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mardi 17 juillet 2012
Un important incendie de forêt était toujours hors de contrôle mardi aux abords du parc naturel du mont Teide, dans l'archipel espagnol des Canaries, après avoir parcouru depuis dimanche environ 3.000 hectares, a rapporté une journaliste de l'AFP.

Environ 800 pompiers luttaient contre le feu, attisé par un vent violent et des températures élevées, qui menace ce site naturel de l'île de Ténérife, inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco.

L'incendie, qui dégageait une épaisse fumée noire, faisait rage mardi sur deux fronts. Les pompiers tentaient d'éviter qu'il ne gagne des zones habitées, et aussi d'empêcher qu'il se propage à une zone de ravins où la configuration du terrain et la végétation épaisse le rendraient incontrôlable.

Les accès au parc, un important lieu touristique des Canaries, ont été fermés.

L'incendie a parcouru entre 2.800 et 3.000 hectares, dont 50% ont brûlé, a indiqué une porte-parole du service de lutte anti-incendie.

64 habitants de l'île étaient toujours hors de chez eux mardi, après l'évacuation la veille de 90 personnes dans les localités de Adeje et Tijoco Alto.

Cinq hélicoptères et trois avions bombardiers d'eau participaient mardi à la lutte contre le feu.

Dans une autre île des Canaries, La Palma, environ 300 pompiers appuyés par quatre hélicoptères combattaient un incendie qui s'est propagé depuis lundi sur une surface de 500 hectares, selon la porte-parole.

160 personnes ont été évacuées.


Le parc national du Teide, un site naturel de 19.000 hectares inscrit depuis 2007 au Patrimoine mondial de l'Unesco, tire son nom du mont Teide, un volcan qui est le point culminant de l'archipel et de l'Espagne, à plus de 3.700 mètres.

Les incendies de forêt sont particulièrement nombreux cette année en Espagne, où l'hiver a été le plus sec depuis environ 70 ans.

Le plus grave à ce jour a dévasté début juillet près de 50.000 hectares dans la région de Valence, dans l'est du pays.


Source ©AFP
Au moins trois résidences ont été englouties par le glissement survenu jeudi dernier près du village de Johnson's Landing.


Un père, ses deux filles adultes et une touriste allemande ont été portés disparus depuis l'incident.


Les recherches avaient déjà été repoussées vendredi le temps que des ingénieurs s'assurent que l'amoncellement de boue, de roches et d'autres débris de quatre mètres de profondeur soit suffisamment stable pour que les membres de l'équipe de secours puissent s'y aventurer.


Les secouristes, qui portaient tous des balises individuelles pour leur propre sécurité, ont utilisé de l'équipement lourd pour retirer de la boue et des troncs d'arbre. L'escouade canine de la Gendarmerie royale du Canada était également sur place.

Le glissement de terrain a bloqué la seule route menant à Johnson's Landing, qui n'est présentement accessible que par voie aérienne et maritime.



La Gendarmerie royale du Canada et le Bureau du coroner de la province ont confirmé lundi après-midi que les restes d'une deuxième victime avaient été localisés, sans toutefois préciser l'identité de cette personne.


Mme McLintock, la porte-parole du coroner, Barb McLintock, a déclaré que bien que les averses de la fin de semaine et un sol instable aient compliqué les opérations de sauvetage, les équipes d'urgence étaient optimistes quant à leurs chances de retrouver la touriste allemande Petra Frehse, âgée de 64 ans, ainsi que les soeurs Rachel et Diana Webber.


L'équipe de secouristes est composée d'environ 70 personnes de l'imposante unité de recherche et sauvetage de Vancouver.


Les images ci-dessous montrent a quel point ce glissement de terrain était effrayant et inattendu. Le passage de la vague de boue a laissé sur son passage une impressionnante empreinte, elle a tout ratiboisé dans sa chute, arbres et maisons dans un couloir d'une cinquante de mètres. Des résidents s'en sont sortis indemnes d'extrême limite en embarquant à la dernière seconde à bord de leur canot à moteur .


vue aérienne des dégâts




Un sauvetage d’extrême limite...



