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jeudi 8 novembre 2012
L'Europe s'attaque à la réduction des émissions des gaz fluorés (HFC)La Commission européenne a pris mercredi une initiative "décisive" pour les objectifs à long terme en matière de climat, en présentant une proposition qui vise à réduire sensiblement les émissions de gaz fluorés.

Les émissions de gaz fluorés, dont le potentiel de réchauffement est jusqu'à 23 000 fois supérieur à celui du dioxyde de carbone, ont augmenté de 60 % depuis 1990, alors que celles de tous les autres gaz à effet de serre ont diminué.

Le règlement proposé vise à réduire de deux tiers les émissions de gaz fluorés par rapport à leur niveau actuel d'ici à 2030.

Il interdit également l'utilisation des gaz fluorés dans certains équipements neufs, comme les réfrigérateurs ménagers, lorsque des substituts plus écologiques et économiquement viables sont aisément disponibles.

Les gaz fluorés sont couramment utilisés dans la réfrigération et la climatisation, ainsi que dans les équipements électriques, les mousses isolantes, les bombes aérosols et les extincteurs. Ils sont émis dans l'atmosphère lorsqu'ils s'échappent des usines de production et des appareils dans lesquels ils sont utilisés, ainsi que lors de la mise au rebut de ces appareils.

« Je suis fière de présenter cette nouvelle initiative au moment même où nous célébrons le 25e anniversaire du protocole de Montréal. Ce nouveau texte législatif, qui limite la quantité de gaz fluorés pouvant être vendue dans l'UE, sera bénéfique au climat et créera d'importants débouchés commerciaux. La législation existante a réussi à infléchir la tendance à la hausse des émissions et à promouvoir l'innovation technologique. À présent qu'il est possible de fabriquer davantage de produits ayant une moindre incidence sur le climat, nous allons plus loin dans la réduction économiquement rationnelle des émissions de gaz fluorés » a déclaré Mme Connie Hedegaard, membre de la Commission chargée de l'action pour le climat.

La proposition présentée instaure une réduction progressive qui limitera, à partir de 2015, la quantité totale d'hydrocarbures fluorés (HFC) - le principal groupe de gaz fluorés - pouvant être vendue dans l'UE pour la ramener graduellement, d'ici à 2030, à un cinquième des ventes actuelles. Cette mesure s'inscrira dans le prolongement de la suppression progressive des substances appauvrissant la couche d'ozone, à laquelle l'UE est parvenue avec une décennie d'avance sur le calendrier convenu au niveau international.

L'UE est favorable à une action internationale concernant les HFC dans le cadre du protocole de Montréal.

La mesure proposée anticipe et encourage un accord sur une réduction progressive, à l'échelle mondiale, de la consommation et de la production de HFC, à l'ordre du jour de la 24e réunion des parties au protocole de Montréal qui doit se tenir ce mois-ci. Elle renforce également l'appel qui sera lancé lors de la conférence sur les changements climatiques qui se tiendra dans le courant du mois à Doha, sous l'égide de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, en faveur d'une action d'urgence sur les HFC de la part des autres pays afin de combler l'écart entre les nécessaires réductions des émissions d'ici à 2020 et les mesures de mitigation actuellement envisagées.

Dès lors que le cadre juridique adéquat sera en place, les consommateurs et les utilisateurs commerciaux d'équipements de l'UE pourront encourager le changement et promouvoir le progrès technique dans tous les secteurs qui utilisent actuellement des gaz fluorés. Il en résultera davantage de parts de marché pour les entreprises qui saisiront cette occasion de mettre au point des produits et des équipements n'ayant pas d'incidence sur le climat. De récentes études montrent qu'il existe un certain nombre de solutions de remplacement techniquement rationnelles, pouvant être utilisées sans danger, d'un bon rapport coût-efficacité et qui permettent de réaliser des économies d'énergie.

La proposition remplacera l'actuel règlement relatif aux gaz à effet de serre fluorés, qui impose aux entreprises une série de mesures destinées à réduire les fuites provenant des équipements qui contiennent des gaz fluorés et à récupérer les gaz lorsque les équipements sont parvenus au terme de leur durée de vie utile. Le règlement en vigueur prévoit également des exigences en ce qui concerne la formation et la certification du personnel intervenant dans l'entretien des équipements, l'étiquetage des équipements contenant des gaz fluorés et la communication d'informations relatives à la production, aux importations et aux exportations de gaz fluorés, ainsi que certaines interdictions dans un petit nombre de domaines spécifiques. Toutes ces exigences sont maintenues et/ou renforcées dans la nouvelle proposition.

