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vendredi 27 avril 2012
18:08
La surveillance estivale du moustique tigre, Aedes albopictus, une espèce capable de transmettre des maladies telles que la dengue ou le chikungunya est relancée dans le sud de la France, dès le 1er mai, par le ministère de la Santé.
Implanté depuis de nombreuses années dans certains départements français d'outre-mer (Océan Indien) et en Europe, ce moustique, originaire d'Asie, s'est installé en métropole dans les Alpes-Maritimes (depuis 2004), en Haute-Corse (2006), Corse du Sud et dans le Var (2007) ainsi que dans les Alpes de Haute-Provence (2010) et certains quartiers de Marseille (2010).
En 2011, il s'est installé dans l'Hérault, le Gard et le Vaucluse.
Il est régulièrement détecté, mais de manière épisodique dans certains départements de la région Rhône-Alpes (Rhône, Ain, Savoie, Isère et Drome) et a fait une première apparition en Aquitaine (Gironde et Lot-et-Garonne).
Il n'y a pas, à l'heure actuelle, d'épidémie de dengue ou de chikungunya dans ces départements, souligne vendredi la Direction générale de la Santé (DGS) dans un communiqué.
Cependant, pour la première fois en 2010, des cas autochtones de dengue (2 cas) et de chikungunya (2 cas) ont été identifiés pendant l'été dans les Alpes-Maritimes et le Var, soulignant ainsi la possibilité de voir se développer ces maladies virales dans les départements où le moustique Aedes albopictus est implanté.
Pour prévenir et limiter une circulation autochtone de ces virus, un dispositif de lutte a été mis en place en 2006, actualisé chaque année et renforcé pour la période estivale. Il inclut une surveillance des populations de moustiques, une surveillance des cas humains et une sensibilisation des personnes résidant dans les zones où la présence du moustique est avérée.
Les autorités publiques ne peuvent lutter seules et chacun peut adopter des gestes simples pour notamment de supprimer les eaux stagnantes qui permettent la reproduction du moustique, à l'intérieur et autour de son domicile (soucoupes des pots de fleurs, vases, gouttières mal entretenues, pneus usagés...).
Par ailleurs, les personnes se rendant dans des pays où circulent les virus du chikungunya et de la dengue doivent se protéger des piqûres de moustiques, dans ces pays mais également à leur retour s'ils résident dans le sud de la France. Objectif : prévenir l'introduction de ces maladies en métropole (voir bit.ly/Ih3Pez)
Disponible également en ligne, le dépliant nuisances et maladies, ce qu'il faut savoir sur le moustique Tigre (bit.ly/Ia0b0f) et un point des connaissances pour les professionnels de santé (bit.ly/JESzbe).
Information complémentaire sur les zones endémiques et les conseils aux voyageurs :
www.invs.sante.fr et www.diplomatie.gouv.fr
Source ©AFP
Attention au moustique tigre! (Marseille) par LCM
Implanté depuis de nombreuses années dans certains départements français d'outre-mer (Océan Indien) et en Europe, ce moustique, originaire d'Asie, s'est installé en métropole dans les Alpes-Maritimes (depuis 2004), en Haute-Corse (2006), Corse du Sud et dans le Var (2007) ainsi que dans les Alpes de Haute-Provence (2010) et certains quartiers de Marseille (2010).
En 2011, il s'est installé dans l'Hérault, le Gard et le Vaucluse.
Il est régulièrement détecté, mais de manière épisodique dans certains départements de la région Rhône-Alpes (Rhône, Ain, Savoie, Isère et Drome) et a fait une première apparition en Aquitaine (Gironde et Lot-et-Garonne).
Il n'y a pas, à l'heure actuelle, d'épidémie de dengue ou de chikungunya dans ces départements, souligne vendredi la Direction générale de la Santé (DGS) dans un communiqué.
Cependant, pour la première fois en 2010, des cas autochtones de dengue (2 cas) et de chikungunya (2 cas) ont été identifiés pendant l'été dans les Alpes-Maritimes et le Var, soulignant ainsi la possibilité de voir se développer ces maladies virales dans les départements où le moustique Aedes albopictus est implanté.
Pour prévenir et limiter une circulation autochtone de ces virus, un dispositif de lutte a été mis en place en 2006, actualisé chaque année et renforcé pour la période estivale. Il inclut une surveillance des populations de moustiques, une surveillance des cas humains et une sensibilisation des personnes résidant dans les zones où la présence du moustique est avérée.
Les autorités publiques ne peuvent lutter seules et chacun peut adopter des gestes simples pour notamment de supprimer les eaux stagnantes qui permettent la reproduction du moustique, à l'intérieur et autour de son domicile (soucoupes des pots de fleurs, vases, gouttières mal entretenues, pneus usagés...).
Par ailleurs, les personnes se rendant dans des pays où circulent les virus du chikungunya et de la dengue doivent se protéger des piqûres de moustiques, dans ces pays mais également à leur retour s'ils résident dans le sud de la France. Objectif : prévenir l'introduction de ces maladies en métropole (voir bit.ly/Ih3Pez)
Disponible également en ligne, le dépliant nuisances et maladies, ce qu'il faut savoir sur le moustique Tigre (bit.ly/Ia0b0f) et un point des connaissances pour les professionnels de santé (bit.ly/JESzbe).
