...
vendredi 10 février 2012
12:48
Pas moins de 55 flamants roses ont été ramassés morts mercredi dans les zones humides autour de Gruissan.
Le vent et le froid qui sévissent sur les bords de la Méditerranée dans l'Aude déciment les flamants roses, qui succombent à l'épuisement ou meurent les pattes prises dans la glace, ont indiqué différents acteurs venus à leur secours mercredi.
"On a un vent à 90 km/h, il fait moins sept degrés"
Pas moins de 55 flamants roses ont été ramassés morts mercredi dans les zones humides autour de Gruissan, localité proche de Narbonne et de la Méditerranée, indique le major Gérard Azibert, à la tête des pompiers locaux. Encore les pompiers, les employés municipaux et les membres des organisations de chasse qui ont fait le tour des étangs et des salins n'ont-ils ramassé que les échassiers qui étaient accessibles, a-t-il dit.
"Il faut peut-être multiplier par trois (le chiffre de 55) pour être proche de la réalité" des flamants tués par le froid, dit-il. "On a un vent à 90 km/h, il fait moins sept degrés - ce qui est très rare ici -, mais le froid ressenti doit être à moins 17, les étangs et les plans d'eau de la commune sont gelés", a expliqué Roger Lopez, adjoint au maire.
Les flamants se laissent prendre les pattes dans la glace, les brisent en essayant de se libérer, ou meurent sans cela de froid et de fatigue, dit-il. Leur venir en aide est malaisé parce que les échassiers, quand ils ont encore assez d'énergie, ne se laissent pas approcher. Les pompiers de Gruissan en ont quand même récupéré neuf vivants, dont huit ont survécu et se rétablissaient dans un enclos spécialement construit pour eux dans la caserne, dans un coin du hangar aux camions.
Un peu pris de court par le régime alimentaire des flamants roses qui se nourrissent de microcrustacés pas faciles à trouver, les pompiers ont fini par se procurer des granules spécialement conçus pour les échassiers. Autre difficulté à surmonter : rétablir la circulation sanguine dans les pattes des plus faibles, faute de quoi ils seraient morts. A l'aide de tissus, les pompiers leur ont fabriqué des culottes laissant passer les pattes et permettant de les suspendre pour les maintenir en position verticale malgré leur faiblesse, a raconté le major Azibert.
Ces survivants pourraient être transportés jeudi au parc ornithologique de Pont de Gau, en Camargue, a-t-il dit. C'est de Camargue que viendraient une grande partie des flamants roses de Gruissan. Mais, s'est étonné l'adjoint au maire, certains des oiseaux ramassés mercredi portaient des bagues d'Espagne, d'Italie et même d'une grande institution parisienne d'histoire naturelle. Il chiffre à quelques centaines les flamants roses installés dans les zones humides de la commune.
Trois cents autres, originaires du Chili et de Cuba, vivent dans la réserve africaine de Sigean, de l'autre côté des étangs. La réserve a dit ne pas avoir à déplorer de pertes dans sa population de flamants roses, qui se sont mis au sec d'eux-mêmes. Elle a installé pour eux des branchages en guise de coupe-vent, de même qu'elle a pris des dispositions pour le reste de ses 3 800 animaux. Les soignants gardent au chaud les éléphants, les chimpanzés, les rhinocéros, les lions et les girafes. Ils distribuent davantage de nourriture et veillent constamment à briser la glace des abreuvoirs pour que les animaux puissent boire, a dit un porte-parole.
Source Midilibre
Le vent et le froid qui sévissent sur les bords de la Méditerranée dans l'Aude déciment les flamants roses, qui succombent à l'épuisement ou meurent les pattes prises dans la glace, ont indiqué différents acteurs venus à leur secours mercredi.
"On a un vent à 90 km/h, il fait moins sept degrés"
Pas moins de 55 flamants roses ont été ramassés morts mercredi dans les zones humides autour de Gruissan, localité proche de Narbonne et de la Méditerranée, indique le major Gérard Azibert, à la tête des pompiers locaux. Encore les pompiers, les employés municipaux et les membres des organisations de chasse qui ont fait le tour des étangs et des salins n'ont-ils ramassé que les échassiers qui étaient accessibles, a-t-il dit.
"Il faut peut-être multiplier par trois (le chiffre de 55) pour être proche de la réalité" des flamants tués par le froid, dit-il. "On a un vent à 90 km/h, il fait moins sept degrés - ce qui est très rare ici -, mais le froid ressenti doit être à moins 17, les étangs et les plans d'eau de la commune sont gelés", a expliqué Roger Lopez, adjoint au maire.
Les flamants se laissent prendre les pattes dans la glace, les brisent en essayant de se libérer, ou meurent sans cela de froid et de fatigue, dit-il. Leur venir en aide est malaisé parce que les échassiers, quand ils ont encore assez d'énergie, ne se laissent pas approcher. Les pompiers de Gruissan en ont quand même récupéré neuf vivants, dont huit ont survécu et se rétablissaient dans un enclos spécialement construit pour eux dans la caserne, dans un coin du hangar aux camions.
Un peu pris de court par le régime alimentaire des flamants roses qui se nourrissent de microcrustacés pas faciles à trouver, les pompiers ont fini par se procurer des granules spécialement conçus pour les échassiers. Autre difficulté à surmonter : rétablir la circulation sanguine dans les pattes des plus faibles, faute de quoi ils seraient morts. A l'aide de tissus, les pompiers leur ont fabriqué des culottes laissant passer les pattes et permettant de les suspendre pour les maintenir en position verticale malgré leur faiblesse, a raconté le major Azibert.
Ces survivants pourraient être transportés jeudi au parc ornithologique de Pont de Gau, en Camargue, a-t-il dit. C'est de Camargue que viendraient une grande partie des flamants roses de Gruissan. Mais, s'est étonné l'adjoint au maire, certains des oiseaux ramassés mercredi portaient des bagues d'Espagne, d'Italie et même d'une grande institution parisienne d'histoire naturelle. Il chiffre à quelques centaines les flamants roses installés dans les zones humides de la commune.
Trois cents autres, originaires du Chili et de Cuba, vivent dans la réserve africaine de Sigean, de l'autre côté des étangs. La réserve a dit ne pas avoir à déplorer de pertes dans sa population de flamants roses, qui se sont mis au sec d'eux-mêmes. Elle a installé pour eux des branchages en guise de coupe-vent, de même qu'elle a pris des dispositions pour le reste de ses 3 800 animaux. Les soignants gardent au chaud les éléphants, les chimpanzés, les rhinocéros, les lions et les girafes. Ils distribuent davantage de nourriture et veillent constamment à briser la glace des abreuvoirs pour que les animaux puissent boire, a dit un porte-parole.
Source Midilibre
12:44
Le VAAC de Darwin a rapporté ce matin la présence, à environ 2500 m d'altitude, d'un panache de cendres produit par le Lokon-Empung. Le niveau d'alerte aviation est maintenu à l'orange.
le Karangetang et le Semeru, le Lokon est l'un des 3 volcans indonésiens encore maintenus en alerte de niveau 3 (sur une échelle de 4).
Le volcan vient de connaître une nouvelle crise éruptive ce vendredi matin, avec des nuages de cendre montant jusqu'à 2 km de hauteur. Les autorités ont demandé à la population de se maintenir loin du volcan autour duquel existe déjà une zone de sécurité de 2,5 km de rayon.
D'après le journal indonésien The Jakarta Globe, les personnes vivant dans un rayon de 3,5 km à l'est du cratère ont été invitées à quitter leurs domiciles.
Source : VAAC de Darwin.
le Karangetang et le Semeru, le Lokon est l'un des 3 volcans indonésiens encore maintenus en alerte de niveau 3 (sur une échelle de 4).
Le volcan vient de connaître une nouvelle crise éruptive ce vendredi matin, avec des nuages de cendre montant jusqu'à 2 km de hauteur. Les autorités ont demandé à la population de se maintenir loin du volcan autour duquel existe déjà une zone de sécurité de 2,5 km de rayon.
D'après le journal indonésien The Jakarta Globe, les personnes vivant dans un rayon de 3,5 km à l'est du cratère ont été invitées à quitter leurs domiciles.
Source : VAAC de Darwin.
jeudi 9 février 2012
22:07
Pas de stabilisation du climat sans géo-ingénierie
Les climatologues français ont rendu publics, ce matin, les premiers résultats de deux exercices de simulation climatique, réalisés pour le Giec. Pessimistes, ces modélisations montrent notamment que sans extraction du CO2 de l’atmosphère, il n’est pas question de stabiliser les températures.
La fine fleur de la climatologie française présentait, ce matin, les premiers résultats des deux dernières simulations hexagonales (l’une menée par une équipe conduite par Météo France, l’autre par l’institut Pierre-Simon Laplace, IPSL) pour le prochain rapport d’évaluation du Giec (1).
Fruit de décennies de recherche et de modélisation, ces simulations sont essentielles. «La seule façon que nous ayons de regarder vers le futur c’est de s’appuyer sur des modèles, car il n’y a pas d’analogie dans le passé de ce vers quoi nous allons», explique Jean Jouzel, du Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (CEA-CNRS-UVSQ).
Certes, ce n’est pas la première fois que les scientifiques ont recours à ces fantastiques logiciels. Mais d’année en année, ceux-ci se perfectionnent. «D’une façon générale, précise Jean-Louis Dufresne, ils prennent en compte l’atmosphère, les océans, les glaces de mer, les surfaces continentales, les lois physiques et chimiques.»
Ils permettent aussi de répondre à des questionnements (la variabilité de l’activité solaire est-elle responsable des changements climatiques), de réaliser des expériences (80 sont en cours).
Ils sont aussi l’indispensable outil pour mieux appréhender le futur. Les puissances de calcul bondissant, la résolution spatiale des changements climatiques s’affine d’un facteur 2.
