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jeudi 21 juillet 2011
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Ces dernier temps il semble même que se soit devenu assez commun, dans le sud de la Louisiane par exemple hier, ou encore sur les plages du sud ouest de la Floride en début de semaine .
A propos de l’inquiétude des riverains du lac de Prairieville en Louisiane, qui ont retrouvé des milliers de poissons morts flottant sur le lac du village, les chercheurs de l'agence de la "Wildlife and Fisheries" ( faune sauvage et pêche) ne se déplacent même plus pour approfondir les investigations, ils vont même jusqu’à affirmer qu'il n'y a aucune raison de s'en inquiéter. Ils écartent aussitôt tout danger pour la population, et affirment que la forte chaleur est seule responsable de ces hécatombes de poissons; Elle provoque l'évaporation des lacs et entraine leur désoxygénation.
"En 12 ans je n'ai jamais vu ça" affirme de son coté une riveraine qui reste dubitative, elle a bien tenté de contacter l'agence qui lui a répondu immédiatement que malheureusement elle n'avez aucun budget alloué pour ce type d’enquête, et que,... ben... point à la ligne.
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Tout ces poissons ont commencé à s'échouer lundi matin tout près de la plage de Vanderbilt dans le comté de Collier, juste au nord de la ville de Naples en Floride.
Et la question que se pose tous les chercheurs ici, vous l'aurez bien deviné, c'est de savoir ce qui peut bien être la cause d'une telle horreur, et ils ont beau se gratter la tête, rien n'éclaire leurs neurones.
C'est peut être le stress analyse la biologiste Catalina Brown de la "Fish & Wildlife Research Institute" de st Petersburgs.
"Nous savons que la baie est infestée d'algues depuis quelques temps, la Hiemalis qui n'est pas toxique et la Takayama Tuberculata, qui elle, peut attirer des espèces nouvelles qui relâchent dans les eaux des toxines." ( ...whaou...???....)
Un autre chercheur avance lui que ces invasions subites d'algues dans la baie peuvent avoir été mortelles pour la faune marine." les échantillons que nous avons prélevé ici indiquent tous un taux d’oxygène très bas des eaux, ce qui a pu entrainer une mort massive de poissons. Néanmoins nous continuons nos investigations et pour l'instant rien n'explique ce qui se passe ici."
En revanche après plus de 500 ( mille dans le monde) hécatombes massives de poissons enregistrées aux USA depuis le début de l'année, il nous est toujours impossible de connaitre ou même de consulter les résultats des examens qui ont été effectués. Bref contentons nous du flou, et abandonnons nous à la totale inexistence de réclamation, des ONG, des parties écologistes,des chercheurs,des riverains, des citoyens. Plus rien n'étonne aujourd'hui, la mer comme la terre peuvent bien se retourner,de tout façon cette terre elle est ronde, et a ceux qui flippent pour leur coup de fourchette je dirais même, qu'elle roule sa bille, impeccablement.
Bref sous ces beaux rayons de soleil d'été, continuons à nous graisser la couenne d'UV protector indice XXL, touto va bene.
© MA/NA
mercredi 20 juillet 2011
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Bien que la science ne puisse encore comprendre toutes les raisons qui entraînent le réchauffement climatique, le changement de climat est une réalité qui touche tous les secteurs de la société, a souligné Achim Steiner, directeur général du Programme pour l'environnement des Nations unies.
M. Steiner s'est basé sur un scénario d'une élévation des températures de 3 à 4 degrés au cours du siècle et une augmentation du niveau des mers d'un mètre.
Les menaces sont nombreuses, a-t-il souligné, citant la sécheresse en Somalie actuellement, les inondations au Pakistan et leurs implications pour le marché de l'alimentation.
L'étendue de ces désastres naturels va augmenter de façon exponentielle, sans que nous n'en connaissions encore toutes les implications, a-t-il déclaré.
Deux régions du sud de la Somalie, frappées par une sécheresse gravissime, ont été déclarées en état de famine mercredi par les Nations unies, qui parlent de la plus grave crise alimentaire en Afrique en 20 ans et appellent à la mobilisation pour éviter que la situation empire.
Les signes du changement climatique ne sont pas seulement en train de se produire, ils s'accélèrent, a-t-il insisté.
Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a ajouté: Nous ne devons pas nous voiler la face, le changement climatique est une menace pour la sécurité internationale.
Les famines, la hausse du niveau des mers sont des menaces contre la paix et la sécurité, a-t-il dit.
