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mardi 5 juin 2012
19:11
Fin mai 2012, une importante fuite de pétrole qui est restée inaperçue pendant plusieurs jours a déversé plus de 22 000 barils de pétrole dans les forets du nord de l'Alberta .
Cette nappe, une émulsion composée de pétrole et d'eau, s'est répandue dans les paysages boisés de l'Alberta à environ 20 km au sud-ouest du lac Rainbow, elle serait issue d'une fuite d'un pipeline d'élimination de déchets de la société d'exploitation "Pace Oil and Gas".
C'est l'une des plus importante fuite de pétrole constatée en Amérique du Nord ces dernières années rapporte le Journal Globe and mail.
La fuite restée inaperçue pendant plusieurs jours, a été découverte par hasard par une compagnie concurrente qui faisait un survol de surveillance de routine dans la zone, le 19 Mai dernier confirme le journal Calgary Herald .
Une cinquantaine d'ouvriers sont actuellement sur place pour tenter d'endiguer la fuite: Une tranchée à été creusé tout autour du site, elle a permis de récupéré 11 % du pétrole répandu dans les sous bois, selon les porte-parole de l'entreprise.
C'est le deuxième incident majeur en une année dans la région; Rappelez vous, l'année dernière, le pipeline Rainbow qui appartient à la société "Plains All American Pipeline", avait déjà déversé prés de 28.000 barils de pétrole dans les forêts du nord de l'Alberta.
© Nature Alerte
Source Huffington Post Canada / Globe and mail / Calgary Herald
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Cette nappe, une émulsion composée de pétrole et d'eau, s'est répandue dans les paysages boisés de l'Alberta à environ 20 km au sud-ouest du lac Rainbow, elle serait issue d'une fuite d'un pipeline d'élimination de déchets de la société d'exploitation "Pace Oil and Gas".
C'est l'une des plus importante fuite de pétrole constatée en Amérique du Nord ces dernières années rapporte le Journal Globe and mail.
La fuite restée inaperçue pendant plusieurs jours, a été découverte par hasard par une compagnie concurrente qui faisait un survol de surveillance de routine dans la zone, le 19 Mai dernier confirme le journal Calgary Herald .
Une cinquantaine d'ouvriers sont actuellement sur place pour tenter d'endiguer la fuite: Une tranchée à été creusé tout autour du site, elle a permis de récupéré 11 % du pétrole répandu dans les sous bois, selon les porte-parole de l'entreprise.
C'est le deuxième incident majeur en une année dans la région; Rappelez vous, l'année dernière, le pipeline Rainbow qui appartient à la société "Plains All American Pipeline", avait déjà déversé prés de 28.000 barils de pétrole dans les forêts du nord de l'Alberta.
© Nature Alerte
Source Huffington Post Canada / Globe and mail / Calgary Herald
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19:04
L'une des menaces les plus importantes pour les espèces végétales et animales en danger du monde entier trouve son origine dans un petit organisme: le champignon.
Cette découverte a été réalisée par des chercheurs du Royaume-Uni et des États-Unis. Les résultats de l'étude montrent que 70% des cas d'extinction d'une espèce végétale ou animale suite à une maladie infectieuse avait pour coupable commun le champignon.
Les champignons sont des microorganismes, différents des plantes, des animaux et des bactéries. Leur petite taille n'empêche pourtant pas leur énorme impact sur la faune et la flore de la planète entière. On estime que chaque année, les infections fongiques sont responsables de la destruction de plus de 125 millions de plantes de cultures importantes, dont le riz, le blé, le maïs, la pomme de terre et le soja. Les maladies émergeantes incluent la pyriculariose du riz, la rouille du soja, la rouille noire des céréales, le charbon du maïs et le mildiou de la pomme de terre.
En tant que plantes cultivées essentielles, elles font partie d'une source importante de calories nécessaires à la survie de l'espèce humaine ; ainsi, empêcher leur destruction pourrait être très important pour garantir l'alimentation des populations connaissant des pénuries alimentaires. En fait, les chercheurs pensent que plus de 600 millions de personnes dans le monde entier pourraient être nourries chaque année si les maladies fongiques touchant les cinq plantes cultivées importantes étaient éradiquées.
Une nouvelle fois, ce sont les activités humaines qui sont à l'origine de cette perturbation du vivant. En effet, en modifiant les écosystèmes naturels, nous créons des opportunités de développement et d'évolution des champignons, ce qui intensifie les maladies d'origine fongique.
Le groupe de recherche était dirigé par l'université d'Oxford et l'Imperial College de Londres, au Royaume-Uni. Commentant les résultats obtenus, l'auteur principal, le Dr Matthew Fisher de la Faculté de santé publique de l'institution londonienne, explique : "Cette augmentation alarmante de disparitions animales et végétales provoquées par de nouvelles maladies fongiques montre que nous assistons à la progression vers un monde où les 'pourris' sont les vainqueurs. Nous devons tout faire pour empêcher l'apparition de nouvelles maladies car nous manquons cruellement de méthodes pour lutter contre les épidémies fongiques du monde sauvage."
Et comme si la destruction de ressources alimentaires ne suffisait pas, une autre découverte alarmante révèle l'impact d'externalité qu'ont les maladies fongiques sur la planète. Les arbres sont des pièces essentielles de l'écosystème mondial et jouent un rôle important dans l'absorption du dioxyde de carbone (CO2). Toutefois, près de 7% ou 230-580 mégatonnes de CO2 atmosphérique n'est pas absorbé par les arbres car ils sont détruits ou infectés par les champignons. Cet impact a poussé les scientifiques à croire que les champignons seraient à l'origine de l'augmentation de l'effet de serre.