Ce qui oblige à mobiliser toujours plus d’ordinateurs et de capacités de stockage de données. «Par rapport aux simulations que nous avons faites pour le précédent rapport du Giec, le coût calcul s’est accru d’un facteur 30 et la capacité de stockage de données a dû être multipliée par 70», avance le responsable du centre de modélisation du climat et directeur adjoint de l’IPSL.
C’est grâce à l’accroissement de cette puissance de calcul que les chercheurs ont affiné la résolution des projections, savent mieux représenter certains phénomènes physiques (la formation des nuages, par exemple), et prennent en compte de nouveaux aérosols (suies, poussières), l’ozone et l’évolution de l’usage des sols.
Suivant les préconisations du Giec, ces travaux ont aussi pour objectif de visualiser, avec plus ou moins de réussite, l’évolution du climat à court terme, de l’ordre de la décennie. «Cela doit aider, par exemple, les responsables des collectivités qui réalisent des plans Climat territoriaux à évaluer les risques d’évolution des zones inondables», précise Stéphane Halegatte, chercheur au Centre international de recherche sur l’environnement et le développement (Cired).
Autre nouveauté: les modélisateurs ont travaillé de concert avec des économistes pour effectuer des projections climatiques et des scénarios socio-économiques.
Outil de projection dans l’avenir, les modélisations servent aussi à infirmer certaines hypothèses. La plus connue, puisque portée par les climato-sceptiques, est la responsabilité de l’activité solaire dans le déclenchement des changements climatiques. «En reconstituant l’évolution du climat du XXe siècle, avec les variations d’activité solaire et les éruptions volcaniques, nous avons montré que le réchauffement ne peut être expliqué sans prendre en compte les activités humaines», indique Jean-Louis Dufresne.
En termes d’évolution de la température moyenne globale, les chercheurs français ont défini 4 scénarios couvrant les années 2000-2300: de la stabilité du réchauffement à +2°C en 2100, par rapport à l’ère pré-industrielle (dit RCP 2,6) à un réchauffement de 3,5 à 5°C entre les années 1990-2090 (RCP 8,5). En ce cas, les températures moyennes globales connaitraient, en un siècle, une évolution comparable à celle mesurée depuis le dernier maximum glaciaire, il y a 21.000 ans.
En accord avec les dernières conclusions du Giec, les deux modèles tricolores réaffirment une augmentation significative des précipitations annuelles aux hautes latitudes, sur le Pacifique équatorial, mais une diminution dans les latitudes subtropicales.
Contrairement aux scénarios développés pour le 4e rapport d’évaluation du Giec, paru en 2007, les modélisations tricolores se projettent jusqu’en 2300. Dans le scénario RCP 8,5, la température moyenne globale pourrait bondir de 12°C entre la fin du XXe siècle et le début du XXIVe siècle. A contrario, le scénario RCP 2,6 évoque une stabilisation, sur le long terme, d’une température à peine d’un degré supérieure à celle que nous connaissons aujourd’hui.
Les simulations françaises prennent aussi en compte le couplage entre le climat et le cycle du carbone. Résultat: quel que soit le scénario retenu, les puits de carbone (l’océan, les forêts) perdent en efficacité. Après 2100, annoncent les scénarios pessimistes, les continents deviennent émetteurs nets de carbone.
Les scientifiques ont aussi estimé les trajectoires d’émissions compatibles avec chaque scénario. Pour le plus optimiste (RCP 2,6), explique Stéphane Halegatte,
«il faudrait une action mondiale immédiate, extrêmement violente, portant tout à la fois sur la baisse des émissions de combustibles fossiles et sur les occupations de sols». Mais pas seulement.
Car, indique-t-on dans le dossier de presse, «pour limiter le réchauffement à 2°C, il faudrait rapidement diminuer les émissions anthropiques, et atteindre des émissions négatives».
En clair, lancer une «action anthropique permettant de prélever directement du CO2 de l’atmosphère». Le tabou est désormais levé.
A moins de rapidement mettre en batterie des millions d’arbres synthétiques ou de déclencher des blooms géants de phytoplancton, plus d’espoir «d’empêcher toute perturbation anthropique dangereuse du système climatique», comme nous le commande la convention-cadre de l’ONU sur les changements climatiques.
(1) Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat
Source IPSL
...voici maintenant plus de 6 ans que de nombreux internautes et le site de nature alerte tentent désespérément d'alerter la population au très grave danger que représentent les chemtrails et la géo-ingienerie en général.
Depuis une petite année les médias classiques se réveillent (...journaux télé radio...) et s'emparent du phénomène, et ce pour tenter de contrer et de mieux contrôler la communication qui est maintenant devenue obligatoire face à l'ampleur de la diffusion des chemtrails partout dans le monde. Mais surtout pour contrer la montée du mécontentement généralisé.
Hors depuis quelques mois une multitude de mensonges circulent maintenant concernant leurs utilisations, certains essayent même de présenter la geo-ingienerie comme en étant qu'à ses balbutiements, incroyable mais vrai.
... Mais pour être bref..
...imaginez seulement les effets des retombées de ces particules (dont nous ne connaissons que partiellement les cocktails employés) sur la surface de la planète , et ce à la fois pour votre santé mais aussi pour les dégâts que leurs diffusions permanentes causent aux sols et aux cultures, aux rivières et au lacs, aux forets et même à vos potagers, aux animaux sauvages et domestiques, bref à l'environnement dans son ensemble.
Mais surtout sachez que voilà déjà plus de cinq ans qu'en France nous en somme victimes tous les jours, il vous suffit juste de lever les yeux pour le constater sans aucun doute possible...
Et pour ceux qui doutent toujours de l'emploi massif de cette technologie dans le monde voici une petite vidéo zapping qui risque de vous ouvrir les yeux et les oreilles, et vous rappellera combien nous sommes vulnérables dans un monde devenu complétement fou et totalement effrayant.
...Bref l'horreur vous dis je...
Les climatologues français ont rendu publics, ce matin, les premiers résultats de deux exercices de simulation climatique, réalisés pour le Giec. Pessimistes, ces modélisations montrent notamment que sans extraction du CO2 de l’atmosphère, il n’est pas question de stabiliser les températures.
La fine fleur de la climatologie française présentait, ce matin, les premiers résultats des deux dernières simulations hexagonales (l’une menée par une équipe conduite par Météo France, l’autre par l’institut Pierre-Simon Laplace, IPSL) pour le prochain rapport d’évaluation du Giec (1).
Fruit de décennies de recherche et de modélisation, ces simulations sont essentielles. «La seule façon que nous ayons de regarder vers le futur c’est de s’appuyer sur des modèles, car il n’y a pas d’analogie dans le passé de ce vers quoi nous allons», explique Jean Jouzel, du Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (CEA-CNRS-UVSQ).
Certes, ce n’est pas la première fois que les scientifiques ont recours à ces fantastiques logiciels. Mais d’année en année, ceux-ci se perfectionnent. «D’une façon générale, précise Jean-Louis Dufresne, ils prennent en compte l’atmosphère, les océans, les glaces de mer, les surfaces continentales, les lois physiques et chimiques.»
Ils permettent aussi de répondre à des questionnements (la variabilité de l’activité solaire est-elle responsable des changements climatiques), de réaliser des expériences (80 sont en cours).
Ils sont aussi l’indispensable outil pour mieux appréhender le futur. Les puissances de calcul bondissant, la résolution spatiale des changements climatiques s’affine d’un facteur 2.
Ce qui oblige à mobiliser toujours plus d’ordinateurs et de capacités de stockage de données. «Par rapport aux simulations que nous avons faites pour le précédent rapport du Giec, le coût calcul s’est accru d’un facteur 30 et la capacité de stockage de données a dû être multipliée par 70», avance le responsable du centre de modélisation du climat et directeur adjoint de l’IPSL.
C’est grâce à l’accroissement de cette puissance de calcul que les chercheurs ont affiné la résolution des projections, savent mieux représenter certains phénomènes physiques (la formation des nuages, par exemple), et prennent en compte de nouveaux aérosols (suies, poussières), l’ozone et l’évolution de l’usage des sols.
Suivant les préconisations du Giec, ces travaux ont aussi pour objectif de visualiser, avec plus ou moins de réussite, l’évolution du climat à court terme, de l’ordre de la décennie. «Cela doit aider, par exemple, les responsables des collectivités qui réalisent des plans Climat territoriaux à évaluer les risques d’évolution des zones inondables», précise Stéphane Halegatte, chercheur au Centre international de recherche sur l’environnement et le développement (Cired).
Autre nouveauté: les modélisateurs ont travaillé de concert avec des économistes pour effectuer des projections climatiques et des scénarios socio-économiques.
Outil de projection dans l’avenir, les modélisations servent aussi à infirmer certaines hypothèses. La plus connue, puisque portée par les climato-sceptiques, est la responsabilité de l’activité solaire dans le déclenchement des changements climatiques. «En reconstituant l’évolution du climat du XXe siècle, avec les variations d’activité solaire et les éruptions volcaniques, nous avons montré que le réchauffement ne peut être expliqué sans prendre en compte les activités humaines», indique Jean-Louis Dufresne.
En termes d’évolution de la température moyenne globale, les chercheurs français ont défini 4 scénarios couvrant les années 2000-2300: de la stabilité du réchauffement à +2°C en 2100, par rapport à l’ère pré-industrielle (dit RCP 2,6) à un réchauffement de 3,5 à 5°C entre les années 1990-2090 (RCP 8,5). En ce cas, les températures moyennes globales connaitraient, en un siècle, une évolution comparable à celle mesurée depuis le dernier maximum glaciaire, il y a 21.000 ans.
En accord avec les dernières conclusions du Giec, les deux modèles tricolores réaffirment une augmentation significative des précipitations annuelles aux hautes latitudes, sur le Pacifique équatorial, mais une diminution dans les latitudes subtropicales.