La prochaine conférence des Nations unies sur le climat de Durban en Afrique du Sud qui aura lieu en décembre, doit être décisive. Les pays développés doivent prendre la tête des actions mais les nations émergentes doivent aussi assumer leur part. Il ne peut pas y avoir de simples spectateurs, a-t-il dit.
Source ©AFP / 20 juillet 2011
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Hausse des températures, sécheresses plus intenses et plus fréquentes, baisse des précipitations estivales ou encore fonte des glaciers sont attendues dans les prochaines décennies. Les experts du Giec, réunis cette semaine à Brest, estiment en particulier qu’une hausse de +2°C est inéluctable d’ici la fin du siècle, quels que soient les efforts de réduction des émissions de gaz à effet de serre qui pourront être déployés. Ces changements climatiques auront des conséquences très importantes sur la ressource en eau, la biodiversité, le niveau de la mer…. et affecteront de nombreux secteurs d’activités (agriculture, tourisme, infrastructures, urbanisme, santé…).
La lutte contre les changements climatiques repose sur deux leviers :
- la réduction des émissions de gaz à effet de serre pour contenir le réchauffement.
- l’adaptation de la société à ce climat modifié : il s’agit de se préparer dès maintenant pour prévenir les risques humains, environnementaux, matériels, et financiers.
« L’homme et la nature ont sans doute la capacité de s’adapter spontanément aux bouleversements engendrés par le changement climatique. Mais à quel prix et en combien de temps ! Il est certain que si l’on ne se prépare pas, les coûts et les dommages seront alors bien supérieurs. Si le changement climatique ne fait aujourd’hui aucun doute, il subsiste cependant des incertitudes sur l’ampleur de ses impacts. C’est pourquoi ce plan combine à la fois des actions d’anticipation concrètes et des mesures de surveillance et d’amélioration des connaissances de l’environnement », explique Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET.
Fruit d’une concertation avec l’ensemble des représentants de la société civile, ce plan constitue un ensemble de plus de 80 actions détaillées, déclinées en près de 230 mesures pour la période 2011-2015. Aux 171 millions € directement dédiés aux nouvelles mesures s’ajoutent 391 M€ au titre des Investissements d’Avenir qui participeront de près ou de loin à l’adaptation, notamment dans les domaines de la biodiversité, de la santé, ou de l’agriculture. Par ailleurs, plusieurs mesures déjà financées dans le cadre du plan sécheresse et du plan submersion rapide (500 M€ sur 2011-2016) participent également de son financement.
La grande majorité des actions seront engagées en 2011 et 2012. Elles visent notamment à :
- Economiser et optimiser l’utilisation de l’eau : 2 milliards de m3 par an est le déficit estimé à l’horizon 2050 pour satisfaire les besoins en considérant une stabilité de la demande. Le plan prévoit donc un ensemble de mesures pour économiser 20% d’eau prélevée en 2020, à travers l’action des Agences de l’eau, des programmes de détection et réduction des fuites dans le réseau et d’aide à la récupération des eaux de pluie ou des eaux usées.
- Développer les savoirs sur les maladies émergentes et renforcer les dispositifs de surveillance : le réchauffement du climat devrait accélérer dans les prochaines années l’apparition ou l’amplification de certaines pathologies (dont les allergies) ou vecteurs de maladies. Des études seront lancées en 2011 pour renforcer la surveillance des pollens mais aussi des insectes vecteurs et des microorganismes qui pourraient profiter du réchauffement climatique. Un groupe de veille santé-climat sera également créé au sein du Haut conseil de la santé publique (HSCP) chargé d’évaluer les données, d’alerter et de faire des recommandations aux pouvoirs publics.
- Adapter la politique d’aménagement du territoire : élévation du niveau de la mer, déformation des rails sous l’effet de la chaleur, dégradation des routes due à des cycles de gel/dégel plus fréquents sont autant de risques à prendre en compte dès maintenant. Pour s’assurer que les investissements publics (route, barrage…) prévus pour 50 ans ou plus restent toujours efficaces face aux nouveaux aléas climatiques, le plan prévoit de renforcer l’observation des côtes françaises, d’intégrer le risque de submersion dans les plans littoraux ou encore de revoir les normes techniques pour la construction des routes.
- Diversifier les espèces et prévenir les incendies de forêts : l’assèchement du sol et la hausse des températures conduiront à terme à la disparition de certains végétaux, à la multiplication des feux de forêts et à leur extension vers de nouvelles zones jusqu’ici épargnées. Le plan prévoit donc d’adapter de nouvelles générations d’arbres à travers la diversification des ressources génétiques, d’identifier des espèces résistantes et d’aider financièrement les exploitants forestiers à engager cette mutation.
