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mardi 24 juillet 2012
Selon les données de trois satellites analysées par la Nasa et des scientifiques universitaires, environ 97 % de la calotte glacière avait dégelé à la mi-juillet, a indiqué l'Agence dans un communiqué.


La surface gelée du Groenland a fondu en juillet sur une étendue jamais atteinte en plus de trente ans d'observation satellitaire, a annoncé mardi l'Agence spatiale américaine (Nasa).


Selon les données de trois satellites analysées par la Nasa et des scientifiques universitaires, environ 97 % de la calotte glacière avait dégelé à la mi-juillet, a indiqué l'Agence dans un communiqué.


« C'est tellement sans précédent que je me suis d'abord interrogé sur le résultat : était-ce bien réel ou était-ce dû à une erreur de données? », a commenté Son Nghiem, de la Nasa.


L'expert précise avoir remarqué la disparition de la majorité de la glace du Groenland au 12 juillet en analysant les données d'un premier satellite. Les résultats des deux autres satellites ont confirmé cette découverte. Les cartes satellitaires de la fonte montrent que la calotte glaciaire avait fondu à 40 % au 8 juillet et à 97 % quatre jours plus tard.


Ces résultats ont été connus quelques jours après qu'un immense bloc de glace de deux fois la superficie de Paris ou Manhattan s'est détaché d'un glacier du Groenland.


« Cet événement, combiné à d'autres phénomènes naturels, mais rares, comme le monumental décrochage la semaine dernière sur le Glacier Petermann, font partie d'un ensemble complexe », a ajouté Tom Wagner, responsable de la Nasa.


Au cours de l'été, la moitié en moyenne de la surface glaciaire du Groenland fond naturellement, explique la Nasa. Habituellement, la plupart de l'eau issue de cette fonte regèle rapidement en altitude ou est retenue par les glaces des régions côtières, pendant que le reste s'écoule dans l'océan.


« Mais cette année, l'ampleur de la fonte à la surface ou près de la surface a connu une hausse brutale », a ajouté l'Agence spatiale.


Les chercheurs doivent maintenant déterminer si cet événement, qui coïncide avec une forte pression inhabituelle d'air chaud au dessus du Groenland, va contribuer à une hausse du niveau des océans.


La Nasa a précisé que même le point le plus haut de la calotte glaciaire, situé à plus de trois kilomètres au-dessus du niveau de la mer, montrait des signes de dégel.


Selon la glaciologue Lora Koenig, ce type de fonte intervient tous les 150 ans en moyenne. « La dernière ayant eu lieu en 1889, cet événement est bien au rendez-vous », a-t-elle dit. « Mais si nous continuons à observer ce type de fonte au cours des prochaines années, ce sera angoissant ».


Source @AFP

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...Attention la vague, à 0:45....



La capitale chinoise a reçu en moyenne environ 170 millimètres de pluie, a précisé l'agence officielle Chine nouvelle.

La censure est toujours de mise en Chine. Le plus haut responsable de la propagande à Pékin a donné l'ordre aux médias de s'en tenir aux bonnes nouvelles concernant les suites des inondations qui ont fait 37 morts le week-end dernier dans la capitale chinoise et déclenché un flot de critiques contre le gouvernement.

Lu Wei a intimé à la presse de ne rapporter que des "accomplissements méritant des éloges et des larmes" comme des actions héroïques des services de secours ou de certains habitants, a rapporté mardi 24 juillet le quotidien Jinghua Shibao.

SYSTÈMES D'ÉVACUATION DES EAUX VÉTUSTES

Certains décès auraient pu être évités si des mises en garde avaient été adressées à la population et les systèmes d'évacuation des eaux modernisés, selon des habitants qui ont exprimé leur colère à travers des microblogs. Mardi, les censeurs étaient à l'œuvre pour supprimer les plus critiques de ces messages.

Des habitants de Fangshan, un arrondissement montagneux situé au sud-ouest de la ville, se sont plaints à l'AFP du manque d'aide fournie par les autorités pour les aider à retrouver leurs proches disparus. "Le gouvernement n'est d'aucun secours, chaque famille doit se débrouiller pour retrouver les siens", selon Wang Baoxiang, dont le neveu âgé de 30 ans a disparu depuis les pluies diluviennes qui se sont abattues sur Pékin samedi, seize heures durant.

