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mardi 6 décembre 2011
Sept personnes d'une même famille ont été tuées suite à un éboulement ayant enseveli leur habitation dans le centre de la Colombie, victime d'une saison des pluies anormalement intense. Le glissement de terrain s'est produit non loin d'El Salado, dépendant de la municipalité d'Herveo (département de Tolima, centre).

Les victimes, cinq femmes et deux fillettes, appartenaient toutes à la même famille. Une huitième personne avait été blessée.

Cet accident porte à au moins 121 le bilan des morts causés par la saison des pluies qui a débuté en septembre. Selon la Croix Rouge colombienne, les glissements de terrain, inondations et coupures de voies liées à cette saison des pluies touchent 410 municipalités sur 1.102, dans 27 des 32 départements colombiens.

La Colombie est particulièrement affectée par cette seconde saison des pluies annuelle (la première intervient en général entre avril et juin) en raison du phénomène climatique La Niña. Ce phénomène se caractérisant par des températures de surface de la mer anormalement basses dans le centre et l'est du Pacifique tropical entraîne en Colombie des pluies particulièrement intenses.

Entre 2010-2011, les deux saisons des pluies anormalement fortes déjà liées à La Niña ont déjà fait 3,6 millions de sinistrés et près de 400 morts.

Depuis une semaine de nombreux médias caraïbéens annoncent que les mystérieux volcans de boues dans la région de Piparo sur l'ile caraïbéenne de la Trinité-et-Tobago montrent des signes de réveil.

Dés jeudi dernier de nombreux habitants d'un village voisin de Piparo ont constaté que les multiples petits cratères du mystérieux volcan de boue voisin qui avaient déjà engloutis leurs maisons en 1997 et qui étaient éteints depuis 14 ans, s'étaient réveillés et recrachaient de nouveau de la boue avec une forte odeur de gaz inconvenante qui se répand dans l’atmosphère...etc...etc...

... bien sur Nature Alerte ne peut resister à l'envie de vous renvoyer vers cet article ( https://mb50.wordpress.com/2011/04/14/niko-to-begin-drilling-at-block-2ab-offshore-trinidad-in-september-2011/) édifiant du mois de Septembre dernier qui annonce la joint venture de 2 sociétes d'extraction de gaz de shiste sur l'ile.

Vous trouverez ci-dessous dans les images des cartes jointes, le plan des blocs d'extraction envisagés.

Voilà ....euh... no comment... Point!


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Le Gamalama, volcan de l'île de Ternate dans l'archipel des Moluques , est entré en éruption dimanche vers 23 h, après qu'un essaim de plus de 100 séismes de petites et moyenne intensité aient été enregistrés dimanche.

L'évacuation de résidents dans 10 sous-districts de Maluku, tous voisins du volcan, a été décidé d'urgence par les autorités, ainsi que la fermeture des écoles de la région pour une semaine.

L'aéroport voisin de l'ile de Ternate a lui aussi été fermé hier.

La ville de Ternate a subi de fortes chutes de cendres et le port de masques filtrant est conseillé à la population.

Des coulées impressionnantes (voir vidéo) de boues forcent des milliers de résidents à fuir.

L' OMI a pu relever la présence du SO2 produit par l'éruption du Gamalama.

Ce dernier forme un panache qui s'étire jusqu'au sud de Sulawesi, à environ 1000 km au sud-ouest du volcan.

Le risque est important pour les habitants de Ternate, ville qui occupe toute la côte est de l' île .


Sources : OMI; La Republika.

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Aujourd'hui une nouvelle alerte en Indonésie :

Après le Gamalama dans les Moluques, c'est au tour du Gunung Sundoro de voir son niveau élevé à 3 - appelé Siaga.


Suite à une élévation du nombre de séismes, et du changement important de leur nature depuis octobre, une zone d'exclusion de 2 km. a été décrétée autour du cratère.

Le Sundoro est lui situé sur l'île de Java, dans la région du plateau de Dieng. Haut de 3.151 m., c'est le stratovolcan le plus symétrique de Java. Il est voisin du Gunung Sumbing, dont il est séparé par une étroite vallée.

Ses flancs sont ponctués de cratères parasites et de cônes, dont le plus important est le Kembang, et de coulées de lave.
Son sommet est complexe et habité de nombreux cratères : Segoro Wedi, Segoro Banjaran, Kawah utara, Kawah selatan et Sumur ledakan. Son activité est le plus souvent de type phréatique, la dernière éruption de ce type étant datée de fin 1971.

Aujourd'hui un total de 22 volcans sont en alerte en Indonésie, dont plusieurs ont relevé leur niveaux d'alerte depuis 1 mois.


Source
Badan geologi / PVMBG.