La proposition sera soumise au Parlement européen et au Conseil en vue de son examen et de son adoption par la procédure législative ordinaire.

La feuille de route vers une économie à faible intensité de carbone de la Commission européenne propose une méthode économiquement rationnelle pour parvenir aux réductions des émissions requises dans le cadre d'un effort mondial visant à limiter la hausse des températures à 2°C par rapport aux niveaux préindustriels. Pour y parvenir, l'effort devra porter sur tous les secteurs et sur tous les gaz à effet de serre.

La feuille de route prévoit une réduction des émissions du secteur industriel de plus de 70 % d'ici à 2030, qui inclut les émissions de gaz fluorés. La nouvelle proposition a été élaborée pour parvenir à ces réductions, qui représentent la contribution économiquement rationnelle du secteur des gaz fluorés à l'effort économique global requis pour éviter des conséquences plus coûteuses du changement climatique à l'avenir.


Source © enerzine
Un tremblement de terre de magnitude 6,2 s'est produit sur la côte ouest du Canada mais aucun dégât n'a été rapporté dans l'immédiat.

L'organisation des Ressources naturelles du Canada a déclaré dans la nuit de mercredi à jeudi que le tremblement de terre avait touché l'île de Vancouver, dans l'océan Pacifique, à 137 kilomètres au sud-ouest de Port Alice, dans la province de la Colombie-Britannique.

Le Centre d'alerte du tsunami pacifique a déclaré que le séisme ne devait pas provoquer de tsunami.

Le 28 octobre, un séisme de magnitude 7,7 avait déjà frappé la côte ouest du Canada, sans causer de dégâts majeurs. Mercredi, un tremblement de terre de magnitude 7,4 a par ailleurs touché le Guatemala et causé la mort de 48 personnes.

Source © Sipa
Un puissant séisme de 7,4 degrés a secoué mercredi à la mi-journée la côte Pacifique du Guatemala, faisant au moins quarante-huit morts, 155 blessés et 23 disparus dans ce pays, et provoqué des mouvements de panique jusqu'au Mexique et au Salvador voisins.

La zone la plus touchée a été le département de San Marcos, sur la côte guatémaltèque, à environ 250 km à l'ouest de la capitale. C'est dans cette région, où des véhicules ont été détruits, des routes coupées et les télécommunications interrompues, que les décès ont été recensés.

Un bilan qui pourrait s'alourdir


«Nous déplorons la mort de 48 personnes, un bilan qui pourrait s'alourdir car 23 personnes sont portées disparues», a déclaré au cours d'une conférence de presse le président Otto Perez après s'être rendu dans la zone de San Marcos. Il a précisé que 39 personnes étaient mortes dans le département de San Marcos, 8 dans celui de Quetzaltenango et 1 dans celui de Solola.

Selon lui, 16.000 foyers demeuraient mercredi soir sans électricité et la ville de San Marcos ainsi que d'autres localités étaient privées d'eau potable. Les télécommunications étaient aussi affectées. Le ministre de l'Energie, Erick Archila, avait déclaré dans l'après-midi que le tremblement de terre avait provoqué des coupures d'électricité dans 73.000 foyers, soit dans la quasi totalité du département de San Marcos, mais que le courant devait être rétabli une dizaine d'heures plus tard.

Des habitants de la région ont décrit des murs effondrés, pour certains sur des véhicules.

Des routes ont également été coupées par des glissements de terrain. Les zones touchées par les éboulements sont à la fois lointaines et inaccessibles, de sorte que les secours et le rétablissement de la circulation prendra un certain temps.




mercredi 7 novembre 2012
Le réacteur numéro un de la centrale nucléaire EDF de Penly, près de Dieppe (Seine-Maritime), a été mis à l'arrêt mercredi à la suite d'un dégagement de vapeur inattendu sur la partie non nucléaire de l'installation, a-t-on appris auprès de la direction. 

