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samedi 26 mai 2012
A peine croyable! profitant sans doute de ce que Paul Watson, de sea shepherd est inquiété par la justice, le Japon envoie 3 bateaux dans l'océan pacifique, pour tuer 260 rorquals et baleines jusqu'à fin août!  Sûrement pour compenser le peu d'animaux tués cet hiver, suite à la campagne de sea shepherd! 
 
Malgré la protestation internationale, la pêche à la baleine au Japon a une nouvelle fois repris. Deux bateaux ont quitté le Japon vendredi et se dirigent vers les eaux du nord-ouest du Pacifique.

Les navires étaient revenus fin mars d'une mission de trois mois en Antarctique. Les baleiniers y avaient alors capturé et tué 267 baleines au lieu des 850 espérés. Tout au long de leur chasse qui est prévue jusqu'en août, les baleiniers nippons souhaitent capturer 260 rorquals et autres baleines.

Le Japon chasse chaque année des centaines de baleines, officiellement au nom de sa campagne dite "scientifique". Les scientifiques d'autres pays estiment qu'ils aboutissent à des résultats similaires quant à l'étude des baleines sans devoir pour autant les tuer au préalable.


Source : 7sur7.be   (du 18.05.12) 


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Stoppons l'extradition du Capitaine Watson vers le Costa Rica!

Tout n’est pas perdu. Tant que Paul Watson n’a pas atterri à San José, chaque citoyen a le pouvoir d’exprimer son opinion et d’en appeler à la Justice.


Pour rappel: Paul Watson a été libéré le 18 Mai dernier, sous caution de deux cent cinquante mille euros payés par Pierce Brosnan. 

Ce militant antispéciste canadien, le Time Magazine l'a même désigné comme un héros écologiste du XXe siècle, est le fondateur de la Sea Shepherd Conservation Society, qui est particulièrement actif dans la lutte contre la pêche baleinière. Il a été arrêté à l'aéroport de Franckfort-sur-le-Main le 13 mai 2012 suite à un mandat d'arrêt émis par le Costa Rica portant sur des faits datant de 2002. 
INTERPOL avait déclaré que le mandat d'arrêt ne remplissait pas les critères légaux, ce dont les États membres, Allemagne incluse, avaient été dûment informés

Cette semaine, maintes personnalités politiques ont exprimé leur indignation ; 

plus tôt aujourd’hui, le Sénat brésilien a officiellement dénoncé les pratiques de pêche illégale et salué le travail de l’activiste, demandant sa libération à l’Allemagne, peut on lire dans un communiqué de presse. 

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De nombreux phénomènes cycloniques

La saison cyclonique débute dans l'hémisphère nord. Actuellement, pas moins de trois dépressions tropicales se sont formées, dans chacun des bassins. Deux d'entre elles ne sont pas très inquiétantes pour les populations. Il s'agit d'une part d'Alberto, la première tempête tropicale dans l'Atlantique nord. Elle a fini par se dissiper totalement hier, rencontrant des eaux trop froides au large des Bermudes. Mais un autre phénomène cyclonique a pris le relai entre les Bermudes et le large de la Caroline. Cette nouvelle tempête s'appelle Beryl et évolue dans l'Atlantique pour l'instant. Sa trajectoire reste à définir.

D'autre part, une tempête tropicale nommée Sanvu circule actuellement au large des îles de Guam. Elle a provoqué de fortes précipitations sur l'archipel, avec jusqu'à 100 mm localement et des rafales proches des 90 km/h. Sanvu se dirige plein nord et atteint ce samedi matin le stade de typhon de catégorie 1. Ce week-end, il passe à proximité des îles Iwo, petit archipel japonais, où quelques intempéries sont à redouter.

Le cyclone Bud circule dans le Pacifique nord-est et constitue une menace pour la côte ouest mexicaine ce week-end. Sa trajectoire s'est incurvée vers le littoral. Bud s'est renforcé hier, atteignant vendredi la catégorie 3 sur l'échelle internationale de Saffir-Simpson qui compte 5 niveaux. Les rafales de vent dépassent les 200 km/h en son sein.