Information complémentaire sur les zones endémiques et les conseils aux voyageurs :
www.invs.sante.fr et www.diplomatie.gouv.fr
Source ©AFP
Attention au moustique tigre! (Marseille) par LCM
18:02
Il y a 26 ans jour pour jour, le réacteur numéro de la centrale ukrainienne de Tchernobyl explosait, soulevait la dalle de béton de 2 000 tonnes qui le protégeait et libérait dans l’atmosphère des éléments d’une radioactivité équivalente à au moins 200 bombes de Hiroshima.
Ce jeudi, jour de la célébration de l’anniversaire de
cette catastrophe, l’Ukraine va lancer l’assemblage
d’un nouveau sarcophage autour du réacteur accidenté.
La chape de béton qui entoure aujourd’hui le site, construite dans l’urgence par les « liquidateurs », est en effet fissurée et ne réduit que partiellement la radioactivité du site.
Ce sont les groupes français Bouygues et Vinci qui seront chargés de ce chantier à 1,5 milliard d’euros, financé par la communauté internationale.
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....sinon voici quelque nouvelles très inquiétantes de Fukushima au Japon
Interview du diplomate Akio Matsumura qui nous prévient que la catastrophe de la centrale nucléaire de Fukushima au Japon peut finalement se transformer en un évènement capable de mettre en péril toute vie sur Terre...No comment...
14:22
Utilisés massivement dans la viticulture, les pesticides se retrouvent logiquement dans nos verres de vin, même bio. C’est le constat de 60 Millions de consommateurs, qui demande qu’une limite maximale de ces polluants protège enfin le consommateur de vin… et de cocktails chimiques.
Il suffit de vivre dans une région viticole pour le constater. A tort ou à raison, la viticulture utilise de nombreux traitements chimiques pour protéger ses raisins des maladies de la vigne. Pour lutter contre les champignons du raisin comme le mildiou, le botrytis ou l’oïdium, mais aussi les chenilles, les viticulteurs répandent des tonnes de fongicides et pesticides sur leurs cultures, les plus consommatrices de produits chimiques du secteur agricole.
Des traces de pesticides dans tous les vins
Et sans surprise, on retrouve ces polluants chimiques dans nos verres de vin. C’est pour évaluer précisément cette contamination silencieuse que l’association de consommateurs à mené une étude sur 52 vins rouges et blancs, conventionnels et biologiques, issus de France mais aussi d’autres pays.
Recherchant la présence de 29 substances chimiques dans les échantillons de vins étudiés, 60 Millions de consommateurs vient de publier ses résultats et ils sont inquiétants. Tous les vins issus de la viticulture conventionnelle contiennent des traces de pesticides, « heureusement à des doses souvent faibles » relative cependant l’association.
Mais le plus surprenant, c’est que ces traces de polluants dans nos verres sont tout à fait légales. Car « il n’existe paradoxalement pas de limites maximales de résidus (LMR) pour le vin » s’indigne l’association, mais seulement pour les raisins de cuve. Pourtant, « au vu de nos résultats, imposer ces LMR au produit fini paraît indispensable » affirme 60 Millions de consommateurs.
… même bio !
Et cette pollution chimique généralisée n’épargne même pas la filière bio. Selon les résultats de l’étude, on retrouve des résidus de pesticides même dans des vins « issus de raisins certifiés biologiques ». Sur 11 vins bios étudiés, seuls 2 ne contenaient aucun des polluants recherchés indique l’association.
De manière surprenante, l'un des vins bios étudiés contenaient même 13 molécules différentes. Les professionnels du secteur expliquent la présence de ces traces de polluants par des contaminations accidentelles, les parcelles bio étant proches des conventionnelles qui utilisent des produits phytosanitaires.
Si 60 Millions de consommateurs relative cette contamination, soulignant que « les très faibles quantités » retrouvées ne remettant pas en cause la certification bio, l’association souligne que le consommateur est « en droit d’attendre un vin irréprochable ».
L’association s’inquiète du nombre de molécules différentes retrouvées rappelant qu’ « on ignore l’impact sanitaire lié aux éventuels "cocktails" de molécules ».
Source © Enviro2B
...PS: La France est le 3e consommateur mondial de produits phytosanitaires (60 000 tonnes vendues/an)....
Il suffit de vivre dans une région viticole pour le constater. A tort ou à raison, la viticulture utilise de nombreux traitements chimiques pour protéger ses raisins des maladies de la vigne. Pour lutter contre les champignons du raisin comme le mildiou, le botrytis ou l’oïdium, mais aussi les chenilles, les viticulteurs répandent des tonnes de fongicides et pesticides sur leurs cultures, les plus consommatrices de produits chimiques du secteur agricole.
Des traces de pesticides dans tous les vins
Et sans surprise, on retrouve ces polluants chimiques dans nos verres de vin. C’est pour évaluer précisément cette contamination silencieuse que l’association de consommateurs à mené une étude sur 52 vins rouges et blancs, conventionnels et biologiques, issus de France mais aussi d’autres pays.
Recherchant la présence de 29 substances chimiques dans les échantillons de vins étudiés, 60 Millions de consommateurs vient de publier ses résultats et ils sont inquiétants. Tous les vins issus de la viticulture conventionnelle contiennent des traces de pesticides, « heureusement à des doses souvent faibles » relative cependant l’association.
Mais le plus surprenant, c’est que ces traces de polluants dans nos verres sont tout à fait légales. Car « il n’existe paradoxalement pas de limites maximales de résidus (LMR) pour le vin » s’indigne l’association, mais seulement pour les raisins de cuve. Pourtant, « au vu de nos résultats, imposer ces LMR au produit fini paraît indispensable » affirme 60 Millions de consommateurs.