Ce dégagement de vapeur sur le circuit secondaire s'est produit en milieu de journée pour une raison qui reste à déterminer. La direction a ordonné, aussitôt après, l'arrêt du réacteur qui a été découplé du réseau électrique peu avant 16h00.
Ce réacteur devrait être remis en service "prochainement", après une opération de maintenance sur ce circuit, a précisé un porte-parole de la centrale. Cet incident n'a pas eu de conséquence sur la sûreté de l'installation ni sur l'environnement, a-t-il affirmé.
Cette centrale, construite sur le front de mer du Pays de Caux, compte deux réacteurs d'une puissance nominale de 1.300 MW mis en service respectivement en 1990 et 1992. Le réacteur numéro 2 de cette centrale a été victime le 5 avril d'un incident sur l'une de ses pompes de refroidissement du circuit primaire qui a entraîné son indisponibilité jusqu'au 6 août. 



Heure       16:35:50 UTC

Ampleur     7,4
   
Emplacement     14.083 ° N, 91.916 ° W


6 km SSW (206 °) de Retalhuleu Guatemala
61 km SSE (148 °) de Suchiate, Chiapas, Mexique
66 km SO (221 ​​°) de Mazatenango, Suchitepéquez, Guatemala
95 km SSW (208 °) de Quetzaltenango, Guatemala
163 km  SO (248 °) de Guatemala City, Guatemala
 


Profondeur     41.6 km 


Un violent tremblement de terre, d'une magnitude de 7,5, a frappé mercredi la côte pacifique du Guatemala et a été ressenti dans la capitale du pays mais aussi à Mexico et au Salvador, a annoncé l'institut d'études géologiques des États-Unis (USGS). 

Le Centre d'alerte au tsunami du Pacifique a annoncé que la formation d'un tsunami était possible localement, dans un rayon de 160 à 320 kilomètres autour de l'épicentre, mais sans que cela nécessite des mesures d'alerte pour une zone plus étendue. 

L'épicentre du séisme a été localisé à 32 kilomètres de profondeur, au large de la ville de Champerico, dans le nord du pays. 

Des gens sont sortis des immeubles à Guatemala, la capitale du pays, à Mexico et dans la capitale de l'Etat mexicain du Chiapas, le long de la frontière guatémaltèque. 

Au Salvador, des dizaines de personnes sont sorties dans les rues, craignant d'éventuelles répliques. Des images de panique similaires ont été enregistrées dans la capitale du Guatemala, notamment dans la zone du centre-ville où s'élèvent de nombreux gratte-ciel, ont témoigné des journalistes de l'AFP.

Au Mexique, des ordres d'évacuation ont été donnés dans certains immeubles de la capitale, sans qu'aucun dommage ne soit pour l'instant signalé.


Nous attendons de plus amples informations.

ici quelques une en anglais














  • escuintla guatemala - about 10:40 AM local time strong shaking with noise for about 20-30 seconds. Nothing fell, no breakage or injury.
  • Guatemala City - It was pretty strong not to mentioned it did last like 15 or 20 seconds at the most.
  • Belize city - started about 10:37 belize time and lasted for about 3 minutes. I am in an old colonial building near the seaside.
  • antigua guatemala - 10 or more seconds
  • Santa Catarina Palopo, Solola, Guatemala - Rumbling sound from the earth and moderate shaking for about 10 seconds. Impressive!
  • San Salvador, El Salvador - And yes, it was very long feeling - it felt like 20 seconds at least.
  • San Salvador, El Salvador - Light shaking at San Salvador
  • Mexico City - The hotel room was swaying back and forth for about 20 seconds.
  • San Salvador, El Salvador - Our apartment building was shaking pretty good, nothing fell off the walls and we didn't have any damage, but it was interesting because it lasted much longer than usual, I didn't time it, but it was probably more than 30 seconds.
  • Ciudad Guatemala zona 10 - Estoy en el 10mo nivel de un edifico en la zona 10 de Guatemala y sentimos fuertes movimientos durante casi un minuto.
  • Antigua, Sacatepequez - Ground shaking, cars moving for 30-40 seconds
  • México City - Lights swaying. Mild disorientation. Side to side shake, I think, instead of up and down.
  • Guatemala, Guatemala - Fue un temblor que duró cerca de 15 minutos, se sintió muy fuerte. no hay daños en la ciudad capital. edificios evacuados. se interrumpieron las telecomunicacioones
  • De Nombreuses maisons se sont écroulées et un important glissement de terrain a été signalé ...voir vidéo ci dessous

    le président du Guatemala, Otto Perez Molina, a décrété une alerte rouge pour l'ensemble du pays.

