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mardi 12 juillet 2011
21:05
LAGOS - Au moins vingt personnes sont mortes à Lagos et neuf autres à Katsina, dans le nord du Nigeria, à la suite d'inondations provoquées par des pluies torrentielles cette semaine, ont annoncé mardi les services de secours.
Au moins 20 personnes, parmi lesquelles des enfants, ont été tuées dans les inondations à Lagos dimanche, a indiqué le porte-parole des services de secours Yushau Shuaib.
Ces inondations sont les plus dévastatrices depuis le début de l'année, a-t-il précisé.
Lagos est la ville la plus peuplée du Nigeria avec 15 millions de personnes dont beaucoup vivent dans des taudis.
Selon Tunde Adebiyi, coordinateur des services de secours à Lagos, au moins quatre enfants sont parmi les victimes.
Les secours ont aussi fait état de neuf morts à Katsina, dans le nord également touché par les inondations.
Le Nigeria connaît des inondations chaque année durant la saison des pluies, d'avril à septembre. Mais selon les services de secours, cette saison 2011 devrait être particulièrement pluvieuse.
Source ©AFP / 12 juillet 2011
Au moins 20 personnes, parmi lesquelles des enfants, ont été tuées dans les inondations à Lagos dimanche, a indiqué le porte-parole des services de secours Yushau Shuaib.
Ces inondations sont les plus dévastatrices depuis le début de l'année, a-t-il précisé.
Lagos est la ville la plus peuplée du Nigeria avec 15 millions de personnes dont beaucoup vivent dans des taudis.
Selon Tunde Adebiyi, coordinateur des services de secours à Lagos, au moins quatre enfants sont parmi les victimes.
Les secours ont aussi fait état de neuf morts à Katsina, dans le nord également touché par les inondations.
Le Nigeria connaît des inondations chaque année durant la saison des pluies, d'avril à septembre. Mais selon les services de secours, cette saison 2011 devrait être particulièrement pluvieuse.
Source ©AFP / 12 juillet 2011
20:11
Les mesures de restriction d'eau ont été renforcées mardi dans une partie de la Saône-et-Loire en raison de la sécheresse persistante et d'une nouvelle dégradation de la situation hydrologique, a annoncé la préfecture.
Sur les 8 bassins hydrologiques de suivi de la sécheresse du département, 4 ont dépassé le seuil de crise renforcée, soit le stade le plus critique de la gestion de la sécheresse, précise la préfecture dans un communiqué.
L'objectif des mesures en seuil de crise renforcée est de limiter les consommations au strict nécessaire afin de pouvoir assurer l'approvisionnement en eau potable, la sécurité publique et sanitaire et la survie des écosystèmes aquatiques, ajoute-t-on.
Selon le ministère de l’Écologie, trois niveaux précèdent ce stade de crise renforcée: la vigilance, l'alerte et la crise.
En plus des restrictions d'eau limitant déjà les usages jugés non prioritaires pour les particuliers (arrosage, lavage de voitures, remplissage des piscines), le seuil de crise renforcée prévoit l'interdiction totale d'arroser les fleurs et d'irriguer pour les agriculteurs, sauf cultures sensibles à certaines heures.
Ces mesures de restriction sont applicables jusqu'au 15 septembre. Leur application fera lobjet de contrôles, indique la préfecture.
A ce jour, 71 départements sont concernés par des mesures de limitation deau, selon le site internet du ministère de l'Ecologie.
Source ©AFP / 12 juillet 2011 18h24
Ci dessous carte des restriction d'eau en France au 12 Juillet 2011
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Sur les 8 bassins hydrologiques de suivi de la sécheresse du département, 4 ont dépassé le seuil de crise renforcée, soit le stade le plus critique de la gestion de la sécheresse, précise la préfecture dans un communiqué.
L'objectif des mesures en seuil de crise renforcée est de limiter les consommations au strict nécessaire afin de pouvoir assurer l'approvisionnement en eau potable, la sécurité publique et sanitaire et la survie des écosystèmes aquatiques, ajoute-t-on.
Selon le ministère de l’Écologie, trois niveaux précèdent ce stade de crise renforcée: la vigilance, l'alerte et la crise.
En plus des restrictions d'eau limitant déjà les usages jugés non prioritaires pour les particuliers (arrosage, lavage de voitures, remplissage des piscines), le seuil de crise renforcée prévoit l'interdiction totale d'arroser les fleurs et d'irriguer pour les agriculteurs, sauf cultures sensibles à certaines heures.
Ces mesures de restriction sont applicables jusqu'au 15 septembre. Leur application fera lobjet de contrôles, indique la préfecture.
A ce jour, 71 départements sont concernés par des mesures de limitation deau, selon le site internet du ministère de l'Ecologie.
Source ©AFP / 12 juillet 2011 18h24
Ci dessous carte des restriction d'eau en France au 12 Juillet 2011
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17:10
Quatre ans après son inauguration en 2007, le centre de valorisation des déchets organiques (CVO), géré par la communauté urbaine (LMCU), vient de cesser de brûler la majorité de sa production de biogaz dans des torchères.
Conçu pour transformer en méthane et en compost 108 000 tonnes de déchets verts par an, le plus grand digesteur d'Europe injecte depuis quelques jours son gaz vert dans les tuyaux du réseau de GDF Suez : le biogaz élaboré à Sequedin sera ainsi mélangé au gaz naturel.
Le joyau communautaire, avait été créé au départ pour alimenter en biogaz les transports publics et notamment la flotte des bus de Transpole. Mais, face aux difficultés de stockage du gaz produit, la collectivité a finalement choisi de l'injecter dans le réseau GrDF. Ainsi les 143 Bus ne rouleront plus au 100% biogaz, mais les torchères qui jusqu'ici brulaient les 70% restant de la production du coup vont s'éteindre.