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lundi 5 décembre 2011
Une nouvelle fuite de liquide radioactif se déversant en partie dans l'océan Pacifique a été détectée à la centrale accidentée de Fukushima, a annoncé lundi l'opérateur du site Tokyo Electric Power (Tepco).

Des techniciens ont été dépêchés sur les lieux pour trouver la cause de cet écoulement qui s'est produit à proximité d'un système de décontamination des eaux usées, a précisé Tepco.

Une nappe de 45 tonnes d'eau polluée a été découverte autour d'un condensateur et une barrière de sacs de sable a été dressée à la hâte pour empêcher l'eau de s'échapper.

La majeure partie du liquide contaminé est restée à l'intérieur du bâtiment abritant le système de décontamination, mais quelque 300 litres auraient coulé vers un caniveau débouchant dans l'océan, a indiqué un responsable de Tepco.

L'eau contenait des substances radioactives comme le césium 137 et l'iode 131, mais à des niveaux "similaires ou légèrement supérieurs" à ceux détectés dans l'eau de mer près du site nucléaire, a-t-il ajouté.

Des contrôles difficiles

D'autres substances dangereuses, comme le strontium radioactif qui peut provoquer des cancers des os, seraient également présentes dans l'eau contaminée, mais il faudra deux à trois semaines avant d'en avoir confirmation, selon Tepco.

"Nous allons continuer notre enquête sur le problème survenu" au système de décontamination, a indiqué le porte-parole.

Dans les semaines qui ont suivi l'accident atomique du 11 mars, causé par un séisme et un tsunami géants, Tepco a déversé 10.000 tonnes d'eau légèrement radioactive dans l'océan Pacifique.

Les tests effectués par la suite ont démontré que la radioactivité s'était dispersée dans la mer sans menacer directement la vie animale ou celle des humains.

Tepco a précisé que cette fuite n'allait pas l'empêcher de parvenir d'ici à la fin du mois à un "arrêt à froid" des réacteurs, c'est-à-dire au maintien stable du combustible nucléaire sous la barre des 100 degrés Celsius.


Source © AFP
De nouvelles études scientifiques sur la fonte des glaciers de l'Himalaya révèlent l'impact du changement climatique dans cette région et la menace potentielle qui pèse sur 1,3 milliard d'habitants.

Selon ces études publiées dans trois rapports du Centre international pour le développement intégré en montagne (ICIMOD), basé à Katmandou, les glaciers ont reculé de 21% au Népal et de 22% au Bhoutan au cours des trente dernières années.

Ces découvertes, dévoilées dimanche à la conférence sur le climat à Durban, apportent la première confirmation officielle de la fonte des glaciers, après plusieurs déclarations empiriques.

Elles font aussi suite à une annonce erronée du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) qui avait indiqué dans son 4e rapport en 2007 que les glaciers de l'Himalaya reculaient plus vite que les autres du monde et pourraient disparaître d'ici 2035, voire avant.

Le GIEC avait ensuite indiqué qu'il s'agissait d'une regrettable erreur provenant de procédures établies qui n'ont pas été correctement suivies.A l'issue du projet de recherche financé par la Suède et menée par l'ICIMOD pendant trois ans, les experts ont découvert que les dix glaciers objets de leurs études étaient tous en train de fondre, à une vitesse s'accélérant entre 2002 et 2005.

Selon les résultats d'une autre étude, le volume de neige recouvrant la région a diminué de façon significative au cours des dix dernières années. Ces rapports fournissent un nouveau point de comparaison et des informations sur des zones géographiques spécifiques pour comprendre le changement climatique dans l'un des écosystèmes les plus vulnérables au monde, a commenté le président du GIEC, l'Indien Rajendra Pachauri.

Les 54.000 glaciers de l'Himalaya alimentent en eau les huit plus grands fleuves d'Asie, dont cinq d'entre eux - l'Indus, le Gange, le Brahmapoutre, Le Yangtze et le fleuve Jaune -- sont susceptibles d'être touchés par le stress hydrique dans les prochaines décennies, avec des conséquences potentielles pour 1,3 milliard de personnes.


Source ©AFP


L'Inde, un pays en sursis par Prophecy_comes_sometimes


vendredi 2 décembre 2011
Le Conseil national de l'alimentation préconise un retour progressif à l'usage des farines animales.

L'hypothèse de ce retour se concrétise. Comme le rapporte le site d'Europe 1, le Conseil national de l'alimentation (CNA) a donné son aval, vendredi 2 décembre, à une réintroduction partielle des farines animales, longtemps interdites.

Aucune date précise n'est encore arrêtée. Il s'agirait surtout de préparer l'opinion à cette éventualité.

Selon le CNA, instance consultative des ministères de l'alimentation, de la santé et de l'économie, les farines animales pourraient donc être réintroduites en France sous de nouvelles formes dénomées "PAT", pour protéines animales transformées, souligne Europe 1.