Le système d'évacuation des eaux "laisse beaucoup à désirer" a reconnu dans un éditorial le China Daily, quotidien de langue anglaise qui s'adresse à un lectorat avant tout étranger.

"IL FAUT ÉTABLIR LES CAUSES DES DÉCÈS"

Mais la majorité des médias s'abstenait de toute critique, préférant par exemple se focaliser sur l'aide entre voisins face au désastre. Lors d'une réunion d'urgence lundi soir, les dirigeants de la capitale ont appelé à une intensification des efforts pour retrouver les disparus, identifier les corps et réparer les routes endommagées par la soudaine montée des eaux.

Ces pluies "étaient un désastre naturel d'une dimension extrême, rarement vue à Pékin... qui a provoqué des pertes importantes en vies humaines et en biens matériels", selon le maire de la capitale, Guo Jinlong, cité par le Quotidien de Pékin.


Le pire orage enregistré depuis 1951 a fait des dégâts considérables évalués à 10 milliards de yuans (1,25 milliard d'euros) et près de 66 000 personnes ont dû êtres évacuées. "Toutes les couches de la société s'inquiètent du nombre de victimes, et il faut établir les causes des décès", a ajouté M. Guo, qui a demandé à ce que toute aggravation du bilan soit rapportée immédiatement.



Source © Le Monde afp
Une centaine de personnes ont été blessées et des centaines d'arbres arrachés à Hong Kong après le passage pendant la nuit de lundi à mardi du typhon Vicente à proximité, qui a poussé les autorités à déclarer une alerte de niveau 10, pour la première fois depuis 1999.

L'alerte a été abaissée au niveau 8 ce mardi matin, ont indiqué les autorités de ce territoire du sud de la Chine. A son plus fort, Vicente est passé à quelque 100 km de Hong Kong, peu après minuit heure locale (18H00 heure belge).

"Bien que Vicente s'éloigne peu à peu de Hong Kong et commence à faiblir, les vents restent violents sur plusieurs parties du territoire, de la force d'une tempête au large, et accompagnés de nombreuses et fortes précipitations à terre", a indiqué l'Observatoire de Hong Kong. "La population ne doit pas relâcher sa vigilance", a-t-il ajouté.
Selon les autorités sanitaires, près de 120 personnes ont été blessées, dont 15 ont dû être hospitalisées.

Les transports publics (bus, trains, ferry) ont été suspendus ou très ralentis, le port a été fermé et 44 vols annulés. Plus de 270 vols ont été retardés. Les écoles encore ouvertes ont été fermées.

La Bourse de Hong Kong a retardé l'ouverture de sa séance, jusqu'à ce que l'alerte de niveau 8 soit levée, vraisemblablement en fin de matinée.

Les médias locaux rapportaient mardi matin qu'une centaine d'habitants ont passé la nuit dans la station de métro de Tai Wai, empêchés de rentrer chez eux après la suspension des services de transport.

Un glissement de terrain s'est également produit sur le Peak, la colline qui domine l'île de Hong Kong, sans faire de blessé.

Plus de 600 arbres ont été arrachés et des débris d'immeubles jonchaient les rues mardi matin.



Source © reuters.



Samedi dernier, après un glissement de terrain sur la côte de l'East Yorshire en Angleterre, une plage de Mappletown a été fermée au public après la découverte de plus de 1000 obus et autres roquettes qui se sont dispersés dans le sable. Ils sont pour la plupart issus de la deuxième guerre mondiale.
 
Le mauvais temps des derniers mois a créé de nombreux glissements de terrain sur la côte dans la région, et celui ci semble avoir mis à jour les restes des tirs d'entrainement de la RAF pendant la deuxième guerre mondiale.

C'est en promenant son chien qu'un vacancier a fait cette  étrange découverte. Il y a là un véritable arsenal, des roquettes, des obus de mortier, des grenades et même des bombes de plus de 10 Kg.

