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vendredi 20 juillet 2012
18:54
Le naufrage d'une barge-péniche déverse entre 6000 et 8000 litres de carburant et une quantité inconnue de pétrole dans le lac Huron à environs 5 km au large de Lakeport, juste au nord de Port Huron.
Les gardes côtes américains ont installé d'urgence un barrage flottant autours du bateau pour tenter de contenir la dispersion des hydrocarbures.
Les plages de Port Huron sont également fermées le temps pour les autorités d'évaluer la situation. L'équipage de la péniche est sain et sauf.
Les conditions météorologiques difficiles retardent les opérations de nettoyage.
© Nature Alerte
WLNS TV 6 Lansing - Jackson | Your Local News Leader
Les gardes côtes américains ont installé d'urgence un barrage flottant autours du bateau pour tenter de contenir la dispersion des hydrocarbures.
Les plages de Port Huron sont également fermées le temps pour les autorités d'évaluer la situation. L'équipage de la péniche est sain et sauf.
Les conditions météorologiques difficiles retardent les opérations de nettoyage.
© Nature Alerte
WLNS TV 6 Lansing - Jackson | Your Local News Leader
18:48
La présence du virus de Schmallenberg vient d'être confirmée dans 174 nouvelles exploitations (depuis la dernière mise à jour du 3 juillet 2012) indique le bilan daté du 17 juillet 2012 en ligne sur le site du ministère de l'Agriculture.
Au total ce sont 2.650 élevages qui sont donc touchés dans 65 départements
(01, 02, 03, 07, 08, 10, 12, 14, 16, 17, 18, 19, 21, 22, 23, 24, 27, 28, 33, 35, 36, 37, 39, 40, 41, 42, 45, 47, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 67, 68, 69, 70, 71, 72, 73, 76, 77, 79, 80, 82, 85, 86, 87, 88, 89, 90, 95).
Il s'agit de 1.128 élevages ovins, 1.505 élevages bovins et 17 élevages caprins.
Le virus de Schmallenberg également décelé en Suisse
Le virus de Schmallenberg vient d’être diagnostiqué chez des vaches dans deux ex-ploitations du canton de Berne. Ces animaux souffraient de diarrhées et de fièvre. Le virus est donc également présent en Suisse. Les avortements et les naissances d’animaux présentant des malformations pourraient augmenter chez les bovins, ovins et caprins au printemps prochain.
Au total ce sont 2.650 élevages qui sont donc touchés dans 65 départements
(01, 02, 03, 07, 08, 10, 12, 14, 16, 17, 18, 19, 21, 22, 23, 24, 27, 28, 33, 35, 36, 37, 39, 40, 41, 42, 45, 47, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 67, 68, 69, 70, 71, 72, 73, 76, 77, 79, 80, 82, 85, 86, 87, 88, 89, 90, 95).
Il s'agit de 1.128 élevages ovins, 1.505 élevages bovins et 17 élevages caprins.
Le virus de Schmallenberg également décelé en Suisse
Le virus de Schmallenberg vient d’être diagnostiqué chez des vaches dans deux ex-ploitations du canton de Berne. Ces animaux souffraient de diarrhées et de fièvre. Le virus est donc également présent en Suisse. Les avortements et les naissances d’animaux présentant des malformations pourraient augmenter chez les bovins, ovins et caprins au printemps prochain.
18:45
Petit rappel des règles cliquez
sur l'image pour agrandir
Les amateurs peuvent de nouveau pratiquer la pêche de loisir des coquillages, entre Ouistreham et Houlgate.
La préfecture vient de lever l’interdiction faite par arrêté préfectoral depuis le 16 juin en raison d’une contamination microbiologique (germes fécaux). Celle-ci résultait vraisemblablement d’une pollution du littoral après le déversement accidentel d’eaux usées émanant d’une station d’épuration, fin mai.
Les dernières analyses effectuées sur les coquillages de ce secteur ont mis en évidence des résultats redevenus conformes au seuil réglementaire.
En revanche, la préfecture rappelle que « la pêche des coquillages en baie des Sallenelles ainsi que sur le littoral compris entre le club nautique de Trouville et Honfleur reste interdite de façon permanente compte tenu du classement sanitaire en D de ces deux zones. »
Par ailleurs, la pêche des coques entre Ouistreham et Cabourg est soumise à l’ouverture des gisements à la pêche professionnelle.
Source © AFP
Classement sanitaire de la DDASS 17.
Les zones classées insalubres sont interdites à la pêche. Références : suivi sanitaire de la DDASS 17.
Commentaire sur ce point : en dehors des zones précitées (ports) interdites en permanence, le classement est mis à jour en fonction des analyses effectuées par la DDASS. Les analyses portent sur le taux de coliformes fécaux (Escherichia coli), germes témoins de contamination fécale, présents dans les coquillages.
Les zones classées A (bonne qualité) et B (moyenne) sont autorisées. Les zones C (médiocre) et D (mauvaise qualité) sont interdites.
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Les amateurs peuvent de nouveau pratiquer la pêche de loisir des coquillages, entre Ouistreham et Houlgate.
La préfecture vient de lever l’interdiction faite par arrêté préfectoral depuis le 16 juin en raison d’une contamination microbiologique (germes fécaux). Celle-ci résultait vraisemblablement d’une pollution du littoral après le déversement accidentel d’eaux usées émanant d’une station d’épuration, fin mai.
Les dernières analyses effectuées sur les coquillages de ce secteur ont mis en évidence des résultats redevenus conformes au seuil réglementaire.
En revanche, la préfecture rappelle que « la pêche des coquillages en baie des Sallenelles ainsi que sur le littoral compris entre le club nautique de Trouville et Honfleur reste interdite de façon permanente compte tenu du classement sanitaire en D de ces deux zones. »
Par ailleurs, la pêche des coques entre Ouistreham et Cabourg est soumise à l’ouverture des gisements à la pêche professionnelle.
Source © AFP
Classement sanitaire de la DDASS 17.
Les zones classées insalubres sont interdites à la pêche. Références : suivi sanitaire de la DDASS 17.
Commentaire sur ce point : en dehors des zones précitées (ports) interdites en permanence, le classement est mis à jour en fonction des analyses effectuées par la DDASS. Les analyses portent sur le taux de coliformes fécaux (Escherichia coli), germes témoins de contamination fécale, présents dans les coquillages.
Les zones classées A (bonne qualité) et B (moyenne) sont autorisées. Les zones C (médiocre) et D (mauvaise qualité) sont interdites.
13:47
Des millions de minuscules créatures violettes recroquevillées en boule, sont apparues sur une plage d'Hawaii.
L'identité de cette espèce de crabe de la taille d'un petit pois laisse encore les experts perplexes et dans l'expectative. Ce qui est sûr, c'est que les biologistes marins de l'ile n'ont jamais vu ça.
Les petits crabes se sont échoués avec les vagues de ces derniers jours, la plupart d'entre eux étaient morts ou mourants.
Au premier abords les scientifiques de Waikiki pensent que ces créatures de moins de 5 mm de long, sont des larves de crabe à taches rouges (Carpilius maculatus), le "7-11 crab" en anglais, ce nom leur a été donné en raison du nombre de tache que l'on dénombre sur leur carapace. C'est un crustacé que l'on trouve fréquemment dans la région, en revanche les experts n'ont jamais assisté à un tel événement jurent ils.
Il est ici connu comme le crabe des récifs tacheté, il peut atteindre à l'age adulte 18 cm de longs. Ils vivent dans les récifs de Tidepool, et selon la légende, leur taches sur le dos sont les résultats d'une bagarre avec un dieu de la mer.
Les tout petits crabes qui se sont échoués étaient pourpres, le 7-11 adulte, a lui, une coquille orange rouille et ses taches sont marron. Il se nourrit généralement de nuit, de cadavres d'autres crustacés et d'invertébrés.
Le littoral qui a été touché par le phénomène s'étend de Kahala à Ala Moana sur la pointe sud de Honolulu.
Ce sont des surfeurs qui ont donné l'alerte en en découvrant partout sur leur planches.
Le Dr Andrew Rossiter de l'aquarium de Waikiki pense qu'une agitation de la mer imprévu a fait pénétrer des bulles d'air dans les larves qui se sont finalement échouées, incapables de replonger dans leur lieu de ponte.
L'échouage massif de ces petites créatures sur les plages de Hawaii inquiète les riverains qui y voient eux, un signe précurseur d'un événement pollueur ou sismique à venir.
© Nature Alerte/ source daily.co.uk
...Étonnant cette lecture toujours interrogative des experts devant les très nombreuses hécatombes animales qui se produisent depuis quelques années sur les plages...et pendant ce temps là... aux larges...une mystérieuse activité fait couler d'ors... les flots et les flux...
L'identité de cette espèce de crabe de la taille d'un petit pois laisse encore les experts perplexes et dans l'expectative. Ce qui est sûr, c'est que les biologistes marins de l'ile n'ont jamais vu ça.
Les petits crabes se sont échoués avec les vagues de ces derniers jours, la plupart d'entre eux étaient morts ou mourants.
