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jeudi 5 janvier 2012
12:03
De forts vents ont balayé dans la nuit de mercredi à jeudi le Nord et le Pas-de-Calais. Ils ont provoqué des dégâts qui ont privé plus de 6000 foyers d'électricité et une coupure de l'A1 dans le sens Lille-Paris, a-t-on appris de sources concordantes.
Plus de 6000 foyers étaient encore privés d'électricité jeudi matin dans ces deux départements, selon ERDF qui a mobilisé 200 agents.
Les intempéries ont par ailleurs semé la pagaille aux abords de la métropole lilloise après la chute d'un arbre sur l'A1 dans le sens Lille-Paris à hauteur de Vendeville, vers 04H30. Il a été percuté par deux poids lourds qui se sont couchés chacun sur une voie, perdant en partie leur chargement, selon les secours.
Vents de 100km/h
Les vents ont pu atteindre 100 kilomètres heure sur le littoral de la Manche et même dépasser par rafales cette vitesse à l'intérieur des terres, provoquant des dégâts matériels (fils électriques tombés, tôles et tuiles envolées, chutes d'arbres) ayant nécessité une trentaine d'interventions dans le Nord et 90 dans le Pas-de-Calais dans la nuit, ont indiqué les pompiers.
Le Nord et le Pas-de-Calais ont été placés en vigilance jaune mercredi soir en raison de forts vents. Mardi déjà, ces deux départements avaient été placés en vigilance orange par Météo France. Durant cette journée, les vents ont atteint à deux endroits (à Boulogne-sur-Mer et au Cap Gris-Nez) les 125 km/h.
Source ATS
...l’écosse et l’Irlande sont toujours en alerte vigilance ....
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Plus de 6000 foyers étaient encore privés d'électricité jeudi matin dans ces deux départements, selon ERDF qui a mobilisé 200 agents.
Les intempéries ont par ailleurs semé la pagaille aux abords de la métropole lilloise après la chute d'un arbre sur l'A1 dans le sens Lille-Paris à hauteur de Vendeville, vers 04H30. Il a été percuté par deux poids lourds qui se sont couchés chacun sur une voie, perdant en partie leur chargement, selon les secours.
Vents de 100km/h
Les vents ont pu atteindre 100 kilomètres heure sur le littoral de la Manche et même dépasser par rafales cette vitesse à l'intérieur des terres, provoquant des dégâts matériels (fils électriques tombés, tôles et tuiles envolées, chutes d'arbres) ayant nécessité une trentaine d'interventions dans le Nord et 90 dans le Pas-de-Calais dans la nuit, ont indiqué les pompiers.
Le Nord et le Pas-de-Calais ont été placés en vigilance jaune mercredi soir en raison de forts vents. Mardi déjà, ces deux départements avaient été placés en vigilance orange par Météo France. Durant cette journée, les vents ont atteint à deux endroits (à Boulogne-sur-Mer et au Cap Gris-Nez) les 125 km/h.
Source ATS
...l’écosse et l’Irlande sont toujours en alerte vigilance ....
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mercredi 4 janvier 2012
19:15
Au Canada, au début de l'année dernière, dans les régions reculées du nord de la Colombie britannique, la ste Apache Corp annonçait fièrement la plus grande opération de fracturation hydraulique jamais réalisé.
Ce projet a nécessité 1 milliard de litre d'eau et plus de 50 000 tonnes de sable, pour actionner la fracturation simultanée de 16 puits d'extraction mis côte à côte sur une même zone d'exploitation. En multipliant par 4 le record jusqu'ici détenu, le champ d'extraction de gaz de schiste par fracturation hydraulique de la ste Apache Corp en décembre 2010 devenait ainsi le plus important jamais réalisé au monde.
Ce record n'aura pas résisté longtemps, à la fin de l'année 2011, Apache et son partenaire, Encana, annonçaient avoir dépassé de plus de la moitié ce record sur un site voisin.
Alors que le débat sur les inconvénients de la fracturation fait actuellement rage aux États-Unis, Est-il étonnant de constater l'explosion impressionnante de cette activité très décriée, dans les régions reculées et bien boisées, chez son voisin du nord ?
Même si certains responsables politiques canadiens ont clairement mis en garde leurs concitoyens aux danger de cette activité sur l'environnement, les régions de l'Alberta et la Colombie-Britannique ont rivalisé d’ingéniosités pour attirer les investisseurs, en leur offrant gentiment mille incitations financières et de larges assouplissements aux règles de sécurités minimums. Le résultat ne sait pas fait attendre.
Ben Parfitt, un analyste du Centre canadien des politiques alternatives,n’hésite pas à nous rappeler que:
"Nous assistons actuellement au canada à quelques-unes des plus grandes opérations de fracturation hydraulique en cours sur la planète."
En revanche, dans les régions de l'Est du Canada, ça progresse plus prudemment. Depuis Mars dernier , la population du Québec tente de faire imposé un moratoire en attendant l'élaboration d'études supplémentaires. Actuellement des manifestants envahissent les rues au Nouveau-Brunswick et réclament la même décision à leurs autorités. Cette opposition du public couplée aux bas prix du gaz, a fait ralentir les forages en cours dans l'Est du pays cette année.
Pourtant, l'Association canadienne des producteurs pétroliers prévoit que la production de gaz de schiste et des autres sources d'énergies non conventionnelles, triple dans les régions de l’Est dans les dix prochaines années.
Malgré un avertissement clair sur les risques de pollution de l'eau et de l’atmosphère dans une note interne au ministère, le ministre de l'environnement Peter Kent continue lui d'y croire.
"Notre gouvernement croit que l'exploitation du gaz de schiste est une ressource stratégique importante qui pourrait fournir de nombreux avantages économiques pour le Canada, il assurera de plus notre autonomie énergétique"
"un environnement sain et une économie forte vont de pair." a ajouté le ministère.
L'essor des forages par fracturation au Canada remonte à la fin des années 1990, quand EnCana a commencé à utiliser les techniques de fracturation pour extraire du gaz des roches des schistes du nord de la Colombie-Britannique.
Mais dés le début des années 2000, EnCana a également commencé a fracturer des veines de charbon peu profonde, ou encore de méthane ou de houille en utilisant de l'azote plutôt que de l'eau pour libérer les gaz. Ces forages nécessitent généralement beaucoup moins de fluide que la fracturation du schiste, mais ils se produisent généralement très prés des nappes phréatiques d'eau potable. Dans certains cas, EnCana n'a pas hésiter à perforer des puits en traversant les nappes aquifères et en y injectant par la même des fluides de fracturation dans les eaux souterraines potables.
Mais c'est plutôt vers 2005 qu' EnCana et les autres opérateurs ont commencé à explorer sérieusement les réserves de gaz de schiste du Nord de la Colombie-Britannique . Les filons se sont révélés prometteurs, possédant au moins 61 milliards de mètres cubes de gaz, selon les estimations de l'industrie pétrolière.
Néanmoins ces forages étaient compliqués à maitriser économiquement et en particulier par la difficulté d'y accéder. Contrairement au filons de Barnett et Marcellus des États-Unis, ces bassins du Canada étaient éloignés de la plupart des infrastructures de transport existants, et les sols y étaient souvent détrempés et ralentissaient les forages au printemps et en été, en effet la température moyenne dans ces régions oscille autour de zéro la majeur partie de l'année.
Pour encourager son développement, la Colombie-Britannique a donc promulgué une série de mesures incitatives, y compris des redevances réduites pour les forages profonds ainsi que l'accession facile à de nombreux crédits pour la construction de routes et de pipelines dans les régions éloignées.Toutes ces modifications combinées ont permis d'intensifier considérablement les opérations de forage en Colombie-Britannique, aujourd'hui c'est une des région du monde la plus fracturée.
Aujourd'hui en Alberta, les foreurs de puits sont autorisés depuis peu à concentrer plusieurs puits dans un même secteurs d'exploitation et d'y pomper beaucoup plus d'eau.
Ces dernières années ce développement anarchique des exploitations de gaz de schiste, a révélé de nombreuses failles sanitaires , en effet plusieurs plaintes importantes de pollution des eaux ont été déposé par des résidents de l'Alberta auprès des autorités. Il n'y a pas réellement de chiffres officiels précis et le gouvernement ne semble pas vouloir s'attarder trop bruyamment sur ces plaintes.
Néanmoins aujourd'hui dans certains cas, la frustration des habitants est tellement exacerbée que leurs plaintes commencent tout de même à faire des vagues.
Si quelques enquêtes officielles ont bien été mené en 2007, et qu'elles révèlent toutes effectivement une pollution des nappes par des produits chimiques mystérieux, leurs conclusions font tout de même sourire:
En Alberta par exemple dans un cas révélé, celui de Jessica Ernst, les conclusions de l'enquête gouvernementale accusent en effet l'introduction des tuyaux de prélèvement nécessaires pour ces examens d'en être la cause et nullement les forages pétroliers. Devant l’énormité de la conclusion scientifique de cette enquête, la province retourna vite sa veste et déclara finalement la pollution d'origine naturelle.