… même bio !
Et cette pollution chimique généralisée n’épargne même pas la filière bio. Selon les résultats de l’étude, on retrouve des résidus de pesticides même dans des vins « issus de raisins certifiés biologiques ». Sur 11 vins bios étudiés, seuls 2 ne contenaient aucun des polluants recherchés indique l’association.
De manière surprenante, l'un des vins bios étudiés contenaient même 13 molécules différentes. Les professionnels du secteur expliquent la présence de ces traces de polluants par des contaminations accidentelles, les parcelles bio étant proches des conventionnelles qui utilisent des produits phytosanitaires.
Si 60 Millions de consommateurs relative cette contamination, soulignant que « les très faibles quantités » retrouvées ne remettant pas en cause la certification bio, l’association souligne que le consommateur est « en droit d’attendre un vin irréprochable ».
L’association s’inquiète du nombre de molécules différentes retrouvées rappelant qu’ « on ignore l’impact sanitaire lié aux éventuels "cocktails" de molécules ».
Source © Enviro2B
...PS: La France est le 3e consommateur mondial de produits phytosanitaires (60 000 tonnes vendues/an)....
14:13
Des tests indépendants ont révélé des traces de produits chimiques dans l'air aux abords de puits de gaz de schiste au Texas.
Une étude financée par les habitants de la commune de Colleyville (nord-est du Texas) et menée par l'analyste en qualité de l'air GD Air Testing, a prouvé la présence de 36 produits chimiques dans l'air.
Du disulfure de carbone, du benzène et du naphtalène, notamment, ont été détectés à des doses supérieures aux standards autorisés. Ces produits toxiques sont utilisés par les industriels pour réaliser la fracturation hydraulique, la seule technique connue à ce jour pour exploiter le gaz de schiste.
"Les tests confirment malheureusement nos pires craintes", ont indiqué des riverains. C'est la première fois que la présence de ces produits dans l'air est avérée au Texas, l'un des Etats qui dispose des plus grandes réserves de gaz de schiste.
La ville, qui abrite un gisement exploité par Chesapeake, n'a pour le moment pas confirmé les conclusions cette étude.
Source © Zone Bourse
27/04/2012...USA, Ohio, Plus de 28 000 poissons ont été retrouvé morts dans la rivière "Rocky River"
14:07
Plus de 28 000 poissons ont été retrouvé morts dans la rivière "Rocky River" dans le parc de la réserve naturelle de Cleveland à Strongsville dans l'état de l’Ohio aux états unis. Plus de 22 espèces ont été touché.
Les équipes de l'institut ministériel de la faune et de la flore et des ressources naturelles mènent l'enquête pour tenter de déterminer les causes de cette hécatombe soudaine.
La source de la pollution semble provenir de la région de Bonny Park, Confirme le directeur des programmes d'assainissement des eaux et des égouts des bassins du versant nord de l'Ohio du district Groenland Frank.
"Nous ne savons pas si cette pollution est d'origine industrielle toutes les sources possibles sont en cours d'investigation. Nous étudions actuellement toutes les pistes, nous avons même imagine un possible rejet de Pesticides illégaux dans la rivière par exemple, mais actuellement nous ne savons même pas si il s'agit d'une pollution chimique c'est vous dire"
Ce qui est sûr c'est qu'aucun poisson vivant n'a été aperçu sur plus de 2 km par les équipes de la chaine de télévision de NewsChannel5 sur place.
Les équipes de l'institut ministériel de la faune et de la flore et des ressources naturelles mènent l'enquête pour tenter de déterminer les causes de cette hécatombe soudaine.
La source de la pollution semble provenir de la région de Bonny Park, Confirme le directeur des programmes d'assainissement des eaux et des égouts des bassins du versant nord de l'Ohio du district Groenland Frank.
"Nous ne savons pas si cette pollution est d'origine industrielle toutes les sources possibles sont en cours d'investigation. Nous étudions actuellement toutes les pistes, nous avons même imagine un possible rejet de Pesticides illégaux dans la rivière par exemple, mais actuellement nous ne savons même pas si il s'agit d'une pollution chimique c'est vous dire"
Ce qui est sûr c'est qu'aucun poisson vivant n'a été aperçu sur plus de 2 km par les équipes de la chaine de télévision de NewsChannel5 sur place.
14:02
Le pétrolier anglo-néerlandais Shell, responsable d'un déversement d'hydrocarbures en 2008 près de la ville de Bodo au Nigéria, aurait sous-estimé le volume de la fuite de l'oléoduc responsable de la marée noire, selon une évaluation indépendante du cabinet américain Accufacts établie à la demande d'Amnesty International et le Centre nigérian pour l'environnement, les droits humains et le développement (CEHRD).
Shell aurait estimé le volume total des déversements d'hydrocarbures entre le 5 octobre 2008 et 7 novembre 2008 (date de la fin de la fuite) à environ 1.640 barils…
Or, le cabinet évalue de son côté entre 103.000 et 311.000 barils le déversement dans le Delta depuis le 28 août 2008, date du début de la pollution selon la population et les autorités de contrôle nigérianes ! Soit après 72 jours de fuite.
'' La différence est ahurissante : même en prenant la fourchette basse de l'estimation d'Accufacts, le volume de pétrole déversé à Bodo était 60 fois supérieur à ce que Shell a affirmé à plusieurs reprises'' , a déclaré dans un communiqué Audrey Gaughran, chargée des questions relatives aux enjeux internationaux à Amnesty International.