Au premier abords les scientifiques de Waikiki pensent que ces créatures de moins de 5 mm de long, sont des larves de crabe à taches rouges (Carpilius maculatus), le "7-11 crab" en anglais, ce nom leur a été donné en raison du nombre de tache que l'on dénombre sur leur carapace. C'est un crustacé que l'on trouve fréquemment dans la région, en revanche les experts n'ont jamais assisté à un tel événement jurent ils.
Il est ici connu comme le crabe des récifs tacheté, il peut atteindre à l'age adulte 18 cm de longs. Ils vivent dans les récifs de Tidepool, et selon la légende, leur taches sur le dos sont les résultats d'une bagarre avec un dieu de la mer.
Les tout petits crabes qui se sont échoués étaient pourpres, le 7-11 adulte, a lui, une coquille orange rouille et ses taches sont marron. Il se nourrit généralement de nuit, de cadavres d'autres crustacés et d'invertébrés.
Le littoral qui a été touché par le phénomène s'étend de Kahala à Ala Moana sur la pointe sud de Honolulu.
Ce sont des surfeurs qui ont donné l'alerte en en découvrant partout sur leur planches.
Le Dr Andrew Rossiter de l'aquarium de Waikiki pense qu'une agitation de la mer imprévu a fait pénétrer des bulles d'air dans les larves qui se sont finalement échouées, incapables de replonger dans leur lieu de ponte.
L'échouage massif de ces petites créatures sur les plages de Hawaii inquiète les riverains qui y voient eux, un signe précurseur d'un événement pollueur ou sismique à venir.
© Nature Alerte/ source daily.co.uk
13:35
De nombreux incendies faisaient rage au Portugal, notamment dans la région touristique de l'Algarve et à Madère où les autorités portugaises ont envoyé des renforts pour prêter main forte aux services de secours de cet archipel de l'Atlantique.
Des incendies ont provoqué l'évacuation de dizaines de villageois dans l'archipel de Madère, forçant les autorités portugaises à envoyer des renforts. Les flammes ont menacé les faubourgs de Funchal la capitale. Si celle-ci semblait hors de danger, la situation dans la petite île de Porto Santo inquiétait davantage les autorités, avec plusieurs maisons ravagées par les flammes, conduisant les pompiers à demander aux villageois de Camacha de quitter la zone.
Une "quinzaine de maisons" ont été détruites par les incendies. A Santa Cruz, les locaux d'un centre de santé, d'une école et d'un centre de réinsertion pour jeunes ont été évacués par mesure de précaution.
Les incendies ont provoqué un épais nuage de fumée au dessus de la capitale Funchal à un kilomètre à peine de l'aéroport, entraînant des retards sur certains vols. 42 personnes souffrant "sans gravité" des conséquences des incendies ont été assistées à l'hôpital de Funchal.
Un avion de transport de l'Armée de l'air, parti de la région de Lisbonne avec 83 pompiers à son bord est arrivé sur l'île en fin de matinée afin d'aider quelque 250 pompiers sur place.
Au Portugal, quelque 400 pompiers ont été déployés dans la région de Tavira, à une quarantaine de kilomètres de la station balnéaire de Faro (sud), très fréquentée des touristes étrangers, pour combattre un incendie qui continuait de progresser sur quatre fronts.
Un bombardier d'eau Canadair espagnol, des militaires et plusieurs pompiers d'autres régions portugaises sont arrivés en renfort dans l'après-midi pour combattre cet incendie complétant un dispositif comprenant plusieurs moyens aériens.
Une centaine de personnes de la région ont dû être évacuées tandis que la circulation a été coupée sur plusieurs routes durant la journée.
D'autres incendies, mobilisaient quelque 500 pompiers, aidés de plusieurs hélicoptères et avions, dans le nord et le centre du pays.
Source : AFP
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Des incendies ont provoqué l'évacuation de dizaines de villageois dans l'archipel de Madère, forçant les autorités portugaises à envoyer des renforts. Les flammes ont menacé les faubourgs de Funchal la capitale. Si celle-ci semblait hors de danger, la situation dans la petite île de Porto Santo inquiétait davantage les autorités, avec plusieurs maisons ravagées par les flammes, conduisant les pompiers à demander aux villageois de Camacha de quitter la zone.
Une "quinzaine de maisons" ont été détruites par les incendies. A Santa Cruz, les locaux d'un centre de santé, d'une école et d'un centre de réinsertion pour jeunes ont été évacués par mesure de précaution.
Les incendies ont provoqué un épais nuage de fumée au dessus de la capitale Funchal à un kilomètre à peine de l'aéroport, entraînant des retards sur certains vols. 42 personnes souffrant "sans gravité" des conséquences des incendies ont été assistées à l'hôpital de Funchal.
Un avion de transport de l'Armée de l'air, parti de la région de Lisbonne avec 83 pompiers à son bord est arrivé sur l'île en fin de matinée afin d'aider quelque 250 pompiers sur place.
Au Portugal, quelque 400 pompiers ont été déployés dans la région de Tavira, à une quarantaine de kilomètres de la station balnéaire de Faro (sud), très fréquentée des touristes étrangers, pour combattre un incendie qui continuait de progresser sur quatre fronts.
Un bombardier d'eau Canadair espagnol, des militaires et plusieurs pompiers d'autres régions portugaises sont arrivés en renfort dans l'après-midi pour combattre cet incendie complétant un dispositif comprenant plusieurs moyens aériens.
Une centaine de personnes de la région ont dû être évacuées tandis que la circulation a été coupée sur plusieurs routes durant la journée.
D'autres incendies, mobilisaient quelque 500 pompiers, aidés de plusieurs hélicoptères et avions, dans le nord et le centre du pays.
Source : AFP
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13:32
Les pompiers grecs restaient en alerte jeudi soir après qu'un incendie ait dévasté une zone boisée des environs d'Athènes, détruisant ou endommageant plusieurs maisons et contraignant certains habitants à lutter eux-mêmes contre les flammes pour sauver leurs habitations.
Le feu, attisé par des vents violents, a détruit les toits de cinq maisons de l'un des faubourgs de la capitale et obligé leurs habitants à évacuer les lieux, ont déclaré les pompiers, qui ne signalent aucune victime.
Des images diffusées à la télévision montraient d'épaisses volutes de fumée noire s'élevant dans les airs tandis que le feu réduisait en pièces de vastes espaces de terres.
"Nous avons été entourés (par les flammes) en quelques secondes. La maison a été détruite", a témoigné un habitant interviewé par la chaîne Antenna TV.
Plusieurs dizaines de pompiers, équipés de 35 véhicules, cinq avions bombardiers d'eau et deux hélicoptères étaient mobilisés jeudi pour lutter contre le sinistre.
Le feu s'est calmé à la fin de la journée mais les pompiers restaient mobilisés au cas où le vent ravive les flammes.
"Les maisons ne sont plus menacées mais nous resterons sur le terrain jusqu'à ce que nous soyons certains qu'il n'y ait pas d'embrasement", a précisé un responsable des pompiers.
Un autre feu de forêt faisait rage jeudi pour la deuxième journée consécutive dans le sud du Péloponnèse.
Les Grecs gardent encore vif le souvenir des incendies de forêts de l'été 2007, qui avaient fait 65 morts, dévasté des milliers d'hectares de bois et de terres agricoles, détruit des villages entiers et menacé des sites archéologiques.
© AFP
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Le feu, attisé par des vents violents, a détruit les toits de cinq maisons de l'un des faubourgs de la capitale et obligé leurs habitants à évacuer les lieux, ont déclaré les pompiers, qui ne signalent aucune victime.
Des images diffusées à la télévision montraient d'épaisses volutes de fumée noire s'élevant dans les airs tandis que le feu réduisait en pièces de vastes espaces de terres.
"Nous avons été entourés (par les flammes) en quelques secondes. La maison a été détruite", a témoigné un habitant interviewé par la chaîne Antenna TV.
Plusieurs dizaines de pompiers, équipés de 35 véhicules, cinq avions bombardiers d'eau et deux hélicoptères étaient mobilisés jeudi pour lutter contre le sinistre.
Le feu s'est calmé à la fin de la journée mais les pompiers restaient mobilisés au cas où le vent ravive les flammes.
"Les maisons ne sont plus menacées mais nous resterons sur le terrain jusqu'à ce que nous soyons certains qu'il n'y ait pas d'embrasement", a précisé un responsable des pompiers.
Un autre feu de forêt faisait rage jeudi pour la deuxième journée consécutive dans le sud du Péloponnèse.
Les Grecs gardent encore vif le souvenir des incendies de forêts de l'été 2007, qui avaient fait 65 morts, dévasté des milliers d'hectares de bois et de terres agricoles, détruit des villages entiers et menacé des sites archéologiques.
© AFP
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13:28
La facture énergétique de la France a battu son record en atteignant 61,4 milliards d'euros l'an passé, près de quatre fois plus qu'il y a vingt ans, une responsabilité qui incombe à plus de 80% au pétrole, selon un rapport publié jeudi.
"A elle seule, la facture énergétique représente 88% du déficit commercial de la France", souligne le Commissariat général au Développement durable, une division du ministère de l'Ecologie, dans son "Bilan énergétique de la France pour 2011".