Mais la réponse de Jessica Ernst, la plaignante, ne se fit pas attendre: En enquêtant par elle même, elle révéla à la presse des preuves par des documents officiels et en particulier par un rapport de l'agence de l’environnement et de l'eau de l'Alberta énumérant les cas où la fracturation des puits de faibles profondeurs avaient aboutis à l'infiltration dans les puits, de gaz et de fluides chimiques.
Elle a également déniché les dossiers officiels du gouvernement où la sté EnCana déclare avoir procédé à des fracturations directement dans la nappe aquifère qui fournit son eau de puits.
«Notre communauté a été utilisée comme un tube à essai", a t-elle déclaré à la presse. «Alors de même je les ai utilisé comme tubes à essai."
Jessica Ernst poursuit actuellement, la ste Encana, l'agence de l'Environnement et de l'eau de l'Alberta ainsi que l'"Alberta Energy Resources Conservation Board" en justice, qui régissent à eux tous le forage de gaz de schiste voisin de chez elle. Ce forage d'Encana a été négligent, et les agences gouvernementales ont couvert la contamination de l'entreprise et omis de respecter les règlements.
Ernst, qui demande environ 33 $ millions de dollars canadiens en dommages et intérêts, a juré qu'elle n'acceptera pas un règlement qui comprend un accord de confidentialité, comme d'autres avant elle l'ont déjà fait.
"Que cela soit bien clair, je ne suis pas achetable», dit-elle.
Alan Boras, porte-parole d'EnCana, n'a pas voulu commenter sur cette affaire.
L'Energy Resources Conservation Board a rejeté toute demande d' entrevue. Néanmoins dans une réponse écrite, le porte-parole Bob Curran a dit qu'il ne pouvait pas commenter sur les détails de cette affaire Ernst, mais que son agence est confiante car elle s'est comportée de façon appropriée.
Quant à Carrie Sancartier, la porte-parole de l'agence pour l'Environnement et de l'eau de l'Alberta , elle n'a pas voulu commenter en raison de la procédure en cours, mais dit qu'il n'y a eu en aucun cas, des forages de gaz contaminant les puits d'eau dans la province.
L'expert, Dr Muehlenbachs, dont les enquêtes ont été utilisé à plusieurs reprises dans les enquêtes gouvernementales, a déclaré que c'est "tout simplement faux." Il a analysé des milliers de cas de fuite de gaz et sait qu'au moins une douzaine de cas de contamination de l'eau sont avérées.
...
Mais d'autres inquiétudes sont soulevées par les environnementalistes canadiens
Les techniques de fracturation nécessitent énormément d'eau. Apache et Encana utilisent une moyenne de 100 millions de litres d'eau par puits.
Alors que l'industrie pétrolière et gazière dit n'être responsable que de 1 pour cent de l'utilisation en d'eau de toute la Colombie-Britannique , les défenseurs de l'environnement disent eux, que ces chiffres ne semblent pas refléter la pleine mesure de la consommation de l'industrie pétrolière et de ces besoins à long terme.
L'accès à l'eau de surface est normalement réglementé par deux agences qui délivrent à long ou court terme des licences d'utilisation. La très grande majorité des sociétés d'énergie ont choisi d'obtenir des permis à court terme, qui nécessitent des examens réglementaires beaucoup moins contraignant.
Quant à la plupart des retraits d'eau souterrain, ils ne sont pas réglementés du tout.
Les foreurs n'ont besoin d'aucun permis pour creuser des puits où s'y alimenter, et n'ont aucune limite sur la quantité d'eau qu'ils peuvent en extraire. Ils peuvent également acheter de l'eau à des propriétaires privés, sans qu'aucun moyen de contrôle gouvernemental soit nécessaire.
Alors...
Combien d'eau est effectivement actuellement utilisée, et surtout, combien de besoin en réserve d'eau ont été projeté par ces exploitations pour les 10 prochaines années ? ...seuls les compagnies pétrolière le savent, les citoyens eux n'en savent rien.
L'année dernière, dans un rapport officiel des surveillances des eaux souterraines sur toute la province de Colombie-Britannique, le contrôleur en chef lui même a rappelé que la province ne protégeait pas adéquatement ces aquifères de la surexploitation et de la contamination potentielle en provenance des fracturations. L'agences révélait par la même occasion qu'elle manquait cruellement de données de base nécessaires à l'évaluation des risques, tels que le nombre et l'étendue des nappes aquifères de la province, selon ce même rapport.
Le ministère de l'Énergie et des Mines, dans une réponse écrite, a ffirmé que la province a pris plusieurs mesures pour tenter d'améliorer la surveillance de l'usage de l'eau, y compris un projet de recherche sur les nappes aquifères de la province. Aucune réglementation n'est en revanche à l'ordre du jour.
La réaction des citoyens qui commencent à poindre violemment face à ces dérives de la fracturation est devenue une telle préoccupation pour les foreurs et les gouvernements provinciaux dans l'Ouest canadien que l'an dernier, ils ont lancé un effort conjoint pour tenter de la contrer.
En Décembre 2010, les gouvernements de la Colombie-Britannique, l'Alberta et la Saskatchewan ont signé un mémorandum de coopération établissant un plan visant à partager des informations et à élaborer des normes pour la fracturation hydraulique et l'utilisation de l'eau. Une seule ONG était invité à débattre dans ce projet: l'Association canadienne des producteurs pétroliers.
Le mémo qui en résulte a été divulgué en août dernier et publié par l'Alberta Federation of Labour, il y est dit que les provinces et les producteurs de pétrole allaient travailler ensemble pour développer des «messages clés» sur le gaz de schiste et la fracturation et pour persuader le public qu'il n'y a rien à en craindre.
«Le projet aidera à démontrer que l'extraction du gaz de schiste est viable, sûr et écologiquement durable», dit le mémo.
Dans une note séparée, l'agence de l'environnement de l'Alberta a indiqué que l'Association canadienne des producteurs pétroliers avait approché la province pour travailler sur une campagne conjointe de relations publiques.
Depuis rien...
Source ProPublica, rédaction et trad Nature Alerte
...citoyens et internautes du CANADA... réveillez vous et vite!!!!....une énorme campagne de désinformation est à l'œuvre chez vous, ...et si vous ne faite rien d'ici quelques mois, se seront bientôt les OVNIS et les aliens les responsables de tout vos malheurs...et ils vont vous tisser un sacré beau calendrier Maya, croyez moi....alors, DEBOUT, vite DEBOUT...sinon vos voisins très pollueurs vont vous polluer, toutes crues....Quant à nous tous, internautes du monde entier aidons les dans cette tache d'information devenue urgente et nécessaire, vitale pour l'environnement Canadien mais aussi le notre voir plus bas, ...disons NON depuis partout d'une commune manière ...SINON...?...
....Alors il nous reste au moins cela...faisons passer l'info...
...Citoyens et internautes de France, je souligne ici à mes lecteurs, et les préviens: méfions nous nous aussi ici en France, il semble qu'un certain nombre de prétextes autorisent désormais certains de nos soi disant agriculteurs à s'approprier des droits d'eau en constituant des réserves sans qu'aucune contre partie ni réglementation ne les dérangent...voilà..."Watch out" comme on dit en anglais...Yeeeeeeaaaaaaaaaaah....
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En attendant les exploitants de chez nous vont vers eux...ben tiens...
Gaz et pétrole de schiste: la nouvelle ruée vers l'or aux Etats-Unis
Le pétrole et le gaz de schiste aux Etats-Unis suscitent un appétit vorace de la part de géants internationaux comme le français Total, le chinois Sinopec ou le fonds américain KKR, dans un contexte de raréfaction des gisements d'hydrocarbures traditionnels.
Depuis quelques mois les transactions s'accélèrent, avec deux opérations majeures sur la seule journée de mardi. Devon Energy a ainsi annoncé que Sinopec allait acquérir un tiers de cinq de ses nouveaux projets, un investissement de 2,5 milliards de dollars dont 1,6 milliard de dollars en remboursements de coûts d'exploration et forage.
Parallèlement, Total s'est associé au groupe d'hydrocarbures gazier Chesapeake Energy et à son partenaire EnerVest en prenant une participation de 25% dans leurs gisements de gaz de schiste dans l'Ohio (Est des Etats-Unis) pour 2,3 milliards de dollars. ...(...les tremblements de terre...à Total ça lui fait même pas peur...ajout N/A)
Total avait indiqué en novembre son intention de renforcer ses activités dans ce domaine aux Etats-Unis, alors que l'exploitation des gisements de schiste est interdite en France, en raison des risques pour l'environnement. Fin novembre, le fonds d'investissement KKR avait racheté l'américain Samson pour 7,2 milliards de dollars, confortant son portefeuille d'actifs dans ce secteur, qui est l'un de ses axes stratégiques d'investissement.
«Les Etats-Unis disposent d'une avance technologique dans l'exploitation du pétrole et du gaz non conventionnels», souligne Mark Hanson, analyste chez Morningstar, pour expliquer cet engouement.
La Chine en particulier dispose de réserves colossales de gaz de schiste, qui pourraient aider à satisfaire ses besoins énergétiques en rapide expansion, mais le pays manque d'expertise pour les mettre en valeur, et l'acquisition de Sinopec peut ainsi lui permettre d'acquérir ce savoir-faire. (...???...)