Le chiffre de Shell serait de 7,8 millions de litres déversés après 4 semaines de fuite contre plus de 49 millions de litres après 10 semaines confirmées par les autorités…
La communauté de Bodo, soutenue par des ONG, a décidé d'assigner Shell devant la justice britannique pour obtenir des compensations et une dépollution des zones ''adéquate''. La quantité de pétrole déversée par le pétrolier à Bodo pourrait être un point-clé de l'affaire judiciaire prévue cette année devant le tribunal londonien.
Source © Amnesty international /Rachida Boughriet
Une pétition est en ligne chez Amnesty c'est ici
Livelihoods featuring Sophie Okonedo: Shell must clean up the Niger Delta from Amnesty International on Vimeo.
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13:51
Une onde tropicale particulièrement active a provoqué des pluies diluviennes sur l'île d'Hispaniola (Haïti et République Dominicaine) occasionnant des inondations et des coulées de boue.
9 personnes ont été tuées à Haïti et 11150 personnes ont été contraintes de fuir leurs habitations en République Dominicaine.
Les 9 victimes ont été répertoriées dans le Sud et l'Ouest d'Haïti. Parmi les victimes figure un enfant de 6 ans et une femmes qui ont été tués dans un glissement de terrain à Port au Prince.
4 autres personnes ont été emportées par les crues à l'extérieur de la ville.
En République Dominicaine, 3000 maisons ont été inondées dans la province septentrionale de Puerto Plata et dans le centre et le Sud-Est du pays. Les autorités ont indiqué que 23 des 32 provinces du pays étaient à haut risque de crue pour le reste de la semaine en raison de nouvelles prévisions de pluie. _________________________________________________________________________________________________ ___________________________________________________________________________________________________
mercredi 25 avril 2012
11:37
Des milliers de pompiers combattent plusieurs incendies qui ravagent les forêts et prairies dans la région autonome de Mongolie intérieure, dans le nord de la Chine.
Plus de mille pompiers luttent contre les feux de forêt qui se sont déclarés dans la bannière autonome d'Oroqen, n'épargnant aucun effort pour maîtriser les incendies avant dimanche, car des vents forts devraient, selon les prévisions météorologiques, commencer à souffler dans la région.
Mille autres pompiers ont été mobilisés pour combattre un feu qui s'est propagé depuis la Mongolie vers le nord de la Mongolie intérieure. Le feu a franchi la frontière en trois endroits et s'étendait, vendredi à 22H30, sur 20 km de front à l'intérieur du territoire chinois, selon les images satellites du bureau météorologique régional.
Source Chine info
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Plus de mille pompiers luttent contre les feux de forêt qui se sont déclarés dans la bannière autonome d'Oroqen, n'épargnant aucun effort pour maîtriser les incendies avant dimanche, car des vents forts devraient, selon les prévisions météorologiques, commencer à souffler dans la région.
Mille autres pompiers ont été mobilisés pour combattre un feu qui s'est propagé depuis la Mongolie vers le nord de la Mongolie intérieure. Le feu a franchi la frontière en trois endroits et s'étendait, vendredi à 22H30, sur 20 km de front à l'intérieur du territoire chinois, selon les images satellites du bureau météorologique régional.
Source Chine info
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11:28
ALGER — Un séisme de magnitude 5 s'est produit mercredi à l'aube dans la région de Chlef (200 km à l'ouest d'alger), a indiqué le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG).
Cette secousse, ressentie dans le département voisin de Aïn Defla (160 km à l'ouest d'Alger) et dans la capitale, "n'a provoqué ni pertes humaines ni dégâts matériels", a précisé la protection civile, citée par la radio algérienne.
L'épicentre du tremblement de terre, enregistré 04H18 (03H18 GMT), a été localisé 8 km à l'est de la ville de Beni Haoua, dans le département de Chlef, selon le CRAAG.
La secousse a entraîné des scènes de panique dans plusieurs quartiers de la côte ouest d'Alger où des habitants ont quitté précipitamment leurs domiciles, ont indiqué des témoins à l'AFP.
La région de Chlef avait été frappée le 10 octobre 1980 par un séisme d'une magnitude de 7,1 qui avait fait au moins 5.000 morts.
L'Algérie, dont le nord est situé dans une zone sismique, est régulièrement affectée par des tremblements de terre.
Source © AFP
Cette secousse, ressentie dans le département voisin de Aïn Defla (160 km à l'ouest d'Alger) et dans la capitale, "n'a provoqué ni pertes humaines ni dégâts matériels", a précisé la protection civile, citée par la radio algérienne.
L'épicentre du tremblement de terre, enregistré 04H18 (03H18 GMT), a été localisé 8 km à l'est de la ville de Beni Haoua, dans le département de Chlef, selon le CRAAG.
La secousse a entraîné des scènes de panique dans plusieurs quartiers de la côte ouest d'Alger où des habitants ont quitté précipitamment leurs domiciles, ont indiqué des témoins à l'AFP.
La région de Chlef avait été frappée le 10 octobre 1980 par un séisme d'une magnitude de 7,1 qui avait fait au moins 5.000 morts.
L'Algérie, dont le nord est situé dans une zone sismique, est régulièrement affectée par des tremblements de terre.
Source © AFP
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11:24
Le ministère américain de l'Agriculture a annoncé mardi avoir détecté un cas de maladie de la vache folle en Californie (ouest des Etats-Unis), tout en tentant de rassurer les consommateurs quant à la santé du bétail aux Etats-Unis.