Une équipe de spécialistes et de démineurs a donc été appelée d’urgence sur ce glissement de terrain, qui a révélé des centaines de munitions de la Deuxième Guerre mondiale. Dés dimanche dans la matinée une quinzaine d'explosions contrôlées ont été effectuées par les ingénieurs militaires de la royal.

Toute cette artillerie s'était fichée sans exploser dans les falaises de terre après avoir raté leur cible. Cette zone était utilisée comme base d'entraînement au bombardement, depuis le début de la deuxième guerre mondiale jusque à la fin des années 1970.



© Nature Alerte



L’île aux nattes, un site d’observation de baleines réputé, sur l’île Sainte-Marie, est touchée par une marée noire depuis ce weekend, d’après L’Express de Madagascar.

L’inquiétude s’empare des villageois et opérateurs touristiques de l’île aux nattes après qu’une nappe de produit pétrolier s’est échouée sur la plage. La pollution couvre aussi une partie de la mer, principalement du côté Ouest de l’îlot, sur un site d’observation de baleines très prisé par les touristes.
 

« Nous avons affaire à une couche de goudron qui sent le pétrole. Je ne peux pas évaluer la surface couverte, mais nous avons arrêté de plonger de ce côté de l’île depuis ce weekend », affirme Léonce Bototsara, un des pêcheurs de l’île.

« Certains d’entre nous se sont aventurés à la ramasser mais cette tentative leur a valu des petits boutons sur les mains », continue le pêcheur, sans faire état d’animaux englués.

L’Express de Madagascar précise qu’« aucune baleine n’a encore fait les frais de cette pollution inhabituelle ». Une association locale de protection des cétacés « Cetamada » est descendue sur place, accompagnée de la police et la gendarmerie.

Selon les premiers éléments, le fuel aurait été déversé par un bateau de passage au large de l’île, avant que la marée ne le rejette sur le littoral. Pour l’heure, les autorités écartent tout risque de catastrophe écologique, car la marée noire semble se dissiper petit-à-petit, d’après L’Express de Madagascar.


Source :
L’Express de Madagascar
lundi 23 juillet 2012
 300 pompiers et 6 avions français luttaient sans relâche lundi contre le gigantesque incendie qui fait rage dans le nord-est de l'Espagne, près de la frontière française. Le brasier a fait quatre morts et a laissé derrière lui des scènes de désolation.

Un homme et sa fille de 15 ans se sont tués en sautant d'une falaise pour échapper aux flammes non loin de Port-Bou. Une troisième victime, un homme de 75 ans, a succombé à une crise cardiaque dans l'Empordà et une quatrième personne, âgée de 64 ans, a succombé lundi à ses blessures, a annoncé la Generalitat de Catalunya, l'exécutif de la Catalogne espagnole.

L'incendie a fait en outre 23 blessés, selon le ministère catalan de la Santé, dont huit restaient hospitalisés lundi. Le feu, poussé par une très forte tramontane, a transformé en un immense brasier la région de La Junquera, la ville frontière située du côté espagnol, et les villages avoisinants.
 

Visible depuis Barcelone

La fumée était visible lundi depuis Barcelone, à plus de 150 kilomètres au sud de la frontière, et une odeur de brûlé enveloppait la ville.Seule lueur d'espoir, lundi, l'incendie ne progressait plus, après avoir détruit depuis la veille 13'000 hectares de végétation, mais il restait "hors de contrôle", a annoncé le ministre catalan de l'Intérieur, Felip Puig.

Une légère accalmie du vent a permis, dès l'aube, l'intervention des avions et hélicoptères bombardiers d'eau, 22 appareils au total, espagnols et français, qui appuyaient environ 500 pompiers au sol, épaulés par des centaines de volontaires, militaires, policiers ou gardes forestiers.
 

Autoroute rouverte
L'autoroute qui relie la France à l'Espagne, entre Figueres et Perpignan, a pu rouvrir dans les deux sens lundi. La ligne TGV a également été rétablie.


A Port-Brou, la route côtière, envahie par la fumée, s'est transformée en piège pour des automobilistes, paniqués, qui ont abandonné leur voiture à l'approche des flammes, se lançant sur la paroi descendant vers la mer.