Par rapport à 2010, l'addition gonfle ainsi de près d'un tiers, salée par les prix des carburants fossiles, qui affichent en moyenne +40% sur un an pour le pétrole, +39% pour le gaz et +33% pour le charbon.
Le précédent record remontait à 2008, année de pics pétroliers, avec 58,1 milliards d'euros (59,2 milliards en euros constants). Même en euros de 2011, la facture reste au-delà des sommets du début des années 80 consécutifs aux chocs pétroliers de 1973 et 1979.
Le fardeau énergétique de la France atteint désormais 3,1% du PIB en 2011, là encore au-delà des 3% de 2008. Du fait de la croissance économique, ce niveau reste cependant inférieur à ses sommets du début des années 80, où il était juste sous les 5%.
Au point que la France doit désormais exporter pendant 56 jours pour régler l'équivalent de la facture énergétique.
Responsable: le pétrole, qui a représenté 82% de la facture énergétique l'an passé, devant le gaz (19%), les exportations d'électricité permettant d'alléger un peu la note (-4%).
La Russie était toujours l'an dernier le premier fournisseur de la France en pétrole brut avec 14,8%. Le Kazakhstan (12,8%) et l'Arabie Saoudite (10,4%) ont ravi la 2e et la 3e place à la Libye et à la Norvège, sur le podium en 2010. La Norvège rétrograde en 4e position, devant l'Azerbaïdjan et l'Algérie.
Elément notable, la facture pétrolière bat des records alors que la quantité, elle, a plongé: en 1973, la France importait 134,9 millions de tonnes d'or noir. En 2000, les importations étaient encore de 85,6 millions de tonnes. En 2011, on est tombé à 64,4 millions.
Le Moyen-Orient, d'où provenait 71,4% du pétrole consommé en France en 1973, ne représente plus que 18,9%. La principale région d'approvisionnement pour la France vient des pays de l'ex-URSS (36,3%), devant l'Afrique (29,2%) et la mer du Nord (14,1%).
Pour le gaz, la Norvège reste de loin le premier fournisseur (32,1%) de la France, devant les Pays-Bas (16,2%), la Russie (12,7%), l'Algérie (11%) et le Qatar (5,4%).
Côté électricité, dont la France et ses 58 réacteurs nucléaires sont traditionnellement surproducteurs, les exportations ont nettement augmenté (+31%), tandis que les importations ont chuté (-51%) par rapport au niveau élevé de 2010.
Quelque 12,3% de l'électricité française (à 78,7% nucléaire, 9,8% thermique, 9% hydraulique, 2,2% éolien et 0,4% solaire) a été exportée l'an dernier.
Le paysage de la consommation d'énergie en France reste largement inchangé: 43,8% d'électricité "primaire" (non thermique), 31% de pétrole, 15% de gaz, 6,4% d'énergies renouvelables thermiques et déchets, 3,7% du charbon.
Source © AFP
...Après les dettes ....voilà pour certain une autre façon de se faire du pognon...non?...
"A elle seule, la facture énergétique représente 88% du déficit commercial de la France", souligne le Commissariat général au Développement durable, une division du ministère de l'Ecologie, dans son "Bilan énergétique de la France pour 2011".
Par rapport à 2010, l'addition gonfle ainsi de près d'un tiers, salée par les prix des carburants fossiles, qui affichent en moyenne +40% sur un an pour le pétrole, +39% pour le gaz et +33% pour le charbon.
Le précédent record remontait à 2008, année de pics pétroliers, avec 58,1 milliards d'euros (59,2 milliards en euros constants). Même en euros de 2011, la facture reste au-delà des sommets du début des années 80 consécutifs aux chocs pétroliers de 1973 et 1979.
Le fardeau énergétique de la France atteint désormais 3,1% du PIB en 2011, là encore au-delà des 3% de 2008. Du fait de la croissance économique, ce niveau reste cependant inférieur à ses sommets du début des années 80, où il était juste sous les 5%.
Au point que la France doit désormais exporter pendant 56 jours pour régler l'équivalent de la facture énergétique.
Responsable: le pétrole, qui a représenté 82% de la facture énergétique l'an passé, devant le gaz (19%), les exportations d'électricité permettant d'alléger un peu la note (-4%).
La Russie était toujours l'an dernier le premier fournisseur de la France en pétrole brut avec 14,8%. Le Kazakhstan (12,8%) et l'Arabie Saoudite (10,4%) ont ravi la 2e et la 3e place à la Libye et à la Norvège, sur le podium en 2010. La Norvège rétrograde en 4e position, devant l'Azerbaïdjan et l'Algérie.
Elément notable, la facture pétrolière bat des records alors que la quantité, elle, a plongé: en 1973, la France importait 134,9 millions de tonnes d'or noir. En 2000, les importations étaient encore de 85,6 millions de tonnes. En 2011, on est tombé à 64,4 millions.
Le Moyen-Orient, d'où provenait 71,4% du pétrole consommé en France en 1973, ne représente plus que 18,9%. La principale région d'approvisionnement pour la France vient des pays de l'ex-URSS (36,3%), devant l'Afrique (29,2%) et la mer du Nord (14,1%).
Pour le gaz, la Norvège reste de loin le premier fournisseur (32,1%) de la France, devant les Pays-Bas (16,2%), la Russie (12,7%), l'Algérie (11%) et le Qatar (5,4%).
Côté électricité, dont la France et ses 58 réacteurs nucléaires sont traditionnellement surproducteurs, les exportations ont nettement augmenté (+31%), tandis que les importations ont chuté (-51%) par rapport au niveau élevé de 2010.
Quelque 12,3% de l'électricité française (à 78,7% nucléaire, 9,8% thermique, 9% hydraulique, 2,2% éolien et 0,4% solaire) a été exportée l'an dernier.
Le paysage de la consommation d'énergie en France reste largement inchangé: 43,8% d'électricité "primaire" (non thermique), 31% de pétrole, 15% de gaz, 6,4% d'énergies renouvelables thermiques et déchets, 3,7% du charbon.
Source © AFP
jeudi 19 juillet 2012
20:06
INFO E1 - Jean-Marc Ayrault et Delphine Batho ont convoqué des ONG écolos, le 24 juillet.
L'épineux dossier de l'exploitation du gaz de schiste est-il sur le point d'être déterré ? Selon des informations Europe 1, une réunion sur le sujet aura lieu, en toute discrétion, le 24 juillet. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault et la ministre de l'Ecologie Delphine Batho ont donné rendez-vous aux principales ONG environnementales, notamment Greenpeace, France Nature Environnement, la Ligue de Protection des Oiseaux.
Une étude d'impact ( tiens donc?)
Au menu des discussions, une réflexion sur l'opportunité d'exploiter le gaz de schiste. Concrètement, il s'agit d'obtenir en amont l'aval des ONG pour des recherches sur le dossier suivi d'une étude d'impact pour prendre en compte les critères environnementaux.
Les gaz de schiste demeurent en effet un sujet très controversé car leur extraction, qui nécessite la destruction de la roche qui les enferme, est très polluante. Après une forte mobilisation d'opposants, la France était devenue, en juillet 2011, le premier pays à bannir l'usage de la technique de la fracturation hydraulique, susceptible d'entraîner des pollutions du sous-sol, bloquant ainsi de fait l'exploitation de ces gaz prisonniers des roches souterraines. La législation actuelle a abrogé les permis de recherche accordés.
"Le risque électoral est très lourd"
Du côté des ONG, on reste méfiants. "L'exploration en profondeur propre, ça n'existe pas", commente un responsable, interrogé par Europe 1. "Ce sera donc le choix économique ou la responsabilité environnementale" tranche t-il. "Le risque électoral est très lourd", renchérit un autre négociateur". La discussion s'annonce animée.
Source © Europe 1
...Est ce à croire que les écolos au pouvoir aiment particulièrement le chanteur Jacques Dutronc pour s'en inspirer...et ..."retournent leur vestes"...
...Et surtout qui finance certaine de ces ONG, (nous parlons ici de la WWF, la FNE, Greenpeace ou encore de ...) pour que le ministère de l'écologie dans sa grande générosité les convoque en bon spécialistes de la question... ?...je vous le donne en mille: l'état évidemment et aussi...chut ...ça c'est un secret...Bref...
...C'est vrai qu'avec le temps toutes ces ONG là , "contre le gaz de schiste", ...ça se saurait... !!!!.
Déjà en 2011 elles avaient été pointé du doigt...alors retour à la case départ?...
Petit rappel des faits:
Pourquoi les ONG écologiques officielles ont réagi avec retard, voir sont restées silencieuses pendant des années, (aux USA par exemple) , dans la lutte contre le gaz de schiste, et sur d'autres sujets d'ailleurs, la géoingénierie par exemple... ?...:
"La bande des Quatre se fout des gaz de schiste" avait déjà accusé début 2011 Fabrice Nicolino, spécialiste de la question et journaliste, auteur de nombreux ouvrages sur le sujet :
Pour Nicolino, qui a été le premier à sonner l'alerte dés 2010, ce silence coupable, est lié aux structures mêmes de ces associations : trop proches du pouvoir, et des industriels.
Sans ce journaliste nous n'en aurions peut être même jamais entendu parler...