Le ministère de l'Agriculture a confirmé le quatrième cas dans le pays d'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) sur une vache laitière du centre de la Californie, indique un communiqué.
Selon les autorités américaines, l'animal n'est pas utilisé pour faire de la viande. A aucun moment (la vache) n'a présenté un danger pour la chaîne alimentaire ou la santé publique. L'ESB ne se transmet pas par le lait, souligne le ministère.Nos mécanismes pour prévenir l'ESB fonctionnent.
Le ministère de l'Agriculture a confiance dans la santé du bétail américain et dans le fait que la viande et les produits laitiers ne représentent aucun danger.
L'exportation de viande de boeuf américaine représente 353 millions de dollars par an.
La maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), variante humaine de la vache folle, serait responsable de plus de 200 décès à travers le monde, principalement en Grande-Bretagne.
Selon les scientifiques, l'épidémie se serait répandue par le biais de farines animales, destinées à l'alimentation du bétail, produites à partir d'animaux infectés.
Source ©AFP
Le ministère de l'Agriculture a confirmé le quatrième cas dans le pays d'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) sur une vache laitière du centre de la Californie, indique un communiqué.
Selon les autorités américaines, l'animal n'est pas utilisé pour faire de la viande. A aucun moment (la vache) n'a présenté un danger pour la chaîne alimentaire ou la santé publique. L'ESB ne se transmet pas par le lait, souligne le ministère.Nos mécanismes pour prévenir l'ESB fonctionnent.
Le ministère de l'Agriculture a confiance dans la santé du bétail américain et dans le fait que la viande et les produits laitiers ne représentent aucun danger.
L'exportation de viande de boeuf américaine représente 353 millions de dollars par an.
La maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), variante humaine de la vache folle, serait responsable de plus de 200 décès à travers le monde, principalement en Grande-Bretagne.
Selon les scientifiques, l'épidémie se serait répandue par le biais de farines animales, destinées à l'alimentation du bétail, produites à partir d'animaux infectés.
Source ©AFP
11:20
L'Etna n'a pas dit son dernier mot !
Après une très longue phase d'effusion accompagnée d'épisodes stromboliens, une nouvelle éruption de l’Etna a eu lieu hier vers 4 heures du matin avec son spectacle habituel de fontaine de lave (heure locale).
On peut se rendre compte de l'ampleur du phénomène sur la vidéo ci-dessous tournée depuis Giarre au SE du volcan. On entend nettement les retombées de lapilli.
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Après une très longue phase d'effusion accompagnée d'épisodes stromboliens, une nouvelle éruption de l’Etna a eu lieu hier vers 4 heures du matin avec son spectacle habituel de fontaine de lave (heure locale).
On peut se rendre compte de l'ampleur du phénomène sur la vidéo ci-dessous tournée depuis Giarre au SE du volcan. On entend nettement les retombées de lapilli.
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mardi 24 avril 2012
19:37
Plus de 300 personnes ont été évacuées près de Riazan en raison de crues sans précédent depuis près d'un siècle dans cette région située au sud-est de Moscou, a rapporté mardi un photographe de l'AFP.
Les eaux de la rivière Mokcha, au bord de laquelle se trouve le bourg de Kadom, à 250 km au nord-est de Riazan, ont envahi mardi 1.148 habitations, selon un communiqué de l'antenne locale du ministère russe des Situations d'urgence.
Près de 500 sauveteurs ont été mobilisés pour venir au secours des 8.500 habitants de cette localité, selon la même source.
La plupart des habitants ont refusé de se faire évacuer, selon le communiqué.
Certains quartiers sont entièrement inondés et les habitants ne s'y déplacent qu'en canots ou à cheval, a constaté le photographe de l'AFP.
Les secouristes et les habitants ont renforcé les berges de la Mokcha sur 5 km avec du béton et des sacs remplis de sable.
Des plate-formes en bois ont été érigées pour le bétail.
L'hiver neigeux et un redoux tardif mais brutal ont provoqué des crues sans précédent depuis 1923 dans cette région, selon les habitants.
Source ©AFP ________________________________________________________________________________________________________ _______________________________________________________________________________________________________________________________ ______________________________________________________________________________________________________________________________ Et...Crue exceptionnelle du fleuve Amazone
Depuis le début de l’année, le fleuve Amazone présente des hauteurs d’eau très élevées.
Par ailleurs, le fleuve atteint habituellement son niveau le plus élevé au début du mois de mai, ce qui laisse penser que les hauteurs d’eau vont certainement encore augmenter.
Jusqu’à début avril, plus de 140 000 personnes ont été affectées par les inondations dans la province de Loreto (Pérou) et notamment sa capitale Iquitos, et de nombreuses infrastructures (collèges, centres de santé etc..) dans les principaux centre urbains ont été sinistrés.
Face à cette situation, les autorités péruviennes ont déclaré l’état d’urgence dans la région.
Ce phénomène se propage actuellement vers le Brésil en aval. Les pluies soutenues dans la partie andine de l’Amazonie, d’une part, et en territoire brésilien, d’autre part, contribuent à maintenir la puissance de la propagation de la crue en direction du cours principal de l’Amazone.
Les eaux de la rivière Mokcha, au bord de laquelle se trouve le bourg de Kadom, à 250 km au nord-est de Riazan, ont envahi mardi 1.148 habitations, selon un communiqué de l'antenne locale du ministère russe des Situations d'urgence.
Près de 500 sauveteurs ont été mobilisés pour venir au secours des 8.500 habitants de cette localité, selon la même source.