Le plan fera l’objet d’un suivi annuel dans le cadre d’un Comité d’évaluation associant les 5 collèges du Grenelle de l’Environnement, d’une évaluation à mi-parcours fin 2013 et d’une évaluation finale fin 2015, afin de préparer la suite.
Aerosol Program / Chemtrails Paris par Stay_awake
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La tempête, accompagnée de vent à plus de 100 km/h et de fortes pluies, a également provoqué l'annulation d'une centaine de vols. Le village d'Umaji, dans la préfecture de Kochi, a accumulé 851,5 mm de pluie dans la journée de mardi, un record selon l'Agence Météorologique Japonaise.
Un homme de 84 ans est décédé et a été retrouvé au bord d'une rivière de la préfecture de Kochi. Le château de Nijo, situé à Kyoto, a été endommagé suite au typhon. Il fait partie des sites du patrimoine mondiale selon l'UNESCO.
Les régions du nord-est, récemment touchées par le tsunami, risquent de subir des précipitations jusqu'à 50 millimètres par heure, annonce l'agence météorologique. La population locale est amenée à se prémunir contre des glissements de terrain et des inondations.
La centrale de Fukushima a pris des mesures pour protéger ses réacteurs et TEPCO prévoit d'envelopper ceux-ci pour éviter des inondations supplémentaires dues à l'eau de pluie.
Source : http://www.japantoday.com
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Selon le ministère ouzbèke des Situations d'urgence, les treize victimes, originaires de plusieurs villes et villages de la région, ont trouvé la mort lors de l'effondrement de leurs habitations.
Des soins ont été prodigués à 86 personnes et 35 personnes ont été hospitalisées, précise le ministère dans un communiqué.
L'épicentre de la secousse, survenue aux premières heures de mercredi et ressentie au Kirghizistan et en Ouzbékistan, a été localisé à 42 km au sud-ouest de Ferghana, une ville située dans l'ouest ouzbèke, et à une profondeur de 18 km.
Au Tadjikistan voisin, un homme a trouvé la mort après avoir sauté par la fenêtre dans la ville de Khoudjand, dans le nord du pays, a annoncé le ministère tadjik de la Santé.
La vallée de Ferghana, située au carrefour du Tadjikistan, de l'Ouzbékistan et du Kirghizistan, est l'une des zones les plus peuplées d'Aise centrale.
Les séismes sont fréquents dans les ex-républiques soviétiques de la région dont une grande partie des territoires se trouvent dans les montagnes.
En 2008, un puissant séisme avait tué plus de 70 personnes au Kirghizistan. En 1966, des milliers de personnes s'étaient retrouvées sans-abri après un séisme de magnitude 7,5 dans la capitale ouzbèke, Tachkent.
Source : Reuter
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La région d'Araucanie s'est retrouvée totalement isolée, laissant des communautés entières sans électricité et complétement coupées du reste du pays. Les routes de cette région montagneuse de la Cordillère des Andes qui livrent accès à l'argentine sont toutes devenues en quelques heures totalement impraticables.
Les équipes d'urgence sont à l’œuvre pour tenter de rouvrir en priorité les axes principaux et permettre le transport des denrées alimentaires vitales pour le pays et la région.
La tempête dans sa violence a abattu de nombreuses lignes téléphoniques qui rajoute des problèmes de communication aux nombreuses difficultés d’accès pour les secours.
© MA/NA
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Cette canicule s'étend du Texas au Dakota, de l'Illinois jusque dans l'Indiana, et gagne chaque jour un peu plus la côte ouest.Selon la presse américaine on compte déjà 13 décès dans les 24 états touchés de plein fouet.
On annonce déjà 46°C à New York pour la fin de la semaine, et tous les météorologues prévoient que cette vague de chaleur risque de durer jusqu'au début du mois d'aout.
Mais où se cacher sous tant de chaleur quand le mercure voisine avec les zones rouges, 54,4 degrés Celsius dans l'Iowa, , et même si beaucoup de "centres de rafraichissement" ont été ouvert dans plusieurs villes, la chaleur reste tout de même très humide suite aux importantes inondations qu'à connu le pays, et elle s'infiltre partout. Les sols gorgés d'eau recrachent leurs vapeurs, augmentent l'humidité ambiante qui est prise dans un four. Ils leur faudra faire dos ronds et attendre que le ciel s'assoupisse.