La Corée du Sud a décidé de renoncer à son projet controversé de reprise de chasse à la baleine, qui avait soulevé une indignation internationale, affirme mardi l'agence sud-coréenne Yonhap qui cite un haut responsable du gouvernement.

Les discussions entre les ministères du gouvernement se sont conclues d'une manière qui signifie l'abandon du projet de pêche à la baleine dans les eaux le long des côtes du pays, a déclaré à Yonhap ce haut responsable, sous couvert d'anonymat.

Même si c'est pour des recherches scientifiques, nous devons être conscients du fait que c'est apparu comme un sujet délicat, à l'étranger et ici, a ajouté le responsable.

Le ministère de l'Alimentation, de l'Agriculture, des Forêts et de la Pêche n'a pas souhaité commenter cette information.

Mais un haut responsable de ce ministère, Kang Joon-Suk, avait laissé entendre la semaine dernière que le projet avait de bonnes chances d'être abandonné.

Séoul avait soulevé l'indignation des défenseurs de l'environnement en annonçant début juillet, de but en blanc, une reprise prochaine de ses campagnes de chasse à la baleine le long de ses côtes, arrêtées depuis 26 ans.

Comme le Japon, la Corée avait justifié sa décision en expliquant que ces campagnes s'effectueraient dans le cadre de la recherche scientifique. La viande est ensuite autorisée à être consommée.

Actuellement, seuls trois pays chassent officiellement la baleine: le Japon, pour des raisons supposées scientifiques, et la Norvège et l'Islande, qui ne respectent pas l'interdiction.


Cette pêche est également pratiquée, et autorisée, chez plusieurs peuples indigènes dans le monde, du Groenland à Saint-Vincent-et-les-Grenadines.


Source
©AFP
Pendant un mois, le voilier Zéro Co2 traque la pollution de l’air au large de Marseille. Une mission scientifique d’ampleur révélant la présence de polluants nocifs pour l’homme à plusieurs kilomètres de nos côtes.

Une qualité de l’air aussi mauvaise sur mer que sur terre. L’hypothèse était émise par les scientifiques, elle est désormais prouvée par les analyses menées à bord du voilier Zéro Co2, barré par le skipper et chargé de mission à l’université de Grenoble, Pierre Kermen.

"On connaît la qualité de l’air sur le littoral grâce aux analyseurs. Par contre, on ne sait pas la qualité de l’air en mer et probablement il y a des interactions très importantes entre la mer et le littoral". Équipé d’un capteur, le voilier a donc relevé pendant une semaine la qualité de l’air jusqu’à 10 kilomètres de nos côtes.

Premiers résultats et premières sueurs froides pour Alexandre Armengaud de l’observatoire régional de la qualité de l’air, Air Paca. "Le seuil d’information aux pollutions à l’ozone et aux dioxydes d’azote a été atteint plusieurs fois comme lors des pics sur le littoral".

Un risque sanitaire aggravé

Conséquence de cette pollution au large, le risque sur terre peut même s’accentuer. "Si le mistral n’est pas trop fort, la brise de mer peut ramener cette pollution sur la côte", analyse le directeur d’Air Paca, Dominique Robin. Un constat alarmant pour Annick Delhaye, délégué à l’environnement pour la région Paca. "C’est un véritable problème de santé publique. Chaque année la pollution de l’air provoque la mort de 200 personnes sur Marseille".

Conscients des enjeux pour la population, les pouvoirs publics cofinancent la mission scientifique du voilier Zéro Co2. Jusqu’au 2 août, le bateau n’émettant aucune pollution, naviguera sur tout le littoral. Au terme de son voyage, un compte rendu des analyses sera fourni aux autorités pour faire le bilan de la pollution de l’air afin de parler de ce risque "dont on parle moins mais qui devient important et globale", conclut Pierre Kermen.