LE CNA RESTE PRUDENT

Les PAT excluraient l'utilisation d'un animal malade comme base d'une farine destinée à en nourrir d'autres. "Les conditions sanitaires ayant conduit à l'interdiction des PAT dans l'alimentation des animaux destinés à la consommation humaine ne sont plus d'actualité", affirme ainsi le CNA.

Une affirmation qui fait écho à un document de travail rédigé par l'instance en mai. Il faisait valoir que la situation sanitaire était désormais maîtrisée, ce qui aboutissait à "l'absence de risques pour la santé humaine".

Concernant l'utilisation de ces farines, le Conseil se veut toutefois prudent. Il prévient qu'elles seront interdites aux ruminants, comme les vaches ou les moutons. Seuls les poissons, les porcs et les volailles seront concernés. Le CNA explique néanmoins qu'il sera interdit de nourrir un animal avec des farines de son espèce.

La réintroduction des farines animales est notamment motivée par le fait que l'alimentation du bétail reviendrait moins cher qu'en utilisant les protéines végétales actuellement sur le marché.

Selon le document de travail du CNA de mai, cette réintroduction pourrait aussi être une réponse aux "besoins croissants en protéines pour l'alimentation animale" avec même des "avantages environnementaux probables", notamment dans l'élevage aquacole qui autorise toujours certaines farines animales et pour lequel "la question de la préservation des ressources halieutiques se pose avec de plus en plus d'acuité".

Reste que le scandale de l'encéphalopathie spongiforme bovine et la crainte de la variante de la maladie de Creutzfeld-Jakob risque désormais de ressurgir dans le débat publique et politique.

Source: Le Monde.fr




Vache folle ou Europe psychotique ? par Bonzou
Nature Alerte relaie...

Le 28 novembre 2011, le Conseil d’État a annulé le moratoire français sur l’OGM MON 810 de Monsanto. Le gouvernement a immédiatement annoncé son intention de reconduire ce moratoire ; mais de nombreuses associations s’inquiètent de son renouvellement avant les semis du printemps 2012.

Le Haut Conseil des Biotechnologies a montré que Monsanto n’a fait aucune évaluation valable des risques sur la santé générés par ce maïs insecticide.

Une récente décision de la Cour de Justice de l’Union Européenne interdit la vente de tout miel contenant son pollen que les abeilles récoltent abondamment.

Le coût des analyses exigées par cette interdiction suffira à lui seul à ruiner définitivement de nombreux apiculteurs, sans compter la destruction obligatoire des miels contaminés. Tout cela ne suffit pas pour la réglementation européenne qui n’a que faire de l’absence d’évaluation des risques, ni des risques économiques évidents, mais exige la preuve de l’existence d’un risque élevé sur la santé ou l’environnement.

Tous les travaux scientifiques recherchant cette preuve étant systématiquement empêchés ou déconsidérés par le lobby des biotechnologies, seule une décision politique peut interdire la culture du MON 810 en 2012 en France.


Le 28 Novembre 2011 à 23 h, la majorité des 30 député(e)s présents à l’Assemblée Nationale a définitivement approuvé la loi sur les Certificats d’Obtention Végétale (COV).

Cette loi permettra au Ministre de l’Agriculture d’organiser par décret :

  • l’interdiction faite aux paysans d’utiliser leur propres semences issues de leur récolte pour la majorité des espèces cultivées, comme les légumes ou le soja,
  • la taxation de tous les hectares cultivés en céréales et fourrages (il s’agit des 21 espèces pour lesquelles les semences de ferme sont autorisées) au bénéfice de l’industrie et des vendeurs de semences . Les agriculteurs n’ayant pas utilisé de variété protégée devront en amener eux-mêmes la preuve, impossible car non documentée. En inversant ainsi le droit général qui veut que ce soit le détenteur d’un titre de propriété industrielle qui amène la preuve d’une contrefaçon s’il veut faire valoir ses droits, les députés ont légalisé un racket généralisé.
  • la fixation du montant de cette taxe par une inter profession dominée par l’industrie des semences qui a déjà réclamé un montant dépassant les 10 euros/ha.
  • l’interdiction de la commercialisation de variétés traditionnelles dites « populations » qui ne correspondent pas à la définition des variétés protégées par COV, alors même que la récente loi Grenelle demandait au même Ministre de permettre leur commercialisation,
  • le contrôle de tous les agriculteurs sélectionneurs en vue de leur interdire de continuer à échanger leurs semences Ce sont ainsi plus de 100 millions d’euros qui seront pris dans la poche des paysans pour rémunérer les actionnaires des sociétés détentrices de COV. En quelques années, les paysans n’auront plus qu’un seul choix : acheter toutes leurs semences à l’industrie qui ne tardera pas à ne commercialiser que des OGM.