Dans le sud, à Carlsbad au Nouveau Mexique on a compté 233 jours sans un goutte de pluie, du jamais vu depuis 117 ans.
Les services d'urgence des états unis ont déjà comptabilisé 36.424 incendies depuis le début de l'année, bref, tous les records sont battus.
©MA/NA
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Des taux importants de perchlorate d'ammonium ont été découverts fin juin dans des sources de captage d'eau potable de la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB), ce qui a entraîné par précaution l'arrêt de certains pompages pour assurer une distribution d'eau parfaitement saine.
Ce produit qui peut entraîner un dysfonctionnement de la thyroïde a été rejeté par le site industriel Safran SME, ex-SNPE Matériaux énergétiques (SME), implanté dans la banlieue de Bordeaux et qui utilise en grande quantité le perchlorate d'ammonium, notamment pour la propulsion de missiles.
Dans plusieurs bassins de captage d'eau au Nord de Bordeaux, des taux atteignant par endroit 30 microgrammes par litre ont été découverts dans le cadre du rachat, début avril, de SME par le groupe d'aéronautique et de défense Safran.
L'agence nationale de sécurité sanitaire de lalimentation, de lenvironnement et du travail (ANSES) devrait recommander jeudi un seuil de 15 microgrammes par litre pour les adultes et de 4 microgrammes par litre pour les nourrissons entre 0 et six mois.
Selon Antoine Bousseau, directeur régional d'Aquitaine de la Lyonnaise des eaux, délégataire du service de l'eau pour la CUB, il faudra des années pour que cette pollution se résorbe naturellement.
Des traitements seront mis en place pour tenter de filtrer l'eau contaminée et ramener à quelques mois la privation de cette source d'alimentation en eau de l'agglomération. Dans l'intervalle, des forages seront entrepris et des captages plus importants dans d'autres zones sont déjà en cours, a ajouté M. Bousseau.
Cependant, si la consommation d'eau est considérée comme creuse en période estivale, la situation pourrait se tendre lors de la rentrée si des chaleurs persistent, a-t-il estimé.
La préfecture de Gironde ne communiquera que jeudi sur le sujet mais des mises en demeure à la société Safran SME pourraient être engagées de même que des poursuites poursuites judiciaires dans le cadre du pollueur-payeur, selon M. Bousseau.
Nous avons pour l'heure noté une attitude responsable du pollueur et s'il y a besoin de porter plainte cela sera fait, a souligné le vice-président de la CUB en charge de l'eau et de l'assainissement, Jean-Pierre Turon.
La collectivité fera en sorte que ce ne soit pas le consommateur qui en fasse les frais, a-t-il dit.
Le groupe écologiste (EELV) à la CUB a demandé quune expertise environnementale de la zone et des milieux naturels soit diligentée par les services de lEtat et que des poursuites judiciaires soient engagées à lencontre des responsables.
Une pollution au perchlorate d'ammonium avait été relevée fin janvier dans les eaux de la Garonne à Toulouse où la SME fabrique ce produit et la préfecture de Haute-garonne avait pris un arrêté de mise en demeure afin de réduire les rejets dans le fleuve.
Source: ©AFP
Le perchlorate d'ammonium* est un composé chimique de formule NH4ClO4. C'est le sel d'ammonium de l'acide perchlorique. Comme les autres perchlorates, c'est un puissant oxydant. On l'obtient par réaction de l'ammoniac NH3 avec l'acide perchlorique HClO4 ou par double décomposition entre un sel d'ammonium et le perchlorate de sodium NaClO4. C'est un solide incolore cristallisé dans le système cristallin trigonal. Lorsqu'on le chauffe, il se décompose avant de fondre, un chauffage doux conduisant à la libération de chlore Cl2, d'azote N2, d'oxygène O2 et d'eau H2O, tandis qu'un chauffage plus fort conduit à l'explosion.
Le perchlorate d'ammonium est un oxydant très utilisé en astronautique dans tout une classe de propergols composites (qu'on appelle pour cette raison propergol composite à perchlorate d'ammonium) propulsant les missiles ballistiques intercontinentaux ou équipant les « boosters » de la navette spatiale et de la plupart des lanceurs commerciaux, jusqu'aux EAP d'Ariane 5.