La plupart des habitants ont refusé de se faire évacuer, selon le communiqué.
Certains quartiers sont entièrement inondés et les habitants ne s'y déplacent qu'en canots ou à cheval, a constaté le photographe de l'AFP.
Les secouristes et les habitants ont renforcé les berges de la Mokcha sur 5 km avec du béton et des sacs remplis de sable.
Des plate-formes en bois ont été érigées pour le bétail.
L'hiver neigeux et un redoux tardif mais brutal ont provoqué des crues sans précédent depuis 1923 dans cette région, selon les habitants.
Source ©AFP ________________________________________________________________________________________________________ _______________________________________________________________________________________________________________________________ ______________________________________________________________________________________________________________________________ Et...Crue exceptionnelle du fleuve Amazone
Le 4 avril 2012, le niveau du fleuve Amazone dans sa partie amont au Pérou a dépassé son record historique, atteignant 1118,62 m dans la ville d’Iquitos, en aval de la confluence de ses deux principaux affluents, l’Ucayali et le Marañón.
Depuis le début de l’année, le fleuve Amazone présente des hauteurs d’eau très élevées.
En janvier, le niveau de la rivière était déjà deux mètres au-dessus de la valeur habituelle à cette date, et le niveau atteint au début du mois d’avril est le plus élevé jamais enregistré, soit depuis 42 ans.
Par ailleurs, le fleuve atteint habituellement son niveau le plus élevé au début du mois de mai, ce qui laisse penser que les hauteurs d’eau vont certainement encore augmenter.
19:22
Albert Falco, plongeur puis célèbre capitaine de la Calypso, s’est éteint ce samedi 21 avril à Marseille. Il rejoint ainsi d’autres grands explorateurs comme Jacques-Yves Cousteau et Henri-Germain Delauze qui sont parvenus à marquer et émerveiller plusieurs générations de passionnés de la mer et plongeurs depuis les années 1960.
Ce début d’année 2012 aura vu disparaître deux grands explorateurs du monde sous-marin. Albert Falco, célèbre commandant de la Calypso, s’est en effet éteint ce samedi 21 avril à l’âge de 84 ans à Marseille, quelques jours après la création du Parc national des Calanques qui lui tenait tant à cœur. Il rejoint ainsi Henri-Germain Delauze, le fondateur de la Comex décédé en février dernier.
Engagé dans l’équipage du commandant Cousteau dès 1952, Albert Falco fit partie de la première équipe de plongeurs de la Calypso avant de prendre progressivement du galon jusqu’à devenir capitaine. Il prit sa retraite en 1990 au terme de trente-sept années d’aventures en mer.
Après avoir joué un rôle important dans Le monde du silence (Palme d’or à Cannes en 1956), il se fit également remarquer en devenant l’un des premiers plongeurs, ou océanautes, à vivre plusieurs jours de suite sous la mer. Il participa en effet aux expériences Précontinent 1 et 2 et résida sept jours puis trente à 10 mètres de profondeur respectivement au large de Marseille (1962) et du Soudan (1963), sans jamais remonter à la surface et en sortant tous les jours dans l’eau pour travailler.
Il a également été le chef pilote de Denise, la célèbre soucoupe plongeante co-inventée par Jacques-Yves Cousteau et Jean Mollard. Dans les années 1960, Albert Falco réalisa plus de 300 plongées à bord de cet engin prévu pour descendre à 350 mètres de profondeur avec une autonomie de 4 à 5 heures. Tous ces exploits et son implication dans de nombreux projets environnementaux lui ont valu plusieurs distinctions, dont l’Ordre national du mérite et la Légion d’honneur.
Albert Falco, l'Oceanaute - Teaser from Lato Sensu productions on Vimeo.
Ce début d’année 2012 aura vu disparaître deux grands explorateurs du monde sous-marin. Albert Falco, célèbre commandant de la Calypso, s’est en effet éteint ce samedi 21 avril à l’âge de 84 ans à Marseille, quelques jours après la création du Parc national des Calanques qui lui tenait tant à cœur. Il rejoint ainsi Henri-Germain Delauze, le fondateur de la Comex décédé en février dernier.
Engagé dans l’équipage du commandant Cousteau dès 1952, Albert Falco fit partie de la première équipe de plongeurs de la Calypso avant de prendre progressivement du galon jusqu’à devenir capitaine. Il prit sa retraite en 1990 au terme de trente-sept années d’aventures en mer.
Après avoir joué un rôle important dans Le monde du silence (Palme d’or à Cannes en 1956), il se fit également remarquer en devenant l’un des premiers plongeurs, ou océanautes, à vivre plusieurs jours de suite sous la mer. Il participa en effet aux expériences Précontinent 1 et 2 et résida sept jours puis trente à 10 mètres de profondeur respectivement au large de Marseille (1962) et du Soudan (1963), sans jamais remonter à la surface et en sortant tous les jours dans l’eau pour travailler.
Il a également été le chef pilote de Denise, la célèbre soucoupe plongeante co-inventée par Jacques-Yves Cousteau et Jean Mollard. Dans les années 1960, Albert Falco réalisa plus de 300 plongées à bord de cet engin prévu pour descendre à 350 mètres de profondeur avec une autonomie de 4 à 5 heures. Tous ces exploits et son implication dans de nombreux projets environnementaux lui ont valu plusieurs distinctions, dont l’Ordre national du mérite et la Légion d’honneur.
Albert Falco, l'Oceanaute - Teaser from Lato Sensu productions on Vimeo.