Mais Total, qui avait déjà racheté en 2010 une part de Chesapeake, spécialiste des hydrocarbures non conventionnels, pour 2,25 milliards de dollars, a lui aussi laissé entendre qu'il souhaitait acquérir une meilleure expertise technologique.
«Nous avons beaucoup appris de Chesapeake», avait ainsi déclaré en novembre John Bannerman, directeur des activités aux Etats-Unis de Total.
«Ce sont des entreprises relativement petites qui ont été à l'avant-garde de l'investissement dans ces nouvelles ressources, pas les géants mondiaux», remarque Mark Hanson.
Le numéro un mondial du pétrole ExxonMobil avait déclenché fin 2009 ce mouvement de consolidation du secteur des pétroles et gaz de schiste aux Etats-Unis en déboursant la somme record de 41 milliards de dollars pour son compatriote XTO Energy, pionnier du pétrole et gaz «non conventionnels».
Par ailleurs, si les prix du gaz naturel restent déprimés, ceux du pétrole restent soutenus, à plus de 100 dollars le baril. Tout gisement contenant du pétrole de schiste offre ainsi de lucratives perspectives d'exploitation, dans un cadre politique plus stable que dans de nombreuses autres zones de la planète, au Moyen-Orient ou en Afrique.
L'opération de mardi «s’inscrit dans notre stratégie de développement dans des gisements non conventionnels offrant un fort potentiel et avec en l’occurrence une valorisation majoritairement liée au prix du brut», a ainsi justifié Yves-Louis Darricarrère, l'un des responsables de Total.
La roche de schiste contient aussi beaucoup de gaz tels que le propane et le butane «qui sont facilement compressibles et peuvent donc être liquéfiés. Ils se vendent au prix fort» par rapport à un gaz naturel comme le méthane, explique Mark Hanson.
L'exploitation des pétroles et gaz de schiste, plus compliquée et coûteuse que celle des hydrocarbures traditionnels, reste en outre moins chère et risquée que celle des gisements offshore, conclut Mark Hanson.
Signe de la ruée des Chinois vers les ressources énergétiques non conventionnelles, PetroChina International a par ailleurs annoncé mardi qu'il avait parachevé l'achat du projet de sables bitumineux de MacKay River, au Canada, une transaction d'une valeur de 672 millions de dollars.
PetroChina devient donc la première société chinoise à détenir la totalité d'un projet d'exploitation de sables bitumineux canadiens.
Source © 2012 AFP
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Ce projet a nécessité 1 milliard de litre d'eau et plus de 50 000 tonnes de sable, pour actionner la fracturation simultanée de 16 puits d'extraction mis côte à côte sur une même zone d'exploitation. En multipliant par 4 le record jusqu'ici détenu, le champ d'extraction de gaz de schiste par fracturation hydraulique de la ste Apache Corp en décembre 2010 devenait ainsi le plus important jamais réalisé au monde.
Ce record n'aura pas résisté longtemps, à la fin de l'année 2011, Apache et son partenaire, Encana, annonçaient avoir dépassé de plus de la moitié ce record sur un site voisin.
Alors que le débat sur les inconvénients de la fracturation fait actuellement rage aux États-Unis, Est-il étonnant de constater l'explosion impressionnante de cette activité très décriée, dans les régions reculées et bien boisées, chez son voisin du nord ?
Même si certains responsables politiques canadiens ont clairement mis en garde leurs concitoyens aux danger de cette activité sur l'environnement, les régions de l'Alberta et la Colombie-Britannique ont rivalisé d’ingéniosités pour attirer les investisseurs, en leur offrant gentiment mille incitations financières et de larges assouplissements aux règles de sécurités minimums. Le résultat ne sait pas fait attendre.
Ben Parfitt, un analyste du Centre canadien des politiques alternatives,n’hésite pas à nous rappeler que:
"Nous assistons actuellement au canada à quelques-unes des plus grandes opérations de fracturation hydraulique en cours sur la planète."
En revanche, dans les régions de l'Est du Canada, ça progresse plus prudemment. Depuis Mars dernier , la population du Québec tente de faire imposé un moratoire en attendant l'élaboration d'études supplémentaires. Actuellement des manifestants envahissent les rues au Nouveau-Brunswick et réclament la même décision à leurs autorités. Cette opposition du public couplée aux bas prix du gaz, a fait ralentir les forages en cours dans l'Est du pays cette année.
Pourtant, l'Association canadienne des producteurs pétroliers prévoit que la production de gaz de schiste et des autres sources d'énergies non conventionnelles, triple dans les régions de l’Est dans les dix prochaines années.
Malgré un avertissement clair sur les risques de pollution de l'eau et de l’atmosphère dans une note interne au ministère, le ministre de l'environnement Peter Kent continue lui d'y croire.
"Notre gouvernement croit que l'exploitation du gaz de schiste est une ressource stratégique importante qui pourrait fournir de nombreux avantages économiques pour le Canada, il assurera de plus notre autonomie énergétique"
"un environnement sain et une économie forte vont de pair." a ajouté le ministère.
L'essor des forages par fracturation au Canada remonte à la fin des années 1990, quand EnCana a commencé à utiliser les techniques de fracturation pour extraire du gaz des roches des schistes du nord de la Colombie-Britannique.
Mais dés le début des années 2000, EnCana a également commencé a fracturer des veines de charbon peu profonde, ou encore de méthane ou de houille en utilisant de l'azote plutôt que de l'eau pour libérer les gaz. Ces forages nécessitent généralement beaucoup moins de fluide que la fracturation du schiste, mais ils se produisent généralement très prés des nappes phréatiques d'eau potable. Dans certains cas, EnCana n'a pas hésiter à perforer des puits en traversant les nappes aquifères et en y injectant par la même des fluides de fracturation dans les eaux souterraines potables.
Mais c'est plutôt vers 2005 qu' EnCana et les autres opérateurs ont commencé à explorer sérieusement les réserves de gaz de schiste du Nord de la Colombie-Britannique . Les filons se sont révélés prometteurs, possédant au moins 61 milliards de mètres cubes de gaz, selon les estimations de l'industrie pétrolière.
Néanmoins ces forages étaient compliqués à maitriser économiquement et en particulier par la difficulté d'y accéder. Contrairement au filons de Barnett et Marcellus des États-Unis, ces bassins du Canada étaient éloignés de la plupart des infrastructures de transport existants, et les sols y étaient souvent détrempés et ralentissaient les forages au printemps et en été, en effet la température moyenne dans ces régions oscille autour de zéro la majeur partie de l'année.
Pour encourager son développement, la Colombie-Britannique a donc promulgué une série de mesures incitatives, y compris des redevances réduites pour les forages profonds ainsi que l'accession facile à de nombreux crédits pour la construction de routes et de pipelines dans les régions éloignées.Toutes ces modifications combinées ont permis d'intensifier considérablement les opérations de forage en Colombie-Britannique, aujourd'hui c'est une des région du monde la plus fracturée.
Aujourd'hui en Alberta, les foreurs de puits sont autorisés depuis peu à concentrer plusieurs puits dans un même secteurs d'exploitation et d'y pomper beaucoup plus d'eau.
Ces dernières années ce développement anarchique des exploitations de gaz de schiste, a révélé de nombreuses failles sanitaires , en effet plusieurs plaintes importantes de pollution des eaux ont été déposé par des résidents de l'Alberta auprès des autorités. Il n'y a pas réellement de chiffres officiels précis et le gouvernement ne semble pas vouloir s'attarder trop bruyamment sur ces plaintes.
Néanmoins aujourd'hui dans certains cas, la frustration des habitants est tellement exacerbée que leurs plaintes commencent tout de même à faire des vagues.
Si quelques enquêtes officielles ont bien été mené en 2007, et qu'elles révèlent toutes effectivement une pollution des nappes par des produits chimiques mystérieux, leurs conclusions font tout de même sourire:
En Alberta par exemple dans un cas révélé, celui de Jessica Ernst, les conclusions de l'enquête gouvernementale accusent en effet l'introduction des tuyaux de prélèvement nécessaires pour ces examens d'en être la cause et nullement les forages pétroliers. Devant l’énormité de la conclusion scientifique de cette enquête, la province retourna vite sa veste et déclara finalement la pollution d'origine naturelle.
Mais la réponse de Jessica Ernst, la plaignante, ne se fit pas attendre: En enquêtant par elle même, elle révéla à la presse des preuves par des documents officiels et en particulier par un rapport de l'agence de l’environnement et de l'eau de l'Alberta énumérant les cas où la fracturation des puits de faibles profondeurs avaient aboutis à l'infiltration dans les puits, de gaz et de fluides chimiques.
Elle a également déniché les dossiers officiels du gouvernement où la sté EnCana déclare avoir procédé à des fracturations directement dans la nappe aquifère qui fournit son eau de puits.
«Notre communauté a été utilisée comme un tube à essai", a t-elle déclaré à la presse. «Alors de même je les ai utilisé comme tubes à essai."