La vie sauvage ne serait pas immunisée contre les maladies fongiques. Plus de 500 espèces d'amphibiens, ainsi que de nombreuses espèces en danger d'abeilles, de tortues marines et de coraux, sont également fortement menacés. Les études suggèrent que le champignon du syndrome du nez blanc en Amérique du Nord a entraîné le déclin des populations de chauve-souris, ce qui a ensuite contribué à l'augmentation d'organismes nuisibles à l'agriculture étant donné que les chauves-souris ne sont plus en mesure de jouer leur rôle de prédateurs. Les coûts pour l'agriculture sont estimés à plus de 3,7 milliards de dollars (un peu moins de 3 milliards d'euros) chaque année.
Co-auteur de l'étude, Sarah Gurr, professeur de pathologie végétale moléculaire à Oxford, explique : "Les pertes de plantes cultivées suite aux attaques fongiques posent problème à la sécurité alimentaire et menacent la biodiversité, mais nous sommes mal équipés pour contrôler leur émergence et leur prolifération. Nous devons investir davantage dans la lutte contre les maladies fongiques."
Dans le scénario le plus défavorable, les infections fongiques pourraient détruire jusqu'à 900 millions de tonnes d'aliments si les épidémies de maladies fongiques affectent les cinq cultures les plus importantes dans la même année, et plus de 4,2 milliards de personnes seraient touchées par la famine occasionnée.
Dans le cadre des résultats, les scientifiques espèrent trouver des solutions pour éviter la prolifération des infections fongiques existantes et émergeantes affectant les végétaux et les animaux. En résolvant ce problème dès maintenant, ils espèrent éviter une perte de biodiversité et des pénuries alimentaires à l'avenir.
Présentée dans la revue nature, l'étude a été financée en partie par le projet BIODIVERSA2 («Cooperation and shared strategies for biodiversity research programmes in Europe»), qui a reçu 2 millions d'euros au titre du thème Environnement du 7e PC de l'UE.
Ref: Fisher, M.C, et al. 'Emerging fungal threats to animal, plant and ecosystem health'. Nature 2012; 484 (7393): 186. doi:10.1038/nature10947 Auteur© Communautés européennes, 1990-2012 / CORDIS
Source notre planete info
Cette découverte a été réalisée par des chercheurs du Royaume-Uni et des États-Unis. Les résultats de l'étude montrent que 70% des cas d'extinction d'une espèce végétale ou animale suite à une maladie infectieuse avait pour coupable commun le champignon.
Les champignons sont des microorganismes, différents des plantes, des animaux et des bactéries. Leur petite taille n'empêche pourtant pas leur énorme impact sur la faune et la flore de la planète entière. On estime que chaque année, les infections fongiques sont responsables de la destruction de plus de 125 millions de plantes de cultures importantes, dont le riz, le blé, le maïs, la pomme de terre et le soja. Les maladies émergeantes incluent la pyriculariose du riz, la rouille du soja, la rouille noire des céréales, le charbon du maïs et le mildiou de la pomme de terre.
En tant que plantes cultivées essentielles, elles font partie d'une source importante de calories nécessaires à la survie de l'espèce humaine ; ainsi, empêcher leur destruction pourrait être très important pour garantir l'alimentation des populations connaissant des pénuries alimentaires. En fait, les chercheurs pensent que plus de 600 millions de personnes dans le monde entier pourraient être nourries chaque année si les maladies fongiques touchant les cinq plantes cultivées importantes étaient éradiquées.
Une nouvelle fois, ce sont les activités humaines qui sont à l'origine de cette perturbation du vivant. En effet, en modifiant les écosystèmes naturels, nous créons des opportunités de développement et d'évolution des champignons, ce qui intensifie les maladies d'origine fongique.
Le groupe de recherche était dirigé par l'université d'Oxford et l'Imperial College de Londres, au Royaume-Uni. Commentant les résultats obtenus, l'auteur principal, le Dr Matthew Fisher de la Faculté de santé publique de l'institution londonienne, explique : "Cette augmentation alarmante de disparitions animales et végétales provoquées par de nouvelles maladies fongiques montre que nous assistons à la progression vers un monde où les 'pourris' sont les vainqueurs. Nous devons tout faire pour empêcher l'apparition de nouvelles maladies car nous manquons cruellement de méthodes pour lutter contre les épidémies fongiques du monde sauvage."
Et comme si la destruction de ressources alimentaires ne suffisait pas, une autre découverte alarmante révèle l'impact d'externalité qu'ont les maladies fongiques sur la planète. Les arbres sont des pièces essentielles de l'écosystème mondial et jouent un rôle important dans l'absorption du dioxyde de carbone (CO2). Toutefois, près de 7% ou 230-580 mégatonnes de CO2 atmosphérique n'est pas absorbé par les arbres car ils sont détruits ou infectés par les champignons. Cet impact a poussé les scientifiques à croire que les champignons seraient à l'origine de l'augmentation de l'effet de serre.
La vie sauvage ne serait pas immunisée contre les maladies fongiques. Plus de 500 espèces d'amphibiens, ainsi que de nombreuses espèces en danger d'abeilles, de tortues marines et de coraux, sont également fortement menacés. Les études suggèrent que le champignon du syndrome du nez blanc en Amérique du Nord a entraîné le déclin des populations de chauve-souris, ce qui a ensuite contribué à l'augmentation d'organismes nuisibles à l'agriculture étant donné que les chauves-souris ne sont plus en mesure de jouer leur rôle de prédateurs. Les coûts pour l'agriculture sont estimés à plus de 3,7 milliards de dollars (un peu moins de 3 milliards d'euros) chaque année.