Contrairement aux scénarios développés pour le 4e rapport d’évaluation du Giec, paru en 2007, les modélisations tricolores se projettent jusqu’en 2300. Dans le scénario RCP 8,5, la température moyenne globale pourrait bondir de 12°C entre la fin du XXe siècle et le début du XXIVe siècle. A contrario, le scénario RCP 2,6 évoque une stabilisation, sur le long terme, d’une température à peine d’un degré supérieure à celle que nous connaissons aujourd’hui.
Les simulations françaises prennent aussi en compte le couplage entre le climat et le cycle du carbone. Résultat: quel que soit le scénario retenu, les puits de carbone (l’océan, les forêts) perdent en efficacité. Après 2100, annoncent les scénarios pessimistes, les continents deviennent émetteurs nets de carbone.
Les scientifiques ont aussi estimé les trajectoires d’émissions compatibles avec chaque scénario. Pour le plus optimiste (RCP 2,6), explique Stéphane Halegatte,
«il faudrait une action mondiale immédiate, extrêmement violente, portant tout à la fois sur la baisse des émissions de combustibles fossiles et sur les occupations de sols». Mais pas seulement.
Car, indique-t-on dans le dossier de presse, «pour limiter le réchauffement à 2°C, il faudrait rapidement diminuer les émissions anthropiques, et atteindre des émissions négatives».
En clair, lancer une «action anthropique permettant de prélever directement du CO2 de l’atmosphère». Le tabou est désormais levé.
A moins de rapidement mettre en batterie des millions d’arbres synthétiques ou de déclencher des blooms géants de phytoplancton, plus d’espoir «d’empêcher toute perturbation anthropique dangereuse du système climatique», comme nous le commande la convention-cadre de l’ONU sur les changements climatiques.
(1) Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat
Source IPSL
...voici maintenant plus de 6 ans que de nombreux internautes et le site de nature alerte tentent désespérément d'alerter la population au très grave danger que représentent les chemtrails et la géo-ingienerie en général.
Depuis une petite année les médias classiques se réveillent (...journaux télé radio...) et s'emparent du phénomène, et ce pour tenter de contrer et de mieux contrôler la communication qui est maintenant devenue obligatoire face à l'ampleur de la diffusion des chemtrails partout dans le monde. Mais surtout pour contrer la montée du mécontentement généralisé.
Hors depuis quelques mois une multitude de mensonges circulent maintenant concernant leurs utilisations, certains essayent même de présenter la geo-ingienerie comme en étant qu'à ses balbutiements, incroyable mais vrai.
... Mais pour être bref..
...imaginez seulement les effets des retombées de ces particules (dont nous ne connaissons que partiellement les cocktails employés) sur la surface de la planète , et ce à la fois pour votre santé mais aussi pour les dégâts que leurs diffusions permanentes causent aux sols et aux cultures, aux rivières et au lacs, aux forets et même à vos potagers, aux animaux sauvages et domestiques, bref à l'environnement dans son ensemble.
Mais surtout sachez que voilà déjà plus de cinq ans qu'en France nous en somme victimes tous les jours, il vous suffit juste de lever les yeux pour le constater sans aucun doute possible...
Et pour ceux qui doutent toujours de l'emploi massif de cette technologie dans le monde voici une petite vidéo zapping qui risque de vous ouvrir les yeux et les oreilles, et vous rappellera combien nous sommes vulnérables dans un monde devenu complétement fou et totalement effrayant.
...Bref l'horreur vous dis je...
20:14
L’eau est essentielle à la vie et à l’agriculture. Une étude révèle l'origine des eaux utilisées dans le monde pour irriguer les champs.
Résultat : 20 % des ressources utilisées proviendraient de sources épuisables. Ce nombre a été multiplié par trois en quarante ans. Le réchauffement climatique aurait aussi son mot à dire. En cas de crise, l’ensemble de la Planète sera concerné...
Une sécheresse a sévi en France durant l’année 2011. De nombreux cultivateurs se sont retrouvés dépourvus face au phénomène. Cet événement nous rappelle à quel point l’agriculture est dépendante de l’eau, et donc, dans beaucoup de cas, des systèmes d’irrigation.
À l'échelle de la Planète, 17 % des champs seraient équipés de dispositifs d’arrosage. Ils fourniraient à eux seuls 40 % à la production mondiale agricole.
L’eau utilisée en agriculture peut avoir plusieurs origines. Les eaux vertes proviennent des précipitations. Elles sont stockées temporairement dans les sols. Les eaux bleues sont pompées dans les rivières, les lacs ou encore dans les nappes phréatiques, mais de manière durable. La troisième source correspond aux eaux extraites de réserves qui se renouvellent peu ou pas.
Des chercheurs de l’université d’Utrecht (Pays-Bas), menés par Marc Bierkens, ont décidé d’étudier la provenance des eaux d’irrigation utilisées dans le monde. Leurs résultats, publiés dans Water Resources Research, sont inquiétants.
Le recours à des ressources d'eau sans réelle gestion durable a triplé entre 1960 et 2000, passant de 75 à 234 km3 par an. Mais qu'arrivera-t-il lorsque les réserves seront épuisées?
Les scientifiques ont utilisé des données géographiques, hydrographiques et satellitaires pour modéliser et cartographier la consommation en eau dans l’agriculture mondiale. Leur programme ne se borne pas aux frontières d’un pays. Il permet d’étudier chaque région du Globe. Les résultats importants sont repris ci-dessous.
En 2000, près de 20 % de l’eau d’irrigation provenaient de sources qui ne sont pas durables. À elle seule, l’Inde a extrait 68 km3 de cette ressource en 1 an. Elle est suivie par le Pakistan (35 km3/an), les États-Unis (30 km3/an), l’Iran (30 km3/an), la Chine (20 km3/an), le Mexique (10 km3/an) et enfin, l’Arabie Saoudite (10 km3/an).
Ces eaux sont principalement utilisées dans des régions semi-arides.
Certaines contrées utilisent majoritairement des eaux fossiles. Sans surprise, ces pays sont : le Qatar, les Émirats arabes unis, l’Arabie Saoudite et la Lybie. Ils sont souvent cités en exemple pour illustrer le phénomène du verdissement des déserts.
Conséquences économiques mondiales
Plus surprenant, certains pays recourant principalement aux eaux bleues (lacs et rivières) et vertes (pluies) pourraient se retrouver en déficit hydrique à cause du réchauffement climatique (diminution de la pluviométrie). L’Algérie, le Maroc, l’Espagne et l’Italie sont particulièrement concernés.
En cas de pénuries d’eau, les conséquences économiques se ressentiraient à l’échelle planétaire. La France n’importe-t-elle pas d’énormes quantités de fruits et légumes d’Espagne et du Maroc, deux pays cités ci-dessus ? Que se passerait-il sur le prix des aliments si ceux-ci venaient à se raréfier ?
Une diminution de la production agricole mondiale pourrait également avoir de graves conséquences sanitaires alors que la population ne cesse d’augmenter…
Cette étude a le mérite de rappeler l’urgence de la situation dans laquelle nous nous trouvons face à la problématique de l'irrigation de nos terres agricoles.
Source © Quentin Mauguit, Futura-Sciences
______________________________________________________________________________________________
___________________________________________________________________________________________
Résultat : 20 % des ressources utilisées proviendraient de sources épuisables. Ce nombre a été multiplié par trois en quarante ans. Le réchauffement climatique aurait aussi son mot à dire. En cas de crise, l’ensemble de la Planète sera concerné...
Une sécheresse a sévi en France durant l’année 2011. De nombreux cultivateurs se sont retrouvés dépourvus face au phénomène. Cet événement nous rappelle à quel point l’agriculture est dépendante de l’eau, et donc, dans beaucoup de cas, des systèmes d’irrigation.
À l'échelle de la Planète, 17 % des champs seraient équipés de dispositifs d’arrosage. Ils fourniraient à eux seuls 40 % à la production mondiale agricole.
L’eau utilisée en agriculture peut avoir plusieurs origines. Les eaux vertes proviennent des précipitations. Elles sont stockées temporairement dans les sols. Les eaux bleues sont pompées dans les rivières, les lacs ou encore dans les nappes phréatiques, mais de manière durable. La troisième source correspond aux eaux extraites de réserves qui se renouvellent peu ou pas.
Des chercheurs de l’université d’Utrecht (Pays-Bas), menés par Marc Bierkens, ont décidé d’étudier la provenance des eaux d’irrigation utilisées dans le monde. Leurs résultats, publiés dans Water Resources Research, sont inquiétants.
Le recours à des ressources d'eau sans réelle gestion durable a triplé entre 1960 et 2000, passant de 75 à 234 km3 par an. Mais qu'arrivera-t-il lorsque les réserves seront épuisées?
Les scientifiques ont utilisé des données géographiques, hydrographiques et satellitaires pour modéliser et cartographier la consommation en eau dans l’agriculture mondiale. Leur programme ne se borne pas aux frontières d’un pays. Il permet d’étudier chaque région du Globe. Les résultats importants sont repris ci-dessous.
En 2000, près de 20 % de l’eau d’irrigation provenaient de sources qui ne sont pas durables. À elle seule, l’Inde a extrait 68 km3 de cette ressource en 1 an. Elle est suivie par le Pakistan (35 km3/an), les États-Unis (30 km3/an), l’Iran (30 km3/an), la Chine (20 km3/an), le Mexique (10 km3/an) et enfin, l’Arabie Saoudite (10 km3/an).
Ces eaux sont principalement utilisées dans des régions semi-arides.
Certaines contrées utilisent majoritairement des eaux fossiles. Sans surprise, ces pays sont : le Qatar, les Émirats arabes unis, l’Arabie Saoudite et la Lybie. Ils sont souvent cités en exemple pour illustrer le phénomène du verdissement des déserts.