Eau du robinet : Alerte au perchlorate... par Europe-Ecologie-Aquitaine
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Cette fuite d'une pipeline a été découverte le 12 Juillet sur un terrain de forage dans un coin reculé de la réserve indienne des Blackfeet dans le nord ouest du Montana. Elle n'a pas été suivit de déclaration publique, l'état du Montana confirmant ne pas avoir été prévenu avant vendredi dernier, la fuite se trouvant sur les terrains de la réserve où l'état n'a aucune compétence .
Andy Pierce, le vice-président de société FX Energy Inc, basée à Salt Lake, a estimé que la fuite qui a duré environ 14 jours et répandu environ 5000 litre de pétrole brut .
La rupture des joints du pipeline serait probablement dû aux déplacement terrestres des terrains faisant suites aux nombreuses inondations dans la région.
Les raisons invoquées par la société pour le retard de son intervention restent très floues, néanmoins une équipe de nettoyage a été embauché de toute urgence parmi les membres de la tribus de la réserve, qui affirment qu'une certaine quantité de pétrole s'est probablement déversé dans le ruisseau Cut Bank (sur au moins 1 km) qui se déverse un peu plus loin dans la rivière Marias .
Le pétrole a recouvert le sol et la végétation autour de la plateforme, on y trouve actuellement 11 bassins d'eau stagnantes pollués.
La douzaine de travailleurs indiens évacuent actuellement cette pollution à la main jusqu'à des vehicules 4x4.
La plupart des opérations de FX énergie sont concentrés en Pologne (ça promet!) dans l'exploitation de gaz naturel, mais l'entreprise affirme sur son site internet que 94 pour cent de sa production totale de pétrole vient du domaine de 10.000 hectares de Cut Bank.
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La fuite, survenue samedi, atteint entre 8000 et 16'000 litres, d'après l'agence de protection de l'environnement de l'Alaska. Elle s'est produite lors d'un test sur un oléoduc du gisement de Lisburne, fermé pour maintenance, dont la capacité est de 30'000 barils par jour. Selon un porte-parole de BP, le nettoyage est en cours.
La réputation du groupe pétrolier a été mise à mal l'été dernier après l'explosion de sa plate-forme de forage Deepwater Horizon dans le golfe du Mexique. L'accident a coûté la vie à onze salariés et provoqué la plus importante marée noire de l'histoire des Etats-Unis.
L'équivalent de millions de barils de brut s'étaient alors répandu dans les eaux du golfe. BP risque de devoir verser plusieurs dizaines de milliards de dollars de réparations.
Source: ats
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Métaux lourds, pesticides, médicaments, phénols, phtalates et autres perturbateurs endocriniens… Les produits chimiques sont aujourd'hui omniprésents dans l'environnement, et n'épargnent pas les eaux douces et marines d'Europe. C'est le propos d'un rapport publié le 14 juillet par l'Agence européenne de l'environnement (AEE), qui met en lumière les nouveaux défis posés par ces substances souvent dangereuses.
Ainsi, une étude du Joint research center de la Commission européenne a cherché 60 substances dans 122 rivières et 164 points d'eau souterraine. Résultats : 60% des rivières analysées et 25% des eaux souterraines cumulaient l'ensemble des substances. Près d'un tiers de ces nappes contenaient un pesticide dépassant la norme européenne de 0.1 nanogramme par litre. Aux premiers rangs de ces substances chimiques arrivent, dans les rivières, un tensio-actif (acide nonylphenoxyacetic), un anti-corrosif (benzotriazole) et un antiépileptique (carbamazepine), tandis qu'un antalgique (ibuprofen), un antibiotique (sulfamethoxazole) et un herbicide (isoproturon) figurent à très hautes doses dans les eaux souterraines.
Lors des analyses en rivière on a retrouvé au moins un pesticide dans 96% des cas ! Environ la moitié des cours d'eau présentait une qualité "moyenne à mauvaise",la pollution identifiée étant susceptible d'affecter leur équilibre écologique et rendant difficile, voire impossible,la production d'eau potable. Les eaux souterraines ne sont pas épargnées: six fois sur dix, on y a retrouvé au moins un pesticide. Près d'une fois sur trois, l'eau était impropre à la consommation, les traitements d'élimination des pesticides ne suffisant pas toujours à y remédier.
Volumes de produits chimiques toxiques produits en Union européenne
Dans les eaux marines, malgré un recul certain des substances chimiques, les teneurs en PCB restent préoccupantes, notamment sur toutes les côtes françaises. Quant au mercure par exemple, les émissions ont diminué de 75% en mer du Nord. Mais ce polluant est très persistant, et voyage vers des zones où les activités humaines sont pourtant limitées. Ainsi au Groenland, 75% des femmes analysées concentraient dans leur sang des taux en mercure bien supérieurs à la norme américaine.