Co-auteur de l'étude, Sarah Gurr, professeur de pathologie végétale moléculaire à Oxford, explique : "Les pertes de plantes cultivées suite aux attaques fongiques posent problème à la sécurité alimentaire et menacent la biodiversité, mais nous sommes mal équipés pour contrôler leur émergence et leur prolifération. Nous devons investir davantage dans la lutte contre les maladies fongiques."
Dans le scénario le plus défavorable, les infections fongiques pourraient détruire jusqu'à 900 millions de tonnes d'aliments si les épidémies de maladies fongiques affectent les cinq cultures les plus importantes dans la même année, et plus de 4,2 milliards de personnes seraient touchées par la famine occasionnée.
Dans le cadre des résultats, les scientifiques espèrent trouver des solutions pour éviter la prolifération des infections fongiques existantes et émergeantes affectant les végétaux et les animaux. En résolvant ce problème dès maintenant, ils espèrent éviter une perte de biodiversité et des pénuries alimentaires à l'avenir.
Présentée dans la revue nature, l'étude a été financée en partie par le projet BIODIVERSA2 («Cooperation and shared strategies for biodiversity research programmes in Europe»), qui a reçu 2 millions d'euros au titre du thème Environnement du 7e PC de l'UE.
Ref: Fisher, M.C, et al. 'Emerging fungal threats to animal, plant and ecosystem health'. Nature 2012; 484 (7393): 186. doi:10.1038/nature10947 Auteur© Communautés européennes, 1990-2012 / CORDIS
Source notre planete info
18:56
La FAO met en garde contre une menace acridienne au Niger et au Mali en provenance de l'Algérie et de la Libye.
Des groupes d'acridiens ont été détectés récemment dans le nord du Niger, issus d'infestations sévissant plus au nord. Les efforts de lutte antiacridienne dans la région sont entravés par l'insécurité continue des deux côtés de la frontière entre l'Algérie et la Libye, explique la FAO. L'insécurité politique et les conflits au Mali pourraient également compromettre les opérations de suivi et de lutte si les criquets atteignent le pays.
Les infestations acridiennes ont été signalées pour la première fois en janvier 2012 dans le sud-ouest de la Libye, près de Ghât, et dans le sud-est de l'Algérie. Fin mars, la FAO a lancé une alerte sur les risques d'essaims au Niger et au Mali d'ici le mois de juin. Les pluies continues et la croissance de la végétation ont favorisé la formation d'essaims à la mi-mai.
L'Algérie et la Libye ont travaillé avec acharnement pour traiter les zones infestées qui couvraient respectivement 40 000 hectares et 21 000 hectares fin mai.
« Le nombre de criquets et la distance qu'ils parcourront dépendra de deux facteurs principaux: l'efficacité des efforts de lutte en cours en Algérie et en Libye et les précipitations imminentes au Sahel », a expliqué le chargé de l'information acridienne à la FAO, Keith Cressman.
« En temps normal, l'Algérie et la Libye auraient pu maîtriser la plupart des essaims locaux et empêcher leur déplacement vers le sud, mais l'insécurité qui règne des deux côtés de la frontière entrave l'accès des équipes locales et des experts de la FAO qui ont besoin d'évaluer la situation. La capacité de lutte antiacridienne de la Libye a en outre été affaiblie depuis une année », a-t-il ajouté.
Si les pluies sont abondantes durant les prochains jours, les criquets pourraient proliférer au nord du Niger et du Mali, où l'insécurité freine également l'accès des équipes nationales de prospection et de lutte.
La dernière infestation acridienne au Niger date de 2003-2005 lorsque les essaims de criquets pèlerins avaient envahi des dizaines de pays.
Pour maîtriser les infestations en Libye, 300.000 dollars ont été mobilisés par la Commission FAO de lutte contre le criquet pèlerin dans la région occidentale (CLCPRO) et 400.000 dollars par la FAO.
Source Ap
Des groupes d'acridiens ont été détectés récemment dans le nord du Niger, issus d'infestations sévissant plus au nord. Les efforts de lutte antiacridienne dans la région sont entravés par l'insécurité continue des deux côtés de la frontière entre l'Algérie et la Libye, explique la FAO. L'insécurité politique et les conflits au Mali pourraient également compromettre les opérations de suivi et de lutte si les criquets atteignent le pays.
Les infestations acridiennes ont été signalées pour la première fois en janvier 2012 dans le sud-ouest de la Libye, près de Ghât, et dans le sud-est de l'Algérie. Fin mars, la FAO a lancé une alerte sur les risques d'essaims au Niger et au Mali d'ici le mois de juin. Les pluies continues et la croissance de la végétation ont favorisé la formation d'essaims à la mi-mai.
L'Algérie et la Libye ont travaillé avec acharnement pour traiter les zones infestées qui couvraient respectivement 40 000 hectares et 21 000 hectares fin mai.
« Le nombre de criquets et la distance qu'ils parcourront dépendra de deux facteurs principaux: l'efficacité des efforts de lutte en cours en Algérie et en Libye et les précipitations imminentes au Sahel », a expliqué le chargé de l'information acridienne à la FAO, Keith Cressman.
« En temps normal, l'Algérie et la Libye auraient pu maîtriser la plupart des essaims locaux et empêcher leur déplacement vers le sud, mais l'insécurité qui règne des deux côtés de la frontière entrave l'accès des équipes locales et des experts de la FAO qui ont besoin d'évaluer la situation. La capacité de lutte antiacridienne de la Libye a en outre été affaiblie depuis une année », a-t-il ajouté.