Conséquences économiques mondiales
Plus surprenant, certains pays recourant principalement aux eaux bleues (lacs et rivières) et vertes (pluies) pourraient se retrouver en déficit hydrique à cause du réchauffement climatique (diminution de la pluviométrie). L’Algérie, le Maroc, l’Espagne et l’Italie sont particulièrement concernés.
En cas de pénuries d’eau, les conséquences économiques se ressentiraient à l’échelle planétaire. La France n’importe-t-elle pas d’énormes quantités de fruits et légumes d’Espagne et du Maroc, deux pays cités ci-dessus ? Que se passerait-il sur le prix des aliments si ceux-ci venaient à se raréfier ?
Une diminution de la production agricole mondiale pourrait également avoir de graves conséquences sanitaires alors que la population ne cesse d’augmenter…
Cette étude a le mérite de rappeler l’urgence de la situation dans laquelle nous nous trouvons face à la problématique de l'irrigation de nos terres agricoles.
Source © Quentin Mauguit, Futura-Sciences
______________________________________________________________________________________________
___________________________________________________________________________________________
19:36
Des nuages à la forme très étrange ont été aperçus au-dessus de la ville de Panama Beach en Floride.
C'est un pilote d'hélicoptère, JR Hott, qui a photographié cette image spectaculaire ce mardi. Sur celle-ci, on voit clairement ces nuages impressionnants qui semblent traverser les grattes-ciel de Panama Beach.
"J'ai pris cette photo en pensant que c'était vraiment cool, et je l'ai postée sur Facebook", confie JR Hott qui attribue ce phénomène à une onde orographique- un phénomène atmosphérique qui se produit généralement lorsqu'il y a du brouillard dans un relief montagneux. "On peut voir ça plusieurs fois par an. Ça peut se produire en une minute", ajoute-t-il.
C'est un pilote d'hélicoptère, JR Hott, qui a photographié cette image spectaculaire ce mardi. Sur celle-ci, on voit clairement ces nuages impressionnants qui semblent traverser les grattes-ciel de Panama Beach.
"J'ai pris cette photo en pensant que c'était vraiment cool, et je l'ai postée sur Facebook", confie JR Hott qui attribue ce phénomène à une onde orographique- un phénomène atmosphérique qui se produit généralement lorsqu'il y a du brouillard dans un relief montagneux. "On peut voir ça plusieurs fois par an. Ça peut se produire en une minute", ajoute-t-il.
16:02
Le CGIAR (Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale) vient de diffuser un rapport de sa Commission sur l'agriculture durable et le changement climatique, posant la question de « la sécurité alimentaire dans le contexte du changement climatique » : comment l'atteindre, interroge le titre du rapport, comment la conserver, pourrait-on ajouter, dans la mesure où ce rapport s'adresse tant aux pays en développement qu'aux pays riches ayant assuré leur autosuffisance depuis un certain temps.
Remis en novembre 2011, le but de ce document, un résumé dans l'état actuel, qui devra être bientôt complété par un rapport plus complet, est de « produire un ensemble de recommandations politiques clair et autorisé » à l'attention des décideurs politiques de la planète.
« Au cours de l'année 2011, les membres de la commission ont entrepris une synthèse des principaux rapports d'évaluation afin de formuler clairement les découvertes scientifiques relatives à l'impact potentiel du changement climatique sur l'agriculture et la sécurité alimentaire à l'échelle mondiale et régionale et d'identifier les actions et processus les plus appropriés pour atteindre la sécurité alimentaire dans le contexte du changement climatique », explique cette version résumée du document final, établi dans le cadre du programme de recherche du CGIAR sur le changement climatique, l'agriculture et la sécurité alimentaire (CCAFS).
« Dans le système alimentaire mondialement interconnecté qui est le nôtre, le statu quo ne nous apportera ni sécurité alimentaire ni durabilité environnementale », préviennent d'emblée les auteurs.
De leur avis, « entre le changement climatique, la croissance démographique et l'insoutenabilité de notre consommation des ressources, plusieurs menaces convergentes imposent de plus en plus et de façon constante à l'humanité et aux gouvernements mondiaux un changement des modes de production, de distribution et de consommation de la nourriture. »
De « l'inefficience des filières agroalimentaires [qui] affecte l'environnement, réduit la productivité et gaspille la nourriture », et des « pratiques agricoles actuelles (qui) font de l'agriculture un contributeur significatif des émissions de gaz à effet de serre », les auteurs souhaitent passer à des pratiques « adaptatives » à grande échelle qui permettent « de réduire l'effet du changement climatique sur les ressources alimentaires, les moyens d'existence et les économies ».
C'est d'autant plus important que « dans les décennies à venir, le changement climatique aura un effet global négatif sur la production agricole » nous rapprochant des seuils critiques, ou nous les faisant dépasser dans de nombreuses régions, alerte le pré-rapport, avec des disproportions flagrantes dans les zones souffrant d'une insécurité alimentaire chronique.
La commission appelle les décideurs à une convergence de nos efforts vers un système alimentaire durable qui passe par la mise en place de « systèmes de production agricole résistants au climat », par une utilisation « efficiente » des ressources, par un « développement des chaînes logistiques produisant peu de déchets », et en assurant « une nutrition adéquate » encouragée par « des choix alimentaires sains ».
Tous les facteurs impliqués dans ce processus « nécessitent une approche intégrée de leur gestion », fait valoir la commission.
Mais « sans un engagement mondial à réduire les émissions de gaz à effet de serre dans tous les secteurs, y compris l'agriculture, aucune adaptation agricole quelles qu'en soient les proportions ne suffira dans le climat déstabilisé du futur », martèle la commission.
Voici les recommandations essentielles des membres de la Commission sur l'agriculture durable et le changement climatique du CGIAR :
Remis en novembre 2011, le but de ce document, un résumé dans l'état actuel, qui devra être bientôt complété par un rapport plus complet, est de « produire un ensemble de recommandations politiques clair et autorisé » à l'attention des décideurs politiques de la planète.
« Au cours de l'année 2011, les membres de la commission ont entrepris une synthèse des principaux rapports d'évaluation afin de formuler clairement les découvertes scientifiques relatives à l'impact potentiel du changement climatique sur l'agriculture et la sécurité alimentaire à l'échelle mondiale et régionale et d'identifier les actions et processus les plus appropriés pour atteindre la sécurité alimentaire dans le contexte du changement climatique », explique cette version résumée du document final, établi dans le cadre du programme de recherche du CGIAR sur le changement climatique, l'agriculture et la sécurité alimentaire (CCAFS).
« Dans le système alimentaire mondialement interconnecté qui est le nôtre, le statu quo ne nous apportera ni sécurité alimentaire ni durabilité environnementale », préviennent d'emblée les auteurs.
De leur avis, « entre le changement climatique, la croissance démographique et l'insoutenabilité de notre consommation des ressources, plusieurs menaces convergentes imposent de plus en plus et de façon constante à l'humanité et aux gouvernements mondiaux un changement des modes de production, de distribution et de consommation de la nourriture. »
De « l'inefficience des filières agroalimentaires [qui] affecte l'environnement, réduit la productivité et gaspille la nourriture », et des « pratiques agricoles actuelles (qui) font de l'agriculture un contributeur significatif des émissions de gaz à effet de serre », les auteurs souhaitent passer à des pratiques « adaptatives » à grande échelle qui permettent « de réduire l'effet du changement climatique sur les ressources alimentaires, les moyens d'existence et les économies ».
C'est d'autant plus important que « dans les décennies à venir, le changement climatique aura un effet global négatif sur la production agricole » nous rapprochant des seuils critiques, ou nous les faisant dépasser dans de nombreuses régions, alerte le pré-rapport, avec des disproportions flagrantes dans les zones souffrant d'une insécurité alimentaire chronique.
La commission appelle les décideurs à une convergence de nos efforts vers un système alimentaire durable qui passe par la mise en place de « systèmes de production agricole résistants au climat », par une utilisation « efficiente » des ressources, par un « développement des chaînes logistiques produisant peu de déchets », et en assurant « une nutrition adéquate » encouragée par « des choix alimentaires sains ».
Tous les facteurs impliqués dans ce processus « nécessitent une approche intégrée de leur gestion », fait valoir la commission.
Mais « sans un engagement mondial à réduire les émissions de gaz à effet de serre dans tous les secteurs, y compris l'agriculture, aucune adaptation agricole quelles qu'en soient les proportions ne suffira dans le climat déstabilisé du futur », martèle la commission.
Voici les recommandations essentielles des membres de la Commission sur l'agriculture durable et le changement climatique du CGIAR :
- Intégrer la sécurité alimentaire et l'agriculture durable dans les politiques mondiales et nationales.
- Accroître sensiblement le niveau d'investissement mondial dans l'agriculture durable et les systèmes alimentaires dans la prochaine décennie.
- Intensifier de façon durable la production agricole tout en réduisant les émissions de GES et autres impacts de l'agriculture nuisibles à l'environnement.
- Prendre en charge les populations et secteurs les plus vulnérables au changement climatique et à l'insécurité alimentaire.
- Repenser les modèles d'accès à la nourriture et de consommation pour garantir que les besoins nutritionnels élémentaires sont remplis et encourager des modèles d'alimentation sains et durables dans le monde entier.
- Réduire les pertes et les gaspillages dans les systèmes alimentaires, en ciblant l'infrastructure, les pratiques agricoles, le traitement, la distribution et les habitudes des ménages.
- Créer des systèmes d'information complets, partagés et intégrés qui prennent en compte les dimensions humaine et écologique.
15:27
L'activité éruptive se poursuit ce matin sur l'Etna.
La hausse d'activité s'est effectivement traduite par la mise en place d'un paroxysme avec fontaine de lave et coulée.