Impacts sanitaires et environnementaux
Se pose donc la question de l'impact de ces substances sur la santé humaine, notamment via l'ingestion de poissons et d'eau potable. Il en est ainsi des effets des perturbateurs endocriniens, dont les effets sont aujourd'hui de mieux en mieux documentés : ils influeraient, chez l'homme, sur le nombre de spermatozoïdes, les malformations génitales, l'altération des fonctions sexuelles et du développement neuronal, l'obésité ou encore le cancer, et ce particulièrement lors d'une exposition très précoce.
Ces impacts sont tout aussi probants chez les organismes aquatiques. Ainsi, ces substances posent des problèmes de fertilité et donc de survie de certaines espèces, telles que le poisson bourbillon : dans un affluent pollué du Pô italien, 50% des individus présentent des gonades indifférenciées sexuellement. Les pesticides sont également en cause dans la disparition de nombreuses espèces de macro-invertébrés des rivières, tandis que les médicaments causeraient divers troubles : effets négatifs sur les branchies et les reins des truites ici, déclin de populations d'invertébrés là, ou encore résistance accrue de certaines bactéries. Autre exemple : le traitement contre des infections fongiques impacterait des algues unicellulaires à la base de la chaîne alimentaire océanique.
Si les médicaments sont encore peu pris en compte en tant que polluants émergeants, d'autres sources de contamination sont tout aussi ignorées. C'est le cas des produits cosmétiques, crèmes, parfums, shampoings… Ainsi, les filtres UV de crèmes solaires auraient des effets sur les oestrogènes des poissons et le blanchissement du corail. Autres polluants émergeants : les nanoparticules. Elles favoriseraient la bioaccumulation de substances dangereuses, telles que le cadmium, qui se fixerait alors davantage dans l'organisme des poissons.
Une législation en retard sur les nouveaux défis
Malgré une législation européenne relativement fournie, les produits chimiques mettent les Etats face à des défis émergeants. Certes, l'Europe s'est dotée d'une directive IPPC (Integrated pollution prevention and control), d'une législation contre les PCB, de l'interdiction du Tributyltin (TBT, biocide), ou encore de la directive Environmental quality standards (EQSD). Autant de mesures qui ont pour ambition de réduire les émissions de substances dangereuses jugées prioritaires. Plus récemment, la directive Reach cherche à mieux informer et à conférer plus de responsabilité aux industriels pour restreindre ces produits chimiques. Enfin, le registre "European pollutant release and transfer " inventorie les sources et la diffusion de substances chimiques prioritaires par les industriels, mais reste, selon l'AEE, insuffisamment complété.
En dépit de ces mesures, les doses de produits chimiques restent donc très préoccupantes dans les eaux européennes. Et ce tout particulièrement pour les polluants persistants, qui demeurent dans les mers et rivières bien après les mesures de réduction de leurs émissions. D'autant que l'AEE pointe la sous-estimation de certaines de ces substances hydrophobes, qui s'accumulent davantage dans les sédiments et les organismes vivants que dans les eaux où elles sont mesurées.
Mis à part la nécessaire prise en compte des polluants émergeants, l'agence préconise également de mieux considérer les potentiels effets cocktails de ces différentes substances combinées dans un même espace aquatique. Autre sujet de préoccupation croissant : le réchauffement climatique. Ce dernier complexifie encore la question des produits chimiques dans l'eau, via divers facteurs. Tout d'abord, l'augmentation des précipitations gonfle l'afflux des polluants des villes et de l'agriculture dans les eaux souterraines, les rivières et les mers. L'érosion des côtes va également libérer davantage de ces substances dans les océans. A l'inverse, les sécheresses, de plus en plus fréquentes, diminuent le cours des rivières et donc leur capacité de dilution des polluants. La hausse de la température des eaux peut également interagir avec les polluants, impactant notamment le système immunitaire des organismes aquatiques. Enfin, l'acidification des océans due au CO2 modifie la spéciation des métaux dans ces eaux, et donc leur toxicité pour les organismes vivants.
Pour remédier à la concentration de produits chimiques dans les eaux, l'AEE évoque une amélioration de leur traitement, notamment pour le surplus des eaux en villes lors de fortes précipitations. Mais l'enjeu majeur reste, pour l'agence, de réduire à la source ces substances dangereuses, notamment en encourageant la chimie verte et en instaurant une première législation européenne dans ce secteur.