Si les pluies sont abondantes durant les prochains jours, les criquets pourraient proliférer au nord du Niger et du Mali, où l'insécurité freine également l'accès des équipes nationales de prospection et de lutte.
La dernière infestation acridienne au Niger date de 2003-2005 lorsque les essaims de criquets pèlerins avaient envahi des dizaines de pays.
Pour maîtriser les infestations en Libye, 300.000 dollars ont été mobilisés par la Commission FAO de lutte contre le criquet pèlerin dans la région occidentale (CLCPRO) et 400.000 dollars par la FAO.
Source Ap
18:43
Des araignées sèment la panique dans le nord-est de l'Inde. Mais les autorités sanitaires s'inquiètent davantage des mesures primitives prises par les victimes ou des guérisseurs que des morsures elles-mêmes.
Deux personnes sont mortes dans le district de Tinsukia. Leurs blessures avaient été saignées à coups de lame de rasoir par des guérisseurs, mais on ignore si elles ont succombé au venin ou au "traitement". Le magistrat local, Kishore Thakuria, a précisé que les victimes avaient été incinérées avant toute autopsie.
Sept autres personnes mordues ont été soignées avec des antibiotiques pour des infections après avoir tenté de faire saigner elles-mêmes leurs blessures, a précisé le Dr Anil Phapowali, de l'hôpital local.
Ces araignées velues ont été repérées il y a environ un mois dans les plaines vertes du district de Tinsukia et dans la jungle dense située au nord de la rivière Brahmaputra.
L'écologiste L.R. Saikia, de l'université de Dibrugarh, pense qu'il s'agit d'une espèce de tarentule très agressive jusqu'alors inconnue.
Elle a la taille d'un poing. "Cela ressemble à une nouvelle espèce. Nous ne sommes pas encore parvenus à l'identifier", ajoute-t-il. Les autorités sanitaires ne peuvent pas utiliser d'antivenin pour soigner les victimes tant que l'espèce n'a pas été identifiée.
En attendant, les villageois dorment avec des lampes allumées, et montent la garde pour empêcher des araignées de pénétrer dans leurs habitations. Environ 100.000 personnes, pour la plupart riziculteurs, vivent dans une zone privée de tout accès en raison de la rivière. Mais selon les autorités, cette espèce est également apparue sur l'autre rive.
Source AP
Deux personnes sont mortes dans le district de Tinsukia. Leurs blessures avaient été saignées à coups de lame de rasoir par des guérisseurs, mais on ignore si elles ont succombé au venin ou au "traitement". Le magistrat local, Kishore Thakuria, a précisé que les victimes avaient été incinérées avant toute autopsie.
Sept autres personnes mordues ont été soignées avec des antibiotiques pour des infections après avoir tenté de faire saigner elles-mêmes leurs blessures, a précisé le Dr Anil Phapowali, de l'hôpital local.
Ces araignées velues ont été repérées il y a environ un mois dans les plaines vertes du district de Tinsukia et dans la jungle dense située au nord de la rivière Brahmaputra.
L'écologiste L.R. Saikia, de l'université de Dibrugarh, pense qu'il s'agit d'une espèce de tarentule très agressive jusqu'alors inconnue.
Elle a la taille d'un poing. "Cela ressemble à une nouvelle espèce. Nous ne sommes pas encore parvenus à l'identifier", ajoute-t-il. Les autorités sanitaires ne peuvent pas utiliser d'antivenin pour soigner les victimes tant que l'espèce n'a pas été identifiée.
En attendant, les villageois dorment avec des lampes allumées, et montent la garde pour empêcher des araignées de pénétrer dans leurs habitations. Environ 100.000 personnes, pour la plupart riziculteurs, vivent dans une zone privée de tout accès en raison de la rivière. Mais selon les autorités, cette espèce est également apparue sur l'autre rive.
Source AP
18:40
Les autorités chinoises ont exigé des ambassades étrangères qu'elles ne publient pas les données sur le niveau de pollution à Pékin.
Cette déclaration du vice-ministre chinois a été adressée en premier lieu à la mission diplomatique américaine qui publie régulièrement les informations sur l’état de l’atmosphère de la ville. Cette pratique viole les conventions internationales, selon le représentant du ministère chinois.
Les habitants de Pékin mettent en doute les données officielles concernant l’état de l’environnement.
Source AP
Cette déclaration du vice-ministre chinois a été adressée en premier lieu à la mission diplomatique américaine qui publie régulièrement les informations sur l’état de l’atmosphère de la ville. Cette pratique viole les conventions internationales, selon le représentant du ministère chinois.
Les habitants de Pékin mettent en doute les données officielles concernant l’état de l’environnement.
Source AP
13:34
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Des dizaines de tonnes de sardines se sont échouées mystérieusement dans le petit port de pêche d'Ohara de la ville d'Isumi de la préfecture de Chiba au Japon ces 2 derniers jours.
Selon la presse locale les sardines ont commencé à s'échouer mystérieusement le 3 juin vers midi jusque dans l’après midi du 4. Plusieurs dizaines de tonnes se sont ainsi accumulées dans le port et l'odeur dans la région est devenue pestilentielle.
Les images postées sur Tweeter révèlent l'ampleur du désastre, et les commentaires les accompagnant confirment que le petit port sera fermé jusqu’à demain pour pouvoir en assurer le nettoyage. Les pécheurs locaux sont abasourdis par le phénomène, et restent impuissant à expliquer les raisons de cette hécatombe mystérieuse.