Source ATS



Un pompier a trouvé la mort et 1.500 touristes en majorité étrangers ont été évacués lundi en raison de graves incendies de forêt sur la côte adriatique du nord de la Croatie, qui n'étaient pas tous maîtrisés dans la soirée, ont annoncé des responsables locaux.

La situation est très difficile (...) nous faisons tout notre possible pour protéger la vie et les biens des gens, a déclaré le ministre croate de l'Intérieur, Ranko Ostojic, à la télévision Nova TV.

Tout est prêt pour l'évacuation, a ajouté M. Ostojic qui s'est rendu dans la station balnéaire de Selce, à proximité du port de Rijeka (nord), où quelque 150 pompiers luttaient contre l'incendie.


Le feu s'est déclaré dans la matinée dans une forêt à proximité de Rijeka, à 180 km au sud-ouest de Zagreb, et s'est propagé vers Selce.


Actuellement, la région côtière de la Croatie est balayée par des vents violents soufflant à plus de 100 km/h, ce qui rend très difficile la lutte contre les incendies.

Quelque 1.500 touristes, pour la plupart des Slovènes et des Autrichiens, ont été évacués de deux campings, tandis que d'autres ont quitté leurs hôtels. Une partie de l'autoroute dans cette région a été fermée, a-t-on indiqué de source policière.

L'électricité et les lignes téléphoniques à Selce ont été coupées, a rapporté la chaîne Nova TV qui a diffusé des images de personnes couvrant leur visage à l'aide de foulards pour se protéger de la fumée épaisse et des cendres.

Les toits de plusieurs habitations ont pris feu, mais les pompiers ont réussi à éteindre ces incendies.

Un pompier est mort plus tôt dans la journée alors qu'il tentait d'éteindre un autre incendie près de Moscenicka Draga, sur la presqu'île d'Istrie, a déclaré Slavko Gaus, un responsable des pompiers locaux, à la télévision nationale croate HRT, sans fournir davantage de détails.


Cet incendie a finalement été maîtrisé dans la journée.


Source ©AFP





Avant hier un épisode de Haboob (tempête de sable venant du désert) a touché l'Etat de l'Arizona et en particulier l'agglomération de Phoenix où la visibilité a été réduite à quelques centaines de mètres durant plusieurs heures.

Les vents qui ont atteint les 90 km/h ont causé d’importantes avaries sur le réseau électrique. 9000 foyers ont été privés d'électricité. L'aéroport de Phoenix a également connu d'importantes perturbations.





Plusieurs incendies de forêt (8) ont été provoqués par la foudre dans l’État, dans le secteur de la forêt nationale de Kaibab. Le plus important foyer a brûlé près de 500 hectares de végétation dans le secteur de Kanab Creek.

Un autre feu a parcouru 50 hectares et un autre une quarantaine.

Pour l'instant aucun établissement humain n'est menacé par les flammes.




Au moins 135 personnes ont trouvé la mort à la suite des pluies torrentielles qui ont balayé le nord et le nord ouest de la Chine et ont fait d'importants dégâts matériels.

Les catastrophes naturelles provoquées par les fortes pluies ont affecté environ 6,23 millions de personnes de 264 districts dans 17 provinces et régions, y compris Beijing, les provinces du Hebei, du Sichuan et du Guizhou, tandis que 567 000 habitants ont dû être évacués


A Pékin, des vents violents ont arraché des arbres et des toitures et tué 37 personnes et en blessant six autres. Les pluies ont coupé plusieurs routes et provoqué l'annulation de 223 vols au départ de la capitale, ce qui a amené le Bureau météorologique de Pékin à publier une alerte de tempête de niveau maximal pour la première fois depuis 2005.

Plus de 30 000 habitants dans les arrondissements de Fangshan, Huairou, Mentougou et de Pinggu, ainsi que dans les districts de Miyun et de Yanqing ont été relogés. Le trafic ferroviaire sur la ligne Beijing-Guangzhou a également été interrompu car la section de Nangangwa dans l'arrondissement de Fengtai était inondée.

Les plus fortes pluies depuis six décennies ont ravagé la capitale chinoise, avec une moyenne des précipitations atteignant 170 mm. Un bourg du district de Fangshan, en banlieue de Beijing, a reçu jusqu'à 460 mm de précipitations.