Source: actu.environnement
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Exemple menu des pesticides dans nos assiettes
Voici la teneur en milligramme par kilogramme (mg/kg) de résidus de pesticides trouvés dans divers aliments.
- Oignon : En France on a retrouvé dans des oignons jusqu'à 10,9 mg/kg de résidus de fongicide, quand la limite maximale en résidus (LMR) est à 1 mg/kg.
- Tomate : Une tomate peut contenir destaux excessifs d'acaricides ou d'insecticides, à des teneurs atteignants 1 mg/kg (LMR : 0,5 mg/kg)
- Persil : Les contaminents du persil sont surtout les fongicides du groupe maneb, avec 12,8 mg/kg quand la LMR est de 5 mg/kg
- Pomme de terre : Un désherbant utilisé comme antigerminatif y atteint jusqu'à 10,5 mg/kg (LMR : 5mg/kg)
- Viande : En 2003, 0,4% des contrôles de viande de boucherie étaient non-conformes (>0,1 mg/kg de lindane, un insecticide)
- Salade : Les tolérances admisent sont souvent largement dépassées pour des insecticides comme l'acéphate (jusqu'à 4,3 mg/kg, LMR : 0,02 mg/kg)
- Oeuf : En 2003, 1,3% des analyses pratiques sur les oeufs étaient non-conformes (>0,1 mg/kg de lindane)
- Pain : Des traces de dichlorvos ou de chlorpyrifos-methyl peuvent contaminer le blé et le seigle.
- Fromage : Une étude sur les fromages européens révêle des contaminations aux organochlorés (jusqu'à 1 mg/kg de chlordane)
- Orange : Elles recèle des insecticides en excès, surtout du fenthlon (0,17 mg/kg, LMR : 0,02)
- Fraise : Attention aux fongicides comme le bénomyl (0,25 mg/kg, LMR : 0,1) ou le cyprodinil (3,1 mg/kg, LMR : 2)
- Yaourt : Excrétés dans le lait, les pesticides peuvent contaminer les produits laitiers. Traces d'organochlorés ou de fipronil.
- Vin : Le raisin traité peut être contaminé : plus de 2 mg/kg de dithiocarbamate. Ces résidus sont retrouvés dans le vin : 0,1 mg/kg
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Notez d'abord que les cartes météos diffusées auprès de nos agriculteurs, elles, se délectent de ce bouleversement climatique vers la hausse des plus deux degrés constant de notre planète. L'effet de serre plus quelques engrais sur des terres surchargées d'une tripoté de bonnes saloperies assurent la bonne croissance de nos brins d'herbes type colza (biocarburant), ou encore blé, mais et tournesol, tous OGM bien sûr, et ce dans le monde entier. La bonne survie des groupes alimentaires internationaux est ainsi assurée, eux qui aiment tant vous nourrir à coup d'huile ceci ou d'huile cela. Voilà. Et allez hop. Il vous faudra vous y habituer, c'est tout.
Bon revenons à notre catastrophique sécheresse de 2011, et voyons ce qu'il en est en réalité.
- Pour le colza des - 15% annoncé en mai il n'en est rien. C'est plutôt un - 5 à 6 % par rapport à 2010 qui fut une excellente année, disons donc qu'on revient à une année normale.
La sécheresse du printemps est passée par là c'est vrai, mais sans atteindre du tout la gravité de 1976 comme annoncée, compte tenu des 10 jours de pluie salvateurs (tiens?) du mois de juin. Les premières estimation de récoltes en orge d'hiver, colza, pois et blé font état d'une grande hétérogénéité selon les zones de production, et d'une baisse de rendement globale de 8 % dans le nord par rapport à 2010 (qui fut une excellente année), à plus dans le sud (15 à 20%). Bref 2011 sur la globalité de notre territoire est année normale en terme de production céréalière. Voilà qui nous en bouche un coin.
Quand à la météo à venir sur le monde et pour les récoltes à venir elles aussi, voici en gros ce qu'on peut en dire.
La hausse des températures aux états unis favorisera le développement du soja qui bénéficie d'une bonne très bonne humidité du sol . Néanmoins, une hausse trop importante de la température pourrait augmenter le stress du soja. Attendez vous donc à quelques bonnes saucés.
