.

«Alors que les industriels foraient dans une dizaine de mètres d'eau au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les exploitations à plus de deux kilomètres de profondeur sont aujourd'hui de plus en plus fréquentes», précise Lucien Chabason, conseiller à l'Iddri (Institut du développement durable et des relations internationales). Sans oublier que les cours du brut rentabilisent aujourd'hui les forages les plus onéreux. «Or, la mer Méditerranée est une mer profonde dont les coûts d'exploitation sont élevés», précise ce spécialiste.

Cuves pleines à ras bord

Le sénateur de l'Aude est inquiet. «La gravité potentielle des incidents de plates-formes est liée aux faiblesses actuelles de l'encadrement juridique de leur exploitation», regrette-t-il, sachant que les forages offshore dépendent principalement du droit des États riverains. Et pour beaucoup d'entre eux «les préoccupations de sûreté environnementale ne sont pas dominantes». «L'âge de la plupart des plates-formes suscite de réelles inquiétudes», ajoute l'élu.

Un pas a toutefois été franchi en mars dernier avec l'entrée en vigueur d'un accord (le protocole de Madrid) sur la pollution résultant de «l'exploration et de l'exploitation du plateau continental». Six pays l'on ratifié mais pas encore l'Union européenne bien «qu'il couvre un large éventail de sujets: permis de forage, contrôle de ces permis, inspection à bord…», insiste Lucien Chabason.

«En cas d'accident, il n'y a pas d'accord sur la façon de lutter contre la pollution», regrette de son côté Frédéric Hébert, le directeur du Rempec (centre régional méditerranéen pour l'intervention d'urgence contre la pollution marine). Aux craintes d'éventuelles marées noires liées aux exploitations s'ajoutent celles en lien avec l'augmentation constante du trafic maritime. Outre des bateaux de plus en plus gros aux cuves pleines à ras bord de fuel (20.000 tonnes pour certains d'entre eux) le transport de pétrole a considérablement augmenté. «Ce sont 420 millions de tonnes qui transitent aujourd'hui contre environ contre 300 millions il y a dix ans», souligne encore Frédéric Hébert. Reste qu'aujourd'hui la réalité, c'est toujours celle des bateaux qui nettoient leurs cuves en pleine mer: entre 100.000 et 250.000 tonnes par an!

Une mer semi-fermée où la pollution ne cesse de s'accroître: La mer Méditerranée est menacée prévient Le sénateur Roland Courteau

La mer Méditerranée est menacée. C'est ce qui ressort du dernier rapport (1) de l'Opecst (Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques). Le sénateur Roland Courteau, qui a piloté ce travail, ne cache pas son inquiétude. L'élu de l'Aude égraine ainsi les multiples sources de pollution subies par cette mer semi-fermée «qui met un siècle à se renouveler».

En trente ans (1970-2000) la population des pays riverains a augmenté de 50%, passant de 285 à 427 millions. La Grande Bleue accueille 31% du tourisme mondial (275 millions de visiteurs). Or, les infrastructures sanitaires n'ont pas suivi: dans le sud,«44% des habitants des villes de plus de 10.000 habitants ne bénéficient pas d'un accès à un réseau d'épuration», précise ainsi le rapport. Au nord, 11% sont également concernés. Sans compter toutes les stations qui ont le mérite d'exister mais dont les technologies sont aujourd'hui dépassées.

Métaux lourds

Il faut ajouter à cela les rejets industriels ou agricoles: un trop-plein de nitrates, phosphates, métaux lourds, pesticides… Autant de molécules ayant «une très forte rémanence dans l'environnement due à leur faible biodisponibilité», rappelle le document.

Alors que 80% de la pollution provient de l'intérieur des terres, la Méditerranée, comme l'ensemble des océans, souffre d'une accumulation de déchets. «La densité des macrodéchets est de 40 pièces au kilomètre carré, mais peut être plus forte aux débouchés des grandes villes», souligne le sénateur qui s'inquiète tout autant des microplastiques. Ces débris minuscules, de l'ordre de 300 micromètres, fixent les polluants, véhiculent les espèces invasives et trompent les animaux, qui les prennent pour du zooplancton et meurent d'occlusion intestinale.