...C'est vrai qu'aujourd'hui on les entends un peu plus sur le sujet, mais si fébrilement, du moins le font elles avec parcimonie, et disons le clairement, de façon "très", très discrète...
Faut il aussi rappeler que déjà en janvier 2011 un membre de la WWF était censé participer à une réunion des industriels du gaz de schiste, alors qu'un silence total régnait à l'époque dans les activités de cette association concernant le gaz de schiste...étrange?....
Et surtout comment s'expliquer que les grandes associations écologistes ne se mobilisent que mollement sur ce sujet?
"Les transnationales du pétrole et du gaz veulent mettre la France et l’Europe en coupe réglée, et tuer ce qui reste encore à peu près vivant" "alors elles financent" accuse alors Nicolino qui révèle au passage la participation de Stephan Singer à cette réunion de 2011, "le responsable de la politique de l’énergie au WWF, cette association internationale qui n’a plus d’écologiste que le nom"
"Concernant Greenpeace, l' association verticaliste, nul ne bouge tant que la bureaucratie internationale qui dirige tout depuis Amsterdam ne le décide, s'agace-t-il. Et, donc, Greenpeace France ne fait rien. Encore bravo, les vaillants défenseurs de la planète !" avait il rappelé à l'époque.
"On a une expertise sur le pétrole, à l'international et en France, mais pas sur le gaz" avait alors expliquait Sylvain Trottier, chargé de communication de Greenpeace...
A l'époque d'ailleurs, pour répondre à ces attaques, toutes les associations avançaient pour leurs défenses, "leurs spécificités" respectives, pour justifier leur mauvais temps de réaction, voir leur silence total.
Il est alors vraiment étonnant de voir que ces mêmes non spécialistes d'hier, soient encore ceux convoqués par le ministère aujourd'hui, 1 an après les faits, il faut juste espérer qu'ils aient révisé leur dossiers depuis...
...bon allez ...il y a au fond, comme un démon...et dans la tête de nos sauveurs, des pensées de gens responsables, et qui aiment tant la planète qu'ils pensent forcément à l'avenir... des enfants...
D'ailleurs à toutes ces questions leurs efficacités ne sont plus à démontrer, probablement inspirées par l'envoutement des images.... de crépuscule...
C'est sous le poids des responsabilités, qu'on mesure la grandeur des héros...
...et pour s'en convaincre ...et bien faite passer...
...Vous avez dit bizarre?...
L'épineux dossier de l'exploitation du gaz de schiste est-il sur le point d'être déterré ? Selon des informations Europe 1, une réunion sur le sujet aura lieu, en toute discrétion, le 24 juillet. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault et la ministre de l'Ecologie Delphine Batho ont donné rendez-vous aux principales ONG environnementales, notamment Greenpeace, France Nature Environnement, la Ligue de Protection des Oiseaux.
Une étude d'impact ( tiens donc?)
Au menu des discussions, une réflexion sur l'opportunité d'exploiter le gaz de schiste. Concrètement, il s'agit d'obtenir en amont l'aval des ONG pour des recherches sur le dossier suivi d'une étude d'impact pour prendre en compte les critères environnementaux.
Les gaz de schiste demeurent en effet un sujet très controversé car leur extraction, qui nécessite la destruction de la roche qui les enferme, est très polluante. Après une forte mobilisation d'opposants, la France était devenue, en juillet 2011, le premier pays à bannir l'usage de la technique de la fracturation hydraulique, susceptible d'entraîner des pollutions du sous-sol, bloquant ainsi de fait l'exploitation de ces gaz prisonniers des roches souterraines. La législation actuelle a abrogé les permis de recherche accordés.
"Le risque électoral est très lourd"
Du côté des ONG, on reste méfiants. "L'exploration en profondeur propre, ça n'existe pas", commente un responsable, interrogé par Europe 1. "Ce sera donc le choix économique ou la responsabilité environnementale" tranche t-il. "Le risque électoral est très lourd", renchérit un autre négociateur". La discussion s'annonce animée.
Source © Europe 1
...Est ce à croire que les écolos au pouvoir aiment particulièrement le chanteur Jacques Dutronc pour s'en inspirer...et ..."retournent leur vestes"...
...Et surtout qui finance certaine de ces ONG, (nous parlons ici de la WWF, la FNE, Greenpeace ou encore de ...) pour que le ministère de l'écologie dans sa grande générosité les convoque en bon spécialistes de la question... ?...je vous le donne en mille: l'état évidemment et aussi...chut ...ça c'est un secret...Bref...
...C'est vrai qu'avec le temps toutes ces ONG là , "contre le gaz de schiste", ...ça se saurait... !!!!.
Déjà en 2011 elles avaient été pointé du doigt...alors retour à la case départ?...
Petit rappel des faits:
Pourquoi les ONG écologiques officielles ont réagi avec retard, voir sont restées silencieuses pendant des années, (aux USA par exemple) , dans la lutte contre le gaz de schiste, et sur d'autres sujets d'ailleurs, la géoingénierie par exemple... ?...:
"La bande des Quatre se fout des gaz de schiste" avait déjà accusé début 2011 Fabrice Nicolino, spécialiste de la question et journaliste, auteur de nombreux ouvrages sur le sujet :
Pour Nicolino, qui a été le premier à sonner l'alerte dés 2010, ce silence coupable, est lié aux structures mêmes de ces associations : trop proches du pouvoir, et des industriels.
Sans ce journaliste nous n'en aurions peut être même jamais entendu parler...
...C'est vrai qu'aujourd'hui on les entends un peu plus sur le sujet, mais si fébrilement, du moins le font elles avec parcimonie, et disons le clairement, de façon "très", très discrète...
Faut il aussi rappeler que déjà en janvier 2011 un membre de la WWF était censé participer à une réunion des industriels du gaz de schiste, alors qu'un silence total régnait à l'époque dans les activités de cette association concernant le gaz de schiste...étrange?....
Et surtout comment s'expliquer que les grandes associations écologistes ne se mobilisent que mollement sur ce sujet?
"Les transnationales du pétrole et du gaz veulent mettre la France et l’Europe en coupe réglée, et tuer ce qui reste encore à peu près vivant" "alors elles financent" accuse alors Nicolino qui révèle au passage la participation de Stephan Singer à cette réunion de 2011, "le responsable de la politique de l’énergie au WWF, cette association internationale qui n’a plus d’écologiste que le nom"
"Concernant Greenpeace, l' association verticaliste, nul ne bouge tant que la bureaucratie internationale qui dirige tout depuis Amsterdam ne le décide, s'agace-t-il. Et, donc, Greenpeace France ne fait rien. Encore bravo, les vaillants défenseurs de la planète !" avait il rappelé à l'époque.
"On a une expertise sur le pétrole, à l'international et en France, mais pas sur le gaz" avait alors expliquait Sylvain Trottier, chargé de communication de Greenpeace...
A l'époque d'ailleurs, pour répondre à ces attaques, toutes les associations avançaient pour leurs défenses, "leurs spécificités" respectives, pour justifier leur mauvais temps de réaction, voir leur silence total.
Il est alors vraiment étonnant de voir que ces mêmes non spécialistes d'hier, soient encore ceux convoqués par le ministère aujourd'hui, 1 an après les faits, il faut juste espérer qu'ils aient révisé leur dossiers depuis...
...bon allez ...il y a au fond, comme un démon...et dans la tête de nos sauveurs, des pensées de gens responsables, et qui aiment tant la planète qu'ils pensent forcément à l'avenir... des enfants...
C'est sous le poids des responsabilités, qu'on mesure la grandeur des héros...
...et pour s'en convaincre ...et bien faite passer...
...Vous avez dit bizarre?...
© Nature Alerte
19:52
Environ un millier de petits poissons tels que le naseux japonais ont été retrouvés morts sur 500 m dans la rivière Kasumi prés de la ville de Tokyo.
C'est un citoyen qui l'a signalé à la mairie
Selon les premiers examens, la concentration en oxygène est normal, aucun molécule de chlore ni de cyanogène n'ont été détectés.
Gouvernement Métropolitain de la ville de Tokyo vérifie qu'aucune usine n'a malencontreusement dispersé des eaux usées ou des produits chimiques agricoles interdits à l'amont.
Déjà en Novembre dernier, environ 5000 petits poissons ont été retrouvés morts au même endroit, sans pouvoir en identifier la cause .
© Nature Alerte
Source : fukushima-diary.com
C'est un citoyen qui l'a signalé à la mairie
Selon les premiers examens, la concentration en oxygène est normal, aucun molécule de chlore ni de cyanogène n'ont été détectés.
Gouvernement Métropolitain de la ville de Tokyo vérifie qu'aucune usine n'a malencontreusement dispersé des eaux usées ou des produits chimiques agricoles interdits à l'amont.
Déjà en Novembre dernier, environ 5000 petits poissons ont été retrouvés morts au même endroit, sans pouvoir en identifier la cause .
© Nature Alerte
Source : fukushima-diary.com
13:30
La directive européenne du 21 octobre 2009 et la loi Grenelle II du 13 juillet 2010 interdisent l'épandage de pesticides par voie aérienne.