Depuis la nuit dernière, Bud a diminué très rapidement en intensité et est redevenu une simple tempête tropicale. La portion la plus menacée se situe au nord de Manzanillo, sur l'ouest du Mexique. Cette tempête va stationner plus de 24 heures dans la même zone, et donner lieu à d'abondantes précipitations (jusqu'à 200 mm d'eau).



Source Actualité météo
Une Terre et demie par an !


Dans son rapport Planète vivante, paru le 15 mai, le WWF démontre qu'il faut chaque année l'équivalent d'une Terre et demie pour répondre aux besoins mondiaux des sept milliards de Terriens.


L'humanité émet ainsi un chèque planétaire sans provision accroissant la dette écologique, celle dont on ne parle jamais.


Nos écosystèmes s'essoufflent sous la pression de nos modes de production et de consommation, qui provoquent l'effet de serre et l'érosion massive de la biodiversité.


Préserver le capital naturel, produire mieux, consommer plus sobrement, réorienter les flux financiers et instaurer une gouvernance équitable des ressources sont les voies à emprunter sans tarder pour préserver notre biosphère et ainsi transmettre une planète vivante à nos enfants !


Auteur : Serge Orru, directeur général du WWF France


Source : www.20minutes.fr
Les fuites radioactives de la centrale nucléaire de Fukushima juste après la catastrophe de mars 2011 ont été deux fois et demi supérieures aux estimations des autorités japonaises. Selon Tokyo Electric Power, 99% d'entre elles ont eu lieu durant les trois premières semaines.

Les radiations émises pendant cette période ont représenté un sixième de celles de la catastrophe de Tchernobyl, en 1986, a indiqué jeudi l'opérateur de la centrale dans un rapport.

Selon Tepco, la fusion probable de trois réacteurs de la centrale de Fukushima Daiichi a rejeté dans l'air quelque 900'000 terabecquerels de substances radioactives.
OMS rassurante


L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié mercredi un rapport d'évaluation plus rassurant. Les doses radioactives reçues par la population japonaise après l'accident nucléaire de Fukushima l'an dernier sont restées en grande partie en dessous des normes internationales.

L'OMS souligne toutefois qu'elles ont été dépassées dans deux endroits au Japon et qu'en dehors de la préfecture de Fukushima, la contamination s'est produite avant tout à travers la nourriture.


Source:
ats
Un tremblement de terre de magnitude 6,2 a secoué la mer norvégienne jeudi, a indiqué l’Institut géologique américain (USGS) sur son site internet.

Le séisme a eu lieu jeudi à 22H47 heure locale (22H47 GMT), à une profondeur de 8,8 km. L’épicentre a été localisé à 601 km au nord-ouest de Tromso, en Norvège, et à 1 472 km au nord-est de Reykjavik, capitale d’Islande, selon l’USGS.
mercredi 23 mai 2012
Une cinquantaine de makis morts a été découverte sur une île...

Une association mahoraise de protection des animaux a découvert en fin de semaine dernière les cadavres d'une cinquantaine de makis, ces petits lémuriens protégés, sur un îlot appartenant à une réserve naturelle, a-t-on appris mardi auprès de la préfecture de Mayotte.  


La préfecture et l'association des Naturalistes de Mayotte, gestionnaire de la réserve naturelle de M'Bouzi où s'est déroulée l'hécatombe, vont porter plainte. Les animaux ont peut-être été empoisonnés, les médias locaux parlant d'un usage de raticide, mais la préfecture n'a pas confirmé cette hypothèse, attendant le résultat d'analyses pratiquées sur les cadavres.
 

Entre 600 et 800 makis vivants

Ce sont des bénévoles de Maecha Komba na Zoumbé (MKZ), association de protection notamment des lémuriens, qui ont fait la macabre découverte vendredi dernier, dans cet îlot situé à peine à deux kilomètres de Mamoudzou, dans le lagon. Ils s'y rendaient dans le cadre d'une campagne de contraception de ces petits lémuriens emblématiques de Mayotte qui, introduits il y a plusieurs années par l'association Terre d'Asile dans cette île, y ont proliféré de manière excessive, mettant en péril le milieu insulaire.