Le sénateur insiste aussi sur la multiplication des espèces invasives (on en compte aujourd'hui 925 dont 56% sont pérennes) au détriment des espèces endémiques, la prolifération de toxines dans les parcs à coquillages le long des lagunes, l'accroissement constant du trafic maritime dont le transit est passé en quelques années de 312 à 492 millions de tonnes…

Roland Courteau fait une dizaine de propositions axées sur la recherche et la gouvernance. Il suggère notamment de créer une alliance sur la recherche en Méditerranée en France, d'amplifier les travaux sur les polluants émergents, de parrainer les laboratoires des pays du Sud et d'«institutionnaliser la coopération entre les principaux instituts de recherche des pays riverains».

La lutte contre la pollution ne peut fonctionner que si les pays sont à l'unisson sur ce dossier. Faute d'une UPM (Union pour la Méditerranée) en état de marche, Roland Courteau engage à «séparer l'aspiration à un rapprochement politique des États riverains et la nécessité d'amplifier l'aide au codéveloppement technique». Il propose la création d'une agence de protection de l'environnement et de protection du développement durable en Méditerranée. Cette agence engloberait les dispositifs existants tels que la convention de Barcelone. L'adhésion serait volontaire et les décisions y seraient prises à la majorité qualifiée.

Source : Le Figaro




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Favorisées par la chaleur précoce, les algues vertes prolifèrent en Bretagne, ravivant questions et critiques sur l'efficacité du plan national de lutte lancé après la mort d'un cheval et le décès suspect d'un salarié chargé du ramassage pendant l'été 2009.

Comparé à l'an dernier, les ramassages d'algues ont augmenté de 12.045 à 20.321 m3, selon le dernier bilan régional de la préfecture de Bretagne.

Les volumes ont peu évolué dans les Côtes-d'Armor - 12.544 m3 en 2011 contre 11.947 m3 en 2010- mais sont six fois plus importants dans le Finistère -7.577 m3 en 2011 contre 1098 en 2010-, selon ce bilan.

Cette croissance forte est liée aux conditions climatiques des derniers mois (soleil, chaleur, faible
précipitation, faible houle), selon la préfecture.Même à la Baule, il y a des filets d'algues vertes, c'est du jamais vu, s'inquiète André Ollivro, du collectif Marées vertes.

Un récent rapport du Conseil économique et social de Bretagne (Ceser) identifie un total de 109 sites d'échouages en Bretagne et note que des marées vertes sont désormais observées jusqu'à l'île d'Oléron ainsi qu'en Normandie.Face au fléau, ce rapport souligne l'urgence et l'ampleur des actions à mener, jugeant que l'efficacité de celles en cours reste incertaine.

Sans un abaissement très important de la teneur en nitrate des eaux de ruissellement, les marées vertes subsisteront et défieront les capacités de ramassage, prévient le texte.

Jusqu'à présent, priorité a été donnée à l'action curative. Entre 2007 et 2009, les volumes ramassés ont crû de 27.000 à 60.000 m3. Les coûts de ramassage et de traitement sont passés de 345.000 à 800.000 euros puis 850.000 en 2010 pour 61.000 m3 échoués, selon le Ceser.

Cela fait quarante ans que ça dure... combien ont-ils été et combien seront-ils encore, tous ces élus, tous ces préfets et leurs relais médiatiques à se bousculer à la table des belles âmes pour rédiger des plans toujours onéreux pour les contribuables, tout aussi inefficaces, s'insurgeait récemment dans une tribune Yves-Marie Le Lay, de l'association Sauvegarde du Trégor.

Ca ne va pas s'arranger, selon André Ollivro, car les autorités, qui n'ont jamais cessé de délivrer des permis d'élevage, se préparent à réviser à la hausse les taux d'épandage de lisier.

Au moment où la prolifération des algues vertes donne lieu à beaucoup d'annonces, mais à peu d'actions préventives, cette initiative est pour le moins mal venue, selon l'association UFC Que choisir.

Le risque sanitaire reste marginal quand les algues sont ramassées, mais les marées vertes pèsent sur les activités conchylicoles et ternissent incontestablement l'image de la Bretagne, ce qui entraîne une baisse générale de l'attractivité touristique, selon le Ceser.

Pour lancer la saison estivale, le maire PS de Plouha, Philippe Delsol organise samedi un grand bain public sur la plage du Brehec, dans les Côtes d'Armor.