En dépit de cette interdiction, la préfets de la Haute-Garonne et du Gers ont pris début juillet des arrêtés dérogatoires autorisant l'épandage aérien de pesticides sur les cultures de maïs du département, contre l'avis de nombreux élus et des apiculteurs : depuis hier, des épandages par avion de pesticides sont en cours dans ces deux départements.
Ces traitements dérogatoires rendus légaux par une circulaire ministérielle, relancent la guerre pas vraiment éteinte, entre les défenseurs de l'environnement, les cultivateurs bio, les apiculteurs, les populations riveraines et les commanditaires de des épandages.
Si l'épandage aérien de pesticides est interdit en France (arrêté du 31 mai 2011, qui découle de la loi Grenelle 2) car cette technique présente "des risques importants pour la santé et l'environnement", une circulaire du ministère de l'Agriculture en date du 5 mars, publiée discrètement, a introduit de nombreuses exceptions à une interdiction pourtant très claire. Intitulé « Liste des produits phytopharmaceutiques autorisés ou en cours d'évaluation pour les traitements par aéronefs », ce texte fournit aux pouvoirs publics départementaux la possibilité de délivrer des dérogations pour toute une série de fongicides, herbicides, insecticides destinés à traiter le maïs, le riz, la vigne et les bananiers.
La circulaire du 5 mars émane de la direction générale de l'alimentation et donne la liste de sept pesticides «autorisés », dans la mesure où ils ont été évalués par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation de l'environnement et du travail (Anses), spécifiquement pour être appliqués par voie aérienne.
Le feu dans les maïs gersois et toulousains
Selon France 3 / Midi Pyrénées, les communes concernées par les épandages hier dans le Gers étaient Samatan et Bezeril. En Haute-Garonne : Le Castera, Villaudric, Villematier, Castelginest, Caignac, Montaut. Aujourd'hui, c'est le tour de Carbonne, Salles, Saint-Elix, et Lavelanet de Comminges. Les traitements se font par hélicoptère.
Le produit utilisé serait un insecticide le Sherpa 2 GC (cyperméthrine) en micro granulé. Il est utilisé contre la pyrale du maïs, un insecte ravageur pour cette culture. Au total, "Sud Ouest" précisait le 10 juillet que dans le Gers, le Préfet avait accordé l'autorisation à 14 communes sur 45 qui demandaient un épandage dérogatoire.
En Haute-Garonne, l'arrêté du Préfet porte sur 8.000 hectares et sur quatre zones classées Natura 2000 (ce qui est vraiment paradoxal) et restera en vigueur jusqu'au 12 septembre.
Il autorise des entreprises spécialisées de survoler les champs de maïs à une altitude d'une cinquantaine de mètres pour y épandre de la deltamétrine, de la cyperméthrine et du chlorantraniliprol pour traiter les insectes ravageurs du maïs.
Dans le Gers, 14 communes sont concernées, mais aucune zone Natura 2000.
Si ces arrêtés mettent aujourd'hui le feu entre apiculteurs, écologistes, élus locaux, maïsiculteurs et pouvoirs publics, c'est que les épandages n'auraient en outre pas été annoncés en Haute-Garonne. Les apiculteurs et les défenseurs de l'environnement, très remontés, font en effet valoir que même si l'autorisation dérogatoire est légale, ce contre quoi ils mènent une guerre acharnée, l'obligation est aussi faite aux épandeurs de prévenir les populations et les exploitants agricoles riverains 72 heures à l'avance, afin de leur permettre de prendre les mesures de précaution qui s'imposent. Toujours selon France 3 / Midi Pyrénées, associations environnementales et apiculteurs dénoncent ainsi « la violation de nombreux articles de l’arrêté signé par le préfet de Haute-Garonne le 5 juillet 2012 » comme le « non respect du délai d’information des apiculteurs », « la non communication des parcelles traitées » ou encore « du maïs en fleur dans certaines communes concernées ».
Les abeilles et les hommes menacés : en Haute-Garonne, il y a de la colère dans l'air
apiculture,maïsiculture,pesticidesNombre d'études mettent désormais en corrélation l'incidence des pesticides sur l'augmentation de certaines maladies chez les agriculteurs (cancers, maladie d'Alzheimer). Quant aux apiculteurs, ils dénoncent aussi les conséquences de ces épandages aériens sur les abeilles avec « un effet de mortalité dans la ruche » ou encore un risque de perturbation du comportement de l’abeille.
Les apiculteurs en pointe
Pour Olivier Fernandez, président du syndicat des apiculteurs de la Haute-Garonne, qui s'appuie sur trois études réalisées par des chercheurs du Centre National d'Études Vétérinaires et Alimentaires Sophia, Antipolis et de l'institut de recherches en apiculture de l'académie des sciences agricoles de Pékin,"la deltamétrine et la cyperméthrine sont des insecticides toxiques pour les abeilles". C'est ce qu'il expliquait à La Dépêche du Midi, le 5 juillet dernier. Selon lui, la décision préfectorale fragilise encore le rucher du département déjà frappé chaque année par un taux de mortalité de 60 % de son cheptel d'abeilles, alors que le taux moyen national est de 35 %. Il précisait par ailleurs que des rotations de cultures et des techniques de lutte intégrée qui sont pratiquées dans le Gers et dont l'efficacité est reconnue par l'INRA (Institut national de recherches agronomiques) permettent de lutter contre les insectes ravageurs du maïs sans avoir recours aux pesticides.
Les élus locaux vent debout
La député européenne Europe écologie-Les Verts Catherine Grèzes, et le député maire de Saint Jean Gérard Bapt ont aussi écrit au préfet de la Haute-Garonne pour attirer son attention sur les risques encourus par le rucher départemental et le réseau hydrique ainsi que sur les conséquences pour la santé publique de ces épandages qui seront réalisés à 50 mètres des habitations. Un courrier a également été adressé au préfet par le président du conseil général Pierre Izard.
La préfecture veut relativiser
De son côté, dans un communiqué de presse, la préfecture de la Haute Garonne a expliqué que « ces traitements sont indispensables pour prévenir des maladies pouvant entraîner le développement de produits toxiques dans le maïs destiné à la consommation animale et humaine. » La secrétaire générale de la préfecture rajoutait par ailleurs "que ces traitements aériens ont déjà été pratiqués en 2011 et qu'un seul cas de mortalité d'abeilles a alors été constaté dans le département".
L'épandage aérien dans les Landes fait le buzz sur internet
Pour les écologistes, la question de l'épandage aérien des pesticides n'est finalement qu'un maillon de toute la chaine des pratiques agricoles intensives majoritaires aujourd'hui, qu'il faudrait modifier pour préserver l'environnement et la santé humaine.
Selon le site Actu-environnement, huit cents opérations d’épandage aérien sont autorisés cette année en France, la grande majorité Outre-mer. Une réalité bien éloignée de l'objectif d'interdiction des pesticides affiché dans le Grenelle 2 de mai 2011, contourné par la circulaire du ministère de l'Agriculture du gouvernement précédent, en date du 5 mars 2012...
Source © Cathy Lafon/ maplanete.blogs.sudouest.fr
Il nous faut plonger dans les délices des lobbys, là où l’âme humaine devient un désert, et accouche par ses élévations toutes les beautés de sa puissance.
...
Et pour les autres qui se sentent quelques peu concerné(e)s et engagé(e)s
La pétition c'est ici (cliquez sur le lien)
12:55
Le maire de Saint-Laurent-du-Var, Henri Revel, a porté plainte contre X après la fermeture il y a quelques jours, pour cause de pollution, de deux plages situées sur sa commune à l'embouchure du fleuve Var, a-t-il annoncé dans un communiqué reçu jeudi par l'AFP.
La semaine dernière, deux des quatre plages de Saint-Laurent-du-Var, une station balnéaire de la Côte d'Azur jouxtant Nice, ont été fermées en raison d'un taux anormalement élevé d'Escherichia coli, une bactérie susceptible de provoquer des infections urinaires ou des gastro-entérites. L'une a été rouverte au bout de deux jours et la seconde au bout de cinq.
Cette pollution a provoqué ce week-end des rumeurs, via des SMS et sur les réseaux sociaux, faisant état d'un incident grave à la station d'épuration et de centaines de baigneurs malades qui afflueraient aux urgences. Samedi soir, la mairie de Nice a démenti ces rumeurs infondées et assuré qu'elle allait porter plainte pour dénonciation calomnieuse.
Dans un communiqué, le maire de Saint-Laurent-du-Var dit vouloir connaître la vérité sur cette pollution maritime, certes terminée mais d'origine toujours inconnue à ce jour.
La municipalité souhaite que toute la lumière puisse être faite sur cet incident regrettable qui a jeté injustement le discrédit sur une partie du littoral de la Côte d'Azur et qui a causé un préjudice économique certain en plein démarrage de la saison estivale.
En effet, poursuit le maire de Saint-Laurent-du-Var, compte-tenu des rumeurs les plus folles et autres +hoax+ qui ont circulé ces derniers jours, il convient aujourd'hui de rechercher la cause réelle de cette pollution bactériologique accidentelle ou, plus grave, malveillante, d'en connaître le ou les auteurs (...), afin notamment que de tels faits ne puissent pas se reproduire à l'avenir.