La Confédération paysanne appelle tous les paysans à refuser le paiement de cette taxe et tous les candidats aux prochaines élections à s’engager à abroger cette loi scandaleuse.

Les droits des paysans de ressemer et d’échanger leurs propres semences sont le dernier rempart contre la confiscation de toutes les semences et du droit à la souveraineté alimentaire par une poignée de multinationales de l’agrochimie.

Un pays qui n’a pas gardé sa souveraineté alimentaire a perdu sa souveraineté politique. Les électeurs s’en souviendront.

En attendant, malgré le Conseil d’État et le Parlement, nous continuerons à pratiquer et à défendre ces droits fondateurs des agriculteurs.

le site www.semonslabiodiversite.com

Signataires de la campagne : Agir pour l’environnement, Les Amis de la Terre, Artisans du monde, la Confédération Paysanne, la Coordination nationale pour la défense des semences fermières, la Fédération Nationale de l’Agriculture Biologique, Nature et Progrès, ATTAC, Sciences Citoyennes, Les Croqueurs de carotte, Demeter, Chrétien dans le Monde Rural, ASPRO PNPP, le Mouvement d’Agriculture Biodynamique, Générations Futures, OGM Dangers, Minga, le Réseau Semences Paysannes, l’Union Nationale de l’Apiculture Française.

Source : Amis de la Terre.
Un total de 1 450 personnes ont été évacuées de leur maison vendredi avant 11H00 dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest) suite à un tremblement de terre modéré qui a secoué la région jeudi soir, a annoncé le ministère chinois des Affaires civiles dans un communiqué.

Environ 11 300 personnes ont été affectées par un séisme de magnitude 5,2 centré sur le district de Shache dans la préfecture de Kashgar, située à environ 1 666 kilomètres au sud-ouest de la ville d'Urumqi, capitale du Xinjiang.

Près de 290 habitations ont été détruites et 1 966 autres endommagées dans le séisme. Aucune victime n'a été rapportée pour le moment.

Les habitants des districts de Shache, de Zepu et de Yuepuhu sont les plus affectés.

Des tentes et du matériel de secours ont été envoyés dans la région frappée par le séisme, selon le ministère.

Source: Chine info
En Colombie, des pluies diluviennes ont provoqué des inondations et des glissements de terrain meurtriers. Des dizaines de maisons ont été emportées par les eaux dans la ville de Barbosa, située à 400 km au nord de la capitale, Bogota.

Au moins une personne est décédée dans la tragédie tandis que les autorités tentent toujours de retrouver des personnes portées disparues. Dans la province de Bolivar, près de 1000 familles sont affectées par des inondations.

La catastrophe causée par le débordement de plusieurs rivières a également endommagé une centaine de maisons.

Source : Reuters



jeudi 1 décembre 2011
Les parties réunies en vertu du Protocole de Kyoto ont convenu de poursuivre les négociations en 2011. Ce protocole est l'accord international existant qui engage les pays industrialisés à réduire leurs émissions dans un cadre d'engagement, de transparence et de conformité.

La première période d'engagement du protocole de Kyoto, période dans lequel les pays industrialisés doivent fixer leurs engagements précis pour réduire les émissions d'ici 2050, prendra fin en fin 2012.

L'objectif global de cette période pour les gouvernements est de terminer et d'ajuster leurs propositions et de s'assurer qu'aucun écarts ne les affecte entre le début et la fin de cette période en vertu du traité, qui doit encore être convenue.

A Durban les enjeux sont donc de tailles et les nombreuses négociations un véritable casse tête que nous allons tenter ici de vous décrire au mieux.

Le premier enjeu auquel vont être confronter les 190 pays en négociation est probablement d’arrêter et de poser les fondations claires d'un accord climat global, ambitieux, équitable, et juridiquement contraignant.

À cette fin, l'année dernière à Cancun, les gouvernements ont convenu de poursuivre en 2011 les travaux sur l'identification d'un objectif visant à réduire considérablement les émissions mondiales d'ici 2050. Ils ont également convenu de travailler à l'identification d'un calendrier pour définir le pic des émissions mondiales. Ces deux objectifs sont importants pour maintenir le monde sur un calendrier viable pour lutter contre le changement climatique.

Les premiers examen des progrès réalisés afin de déterminer si le monde respecte ce calendrier , ou si il exigera des mesures plus énergiques, débutera en 2013 et s’achèvera en 2015.

Ces examens seront basés sur les dernières informations scientifiques et sur les progrès accomplis dans la lutte contre le changement climatique.

A Durban L'idéal serait donc que les pays engagés dans le protocole puissent sortir de ces négociations avec le plus d'accords possibles afin de faire face à l’urgence du défi climatique mondial grâce à la coopération et la solidarité, et les outils juridiques et financiers requis.