L'îlot M'Bouzi est devenu une réserve naturelle nationale depuis 2007 et abrite un des derniers reliquats de forêt sèche primaire existant à Mayotte. Selon l'association Terre d'Asile, qui continue de les nourrir en approvisionnant des mangeoires, la population de makis est actuellement estimée entre 600 et 800 individus. Elle augmente de 10% chaque année, a souligné la préfecture. Les makis sont une espèce protégée par la convention de Washington sur la faune et la flore menacées d'extinction.
 


Source © AFP
Le white spot syndrome virus est apparu pour la première fois dans notre sous-région au Mozambique l’année dernière.


Il vient d’être détecté cette fois à Madagascar.


La maladie tue les crustacés, notamment les crevettes d’élevage. Les fermes aquacoles touchées chiffrent les pertes en millions d’euros le White spot syndrome virus (WSSV) ou maladie des points blancs..


Jusqu’en 2011, l’océan Indien était l’une des dernières régions au monde épargnée par cette épizootie qui touche plus de quarante espèces de crustacés sur la planète. Aujourd’hui, notre sous-région Indien est bel et bien contaminée à son tour. Les premiers cas ont été signalés fin août, l’an dernier, dans une ferme réunionnaise installée dans la région de Quélimane, au Mozambique.

La structure implantée par Aquapesca (groupe Océinde) s’est vue contrainte de stopper net sa production de crevettes bio. Cette information communiquée à l’Organisation mondiale de la santé animale avait à l’époque fortement inquiété les autorités de Madagascar, à juste titre puisque la filière crevettes s’est développée dans les mangroves de la côte ouest de la Grande Ile, à moins de 700 km des côtes mozambicaines. Le gouvernement malgache avait immédiatement interdit toute importation de crustacés du Mozambique ainsi que toute introduction de produits transformés ou de matériels ayant servi à leur manipulation. 

Mais la barrière douanière n’aura pas eu l’effet escompté. Le laboratoire de pathologie aquacole de l’Université d’Arizona (Etats-Unis) vient en effet de confirmer le premier cas malgache. Le virus a été détecté le 5 mai dans une ferme du Menabe, proche de Morondava, propriété du groupe Aquamen EF, l’un des deux poids lourds du secteur sur la Grande île aux côtés du groupe Unima. 

Un désastre potentiel pour la filière. Car le virus est mortel pour les crevettes à plus de 75%. « Nous avons dû isoler la ferme et pêcher 100% des crevettes pour les brûler » explique un responsable de la ferme du Manabe. 

« Nous avons perdu un cycle complet, soit environ 300 tonnes. C’est comme une catastrophe climatique ». Estimation des pertes selon le magazine économique Marchés Tropicaux et Méditerranéens : plus de 3,5 millions d’euros. 


3 milliards de dollars de pertes par an Le white spot syndrome virus n’est pas la seule maladie susceptible de contaminer les élevages aquacoles mais elle est certainement l’une des plus coûteuses. 

En 2002, un rapport international estimait les pertes à plus de 3 milliards de dollars par an sur la planète. Certains pays précédemment touchés comme Taiwan ont vu leur production divisée par trois après la contamination. Les enjeux financiers de la bio-sécurité sont donc très importants pour la filière. A titre indicatif, les crustacés ne représentent que 10 % du volume des produits de la mer du Mozambique mais contribuent en valeur à 75 % des exportations et représentent tout de même un chiffre d’affaires annuel de 51,8 millions de dollars. 

En 2010 à Madagascar, la sous-filière crevettière a généré à l’export environ 50 millions de dollars de recettes. Elle représentait cette même année plus de 3500 emplois directs. 

Source Madagascar environnement




Une équipe médicale franco-brésilienne a mis en évidence une prévalence anormalement élevée de micropénis chez des nouveau-nés mâles, dans une région du Nordeste, au Brésil, où l'usage des pesticides est intensif.