Lille métropole communauté urbaine (LMCU) est la première collectivité en France à injecter son biogaz dans le réseau GrDF, a déclaré lors d'une conférence de presse Damien Castelain, premier vice-président délégué à l'écologie urbaine de la collectivité.
L'usine affichant une capacité maximale de production de 4 millions de m3 par an, la collectivité espère à terme dégager 2 millions d'euros de recettes car un arrêté fixant un prix bonifié pour le rachat du gaz par GrDF est attendu ce mois-ci. Le coût d'exploitation du site pour la collectivité passerait ainsi à 5,4 millions d'euros par an.
Selon M. Castelain, une cinquantaine de projets en France attendent de profiter de l'expérience lilloise.
Selon GrDF, 160 demandes d'injection de biogaz dans le réseau ont été déposées en 2010 par des collectivités ou des exploitations agricoles.
Conçu pour transformer en méthane et en compost 108 000 tonnes de déchets verts par an, le plus grand digesteur d'Europe injecte depuis quelques jours son gaz vert dans les tuyaux du réseau de GDF Suez : le biogaz élaboré à Sequedin sera ainsi mélangé au gaz naturel.
Le joyau communautaire, avait été créé au départ pour alimenter en biogaz les transports publics et notamment la flotte des bus de Transpole. Mais, face aux difficultés de stockage du gaz produit, la collectivité a finalement choisi de l'injecter dans le réseau GrDF. Ainsi les 143 Bus ne rouleront plus au 100% biogaz, mais les torchères qui jusqu'ici brulaient les 70% restant de la production du coup vont s'éteindre.
Lille métropole communauté urbaine (LMCU) est la première collectivité en France à injecter son biogaz dans le réseau GrDF, a déclaré lors d'une conférence de presse Damien Castelain, premier vice-président délégué à l'écologie urbaine de la collectivité.
L'usine affichant une capacité maximale de production de 4 millions de m3 par an, la collectivité espère à terme dégager 2 millions d'euros de recettes car un arrêté fixant un prix bonifié pour le rachat du gaz par GrDF est attendu ce mois-ci. Le coût d'exploitation du site pour la collectivité passerait ainsi à 5,4 millions d'euros par an.
Selon M. Castelain, une cinquantaine de projets en France attendent de profiter de l'expérience lilloise.
Selon GrDF, 160 demandes d'injection de biogaz dans le réseau ont été déposées en 2010 par des collectivités ou des exploitations agricoles.
16:27
"Je lance lundi l'appel d'offres sur les éoliennes en mer avec l'objectif d'une production de 6 gigawatts, soit 6 000 mégawatts, en 2020 et 3 000 mégawatts (MW) dès maintenant, et surtout plus de 10 000 emplois attendus", a indiqué vendredi sur France 2 la ministre de l'Écologie et du Développement durable Nathalie Kosciusko-Morizet.
l’appel d’offres pour des parcs d’éoliennes offshore a donc été lancé hier par les ministres de l’Ecologie et de l’Industrie. Le cahier des charges est publié par la Commission de régulation de l’énergie (CRE).
D’ici 2020, pour parvenir à l’objectif français de 23% de la consommation d’énergie issus des énergies renouvelables, les énergies marines (éoliennes, hydroliennes…) doivent produire 3,5% de la consommation d’électricité, soit plus de 4,5 millions de foyers, indique le ministère.
Pour cela, il faudra construire une capacité éolienne offshore de 6 gigawatts, soit environ 1.200 éoliennes. La première tranche sur laquelle porte l’appel d’offres lancé hier est répartie sur cinq parcs:
Les cinq sites couvrent une surface de 533 km2 : Le Tréport (Seine-Maritime, Somme) avec 110 km2 et une puissance maximale de 750 MW, Fécamp (Seine-Maritime) avec 88 km2 et une puissance de 500 MW, Courseulles-sur-Mer (Calvados) avec 77 km2 et 500 MW, Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor) avec 180 km2 et 500 MW et Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) avec 78 km2 pour 750 MW. La liste des dossiers retenus devrait être annoncée en avril 2012, de même que le lancement d'un second appel d'offres pour la 2e tranche du projet. Le ministre de l'Énergie Éric Besson, a, lui, prévu une réunion avec les industriels pour leur détailler le cahier des charges qui sera "ouvert à tous", y compris les entreprises étrangères
les candidats ont jusqu’au 11 janvier 2012 pour déposer leurs dossiers à la CRE. La sélection sera faite en avril 2012, puis les candidats présélectionnés, « à l’issue d’une étape de ‘levée des risques’ obligatoire, devront confirmer la faisabilité du projet en octobre 2013″, indique le ministère. Les installations devront ensuite être construites à partir de 2015.
Sans attendre l'ouverture officielle de cet appel, GDF Suez, qui se présente comme le premier producteur éolien national, s'est associé pour l'occasion au groupe de BTP Vinci et au nucléaire Areva pour déposer conjointement leur candidature sur trois des cinq zones concernées (Tréport, Courseulles-sur-Mer et Fécamp).
L'investissement a été chiffré à 20 milliards d'euros et sera financé au final par le consommateur au titre de la contribution au service public de l'électricité (CSPE) incluse dans les factures d'électricité, selon le gouvernement. Le surcoût a été évalué à 25 euros par ménage et par an.
Plus de 10.000 emplois directs pourraient ainsi être créés à l’horizon 2020. Nous appelons les industriels à se mobiliser afin de permettre la création d’une filière française d’excellence.
Vidéo: Visite du parc éolien en mer danois de Horns Rev I (mars 2010)
Visite du parc éolien en mer de Horns Rev I... par CPDP-Eolien-en-mer
l’appel d’offres pour des parcs d’éoliennes offshore a donc été lancé hier par les ministres de l’Ecologie et de l’Industrie. Le cahier des charges est publié par la Commission de régulation de l’énergie (CRE).
D’ici 2020, pour parvenir à l’objectif français de 23% de la consommation d’énergie issus des énergies renouvelables, les énergies marines (éoliennes, hydroliennes…) doivent produire 3,5% de la consommation d’électricité, soit plus de 4,5 millions de foyers, indique le ministère.