Source © metrofrance
Le gouvernement britannique a confirmé hier la constatation d'une fuite mineure de pétrole dans la mer du Nord. Elle a eu lieu à environ 200 kilomètres au large des îles Shetland.

L'agence nationale de l'énergie du changement climatique a déclaré qu' environ 64 barils de pétrole ( soit: 11 000 litres ou encore 9 tonnes) ont été déversé accidentellement dans l'océan à la suite d'une fuite sur une installation située au large de la côte Est des îles Shetland.
 

"Nos observations visuelles d'hier continuent de constater une petite fuite de pétrole remontant à la surface, mais se dispersant rapidement" a déclaré cette même agence.
 

La société "Fairfield Energy", qui exploite la plateforme "Dunlin Alpha" sur le champ d'exploitation d'Osprey confirme ces informations.

" Notre société a immédiatement mis à disposition un navire de support aux plongées profondes pour mettre en œuvre les réparations nécessaires et permettre ainsi le redémarrage de la production du champ d'Osprey en toute sécurité ", a indiqué la compagnie dans un communiqué publié lundi.


© Nature Alerte
Des chenilles d'un papillon exotique originaire des tropiques ont été découvertes pour la première fois au Québec au Jardin botanique de Montréal, a annoncé lundi l'institution en faisant un lien direct avec le changement climatique.

Il s'agit de chenilles du grand porte-queue (Papilio cresphontes Cramer), une sorte de machaon noir et jaune, le plus grand lépidoptère diurne d'Amérique du Nord, dont l'envergure atteint 15 cm, a indiqué le Jardin botanique dans un communiqué.


Les chenilles ont été découvertes ces dernières semaines. "Au cours des dernières décennies, l'adoucissement des températures des zones nordiques lui a permis de survivre à nos hivers et de coloniser de nouveaux habitats. C'est ainsi que, peu à peu, le grand porte-queue s'est rapproché du Québec avec, pour résultat, la métamorphose des premières chrysalides indigènes au Jardin botanique, ces jours-ci".

Originaire d'Amérique du Sud, d'Amérique centrale et du sud des Etats-Unis, le grand porte-queue a graduellement colonisé les Etats du Nord-Est américain et l'extrême sud du Canada, en Ontario, dès la fin des années 90, pour arriver dans le sud du Québec ce printemps. Alors que d'autres espèces de papillons étendent leur habitat vers le Nord à raison de 16 km par décennie, "le grand porte-queue, lui, a une vitesse de colonisation 15 fois plus élevée que la moyenne: c'est par plus de 400 km qu'il a augmenté son aire de répartition sur des territoires autrefois trop hostiles au maintien de populations viables", a souligné le Jardin botanique.

Les chenilles du grand porte-queue, qui se nourrissent habituellement de feuilles de citrus, ont une prédilection pour le houblon et un arbuste, le frêne épineux (Zanthoxylum americanum Mill), qu'on retrouve dans le sud du Québec. 


"L'arrivée du grand porte-queue dans la grande région montréalaise est un exemple bien concret des changements climatiques", conclut l'établissement.

Source: © afp
lundi 16 juillet 2012
La ville de Chicago a mis en place des panneaux de signalisation dans ses rues pour indiquer à la population où trouver un abri en cas de conditions météorologiques extrêmes.

Ils sont répartis dans 16 endroits différents, mais surtout dans le centre d'affaire de la ville, le long de Michigan Avenue et de Grant Park.

Le bureau de gestion des situations d'urgence et des communications sociales a indiqué avoir installé ces panneaux afin d'avertir la population de leurs options de sécurité si des vents violents ou des tempêtes extrêmes venaient à traverser la région.