Une campagne d'affichage de France Nature Environnement, avec la photographie d'un enfant jouant sur cette plage engluée d'algues vertes, avait suscité une tempête de protestations en Bretagne au printemps.

Comme cette photographie date de juin 2001, on veut expliquer tout ce qui a été fait depuis et dire que ce n'est pas suffisant, qu'il faut aller plus loin, explique le maire. Il a invité 373 élus bretons à se jeter à l'eau avec lui, sans réponse positive pour l'instant.


Source: ©AFP


Algues vertes à Granville: André Ollivro par Squapad
La compagnie aérienne utilisera ce carburant dès septembre 2011...

Voler grâce à de l’huile de friture usagée, c’est l’avenir pour la compagnie aérienne néerlandaise KLM qui a annoncé mercredi qu'elle allait utiliser à partir de septembre ce biocarburant pour plus de 200 vols commerciaux assurant la liaison Amsterdam-Paris. «Il y aura 50% de kérosène traditionnel et 50% de biocarburant qui a été obtenu à partir d'huile de friture usagée», a déclaré à l'AFP Gedi Schrijver, une porte-parole de KLM, qui affirme que la compagnie néerlandaise est la première à assurer des vols commerciaux avec ce type de carburant. «Le biocarburant que KLM utilise répond aux mêmes spécifications techniques que le kérosène traditionnel», assure KLM dans un communiqué : «il n'y a donc pas besoin d'adapter les moteurs des avions ou les infrastructures».
L’huile proviendra de restaurants

Produit par la société américaine Dynamic Fuels, le biocarburant est obtenu à partir d'huile de friture, principalement végétale, provenant de restaurants. KLM assure, dans son communiqué, avoir franchi un «cap important pour rendre l'aviation plus durable».

Le premier vol de démonstration de KLM avec un avion utilisant du biocarburant à base d'huile de friture a eu lieu en novembre 2009, a rappelé Gedi Schrijver. «Nous n'avons pas encore déterminé la fréquence des vols ni la période sur laquelle les 200 vols auront lieu», a expliqué la porte-parole, selon laquelle KLM assure six vols quotidiens Amsterdam-Paris.


Source: © 2011 AFP
Au lendemain de l'adoption définitive par les députés de la proposition de loi sur les huiles et gaz de schiste , les parcs naturels régionaux restent très remontés.

En effet, si le texte, qui doit encore être adopté par le Sénat le 30 juin, interdit l'usage de la technique dite de "fracturation hydraulique", il autorise des expérimentations scientifiques sous contrôle public.

Or, "aujourd'hui les DREAL (directions régionales de l'environnement, de l'aménagement et du logement) continuent à instruire les permis", s'est insurgé Jean-Louis Joseph, le président de la Fédération des PNR, lors d'une conférence de presse, le 22 juin.

Selon lui, sept parcs, dont le sien, le PNR du Luberon, seraient concernés par ces permis. "Le site des Ocres dans le parc du Luberon fait l'objet d'un permis, une délégation du parc est allée voir le Dreal la semaine passée", a-t-il précisé, en présence des vice-présidents de la fédération.

Le président de la fédération demande que "la parole de l'Etat soit respectée". Il s'est aussi inquiété des déclarations dans Le Monde daté du 21 juin de Martin Schuepbach, le PDG fondateur de Schuepbach Energy, l'une des sociétés ayant obtenu des permis d'exploitation en France, selon lequel les forages par hydrofraction rendrait impossible la pollution des nappes phréatiques.

"Qui sait par exemple que les nappes phréatiques se situent à 200-300 mètres sous le sol, que les forages atteignent jusqu'à 2000-3000 mètres, et que la manière dont le gaz est récupéré rend impossible la pollution de ces nappes", affirme le PDG américain, dans le quotidien. Un argument que les PNR réfutent en bloc.

"Dans le Luberon qui a un relief karstique avec des galeries en grande profondeur, comment assurer que la Fontaine de Vaucluse ne serait pas touchée ?", s'est interrogé Jean-Louis Joseph.

"Là on va se battre, le réseau est derrière", a assuré le président de la fédération pour qui "les lobbies sont passés derrière" le texte. "On veut la réforme du droit minier, on a un code gazeux", a-t-il encore déclaré.