© Nature Alerte
Sources: Tweeter/@yumihareyama/@ryoshikobo et rocketnews24.com
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Des dizaines de tonnes de sardines se sont échouées mystérieusement dans le petit port de pêche d'Ohara de la ville d'Isumi de la préfecture de Chiba au Japon ces 2 derniers jours.
Selon la presse locale les sardines ont commencé à s'échouer mystérieusement le 3 juin vers midi jusque dans l’après midi du 4. Plusieurs dizaines de tonnes se sont ainsi accumulées dans le port et l'odeur dans la région est devenue pestilentielle.
Les images postées sur Tweeter révèlent l'ampleur du désastre, et les commentaires les accompagnant confirment que le petit port sera fermé jusqu’à demain pour pouvoir en assurer le nettoyage. Les pécheurs locaux sont abasourdis par le phénomène, et restent impuissant à expliquer les raisons de cette hécatombe mystérieuse.
© Nature Alerte
Sources: Tweeter/@yumihareyama/@ryoshikobo et rocketnews24.com
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lundi 4 juin 2012
13:10
"...Silence, On parle..."
Avec le profond soutien de l'équipe de Nature Alerte qui relaie cette mobilisation Canadienne
faite passer
Canada, colère des ONG environnementales, Black out des sites de Equiterre, Greenpeace, WWF et la Fondation David Suzuki: en Guise de protestation les pages d’accueil de leurs sites respectifs afficherons aujourd'hui l'image ci dessus ...
Le site de l'évènement: http://silenceonparle.ca/
...Signez y la pétition en ligne...
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Au canada si une image noire remplace la page d'accueil de certains sites Web lundi, elle ne sera pas le résultat d'une attaque de pirates informatiques, mais bien un message de groupes écologistes qui souhaitent dénoncer certaines politiques gouvernementales en matière d'environnement, entre autres.
Équiterre, Greenpeace, le World Wildlife Fund (WWF) et la Fondation David Suzuki figurent parmi les organisations de défense de l'environnement qui participeront cette journée-là à la campagne «Silence, on parle», car selon eux les gouvernements provincial et fédéral utilisent leurs pouvoirs législatifs pour «affaiblir les voix de groupes qui s'opposent à leurs idéologies».
Selon le directeur général pour la section québécoise de la fondation David Suzuki, Karel Mayrand, le gouvernement Harper a pris les écologistes en grippe, et il les «muselle» avec, notamment, le dépôt du projet de loi budgétaire C-38.
Ce document de quelque 400 pages amende plus d'une soixantaine de lois, notamment de nombreuses législations environnementales, mais également l'admissibilité à l'assurance-emploi et aux prestations de vieillesse, les politiques d'immigration et les méthodes d'inspection des aliments.
M. Mayrand ajoute que la «même chose» se produit au Québec avec la loi 78, que le gouvernement Charest a adoptée afin d'encadrer les manifestations et d'assurer l'accès aux institutions d'enseignement.
L'écologiste voit dans ces mesures «un glissement dangereux» que les citoyens «doivent dénoncer», sans quoi les débats de société et la légitimité des choix des gouvernements s'en trouveront affectés.
Selon M. Mayrand, la qualité des décisions prises en démocratie est «tributaire de l'expression d'une diversité de points de vue», et c'est pourquoi il demande aux citoyens, organisations et entreprises de participer à la campagne qu'il promeut.
«Les gens sont en état de choc devant ce qui se passe à Ottawa», observe-t-il.
«Nous, on veut leur donner la parole pour défendre les deux valeurs canadiennes fondamentales que sont la protection de la nature et la démocratie. On a des réponses de groupes écologistes, mais aussi de gens ordinaires, qui appuient le principe qui veut qu'on puisse prendre la parole sans risquer des représailles.»
M. Mayrand s'inquiète également qu'une tendance soit en train d'émerger.
«Les associations étudiantes sont visées par Québec, les groupes environnementaux le sont par Ottawa. Qui seront les suivants?», demande-t-il.
Certaines personnalités publiques participent à la campagne «Silence, on parle», à savoir l'écrivaine Margaret Atwood, le musicien Bruce Cockburn et le groupe Les Cowboys Fringants.
Ils noirciront ainsi leurs sites Web lundi en reprenant les mots de la campagne ou, encore, ils s'exprimeront sur les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter.
12:10
Cinq grandes organisations écologistes mettent en garde devant les risques pour l'environnement et dénoncent des manquements à la loi dans la campagne de forages exploratoires au large de la Guyane prévue pour commencer à la mi-juin.
Dans un communiqué commun France Nature Environnement, Greenpeace, Oceana, le WWF, Surfrider Europe et l'organisation guyanaise Sepanguy s'étonnent notamment du fait que l'autorisation de procéder à des forages exploratoires ait été accordée à la multinationale Shell alors que le permis d'exploration Rhône-Maritime au large de Marseille n'a pas été renouvelé en avril dernier en raison des risques pour l'environnement.
Est-ce que cela signifie que les côtes guyanaises comptent moins que les côtes de Provence, s'interroge Nicolas Fournier, coordinateur d'Oceana à Bruxelles, cité dans le communiqué.
Les cinq organisations rappellent également que la campagne va s'ouvrir en pleine insécurité juridique. Elles citent l'avis donné par le Conseil économique, social et environnemental de mars dernier sur la sécurité des plateformes pétrolières. Celui-ci note que au sein de l'Union européenne, le projet de règlement est toujours à l'étude alors qu'en France, le comité de révision du code minier est en stand-by du fait des élections et que le principe du pollueur-payeur ne s'applique toujours pas à cette activité à hauts risques.