Le pic de trémor a été atteint vers 04h du matin (TU) et ce dernier redescend progressivement actuellement.
Le panache de cendres produit s'est élevé à environ 8000m d'altitude, valeur confirmée par le VAAC de Toulouse, et a été emporté par le vent vers le sud-ouest.
Ce paroxysme, bien qu'il regroupe l'ensemble des phases des paroxysmes précédents (activité strombolienne précurseur, mise en place d'une fontaine et de coulées dans la Valle del Bove) se démarque par un tempo plus lent avec des précurseurs en place depuis plusieurs jours, une hausse "lente" de l'intensité du trémor et un pic d'intensité moins élevé que les fois précédentes.
Il n'en demeure pas moins qu'au vu des images prises par les webcams, le spectacle a été visiblement somptueux.
Sources: INGV, Etnatrekking, Radiostudio7, VAAC de Toulouse,
Au Cameroun, le mont Cameroun rentre en éruption
Selon la radio camerounaise et plusieurs quotidiens, le Mont Cameroun a connu une phase éruptive brève mais violente le lundi 6 février 2012.
Deux guides qui accompagnaient des touristes sur le volcan ont été légèrement blessés.
Des secousses avaient été ressenties la semaine dernière par des habitants au pied du volcan. Il n'est pas certain que l'ascension annuelle du mont Cameroun prévue le 18 février prochain puisse avoir lieu. Les autorités locales indiquent qu'il serait trop risqué de laisser les athlètes et autres s'aventurer sur la montagne tant que les conditions de sécurité ne sont pas toutes réunies.
La hausse d'activité s'est effectivement traduite par la mise en place d'un paroxysme avec fontaine de lave et coulée.
Le pic de trémor a été atteint vers 04h du matin (TU) et ce dernier redescend progressivement actuellement.
Le panache de cendres produit s'est élevé à environ 8000m d'altitude, valeur confirmée par le VAAC de Toulouse, et a été emporté par le vent vers le sud-ouest.
Ce paroxysme, bien qu'il regroupe l'ensemble des phases des paroxysmes précédents (activité strombolienne précurseur, mise en place d'une fontaine et de coulées dans la Valle del Bove) se démarque par un tempo plus lent avec des précurseurs en place depuis plusieurs jours, une hausse "lente" de l'intensité du trémor et un pic d'intensité moins élevé que les fois précédentes.
Il n'en demeure pas moins qu'au vu des images prises par les webcams, le spectacle a été visiblement somptueux.
Sources: INGV, Etnatrekking, Radiostudio7, VAAC de Toulouse,
Au Cameroun, le mont Cameroun rentre en éruption
Selon la radio camerounaise et plusieurs quotidiens, le Mont Cameroun a connu une phase éruptive brève mais violente le lundi 6 février 2012.
Deux guides qui accompagnaient des touristes sur le volcan ont été légèrement blessés.
Des secousses avaient été ressenties la semaine dernière par des habitants au pied du volcan. Il n'est pas certain que l'ascension annuelle du mont Cameroun prévue le 18 février prochain puisse avoir lieu. Les autorités locales indiquent qu'il serait trop risqué de laisser les athlètes et autres s'aventurer sur la montagne tant que les conditions de sécurité ne sont pas toutes réunies.
14:55
En Ukraine, où les températures pourraient descendre jusqu'à -30 degrés Celsius en fin de semaine, les autorités ont cessé de communiquer de nouveaux chiffres chaque jour, sans donner de raison. L'Ukraine était mardi, au dernier bilan officiel, le pays d'Europe le plus touché avec 135 décès (dont 112 morts directement du froid).
Le détroit de Kertch, reliant la mer Noire à celle d'Azov, était toujours complètement gelé, et quelque 130 bateaux y étaient prisonniers, sans que les brise-glace puissent les libérer en raison du mauvais temps.
En Pologne, malgré un léger radoucissement des températures depuis deux jours, on comptait néanmoins jeudi trois nouveaux morts par hypothermie, pour un total de 77 depuis le début de la vague de froid. Il faut y ajouter une cinquantaine de morts dues à des poêles défectueux, provoquant asphyxie au monoxyde de carbone et incendies. Dans une ville du nord, la police a tancé les automobilistes qui font des courses-poursuite sur des lacs gelés, pour les filmer et placer ensuite leurs films sur Internet.
En Russie, le froid a tué au moins 110 personnes cette année, dont 46 depuis début février, selon le ministère de la Santé, qui ne précise pas si ces morts ont été enregistrées dans la partie européenne ou asiatique du pays. Le froid a tué également 23 personnes en Lituanie, 10 en Lettonie et une en Estonie.
En République tchèque, un sans-abri est mort d'hypothermie mercredi à Kolin (60 kilomètres à l'est de Prague), portant le bilan à 25, et l'on attendait pour ce week-end des températures tombant à -40° dans les montagnes et -25° à Prague. On comptait également 44 morts en Roumanie, 29 en Bulgarie, qui connaissait des tempêtes de neige violentes dans la plaine du Danube, et trois en Slovaquie.
Dans les Balkans, les températures ont atteint dans la nuit de nouveaux records, avec -28° à Sokolac, en Bosnie, -26° à Slavonski Brod, en Croatie, et -25° à Novi Sad, deuxième ville de Serbie, alors que les habitants de la capitale bosnienne grelottaient à -23°C et ceux de Belgrade à -22°C.
Deux personnes supplémentaires sont mortes de froid en Serbie et en Bosnie, portant à 27 le nombre de victimes dans les Balkans: treize en Serbie, huit en Bosnie, trois en Croatie, un au Monténégro, un en Macédoine et un en Albanie.
Plus de 70.000 personnes étaient toujours isolées par la neige dans des villages reculés en Serbie, en Croatie, en Bosnie, en Macédoine et au Monténégro, tandis que dans la ville bosniaque de Mostar, quelque 15.000 foyers étaient sans électricité pour le troisième jour. Et dans la ville croate de Split, le nombre record de fractures a usé en cinq jours les stocks de plâtre de l'hôpital prévus pour deux ans.
En Serbie, une consommation record d'électricité a conduit les autorités à mettre en garde contre un possible futur rationnement y compris pour les ménages. Pris dans les glaces en de nombreux endroits et charriant des glaçons partout, le Danube a vu son trafic fluvial interrompu, notamment sur toute sa longueur en Serbie (588 km).
En Hongrie, où 16 personnes sont mortes depuis le début de la vague de froid, les plus démunis se chauffent... aux billets de banques. La Banque centrale recycle en effet ses billets usagés en briquettes de chauffage qu'elle donne aux institutions sociales les plus pauvres.
En France, où le froid a fait cinq morts ces derniers jours, il a en revanche sauvé une vie mercredi: un homme de 34 ans qui voulait se suicider a sauté d'un pont haut de trois mètres à Mulhouse (est), mais la glace du canal en contrebas était tellement solide qu'elle n'a pas cédé sous son poids, et il n'a été que légèrement blessé.
Et aux Pays-Bas, il ne fait tout simplement pas assez froid: la mythique "Course des Onze cités", course de patinage de 200 kilomètres courue par des milliers de personnes sur les canaux gelés de la province de Frise (nord) pour la dernière fois en 1997, ne peut pas avoir lieu "en ce moment" car la glace est par endroits trop fine.
L'Italie, où le bilan des intempéries s'élève à 43 morts, se préparait jeudi à une nouvelle vague de froid intense et de neige tandis que l'armée continuait de désencombrer des villages du sud du pays bloqués sous trois mètres de neige.
Les météorologues italiens prévoient des rafales de vent glacial de type blizzard dès jeudi soir dans le nord et le retour de la neige entre vendredi soir et samedi sur Rome, ville habituée à des hivers très doux, et dont la mairie a fait distribuer 4.000 pelles aux habitants.
Le week-end dernier, la capitale avait déjà dû affronter les plus intenses chutes de neige depuis 27 ans avec jusqu'à trente centimètres dans certains endroits et des scènes très inhabituelles de Romains en après-skis ou dévalant les pentes de certains parcs en snowboards.
En Grèce, le bilan depuis le début de la vague de froid atteignait mercredi cinq morts, cinq également en Autriche, quatre en Allemagne et un aux Pays-Bas. En Suisse, le redoux a commencé en altitude mais le froid et la bise vont continuer d'affecter les plaines.
La vague de froid touche aussi le nord de l'Afrique, particulièrement l'Algérie, où le bilan atteignait jeudi 80 morts, et on attendait de nouvelles chutes de neige et de grêle pour le week-end et jusqu'à mardi.
Source AFP
Le détroit de Kertch, reliant la mer Noire à celle d'Azov, était toujours complètement gelé, et quelque 130 bateaux y étaient prisonniers, sans que les brise-glace puissent les libérer en raison du mauvais temps.
En Pologne, malgré un léger radoucissement des températures depuis deux jours, on comptait néanmoins jeudi trois nouveaux morts par hypothermie, pour un total de 77 depuis le début de la vague de froid. Il faut y ajouter une cinquantaine de morts dues à des poêles défectueux, provoquant asphyxie au monoxyde de carbone et incendies. Dans une ville du nord, la police a tancé les automobilistes qui font des courses-poursuite sur des lacs gelés, pour les filmer et placer ensuite leurs films sur Internet.
En Russie, le froid a tué au moins 110 personnes cette année, dont 46 depuis début février, selon le ministère de la Santé, qui ne précise pas si ces morts ont été enregistrées dans la partie européenne ou asiatique du pays. Le froid a tué également 23 personnes en Lituanie, 10 en Lettonie et une en Estonie.
En République tchèque, un sans-abri est mort d'hypothermie mercredi à Kolin (60 kilomètres à l'est de Prague), portant le bilan à 25, et l'on attendait pour ce week-end des températures tombant à -40° dans les montagnes et -25° à Prague. On comptait également 44 morts en Roumanie, 29 en Bulgarie, qui connaissait des tempêtes de neige violentes dans la plaine du Danube, et trois en Slovaquie.