Les 46 parcs naturels régionaux doivent se retrouver les 7 et 8 juillet prochains à Forcalquier-Lurs pour discuter des pistes de réflexion de leur mission "Avenir des parcs".

Ils compte peser dans les débats de la futur élection présidentielle.

Les PNR sont en quête de reconnaissance dans le contexte de la réforme territoriale alors qu'ils s'estiment être les pionniers de l'intercommunalité en France.

Ils devraient présenter en mars prochain un texte d'orientation politique dans la perspective des élections présidentielles et législatives, reprenant leurs priorités en matière d'aménagement du territoire et de défense de la nature.

Les PNR s'inquiètent notamment de l'avenir de leurs financements après 2015.

Source: Parcs naturels régionaux

Aujourd'hui un nombre de plus en plus nombreux d'élus se rallient à leur cause et les soutiennent dans ce combat...Faite comme eux...faites savoir à vos élus votre désapprobation...

Ici c'est chose faite faite passer...


Shadocks par FUN_TIME

Dernières nouvelles du front

Comme promis les députés Ps ont saisi le Conseil constitutionnel

Les députés PS ont décidé de saisir le Conseil constitutionnel sur la proposition de loi visant à interdire l'usage de la fracturation hydraulique pour explorer et exploiter les huiles et gaz de schiste en France. S’inquiétant des nombreuses failles juridiques de ce texte, les socialistes souligne que la proposition ne donne aucun définition précise de cette fracturation hydraulique.

Dans cette affaire, les élus de l’opposition craignent que les industriels du secteur profitent d’un texte mal rédigé pour réussir finalement à exploiter les permis d'exploration qui leur ont été accordés en mars 2010 dans plusieurs sites dans le sud-est de la France. La proposition de loi ayant été adoptée le 21 juin à l'Assemblée nationale par l'UMP, c’est au tour désormais des sénateurs de voter sur ce texte en principe le 30 juin, avant une promulgation prévue courant juillet.

L'avis du Conseil constitutionnel devrait être rendu d'ici la fin 2011.
Le Japon a émis brièvement une alerte au tsunami tôt jeudi matin après un séisme de magnitude 6,7 au large des côtes nord-est du pays, a annoncé l'agence météorologique nationale. La mise en garde a été levée environ 50 minutes après avoir été lancée, selon la télévision publique NHK.

La secousse s'est produite à 50 kilomètres de la côte, à une profondeur de 20 kilomètres dans le Pacifique. Elle a été enregistrée jeudi à 06h51, soit peu avant minuit mercredi en Suisse.

Depuis le 11 Mars 2011, jour de la tragédie qui a frappé le pays, plus de 75 séismes de magnitude supérieur à 6 ont touché le Japon. La plus grande réplique d'une magnitude de 7,9 a frappé moins d'une heure après le choc principal de magnitude 9. Un séisme de magnitude 7,7 a également frappé ce jour-là. Une réplique de magnitude 7,1 a frappé le pays le 7 avril 2011.
Déjà à plus de 14 milliards de kilomètres de la terre, les sondes Voyager 1 et 2 dévoilent actuellement des zones encore totalement inconnues de notre système solaire.

C'est en retransmettant les informations recueillies vers la terre que les sondes de la NASA nous font découvrir le confins de la région du soleil et rapportent aux chercheurs de l'institut des informations insoupçonnées.


"La sonde Voyager semble avoir pénétré un immense territoire formé de bulles magnétiques complétement glacées," rapporte Merav Opher, astronome de l'université de Boston.


Ces bulles sont gigantesques, elles peuvent atteindre plus de 160 millions de kilomètres de diamètre. Il faut plusieurs semaines à une sonde pour en traverser une.


Avec voyager 1 les chercheurs avaient du mal à interpréter les données transmises par la sonde depuis le confins du système solaire, ce n'est qu'un an plus tard, quand Voyager 2 à pénétré dans la même zone que ces informations se sont pour eux éclairées.