La première et la plus importante étape est de tenter de réduire au plus vite les émissions de CO2.

Pour cela les pays doivent d'abord se fixer un objectif clair de réduction d'émissions, par exemple en se référant sur les accords de Cancun qui avaient pour base d'aboutir à un minima de 25% à 40 % en deçà des niveaux d'émission de 1990 pris en référence, et ce d'ici à 2020, et afin de tenter de maximiser le réchauffement mondial global en dessous des 2°C.

Mais l'enjeu est de taille.

Pour ce faire il faut donc dé-carbonner le plus possible les besoins en énergie de tous les pays et l'introduire dans les perspectives des plans économiques de chacun d'une part, et d'autre part d'accompagner par des outils de compensations cette difficile transition et en particulier pour les pays à faible revenu et faible croissance et/ou peu industrialisés, puis enfin de se doter des outils internationaux de financement de mesure et de surveillance et des outils juridiques capable de transiger au cas où les objectifs seraient dépassés.

Les pays développés doivent donc tenter de respecter le plus scrupuleusement leurs futurs engagements en particulier en s'accordant par exemple des règles strictes d'utilisation des terres et forestie, dans et hors de leurs frontières.

Mais à Durban on doit tenter de fixer aussi les règles de financements et les outils (par exemple le fameux "fonds vert"), qui permettront d'accompagner cette transition le plus équitablement entre toutes les parties, entre pays développés et pays en voie de développement ainsi que les pays du tiers monde.

Un autre enjeu de taille est le contrôle de la forestie mondiale, et le financement de la REDD+ en particulier, fixé à 15 à 35 Milliards par ans d'ici 2020.

Les gouvernements doivent aussi se mettre d’accord pour réduire l’utilisation des HFC (aerosol par exemple) le plus rapidement et le plus efficacement possible en travaillant en collaboration étroite et en se dotant des outils nécessaires à leurs mise en œuvre (outils juridiques et de surveillances).

Il leur faut créer les institutions nécessaires à la mise en œuvre de ces accords internationaux, et revient ici le fameux "fonds vert", tant attendu, et auquel des parties civiles (ONG) devraient participer dans son fonctionnement, et qui doit répondre urgemment aux besoins financiers des pays en voie de développement et à venir dans le financements futurs de leurs options économique de croissance et ce avec les meilleurs choix technologique et stratégique.

Oui mais voilà en ce moment à la seule apparition du mot "financer" , il y en a plus d'un pour prendre la fuite ...à ce demander si les financiers à l'exemple des terroristes ne cherchent pas quelques part une bonne planque dans une grotte imprenable ...bref à ce gros mot ...financer... rajouter s'y un I et voici qu'ils sourient, sans le i, c'est la fuite...

Ce traité emblématique de l'engagement des pays industrialisés qui devrait aboutir à Durban cristallise les attentes. Les quelque 12 000 diplomates, ministres, délégués, experts et ONG présents jusqu'au 9 décembre devront s'entendre pour trouver les moyens de limiter à moins de 2 °C la hausse des températures.

En attendant les pays industriels ne respectent pas les modestes engagements pris à Kyoto en 1997. Les émissions de gaz à effet de serre ont augmenté de 6 % en 2010 par rapport à 2009, dépassant le pire des scénarios du GIEC. Les transferts financiers visant à contenir le changement climatique et à s’adapter sont toujours attendus et aucun accord n’a été trouvé pour l'organisation du Fonds vert pour le climat.

Voilà en résumé ce qui se joue à Durban, donc la partie n'est pas gagné, voir même capote puisque plusieurs pays menacent déjà de se défaire de leur engagements, le Canada en tête, et c'est celui qui fait le plus de bruit en ce moment, et pourquoi donc?...personne ne le sait... sauf peut être que ...ben je vous laisse deviner...jusqu'à la suite d'un prochain numéro...

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La Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et le protocole de Kyoto

La Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), en anglais United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC), a été adoptée au cours du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro en 1992 par 154 États auxquels il faut ajouter la totalité des membres de la Communauté européenne. Elle est entrée en vigueur le 21 mars 1994.

En 2004, elle était ratifiée par 189 pays. La CCNUCC est la première tentative, dans le cadre de l'ONU, de mieux cerner ce qu'est le changement climatique et comment y remédier.

Elle reconnaît trois grands principes :

  • le principe de précaution,
  • le principe des responsabilités communes mais différenciées,
  • le principe du droit au développement.
La Convention reprend tous les principes contenus dans la Déclaration finale de Rio de Janeiro et dans l’Agenda 21, ainsi que les principes du droit international, au sein duquel elle n’est qu’un aspect.

Cependant, elle ne comprend aucune cible juridiquement contraignante, les Parties s'étant laissé la possibilité de compléter la CCNUCC par des engagements ultérieurs dans le cadre d'un régime international.