Dans les Balkans, les températures ont atteint dans la nuit de nouveaux records, avec -28° à Sokolac, en Bosnie, -26° à Slavonski Brod, en Croatie, et -25° à Novi Sad, deuxième ville de Serbie, alors que les habitants de la capitale bosnienne grelottaient à -23°C et ceux de Belgrade à -22°C.
Deux personnes supplémentaires sont mortes de froid en Serbie et en Bosnie, portant à 27 le nombre de victimes dans les Balkans: treize en Serbie, huit en Bosnie, trois en Croatie, un au Monténégro, un en Macédoine et un en Albanie.
Plus de 70.000 personnes étaient toujours isolées par la neige dans des villages reculés en Serbie, en Croatie, en Bosnie, en Macédoine et au Monténégro, tandis que dans la ville bosniaque de Mostar, quelque 15.000 foyers étaient sans électricité pour le troisième jour. Et dans la ville croate de Split, le nombre record de fractures a usé en cinq jours les stocks de plâtre de l'hôpital prévus pour deux ans.
En Serbie, une consommation record d'électricité a conduit les autorités à mettre en garde contre un possible futur rationnement y compris pour les ménages. Pris dans les glaces en de nombreux endroits et charriant des glaçons partout, le Danube a vu son trafic fluvial interrompu, notamment sur toute sa longueur en Serbie (588 km).
En Hongrie, où 16 personnes sont mortes depuis le début de la vague de froid, les plus démunis se chauffent... aux billets de banques. La Banque centrale recycle en effet ses billets usagés en briquettes de chauffage qu'elle donne aux institutions sociales les plus pauvres.
En France, où le froid a fait cinq morts ces derniers jours, il a en revanche sauvé une vie mercredi: un homme de 34 ans qui voulait se suicider a sauté d'un pont haut de trois mètres à Mulhouse (est), mais la glace du canal en contrebas était tellement solide qu'elle n'a pas cédé sous son poids, et il n'a été que légèrement blessé.
Et aux Pays-Bas, il ne fait tout simplement pas assez froid: la mythique "Course des Onze cités", course de patinage de 200 kilomètres courue par des milliers de personnes sur les canaux gelés de la province de Frise (nord) pour la dernière fois en 1997, ne peut pas avoir lieu "en ce moment" car la glace est par endroits trop fine.
L'Italie, où le bilan des intempéries s'élève à 43 morts, se préparait jeudi à une nouvelle vague de froid intense et de neige tandis que l'armée continuait de désencombrer des villages du sud du pays bloqués sous trois mètres de neige.
Les météorologues italiens prévoient des rafales de vent glacial de type blizzard dès jeudi soir dans le nord et le retour de la neige entre vendredi soir et samedi sur Rome, ville habituée à des hivers très doux, et dont la mairie a fait distribuer 4.000 pelles aux habitants.
Le week-end dernier, la capitale avait déjà dû affronter les plus intenses chutes de neige depuis 27 ans avec jusqu'à trente centimètres dans certains endroits et des scènes très inhabituelles de Romains en après-skis ou dévalant les pentes de certains parcs en snowboards.
En Grèce, le bilan depuis le début de la vague de froid atteignait mercredi cinq morts, cinq également en Autriche, quatre en Allemagne et un aux Pays-Bas. En Suisse, le redoux a commencé en altitude mais le froid et la bise vont continuer d'affecter les plaines.
La vague de froid touche aussi le nord de l'Afrique, particulièrement l'Algérie, où le bilan atteignait jeudi 80 morts, et on attendait de nouvelles chutes de neige et de grêle pour le week-end et jusqu'à mardi.
Source AFP
14:52
L’Algérie subit elle aussi une vague de froid sévère avec des chutes de neige parfois abondantes près des côtes, mais aussi sur l’arrière-pays et sur les contreforts de l’Atlas .
Selon les dernières nouvelles fournies par les autorités, au moins 80 personnes ont perdu la vie.
30 personnes sont mortes dans des accidents de la circulation provoqués par des routes verglacées, d’autres par inhalation de monoxyde de carbone à cause de systèmes de chauffage défectueux.
Certains secteurs sont toujours inaccessibles. L’armée a été envoyée en renfort afin d’apporter nourriture et carburant.
Selon les dernières nouvelles fournies par les autorités, au moins 80 personnes ont perdu la vie.
30 personnes sont mortes dans des accidents de la circulation provoqués par des routes verglacées, d’autres par inhalation de monoxyde de carbone à cause de systèmes de chauffage défectueux.
Certains secteurs sont toujours inaccessibles. L’armée a été envoyée en renfort afin d’apporter nourriture et carburant.
mardi 7 février 2012
22:41
Depuis début janvier, la province du Yunnan (sud-ouest) souffre d'une sécheresse qui a affecté près de 480 000 personnes et 230 000 têtes de bétail, a déclaré lundi Li Xi, maire adjoint de Kunming, capitale de la province.
La sécheresse a tari 89 réservoirs et 30 rivières, a ajouté M. Li.
"Nous faisons face à un grand défi en matière d'approvisionnement en eau potable ou de production agricole", a-t-il indiqué.
Le gouvernement a débloqué 130 millions de yuans (20,6 millions de dollars) pour lutter contre la sécheresse, a-t-il révélé.
Par ailleurs, le gouvernement a appelé les habitants de la ville à réduire leur consommation d'eau, a-t-il ajouté.
Source: xinhua
La sécheresse a tari 89 réservoirs et 30 rivières, a ajouté M. Li.
"Nous faisons face à un grand défi en matière d'approvisionnement en eau potable ou de production agricole", a-t-il indiqué.
Le gouvernement a débloqué 130 millions de yuans (20,6 millions de dollars) pour lutter contre la sécheresse, a-t-il révélé.
Par ailleurs, le gouvernement a appelé les habitants de la ville à réduire leur consommation d'eau, a-t-il ajouté.
Source: xinhua
22:27
La température à l'intérieur de la cuve du réacteur numéro 2 [accidenté de la centrale de Fukushima Daiichi depuis le séisme et le tsunami du 11 mars 2011] a brusquement augmenté de près de trente degré ces derniers jours pour atteindre 73,3º lundi 6 février", relate le Yomiuri Shimbun.
Les raisons de cette hausse sont inconnues. L'opérateur du site Tokyo Electric Power Company (Tepco) a augmenté la quantité d'eau injectée (servant à refroidir les combustibles) de trois tonnes/heure, et a également introduit de l'acide borique pour éviter qu'une réaction en chaine ne s'y produise.
La température a finalement baissé légèrement, et est maintenant à 68,5°. "Cependant, celle-ci s'approche du seuil des 80 degrés, au delà duquel le réacteur ne sera plus en état d'arrêt à froid", relate le quotidien tokyoïte.
Il y a deux mois, le gouvernement japonais avait décrété l'état d'arrêt à froid des réacteurs de Fukushima Daiichi.
source Courrier International
Les raisons de cette hausse sont inconnues. L'opérateur du site Tokyo Electric Power Company (Tepco) a augmenté la quantité d'eau injectée (servant à refroidir les combustibles) de trois tonnes/heure, et a également introduit de l'acide borique pour éviter qu'une réaction en chaine ne s'y produise.
La température a finalement baissé légèrement, et est maintenant à 68,5°. "Cependant, celle-ci s'approche du seuil des 80 degrés, au delà duquel le réacteur ne sera plus en état d'arrêt à froid", relate le quotidien tokyoïte.
Il y a deux mois, le gouvernement japonais avait décrété l'état d'arrêt à froid des réacteurs de Fukushima Daiichi.
source Courrier International
22:18
Les récoltes d'artichauts et de salades en plein champ des Pyrénées-Orientales sont pratiquement détruites en raison du gel et surtout du vent, qui sévissent dans la région depuis une semaine, a indiqué la chambre d'agriculture mardi.
Dans ce département, deuxième producteur d'artichauts de France après la Bretagne, les quelque 200 producteurs, qui exploitent 600 hectares, sont touchés et la production potentielle de 7.000 tonnes pourrait être détruite presque totalement, a déclaré le responsable du secteur maraîcher de la chambre départementale, Damien Gauvrit.
Les plants sont « déshydratés, flétris, gelés » pour la partie aérienne de ces légumes et les pertes pourraient atteindre environ 6 millions d'euros, a-t-il dit.
De même, une grande partie des 75 millions de pieds de salades en plein champ sont « flétris, avec noircissement et dessèchement des feuilles », a-t-il dit.
Un maraîcher de Toreilles, Pierre Porteils, membre du syndicat des Jeunes Agriculteurs, pense avoir perdu la totalité de sa production d'artichauts. Il a estimé que la part de ses salades perdues est comprise entre 45 et 60 % du total de sa production, dans une zone déjà touchée en novembre par des inondations.
Les artichauts des Pyrénées-Orientales devaient arriver sur le marché à partir de la mi-mars et les salades vers la fin février.
Les cultures maraîchères souffrent notamment du dessèchement dû à la tramontane. Celle-ci souffle depuis une semaine avec des rafales qui devaient encore atteindre plus de 120 km/h mardi, selon Météo France.
Les températures, qui se maintiennent à -5 ou -6 degrés, ne permettent pas l'arrosage et cette situation ne s'améliorera pas avant la semaine prochaine, selon les prévisions météorologiques.
Dans ce département, deuxième producteur d'artichauts de France après la Bretagne, les quelque 200 producteurs, qui exploitent 600 hectares, sont touchés et la production potentielle de 7.000 tonnes pourrait être détruite presque totalement, a déclaré le responsable du secteur maraîcher de la chambre départementale, Damien Gauvrit.