"La force du champ magnétique solaire s'exerce jusqu'aux extrémités du système solaire" explique le Dr Opher. "sous l'effet de la rotation du soleil, son champs magnétique se plisse et crée d'énormes vagues, une fréquence en fait, et plus on s'éloigne du soleil plus les fréquences des vagues se resserrent.
Dans cette zone que traversent actuellement les sondes, le champs magnétique est fortement comprimé et glacé, du coup les lignes de champs se reconnectent entre elles en créant de l'écume magnétique et enfin se réorganisent pour former des bulles indépendantes.

"Jamais nous n'aurions imaginé découvrir ce type d'écume aux confins du système solaire, et pourtant, c'est bien ce qu'on voit !" explique le physicien Jim Drake, de l'université du Maryland.


A cette distance le champ magnétique est très faible, il nous faut beaucoup de temps pour analyser finement les données que nous recevons .
Néanmoins les bulles que nous observons sont totalement autonomes et complétement déconnectées du reste du champ magnétique solaire.

Les chercheurs appellent désormais cette zone "le fourreau hélicoïdal" ou heliosheath. Il est la frontière entre notre système solaire et le vide interstellaire.


Des intrus tentent de le pénétrer en permanence et les bulles magnétiques semblent nous protéger en les en empêchant.


Les rayons cosmiques sont un bon exemple, constitués de particules atomiques accélérées que des trous noirs ont propulsés dans le vide interstellaire, ils atteignent "le fourreau hélicoïdal" a une vitesse proche de celle de la lumière. Les bulles magnétiques semblent les arrêter tout en étant pas totalement étanche.


"Nous n'en sommes qu'à nos premières découvertes, et les sondes continuent de s'éloigner du soleil. Elle pénètrent actuellement plus profondément dans cette zone, et nous nous attendons à de nouvelles surprises."

Source: NASA

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Cette vidéo de la NASA explique cette hypothèse et nous fait découvrir du même coup les confins de notre système solaire...Je vous laisse admirer ce beau cadeau que nous fait la NASA

mercredi 22 juin 2011
Le Comité du Patrimoine mondial de l'Unesco a inscrit mercredi le site des forêts tropicales de Sumatra, d'une superficie de 2,5 millions d'hectares, sur sa liste du patrimoine en péril, a indiqué l'Unesco dans un communiqué.

Le bien, inscrit sur la liste du patrimoine mondial en 2004 pour sa biodiversité, a été placé sur la liste en péril afin de faire face aux menaces que constituent le braconnage, l'abattage illégal des arbres, l'empiètement agricole et les projets de construction de routes sur le site.

L'inscription sur la liste en danger permet de mobiliser davantage de soutiens financiers et techniques pour la préservation du site en mettant en lumière les menaces qui pèsent sur lui.

Le Comité, qui tient sa session annuelle jusqu'au 29 juin à Paris, a également inscrit la réserve de la biosphère de Rio Platano au Honduras, l'un des rares vestiges de la forêt tropicale humide d'Amérique centrale.

Le Honduras avait demandé cette mesure compte tenu des différentes menaces qui pèsent sur le site, tels que l'abattage illégal des arbres, de la pêche et de l'occupation illégales des terres, le braconnage et la capacité réduite de l'Etat à gérer le site, notamment du fait de la présence de trafiquants de drogue.

La réserve de la biosphère de Rio Platano, où vit une population autochtone qui a préservé son mode de vie traditionnel dans la forêt tropicale, a été inscrite sur la liste du patrimoine mondial en 1979.

Le Comité décidera en fin de semaine de l'inscription de nouveaux site sur sa liste du Patrimoine mondial, pour laquelle 37 candidats ont été retenus.


Source : ©AFP

Sumatra ...No comment...




Honduras ...No comment...




Mais pour mieux vous faire mesurer l’état de la déforestation en 2009 dans les 10 pays les plus touchés par l’expansion de cette huile à moteurs... pardon à palme... je vous invite à jeter un œil sur ce lien:
http://www.treehugger.com/files/2009/08/10-countries-highest-deforestation-rates-world.php

En résumé

  • Honduras: -37% ...plus que 16 % du territoire encore boisé
  • Nigeria: -36%...
  • Philippines: -32%..;Aujourd'hui plus que 35% de la foret initiale existe
  • Benin: -31%....Plus que 4 % de la foret initiale existe
  • Ghana: -28%...Le pays est passé de 2/3 de son territoire boisé à moins 10% aujourd'hui
  • Indonesia: -26%...le pays est passé de tout son territoire boisé a moins de 25 % aujourd'hui
  • Nepal & North Korea: -25%...le Nepal a pour ainsi dire plus de foret...La corée du nord est passé de 50% de son territoire boisé à moins de 20 % aujourd'hui
  • Ecuador & Haiti: -22%...En Equateur les 2/3 de la foret initiale a disparue ...Quant a Haiti 99.2 % de sa foret a disparu

...