Pour cela, il faudra construire une capacité éolienne offshore de 6 gigawatts, soit environ 1.200 éoliennes. La première tranche sur laquelle porte l’appel d’offres lancé hier est répartie sur cinq parcs:
- Le Tréport (Seine-Maritme-Somme) – 110 km2: puissance maximale 750 MW, puissance minimale 600 MW
- Fécamp (Seine-Maritime) – 88 km2: puissance maximale 500 MW, puissance minimale 480 MW
- Courseulles-sur-mer (Calvados) – 77 km2: puissance maximale 500 MW, puissance minimale 420 MW
- Saint-Brieuc (Côtes d’Armor) – 180 km2: puissance maximale 500 MW, puissance minimale 480 MW
- Saint-Nazaire (Loire-Atlantique – seul site de l’Atlantique, les quatre autres étant tous sur la Manche) – 78 km2: puissance maximale 750 MW, puissance minimale 420 MW.
Les cinq sites couvrent une surface de 533 km2 : Le Tréport (Seine-Maritime, Somme) avec 110 km2 et une puissance maximale de 750 MW, Fécamp (Seine-Maritime) avec 88 km2 et une puissance de 500 MW, Courseulles-sur-Mer (Calvados) avec 77 km2 et 500 MW, Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor) avec 180 km2 et 500 MW et Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) avec 78 km2 pour 750 MW. La liste des dossiers retenus devrait être annoncée en avril 2012, de même que le lancement d'un second appel d'offres pour la 2e tranche du projet. Le ministre de l'Énergie Éric Besson, a, lui, prévu une réunion avec les industriels pour leur détailler le cahier des charges qui sera "ouvert à tous", y compris les entreprises étrangères
les candidats ont jusqu’au 11 janvier 2012 pour déposer leurs dossiers à la CRE. La sélection sera faite en avril 2012, puis les candidats présélectionnés, « à l’issue d’une étape de ‘levée des risques’ obligatoire, devront confirmer la faisabilité du projet en octobre 2013″, indique le ministère. Les installations devront ensuite être construites à partir de 2015.
Sans attendre l'ouverture officielle de cet appel, GDF Suez, qui se présente comme le premier producteur éolien national, s'est associé pour l'occasion au groupe de BTP Vinci et au nucléaire Areva pour déposer conjointement leur candidature sur trois des cinq zones concernées (Tréport, Courseulles-sur-Mer et Fécamp).
L'investissement a été chiffré à 20 milliards d'euros et sera financé au final par le consommateur au titre de la contribution au service public de l'électricité (CSPE) incluse dans les factures d'électricité, selon le gouvernement. Le surcoût a été évalué à 25 euros par ménage et par an.
Plus de 10.000 emplois directs pourraient ainsi être créés à l’horizon 2020. Nous appelons les industriels à se mobiliser afin de permettre la création d’une filière française d’excellence.
Vidéo: Visite du parc éolien en mer danois de Horns Rev I (mars 2010)
Visite du parc éolien en mer de Horns Rev I... par CPDP-Eolien-en-mer
13:48
14,6 % d’électricité renouvelable pour 2010 au lieu des 21 % auxquels la France s’était engagée : il est urgent de réagir et de mettre en place une politique forte, dynamique et ambitieuse conjuguant la priorité à la sobriété énergétique et le développement des énergies renouvelables pour respecter nos engagements pour 2020.
En 2001 la France s’était engagée à porter la part d’électricité renouvelable qu’elle consomme à 21 % en 2010. Las ! Les statistiques publiées en catimini le 4 juillet par le Ministère de l’Écologie montrent qu’elle n’était que de 14,6 %, ce qui veut dire une stagnation puisque en 1997, l’année servant de référence, cette part était déjà de 15%.
Aujourd’hui, un nouvel objectif a été fixé pour 2020 et il nous appartient d’écrire une nouvelle page : la France doit atteindre une part de 23 % d’énergies renouvelables dans sa consommation globale. Pour cela, elle s’est engagée à travers son « Plan national d’action » à atteindre des parts d’énergies renouvelables respectivement de 27 % pour l’électricité, 32 % pour la chaleur et 10 % pour les transports (biocarburants).
Contrairement à l’objectif 2010, celui-ci est légalement contraignant, c’est-à-dire que la France a l’obligation de l’atteindre sous peine de sanctions européennes.
Mais au-delà des engagements européens, notre politique en faveur d’un système énergétique durable doit être plus ambitieuse que jamais pour initier une transition énergétique qui permettra de limiter les émissions de gaz à effet de serre, réduire notre dépendance vis-à-vis des importations de pétrole, de gaz et d’uranium et assurer le développement économique de nos territoires.
Le CLER appelle à tirer tous les enseignements de l’échec de la politique énergétique de la dernière décennie. Pour y contribuer, il est prêt à mettre à disposition de l’ensemble de la communauté nationale le savoir-faire et l’expérience de son réseau d’adhérents.
Comme nous l’avons fait il y a dix ans, nous tenons particulièrement à insister sur l’impossibilité d’atteindre ces objectifs sans la mobilisation la plus large de l’ensemble des acteurs des territoires et sans la mise en œuvre d’une vision globale alliant sobriété énergétique et énergies renouvelables.
Source: Le Comité de Liaison Énergies Renouvelables (CLER)
En 2001 la France s’était engagée à porter la part d’électricité renouvelable qu’elle consomme à 21 % en 2010. Las ! Les statistiques publiées en catimini le 4 juillet par le Ministère de l’Écologie montrent qu’elle n’était que de 14,6 %, ce qui veut dire une stagnation puisque en 1997, l’année servant de référence, cette part était déjà de 15%.