Les plants sont « déshydratés, flétris, gelés » pour la partie aérienne de ces légumes et les pertes pourraient atteindre environ 6 millions d'euros, a-t-il dit.
De même, une grande partie des 75 millions de pieds de salades en plein champ sont « flétris, avec noircissement et dessèchement des feuilles », a-t-il dit.
Un maraîcher de Toreilles, Pierre Porteils, membre du syndicat des Jeunes Agriculteurs, pense avoir perdu la totalité de sa production d'artichauts. Il a estimé que la part de ses salades perdues est comprise entre 45 et 60 % du total de sa production, dans une zone déjà touchée en novembre par des inondations.
Les artichauts des Pyrénées-Orientales devaient arriver sur le marché à partir de la mi-mars et les salades vers la fin février.
Les cultures maraîchères souffrent notamment du dessèchement dû à la tramontane. Celle-ci souffle depuis une semaine avec des rafales qui devaient encore atteindre plus de 120 km/h mardi, selon Météo France.
Les températures, qui se maintiennent à -5 ou -6 degrés, ne permettent pas l'arrosage et cette situation ne s'améliorera pas avant la semaine prochaine, selon les prévisions météorologiques.
22:11
La consommation d'électricité française a finalement atteint un nouveau sommet historique mardi soir, à plus de 100.000 mégawatts, un pic lié aux températures mordantes sévissant sur le pays et qui n'a pas provoqué de black-out grâce à la mobilisation du système énergétique.
La consommation d'électrons a atteint le niveau jamais vu de 100.500 mégawatts (ou 100,5 gigawatts) ce mardi à 19H00, selon les relevés de RTE, filiale d'EDF qui gère le réseau haute tension national, pulvérisant ainsi son ancien record de 96.710 mégawatts établi le 15 décembre 2010.
Un cap qui a été dépassé sans provoquer de panne géante, grâce à la mobilisation d'importants moyens de production. La pointe historique a été franchie sans incident, a déclaré à l'AFP un porte-parole de RTE.
RTE, filiale d'EDF qui gère le réseau national de lignes à haute tension, avait déjà prédit déjà de nouveaux records depuis plusieurs jours, mais, jusqu'à ce mardi, la consommation réelle s'était avérée un peu inférieure à ses attentes.
EDF et les autorités avaient assuré que ce sommet, provoqué par le grand froid et le fort équipement en chauffage électrique des Français, ne créérait pas de black-out national.
La production d'électricité est en effet au rendez-vous, grâce aux centrales nucléaires qui fonctionnent à plein (seuls trois réacteurs sur 58 sont à l'arrêt pour cause de maintenance), au recours à des unités d'appoint déclenchables quasi instantanément (barrages hydroélectriques, centrales thermiques au fioul, au gaz ou au charbon), le tout complété par des importations de courant de pays voisins.
Appels au civisme
Mais, pour éviter tout problème, des alertes à réduire l'utilisation de l'électricité avaient tout de même été maintenues en Bretagne, ainsi que dans le Var et les Alpes-Maritimes, régions les plus sujettes à des risques de coupures du fait de fragilités internes. Des alertes orange Ecowatt étaient en vigueur ce mardi dans ces régions.
Ces appels au civisme ont d'ailleurs sans doute contribué à la consommation électrique un peu plus faible qu'anticipée qui avait été mesurée entre jeudi et lundi, bien que leur effet exact soit difficile à quantifier.
Selon RTE, le système d'alerte Ecowatt, lancé en 2010, toucherait déjà plus de 50.000 personnes, avec un effet sur la consommation d'électricité évalué à 2% en Bretagne et 3% en Provence-Azur (départements du Var et des Alpes-Maritimes), soit l'équivalent de ce que consomment respectivement les villes de Brest et de Fréjus.
Enfin, l'envolée de la consommation de courant a ravivé le débat sur le modèle électrique français, et le recours très important du pays au chauffage électrique, qui amplifie les pics en fin de journée.
Lundi, le ministre de l'Industrie, Eric Besson, avait assuré que si la France avait moins recours au nucléaire, elle dépendrait de livraisons de gaz russe pour produire l'électricité dont elle a besoin en ces périodes de grand froid.
La secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts, Cécile Duflot, a au contraire accusé mardi EDF et son patron Henri Proglio de redoubler de ridicule en appelant les Français au civisme, estimant que les appels à modérer la consommation électrique étaient révélateurs des dysfonctionnements d'une politique énergétique sacrifiant l'intérêt général au bénéfice des actionnaires d'EDF.
Et l'association de consommateurs CLCV a demandé l'interdiction des coupures d'énergie pour cause d'impayés durant toute la trêve hivernale, comme c'est déjà le cas pour l'eau et les expulsions locatives. Le patron d'EDF, Henri Proglio, s'est déjà engagé à ce qu'aucun consommateur ne voit son électricité coupée durant cette vague de grand froid.
EDF
Source ©AFP / 07 février 2012 19h41
Le grand froid s’étend à l’ouest, pic de consommation électrique attendu, extension de l’alerte météo orange à 55 départements
La consommation d'électrons a atteint le niveau jamais vu de 100.500 mégawatts (ou 100,5 gigawatts) ce mardi à 19H00, selon les relevés de RTE, filiale d'EDF qui gère le réseau haute tension national, pulvérisant ainsi son ancien record de 96.710 mégawatts établi le 15 décembre 2010.
Un cap qui a été dépassé sans provoquer de panne géante, grâce à la mobilisation d'importants moyens de production. La pointe historique a été franchie sans incident, a déclaré à l'AFP un porte-parole de RTE.
RTE, filiale d'EDF qui gère le réseau national de lignes à haute tension, avait déjà prédit déjà de nouveaux records depuis plusieurs jours, mais, jusqu'à ce mardi, la consommation réelle s'était avérée un peu inférieure à ses attentes.
EDF et les autorités avaient assuré que ce sommet, provoqué par le grand froid et le fort équipement en chauffage électrique des Français, ne créérait pas de black-out national.
La production d'électricité est en effet au rendez-vous, grâce aux centrales nucléaires qui fonctionnent à plein (seuls trois réacteurs sur 58 sont à l'arrêt pour cause de maintenance), au recours à des unités d'appoint déclenchables quasi instantanément (barrages hydroélectriques, centrales thermiques au fioul, au gaz ou au charbon), le tout complété par des importations de courant de pays voisins.
Appels au civisme
Mais, pour éviter tout problème, des alertes à réduire l'utilisation de l'électricité avaient tout de même été maintenues en Bretagne, ainsi que dans le Var et les Alpes-Maritimes, régions les plus sujettes à des risques de coupures du fait de fragilités internes. Des alertes orange Ecowatt étaient en vigueur ce mardi dans ces régions.
Ces appels au civisme ont d'ailleurs sans doute contribué à la consommation électrique un peu plus faible qu'anticipée qui avait été mesurée entre jeudi et lundi, bien que leur effet exact soit difficile à quantifier.
Selon RTE, le système d'alerte Ecowatt, lancé en 2010, toucherait déjà plus de 50.000 personnes, avec un effet sur la consommation d'électricité évalué à 2% en Bretagne et 3% en Provence-Azur (départements du Var et des Alpes-Maritimes), soit l'équivalent de ce que consomment respectivement les villes de Brest et de Fréjus.
Enfin, l'envolée de la consommation de courant a ravivé le débat sur le modèle électrique français, et le recours très important du pays au chauffage électrique, qui amplifie les pics en fin de journée.
Lundi, le ministre de l'Industrie, Eric Besson, avait assuré que si la France avait moins recours au nucléaire, elle dépendrait de livraisons de gaz russe pour produire l'électricité dont elle a besoin en ces périodes de grand froid.
La secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts, Cécile Duflot, a au contraire accusé mardi EDF et son patron Henri Proglio de redoubler de ridicule en appelant les Français au civisme, estimant que les appels à modérer la consommation électrique étaient révélateurs des dysfonctionnements d'une politique énergétique sacrifiant l'intérêt général au bénéfice des actionnaires d'EDF.
Et l'association de consommateurs CLCV a demandé l'interdiction des coupures d'énergie pour cause d'impayés durant toute la trêve hivernale, comme c'est déjà le cas pour l'eau et les expulsions locatives. Le patron d'EDF, Henri Proglio, s'est déjà engagé à ce qu'aucun consommateur ne voit son électricité coupée durant cette vague de grand froid.
EDF
Source ©AFP / 07 février 2012 19h41
Le grand froid s’étend à l’ouest, pic de consommation électrique attendu, extension de l’alerte météo orange à 55 départements
15:20
Un cyclone tropical s’est développé ces derniers jours dans le Sud Ouest de l’océan Pacifique.
Baptisé sous le nom de Jasmine, le cyclone de catégorie 1/5 sur l’échelle de Saffir Simpson menace la Nouvelle-Calédonie et le Sud de l’archipel du Vanuatu.
À 21h00 UTC, Jasmine était centré par les points 17.6° de latitude sud et 162° de longitude Est, et à 703 km au Nord-Ouest de Nouméa.
Jasmine se déplace en direction de l’Est Sud-Est à la vitesse moyenne de 22 km/h, les vents soufflent à 120 km/h en moyenne et 148 km/h en rafale près du centre. La pression est estimée à 974 hPa.
Le cyclone devrait circuler entre le Vanuatu et la Nouvelle-Calédonie.
Le Haut Commissariat a placé la Nouvelle-Calédonie en pré-alerte cyclonique.
Baptisé sous le nom de Jasmine, le cyclone de catégorie 1/5 sur l’échelle de Saffir Simpson menace la Nouvelle-Calédonie et le Sud de l’archipel du Vanuatu.
À 21h00 UTC, Jasmine était centré par les points 17.6° de latitude sud et 162° de longitude Est, et à 703 km au Nord-Ouest de Nouméa.