Bref lorsque une société a gouté au poison de la bagnole, chaque distance devient évidemment trop étriquée, et le monde n'a plus qu'une seule route à suivre, espérer atteindre au plus vite les distances cosmiques (virez les s si vous le souhaitez). ...

Bref pour finir voici une petite vidéo à adapter pour chaque royaume du monde...vous y trouverez un condensé des beaux étés qui nous attendent...


Le Royaume en chantier par Lesrecycleurs
Douze mille résidents de Minot, dans le Dakota du Nord, ont jusqu'à 18h ce soir pour quitter leur résidence alors que des inondations historiques s'apprêtent à toucher la ville.

Les autorités ont ordonné, hier, l'évacuation obligatoire de ces milliers de résidents de la ville du centre-nord, qui est la quatrième plus grande de l'État. L'ordre d'évacuation touche le tiers des citoyens de Minot.

Le service national de météorologie américain a averti la population de se préparer à quitter en prévision d'inondations records qui sont notamment attribuables aux fortes pluies qui ont touché la région.

Le niveau de la Souris River, à la hauteur de Minot, pourrait augmenter de 1,22 mètre d'ici vendredi et le fleuve menace de déborder des digues.

Le volcan Puyehue a commencé à cracher de la lave mardi, 18 jours après le début de son éruption dans le sud du Chili, mais cela ne représente pas un danger pour les populations avoisinantes, a indiqué le Service national de Géologie et des mines (Sernageomin).

Le plus gros problème reste les cendres recrachés par le volcan depuis l’éruption

En Australie, de nombreux avions restent cloués au sol. Le nuage qui a déjà fait le tour du monde et perturbé les vols dans le ciel australien et néo-zélandais la semaine dernière, revient troubler le ciel du pays et cette fois il est plus dense et plus étendu.

La compagnie australienne Qantas a suspendu ce mardi ses liaisons avec Adelaïde, Canberra et Sydney, l’aéroport le plus fréquenté du pays.

D’autres compagnies, comme Virgin Australia, ont suspendu une partie de leurs vols ce mardi.

Les cendres du volcan Puyehue coûtent cher à Canberra. La Fédération australienne du tourisme, s’attend à un manque à gagner d’environ 8 millions et demi d’euros par jour pour l’industrie du secteur.

Selon elle, il s’agit de la plus grande perturbation du trafic aérien en Australie depuis la grève des pilotes de 1989.

Et en attendant dans toute la région du volcan on souffre toujours de la retombée des cendres ...Voir le diaporama ci dessous ...No comment...



_____________________________________________________________________________________

...En Érythrée

Le nuage de cendres craché par le volcan érythréen Nabro s’étant « éclairci », la compagnie aérienne Ethiopian Airlines a annoncé la reprise des vols intérieurs vers Djibouti ou Khartoum suspendus depuis la semaine dernière.

Si l’activité du Nabro continue, ses émissions de gaz et de cendres ont singulièrement diminué, permettant à Ethiopian Airlines de reprendre les derniers vols suspendus, en particulier vers Djibouti et la capitale du Soudan.

Néanmoins, sept personnes ont été tué et trois grievement blessé lors de l'eruption du volcan Nabro selon un communique publié aujourd'hui par le gouvernement érythréen.

Aujourd'hui le volcan recrache de la lave et des cendres qui affectent durement la région.

Une évacuation a été ordonné aux habitants de la région du volcan qui ont été temporairement déplacé dans des emplacements loin des retombée des cendres.
mardi 21 juin 2011

Le groupe Oscar Nip qui soutient Nature Alerte est en concert ce soir à partir de 22 h 00 à Montmartre, au croisement rue des 3 frères et rue Yvonne le Tac.

Vous pouvez consulter leur myspace ici (cliquez sur le lien) (groupe Rock tendance Industriel...oreille délicate s'abstenir)

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