Aujourd’hui, un nouvel objectif a été fixé pour 2020 et il nous appartient d’écrire une nouvelle page : la France doit atteindre une part de 23 % d’énergies renouvelables dans sa consommation globale. Pour cela, elle s’est engagée à travers son « Plan national d’action » à atteindre des parts d’énergies renouvelables respectivement de 27 % pour l’électricité, 32 % pour la chaleur et 10 % pour les transports (biocarburants).
Contrairement à l’objectif 2010, celui-ci est légalement contraignant, c’est-à-dire que la France a l’obligation de l’atteindre sous peine de sanctions européennes.
Mais au-delà des engagements européens, notre politique en faveur d’un système énergétique durable doit être plus ambitieuse que jamais pour initier une transition énergétique qui permettra de limiter les émissions de gaz à effet de serre, réduire notre dépendance vis-à-vis des importations de pétrole, de gaz et d’uranium et assurer le développement économique de nos territoires.
Le CLER appelle à tirer tous les enseignements de l’échec de la politique énergétique de la dernière décennie. Pour y contribuer, il est prêt à mettre à disposition de l’ensemble de la communauté nationale le savoir-faire et l’expérience de son réseau d’adhérents.
Comme nous l’avons fait il y a dix ans, nous tenons particulièrement à insister sur l’impossibilité d’atteindre ces objectifs sans la mobilisation la plus large de l’ensemble des acteurs des territoires et sans la mise en œuvre d’une vision globale alliant sobriété énergétique et énergies renouvelables.
Source: Le Comité de Liaison Énergies Renouvelables (CLER)
13:25
la vague de froid qui touche actuellement une grande partie de l’Amérique du sud a déjà fait 22 morts.
Dix personnes sont mortes au Paraguay, le pays le plus touché, suivi de l’Uruguay avec six décès, de l’Argentine et du Brésil où trois personnes sont mortes dans chacun des deux pays.
Hier le gouvernement bolivien a fait appel à ses pays voisins pour une aide d'urgence.
La Bolivie a besoin d'hélicoptères pour transporter d'urgence les aides de premières nécessites aux communautés isolées ainsi que des chasses neige pour déblayer les routes.
Les températures dans les zones andines de Bolivie ont atteint -20 degrés, le département de Potosi au sud a connu ses pires neiges en neuf ans, a indiqué le ministre de la Défense bolivienne, Cecilia Chacon.
"Nous avons 7 000 familles touchées par le froid, isolées dans des zones lointaines, et plus de 41 000 têtes de bétail qui ne peuvent se nourrir" a expliqué Mme Chacon.
La neige a pris les agriculteurs et les touristes par surprise dans les hautes terres généralement sec de Potosi, une vaste zone dans le sud-ouest du pays. Les agriculteurs ont perdu toutes leurs récoltes et plus de 50.000 lamas sont sans nourriture, les pâturages étant couverts d'une épaisse couche de neige.Les routes sont fermées, et les efforts de secours sont entravés par le mauvais temps.
Dans le sud et le sud-est du Brésil, les températures sont également tombées sous zéro ces deux dernières semaines. Il a fait lundi -6,2 dans les montagnes de l’État de Catalina
Au zoo de Gramado, dans l’État brésilien méridional du Rio Grande do Sul, des couvertures et radiateurs ont été disposés pour les animaux, selon le site Internet G1.
« Les espèces que l’on a ici sont d’Amazonie. Ces animaux ne sont pas adaptés au froid », a expliqué le vétérinaire Rafael Pagani.
A Rio de Janeiro, les orangs-outangs du zoo ont également reçu des couvertures.
En Argentine la localité de Paso de los Libres, dans la province de Corrientes au Nord-Est a enregistré sa température la plus basse de ces 50 dernières années -4
En Uruguay, le froid a tué six personnes, dont cinq sans-abri à Montevideo. Le président José Mujica a ordonné cette semaine que les personnes vivant dans la rue soient placées de force dans des refuges.
© M.A/ N.A
Dix personnes sont mortes au Paraguay, le pays le plus touché, suivi de l’Uruguay avec six décès, de l’Argentine et du Brésil où trois personnes sont mortes dans chacun des deux pays.
Hier le gouvernement bolivien a fait appel à ses pays voisins pour une aide d'urgence.
La Bolivie a besoin d'hélicoptères pour transporter d'urgence les aides de premières nécessites aux communautés isolées ainsi que des chasses neige pour déblayer les routes.
Les températures dans les zones andines de Bolivie ont atteint -20 degrés, le département de Potosi au sud a connu ses pires neiges en neuf ans, a indiqué le ministre de la Défense bolivienne, Cecilia Chacon.
"Nous avons 7 000 familles touchées par le froid, isolées dans des zones lointaines, et plus de 41 000 têtes de bétail qui ne peuvent se nourrir" a expliqué Mme Chacon.
La neige a pris les agriculteurs et les touristes par surprise dans les hautes terres généralement sec de Potosi, une vaste zone dans le sud-ouest du pays. Les agriculteurs ont perdu toutes leurs récoltes et plus de 50.000 lamas sont sans nourriture, les pâturages étant couverts d'une épaisse couche de neige.Les routes sont fermées, et les efforts de secours sont entravés par le mauvais temps.
Dans le sud et le sud-est du Brésil, les températures sont également tombées sous zéro ces deux dernières semaines. Il a fait lundi -6,2 dans les montagnes de l’État de Catalina
Au zoo de Gramado, dans l’État brésilien méridional du Rio Grande do Sul, des couvertures et radiateurs ont été disposés pour les animaux, selon le site Internet G1.
« Les espèces que l’on a ici sont d’Amazonie. Ces animaux ne sont pas adaptés au froid », a expliqué le vétérinaire Rafael Pagani.
A Rio de Janeiro, les orangs-outangs du zoo ont également reçu des couvertures.
En Argentine la localité de Paso de los Libres, dans la province de Corrientes au Nord-Est a enregistré sa température la plus basse de ces 50 dernières années -4
En Uruguay, le froid a tué six personnes, dont cinq sans-abri à Montevideo. Le président José Mujica a ordonné cette semaine que les personnes vivant dans la rue soient placées de force dans des refuges.