En 1997, certaines parties à la CCNUCC ont signé le Protocole de Kyoto qui est entrée en vigueur en 2005. Ce protocole doit néanmoins être négocié périodiquement, la première période d'engagement prenant fin en 2012.

À cet effet, la dernière Conférence des parties, la Conférence de Copenhague (COP15), qui devait déboucher sur un accord global, n’a pas permis de dégager de consensus fort sur le régime climatique post-2012. Afin de dénouer l’impasse, la CP a « pris note » de l’Accord de Copenhague, négocié à huis clos par un petit groupe d'États, dont les États-Unis et les pays émergents.

Organes

L'organe suprême est la Conférence des parties (COP). Elle est composée de tous les États parties et vérifie leur bonne application des objectifs de la Convention. Elle se réunit annuellement lors de conférences mondiales qui analysent les avancées de la convention et prend des décisions pour atteindre les objectifs de lutte contre les changements climatiques.

Les dernières COP sont :

  • La Conférence de Bali (COP13) en 2007
  • La Conférence de Poznan (COP14) en 2008
  • La Conférence de Copenhague (COP15) en 2009
  • La Conférence de Cancún (COP16) en 2010
  • La Conférence de Durban (COP 17) en 2011

Il y a également deux organes techniques :

L'Organe subsidiaire d’avis scientifique et technique (OSAST). Il fournit l'appui scientifique nécessaire et propose des avis concernant le développement et le transfert de technologies. Il est l'interface entre le GIEC, versant scientifique, et la Conférence des parties, versant politique.

L'Organe subsidiaire de mise en œuvre (OSMO). Il a pour but de vérifier la mise en œuvre de la convention. Pour cela, il reçoit les rapports des États et contrôle leur conformité, notamment en termes d'émissions, avec les objectifs de la convention.



Le moteur perpétuel par les Shadoks par Shadoks
mercredi 30 novembre 2011



Cette année la température inhabituellement chaude du mois de Novembre retarde l'apparition de l'hiver dans les latitudes nordiques qui normalement sont déjà couvertes de neige à cette saison.

Ce manque de neige est une très mauvaise nouvelle pour de nombreuses stations de ski, et les sports d'hiver en générale. Des épreuves de ski nordique comptant pour coupe du monde ont même du être annulé, ou se sont tenues que grâce à l'apport massif de neige artificielle. Des épreuves de coupe du monde de ski alpin ont été déplacés de Levi en Finlande, en Autriche en raison du manque de neige. En ski de fond, plusieurs épreuves ont été déplacé de Beitostoelen à Sjusjoen où il fait suffisamment froid pour que la neige artificielle tienne le temps de l'épreuve.

Mais plus fou encore, on rapporte l'apparition incroyable de chants d'oiseaux printaniers, ou encore une re-floraison subite de jardins dans certain endroits.

"Certaines fleurs, comme les roses, ont effectivement recommencé à fleurir pour une deuxième fois dans le centres de la Suède», a déclaré Mats Rosenberg, biologiste à Orebro.

Tous les experts météo du pays annoncent déjà l'automne 2011 comme étant le plus chaud jamais enregistré.

Dans l’extrême nord de la Finlande la ville de Sodankylä au nord du cercle arctique ne s'est couverte de neige que depuis le 17 Novembre, soit 1 mois plus tard que la normale, témoigne Pauli Jokinen, porte-parole de l'Institut météorologique finlandais.

Même les animaux sont déboussolés, les hermines, les lièvres et les lagopèdes des saules, qui changent de couleur à cette saison sous ces latitudes, se sont retrouvés avec leurs fourrures blanches d'hiver avant même l'apparition de la neige, du jamais vu.

"ça fait vraiment bizarre, ces silhouettes fantomatiques s’élançant parmi les feuilles et les lichens d'automne" a déclaré Viljo Pesonen, maire de la ville.

Selon le SMHI ( centre météorologique de suéde), la température moyenne mesurée en Suéde pour le mois de Novembre est de 7°C au-dessus de la moyenne

...gloups...

Source:
msn.com/trad Nature Alerte




Après le Letten, Hagenthal-le-Bas se voit confrontée à un nouveau problème de pollution chimique. D’après l’association suisse Pingwin Planet, du béton et du gravier, fortement contaminés par des déchets de lindane, ont été découverts dans des chemins, à ciel ouvert.

« C’est énorme : des analyses montrent que le béton déversé sur un chemin rural, rue du Kelberg, au lieu-dit Klepferhof à Hagenthal-le-Bas, contient jusqu’à 750 grammes de lindane,ou hexachlorocyclohexane (HCH) par kilo », explique Martin Forter, spécialiste bâlois des sites contaminés.