19:09
Le directeur exécutif du Group on Earth Observations (GEO), le Français José Achache, s'alarme des menaces budgétaires qui pèsent sur deux programmes européens pour l'observation de la Terre depuis l'espace.
"La France a annoncé qu'elle ne participerait pas au prochain budget du Programme-enveloppe Observation de la Terre de l'Agence spatiale européenne (ESA)", a affirmé le Pr Achache, confirmant une information des Echos. Mais pour la responsable du programme Terre, Environnement et Climat au Centre national d'études spatiales (CNES), Pascale Ultré-Guérard, la position de la France n'est pas encore "parfaitement arrêtée" et l'annonce d'une décision est "prématurée".
"Le travail est en cours. On est au début du processus", a-t-elle déclaré. Elle a cependant reconnu que des "pressions budgétaires" pesaient sur la plupart des pays et que la réunion ministérielle au niveau de l'ESA, prévue en novembre, allait "être très difficile".
Trop cher
Le budget du Programme-enveloppe représente presque 2 milliards d'euros pour 5 ans, "bien au-delà de ce qui avait été proposé pour la tranche précédente", a relevé Mme Ultré-Guérard. "On n'est pas les seuls à dire que c'est trop cher", a-t-elle ajouté. Pour le Pr Achache, un désengagement de la France, un des principaux contributeurs avec l'Allemagne, "serait un coup mortel".
"C'est aussi extrêmement choquant parce que la France a été l'initiateur du Programme-enveloppe et par ailleurs, la France a été historiquement le pays qui a développé l'observation de la Terre en Europe", a-t-il déclaré. Autre sujet d'inquiétude pour le GEO, association internationale chargée de coordonner les systèmes d'observation, les menaces pesant sur les financements du programme de surveillance environnementale par satellite GMES (Global Monitoring for Environment and Security).
La mort des satellites d'observation
La Commission européenne envisage de retirer du budget commun les financements destinés au GMES pour les laisser à la charge des gouvernements. Le coût de ce programme est estimé à 5,7 milliards d'euros sur la période 2014-2020. "Arrêter GMES maintenant ce serait une catastrophe", a dénoncé le Pr Achache.
Pour le directeur exécutif du GEO, la double menace sur le Programme-enveloppe de l'ESA et le GMES, signifierait "la mort de tous les satellites d'observation de la Terre, au moment où le climat, l'environnement et la gestion des ressources deviennent une priorité". "Tout le monde reconnaît que la seule façon de surveiller ça convenablement c'est avec des satellites", a-t-il poursuivi.
"C'est d'autant plus cruel que le satellite d'observation Envisat ne répond plus depuis 15 jours", a-t-il souligné, rappelant que les satellites Sentinelle du programme GMES ont été conçus pour assurer la continuité des observations d'Envisat. Le satellite Sentinelle-1, premier de la série, doit être lancé en 2013.
Source 7/7
...tiens donc...
...bon allez ...laissons place aux chefs du monde...
Fragile Oasis - Connecting Space and Earth: Learn. Act. Make A Difference. from Fragile Oasis on Vimeo.
"La France a annoncé qu'elle ne participerait pas au prochain budget du Programme-enveloppe Observation de la Terre de l'Agence spatiale européenne (ESA)", a affirmé le Pr Achache, confirmant une information des Echos. Mais pour la responsable du programme Terre, Environnement et Climat au Centre national d'études spatiales (CNES), Pascale Ultré-Guérard, la position de la France n'est pas encore "parfaitement arrêtée" et l'annonce d'une décision est "prématurée".
"Le travail est en cours. On est au début du processus", a-t-elle déclaré. Elle a cependant reconnu que des "pressions budgétaires" pesaient sur la plupart des pays et que la réunion ministérielle au niveau de l'ESA, prévue en novembre, allait "être très difficile".
Trop cher
Le budget du Programme-enveloppe représente presque 2 milliards d'euros pour 5 ans, "bien au-delà de ce qui avait été proposé pour la tranche précédente", a relevé Mme Ultré-Guérard. "On n'est pas les seuls à dire que c'est trop cher", a-t-elle ajouté. Pour le Pr Achache, un désengagement de la France, un des principaux contributeurs avec l'Allemagne, "serait un coup mortel".
"C'est aussi extrêmement choquant parce que la France a été l'initiateur du Programme-enveloppe et par ailleurs, la France a été historiquement le pays qui a développé l'observation de la Terre en Europe", a-t-il déclaré. Autre sujet d'inquiétude pour le GEO, association internationale chargée de coordonner les systèmes d'observation, les menaces pesant sur les financements du programme de surveillance environnementale par satellite GMES (Global Monitoring for Environment and Security).
La mort des satellites d'observation
La Commission européenne envisage de retirer du budget commun les financements destinés au GMES pour les laisser à la charge des gouvernements. Le coût de ce programme est estimé à 5,7 milliards d'euros sur la période 2014-2020. "Arrêter GMES maintenant ce serait une catastrophe", a dénoncé le Pr Achache.
Pour le directeur exécutif du GEO, la double menace sur le Programme-enveloppe de l'ESA et le GMES, signifierait "la mort de tous les satellites d'observation de la Terre, au moment où le climat, l'environnement et la gestion des ressources deviennent une priorité". "Tout le monde reconnaît que la seule façon de surveiller ça convenablement c'est avec des satellites", a-t-il poursuivi.