Christian Roudgé, responsable de Guyane Nature Environnement relève, lui, que Shell prévoit le recours à la technique dite des boues à l'huile - pour faciliter le forage et gérer les pressions - alors que ce procédé, qui est très polluant, n'est pas conforme au Code de l'environnement.
La multinationale envisage quatre forages ultra-profonds à 150 km au large de Cayenne à des profondeurs entre 1.800 et 2.500 m.
Le président de Shell France, Patrick Roméo, a précisé la semaine dernière que le bateau avec lequel les forages seront effectués au large de la Guyane devrait arriver sur place mi-juin. Le premier des quatre forages prévus entre juin 2012 et juin 2013, visera, selon lui, à évaluer la découverte d'un gisement l'année dernière et permettra de voir si la couche d'hydrocarbures se prolonge.
Source ©AFP
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Audition du patron de Shell sur ce projet au Sénat
Dans un communiqué commun France Nature Environnement, Greenpeace, Oceana, le WWF, Surfrider Europe et l'organisation guyanaise Sepanguy s'étonnent notamment du fait que l'autorisation de procéder à des forages exploratoires ait été accordée à la multinationale Shell alors que le permis d'exploration Rhône-Maritime au large de Marseille n'a pas été renouvelé en avril dernier en raison des risques pour l'environnement.
Est-ce que cela signifie que les côtes guyanaises comptent moins que les côtes de Provence, s'interroge Nicolas Fournier, coordinateur d'Oceana à Bruxelles, cité dans le communiqué.
Les cinq organisations rappellent également que la campagne va s'ouvrir en pleine insécurité juridique. Elles citent l'avis donné par le Conseil économique, social et environnemental de mars dernier sur la sécurité des plateformes pétrolières. Celui-ci note que au sein de l'Union européenne, le projet de règlement est toujours à l'étude alors qu'en France, le comité de révision du code minier est en stand-by du fait des élections et que le principe du pollueur-payeur ne s'applique toujours pas à cette activité à hauts risques.
Christian Roudgé, responsable de Guyane Nature Environnement relève, lui, que Shell prévoit le recours à la technique dite des boues à l'huile - pour faciliter le forage et gérer les pressions - alors que ce procédé, qui est très polluant, n'est pas conforme au Code de l'environnement.
La multinationale envisage quatre forages ultra-profonds à 150 km au large de Cayenne à des profondeurs entre 1.800 et 2.500 m.
Le président de Shell France, Patrick Roméo, a précisé la semaine dernière que le bateau avec lequel les forages seront effectués au large de la Guyane devrait arriver sur place mi-juin. Le premier des quatre forages prévus entre juin 2012 et juin 2013, visera, selon lui, à évaluer la découverte d'un gisement l'année dernière et permettra de voir si la couche d'hydrocarbures se prolonge.
Source ©AFP
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Audition du patron de Shell sur ce projet au Sénat
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L'UNESCO a exhorté samedi l'Australie à prendre des mesures pour urgentes pour protéger la Grande barrière de corail du boom de l'exploitation minière et du gaz, menaçant de l'ajouter à la liste des sites «en danger» du patrimoine de l'humanité.
L’Australie a lancé un programme d'investissements sans précédent dans l'exploitation des ressources énergétiques pour répondre à la demande croissante de l'Asie, avec un projet de pipeline de 450 milliards de dollars australiens (435 milliards de dollars).
La plus grande barrière de corail du monde n'est pas encore suffisamment touchée pour être déclarée en danger, mais l'UNESCO estime que le nombre et l'importance des projets, y compris ceux concernant le gaz naturel liquéfié (LGN), de tourisme et l'exploitation minière représentent une réelle menace.
La baisse de la qualité de l'eau et le changement du climat sont des enjeux majeurs, mais il est «essentiel de freiner le développement économique qui menace la résistance de la barrière de corail», a déclaré l'UNESCO.
Le comité a menacé de classer le site «en danger» si certains des plus grands projets n'étaient pas abandonnés, accordant huit mois à l'Australie pour adopter une charte de développement plus soutenable.
Le ministre australien de l'Environnement Tony Burke a reconnu que la barrière de corail était exposée «aux risques du changement climatique et à l'impact du développement côtier» et que Canberra en était «tout à fait conscient».
«Malgré la complexité de ces questions, nous sommes déterminés à y faire face en prenant une série de dispositions sur la côte et l'environnement marin», a ajouté M. Burke.
Campbell Newman, le premier ministre de l'État du Queensland, qui est localement responsable de la barrière, a rappelé lui que sa région vivait de l'exploitation du charbon et qu'il n'était pas question de mettre en danger l'avenir économique du Queensland, mais qu'il protégerait l'environnement.
Les défenseurs de l'environnement ont appelé à une prise de conscience du gouvernement, l'Australian Conservation Foundation (ACF) considérant que le risque d'être épinglé par l'UNESCO serait une «honte nationale» pour le pays.
Une mission de l'UNESCO venue en mars estimer l'impact du projet d'exploitation de gaz naturel sur l'île Curtis a conclu à des conséquences sérieuses pour l'environnement du boom «sans précédent» du développement minier.
Le port de Gladstone -un hub pour l'exportation du charbon vers le Japon, l'Inde, la Corée du Nord et la Chine- a entrepris d'énormes travaux d'expansion qui selon les défenseurs de l'environnement, détruise la vie marine.