Jessica Ernst poursuit actuellement, la ste Encana, l'agence de l'Environnement et de l'eau de l'Alberta ainsi que l'"Alberta Energy Resources Conservation Board" en justice, qui régissent à eux tous le forage de gaz de schiste voisin de chez elle. Ce forage d'Encana a été négligent, et les agences gouvernementales ont couvert la contamination de l'entreprise et omis de respecter les règlements.
Ernst, qui demande environ 33 $ millions de dollars canadiens en dommages et intérêts, a juré qu'elle n'acceptera pas un règlement qui comprend un accord de confidentialité, comme d'autres avant elle l'ont déjà fait.
"Que cela soit bien clair, je ne suis pas achetable», dit-elle.
Alan Boras, porte-parole d'EnCana, n'a pas voulu commenter sur cette affaire.
L'Energy Resources Conservation Board a rejeté toute demande d' entrevue. Néanmoins dans une réponse écrite, le porte-parole Bob Curran a dit qu'il ne pouvait pas commenter sur les détails de cette affaire Ernst, mais que son agence est confiante car elle s'est comportée de façon appropriée.
Quant à Carrie Sancartier, la porte-parole de l'agence pour l'Environnement et de l'eau de l'Alberta , elle n'a pas voulu commenter en raison de la procédure en cours, mais dit qu'il n'y a eu en aucun cas, des forages de gaz contaminant les puits d'eau dans la province.
L'expert, Dr Muehlenbachs, dont les enquêtes ont été utilisé à plusieurs reprises dans les enquêtes gouvernementales, a déclaré que c'est "tout simplement faux." Il a analysé des milliers de cas de fuite de gaz et sait qu'au moins une douzaine de cas de contamination de l'eau sont avérées.
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Mais d'autres inquiétudes sont soulevées par les environnementalistes canadiens
Les techniques de fracturation nécessitent énormément d'eau. Apache et Encana utilisent une moyenne de 100 millions de litres d'eau par puits.
Alors que l'industrie pétrolière et gazière dit n'être responsable que de 1 pour cent de l'utilisation en d'eau de toute la Colombie-Britannique , les défenseurs de l'environnement disent eux, que ces chiffres ne semblent pas refléter la pleine mesure de la consommation de l'industrie pétrolière et de ces besoins à long terme.
L'accès à l'eau de surface est normalement réglementé par deux agences qui délivrent à long ou court terme des licences d'utilisation. La très grande majorité des sociétés d'énergie ont choisi d'obtenir des permis à court terme, qui nécessitent des examens réglementaires beaucoup moins contraignant.
Quant à la plupart des retraits d'eau souterrain, ils ne sont pas réglementés du tout.
Les foreurs n'ont besoin d'aucun permis pour creuser des puits où s'y alimenter, et n'ont aucune limite sur la quantité d'eau qu'ils peuvent en extraire. Ils peuvent également acheter de l'eau à des propriétaires privés, sans qu'aucun moyen de contrôle gouvernemental soit nécessaire.
Alors...
Combien d'eau est effectivement actuellement utilisée, et surtout, combien de besoin en réserve d'eau ont été projeté par ces exploitations pour les 10 prochaines années ? ...seuls les compagnies pétrolière le savent, les citoyens eux n'en savent rien.
L'année dernière, dans un rapport officiel des surveillances des eaux souterraines sur toute la province de Colombie-Britannique, le contrôleur en chef lui même a rappelé que la province ne protégeait pas adéquatement ces aquifères de la surexploitation et de la contamination potentielle en provenance des fracturations. L'agences révélait par la même occasion qu'elle manquait cruellement de données de base nécessaires à l'évaluation des risques, tels que le nombre et l'étendue des nappes aquifères de la province, selon ce même rapport.
Le ministère de l'Énergie et des Mines, dans une réponse écrite, a ffirmé que la province a pris plusieurs mesures pour tenter d'améliorer la surveillance de l'usage de l'eau, y compris un projet de recherche sur les nappes aquifères de la province. Aucune réglementation n'est en revanche à l'ordre du jour.
La réaction des citoyens qui commencent à poindre violemment face à ces dérives de la fracturation est devenue une telle préoccupation pour les foreurs et les gouvernements provinciaux dans l'Ouest canadien que l'an dernier, ils ont lancé un effort conjoint pour tenter de la contrer.
En Décembre 2010, les gouvernements de la Colombie-Britannique, l'Alberta et la Saskatchewan ont signé un mémorandum de coopération établissant un plan visant à partager des informations et à élaborer des normes pour la fracturation hydraulique et l'utilisation de l'eau. Une seule ONG était invité à débattre dans ce projet: l'Association canadienne des producteurs pétroliers.
Le mémo qui en résulte a été divulgué en août dernier et publié par l'Alberta Federation of Labour, il y est dit que les provinces et les producteurs de pétrole allaient travailler ensemble pour développer des «messages clés» sur le gaz de schiste et la fracturation et pour persuader le public qu'il n'y a rien à en craindre.
«Le projet aidera à démontrer que l'extraction du gaz de schiste est viable, sûr et écologiquement durable», dit le mémo.
Dans une note séparée, l'agence de l'environnement de l'Alberta a indiqué que l'Association canadienne des producteurs pétroliers avait approché la province pour travailler sur une campagne conjointe de relations publiques.
Depuis rien...
Source ProPublica, rédaction et trad Nature Alerte
...citoyens et internautes du CANADA... réveillez vous et vite!!!!....une énorme campagne de désinformation est à l'œuvre chez vous, ...et si vous ne faite rien d'ici quelques mois, se seront bientôt les OVNIS et les aliens les responsables de tout vos malheurs...et ils vont vous tisser un sacré beau calendrier Maya, croyez moi....alors, DEBOUT, vite DEBOUT...sinon vos voisins très pollueurs vont vous polluer, toutes crues....Quant à nous tous, internautes du monde entier aidons les dans cette tache d'information devenue urgente et nécessaire, vitale pour l'environnement Canadien mais aussi le notre voir plus bas, ...disons NON depuis partout d'une commune manière ...SINON...?...
....Alors il nous reste au moins cela...faisons passer l'info...
...Citoyens et internautes de France, je souligne ici à mes lecteurs, et les préviens: méfions nous nous aussi ici en France, il semble qu'un certain nombre de prétextes autorisent désormais certains de nos soi disant agriculteurs à s'approprier des droits d'eau en constituant des réserves sans qu'aucune contre partie ni réglementation ne les dérangent...voilà..."Watch out" comme on dit en anglais...Yeeeeeeaaaaaaaaaaah....
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En attendant les exploitants de chez nous vont vers eux...ben tiens...
Gaz et pétrole de schiste: la nouvelle ruée vers l'or aux Etats-Unis
Le pétrole et le gaz de schiste aux Etats-Unis suscitent un appétit vorace de la part de géants internationaux comme le français Total, le chinois Sinopec ou le fonds américain KKR, dans un contexte de raréfaction des gisements d'hydrocarbures traditionnels.
Depuis quelques mois les transactions s'accélèrent, avec deux opérations majeures sur la seule journée de mardi. Devon Energy a ainsi annoncé que Sinopec allait acquérir un tiers de cinq de ses nouveaux projets, un investissement de 2,5 milliards de dollars dont 1,6 milliard de dollars en remboursements de coûts d'exploration et forage.
Parallèlement, Total s'est associé au groupe d'hydrocarbures gazier Chesapeake Energy et à son partenaire EnerVest en prenant une participation de 25% dans leurs gisements de gaz de schiste dans l'Ohio (Est des Etats-Unis) pour 2,3 milliards de dollars. ...(...les tremblements de terre...à Total ça lui fait même pas peur...ajout N/A)
Total avait indiqué en novembre son intention de renforcer ses activités dans ce domaine aux Etats-Unis, alors que l'exploitation des gisements de schiste est interdite en France, en raison des risques pour l'environnement. Fin novembre, le fonds d'investissement KKR avait racheté l'américain Samson pour 7,2 milliards de dollars, confortant son portefeuille d'actifs dans ce secteur, qui est l'un de ses axes stratégiques d'investissement.
«Les Etats-Unis disposent d'une avance technologique dans l'exploitation du pétrole et du gaz non conventionnels», souligne Mark Hanson, analyste chez Morningstar, pour expliquer cet engouement.
La Chine en particulier dispose de réserves colossales de gaz de schiste, qui pourraient aider à satisfaire ses besoins énergétiques en rapide expansion, mais le pays manque d'expertise pour les mettre en valeur, et l'acquisition de Sinopec peut ainsi lui permettre d'acquérir ce savoir-faire. (...???...)
Mais Total, qui avait déjà racheté en 2010 une part de Chesapeake, spécialiste des hydrocarbures non conventionnels, pour 2,25 milliards de dollars, a lui aussi laissé entendre qu'il souhaitait acquérir une meilleure expertise technologique.
«Nous avons beaucoup appris de Chesapeake», avait ainsi déclaré en novembre John Bannerman, directeur des activités aux Etats-Unis de Total.
«Ce sont des entreprises relativement petites qui ont été à l'avant-garde de l'investissement dans ces nouvelles ressources, pas les géants mondiaux», remarque Mark Hanson.