Les auteurs de l'article, mis en ligne sur le site de l'International Journal of Andrology, estiment que leurs données "accroissent les soupçons sur le rôle joué par une exposition prénatale aux perturbateurs endocriniens dans les malformations génitales masculines externes, en particulier les micropénis."

Certaines malformations génitales sont d'origine génétique, mais il est bien établi que des polluants ayant des propriétés similaires aux hormones féminines (œstrogènes) ou antagonistes à celles des hormones masculines (antiandrogènes) les favorisent également. Beaucoup de ces perturbateurs endocriniens peuvent s'accumuler dans le tissu adipeux et être transmis au fœtus à travers la barrière placentaire.

L'équipe dirigée par le professeur Charles Sultan (CHU et université de Montpellier) a mené son étude pendant deux ans dans les hôpitaux de Campina Grande, la deuxième ville de l'Etat du Paraiba, qui compte 400 000 habitants. Beaucoup d'entre eux vivent dans des favelas dépourvues d'égouts, où pullulent les insectes. D'où un recours massif aux insecticides dans leur domicile, sans compter les expositions liées à la profession exercée par les parents.

L'étude avait trois objectifs : établir l'incidence des trois principales malformations génitales masculines, identifier les facteurs pouvant en être à l'origine et étudier le rôle potentiel d'une contamination prénatale par des perturbateurs endocriniens, en lien avec une exposition parentale environnementale ou professionnelle.

Les anomalies génitales recherchées étaient l'absence de descente des testicules dans les bourses (cryptorchidie), la position anormale du méat urinaire (hypospadias) et le micropénis (défini comme de morphologie normale mais mesurant moins de 31 mm, par rapport à la moyenne qui est de 47 mm dans cette population).

Un total de 2 710 garçons a été examiné dans les quarante-huit heures suivant l'accouchement. Tous les cas d'anomalie détectés ont été étudiés par des pédiatres endocrinologues pour confirmer le diagnostic et pratiquer notamment un dosage de la testostérone et des analyses génétiques.

En tout, 56 cas de malformations génitales ont été identifiés : 23 cas de cryptorchidie (0,85 % des garçons), 15 cas d'hypospadias (0,55 %) et 18 cas de micropénis (0,66 %). Si la fréquence des deux premières anomalies n'est que légèrement supérieure à la moyenne observée à travers le monde, il n'en va pas de même pour les micropénis : le taux est 44 fois plus élevé que dans une étude épidémiologique menée aux Etats-Unis à la fin des années 1990, plus de 11 fois supérieur à la prévalence signalée en 2010 en Egypte, et le double de celui constaté par les mêmes chercheurs dans la région de Montpellier.

Pour évaluer l'exposition prénatale, l'équipe a interrogé les parents au moyen d'un questionnaire. Au Brésil, les insecticides employés sont principalement des organophosphorés, des carbamates et des pyréthroïdes, tous autorisés, mais aussi des produits interdits, comme le DDT. Les mères ont été interrogées sur le recours à des insecticides au domicile, ainsi que l'exposition à d'autres produits domestiques contenant des perturbateurs endocriniens. Les activités professionnelles pouvant impliquer un contact avec des pesticides ont également été détaillées.

Restait à déterminer l'origine des malformations. Les chercheurs ont pu écarter l'hypothèse d'une anomalie génétique, d'un défaut de production hormonale ou d'une réponse anormale à l'action des androgènes. Ils ont constaté que 92 % des garçons présentant une malformation génitale avaient subi une exposition durant la période fœtale : la quasi-totalité de leurs mères avait fait un usage domestique d'insecticide. De plus, 80 % des mères et 58 % des pères avaient eu une ou plusieurs activités professionnelles impliquant l'usage de pesticides ou d'autres perturbateurs endocriniens.

Source
© Paul Benkimoun/ LE MONDE du 19/05/2012


Quelque 600.000 hectares sont sous l'eau dans le centre de la province de Buenos Aires, coeur de la puissance agricole argentine, menaçant la récolte de soja et environ 500.000 têtes de bétail, a-t-on appris mardi auprès de producteurs locaux.