Hier, à Hagenthal-le-Bas, il a tenu une conférence de presse avec Pingwin Planet, une association de défense de l’environnement basée à Zurich et créée en 2010, pour dénoncer l’existence de ce dépôt de déchets chimiques à ciel ouvert.

Des analyses en 1972

Selon Martin Forter, il y aurait aussi « du gravier contaminé par du lindane sur certains chemins ruraux de la commune voisine de Hagenthal-le-Haut ainsi que des sédiments contaminés dans des étangs de pêche ».

Andreas Kunz, responsable de Pingwin Planet, précise que « les autorités françaises connaissent l’existence à Hagenthal de ce gravier contaminé depuis 1972. Elles n’ont pris aucune mesure. Une analyse datant du 1 er août 1972, réalisée par le Laboratoire municipal de biologie médicale et de chimie de Mulhouse avait déjà, à l’époque, été remise au maire de Hagenthal-le-Haut. Selon les endroits de prélèvement, les analyses révélaient entre 120 mg et 1 200 mg de lindane par kilo de gravier. Ce qui était alors qualifié de teneurs assez élevées ».

L’association rappelle que « les conséquences sont fatales pour la population, la faune et l’environnement. Lessivé par l’eau de pluie, ce HCH hautement toxique contamine les prés et empoisonne progressivement le ruisseau du Lertzbach, comme le montrent les analyses que nous avons fait réaliser ».

Pingwin Planet en appelle à la responsabilité éthique du groupe Rio Tinto et aux autorités sanitaires et environnementales françaises et suisses pour évacuer immédiatement ce HCH.

« Il ne faut plus que l’industrie chimique fasse de gros profits et que la population paye le prix de la pollution. » L’association exige « une analyse immédiate et détaillée de l’eau du ruisseau, des sédiments, des poissons et des captages d’eau d’usage et d’eau potable, tant publics que privés, dans la vallée du Lertzbach ».

Alerté par un appel

Elle revendique la publication des résultats, l’évacuation immédiate du béton et du gravier pollué ainsi qu’une interdiction provisoire de la pêche le long du Lertzbach et une interdiction immédiate de l’utilisation du ruisseau, qui longe en partie la frontière franco-suisse, pour abreuver le bétail.

Pourquoi cette pollution, qui durerait depuis presque 40 ans, n’est-elle révélée qu’aujourd’hui ? « Parce que je n’ai été alerté qu’il y a neuf mois par un appel privé », explique Martin Forter.

François Gasser, maire de Hagenthal-le-Bas, n’était pas au courant de ces dépôts. Il l’a appris hier matin et, dès hier soir, a demandé une entrevue avec Béatrice Lagarde, sous-préfet de Mulhouse, afin de voir quelles consignes donner en attendant des analyses contradictoires.
Nicole Grentzinger

POUR SE RENSEIGNER www.pingwinplanet.ch ou http://martinforter.ch


Source le Pays

Lindale* (Wikipédia) : Doté d'un très large spectre d'activité insecticide, le Lindane* trouve de nombreuses applications en agriculture comme pesticide, dans la protection des bois, en médecine vétérinaire et en santé publique. .

Le lindane est un insecticide organochloré commercialisé depuis 1938. Ses noms chimiques sont gamma-hexachlorocyclohexane (HCH) et benzene hexachloride (BHC). Il a été utilisé en agriculture et dans les produits pharmaceutiques pour le traitement de la gale et l’élimination des poux.

Sa dose létale 50 est de 88 mg·kg-1.

Le lindane est une neurotoxine qui interfère avec la fonction de neurotransmission du GABA en interagissant avec le récepteur GABAA - Chez l'homme, le lindane atteint principalement le système nerveux, le foie et les reins, et il est peut-être un agent cancérigène et / ou perturbateur endocrinien


Les préfectures de Charente-Maritime, Charente et Deux-Sèvres ont pris récemment des mesures de restriction de l'usage de l'eau afin de faire face à une période de sécheresse exceptionnelle, a-t-on appris mercredi de sources préfectorales.

En Charente-Maritime, où le déficit hydrique est marqué depuis début septembre, l'état des ressources en eau souterraine et superficielle ne s'améliore pas, indique la préfecture dans un communiqué diffusé mercredi.

Les débits des cours d'eau restent inférieurs aux valeurs saisonnières et proches des valeurs critiques. L'état du réseau hydraulique dans certains marais est critique avec de nombreux fossés à sec, poursuit la préfecture qui a décidé d'encadrer, de façon exceptionnelle, le remplissage des mares de tonne (plans d'eau utilisés par les chasseurs, ndr) jusqu'au 14 décembre.

En Charente, le débit particulièrement faible des cours d'eau du département (...), la situation de l'étiage prolongée, la pluviométrie insuffisante observée depuis le début du mois de septembre et les prévisions météo à court terme ont conduit la préfecture à interdire le remplissage des plans d'eau sur l'ensemble du département du 26 novembre au 4 décembre inclus.