Au canada la bonne hausse des températures cette semaine est bénéfique pour le canola qui bénéficie en plus d'une trés bonne humidité des sols. ( et vlan)
En Europe de l'ouest les pluies de cette semaine peuvent un peu retarder les dernières coupes en France et en Allemagne. Néanmoins nous pouvons affirmer qu'en règle générale, les rendements sont meilleurs que prévu en France malgré quelques dégâts dans le centre de la France.
En Europe de l'est la récolte de colza est en cours grâce à ce joli beau temps.
En chine Les conditions sont excellente pour le soja. Les précipitations attendues vont apporter de l'humidité supplémentaire et les températures vont dépasser les 25°C ce qui est très favorable au développement du soja.
En inde la première récolte est finie, mais l'humidité des sols est absolument excellente pour les nouveaux semis du soja.
Malaisie, Indonésie : Les conditions sans trop de précipitation sont excellente pour la moisson.
Et vi, voyez vous, quand on se place du coté des groupes alimentaires internationaux et des biocarburoneries , personne n'y fait la grimace , on fait le plein c'est tout.
En revanche du coté de la qualité des eaux et de la biodiversité, là ça se dégrade, oulala ça se dégrade, et que ça va même finir par tout faire exploser . ...mais comment leur faire entendre...quand tout le monde s'amuse à jouer au Monopoly.
© MA/NA
lundi 18 juillet 2011
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Sur la base des avis rendus par ce comité, les premiers arrêtés de reconnaissance de calamité agricole dans ces départements seront pris dès aujourd’hui.
Comme s’y était engagé Bruno LE MAIRE, Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du Territoire, les agriculteurs des zones reconnues pourront déposer un dossier d’indemnisation et percevoir, s’ils sont éligibles, un acompte dès le 15 septembre prochain.
Conformément aux mesures annoncées par le Président de la République le 9 juin dernier, le Fonds national de gestion des risques en agriculture (FNGRA) sera doté en 2011 d’une enveloppe de l’ordre de 200 millions d’euros pour permettre le versement d’une avance sur l’indemnisation des pertes dues à la sécheresse. Le montant définitif des indemnisations pour les agriculteurs sera connu après une évaluation des pertes à la fin de l’année.
Le CNAA se réunira de nouveau le 28 juillet et le 25 août pour étudier les autres demandes.
Source: ministère de l'agriculture
Consulter les départements et les zones concernés (cliquez sur le lien)
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Elles provoquent des éboulements ou des glissements de terrain, mais aussi des torrents de boue et font déborder les rivières et surtout déclenchent des inondations subites
La saison actuelle des ouragans et des moussons amplifie le phénomène et les presses locales du monde entiers déplorent ici ou là de très nombreuses victimes.
Pour ce seul weekend , on en déplore une multitude, en inde mais aussi en chine, au états unis, dans les philippines, et même en écosse. Il nous est maintenant devenu très difficile de toutes vous les signaler.
Hier l’Écosse a été frappé de plein fouet par un épisode orageux particulièrement violent qui a déclenché dans plusieurs endroit du pays des crues éclairs
Chris McCulloch, 44 ans, a déclaré à la BBC «Je n'ai jamais vu de la pluie comme ça en Ecosse. Toutes les rues qui descendaient des collines environnantes se sont transformer en quelques minutes en véritable ruisseaux."
Aux États unis et en chines on déplore déjà plusieurs centaines de victimes elles sont devenues quotidiennes,. Les dégâts occasionnés sont multiples: maisons inondés, routes barrés, glissement de terrain ravageurs, torrents de boue qui se déplacent dans les rivières, arbres arrachés, véhicules emportés, bref une véritable calamité.
En Afrique aussi elles sont devenues fréquentes et on déplore déjà une centaine de victime.
Au Mexique la semaine dernière trois personnes sont mortes et près de 200.000 personnes ont été touchées par les tempêtes qui frappent l'Etat mexicain d'Oaxaca (sud), a indiqué dimanche le gouvernement local. Entre 180.000 et 200.000 personnes ont été touchées plus ou moins gravement dans les régions de l'isthme de Tehuantepec, Costa et Cuenca del Rio Papaloapan, a indiqué le gouverneur d'Oaxaca, Gabino Cué, après avoir parcouru les zones inondées de Salina Cruz, un des ports les plus importants du Mexique.
Les philippines et l’Indonésie ne sont pas en reste, plusieurs centaines de victimes y ont déjà perdu la vie depuis le début de l'année.
Les images suivantes sont particulièrement difficiles à regarder, mais elle démontre l’impressionnante vitesse avec laquelle ces crues éclairs surgissent et emportent tout sur leurs passages, ici une famille qui traversait une rivière.
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