La récolte de soja, dont l'Argentine est le troisième producteur mondial, était déjà frappée par la sécheresse et devait passer de 49,2 millions de tonnes en 2011 à 41 millions cette année, soit une baisse de 18,5%, selon les prévisions de la Bourse de céréales de Buenos Aires.

Mais ce sont désormais les inondations qui menacent une province grande comme l'Italie.

La situation est alarmante, a dit par téléphone à l'AFP Pedro Bignau, responsable de la Société rurale de Bolivar (300 km au sud-ouest de Buenos Aires).

C'est frustrant de voir les campagnes sous l'eau et des centaines de milliers de têtes de bétail en danger, a-t-il ajouté, rappelant que quelque 40% de la récolte est encore en cours.

Ce phénomène a commencé il y a deux semaines: la première nuit il a plu 200 mm dans certaines zones et sur mes terres en moyenne 850 mm au cours des cinq derniers mois, a-t-il dit.

Dans le seul département de Bolivar il y a entre 350.000 et 400.000 têtes de bétail, selon la Société rurale, ainsi que quelque 200.000 hectares cultivés, surtout des champs de soja.

Cette zone était frappée il y a quelques mois encore par une grave sécheresse.

Nous sommes passés de la sécheresse, qui a duré jusqu'à la mi-janvier, aux inondations, a déploré un autre responsable de Bolivar, Fernando Alzueta. Il y a des propriétés touchées à 80 ou 90%, a-t-il dit, ajoutant: Si la pluie se poursuit, nous pourrions avoir le pire scénario depuis des décennies.

Dans le centre-ville de Azul, 2.000 personnes ont dû être évacuées en raison des inondations, selon les autorités.


Source: © AFP


mardi 22 mai 2012
L’autorité européenne pour la sécurité alimentaire (EFSA) a rendu, lundi 21 mai, un avis négatif à la demande de la France de suspendre l'autorisation de mise en culture du maïs transgénique Mon 810 du groupe Monsanto.

« Le groupe d'experts de l'EFSA n'a trouvé dans la documentation fournie par la France aucune preuve scientifique démontrant un risque pour la santé humaine ou animale ou pour l'environnement et pouvant justifier l'adoption de mesures d'urgence », a souligné l'avis publié par l'autorité sur son site internet.

« Ce n'est pas vraiment une surprise. L'avis de l'EFSA confirme ce dont nous nous doutions », a déclaré Fréderic Vincent, porte-parole du commissaire à la Santé John Dalli, en charge du dossier des OGM. « La Commission réfléchit aux suites à donner à cet avis mais, techniquement, nous pourrions demander à la France de lever son interdiction » à la culture du Mon 810, a-t-il averti. « La Commission attend l'issue de la prochaine réunion des ministres de l'Environnement de l'UE, le 11 juin à Luxembourg, et espère une issue positive sur ses propositions pour la mise en culture bloquées depuis près de deux ans par la France et de nombreux autres Etats », a-t-il indiqué.

Paris avait demandé, le 20 février dernier, à la Commission européenne de suspendre l'autorisation de mise en culture du Mon 810, en s'appuyant sur des nouvelles études, après qu'un premier moratoire, lancé en février 2008, eut été invalidé en novembre 2011. En retour, la Commission avait saisi l'EFSA, mais indiqué qu'elle n'envisageait pas de prendre des mesures d'urgence dans l'attente de son avis. De son côté, le gouvernement français avait interdit temporairement la culture du maïs transgénique « afin de protéger l'environnement ».

Le groupe américain Monsanto attend, depuis près de deux ans, le renouvellement de l'autorisation de cultiver son maïs transgénique sur le territoire de l'UE. L'EFSA a déjà rendu un avis favorable à cette demande et la Commission serait en mesure légalement de lancer la procédure pour le renouvellement de cette autorisation, mais elle attendra l'issue de la réunion des ministres de l'environnement du 11 juin avant de se prononcer.