© M.A/ N.A
lundi 11 juillet 2011
20:29
Vers 9 h 15 ce matin heure locale plus de 600 000 personnes se sont retrouvés privés d’électricité après le passage de très violents orages sur la ville de Chicago.
Les fortes pluies et la grêle ont rompus de nombreuses lignes de distribution électrique, ont arrachés des arbres, et plongés la ville sous un véritable déluge.
Le porte parole de la compagnie "Commonwealth Edison" rapporte que la banlieue nord de la ville est la plus touchée, 280 000 foyers y sont privés d’électricité, 156 000 dans la banlieue ouest, 80 000 dans la banlieue sud et 108 000 dans le centre ville.
Plus de 100 vols ont été annulés au départs de l’aéroport international O'Hare, et de nombreux vols accusent plus d'une heure de retard.
Les vents soufflaient à plus de 100 km/heure
En raison des conditions météorologiques et des vents violents, les trains de l'Union du Pacifique Nord Line et de la ligne nord-ouest ont totalement stoppé leur trafic, selon le porte-parole de la Metra, Michael Gillis. De nombreuses lignes de métro sont perturbées
Cette tempête dévastatrice se dirige à présent vers le nord ouest de l’Indiana sur un front de plus 70 km de large
Les fortes pluies et la grêle ont rompus de nombreuses lignes de distribution électrique, ont arrachés des arbres, et plongés la ville sous un véritable déluge.
Le porte parole de la compagnie "Commonwealth Edison" rapporte que la banlieue nord de la ville est la plus touchée, 280 000 foyers y sont privés d’électricité, 156 000 dans la banlieue ouest, 80 000 dans la banlieue sud et 108 000 dans le centre ville.
Plus de 100 vols ont été annulés au départs de l’aéroport international O'Hare, et de nombreux vols accusent plus d'une heure de retard.
Les vents soufflaient à plus de 100 km/heure
En raison des conditions météorologiques et des vents violents, les trains de l'Union du Pacifique Nord Line et de la ligne nord-ouest ont totalement stoppé leur trafic, selon le porte-parole de la Metra, Michael Gillis. De nombreuses lignes de métro sont perturbées
Cette tempête dévastatrice se dirige à présent vers le nord ouest de l’Indiana sur un front de plus 70 km de large
13:00
Une nouvelle éruption de l'Etna en Sicile samedi après midi n'a pas que cloué au sol les avions sur l’aéroport de Fontanarossa voisin, elle semble avoir dérégler les pendules en les faisant avancer de 15 minutes, et le mystère reste entier!
Cette 5 eme éruption depuis le début de l'année était plutôt forte, mais le plus surprenant c'est que des milliers de siciliens ont remarqué que leurs montres et autres pendules électroniques se sont misent à avancer de 15 minutes sur l'heure normale en se présentant à leur travail avant l'heure.
Une page Facebook a même était ouverte pour l'évènement
Certain imaginent l'intervention d’extraterrestres, d'autres accusent les dernières explosions solaires et d'autre encore des câbles sous-marins de les avoir dérégler.
Si l'aéroport de Fontanarossa a ré-ouvert depuis, la raison qui risque d'y voir affluer les voyageurs 15 minutes avant l'heure de départ reste elle totalement inconnue
Et ce n'est pas la première fois depuis le début de l'année que le phénomène est constaté en Sicile, cette récente vidéo du mois dernier en témoigne
Cette 5 eme éruption depuis le début de l'année était plutôt forte, mais le plus surprenant c'est que des milliers de siciliens ont remarqué que leurs montres et autres pendules électroniques se sont misent à avancer de 15 minutes sur l'heure normale en se présentant à leur travail avant l'heure.
Une page Facebook a même était ouverte pour l'évènement
Certain imaginent l'intervention d’extraterrestres, d'autres accusent les dernières explosions solaires et d'autre encore des câbles sous-marins de les avoir dérégler.
Si l'aéroport de Fontanarossa a ré-ouvert depuis, la raison qui risque d'y voir affluer les voyageurs 15 minutes avant l'heure de départ reste elle totalement inconnue
Et ce n'est pas la première fois depuis le début de l'année que le phénomène est constaté en Sicile, cette récente vidéo du mois dernier en témoigne
12:00
Une mini-tornade a touché samedi soir durant 4 petites minutes tout un quartier de Rians, dans le Var, sans faire de blessé.
Mais de gros dégâts. Clôtures envolées, tonnelles emportées, voitures endommagées, arbres fendus.
Au total, une vingtaine d'habitations ont été touchées, selon les sapeurs pompiers. Le phénomène devrait être classé en catastrophe naturelle.
Source: Tf1
Mais de gros dégâts. Clôtures envolées, tonnelles emportées, voitures endommagées, arbres fendus.
Au total, une vingtaine d'habitations ont été touchées, selon les sapeurs pompiers. Le phénomène devrait être classé en catastrophe naturelle.
Source: Tf1
11:36
Le nombre de tortues à nez de cochon a chuté de façon spectaculaire au cours des 30 dernières années, selon une nouvelle étude publiée dans la revue "Biological Conservation".
Elle est une des espèces la plus menacée d'extinction
Seule survivante d'une famille autrefois très répandue des tortues appelées Carettochelyidae, la tortue à nez de cochon ne se trouve plus aujourd'hui que dans le nord de l'Australie et dans la Papouasie-Nouvelle-Guinée .
Sa viande et ses œufs sont très prisées par la populations locale, ce qui a conduit à la presque disparition de l'espèce.
Pour en mesurer l'impact le professeur Carla Eisemberg de l'Université de Canberra, en Australie a dénombré les tortues puis le nombre d'œufs des sites de nidification connus dans la région de Kikori en Papouasie Nouvelle Guinée, ainsi que le nombre de tortues et d'œufs revendus dans les marchés locaux des villages le long des rivières et des côtes.