© Nature Alerte
Plus de 1 100 agriculteurs ont été prié de cesser toute irrigation de leurs champs par le ministère des ressources naturelles du Nebraska, le niveau des rivières où ils puisent l'eau a chuté de façon absolument dramatique depuis le début de la sécheresse qui sévit aux USA.

Les ordres ont été envoyés à 1.106 agriculteurs produisant pour la plupart du mais et du soja.


Environ la moitié des terres cultivées et des pâturages dans le Nebraska sont irriguées, à la différence d'autres états voisin producteurs comme l'Iowa et l'Illinois, qui dépendent eux en grande partie des précipitations.

Il y a environ 46 800 fermes et ranchs d'exploitation dans le Nebraska couvrant environ 45,5 millions d'acres, selon le Département américain de l'Agriculture.



© Nature Alerte source Reuters


En revanche les sociétés d’exploitation de gaz de schiste, très gros consommateur d'eau, ne souffrent eux d'aucune restriction, et oui aux USA (...pas que là d'ailleurs...) c'est la bagnole d'abord.
L'Occident est responsable de la sécheresse qui frappe le sud de l'Iran dans le cadre de sa "guerre non déclarée" contre la République islamique, a affirmé un vice-président iranien cité lundi par l'agence Fars.
 
"J'ai des doutes sur la sécheresse anormale qui touche le sud du pays. L'oppression et le colonialisme mondial (appellations de l'Occident par les dirigeants iraniens) influencent la situation météorologique avec des moyens technologiques (...) et cela fait partie de la guerre non déclarée" des Occidentaux contre l'Iran, a déclaré le vice-président chargé du tourisme, Hassan Moussavi.



Source © Europe1.fr avec AFP
Aux Etats Unis, le ministère de l'Agriculture a déclaré plus de 1000 comtés dans 26 états , en zones de catastrophes naturelles en raison de l’extrême sécheresse qui frappe le pays. C'est la plus grande déclaration de "catastrophe naturelle"  jamais traversée par les États-Unis réunis.


La déclaration de sécheresse couvre environ la moitié de la nation, et donne aux agriculteurs et aux éleveurs durement touchés l'accès à l'aide fédérale, y compris les prêts d'urgence à faible taux d'intérêt.


Selon un observatoire économique des États-Unis, 56 pour cent du pays a connu des conditions de sécheresse extrême, c'est le plus grand pourcentage jamais répertorié.


La moyennes des température des six derniers mois ont été les plus chauds d'un premier semestre, jamais enregistré aux États-Unis.


© Nature Alerte






Les récoltes touchées


Le département américain de l'Agriculture (USDA) a fortement abaissé ses prévisions de récoltes de maïs dans son rapport mensuel paru mercredi dernier, en raison de la sécheresse qui frappe la majeure partie de la « corn belt ». En conséquence, l'USDA a réduit sa prévision de récoltes de maïs de 37% par rapport aux prévisions du mois dernier. En juin, il estimait la production américaine de maïs à 375 millions de tonnes, contre désormais 330 millions de tonnes. Cette baisse des récoltes du premier producteur mondial de maïs devrait être en partie compensée par une baisse des exportations estime l'USDA.


Cette annonce a provoqué une envolée des cours du maïs à la Bourse de Chicago. Les cours des contrats maïs d'échéance septembre à Chicago ont ainsi gagné 22 cents, à 7,40 dollars le boisseau, après la publication du rapport du USDA. Entre le 22 juin et le 9 juillet, le cours de maïs a progressé de 32 % à la Bourse de Chicago, provoquant des hausses de prix sur le marché européen des matières premières agricoles.


L'USDA a également abaissé sa prévision de production mondiale de blé pour la campagne 2012/2013 en raison de récoltes moins bonnes notamment en Russie, au Kazakhstan et en Chine. La production aux Etats-Unis, premier producteur mondial de blé, serait stable par rapport au mois dernier.