"C'est d'autant plus cruel que le satellite d'observation Envisat ne répond plus depuis 15 jours", a-t-il souligné, rappelant que les satellites Sentinelle du programme GMES ont été conçus pour assurer la continuité des observations d'Envisat. Le satellite Sentinelle-1, premier de la série, doit être lancé en 2013.
Source 7/7
...tiens donc...
...bon allez ...laissons place aux chefs du monde...
Fragile Oasis - Connecting Space and Earth: Learn. Act. Make A Difference. from Fragile Oasis on Vimeo.
19:01
Le barrage des trois gorges s'est une population riveraine en danger
Le plus grand barrage du monde situé en Chine va faire 100 000 ‘victimes’ de plus. C’est le nombre de personnes qui devront être déplacées dans les quelques années à venir…
Un barrage qui impose trop de sacrifices ?
Le barrage des trois gorges, centrale électrique la plus puissante du monde, refait parler de lui. Selon Liu Yuan, officiel au ministère du territoire et des ressources, 100 000 personnes doivent être déplacées dans les 3 à 5 années à venir. En cause, la multiplication des glissements de terrain sur les berges de la gigantesque retenue d’eau, celles-ci créée par le barrage.
Le barrage a déjà obligé le départ d’1,8 millions de personnes pendant sa construction. Il s’agit véritablement d’un drame social régional. Toutes ces familles vivant dans des maisons au bord du grand fleuve vont se retrouver dans des appartements en banlieue de mégalopoles de moins en moins humaines, comme Chongqing. L’adaptation à un changement imposé n’est pas facile.
Liu Yuan est formel: les déplacements sont nécessaires,
« Les 335 sites où les éboulements rocheux sont fréquents ont été identifiés et sont observés en permanence. On a aussi repéré 5386 autres endroits potentiellement dangereux. On demande aux habitants des environs d’assurer une surveillance la plus fine possible. Malgré tout cela, on aura quand même besoin de déplacer 100 000 personnes dans les 3 à 5 ans qui viennent. »
De nouveaux déplacements imprévus
Le niveau de la retenue d’eau formée par le barrage a atteint son niveau maximal en 2011 soit 175 mètres. L’érosion des berges a été plus importante que prévu. Les constructions près des berges sont menacées.
Une mauvaise nouvelle pour ce chef d’œuvre d’ingénierie qui fait dans la démesure. Représentant encore l’objet d’une certaine fierté nationale difficile à ébranler, le barrage des trois gorges fait de plus en plus l’objet de vives critiques. Alors qu’il est présenté par le gouvernement comme un outil de lutte contre la sécheresse et les inondations, ces deux types de catastrophes ont été vivement ressenties en aval du barrage depuis sa mise en service.
Selon certains scientifiques, la multiplication sismique dans la région est expliquée par la pression du nouveau bassin de 40 milliards de mètres cubes.Beaucoup d’habitants de Wuhan et Changsha, deux capitales de provinces en aval du barrage, trouvent désormais qu’ils vivent avec une épée de Damoclès sur la tête.
Pour l’ouvrage qui devait faire la fierté du régime, les couacs deviennent un peu trop fréquents…
....
Au suivant....
Le plus grand barrage du monde situé en Chine va faire 100 000 ‘victimes’ de plus. C’est le nombre de personnes qui devront être déplacées dans les quelques années à venir…
Un barrage qui impose trop de sacrifices ?
Le barrage des trois gorges, centrale électrique la plus puissante du monde, refait parler de lui. Selon Liu Yuan, officiel au ministère du territoire et des ressources, 100 000 personnes doivent être déplacées dans les 3 à 5 années à venir. En cause, la multiplication des glissements de terrain sur les berges de la gigantesque retenue d’eau, celles-ci créée par le barrage.
Le barrage a déjà obligé le départ d’1,8 millions de personnes pendant sa construction. Il s’agit véritablement d’un drame social régional. Toutes ces familles vivant dans des maisons au bord du grand fleuve vont se retrouver dans des appartements en banlieue de mégalopoles de moins en moins humaines, comme Chongqing. L’adaptation à un changement imposé n’est pas facile.
Liu Yuan est formel: les déplacements sont nécessaires,
« Les 335 sites où les éboulements rocheux sont fréquents ont été identifiés et sont observés en permanence. On a aussi repéré 5386 autres endroits potentiellement dangereux. On demande aux habitants des environs d’assurer une surveillance la plus fine possible. Malgré tout cela, on aura quand même besoin de déplacer 100 000 personnes dans les 3 à 5 ans qui viennent. »
De nouveaux déplacements imprévus
Le niveau de la retenue d’eau formée par le barrage a atteint son niveau maximal en 2011 soit 175 mètres. L’érosion des berges a été plus importante que prévu. Les constructions près des berges sont menacées.
Une mauvaise nouvelle pour ce chef d’œuvre d’ingénierie qui fait dans la démesure. Représentant encore l’objet d’une certaine fierté nationale difficile à ébranler, le barrage des trois gorges fait de plus en plus l’objet de vives critiques. Alors qu’il est présenté par le gouvernement comme un outil de lutte contre la sécheresse et les inondations, ces deux types de catastrophes ont été vivement ressenties en aval du barrage depuis sa mise en service.
Selon certains scientifiques, la multiplication sismique dans la région est expliquée par la pression du nouveau bassin de 40 milliards de mètres cubes.Beaucoup d’habitants de Wuhan et Changsha, deux capitales de provinces en aval du barrage, trouvent désormais qu’ils vivent avec une épée de Damoclès sur la tête.
Pour l’ouvrage qui devait faire la fierté du régime, les couacs deviennent un peu trop fréquents…
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