Les données recueillies ont été comparés avec une étude similaire effectuée sur la tortue à nez de cochon réalisée entre 1980 et 1982 par Mark Rose, scientifique de la "Fauna and Flora International", de Cambridge au Royaume-Uni.
La similitude de ces deux études a permis au professeur Eisemberg et a son équipe de comparer directement l’évolution des chiffres. Les résultats sont sans appel: plus de 50% de la population de tortue à nez de cochon à disparu de la région depuis les années 1980.
L'étude a démontré que plus de 95 % des nids ont été visité et dévalisé par la population locale pendant l'enquête. Ils ont également découvert que les tortues femelles restantes après cette chasse étaient toutes plus petites que la moyenne et que tous les individus de tailles normales ont finis sur les étals, tandis que l'espérance de vie globale de l'espèce avait également diminué.
L'équipe de scientifiques prévient que le taux de déclin de la population dans la zone observée est susceptible d'être équivalent dans toute la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Selon les scientifiques, un plan de conservation pour sauver la tortue est maintenant devenu d'une extrême urgence a mettre en place par les autorités, même appliqué disent ils, il faudra des décennies pour que la tortue à nez de cochon retrouve une population susceptible d'en assurer la survie.
Toutefois, il faut savoir que les communautés indigènes qui vivent dans la région s'assurent de leurs besoins en apport en protéines par ces tortues, cela signifie que l’organisation d'un plan de conservation risque d'être un exercice extrêmement délicat.
Elle est une des espèces la plus menacée d'extinction
Seule survivante d'une famille autrefois très répandue des tortues appelées Carettochelyidae, la tortue à nez de cochon ne se trouve plus aujourd'hui que dans le nord de l'Australie et dans la Papouasie-Nouvelle-Guinée .
Sa viande et ses œufs sont très prisées par la populations locale, ce qui a conduit à la presque disparition de l'espèce.
Pour en mesurer l'impact le professeur Carla Eisemberg de l'Université de Canberra, en Australie a dénombré les tortues puis le nombre d'œufs des sites de nidification connus dans la région de Kikori en Papouasie Nouvelle Guinée, ainsi que le nombre de tortues et d'œufs revendus dans les marchés locaux des villages le long des rivières et des côtes.
Les données recueillies ont été comparés avec une étude similaire effectuée sur la tortue à nez de cochon réalisée entre 1980 et 1982 par Mark Rose, scientifique de la "Fauna and Flora International", de Cambridge au Royaume-Uni.
La similitude de ces deux études a permis au professeur Eisemberg et a son équipe de comparer directement l’évolution des chiffres. Les résultats sont sans appel: plus de 50% de la population de tortue à nez de cochon à disparu de la région depuis les années 1980.
L'étude a démontré que plus de 95 % des nids ont été visité et dévalisé par la population locale pendant l'enquête. Ils ont également découvert que les tortues femelles restantes après cette chasse étaient toutes plus petites que la moyenne et que tous les individus de tailles normales ont finis sur les étals, tandis que l'espérance de vie globale de l'espèce avait également diminué.
L'équipe de scientifiques prévient que le taux de déclin de la population dans la zone observée est susceptible d'être équivalent dans toute la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Selon les scientifiques, un plan de conservation pour sauver la tortue est maintenant devenu d'une extrême urgence a mettre en place par les autorités, même appliqué disent ils, il faudra des décennies pour que la tortue à nez de cochon retrouve une population susceptible d'en assurer la survie.
Toutefois, il faut savoir que les communautés indigènes qui vivent dans la région s'assurent de leurs besoins en apport en protéines par ces tortues, cela signifie que l’organisation d'un plan de conservation risque d'être un exercice extrêmement délicat.
10:19
L'Indonésie a ordonné lundi l'évacuation de plusieurs centaines de personnes habitant sur les pentes du volcan Lokon, après avoir relevé le niveau d'alerte au maximum par crainte d'une éruption imminente.
Le mont Lokon (1.580 m), situé dans le nord de l'île de Sulawesi (Célèbes), est entré dans une période éruptive ces derniers jours en projetant un panache de cendres à une hauteur de 500 mètres, a indiqué un responsable des services de vulcanologie indonésiens, Kristianto.
"Nous avons décidé l'évacuation des habitants vivant dans un rayon de 3,5 km autour du volcan par mesure de précaution, au cas où des gaz nocifs seraient projetés", a-t-il ajouté. Quelque 28.000 personnes résident dans les environs du Lokon mais seules quelques centaines, les plus exposées, seront évacuées lundi, a précisé l'Agence de gestion des catastrophes.
L'ascension du volcan, situé à une vingtaine de km de Manado, la principale ville du nord de Sulawesi, a été également interdite aux touristes. Un touriste suisse avait été tué en 1991 au cours d'une précédente éruption. Les autorités surveillent également attentivement un autre volcan de la région, le Soputan, entré en éruption en juin.
L'Indonésie, située sur la "ceinture de feu" du Pacifique, est le pays comptant le plus de volcans en activité au monde (129). Son volcan le plus actif, le mont Merapi, au centre de l'île de Java, a tué plus de 350 personnes lors d'une série d'éruptions qui ont commencé à la fin du mois d'octobre 2010.
Source: belga
Le Gunung Lokon culmine à 1 595 m au nord-ouest de la ville de Tomohon, il représente un ensemble volcanique qui est constitué de deux strato-volcans : le Lokon et l'Empung 1 340 m.
Sur le plan historique, le Lokon a connu durant le XXème siècle environ 16 éruptions.
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Le mont Lokon (1.580 m), situé dans le nord de l'île de Sulawesi (Célèbes), est entré dans une période éruptive ces derniers jours en projetant un panache de cendres à une hauteur de 500 mètres, a indiqué un responsable des services de vulcanologie indonésiens, Kristianto.