Source Reuters

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Les orages de dimanche n'auront donné qu'un très bref répit aux Québécois accablés par la chaleur: la température ressentie devrait grimper à 35 °C lundi et à 38 °C mardi, ce qui fait craindre une vague de coups de chaleur et de nouveaux incendies de forêt.


Le mercure a chuté brutalement dans la grande région de Montréal vers 15h, dimanche, lorsque la pluie s'est mise à tomber. À Environnement Canada, la météorologue Roberta Diaconesco a observé une chute rapide de huit degrés.


«On était à 30,2 °C, et une heure plus tard on était à 22,1 °C. Mais on garde notre avertissement d'humidité et de chaleur accablante, car ça va remonter», prévient-elle.


Les pointes de 35 et 38 °C, en tenant compte du facteur humidex, vont donc forcer pompiers forestiers et autorités médicales à demeurer à l'affût au cours des deux prochains jours - jusqu'au retour de températures un peu plus modérées, mercredi.


Par ailleurs, les pompiers forestiers combattaient toujours 17 incendies de forêt en fin d'après-midi, et de nombreux endroits restaient à inspecter après le passage de la foudre, qui pourrait avoir allumé plusieurs autres foyers.


Par ailleurs le niveaux de réserve des eaux québecoises est inquiétant, des mesures de restriction d'eau sont en application. 


© Nature Alerte


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La Corée du Nord a mobilisé ses soldats pour arroser d'urgence les champs devenus trop arides.

Pendant ce temps les fonctionnaires sud-coréens sont eux aussi à la tache pour tenter de sauver un mollusque rare menacée par la chaleur.

 

Les deux pays ennemis sont confrontés à la pire sécheresse connue depuis 105 ans, confirment les responsables météorologiques de deux camps.

Cette sécheresse prolongée est aggravée par les nombreuses inquiétudes sur la capacité de la Corée du Nord à nourrir sa population. On sait que deux tiers des 24 millions nord coréens sont confrontées à des pénuries alimentaires chroniques, la Fao tente de rassembler 198 millions de dollars en aide humanitaire pour le pays.

Même dans les régions du sud de Phyongan et de Hwanghae, qui sont traditionnellement le «grenier à blè» de la Corée du nord, des milliers d'hectares (ha) de cultures sont atteintes, malgré de bons systèmes d'irrigation. Les réservoirs se tarissent et créent de graves problèmes d'irrigation pour les agriculteurs, a déclaré Ri dim. Pom, président de la commission de l'économie rurale du comté de Hwangju.

Un groupe de femmes soldats avec des serviettes jaunes nouées autour de leurs têtes sillonnent les fermes du Kohyon-ri dans le comté d' Hwangju , avec pour seules ressources des seaux d'eau pour irriguer les champs. Derrière elles un bœuf tire une charrette chargée d'un baril d'eau que remplisse des pompes réquisitionnées pour aider à transporter l'eau jusqu'au champs.La moitié des récoltes sont d’ores et déjà détruites.


Les sud-coréens ont également déclaré la pire sécheresse en plus d'un siècle dans certaines régions. Près de deux mois sans précipitations importantes soulèvent de graves inquiétudes concernant les dommages aux cultures ainsi que devant la baisse dangereuse du niveau des eaux dans les réservoirs de la nation.

Près de 28 000 Sud-Coréens, y compris des soldats, ont été mobilisés pour aider au travail dans les rizières et les champs agricoles. Plus de 13.000 pompes à eau ont été fournis dans les zones frappées par la sécheresse.

Même le premier ministre Kim Hwang a montré l'exemple, en arrosant avec un simple tuyau d'arrosage de jardin un champ lors d'une visite mardi dernier à Hwaseong, au sud de Séoul.

Sous ce soleil de plomb, des poissons morts sont ramassé régulièrement dans le lit des rivières desséchées prés du village de Bongdam à Hwaseong. 