Le numéro un mondial du pétrole ExxonMobil avait déclenché fin 2009 ce mouvement de consolidation du secteur des pétroles et gaz de schiste aux Etats-Unis en déboursant la somme record de 41 milliards de dollars pour son compatriote XTO Energy, pionnier du pétrole et gaz «non conventionnels».
Par ailleurs, si les prix du gaz naturel restent déprimés, ceux du pétrole restent soutenus, à plus de 100 dollars le baril. Tout gisement contenant du pétrole de schiste offre ainsi de lucratives perspectives d'exploitation, dans un cadre politique plus stable que dans de nombreuses autres zones de la planète, au Moyen-Orient ou en Afrique.
L'opération de mardi «s’inscrit dans notre stratégie de développement dans des gisements non conventionnels offrant un fort potentiel et avec en l’occurrence une valorisation majoritairement liée au prix du brut», a ainsi justifié Yves-Louis Darricarrère, l'un des responsables de Total.
La roche de schiste contient aussi beaucoup de gaz tels que le propane et le butane «qui sont facilement compressibles et peuvent donc être liquéfiés. Ils se vendent au prix fort» par rapport à un gaz naturel comme le méthane, explique Mark Hanson.
L'exploitation des pétroles et gaz de schiste, plus compliquée et coûteuse que celle des hydrocarbures traditionnels, reste en outre moins chère et risquée que celle des gisements offshore, conclut Mark Hanson.
Signe de la ruée des Chinois vers les ressources énergétiques non conventionnelles, PetroChina International a par ailleurs annoncé mardi qu'il avait parachevé l'achat du projet de sables bitumineux de MacKay River, au Canada, une transaction d'une valeur de 672 millions de dollars.
PetroChina devient donc la première société chinoise à détenir la totalité d'un projet d'exploitation de sables bitumineux canadiens.
Source © 2012 AFP
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11:30
Sept personnes sont mortes, une autre portée disparue, suite aux glissements de terrain suite à de fortes pluies sur l'Etat de Minas Gerais (sud-est du Brésil). La population de Nova Friburgo, ville jumelée avec Fribourg, a été placée en état d'alerte maximale.
Suites aux intempéries, 9600 personnes ont été évacuées et 53 municipalités déclarées en état d'urgence, selon un bilan diffusé mardi par la Défense civile. Les autorités ont également placé en état d'alerte maximale la population de Nova Friburgo et d'autres municipalités situées dans la montagne, à une centaine de kilomètres au nord de Rio de Janeiro.
A Nova Friburgo, où 400 personnes avaient péri l'an dernier, "il a plu au cours des dernières quarante-huit heures autant qu'en un mois, en moyenne, à cette époque de l'année", a indiqué le gouvernement de l'Etat de Rio dans un communiqué. L'état d'urgence a cependant été levé dans cette localité ainsi qu'à Petropolis du fait de la diminution de l'intensité des pluies.
Les pluies diluviennes ont commencé en octobre et se sont intensifiées la semaine dernière. Elles ont notamment tué deux personnes et fait 32 blessés et détruit plus de 80 maisons.
En janvier 2011, cette région avait été le théâtre de glissements de terrain et d'inondations meurtriers. Ils avaient fait plus de 1000 morts et disparus.
Source: © ats
Suites aux intempéries, 9600 personnes ont été évacuées et 53 municipalités déclarées en état d'urgence, selon un bilan diffusé mardi par la Défense civile. Les autorités ont également placé en état d'alerte maximale la population de Nova Friburgo et d'autres municipalités situées dans la montagne, à une centaine de kilomètres au nord de Rio de Janeiro.
A Nova Friburgo, où 400 personnes avaient péri l'an dernier, "il a plu au cours des dernières quarante-huit heures autant qu'en un mois, en moyenne, à cette époque de l'année", a indiqué le gouvernement de l'Etat de Rio dans un communiqué. L'état d'urgence a cependant été levé dans cette localité ainsi qu'à Petropolis du fait de la diminution de l'intensité des pluies.
Les pluies diluviennes ont commencé en octobre et se sont intensifiées la semaine dernière. Elles ont notamment tué deux personnes et fait 32 blessés et détruit plus de 80 maisons.
En janvier 2011, cette région avait été le théâtre de glissements de terrain et d'inondations meurtriers. Ils avaient fait plus de 1000 morts et disparus.
Source: © ats
11:14
Les départements du Nord et du Pas-de-Calais, sont placés en vigilance orange jusqu'à mercredi après-midi par Météo France, ils ont connu hier des rafales de vent de 120 km/h sur la côte.
Les vent violents sur la région Nord/Pas-de-Calais ont privé d'électricité 13.000 foyers, a indiqué Electricité réseau distribution France (ERDF) dans un communiqué. Les coupures ont touché principalement le Boulonnais, le Calaisis et les Flandres. En milieu d'après-midi, 3.000 clients étaient privés d'électricité dans le Nord et 10.000 dans le Pas-de-Calais. Les pompiers ont enregistré 188 interventions dans le Pas-de-Calais, principalement dans les régions de Boulogne-sur-Mer et Calais, pour des chutes d'arbres ou de fils électriques sur la voie publique. Les agents d'ERDF étaient sur le terrain pour rétablir le courant au plus vite.
Une Pré-alerte de crue maintenue dans 4 bassins wallons
Les niveaux des cours d’eau risquent fort d’augmenter dans les prochaines heures.Le calme après la tempête aura été de courte durée. De fortes rafales de vent vont faire leur retour dès ce soir. Elles pourront atteindre jusqu'à 100 km/h dans l'intérieur du pays jeudi. Il faut ajouter à cela des pluies, qui vont progresser dès cet après-midi et s'intensifier demain. Les niveaux des cours d’eau risquent donc d’augmenter dans les prochaines heures.
4 bassins wallons sont actuellement en pré-alerte de crue : la Haute-Meuse en province de Namur, la Semois et la Chiers en province du Luxembourg et l'Ourthe inférieure en province de Liège.
...Hier la tempête a été impressionnante chez nos voisins
Deux mort en Angleterre, et les liaisons Douvres-Calais perturbées
De l'autre côté de la Manche, une violente tempête mêlant pluies et fortes rafales de vent a balayé toute la journée le Royaume-Uni, faisant deux morts et perturbant les transports, notamment au Port de Douvres, fermé pendant plusieurs heures.
C'est une véritable tempête qui a balayé l’Angleterre. Tous les départs vers Calais ont été suspendus pendant quelques heures au départ de Douvres, la mer étant trop agitée, avec des vents très violents et une mauvaise visibilité.
En Écosse
L’Écosse a également été très affectée. A l'aéroport de Glasgow, des vols ont été annulés ou retardés. Les rafales, allant jusqu'à 160 km/heure, ont désorganisé la circulation des trains, et des bus ont été mis en place pour acheminer les voyageurs. Quelque 70.000 foyers ont été privés d'électricité.
En Irlande et les pays de galles
L'Irlande du Nord, le Pays de Galles et le sud-ouest de l'Angleterre n'ont pas été épargnés par le vent, qui a déraciné des arbres le long des routes, perturbant la circulation et entraînant la fermeture de plusieurs axes routiers. Dans le sud-ouest du pays, les autorités, craignant des inondations, ont émis un avis d'alerte pour 21 rivières.
En Belgique cette tempête a fait 4 blessés
La tempête qui s'est abattue mardi sur la Belgique a fait quatre blessés. Des vents dépassant les 100 km/h ont été enregistrés à la Côte alors que tout le pays a été balayé par de fortes rafales. La Flandre a été, dans l'ensemble, plus touchée par les vents violents et les averses.
Un gardien du parc Léopold, situé rue Belliard à Bruxelles, a été grièvement blessé, vers 16h00, après la chute d'un arbre. Deux promeneurs blessés ont également dû être évacués. A Ostende, un garçon de sept ans a eu la clavicule cassée après avoir été atteint par un objet en aluminium qui s'était détaché d'une façade.
Outre ces quatre blessés, les interventions des pompiers ont été nombreuses ce mardi.
Sambreville fortement touché
En province de Namur, la zone Sambreville-Sombreffe était la plus touchée par les intempéries. Un accident de la route, des arbres tombés sur les voies, des câbles électriques arrachés, des toitures envolées: les pompiers de la zone ont réalisé des dizaines d'interventions. Dans le reste de la province, on comptait une vingtaine d'interventions à Namur, Gembloux, Eghezée, Couvin et Andenne.
Source: afp, belga
Les vent violents sur la région Nord/Pas-de-Calais ont privé d'électricité 13.000 foyers, a indiqué Electricité réseau distribution France (ERDF) dans un communiqué. Les coupures ont touché principalement le Boulonnais, le Calaisis et les Flandres. En milieu d'après-midi, 3.000 clients étaient privés d'électricité dans le Nord et 10.000 dans le Pas-de-Calais. Les pompiers ont enregistré 188 interventions dans le Pas-de-Calais, principalement dans les régions de Boulogne-sur-Mer et Calais, pour des chutes d'arbres ou de fils électriques sur la voie publique. Les agents d'ERDF étaient sur le terrain pour rétablir le courant au plus vite.