Monsanto a annoncé, fin janvier, qu'il ne vendrait pas de maïs transgénique en 2012 en France.


Le maïs Mon 810 est l'un des deux OGM dont la culture est autorisée dans l'UE, au côté de la pomme de terre Amflora du groupe BASF. Il est cultivé à grande échelle en Espagne.

Source © AFP




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Près d'une abeille sur deux a péri l'hiver dernier, une hécatombe d'une ampleur encore jamais vue, selon les spécialistes. Les autorités réagissent en testant dans l'urgence un moyen de lutte grandeur nature dans le Seeland bernois et le Conseil fédéral va bientôt prendre des mesures.

L'Office fédéral de l'agriculture (OFAG) se base sur une enquête représentative qui englobe plus de mille ruchers dans toute la Suisse et au Liechtenstein. 


"L'analyse des résultats montre une image bouleversante", écrit l'OFAG mardi dans un communiqué. Tous les cantons sont touchés dans une proportion plus ou moins forte.
Début mai, les autorités estimaient encore les pertes à un tiers sur la base des premiers échos. 


Aujourd'hui on ne parle plus de 70'000 colonies perdues, mais de près de 100'000, ont précisé devant les médias les responsables de l'OFAG, du Centre de recherches apicoles de la station de recherche Agroscope ainsi que de la faîtière alémanique des amis des abeilles.

Président de cette dernière, Robert Sieber relève que jamais encore les apiculteurs suisses n'ont été confrontés à de telles pertes. Son association est l'auteur de l'enquête réalisée pour la cinquième année consécutive sur mandat des autorités.
Financièrement, cette hécatombe représente une perte de quelque 25 millions de francs que les apiculteurs doivent supporter eux-mêmes, indiquent les autorités. Les conséquences écologiques ne sont en revanche pas encore connues. A l'heure actuelle, il n'est pas encore possible d'estimer l'impact sur la pollinisation des plantes utiles et sauvages, ni les effets sur le moral des apiculteurs concernés et la poursuite de leur activité, précise l'OFAG.

Comme ailleurs dans le monde, le parasite varroa est la principale cause de la mort des abeilles. L'efficacité de nombreux produits ayant diminué en raison de la formation de résistance, les autorités sont en train d'étudier deux nouvelles méthodes de lutte, qui ne fourniront toutefois des résultats que dans quelques années.

Vu la situation dramatique sur le terrain, la station fédérale Agroscope va tester l'efficacité d'un traitement coordonné sur le taux d'infestation et sur l'hivernage des colonies d'abeilles dans un essai en champs de grande envergure. L'essai se fera en collaboration avec une société d'apiculture régionale dans l'ensemble de la région participante, le Seeland bernois.

Si cet essai porte ses fruits, "nous disposerons d'une première mesure d'urgence pour empêcher de nouvelles pertes", affirment les spécialistes. A long terme cependant, leur recherche vise une solution durable pour remédier au problème du varroa.

Dans une première approche, ils utilisent des antagonistes naturels pour développer une lutte biologique contre l'acarien au moyen de champignons entomopathogènes. Parallèlement, ils étudient les mécanismes qui pilotent la reproduction de l'acarien dans le but de bloquer celle-ci.

A la suite des très bons résultats obtenus lors de la dernière saison de recherche, Agroscope a bon espoir de trouver d'ici à quelques années, par l'une ou par les deux voies de recherche, une solution efficace destinée à la pratique. Au début du mois, le responsable du centre de recherche apicole d'Agroscope, Peter Gallmann, déclarait à l'ats que les apiculteurs disposeront d'un moyen de lutte efficace d'ici 10 à 15 ans.

MESURES FÉDÉRALES ATTENDUES


Les chercheurs ne peuvent en revanche incriminer les pesticides. Des cas sporadiques d'intoxication existent certes durant la saison estivale. Mais à l'heure actuelle, les études scientifiques à disposition ne démontrent aucun lien entre les pertes hivernales et les pesticides agricoles. (....Rajout N/A....Quoi?????....il faut vous renseigner Messieurs...)