L'UNESCO a estimé que les mesures environnementales prises par le gouvernement à Gladstone et sur l'île Curtis, avec un projet de LNG visant une production annuelle de 12 millions de tonnes, étaient nettement insuffisantes pour protéger le récif.
M. Burke a admis qu'il y avait des «décisions significatives» à prendre concernant l'avenir de la barrière de corail, mais a rappelé que certains projets inquiétant l'UNESCO avaient été revus à la baisse depuis leur visite.
Source UNESCO
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Great Barrier Reef under threat par reuters
L'UNESCO a exhorté samedi l'Australie à prendre des mesures pour urgentes pour protéger la Grande barrière de corail du boom de l'exploitation minière et du gaz, menaçant de l'ajouter à la liste des sites «en danger» du patrimoine de l'humanité.
L’Australie a lancé un programme d'investissements sans précédent dans l'exploitation des ressources énergétiques pour répondre à la demande croissante de l'Asie, avec un projet de pipeline de 450 milliards de dollars australiens (435 milliards de dollars).
La plus grande barrière de corail du monde n'est pas encore suffisamment touchée pour être déclarée en danger, mais l'UNESCO estime que le nombre et l'importance des projets, y compris ceux concernant le gaz naturel liquéfié (LGN), de tourisme et l'exploitation minière représentent une réelle menace.
La baisse de la qualité de l'eau et le changement du climat sont des enjeux majeurs, mais il est «essentiel de freiner le développement économique qui menace la résistance de la barrière de corail», a déclaré l'UNESCO.
Le comité a menacé de classer le site «en danger» si certains des plus grands projets n'étaient pas abandonnés, accordant huit mois à l'Australie pour adopter une charte de développement plus soutenable.
Le ministre australien de l'Environnement Tony Burke a reconnu que la barrière de corail était exposée «aux risques du changement climatique et à l'impact du développement côtier» et que Canberra en était «tout à fait conscient».
«Malgré la complexité de ces questions, nous sommes déterminés à y faire face en prenant une série de dispositions sur la côte et l'environnement marin», a ajouté M. Burke.
Campbell Newman, le premier ministre de l'État du Queensland, qui est localement responsable de la barrière, a rappelé lui que sa région vivait de l'exploitation du charbon et qu'il n'était pas question de mettre en danger l'avenir économique du Queensland, mais qu'il protégerait l'environnement.
Les défenseurs de l'environnement ont appelé à une prise de conscience du gouvernement, l'Australian Conservation Foundation (ACF) considérant que le risque d'être épinglé par l'UNESCO serait une «honte nationale» pour le pays.
Une mission de l'UNESCO venue en mars estimer l'impact du projet d'exploitation de gaz naturel sur l'île Curtis a conclu à des conséquences sérieuses pour l'environnement du boom «sans précédent» du développement minier.
Le port de Gladstone -un hub pour l'exportation du charbon vers le Japon, l'Inde, la Corée du Nord et la Chine- a entrepris d'énormes travaux d'expansion qui selon les défenseurs de l'environnement, détruise la vie marine.
L'UNESCO a estimé que les mesures environnementales prises par le gouvernement à Gladstone et sur l'île Curtis, avec un projet de LNG visant une production annuelle de 12 millions de tonnes, étaient nettement insuffisantes pour protéger le récif.
M. Burke a admis qu'il y avait des «décisions significatives» à prendre concernant l'avenir de la barrière de corail, mais a rappelé que certains projets inquiétant l'UNESCO avaient été revus à la baisse depuis leur visite.
Source UNESCO
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Great Barrier Reef under threat par reuters
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11:42
De fortes pluies ont touché le Nord-Ouest de l'île de Cuba et provoqué des inondations dans la province de Mayabeque.
Les pluies diluviennes qui ont duré 6 heures ont entraîné le débordement de cours d'eau. Une centaine d'habitation ont été inondées et 500 personnes ont été évacuées.
Plusieurs routes de la région ont été coupées.
Source : AP
11:39
Un séisme de magnitude 5,1 a secoué dimanche soir le centre-nord de l'Italie, région touchée par deux forts séismes le 20 et 29 mai dernier, provoquant l'effondrement de quelques immeubles. Mais aucune victime n'a été signalée pour l'instant.
Ce tremblement de terre s'est produit dimanche à 21H20 heure locale et l'épicentre a été localisé dans la ville de Novi di Modena, à une profondeur de 9,2 km, selon l'Institut italien de géophysique et volcanologie (INGV).
La "Tour de l'Horloge", un bâtiment vieux de plusieurs siècles situé dans le centre historique de Novi di Modena, ainsi que d'autres immeubles qui avaient déjà été partiellement endommagés par les deux précédentes secousses sismiques, se sont totalement effondrés.
La catastrophe est survenue dans la même zone déjà frappée par deux tremblements de terre, le 20 et le 29 mai dernier, qui avaient fait plusieurs dizaines de victimes.
Carlo Marchini, maire de la petite ville située à proximité de Concordia sulla Secchia, à affirmé à la télévision publique qu'il n'y avait ni de mort ni de blessé dans le séisme de dimanche, tous les habitants ayant été installés dans des tentes, en dehors de la vieille cité.
Au moins 16 000 personnes dans la région à risque ont quitté leur domicile depuis le 20 mai, date à laquelle un premier séisme avait tué 24 personnes et en avait blessé des centaines d'autres.
Source: ap
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Terremoto, ieri sera nuova scossa di magnitudo 5... par TMNews
Ce tremblement de terre s'est produit dimanche à 21H20 heure locale et l'épicentre a été localisé dans la ville de Novi di Modena, à une profondeur de 9,2 km, selon l'Institut italien de géophysique et volcanologie (INGV).