Une Pré-alerte de crue maintenue dans 4 bassins wallons
Les niveaux des cours d’eau risquent fort d’augmenter dans les prochaines heures.Le calme après la tempête aura été de courte durée. De fortes rafales de vent vont faire leur retour dès ce soir. Elles pourront atteindre jusqu'à 100 km/h dans l'intérieur du pays jeudi. Il faut ajouter à cela des pluies, qui vont progresser dès cet après-midi et s'intensifier demain. Les niveaux des cours d’eau risquent donc d’augmenter dans les prochaines heures.
4 bassins wallons sont actuellement en pré-alerte de crue : la Haute-Meuse en province de Namur, la Semois et la Chiers en province du Luxembourg et l'Ourthe inférieure en province de Liège.
...Hier la tempête a été impressionnante chez nos voisins
Deux mort en Angleterre, et les liaisons Douvres-Calais perturbées
De l'autre côté de la Manche, une violente tempête mêlant pluies et fortes rafales de vent a balayé toute la journée le Royaume-Uni, faisant deux morts et perturbant les transports, notamment au Port de Douvres, fermé pendant plusieurs heures.
C'est une véritable tempête qui a balayé l’Angleterre. Tous les départs vers Calais ont été suspendus pendant quelques heures au départ de Douvres, la mer étant trop agitée, avec des vents très violents et une mauvaise visibilité.
En Écosse
L’Écosse a également été très affectée. A l'aéroport de Glasgow, des vols ont été annulés ou retardés. Les rafales, allant jusqu'à 160 km/heure, ont désorganisé la circulation des trains, et des bus ont été mis en place pour acheminer les voyageurs. Quelque 70.000 foyers ont été privés d'électricité.
En Irlande et les pays de galles
L'Irlande du Nord, le Pays de Galles et le sud-ouest de l'Angleterre n'ont pas été épargnés par le vent, qui a déraciné des arbres le long des routes, perturbant la circulation et entraînant la fermeture de plusieurs axes routiers. Dans le sud-ouest du pays, les autorités, craignant des inondations, ont émis un avis d'alerte pour 21 rivières.
En Belgique cette tempête a fait 4 blessés
La tempête qui s'est abattue mardi sur la Belgique a fait quatre blessés. Des vents dépassant les 100 km/h ont été enregistrés à la Côte alors que tout le pays a été balayé par de fortes rafales. La Flandre a été, dans l'ensemble, plus touchée par les vents violents et les averses.
Un gardien du parc Léopold, situé rue Belliard à Bruxelles, a été grièvement blessé, vers 16h00, après la chute d'un arbre. Deux promeneurs blessés ont également dû être évacués. A Ostende, un garçon de sept ans a eu la clavicule cassée après avoir été atteint par un objet en aluminium qui s'était détaché d'une façade.
Outre ces quatre blessés, les interventions des pompiers ont été nombreuses ce mardi.
Sambreville fortement touché
En province de Namur, la zone Sambreville-Sombreffe était la plus touchée par les intempéries. Un accident de la route, des arbres tombés sur les voies, des câbles électriques arrachés, des toitures envolées: les pompiers de la zone ont réalisé des dizaines d'interventions. Dans le reste de la province, on comptait une vingtaine d'interventions à Namur, Gembloux, Eghezée, Couvin et Andenne.
Source: afp, belga
11:21
La Russie a décidé fin décembre 2011 d'interdire les importations et exportations de peaux de phoques du Groenland, sonnant ainsi probablement le glas de la chasse au phoque au Canada. Un coup dur pour les chasseurs de phoques canadiens, privés d’un débouché commercial essentiel.
En effet, la Biélorussie, le Kazakhstan et la Fédération de Russie interdisent l’import et l’export de fourrures de blanchons et de phoques adultes.
Une mobilisation qui paye en Russie
Se félicitant de la fin du commerce de peaux de phoques en Russie, l’IFAW (Fonds international pour la protection des animaux) rappelle que le chemin jusqu’à cette bonne nouvelle a demandé beaucoup de travail.
Dans un entretien accordé à l’AFP, Masha Vorontsova, Directrice d’IFAW en Russie explique : « IFAW a connu plusieurs victoires en Russie. Nos équipes ont observé et documenté la chasse aux phoques en Russie dans la mer blanche en 1995 pour la première fois, et furent les premières à faire campagne pour mettre fin au massacre russe. En 2008, notre campagne a atteint un stade décisif quand nous avons pu remettre au gouvernement une pétition signée par plus de 400 000 personnes. Enfin, en 2009, des manifestations ont eu lieu à Moscou et dans 25 autres villes russes. »
Aujourd’hui, l’appel des associations de protection animale et des citoyens a été entendu et la Russie ne devrait plus importer, exporter ni commercialiser les peaux de phoque. Une excellente nouvelle lorsque l’on sait que derrière le mot « chasse » se cache des pratiques barbares, sanglantes et parfois cruelles, notamment à destination de jeunes phoques dont le duvet soyeux et immaculé est particulièrement apprécié.
La décision de la Russie d’interdire la chasse et la commercialisation de peaux de phoque est un coup dur pour le Canada. Ce pays envoyait jusqu’à 90% de ses peaux de phoque en Russie, marché qui vient de s’écrouler.
Pour IFAW, la décision récente de la Russie devrait pousser le Canada à renoncer à cette chasse barbare en raison du manque évident de marché aujourd’hui.
Reste à décourager la chasse au phoque là où elle se pratique encore dans le monde : la chasse aux phoques en Namibie.
Brigitte Bardot remercie la Russie
Figure emblématique de la cause animale en France, Brigitte Bardot intervient régulièrement dans les médias pour défendre les animaux victimes de barbarie ou de maltraitance.
Concernant l’arrêt du commerce de peaux de phoque en Russie, Brigitte Bardot a fait savoir à l’attention de Vladimir Poutine : « Merci infiniment d’avoir toujours été attentif à mes suppliques, je regrette de ne pas bénéficier d’un pareil soutien dans mon propre pays qui est scandaleusement rétrograde lorsqu’il s’agit de défendre les animaux ».
Source conso info
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En effet, la Biélorussie, le Kazakhstan et la Fédération de Russie interdisent l’import et l’export de fourrures de blanchons et de phoques adultes.
Une mobilisation qui paye en Russie
Se félicitant de la fin du commerce de peaux de phoques en Russie, l’IFAW (Fonds international pour la protection des animaux) rappelle que le chemin jusqu’à cette bonne nouvelle a demandé beaucoup de travail.
Dans un entretien accordé à l’AFP, Masha Vorontsova, Directrice d’IFAW en Russie explique : « IFAW a connu plusieurs victoires en Russie. Nos équipes ont observé et documenté la chasse aux phoques en Russie dans la mer blanche en 1995 pour la première fois, et furent les premières à faire campagne pour mettre fin au massacre russe. En 2008, notre campagne a atteint un stade décisif quand nous avons pu remettre au gouvernement une pétition signée par plus de 400 000 personnes. Enfin, en 2009, des manifestations ont eu lieu à Moscou et dans 25 autres villes russes. »
Aujourd’hui, l’appel des associations de protection animale et des citoyens a été entendu et la Russie ne devrait plus importer, exporter ni commercialiser les peaux de phoque. Une excellente nouvelle lorsque l’on sait que derrière le mot « chasse » se cache des pratiques barbares, sanglantes et parfois cruelles, notamment à destination de jeunes phoques dont le duvet soyeux et immaculé est particulièrement apprécié.
La décision de la Russie d’interdire la chasse et la commercialisation de peaux de phoque est un coup dur pour le Canada. Ce pays envoyait jusqu’à 90% de ses peaux de phoque en Russie, marché qui vient de s’écrouler.
Pour IFAW, la décision récente de la Russie devrait pousser le Canada à renoncer à cette chasse barbare en raison du manque évident de marché aujourd’hui.
Reste à décourager la chasse au phoque là où elle se pratique encore dans le monde : la chasse aux phoques en Namibie.
Brigitte Bardot remercie la Russie
Figure emblématique de la cause animale en France, Brigitte Bardot intervient régulièrement dans les médias pour défendre les animaux victimes de barbarie ou de maltraitance.
Concernant l’arrêt du commerce de peaux de phoque en Russie, Brigitte Bardot a fait savoir à l’attention de Vladimir Poutine : « Merci infiniment d’avoir toujours été attentif à mes suppliques, je regrette de ne pas bénéficier d’un pareil soutien dans mon propre pays qui est scandaleusement rétrograde lorsqu’il s’agit de défendre les animaux ».
Source conso info
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11:12
Des vents violents sont attendus dans le Nord-Pas-de-Calais.
Des rafales soufflant de 90 à 120 km/h sont attendues toute la journée ce mardi, rapporte Météo-France, qui a placé les départements du Nord et du Pas-de-Calais en vigilance orange.
Source Météo France
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Des rafales soufflant de 90 à 120 km/h sont attendues toute la journée ce mardi, rapporte Météo-France, qui a placé les départements du Nord et du Pas-de-Calais en vigilance orange.
Source Météo France
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lundi 2 janvier 2012
19:31
Comme vous nous l'annoncions en juin dernier ici, à Marseille la soif inébranlable de vouloir rechercher du pétrole au large de la ville commence à faire des vagues.