Jasmine se déplace en direction de l’Est Sud-Est à la vitesse moyenne de 22 km/h, les vents soufflent à 120 km/h en moyenne et 148 km/h en rafale près du centre. La pression est estimée à 974 hPa.
Le cyclone devrait circuler entre le Vanuatu et la Nouvelle-Calédonie.
Le Haut Commissariat a placé la Nouvelle-Calédonie en pré-alerte cyclonique.
15:13
Les eaux continuaient de monter aujourd'hui dans le nord-est de l'Australie, déjà touché il y a un an par de vastes inondations, tandis que la bourgade de St George, presqu'entièrement vidée de ses habitants, attendait de voir si ses digues résistaient.
L'an dernier, cette région du nord-est de l'Australie avait été frappée par des inondations historiques dont elle est à peine remise. Dans le sud du Queensland, la petite commune rurale de St George, à 510 km à l'ouest de Brisbane, est la plus menacée.
La plupart de ses 3.800 habitants ont rejoint hier soir les centres d'hébergement de la ville voisine de Darby ou de Brisbane. Le maire, Donna Stewart, a indiqué aujourd'hui que la rivière Balonne était sortie de son lit pour la troisième fois en moins de deux ans et atteignait 13,48 mètres, alors que les digues sont hautes de 14,5 mètres.
"Il n'est pas totalement exclu que les 14,5 mètres soient franchis mais c'est peu probable", a indiqué Chris Leahy, hydrologue au Bureau de Météorologie, tandis que les autorités s'emploient à protéger la ville, avec des murs de sacs élevés à la hâte.
La police va rester sur place pour prévenir toute tentative de pillage, a déclaré Bob Atkinson, un des responsables de la police du Queensland. "Nous allons faire tout ce qui est possible pour nous assurer que les logements des habitants soient en sécurité", a-t-il dit à la presse.
Selon le premier ministre du Queensland, Anna Bligh, il s'agit de la plus grande opération d'évacuation jamais organisée dans cet Etat. Elle a en outre précisé que l'évaluation des dégâts n'en était qu'à ses tout débuts. "De nouveaux avions vont être mobilisés et nous pensons évacuer aujourd'hui encore 400 habitants", a déclaré Anna Bligh.
St George a subi de grosses inondations au cours des deux dernières années, en mars 2010 puis lors des inondations de l'an dernier dans le Queensland, dans lesquelles 35 personnes avaient trouvé la mort et des dizaines de milliers de maisons avaient été endommagées.
Depuis une semaine, plusieurs zones du Queensland et de l'Etat voisin de Nouvelle Galles-du-Sud sont touchées par des inondations, après des pluies diluviennes. Elles n'ont pour l'heure fait qu'une seule victime, une femme dont la voiture a été emportée en fin de semaine dernière, dans le Queensland.
Source: lefigaro.fr
L'an dernier, cette région du nord-est de l'Australie avait été frappée par des inondations historiques dont elle est à peine remise. Dans le sud du Queensland, la petite commune rurale de St George, à 510 km à l'ouest de Brisbane, est la plus menacée.
La plupart de ses 3.800 habitants ont rejoint hier soir les centres d'hébergement de la ville voisine de Darby ou de Brisbane. Le maire, Donna Stewart, a indiqué aujourd'hui que la rivière Balonne était sortie de son lit pour la troisième fois en moins de deux ans et atteignait 13,48 mètres, alors que les digues sont hautes de 14,5 mètres.
"Il n'est pas totalement exclu que les 14,5 mètres soient franchis mais c'est peu probable", a indiqué Chris Leahy, hydrologue au Bureau de Météorologie, tandis que les autorités s'emploient à protéger la ville, avec des murs de sacs élevés à la hâte.
La police va rester sur place pour prévenir toute tentative de pillage, a déclaré Bob Atkinson, un des responsables de la police du Queensland. "Nous allons faire tout ce qui est possible pour nous assurer que les logements des habitants soient en sécurité", a-t-il dit à la presse.
Selon le premier ministre du Queensland, Anna Bligh, il s'agit de la plus grande opération d'évacuation jamais organisée dans cet Etat. Elle a en outre précisé que l'évaluation des dégâts n'en était qu'à ses tout débuts. "De nouveaux avions vont être mobilisés et nous pensons évacuer aujourd'hui encore 400 habitants", a déclaré Anna Bligh.
St George a subi de grosses inondations au cours des deux dernières années, en mars 2010 puis lors des inondations de l'an dernier dans le Queensland, dans lesquelles 35 personnes avaient trouvé la mort et des dizaines de milliers de maisons avaient été endommagées.
Depuis une semaine, plusieurs zones du Queensland et de l'Etat voisin de Nouvelle Galles-du-Sud sont touchées par des inondations, après des pluies diluviennes. Elles n'ont pour l'heure fait qu'une seule victime, une femme dont la voiture a été emportée en fin de semaine dernière, dans le Queensland.
Source: lefigaro.fr
Inscription à :
Articles (Atom)
Recevez nos articles par mail
Derniéres Actualités
ARTICLES LES PLUS RÉCENTS :
Rechercher dans ce blog
Membres
Annonces
annonces
Libellés/Tags
Alerte
(4887)
pollution
(1059)
inondation
(541)
Oceans
(507)
Hecatombes animales
(474)
Rechauffement
(440)
seisme
(374)
Insolite
(348)
rivieres
(348)
legislation
(337)
biodiversité
(332)
air
(268)
maree noire
(260)
eau
(250)
climat
(237)
Santé
(233)
deforestation
(210)
Extinction
(201)
volcan
(197)
intemperie
(190)
incendie
(188)
Mysteres
(184)
nucleaire
(174)
Eruption
(172)
Bilan
(161)
agriculture
(159)
justice
(159)
Mobilisation
(157)
La honte
(155)
Tempete
(153)
Pesticide
(147)
ce qu'on vous dit pas
(147)
gaz de schiste
(146)
bonnes nouvelles
(145)
conservation
(128)
secheresse
(122)
Tornade
(109)
accident
(107)
manifestation
(102)
Coup de chapeau
(100)
OGM
(100)
glissement de terrain
(99)
invasion
(95)
Typhon
(90)
evacuation
(90)
CO2
(89)
coup de gueule
(87)
meteo
(76)
virus
(72)
Alergie
(71)
surpeche
(65)
catastrophe
(62)
sante
(59)
cyclone
(54)
economie
(54)
lac etang
(53)
famine
(52)
Evenement
(51)
chimique
(50)
contamination
(50)
Coup de coeur
(49)
record
(48)
vague de froid
(47)
cause animale
(46)
canicule
(45)
corruption
(42)
construction
(40)
Ouragan
(38)
appel
(36)
appel a l'aide
(35)
neige
(35)
surconsommation
(35)
Urgence
(34)
lac étang
(34)
sols
(33)
Intoxication
(32)
braconnage
(31)
epidemie
(31)
abeilles
(30)
alimentation
(30)
soleil
(29)
grippe aviaire
(28)
penurie
(28)
Orage
(26)
consommation
(24)
protection
(24)
pollution hertzienne
(23)
No comment
(22)
Scandale
(22)
pénurie
(22)
algues vertes
(21)
incroyable
(21)
vague de chaleur
(21)
acidification
(20)
Nitrate
(19)
PCB
(19)
science
(19)
biocarburant
(18)
decouverte
(18)
Tsunami
(17)
eutrophisation
(16)
algues rouges
(15)
censure
(15)
chikungunya
(15)
pollution sonore
(15)
Agenda
(14)
dechets nucleaires
(14)
energie renouvelable
(14)
sables bitumineux
(14)
ebola
(13)
elevage
(13)
gaspillage
(12)
ozone
(12)
clin d'oeil
(11)
mousson
(11)
petitions
(11)
politique
(10)
avalanche
(9)
Etat d urgence
(8)
grêle
(8)
incident
(8)
restriction
(8)
sauvegarde
(8)
Trombe
(7)
radiation
(7)
Chasse
(6)
Décontamination
(6)
Methane
(6)
industrie
(6)
crime
(5)
herbicides
(5)
hommage
(5)
mal-bouffe
(5)
plateforme
(5)
pollution plastique
(5)
techniques nouvelles
(5)
alimenation
(4)
dechets
(4)
disparus
(4)
geoingenierie
(4)
magnetisme terrestre
(4)
perturbateur endocrinien
(4)
proces
(4)
animal
(3)
cop21
(3)
espoir
(3)
glaciers
(3)
journée mondiale
(3)
silence
(3)
verglas
(3)
Eureka
(2)
Géopolitique environnementale
(2)
Nouvelles technologies
(2)
ah bon...
(2)
amiante
(2)
conflis
(2)
crue
(2)
cyanobacteries
(2)
dengue
(2)
eclipse
(2)
espace
(2)
gag
(2)
malbouffe
(2)
poisson
(2)
projet de loi
(2)
pétrole
(2)
recolte
(2)
sinkhole
(2)
violence
(2)
zad
(2)
Elevage intensif
(1)
Finance
(1)
ONG
(1)
Recherche
(1)
Tempête
(1)
Toxique
(1)
Tristesse
(1)
commerce
(1)
consultation public
(1)
contribution
(1)
effet d annonce
(1)
extrane(l)us
(1)
fuite
(1)
greenwashing
(1)
infraction
(1)
initiative
(1)
inovation
(1)
intempérie
(1)
maree
(1)
massacre
(1)
météo
(1)
naufrage
(1)
peche
(1)
police
(1)
pollution interieur
(1)
pollution lumineuse
(1)
prétexte
(1)
requin
(1)
saisi
(1)
sanitaire
(1)
securite
(1)
semences
(1)
semences paysannes
(1)
séisme
(1)
trafic
(1)
victoire
(1)
zika
(1)
Fourni par Blogger.