Dans la province septentrionale de Shanxi, quatre personnes ont été tuées et 16 sont portées disparue.

Les fortes pluies ont fait un mort et 16 disparus dans le district de Fugu dans la province du Shaanxi (nord-ouest).Des pluies continues s'abattent sur la région depuis vendredi, affectant 88 600 personnes dans cinq villes.Environ 6 500 habitants ont été relogés par crainte de risques géologiques éventuels entraînés par les pluies torrentielles.

Au moins 15 personnes ont péri et 19 autres sont portées disparues à la suite des catastrophes naturelles provoquées par les orages qui ont frappé ce week-end la province du Hebei (nord).

Environ 11 000 touristes et 2 700 résidents ruraux sont encore bloqués dans les districts de Laiyuan, Laishui et Yixian, où la circulation routière et les services de télécommunications sont toujours interrompus.

Les autorités de la ville de Baoding ont mis en service trois trains supplémentaires pour permettre à 6 000 touristes de quitter le site touristique de "Yesanpo".

Des pluies torrentielles, accompagnées de grêles, ont entraîné des inondations, contraignant 159 800 habitants à être évacués durant ce week-end.

Des glissements de terrains ont été constatés dans la province du Sichuan, qui ont fait six morts, ont indiqué à l'agence chinoise, des agents des services provinciaux de contrôle des crues et de secours.


Source : Chine Nouvelles, CCTV




Des pluies diluviennes a caractère orageux ont frappé le centre de l'Autriche vendredi causant des inondations et des coulées de boue qui ont fait un mort.Un homme de 47 ans est décédé, pris dans une coulée de boue à Thörl (Land de Styrie).

La Styrie a été particulièrement touchée par de violents orages dans la nuit, qui ont coupé certaines voies de circulation et mobilisaient encore samedi plusieurs centaines de pompiers.

Le village de Sankt Lorenzen im Paltental a été traversé par une coulée de boue qui a causé d'importants dégâts matériels. Une vingtaine de personnes a dû être évacuée par hélicoptère, dont un blessé grave qui a été hospitalisé.

A quelques kilomètres de là, le village d'Oppenberg, 250 habitants, était lui aussi coupé du monde, les deux routes d'accès étant bloquées par des coulées de boue et des arbres arrachés.

Un chasse-neige a dû intervenir sur l'autoroute A9 toute proche, afin de dégager les grêlons de la chaussée.


Source : Euronews
Le nord des Philippines et en particulier la région de Manille ont essuyé de très fortes pluies qui ont causé des inondations à l'origine de la mort de 6 personnes et de 2 disparus.

Dans l'agglomération de Manille certains quartiers ont été inondés par 50 cm d'eau. Les autorités locales ont proclamés un jour férié obligatoire pour les 14 millions d'écoliers de la région. Des centaines d'habitations et de commerces ont été sinistrés.

44 centres d'évacuation ont été ouverts dans l'agglomération pour accueillir les personnes évacuées et des réservistes de l'armée ont été appelés pour aider la population.



Source : AP




De fortes pluies dans le centre du Nigeria ont fait déborder un barrage, causant des inondations qui ont fait au moins 35 morts et détruit ou endommagé quelques 200 maisons, a indiqué lundi la Croix Rouge locale.

Nous avons récupéré les cadavres de 35 personnes qui se sont noyées durant les inondations de la nuit dernière. Près de 200 maisons ont été submergées ou détruites, a déclaré Manasie Phampe, chef de la Croix Rouge de l'Etat du Plateau, dont la ville de Jos est la capitale.


Source ©AFP
samedi 21 juillet 2012
Selon le centre américain de l'USGS un premier séisme de magnitude 5,1  a secoué le large des côtes nord de la Californie à 01h52 UTC. L'épicentre était à une profondeur observée de 10 km et il était situé à 108 km à l'ouest de Petrolia en Californie au point: 40,382 ° N, 125.559 ° W.

Le deuxième a frappé la même région à 6:04 UTC avec magnitude 5,2 sur l'echelle de Richter. la profondeur de celui-ci était de 0,6 km. L'épicentre était situé à 81 km à l'ouest de Petrolia à 40.430 ° N, 125.234 ° W.