En Suisse, la perte hivernale de colonies est de l'ordre de 20% à 30%, selon le Département fédéral de l'économie. Elle a été un peu moins importante au cours de l'hiver 2010/2011 grâce à une météo favorable. La Confédération subventionne actuellement 35 projets afin de soutenir les abeilles et l'apiculture.

Les efforts entrepris par Berne pour renforcer le soutien à la branche apicole constituent ainsi un pas dans la bonne direction. Le Conseil fédéral prendra prochainement des mesures dans ce sens, précise l'OFAG.

Sources: ats/rp



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Les membres de l'association de pêche, la Gaule craonnaise a porté plainte, après la pollution de l'Oudon.

À Craon (Mayenne), après l’annonce vendredi 18 mai, d’un cas de pollution à l’ammoniaque dans l’Oudon (voir l’édition du Ouest-France du 19 mai), les esprits sont maussades pour les membres d’une association de pêche. 


Alain Paillard, le président de la Gaule craonnaise est amer. 

« C’est un désastre. Sur cette partie de la rivière tous les poissons sont morts. C’est une catastrophe pour la faune, mais aussi pour la flore. » Pour un autre membre de l’association, « il faudra 3 à 5 ans pour retrouver un équilibre de la biodiversité ». 

Tous ont déploré le fait qu’aucune mesure ne soit prise pour éviter ce genre de catastrophe. En réponse, l’association a porté plainte à la gendarmerie de la commune.


Source: © Ouest France
C'est un plaisancier qui a signalé cette pollution lundi matin au CROSS (Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage) de Jobourg.

La vigie du Homet a ensuite confirmé qu'une nappe de gasoil d'environ 800 mètres de long pour 10 à 15 mètres de large s'était formée en grande rade de Cherbourg.

Selon la Préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord, des moyens de la base navale de Cherbourg ont aussitôt été mis en œuvre pour effectuer des prélèvements et dissiper la nappe par un brassage mécanique.
 

La Divette, vedette d'intervention des marins pompiers a notamment été envoyée sur zone. Les marins pompiers ont ainsi pu confirmer la nature de la pollution.

La dispersion totale de la nappe était terminée en début d'après-midi.
 

La Brigade de surveillance du littoral (BSL) de la gendarmerie maritime de Cherbourg a lancé une enquête pour tenter de déterminer l'origine de la pollution.

Source © Catherine BERRA  / France 3 Basse Normandie



Au cours de ces dernières 24 heures, sept incendies ont été éteints sur une superficie de 1 171 hectares en Sibérie.

Mais les 29 autres restent actifs sur une superficie de 3 741 hectares : 13 d'entre eux ont été circonscrits sur une superficie de 917 hectares. 


Les plus grandes étendues touchées par les incendies ont été recensées en Bouriatie, selon le service de presse de l'antenne régionale du ministère des Situations d'urgence.

On y a enregistré 8 foyers sur 3 290 hectares de taïga. Les neufs autres sévissent en Transbaïkalie sur une superficie de 352 hectares. Des forêts sont en flammes dans la région de Tomsk et dans le territoire de Krasnoïarsk (62,7 et 37 hectares, respectivement).

La lutte contre le feu a mobilisé 861 hommes et 174 engins, selon notre interlocuteur.



Sourse: Tass
Cinq personnes ont été tuées et 250 000 autres affectées par les pluies torrentielles qui ont frappé la province du Guizhou, dans le sud-ouest de la Chine, ont annoncé les autorités locales.

Des averses se sont abattues sur 18 villes et districts du Guizhou, a indiqué le département provincial des affaires civiles.

A ce jour, les tempêtes ont endommagé plus de 1 500 habitations et causé des pertes économiques directes d'environ 40 millions de yuans (6,34 millions de dollars), a précisé le département.

Certaines parties du sud et du sud-ouest de la Chine, ainsi que plusieurs régions au sud du fleuve Yangtsé, connaîtront de fortes pluies et tempêtes de mardi à jeudi, a prévu le Centre météorologique national.


Source : Chine info

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