La mairie soupçonne une pollution provenant du fleuve Var dont l'embouchure a dévié à l'automne dernier après une forte tempête. Depuis lors, les eaux du fleuve s'évacuent directement en direction des plages.
Source ©AFP
...Ben vi quoi ...encore un coup des terroristes...qui font caca dans l'eau qu'on vous dit...Non mais M....alors...
La semaine dernière, deux des quatre plages de Saint-Laurent-du-Var, une station balnéaire de la Côte d'Azur jouxtant Nice, ont été fermées en raison d'un taux anormalement élevé d'Escherichia coli, une bactérie susceptible de provoquer des infections urinaires ou des gastro-entérites. L'une a été rouverte au bout de deux jours et la seconde au bout de cinq.
Cette pollution a provoqué ce week-end des rumeurs, via des SMS et sur les réseaux sociaux, faisant état d'un incident grave à la station d'épuration et de centaines de baigneurs malades qui afflueraient aux urgences. Samedi soir, la mairie de Nice a démenti ces rumeurs infondées et assuré qu'elle allait porter plainte pour dénonciation calomnieuse.
Dans un communiqué, le maire de Saint-Laurent-du-Var dit vouloir connaître la vérité sur cette pollution maritime, certes terminée mais d'origine toujours inconnue à ce jour.
La municipalité souhaite que toute la lumière puisse être faite sur cet incident regrettable qui a jeté injustement le discrédit sur une partie du littoral de la Côte d'Azur et qui a causé un préjudice économique certain en plein démarrage de la saison estivale.
En effet, poursuit le maire de Saint-Laurent-du-Var, compte-tenu des rumeurs les plus folles et autres +hoax+ qui ont circulé ces derniers jours, il convient aujourd'hui de rechercher la cause réelle de cette pollution bactériologique accidentelle ou, plus grave, malveillante, d'en connaître le ou les auteurs (...), afin notamment que de tels faits ne puissent pas se reproduire à l'avenir.
La mairie soupçonne une pollution provenant du fleuve Var dont l'embouchure a dévié à l'automne dernier après une forte tempête. Depuis lors, les eaux du fleuve s'évacuent directement en direction des plages.
Source ©AFP
12:47
Déjà vidangée en 2010 et 2011, la poche d'eau du glacier de Tête-Rousse, dans le massif du Mont-Blanc, qui menaçait d'inonder la vallée de Saint-Gervais, est pleine depuis ce printemps et pourrait être de nouveau pompée en septembre.
Selon des mesures effectuées en juin, la cavité formée dans le glacier serait pleine et contiendrait environ 10.000 m3 d'eau. Les autorités précisent que cette quantité d'eau ne fait peser aucune menace pour les populations situées en aval.
La quantité d'eau dans la cavité avait été évaluée à 65.000 m3 en 2010. L'an dernier, ce sont 16.000 m3 qui avaient été pompés en septembre et octobre. Le maire de Saint-Gervais milite lui pour le creusement d'un tunnel qui permettrait d'évacuer l'eau régulièrement, à l'image d'un "siphon de lavabo". Une telle solution coûterait néanmoins entre 6 et 8 millions d'euros, contre 500.000 euros pour un pompage annuel.
A la préfecture de Haute-Savoie, on affirme ne "pas exclure le creusement d'une galerie". "Mais cela aurait un coût phénoménal. On ne va pas se lancer dans des travaux qui coûteraient des millions d'euros sans en connaître l'efficacité réelle", a expliqué M. Castro, en précisant que cette option était soumise à un "examen technico-financier".
En 1892, l'explosion d'une poche d'eau similaire à l'intérieur du glacier s'était déversée dans la vallée, faisant 175 morts.
Source : AFP
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12:39
L'émission moyenne de dioxyde de carbone (CO2) par habitant a été en 2011 "similaire" en Chine et en Europe, selon une étude publiée mercredi par l'Agence néerlandaise d'évaluation environnementale. Les habitants des Etats-Unis restent les plus grands pollueurs de la planète.
"L'émission moyenne de CO2 par habitant en Chine a augmenté de 9% pour atteindre 7,2 tonnes de CO2 en 2011", a indiqué l'agence. Elle souligne que ce chiffre est "similaire aux émissions par habitant en Europe, de 7,5 tonnes en 2011".
Avec 17,3 tonnes, les Américains restent de loin les plus grands pollueurs par habitant.
L'émission totale de CO2 aux Etats-Unis a pourtant diminué, comme dans les pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE): en Europe, les émissions ont diminué de 3% et aux Etats-Unis et au Japon de 2%.
Mais cette baisse en Europe est notamment due aux "faibles conditions économiques dans beaucoup de pays, à un hiver doux dans plusieurs pays et à des prix du pétrole élevés", selon le rapport.
Dans le même temps, les émissions de CO2 en Chine ont augmenté "rapidement", "à cause du rythme de la croissance économique et surtout du haut niveau d'activité industrielle".
Cette augmentation a annulé les effets des réductions d'émissions dans les pays de l'OCDE car au niveau de la planète, les émissions de CO2 ont augmenté de 3% en 2011, atteignant "le niveau record de 34 milliards de tonnes", souligne l'étude.
420 milliards de tonnes en 11 ans
En tonnes émises au total, la Chine a ainsi conforté en 2011 sa position de plus grand pollueur, 29% du total du CO2 émis dans le monde l'ayant été en Chine. Les Etats-Unis (16%), l'Union européenne (11%) et l'Inde (6%) suivent dans ce classement.
Depuis l'an 2000, environ 420 milliards de tonnes de CO2 ont été émises suite aux activités humaines.
Source © ats
Avec une population de 1 Milliard 345 millions d'habitants en chine ...l'avenir reste prometteur...
"L'émission moyenne de CO2 par habitant en Chine a augmenté de 9% pour atteindre 7,2 tonnes de CO2 en 2011", a indiqué l'agence. Elle souligne que ce chiffre est "similaire aux émissions par habitant en Europe, de 7,5 tonnes en 2011".
L'émission totale de CO2 aux Etats-Unis a pourtant diminué, comme dans les pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE): en Europe, les émissions ont diminué de 3% et aux Etats-Unis et au Japon de 2%.
Mais cette baisse en Europe est notamment due aux "faibles conditions économiques dans beaucoup de pays, à un hiver doux dans plusieurs pays et à des prix du pétrole élevés", selon le rapport.
Dans le même temps, les émissions de CO2 en Chine ont augmenté "rapidement", "à cause du rythme de la croissance économique et surtout du haut niveau d'activité industrielle".
Cette augmentation a annulé les effets des réductions d'émissions dans les pays de l'OCDE car au niveau de la planète, les émissions de CO2 ont augmenté de 3% en 2011, atteignant "le niveau record de 34 milliards de tonnes", souligne l'étude.
420 milliards de tonnes en 11 ans
En tonnes émises au total, la Chine a ainsi conforté en 2011 sa position de plus grand pollueur, 29% du total du CO2 émis dans le monde l'ayant été en Chine. Les Etats-Unis (16%), l'Union européenne (11%) et l'Inde (6%) suivent dans ce classement.
Depuis l'an 2000, environ 420 milliards de tonnes de CO2 ont été émises suite aux activités humaines.
Source © ats
Avec une population de 1 Milliard 345 millions d'habitants en chine ...l'avenir reste prometteur...
mardi 17 juillet 2012
22:13
Les autorités des Canaries évacuaient mardi soir un village de 1.800 habitants sur l'île de Tenerife, touchée par un important feu de forêt qui fait rage depuis dimanche et menace le parc naturel du Teide, a rapporté une photographe de l'AFP.
Les flammes ont atteint dans la soirée des maisons du village de Vilaflor, situé au sud de ce parc naturel classé au patrimoine mondial de l'Unesco.
Un peu plus tôt, les autorités de l'archipel espagnol avaient annoncé que le feu, qui dégage une épaisse fumée noire et des nuages de cendres au-dessus de l'île, avait pénétré de quelques mètres à l'intérieur du parc, situé sur les flancs du mont Teide.
Les 1.800 habitants de Vilaflor étaient en cours d'évacuation par la route mardi soir, a indiqué le service de la Protection civile des Canaries.
Trois bus ont été préparés pour évacuer 200 personnes ne disposant pas de moyens de transport, a précisé un communiqué de la Protection civile, ajoutant qu'un hébergement était mis en place dans la localité voisine de Granadilla.
L'incendie, qui a éclaté dimanche, fait rage dans la zone forestière bordant le parc et était toujours hors de contrôle mardi, après avoir parcouru environ 3.000 hectares.
Près de 800 pompiers luttaient contre le feu, attisé par un vent violent et des températures élevées, appuyés par cinq hélicoptères et trois avions bombardiers d'eau.
Ceux-ci ne pouvaient toutefois plus voler mardi dans les environs de Vilaflor, à cause de la fumée.
Le feu est entré de quelques mètres dans le parc du Teide mais il se trouve dans une zone de roches volcaniques, a expliqué une porte-parole du service de lutte anti-incendie.
Les pompiers tentaient cependant de contenir la progression du feu et d'empêcher qu'il se propage à une zone de ravins où la configuration du terrain et la végétation épaisse le rendraient incontrôlable.