Aucune alerte tsunami n'a été émise, aucun dégât rapporté.
Un seime de magnitude 5.8 peu profond a secoué la côte Est de l'île du Nord en Nouvelle Zélande. Le volcan Tongariro en phase d'alerte...


L'épicentre était situé à 179 kms au NE de la ville de Gisborne (population 34 274 hab) et à 318 km à l'E de la ville de Tauranga (population 110 338 hab) au point géographique exact: 37,755 ° S, 179.677 ° E. Il s'est déclenché à 4:54 UTC à une profondeur de 12 km.




Il a été ressenti aussi loin que dans les villes de Whakatane, Opotiki et Wairoa, les habitants n'ont signalé aucun dommage.


Il fait suite à une série de petits tremblements de terre ayant touchés l'île du Nord ces derniers jours et qui a eu pour première conséquence l'élévation du niveau d'alerte du volcan Mont Tongariro Hier.

Le volcanologue Brad Scott, du GNS science, expliquait hier qu'une activité souterraine accrue prés du volcan était perceptible depuis quelques jours.





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Le mont Tongariro est un volcan de Nouvelle-Zélande situé sur l'île du Nord, dans le parc national de Tongariro et au cœur du massif du Tongariro.


Situé dans le centre de l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande et au nord-est du mont Ruapehu, le mont Tongariro est un volcan andésitique complexe formé d'une douzaine de cônes1 et de plusieurs cratères imbriqués, le South Crater, le Red Crater, le North Crater et le Central Crater, qui abritent plusieurs lacs comme les Emerald Lakes et le Blue Lake et des champs de fumerolles comme Soda Spings2. Culminant à 1 978 mètres d'altitude, le sommet surplombe le South Crater ouvert vers le sud et faisant face au mont Ngauruhoe2, le cône volcanique le plus élevé du massif du Tongariro1.


La première éruption du mont Tongariro remonte à 275 000 ans lorsque les différents cônes se mettent en place. Aux alentours d'il y a 10 000 ans, de grandes éruptions s'étalant sur des centaines d'années s'y produisirent. 5...Wikipédia)
vendredi 20 juillet 2012
A Albuquerque dans l'état du Nouveau Mexique aux états unis, les écologistes l'appellent "la plus grande menace de pollution aux hydrocarbures jamais connue dans l'histoire de l'homme d'un approvisionnement en eau potable d'une grande ville au monde".

C'est en 1999 qu'elle a été découverte lors d'un survol de routine par l'US air force de la base de l'un ces anciens lieu de stockage de carburant qui remontait aux années 1950. A l'époque la découverte d'une large nappe de pétrole en surface ne laissait pas supposer le pire.

Pourtant la fuite d'un pipeline enterré sous des dizaines de mètres de terre, a laissé s'échapper pendant plus de 40 Ans dans les sols environnants une quantité phénoménale d'hydrocarbures qui contenaient du benzène et d'autres produits nocifs pouvant déclencher des cancers.  C'est en 2000 en analysant la présence de toxines anciennes dans ces produits contenus dans les sols que les scientifiques ont démontré que la fuite remontait au moins aux années 1970.

D'abord estimée à 100 000 Gallons (380 000 litres) par les autorités militaires en 2000, la fuite s’avère beaucoup importante que prévue. Devenue 8 millions de gallons au début de l'année 2012, une dernière étude du printemps dernier, rendue publique par le géologue d'état qui surveille la catastrophe de près, estime aujourd'hui que cette fuite a laissé en fait s'échapper le chiffre impressionnant de 24 Millions de Gallons, soit environ 90 Millions de litres d'hydrocarbures dans les sous sols de la région de la ville D'Alburquerque.

En 2007, le carburant a été retrouvé 500 mètres plus bas dans la nappe aquifère qui fournit la moitié de la ville d'Albuquerque ( plus de 500 000 habitants) en eau potable.


Un nouveau rapport de l'Armée de l'Air indique que la hausse des niveaux des eaux souterraines en début d'année, risque fort de voir s'aggraver le problème; En effet le drainage des eaux risque d'entrainer plus rapidement la pollution des sols dans la nappe phréatique.