La sécheresse a également entraîné la mort de quelques espèces très menacées dans un réservoir de la ville méridionale de Nonsan en Corée du Sud. Des centaines de moules perlières de Cockscomb ont péri depuis le 14 Juin lorsque les niveaux d'eau du réservoir ont drastiquement chuté. Depuis les autorités essayent de déplacer les moules perlières de Cockscomb vers des lieux plus sûrs.

© Nature Alerte
Touchés par la pire sécheresse des 30 dernières années, des milliers de petits agriculteurs de l'État du Rio Grande do norte, dans le nord-est aride et pauvre du Brésil, ont perdu toute leur récolte de coton et de maïs.

"L'année dernière, j'ai produit 800 kilos de coton, 300 de sésame, une tonne de maïs et 400 kilos de haricots noirs. Cette année, j'ai planté les semences mais il n'a pas plu et j'ai tout perdu", raconte José Holanda de Moares, un agriculteur de 43 ans de la commune de Apodi, à 300 km de Natal, la capitale régionale.

M. Holanda cultive un terrain de 19 hectares dans une zone qui a été confisquée par le gouvernement en 1999 et confiée à des paysans sans terre dans le cadre de la réforme agraire. Le village Moacir Lucena où se trouve sa terre est situé en plein "sertao", une grande région semi-aride où il a plu moins de 150 mm au cours des six premiers mois de l'année. La végétation consiste essentiellement en petits arbres épineux qui ne vivent que de manière saisonnière comme des cactus, des buissons et des herbes adaptées à l'aridité.

Il faut au moins 600 mm de pluies pour assurer la production quand il n'y a pas d'irrigation comme c'est le cas dans la plupart des petites propriétés rurales de cette région. Selon le secrétariat national de la Défense civile, il y a actuellement plus de 1134 communes de cette région en situation d'urgence en raison du manque de précipitations.

On estime que quatre millions de personnes ont été touchées par la sécheresse dans une région où les rares pluies tombent de février à avril. "Nous cohabitons avec la sécheresse endémique et nous avons besoin de mesures pour faire face à ce problème ", explique Rosane Gurgel du ministère du Développement agraire qui aide ces nouveaux petits agriculteurs démunis.

Elle précise que le gouvernement a ouvert une ligne de crédit d'urgence pour les producteurs touchés par la sécheresse. Le ministère de l'Intégration nationale a annoncé que 1,3 million de dollars ont été débloqués pour des actions d'urgence de lutte contre la sécheresse, comme des camions citernes et l'installation de 30.000 citernes et la réparation de 2.400 puits.

Source: Le figaro

Equimina(Angola)  - En moyenne quatre têtes de bovins meurent chaque jours à Cimo, commune d'Equima à 160 kilomètres de Baia Farta au sud de la ville de Benguela par manque de pâturage causé par la sécheresse qui a commencé depuis le début de cette année dans la région.
 Selon le chef coutumier local, Joaquim Tcingombe, il 'sagit de troupeaux composés de 3 à 4 mille têtes de bovins provenants de la province de Namibe notamment de Camucuio, Mamue et Lucira à la recherche de patures dans la région qui est également touchée par la secheresse.

 La source informe en outre que la disette a affecté également les pasteurs et éleveurs de bovins ainsi que les villages voisins.
 A cet effet , les autorités compétantes ont été invitées à créér les conditions de ravitaillement en nourriture aux population de la région.
Le feu de forêt qui s’est déclaré dimanche sur l‘île de Ténérife, dans l’archipel espagnol des Canaries, après avoir parcouru depuis hier environ 1.100 hectares menace à présent le parc national du mont Teide, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.

Une cinquantaine de personnes ont été évacuées du village de Adeje cette nuit. 

Plus de 70 pompiers sont mobilisés, appuyés par sept hélicoptères. Par mesure de précaution, environ 90 personnes ont été évacuées.


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