Le permis de prospection d'hydrocarbures dont Melrose demande la prolongation à proximité des côtes marseillaises mobilise les écologistes, qui alertent sur les dangers encourus par la faune sous-marine. Le gouvernement fait la sourde oreille.
Les géologues de la société britannique Melrose en ont maintenant la certitude : il y a bien du pétrole et du gaz en quantité dans le sous-sol au large de Marseille.
Après sa campagne de prospection conduite en début d'année, le groupe attend maintenant la prolongation du permis initial d'exploration, arrivé à expiration, pour conduire les campagnes complémentaires destinées à lui assurer que « tous les éléments nécessaires à un système pétrolifère actif sont effectivement présents », selon le dossier à l'instruction au ministère de l'Industrie.
Les investigations pourraient alors se poursuivre pendant cinq ans pour délimiter plus précisément le potentiel d'extraction et un puits pourrait être foré, si le gouvernement l'autorise, à une cinquantaine de kilomètres des côtes.
Dans cette perspective, Melrose a signé ce printemps une convention de partenariat avec le géant texan Noble Energy aux termes de laquelle il détiendra presque trois quarts des droits du puits si le permis est délivré.
Indignation des écologistes, qui fustigent le silence du gouvernement.
« Pensez-vous qu'un tel projet soit compatible avec une politique de développement soutenable en Méditerranée ? », avaient écrit ce printemps les élus marseillais à la ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, qui ne leur a pas répondu. Une question écrite déposée fin octobre à l'Assemblée par le député-maire PS d'Ajaccio, Simon Renucci, vient de buter sur la même impasse.
Comme pour l'affaire du gaz de schiste, la colère et l'incompréhension ont commencé à monter dès la campagne de prospection, car le système utilisé peut être potentiellement mortel pour la faune sous-marine, dénoncent les scientifiques.
« Les canons sismiques qui quadrillent la zone analysent l'écho de décharges d'air comprimé d'une puissance de 250 décibels, suffisantes pour tuer un cétacé à proximité, endommager son sonar dans un rayon de 20 kilomètres et impacter les pêches sur des distances considérables », explique Denis Lieppe, conseiller scientifique au parc national de Port-Cros.
Espèces vulnérables
Adossé au sanctuaire marin Pelagos regorgeant d'espèces protégées, la concession délivrée à Melrose couvre une zone de 12.500 kilomètres carrés avec des fonds marins pouvant aller jusqu'à 2.500 mètres.
Or, pas moins de dix espèces de mammifères marins classées vulnérables ou en danger (grands dauphins, baleines...), quatre espèces de tortues marines et une quarantaine d'espèces de poissons croisent dans le périmètre.
Les visites surprises orchestrées par la Direction de l'environnement pour vérifier l'application des mesures de prévention et de protection de la faune imposées par l'Etat n'ont pas rassuré les spécialistes, qui ont maintenant une autre inquiétude : la maîtrise aléatoire des forages profonds qui pourraient être opérés à seulement 30 kilomètres au large du futur parc national des Calanques.
Source © P. M., Les Echos
...Après l'article précédent...et bien...
...No comment...
...Néanmoins nous vous conseillons d'aller lire ou relire ces anciens articles ...ça devrait maintenant vous mettre la puce à l'oreille...
http://naturealerte.blogspot.com/2011/08/19082011france-marseille-pollution-au.html
http://naturealerte.blogspot.com/2011/07/07072011france-un-tremblement-de-terre.html
http://naturealerte.blogspot.com/2011/12/13122011france-forte-mortalite.html
http://naturealerte.blogspot.com/2011/10/07102011marseille-trois-dauphins-morts.html
http://naturealerte.blogspot.com/2011/04/19042011mediterranee-plus-de-40-especes.html
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Le permis de prospection d'hydrocarbures dont Melrose demande la prolongation à proximité des côtes marseillaises mobilise les écologistes, qui alertent sur les dangers encourus par la faune sous-marine. Le gouvernement fait la sourde oreille.
Les géologues de la société britannique Melrose en ont maintenant la certitude : il y a bien du pétrole et du gaz en quantité dans le sous-sol au large de Marseille.
Après sa campagne de prospection conduite en début d'année, le groupe attend maintenant la prolongation du permis initial d'exploration, arrivé à expiration, pour conduire les campagnes complémentaires destinées à lui assurer que « tous les éléments nécessaires à un système pétrolifère actif sont effectivement présents », selon le dossier à l'instruction au ministère de l'Industrie.
Les investigations pourraient alors se poursuivre pendant cinq ans pour délimiter plus précisément le potentiel d'extraction et un puits pourrait être foré, si le gouvernement l'autorise, à une cinquantaine de kilomètres des côtes.
Dans cette perspective, Melrose a signé ce printemps une convention de partenariat avec le géant texan Noble Energy aux termes de laquelle il détiendra presque trois quarts des droits du puits si le permis est délivré.
Indignation des écologistes, qui fustigent le silence du gouvernement.
« Pensez-vous qu'un tel projet soit compatible avec une politique de développement soutenable en Méditerranée ? », avaient écrit ce printemps les élus marseillais à la ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, qui ne leur a pas répondu. Une question écrite déposée fin octobre à l'Assemblée par le député-maire PS d'Ajaccio, Simon Renucci, vient de buter sur la même impasse.
Comme pour l'affaire du gaz de schiste, la colère et l'incompréhension ont commencé à monter dès la campagne de prospection, car le système utilisé peut être potentiellement mortel pour la faune sous-marine, dénoncent les scientifiques.
« Les canons sismiques qui quadrillent la zone analysent l'écho de décharges d'air comprimé d'une puissance de 250 décibels, suffisantes pour tuer un cétacé à proximité, endommager son sonar dans un rayon de 20 kilomètres et impacter les pêches sur des distances considérables », explique Denis Lieppe, conseiller scientifique au parc national de Port-Cros.
Espèces vulnérables
Adossé au sanctuaire marin Pelagos regorgeant d'espèces protégées, la concession délivrée à Melrose couvre une zone de 12.500 kilomètres carrés avec des fonds marins pouvant aller jusqu'à 2.500 mètres.
Or, pas moins de dix espèces de mammifères marins classées vulnérables ou en danger (grands dauphins, baleines...), quatre espèces de tortues marines et une quarantaine d'espèces de poissons croisent dans le périmètre.
Les visites surprises orchestrées par la Direction de l'environnement pour vérifier l'application des mesures de prévention et de protection de la faune imposées par l'Etat n'ont pas rassuré les spécialistes, qui ont maintenant une autre inquiétude : la maîtrise aléatoire des forages profonds qui pourraient être opérés à seulement 30 kilomètres au large du futur parc national des Calanques.
Source © P. M., Les Echos
...Après l'article précédent...et bien...
...No comment...
...Néanmoins nous vous conseillons d'aller lire ou relire ces anciens articles ...ça devrait maintenant vous mettre la puce à l'oreille...
http://naturealerte.blogspot.com/2011/08/19082011france-marseille-pollution-au.html
http://naturealerte.blogspot.com/2011/07/07072011france-un-tremblement-de-terre.html
http://naturealerte.blogspot.com/2011/12/13122011france-forte-mortalite.html
http://naturealerte.blogspot.com/2011/10/07102011marseille-trois-dauphins-morts.html
http://naturealerte.blogspot.com/2011/04/19042011mediterranee-plus-de-40-especes.html
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17:50
Le 01 Janvier 2012 au matin, les habitants de la proche région de la ville de Tromsø dans le nord de la Norvège avaient du mal à croire leurs yeux devant le spectacle affligeant de milliers de harengs morts comme cadeau de nouvel an.
En effet entre 10 et 20 tonnes de harengs se sont retrouvés échoués sur une plage de la région.
Tromsø est la neuvième plus grande ville en Norvège. La ville est connue pour être beaucoup plus chaude que la plupart des autres endroits situés sur la même latitude, en raison du réchauffement qu'apporte sur sa côte le courant du Gulf Stream.
Déjà diverses rumeurs abondent concernant cette catastrophe, mais personne ne sait avec certitude ce qui s'est réellement passé sur la plage de la petite municipalité de Nordreisa.
C'est Jan-Petter Jorgensen (44 ans), qui a découvert l’hécatombe au petit matin du 1 janvier 2012, alors qu'il se promenait sur la plage avec son chien.
Des témoins assurent que le même phénomène s’était déjà produit dans les années 80, et nombreux sont ceux qui spéculent sur une possible pollution de la rivière qui se jette dans l'océan juste derrière un petit promontoire visible depuis la plage.
D'autres explique que cette hécatombe est due à un manque d'oxygène, ou encore par un apport trop important d'eau douce par la rivière?
Jan-Petter Jorgensen estime quant à lui que chaque poisson doit pesé entre les 100 et 150 grammes, et que la totalité des poissons échoués pourrait faire environ 20 tonnes.
Même si tous sont inquiets, il faut de toute urgence enlever ces carcasses.
Source dagbladet.no / trad anglaise: extinction protocole et trad française Nature Alerte
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En effet entre 10 et 20 tonnes de harengs se sont retrouvés échoués sur une plage de la région.