"Nous avons décidé l'évacuation des habitants vivant dans un rayon de 3,5 km autour du volcan par mesure de précaution, au cas où des gaz nocifs seraient projetés", a-t-il ajouté. Quelque 28.000 personnes résident dans les environs du Lokon mais seules quelques centaines, les plus exposées, seront évacuées lundi, a précisé l'Agence de gestion des catastrophes.
L'ascension du volcan, situé à une vingtaine de km de Manado, la principale ville du nord de Sulawesi, a été également interdite aux touristes. Un touriste suisse avait été tué en 1991 au cours d'une précédente éruption. Les autorités surveillent également attentivement un autre volcan de la région, le Soputan, entré en éruption en juin.
L'Indonésie, située sur la "ceinture de feu" du Pacifique, est le pays comptant le plus de volcans en activité au monde (129). Son volcan le plus actif, le mont Merapi, au centre de l'île de Java, a tué plus de 350 personnes lors d'une série d'éruptions qui ont commencé à la fin du mois d'octobre 2010.
Source: belga
Le Gunung Lokon culmine à 1 595 m au nord-ouest de la ville de Tomohon, il représente un ensemble volcanique qui est constitué de deux strato-volcans : le Lokon et l'Empung 1 340 m.
Sur le plan historique, le Lokon a connu durant le XXème siècle environ 16 éruptions.
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10:04
Quatre incendies de forêt, sur une superficie de 337 ha, ont été éteints depuis hier en Extrême-Orient russe, cependant d'autres foyers se sont déclarés. " Au matin, 14 incendies sur une superficie totale de 787 ha ont été enregistrés, dont 476 ha de forêts. La Iakoutie est la plus touchée avec 11 foyers d'incendie, les flammes s'étant propagées à 309 ha de forêts et 311 ha de terrains non boisés ", indique le Département régional de la Foresterie, informe ITAR-TASS.
Plus de 160 ha de forêts brulent dans la région du fleuve Amour et au Tchoukotka. Les autres régions extrême-orientales sont épargnées. Plus de 370 pompiers, 32 engins spéciaux et 8 aéronefs ont été mobilisés pour lutter contre les flammes. Selon le Centre régional des Situations d'urgence, les localités et les sites économiques ne courent aucun risque. Le régime anti-incendie particulier est cependant maintenu dans 24 communes de Yakoutie, du territoire de Khabarovsk, du Kamtchatka et du Tchoukotka. L'accès aux forêts est limité.
Source: french.ruvr.ru
Plus de 160 ha de forêts brulent dans la région du fleuve Amour et au Tchoukotka. Les autres régions extrême-orientales sont épargnées. Plus de 370 pompiers, 32 engins spéciaux et 8 aéronefs ont été mobilisés pour lutter contre les flammes. Selon le Centre régional des Situations d'urgence, les localités et les sites économiques ne courent aucun risque. Le régime anti-incendie particulier est cependant maintenu dans 24 communes de Yakoutie, du territoire de Khabarovsk, du Kamtchatka et du Tchoukotka. L'accès aux forêts est limité.
Source: french.ruvr.ru
09:51
Depuis samedi matin des pluies de mousson torrentielles s'abattent dans les provinces de Gyeongsang, de Jeolla et de Chungcheong en Corée du Sud.
Plus de 400 mm de précipitations y ont été enregistré en seulement 24 heures
Des inondations et glissements de terrain ont provoqué la mort de 13 personnes, une centaine de maisons et des milliers d'hectares de terrain ont été inondés ont indiqué les autorités.
Plus de 3000 hectares de terres agricoles ont été inondées, des routes ont été endommagées et ne sont plus praticables.
Ces dernières 24h il est encore tombé : 307 mm de pluies à Kunsan, 269 mm à Suncheon, 230 mm à Taejon.
Plus de 400 mm de précipitations y ont été enregistré en seulement 24 heures
Des inondations et glissements de terrain ont provoqué la mort de 13 personnes, une centaine de maisons et des milliers d'hectares de terrain ont été inondés ont indiqué les autorités.
Plus de 3000 hectares de terres agricoles ont été inondées, des routes ont été endommagées et ne sont plus praticables.
Ces dernières 24h il est encore tombé : 307 mm de pluies à Kunsan, 269 mm à Suncheon, 230 mm à Taejon.
dimanche 10 juillet 2011
12:19
Gisements de gaz: Israël va présenter à l'ONU sa zone maritime exclusive
JERUSALEM - Israël s'apprête à soumettre à l'ONU le tracé de sa zone économique exclusive en Méditerranée où se trouvent des ressources gazières convoitées par le Liban, a annoncé dimanche le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman.
Nous allons bientôt présenter au quartier général de l'ONU à New York notre position concernant notre frontière maritime, a-t-il déclaré à la radio publique israélienne.
Nous avons déjà conclu un accord en ce sens avec Chypre (...) Le Liban, sous la pression du Hezbollah, cherche des frictions, mais nous ne renoncerons pas à la moindre parcelle de ce qui nous revient, a-t-il ajouté.
Nous disposons d'arguments très forts au regard du droit international pour justifier notre position, a encore dit M. Lieberman, faisant état d'une collaboration intense ces derniers mois notamment entre son ministère et celui de la Justice.
Interrogé par l'AFP, un haut responsable israélien a indiqué sous couvert de l'anonymat que le gouvernement israélien doit entériner dimanche durant sa séance hebdomadaire la carte établissant la frontière maritime d'Israël en Méditerranée qui doit être soumise à l'ONU.
Selon le quotidien Haaretz, cette carte englobe des zones maritimes revendiquées par le Liban en août dans une demande à l'ONU.
D'importants gisements de gaz, Tamar et Léviathan, ont été découverts à 130 km au large du port de Haïfa (nord d'Israël) et à 1.634 mètres de profondeur.
Il s'agit des plus importantes richesses gazières découvertes sous la mer dans le monde en dix ans.