Les autorités militaires et d'état ont d'abord tenté de minimiser ces estimations, avant de reconnaitre que bien que ce ne soit pas un chiffre officiel, il y a effectivement un risque de voir la nappe de pollution prise dans les sols atteindre les deux puits d'eau principaux du domaine de Ridgecrest qui est situé a environs 3,5 kms du point de fuite initiale.

Personne ne sait réellement se qui va se passer estime Jim Davis responsable du plan de nettoyage de la NMED nommé par L'US Environmental Protection Agency pour superviser les opérations de dépollution.

De plus ces opérations de pompages en cours, risquent de détourner la diffusion de la nappe d'hydrocarbure prise dans une épaisseur de plus de 600 de profondeur sous terre, et de l'orienter vers les 100 autres puits où une autre partie de la ville puise son eau.

C'est exactement ce genre de questions et d'incertitudes que nous nous devons d'affronter, et qui font percevoir à la population une impression de lenteur des services de dépollution, et ça leur devient insupportable.

Tout le monde est très inquiet, mais le responsable de US air force met l'accent sur les 50 millions de dollars qui ont déjà été engagé dans cette opération de dépollution, et sur le fait que les plus grands spécialistes du monde entier en la matière sont sur le qui vive dans cette affaire.
Quatre petites unités de pompage des sols sont actuellement en action, et ce depuis 2004, prés du point initial de la fuite. Elles n'ont extrait jusqu'ici que 400 000 gallons (1 500 000 litres) d'hydrocarbure des sols pollués, en revanche deux autres unités beaucoup plus performantes, 10 fois les capacités des anciennes pompes, vont être mise en œuvre avant la fin de l'année promet l'armée. Deux autres technologies sont aussi à l'étude pour aspirer et brûler les contaminant qui ont été pris au piège sous les couches géologiques de la nappe phréatique.

Derrière ces mots qui se veulent rassurant, tout le monde sait ici qu'aucune opération de dépollution de sol d'une telle envergure n'a jamais été déployé dans le monde . En revanche, Bruce Thomson directeur du programme des ressources en eaux du Nouveau Mexique, explique que des opérations de dépollution de petites envergures et à grande profondeur terrestre ont déjà été déployé pour des contaminants différents.

Bien que cette pollution soit une menace réelle pour la ville d'Albuquerque,  Mr Thomson croit encore possible la dépollution des terrains, et affirme que les quantités de polluant qui viendraient à possiblement s’infiltrer dans  la nappe phréatique seraient si minimes que cela laisserai du temps pour trouver d'autres solution pour y répondre.

Néanmoins il critique avec force l'indétermination des autorités militaires dans cette affaire, la lenteur de leur réaction à pouvoir révéler l'importance de la dimension de cette nappe de pollution nous a fait perdre un temps précieux.

 
Avant de vouloir redéployer un nouveau plan d'action, ils auraient dû agir des années auparavant. Aujourd'hui cette pollution s'enfonce toujours plus profondément dans les sols, et ils feintent de découvrir, qu'aujourd'hui avec stupeur, que la situation est pire qu'il ne l'avait prévue, c'est incroyable.

© Nature alerte d’après une dépêche de l'Associated Press écrite par Susan Montoya Bryan

à lire en anglais ici


...M'enfin... 40 ans de fuite...d'HYDROCARBURES DANS LES SOLS...C'est les ancêtres des plaisirs  mobiles qui doivent être content...

...Peuples guerriers pour l'acquisition sans foi ni loi de ce même pétrole... vos fous butins, déracinent déjà nos consciences,... mais  que 90 millions de litres...en fuite sur vos terres...par cette même armée dont l'objet premier est justement de se l’accaparer...et qui risquent de polluer les nappes phréatiques de vos propres villes...je ne sais quelle incompréhension branle mes sens...écœuré, mouaih, faible...minable, bof...morbide,nul...crétin, inutile...désastreux, encore plus inutile,...Juger un tel esprit prendrait 90 millions d'années de silence rien qu'en réflexion sans aucune issue...je lorgne et je ne vois rien....les hommes ont disparu....



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