Le précédent arrêté ne portait que sur le sud du département, a-t-on précisé auprès de la préfecture.

Dans les Deux-Sèvres, face au déficit pluviométrique observé depuis le début du mois de septembre, la préfecture a elle aussi pris un arrêté exceptionnel, valable du 17 novembre au 4 décembre et interdisant le remplissage des plans d'eau, y compris les retenues artificielles.

Cet arrêté est valable sur la quasi totalité du département.

En Limousin, l'arrêté préfectoral limitant l'usage de l'eau en Haute-Vienne, reconduit depuis l'été dernier, prend fin mercredi, des chutes de pluie étant annoncées pour les prochains jours, selon la préfecture.

En Corrèze, où quelques communes ont restreint les usages de l'eau, un arrêté interdisant la vidange des plans d'eau a également été suspendu mercredi, selon la préfecture.

En Creuse, les restrictions avaient été levées fin octobre.


Source © AFP / 30 novembre 2011 17h18


...tiens donc ....pour ceux qui suivent....
La fonte accélérée des sous-sols arctiques gelés, le permafrost, va encore accentuer l'effet du réchauffement climatique dans des proportions d'autant plus inquiétantes qu'elles sont largement sous-estimées par les modèles climatiques actuels, avertit une étude.

Avec la hausse rapide des températures dans les régions arctiques, le permafrost, qui reste habituellement gelé tout au long de l'année, est en train de fondre.

Aussi appelé pergélisol, il représente près de 19 millions de km2, soit environ un cinquième des terres émergées de l'Hémisphère nord.

Ce permafrost constitue une gigantesque réserve de carbone organique, les restes des plantes et des animaux qui se sont accumulées dans le sol au fil des millénaires. Ce stock de carbone est neutralisé par le gel dans le sous-sol, mais avec la fonte du permafrost, les organismes microbiens commencent à le décomposer et à en libérer une partie dans l'atmosphère.

Au total, les terres arctiques renfermeraient quelque 1.700 milliards de tonnes de carbone.

C'est environ quatre fois plus que tout le carbone émis par les activités humaines au cours des temps modernes et le double de ce que contient l'atmosphère actuellement, soulignent deux biologistes américains, Edward Schuur et Benjamin Abbott, dans un commentaire publié mercredi par la revue britannique Nature.

Selon ces scientifiques et une quarantaine d'experts internationaux du réseau Permafrost Carbon Network signataires de l'étude, ce chiffre représente plus du triple des estimations précédentes utilisées dans les modèles de changement climatique.

La raison de cet écart est toute simple: on mesure habituellement le carbone au sein du premier mètre de sol en surface. Mais au fil des millénaires, l'alternance de gel et de dégel et la migration des sédiments ont produit un effet de brassage qui a enfoui le carbone du permafrost beaucoup plus profondément, expliquent ces experts.

Des scénarios à l'étude

Selon leurs calculs, la fonte du permafrost va relâcher dans l'atmosphère un volume de carbone équivalent à celui produit par la déforestation, si cette dernière se poursuit au rythme actuel. Mais ces émissions auront un impact sur le réchauffement climatique 2,5 fois plus élevé, car la fonte du permafrost produit non seulement du dioxyde de carbone (CO2) mais aussi du méthane (CH4), un gaz à effet de serre particulièrement redoutable.

L'impact potentiel du méthane sur le réchauffement est environ 25 supérieur à celui du CO2 à un horizon d'une centaine d'années, insistent les membres du réseau Permafrost Carbon Network.

En fonction de différents scénarios retenus par le GIEC (Groupe d'experts sur l'évolution du climat), ils ont donc tenté d'évaluer la fonte du permafrost et les émissions de carbone qui en découleraient, obtenant selon eux des résultats frappants.

Si la température moyenne des zones arctiques augmentait de 2,5°C d'ici 2040 (par rapport à la moyenne de la période 1985-2004), le permafrost relâcherait 30 à 63 milliards de tonnes de carbone (CO2 et méthane confondus). Avec une augmentation de 7,5°C d'ici 2100, on passerait à une quantité de 232 à 380 milliards de tonnes.

Une estimation 1,7 à 5,2 fois plus grande que celles retenues par des études récentes sur la base de scénarios similaires, relèvent les auteurs.

Quel que soit le scénario de réchauffement retenu, l'essentiel du carbone émis dans l'atmosphère serait du CO2, le méthane ne représentant qu'environ 2,7% du total. Néanmoins, le CH4 ayant un potentiel de réchauffement global plus élevé, il serait responsable de plus de la moitié du changement climatique induit par les émissions de carbone du permafrost, soulignent-ils.


Source ©AFP

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