Les réserves de Tamar sont à elles seules estimées à 238 milliards de m3 de gaz naturel et celles de Léviathan pourraient atteindre le double et répondre aux besoins d'Israël pendant 25 ans, selon le ministère israélien des Infrastructures nationales.
Une société israélienne a par ailleurs récemment annoncé la découverte de deux nouveaux gisements de gaz naturel offshore en Méditerranée, Sarah et Mira, situés à 70 kilomètres au large de la ville de Hadera, au nord de Tel-Aviv, estimées à 184 milliards de m3.
Source: ©AFP / 10 juillet 2011
JERUSALEM - Israël s'apprête à soumettre à l'ONU le tracé de sa zone économique exclusive en Méditerranée où se trouvent des ressources gazières convoitées par le Liban, a annoncé dimanche le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman.
Nous allons bientôt présenter au quartier général de l'ONU à New York notre position concernant notre frontière maritime, a-t-il déclaré à la radio publique israélienne.
Nous avons déjà conclu un accord en ce sens avec Chypre (...) Le Liban, sous la pression du Hezbollah, cherche des frictions, mais nous ne renoncerons pas à la moindre parcelle de ce qui nous revient, a-t-il ajouté.
Nous disposons d'arguments très forts au regard du droit international pour justifier notre position, a encore dit M. Lieberman, faisant état d'une collaboration intense ces derniers mois notamment entre son ministère et celui de la Justice.
Interrogé par l'AFP, un haut responsable israélien a indiqué sous couvert de l'anonymat que le gouvernement israélien doit entériner dimanche durant sa séance hebdomadaire la carte établissant la frontière maritime d'Israël en Méditerranée qui doit être soumise à l'ONU.
Selon le quotidien Haaretz, cette carte englobe des zones maritimes revendiquées par le Liban en août dans une demande à l'ONU.
D'importants gisements de gaz, Tamar et Léviathan, ont été découverts à 130 km au large du port de Haïfa (nord d'Israël) et à 1.634 mètres de profondeur.
Il s'agit des plus importantes richesses gazières découvertes sous la mer dans le monde en dix ans.
Les réserves de Tamar sont à elles seules estimées à 238 milliards de m3 de gaz naturel et celles de Léviathan pourraient atteindre le double et répondre aux besoins d'Israël pendant 25 ans, selon le ministère israélien des Infrastructures nationales.
Une société israélienne a par ailleurs récemment annoncé la découverte de deux nouveaux gisements de gaz naturel offshore en Méditerranée, Sarah et Mira, situés à 70 kilomètres au large de la ville de Hadera, au nord de Tel-Aviv, estimées à 184 milliards de m3.
Source: ©AFP / 10 juillet 2011
11:36
Une fonte massive du glacier Mýrdalsjökull en Islande a créé une inondation sans précédent dans la région et fait craindre une éruption éminente du terrible volcan Katla.
Evgenia Ilyinskaya, un volcanologue de l'Office météorologique islandais, a déclaré à l'AFP.
"A environ 03h00 (03H00 GMT) nous avons eu un écoulement important d'eau de fonte glaciaire sous le glacier Mýrdalsjökull"
L'inondation géante qui s'en est suivit a emporté un pont et une partie de la route principale qui ceinture l'ile.
Cette inondation a provoqué la crainte d'une éruption éminente du Katla, connu pour être l'un des volcans les plus puissants de l'Islande, il est situé juste au sud du volcan Eyjafjoell, si tristement célèbre pour avoir bloqué tous les vols des compagnies aériennes au sol en Europe l'année dernière par son gigantesque nuage de cendres.
Mais un grand nombres d'experts restent plutôt sceptiques; pour eux cette fonte a été causé uniquement par de la chaleur géothermique, et non par une coulée de lave qui annoncerait une éruption.
«Bien que nous ne pouvons pas dire avec certitude qu'il n'y a pas eu une petite éruption sous-glaciaire qui aurait causé cette inondation , nous n'en observons aucun signes à la surface», dit-elle.
Pour Freysteinn Sigmundsson, géophysicien à l'Université d'Islande, les inondations ont commencé à diminuer samedi après-midi.
"Il y a deux possibilités: Soit il s'agit d'une toute petit éruption volcanique sous glacière, ou c'est seulement un évènement géothermique qui est en cause", a t il déclaré à l'AFP.
Le Katla, qu'on dit être 10 fois plus puissant que le Eyjafjoell, a connu sa dernière éruption en 1918.
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Evgenia Ilyinskaya, un volcanologue de l'Office météorologique islandais, a déclaré à l'AFP.
"A environ 03h00 (03H00 GMT) nous avons eu un écoulement important d'eau de fonte glaciaire sous le glacier Mýrdalsjökull"
L'inondation géante qui s'en est suivit a emporté un pont et une partie de la route principale qui ceinture l'ile.
Cette inondation a provoqué la crainte d'une éruption éminente du Katla, connu pour être l'un des volcans les plus puissants de l'Islande, il est situé juste au sud du volcan Eyjafjoell, si tristement célèbre pour avoir bloqué tous les vols des compagnies aériennes au sol en Europe l'année dernière par son gigantesque nuage de cendres.
Mais un grand nombres d'experts restent plutôt sceptiques; pour eux cette fonte a été causé uniquement par de la chaleur géothermique, et non par une coulée de lave qui annoncerait une éruption.
«Bien que nous ne pouvons pas dire avec certitude qu'il n'y a pas eu une petite éruption sous-glaciaire qui aurait causé cette inondation , nous n'en observons aucun signes à la surface», dit-elle.
Pour Freysteinn Sigmundsson, géophysicien à l'Université d'Islande, les inondations ont commencé à diminuer samedi après-midi.
"Il y a deux possibilités: Soit il s'agit d'une toute petit éruption volcanique sous glacière, ou c'est seulement un évènement géothermique qui est en cause", a t il déclaré à l'AFP.
Le Katla, qu'on dit être 10 fois plus puissant que le Eyjafjoell, a connu sa dernière éruption en 1918.
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