L'incendie a parcouru entre 2.800 et 3.000 hectares, dont 50% ont brûlé, avait indiqué mardi matin la porte-parole tandis que les accès au parc, un important lieu touristique des Canaries, ont été fermés.
Avant l'évacuation de Vilaflor, 64 habitants de l'île étaient toujours hors de chez eux mardi, après l'évacuation la veille de 90 personnes dans les localités de Adeje et Tijoco Alto.
Le parc national du Teide, un site naturel de 19.000 hectares inscrit depuis 2007 au Patrimoine mondial de l'Unesco, tire son nom du mont Teide, un volcan qui est le point culminant de l'Espagne, à plus de 3.700 mètres.
Dans une autre île des Canaries, La Palma, environ 300 pompiers appuyés par quatre hélicoptères ont réussi à stabiliser un incendie qui s'est propagé depuis lundi sur une surface de 500 hectares, a indiqué la porte-parole.
Les incendies de forêt sont particulièrement nombreux cette année en Espagne, où l'hiver a été le plus sec depuis environ 70 ans.
Le plus grave à ce jour a dévasté début juillet près de 50.000 hectares dans la région de Valence, dans l'est du pays.
Source ©AFP
Les flammes ont atteint dans la soirée des maisons du village de Vilaflor, situé au sud de ce parc naturel classé au patrimoine mondial de l'Unesco.
Un peu plus tôt, les autorités de l'archipel espagnol avaient annoncé que le feu, qui dégage une épaisse fumée noire et des nuages de cendres au-dessus de l'île, avait pénétré de quelques mètres à l'intérieur du parc, situé sur les flancs du mont Teide.
Les 1.800 habitants de Vilaflor étaient en cours d'évacuation par la route mardi soir, a indiqué le service de la Protection civile des Canaries.
Trois bus ont été préparés pour évacuer 200 personnes ne disposant pas de moyens de transport, a précisé un communiqué de la Protection civile, ajoutant qu'un hébergement était mis en place dans la localité voisine de Granadilla.
L'incendie, qui a éclaté dimanche, fait rage dans la zone forestière bordant le parc et était toujours hors de contrôle mardi, après avoir parcouru environ 3.000 hectares.
Près de 800 pompiers luttaient contre le feu, attisé par un vent violent et des températures élevées, appuyés par cinq hélicoptères et trois avions bombardiers d'eau.
Ceux-ci ne pouvaient toutefois plus voler mardi dans les environs de Vilaflor, à cause de la fumée.
Le feu est entré de quelques mètres dans le parc du Teide mais il se trouve dans une zone de roches volcaniques, a expliqué une porte-parole du service de lutte anti-incendie.
Les pompiers tentaient cependant de contenir la progression du feu et d'empêcher qu'il se propage à une zone de ravins où la configuration du terrain et la végétation épaisse le rendraient incontrôlable.
L'incendie a parcouru entre 2.800 et 3.000 hectares, dont 50% ont brûlé, avait indiqué mardi matin la porte-parole tandis que les accès au parc, un important lieu touristique des Canaries, ont été fermés.
Avant l'évacuation de Vilaflor, 64 habitants de l'île étaient toujours hors de chez eux mardi, après l'évacuation la veille de 90 personnes dans les localités de Adeje et Tijoco Alto.
Le parc national du Teide, un site naturel de 19.000 hectares inscrit depuis 2007 au Patrimoine mondial de l'Unesco, tire son nom du mont Teide, un volcan qui est le point culminant de l'Espagne, à plus de 3.700 mètres.
Dans une autre île des Canaries, La Palma, environ 300 pompiers appuyés par quatre hélicoptères ont réussi à stabiliser un incendie qui s'est propagé depuis lundi sur une surface de 500 hectares, a indiqué la porte-parole.
Les incendies de forêt sont particulièrement nombreux cette année en Espagne, où l'hiver a été le plus sec depuis environ 70 ans.
Le plus grave à ce jour a dévasté début juillet près de 50.000 hectares dans la région de Valence, dans l'est du pays.
Source ©AFP
21:29
Le forage d'un deuxième puits d'exploration pétrolière sur le gisement au large de la Guyane a commencé, ont annoncé mardi la compagnie Shell et une société partenaire de ce projet, objet d'un bras de fer avec l'ex-ministre de l'Ecologie Nicole Bricq.
"Comme prévu par Shell France le 23 juin, le navire de forage Stena Drillmax ICE a débuté le 6 juillet ses opérations sur le GM-ES-2, le deuxième puits du permis de Guyane Maritime", indique la petite compagnie britannique Northern Petroleum dans un communiqué.
Une porte-parole de Shell France, la filiale du géant anglo-néerlandais, a confirmé l'information à l'AFP, précisant que le lieu du forage était identique au premier afin de confirmer la découverte.
Lorsque ce nouveau forage sera terminé, un autre doit suivre à quelques kilomètres en 2012 puis deux autres en 2013, a-t-elle précisé.
Shell est devenu en février l'opérateur de ce permis dont il détient 45% des parts, devant le britannique Tullow Oil (27,5%), le français Total (25%). Restent 2,5% que se partagent à 50% Northern Petroleum et sa compatriote Wessex.
La découverte de pétrole au large de la Guyane avait eu lieu l'an dernier, lorsqu'un premier forage de Tullow avait rencontré une couche épaisse de 72 mètres de brut, à une profondeur proche de 6.000 mètres (2.000 mètres d'eau et près de 4.000 mètres sous le fonds de l'océan).
Si elle avait ouvert la perspective économique d'un puits significatif de pétrole dans les eaux françaises, elle avait aussi suscité l'inquiétude d'écologistes. Des recours ont ainsi été récemment déposés à Cayenne contre les arrêtés autorisant les forages.
Après un bras de fer avec l'ex-ministre de l'Ecologie Nicole Bricq, qui avait annoncé vouloir "remettre à plat" tous les permis d'exploration pétrolière, Shell a reçu fin juin deux arrêtés préfectoraux l'autorisant à lancer sa campagne de forage.
Lors d'un remaniement critiqué par les écologistes, Mme Bricq avait été remplacée par Delphine Batho.
Si elle n'a pas suspendu les permis, cette dernière a confirmé que le code minier français, que certains jugent trop peu exigeant financièrement et écologiquement pour les compagnies, ferait l'objet d'un projet de loi de réforme d'ici la fin de l'année.
Sur la base du premier forage, Shell a dit espérer un gisement d'au moins 300 millions de barils de brut. Les "éléphants", les plus grands gisements pétroliers, sont ceux qui dépassent 1 milliard de barils.
....Mais dans le même temps Le Nigeria inflige à la compagnie une amende de 5 Millions de dollars
Le Nigeria a infligé une "amende administrative" de 5 milliards de dollars à Shell pour une fuite de pétrole survenue en décembre 2011 sur une installation offshore du groupe anglo-néerlandais, a-t-on appris aujourd'hui de sources concordantes.
Le groupe pétrolier a précisé mardi à l'AFP qu'il contestait la légitimité de cette amende, qui a été infligée par l'agence gouvernementale chargée des risques de pollution pétrolière (NOSDRA).
Le groupe a d'ailleurs la possibilité de contester cette sanction devant les tribunaux. Shell avait été contraint en décembre dernier de suspendre pendant une dizaine de jours ses activités du champ Bonga, situé dans le golfe de Guinée, après le déversement accidentel de quelque 40.000 barils dans l'Océan atlantique en raison d'une fuite sur une conduite entre le navire de production et un tanker.
Peter Idabor, responsable de la NOSDRA, a déclaré lundi lors d'une audition par le parlement nigérian à Abuja que cette "sanction administrative" avait été prise à l'encontre de la filiale locale Shell Nigeria Exploration and Production Company (SNEPCO) en conformité avec les pratiques internationales en vigueur dans le secteur.
De son côté, un porte parole de Shell, Tony Okonedo, a estimé que l'amende était injustifiée compte tenu du fait que le groupe était rapidement intervenu pour contenir la fuite. "Nous ne pensons pas qu'une telle amende repose sur une base légale, ni que SNEPCO ait commis une infraction justifiant une telle amende", a indiqué M. Okonedo.
"SNEPCO a fait face à l'incident avec professionnalisme et a agi avec le consentement des autorités compétentes à tout instant pour éviter que l'incident ait un impact environnemental", a-t-il encore assuré.
Shell avait mobilisé cinq navires et deux avions pour traiter la nappe de brut à l'aide de dispersants, des produits chimiques devant permettre de limiter la pollution d'hydrocarbures. Les écologistes du groupe nigérian Environmental Rights Action avaient toutefois assuré que la marée noire avait atteint les côtes fin décembre et, selon les autorités nigérianes, la fuite survenue à Bonga est la pire qui se soit produit dans le pays depuis 1998, avec la compagnie Mobil.
...Et au... Malouines? une compagnie interrompt un forage, son cours s'effondre en Bourse
La petite compagnie britannique Borders and Southern Petroleum a vu son cours s'effondrer de 73% à la Bourse de Londres en l'espace de deux séances, après avoir annoncé lundi l'abandon d'un forage au sud des Malouines, le gisement étant jugé trop profond pour être exploité.