La "Tour de l'Horloge", un bâtiment vieux de plusieurs siècles situé dans le centre historique de Novi di Modena, ainsi que d'autres immeubles qui avaient déjà été partiellement endommagés par les deux précédentes secousses sismiques, se sont totalement effondrés.
La catastrophe est survenue dans la même zone déjà frappée par deux tremblements de terre, le 20 et le 29 mai dernier, qui avaient fait plusieurs dizaines de victimes.
Carlo Marchini, maire de la petite ville située à proximité de Concordia sulla Secchia, à affirmé à la télévision publique qu'il n'y avait ni de mort ni de blessé dans le séisme de dimanche, tous les habitants ayant été installés dans des tentes, en dehors de la vieille cité.
Au moins 16 000 personnes dans la région à risque ont quitté leur domicile depuis le 20 mai, date à laquelle un premier séisme avait tué 24 personnes et en avait blessé des centaines d'autres.
Source: ap
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Terremoto, ieri sera nuova scossa di magnitudo 5... par TMNews
11:30
Un fort tremblement de terre de 6,6 de magnitude s'est produit dimanche dans l'océan Pacifique au sud du Panama, ont annoncé les sismologues américains, qui n'ont pas fait état de risque de tsunami.
Aucun dégât, ni victime, n'ont pour l'instant été signalés.
La secousse a eu lieu à 18h45 locale à une profondeur de 10 km, a précisé l'Institut de géophysique américain (USGS). L'épicentre a été localisé à 370 km au sud de la ville panaméenne de David.
Le Centre d'alerte au tsunami pour le Pacifique a affirmé "qu'aucun risque de tsunami étendu et destructeur n'existe", mais a lancé une mise en garde sur le fait qu'une telle magnitude peut "parfois générer des tsunamis locaux dans les régions côtières près de l'épicentre".
Aucun dégât, ni victime, n'ont pour l'instant été signalés.
La secousse a eu lieu à 18h45 locale à une profondeur de 10 km, a précisé l'Institut de géophysique américain (USGS). L'épicentre a été localisé à 370 km au sud de la ville panaméenne de David.
Le Centre d'alerte au tsunami pour le Pacifique a affirmé "qu'aucun risque de tsunami étendu et destructeur n'existe", mais a lancé une mise en garde sur le fait qu'une telle magnitude peut "parfois générer des tsunamis locaux dans les régions côtières près de l'épicentre".
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samedi 2 juin 2012
12:15
La baignade toujours interdite à Cannes
Les résultats des tests de l'eau de baignade sont tombés en fin d'après-midi ce vendredi 1er juin : ils ne sont pas suffisamment bons pour permettre aux usagers de retourner à l'eau.
La ville a donc décidé de maintenir son arrêté. Jusqu'à nouvel ordre, il est impossible de se baigner sur les 400 mètres de plages situés au niveau du vallon du Riou (le kiosque 15).
La baignade reste interdite à Banyuls
En attendant les analyses de qualité de l'eau, il est toujours interdit de se jeter à l'eau ce week-end
A cause d'une pollution de la rivière Baillaury qui se déverse dans la mer à Banyuls, la baignade restera interdite tout le week-end sur la plage principale.
Et rares sont les estivants qui sont au courant.
11:55
La pêche de loisirs de coquillages est interdite depuis un arrêté préfectoral du 27 mai, entre Lion-sur-Mer et Cabourg. Cette interdiction fait suite à une pollution due au dysfonctionnement d’une vanne de la station de traitement des eaux usées de Caen-la-Mer à Mondeville, samedi dernier.
« Des analyses réalisées sur les coquillages, les mardi 29 et mercredi 30 mai, ont mis en évidence une contamination microbiologique (germes fécaux) qui n’est pas conforme au seuil réglementaire sur une zone s’étendant jusqu’à Varaville », informe la préfecture du Calvados.
En conséquence, l’interdiction de la pêche à pied a été étendue jusqu’à Houlgate, ce vendredi. « Les niveaux de seuils observés invitent à prendre une mesure de précaution appropriée à l’approche des grandes marées », poursuit l’administration.
Ces mesures seront levées après obtention des résultats réglementaires favorables d’analyses des coquillages.
Source Ouest France
« Des analyses réalisées sur les coquillages, les mardi 29 et mercredi 30 mai, ont mis en évidence une contamination microbiologique (germes fécaux) qui n’est pas conforme au seuil réglementaire sur une zone s’étendant jusqu’à Varaville », informe la préfecture du Calvados.
En conséquence, l’interdiction de la pêche à pied a été étendue jusqu’à Houlgate, ce vendredi. « Les niveaux de seuils observés invitent à prendre une mesure de précaution appropriée à l’approche des grandes marées », poursuit l’administration.
Ces mesures seront levées après obtention des résultats réglementaires favorables d’analyses des coquillages.
Source Ouest France
11:28
Un tremblement de terre de magnitude 6,0 a frappé Salta, en Argentine à une profondeur de 519.6 km, le tremblement de terre a frappé à 07:52:53 UTC ce samedi 2 juin 2012.
L'épicentre était situé à 8 km au sud-est de la ville de Yacuiba en Bolivie
Nous attendons de plus amples informations
Ni blessé ni dommage n'ont pour l'instant été rapporté
L'épicentre était situé à 8 km au sud-est de la ville de Yacuiba en Bolivie
Nous attendons de plus amples informations
Ni blessé ni dommage n'ont pour l'instant été rapporté
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