Tromsø est la neuvième plus grande ville en Norvège. La ville est connue pour être beaucoup plus chaude que la plupart des autres endroits situés sur la même latitude, en raison du réchauffement qu'apporte sur sa côte le courant du Gulf Stream.
Déjà diverses rumeurs abondent concernant cette catastrophe, mais personne ne sait avec certitude ce qui s'est réellement passé sur la plage de la petite municipalité de Nordreisa.
C'est Jan-Petter Jorgensen (44 ans), qui a découvert l’hécatombe au petit matin du 1 janvier 2012, alors qu'il se promenait sur la plage avec son chien.
Des témoins assurent que le même phénomène s’était déjà produit dans les années 80, et nombreux sont ceux qui spéculent sur une possible pollution de la rivière qui se jette dans l'océan juste derrière un petit promontoire visible depuis la plage.
D'autres explique que cette hécatombe est due à un manque d'oxygène, ou encore par un apport trop important d'eau douce par la rivière?
Jan-Petter Jorgensen estime quant à lui que chaque poisson doit pesé entre les 100 et 150 grammes, et que la totalité des poissons échoués pourrait faire environ 20 tonnes.
Même si tous sont inquiets, il faut de toute urgence enlever ces carcasses.
Source dagbladet.no / trad anglaise: extinction protocole et trad française Nature Alerte
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16:01
Prés de 40 000 personnes et 11 000 maisons ont été touché par des inondations subites dans le centre de l'ile de Java, après la rupture de trois digues le long du fleuve Kabuyutan.
Les digues de Ciapit, Bancang et Kabuyutan se sont apparemment effondré, entraînant des inondations dans des dizaines de villages dans le centre de l'ile.
Un tronçon de plus d'1 km reliant les villes de Semarang et de Jarkarta a également été inondé, provoquant un embouteillage monstre, en particulier dans la région de Semarang.
Source regional.kompas.com
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Les digues de Ciapit, Bancang et Kabuyutan se sont apparemment effondré, entraînant des inondations dans des dizaines de villages dans le centre de l'ile.
Un tronçon de plus d'1 km reliant les villes de Semarang et de Jarkarta a également été inondé, provoquant un embouteillage monstre, en particulier dans la région de Semarang.
Source regional.kompas.com
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12:39
Dimanche, une cinquantaine de personnes ont été évacué de leurs maisons de la banlieue de Trondheim au centre de la Norvège et troisième ville du pays, suite à un énorme glissement de terrain.
Aucune victime n'a été signalé.
Une rivière de boue noire s'est répandue sur environ un kilomètre et se déplaçait à travers la région . Des géologues ont été envoyés pour survoler la zone par hélicoptère et tenter d' évaluer le danger, a déclaré le responsable de la police Tore Kyllo.
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Aucune victime n'a été signalé.
Une rivière de boue noire s'est répandue sur environ un kilomètre et se déplaçait à travers la région . Des géologues ont été envoyés pour survoler la zone par hélicoptère et tenter d' évaluer le danger, a déclaré le responsable de la police Tore Kyllo.
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11:52
Après les provinces du Nord durant plusieurs mois, c'est au tour des province méridionales de la Thaïlande ( Songkhla, Yala, Nakhon Si Thammarat) de connaître des inondations qui ont fait une victime et des dommages matériels notables.
Huit districts ont été déclarés en “état de catastrophe”. Dans certains endroits, le niveau de l’eau est monté jusqu‘à deux mètres. Une importante voie ferrée, qui mène à la frontière avec la Malaisie, a été coupée par les eaux.
Dans le district de Na Thawee, un important hôpital a été inondé, contraignant les autorités évacuer les résidents du premier étage aux étages supérieurs.
A Sadao, 150 familles ont été évacuées dans un temple.
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Huit districts ont été déclarés en “état de catastrophe”. Dans certains endroits, le niveau de l’eau est monté jusqu‘à deux mètres. Une importante voie ferrée, qui mène à la frontière avec la Malaisie, a été coupée par les eaux.
Dans le district de Na Thawee, un important hôpital a été inondé, contraignant les autorités évacuer les résidents du premier étage aux étages supérieurs.
A Sadao, 150 familles ont été évacuées dans un temple.
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11:26
Un puissant séisme, de magnitude 7, s'est produit dimanche en début d'après-midi (heure locale) à Tokyo et dans sa région, mais il a eu lieu à une grande profondeur et aucune alerte au tsunami n'a été émise, a indiqué l'Agence météorologique japonaise.
La secousse a eu lieu à 14H28 (05H28 GMT), a précisé l'agence.
L'épicentre était situé près de Torishima, une île à environ 560 km au sud de la capitale japonaise. La profondeur était de 370 km, selon l'agence japonaise et de 348 km, selon l'Institut de géophysique américain (USGS).
Le séisme a fait vaciller les immeubles de Tokyo --dont la plupart sont construits selon des normes antisismiques très strictes--, mais il n'a pas interrompu la finale du tournoi de football de la Coupe de l'empereur, dans le stade national de la capitale.
Il n'y a pas eu de victimes, selon les premières informations.
Les trains et les avions au départ ou à l'arrivée de la capitale n'ont pas été affectés par la secousse.
À Disneyland Tokyo, certaines attractions se sont arrêtées automatiquement, mais les activités ont très vite repris, a indiqué un porte-parole du parc.
Le 11 mars, un tremblement de terre de magnitude 9 avait provoqué un gigantesque raz de marée dans le nord-est du Japon. En déferlant sur les côtes, il avait tout détruit sur son passage, déclenchant une série d'avaries à la centrale atomique Fukushima Daiichi, provoquant le plus grave accident nucléaire depuis Tchernobyl (Ukraine) en 1986.
Quelque 20 000 personnes sont mortes ont ou été portées disparues dans la catastrophe.
Dans son message de Nouvel An, l'empereur Akihito a déclaré: «notre pays traverse des temps difficiles à cause du tremblement de terre et d'autres facteurs».
«Mais j'espère que les coeurs des gens seront toujours avec ceux qui ont souffert et que tous continueront de travailler ensemble pour construire des lendemains meilleurs», a-t-il ajouté.
Source AFP
Puissant séisme ressenti à Tokyo, pas d’alerte... par BFMTV
...Le même jour dans le pays le volcan Sakurajima est entrée de nouveau en éruption , est ce que les deux évènements sont liés?....
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La secousse a eu lieu à 14H28 (05H28 GMT), a précisé l'agence.
L'épicentre était situé près de Torishima, une île à environ 560 km au sud de la capitale japonaise. La profondeur était de 370 km, selon l'agence japonaise et de 348 km, selon l'Institut de géophysique américain (USGS).
Le séisme a fait vaciller les immeubles de Tokyo --dont la plupart sont construits selon des normes antisismiques très strictes--, mais il n'a pas interrompu la finale du tournoi de football de la Coupe de l'empereur, dans le stade national de la capitale.
Il n'y a pas eu de victimes, selon les premières informations.
Les trains et les avions au départ ou à l'arrivée de la capitale n'ont pas été affectés par la secousse.
À Disneyland Tokyo, certaines attractions se sont arrêtées automatiquement, mais les activités ont très vite repris, a indiqué un porte-parole du parc.
Le 11 mars, un tremblement de terre de magnitude 9 avait provoqué un gigantesque raz de marée dans le nord-est du Japon. En déferlant sur les côtes, il avait tout détruit sur son passage, déclenchant une série d'avaries à la centrale atomique Fukushima Daiichi, provoquant le plus grave accident nucléaire depuis Tchernobyl (Ukraine) en 1986.
Quelque 20 000 personnes sont mortes ont ou été portées disparues dans la catastrophe.
Dans son message de Nouvel An, l'empereur Akihito a déclaré: «notre pays traverse des temps difficiles à cause du tremblement de terre et d'autres facteurs».
«Mais j'espère que les coeurs des gens seront toujours avec ceux qui ont souffert et que tous continueront de travailler ensemble pour construire des lendemains meilleurs», a-t-il ajouté.
Source AFP
Puissant séisme ressenti à Tokyo, pas d’alerte... par BFMTV
...Le même jour dans le pays le volcan Sakurajima est entrée de nouveau en éruption , est ce que les deux évènements sont liés?....
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11:24
Une série de tremblements de terre a secoué dimanche la ville de Christchurch, en Nouvelle Zélande.
Pas moins de neuf séismes ont été mesurés, dont deux supérieurs à 5 sur l'échelle de Richter.
Aucun dégât ni aucune victimes n'ont été déclaré. Dix mille foyers ont toutefois été privés de courant pendant quelques heures.
Plus de 180 personnes avaient perdu la vie en février dernier lors d'un important séisme. Une secousse avait déjà surpris les habitants de Christchurch avant Noël.
Source © AP
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Pas moins de neuf séismes ont été mesurés, dont deux supérieurs à 5 sur l'échelle de Richter.
Aucun dégât ni aucune victimes n'ont été déclaré. Dix mille foyers ont toutefois été privés de courant pendant quelques heures.
Plus de 180 personnes avaient perdu la vie en février dernier lors d'un important séisme. Une secousse avait déjà surpris les habitants de Christchurch avant Noël.
Source © AP
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dimanche 1 janvier 2012
00:02
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