La décision a été prise d'arrêter nos opérations de forage du puits Stebbing, a indiqué dans un communiqué cette compagnie cotée à Londres, dont l'unique objet est le développement potentiel de gisements d'hydrocarbures sur une zone de 20.000 km au sud des Malouines.
Le puits a mis en évidence d'importantes quantités de gaz mais les hydrocarbures susceptibles d'être exploités sont situés trop profondément, et en raison d'une pression trop importante, il n'était plus possible de poursuivre le forage tout en préservant l'intégrité du puits, a poursuivi le communiqué.
C'est très décevant, a déclaré la compagnie, dont Stebbing était le projet le plus prometteur, et qui attend désormais des résultats d'analyse de fluides extraits d'un autre gisement, Darwin, pour en déterminer la qualité.
L'annonce de Borders and Southern a immédiatement fait plonger son titre à la Bourse de Londres: ce dernier cotait 17,06 pence mardi vers 14H00 GMT, contre 62,25 pence vendredi en clôture, soit une dégringolade de près de 73% en deux séances.
Après l'échec de l'exploration sur Stebbing, la question clef est maintenant de voir ce que contient Darwin, et même s'il est probable que de nouvelles informations sur le potentiel du bassin (du sud des Malouines) sont encore à venir, nous faisons preuve d'une prudence accrue à l'égard de Borders and Southern, ont expliqué mardi les experts de la maison de courtage Jefferies.
Cinq compagnies sont engagées depuis 2010 dans une campagne de prospection pétrolière au large des Malouines, un territoire de l'Atlantique sud sous contrôle britannique mais revendiqué par l'Argentine.
Parmi elles, seul Rockhopper est jusqu'à présent parvenu à identifier une réserve d'hydrocarbures significative, le champ Sea Lion, situé au nord des îles et qu'il entend exploiter commercialement à partir de 2016.
La prospection pétrolière attise les tensions diplomatiques entre Londres et Buenos Aires, qui juge ces activités illégales.
L'Argentine a ainsi indiqué mardi avoir entamé des actions en justice contre le groupe britannique Premier Oil, qui avait annoncé vendredi son partenariat avec Rockhopper avec un investissement d'environ 1 milliard de dollars.
Source ©AFP
...mais jusqu'à où s’arrêteront ils ?....
"Comme prévu par Shell France le 23 juin, le navire de forage Stena Drillmax ICE a débuté le 6 juillet ses opérations sur le GM-ES-2, le deuxième puits du permis de Guyane Maritime", indique la petite compagnie britannique Northern Petroleum dans un communiqué.
Une porte-parole de Shell France, la filiale du géant anglo-néerlandais, a confirmé l'information à l'AFP, précisant que le lieu du forage était identique au premier afin de confirmer la découverte.
Lorsque ce nouveau forage sera terminé, un autre doit suivre à quelques kilomètres en 2012 puis deux autres en 2013, a-t-elle précisé.
Shell est devenu en février l'opérateur de ce permis dont il détient 45% des parts, devant le britannique Tullow Oil (27,5%), le français Total (25%). Restent 2,5% que se partagent à 50% Northern Petroleum et sa compatriote Wessex.
La découverte de pétrole au large de la Guyane avait eu lieu l'an dernier, lorsqu'un premier forage de Tullow avait rencontré une couche épaisse de 72 mètres de brut, à une profondeur proche de 6.000 mètres (2.000 mètres d'eau et près de 4.000 mètres sous le fonds de l'océan).
Si elle avait ouvert la perspective économique d'un puits significatif de pétrole dans les eaux françaises, elle avait aussi suscité l'inquiétude d'écologistes. Des recours ont ainsi été récemment déposés à Cayenne contre les arrêtés autorisant les forages.
Après un bras de fer avec l'ex-ministre de l'Ecologie Nicole Bricq, qui avait annoncé vouloir "remettre à plat" tous les permis d'exploration pétrolière, Shell a reçu fin juin deux arrêtés préfectoraux l'autorisant à lancer sa campagne de forage.
Lors d'un remaniement critiqué par les écologistes, Mme Bricq avait été remplacée par Delphine Batho.
Si elle n'a pas suspendu les permis, cette dernière a confirmé que le code minier français, que certains jugent trop peu exigeant financièrement et écologiquement pour les compagnies, ferait l'objet d'un projet de loi de réforme d'ici la fin de l'année.
Sur la base du premier forage, Shell a dit espérer un gisement d'au moins 300 millions de barils de brut. Les "éléphants", les plus grands gisements pétroliers, sont ceux qui dépassent 1 milliard de barils.
....Mais dans le même temps Le Nigeria inflige à la compagnie une amende de 5 Millions de dollars
Le Nigeria a infligé une "amende administrative" de 5 milliards de dollars à Shell pour une fuite de pétrole survenue en décembre 2011 sur une installation offshore du groupe anglo-néerlandais, a-t-on appris aujourd'hui de sources concordantes.
Le groupe a d'ailleurs la possibilité de contester cette sanction devant les tribunaux. Shell avait été contraint en décembre dernier de suspendre pendant une dizaine de jours ses activités du champ Bonga, situé dans le golfe de Guinée, après le déversement accidentel de quelque 40.000 barils dans l'Océan atlantique en raison d'une fuite sur une conduite entre le navire de production et un tanker.
Peter Idabor, responsable de la NOSDRA, a déclaré lundi lors d'une audition par le parlement nigérian à Abuja que cette "sanction administrative" avait été prise à l'encontre de la filiale locale Shell Nigeria Exploration and Production Company (SNEPCO) en conformité avec les pratiques internationales en vigueur dans le secteur.
De son côté, un porte parole de Shell, Tony Okonedo, a estimé que l'amende était injustifiée compte tenu du fait que le groupe était rapidement intervenu pour contenir la fuite. "Nous ne pensons pas qu'une telle amende repose sur une base légale, ni que SNEPCO ait commis une infraction justifiant une telle amende", a indiqué M. Okonedo.
"SNEPCO a fait face à l'incident avec professionnalisme et a agi avec le consentement des autorités compétentes à tout instant pour éviter que l'incident ait un impact environnemental", a-t-il encore assuré.
Shell avait mobilisé cinq navires et deux avions pour traiter la nappe de brut à l'aide de dispersants, des produits chimiques devant permettre de limiter la pollution d'hydrocarbures. Les écologistes du groupe nigérian Environmental Rights Action avaient toutefois assuré que la marée noire avait atteint les côtes fin décembre et, selon les autorités nigérianes, la fuite survenue à Bonga est la pire qui se soit produit dans le pays depuis 1998, avec la compagnie Mobil.
...Et au... Malouines? une compagnie interrompt un forage, son cours s'effondre en Bourse
La petite compagnie britannique Borders and Southern Petroleum a vu son cours s'effondrer de 73% à la Bourse de Londres en l'espace de deux séances, après avoir annoncé lundi l'abandon d'un forage au sud des Malouines, le gisement étant jugé trop profond pour être exploité.
La décision a été prise d'arrêter nos opérations de forage du puits Stebbing, a indiqué dans un communiqué cette compagnie cotée à Londres, dont l'unique objet est le développement potentiel de gisements d'hydrocarbures sur une zone de 20.000 km au sud des Malouines.
Le puits a mis en évidence d'importantes quantités de gaz mais les hydrocarbures susceptibles d'être exploités sont situés trop profondément, et en raison d'une pression trop importante, il n'était plus possible de poursuivre le forage tout en préservant l'intégrité du puits, a poursuivi le communiqué.
C'est très décevant, a déclaré la compagnie, dont Stebbing était le projet le plus prometteur, et qui attend désormais des résultats d'analyse de fluides extraits d'un autre gisement, Darwin, pour en déterminer la qualité.
L'annonce de Borders and Southern a immédiatement fait plonger son titre à la Bourse de Londres: ce dernier cotait 17,06 pence mardi vers 14H00 GMT, contre 62,25 pence vendredi en clôture, soit une dégringolade de près de 73% en deux séances.
Après l'échec de l'exploration sur Stebbing, la question clef est maintenant de voir ce que contient Darwin, et même s'il est probable que de nouvelles informations sur le potentiel du bassin (du sud des Malouines) sont encore à venir, nous faisons preuve d'une prudence accrue à l'égard de Borders and Southern, ont expliqué mardi les experts de la maison de courtage Jefferies.
Cinq compagnies sont engagées depuis 2010 dans une campagne de prospection pétrolière au large des Malouines, un territoire de l'Atlantique sud sous contrôle britannique mais revendiqué par l'Argentine.
Parmi elles, seul Rockhopper est jusqu'à présent parvenu à identifier une réserve d'hydrocarbures significative, le champ Sea Lion, situé au nord des îles et qu'il entend exploiter commercialement à partir de 2016.
La prospection pétrolière attise les tensions diplomatiques entre Londres et Buenos Aires, qui juge ces activités illégales.
L'Argentine a ainsi indiqué mardi avoir entamé des actions en justice contre le groupe britannique Premier Oil, qui avait annoncé vendredi son partenariat avec Rockhopper avec un investissement d'environ 1 milliard de dollars.
Source ©AFP
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