    Le président tient actuellement une réunion d'urgence avec ses ministres et le coordonnateur national de prévention des catastrophes (Conrad) pour évaluer la situation et fournir une évaluation des dégats sur les personnes et les infrastructures.

    Le directeur de l'Institut national de sismologie, volcanologie, météorologie et d'hydrologie, Eddy Sanchez, a souligné que c'est le séisme le plus violent enregistré au Guatemala depuis 1976, lorsqu'un tremblement de terre de magnitude 7,6 sur l'échelle de Richter a fait environ 20.000 morts.


    Un premier bilan non confirmé des victimes annonce le décé de 10 personnes

    De plus des stations de radio locales ont rapporté la mort de trois personnes, deux adultes et un enfant, à San Pedro Sacatapequez, à la frontière du Mexique, mais l'information n'a pas été confirmée officiellement. 


    Ajout 23 H 00

    Vers 23 h 00 le bilan des victimes se chiffrait à 30 morts et les autorités craignent que ce nombre augmente dans les heures qui viennent





    La totalité des personnels non essentiels d'une plateforme de Statoil située sur un champ d'hydrocarbures de la mer de Norvège, soit environ 330 personnes, ont été évacués mercredi après une voie d'eau qui a provoqué une inclinaison de l'installation, ont annoncé les secours norvégiens.

    Environ 330 personnes ont été évacuées et on arrête l'évacuation à ce stade, a déclaré à l'AFP un porte-parole du Centre de sauvetage de Sola (sud-ouest), Einar Knudsen.

    Tous les personnels qui devaient être évacués l'ont été, s'est-il félicité.

    Unité de logement située sur le champ d'hydrocarbures Njord à environ 50 milles marins (plus de 90 km) des terres, la plateforme Floatel Superior s'est inclinée de 3 à 4 degrés mercredi matin, avec 374 personnes à bord, à cause d'une voie d'eau dans un ballast, a indiqué la compagnie pétrolière Statoil.
    L'installation a pu être stabilisée environ une heure plus tard en inondant partiellement les autres ballasts mais, par mesure de sécurité, la compagnie a décidé d'évacuer le personnel non essentiel, soit la plus grande partie de ses occupants.

    Une grosse quarantaine d'employés devraient pour l'heure rester sur Floatel Superior pour des tâches de sécurisation, a précisé M. Knudsen.

    STATOIL


    Source
    ©AFP 


    Rajout 16 h 30

    L’unité de logement accueillant 374 personnes sur le champ d'hydrocarbures Njord (à environ 90 km des terres), la plateforme Floatel Superior s'est inclinée "de 3 à 4 degrés" tôt dans la matinée à cause d'une voie d'eau dans un ballast, a annoncé Statoil. Apparemment provoqué par un choc avec une ancre, l'installation a pu être stabilisée en inondant partiellement les autres ballasts mais, par mesure de sécurité, la compagnie a décidé d'évacuer le personnel non essentiel, soit la plupart des occupants.

    Sorte d'hôtel flottant (plateforme rouge sur la photo ci dessus) accueillant des ouvriers chargés de l'entretien de la plateforme adjacente Njord A, quant à elle dédiée à la production d'hydrocarbures, Floatel Superior a été évacuée grâce à une navette de six hélicoptères de transport rapidement dépêchés sur place.

    Ses occupants ont été dans un premier temps transférés sur Njord A, à seulement une minute de vol, avant d'être rapatriés sur la terre ferme, à Kristiansund (ouest).

    Selon M. Knudsen, une partie des hélicoptères de secours resteront stationnés dans cette ville côtière pour éventuellement venir en aide aux membres du personnel restés sur la plateforme. L'évacuation a été réalisée dans des conditions météorologiques assez difficiles avec des vagues comprises "entre 10 et 12 mètres", selon un porte-parole de Statoil, Morten Eek.
    Deux spécimens de la plus rare espèce de baleines au monde ont pu pour la première fois être observés, selon des chercheurs néo-zélandais dont la découverte est publiée dans la revue américaine Current Biology.

    La baleine à bec de Travers ou Mesoplodon traversii, n'avait encore jamais été vue et les scientifiques ne pouvaient pas jusqu'alors dire si cette espèce dont seulement quelques ossements avaient été découverts, était éteinte ou pas.

    "C'est la première fois que cette espèce de baleine de plus de cinq mètres de long a été observée et nous avons eu assez de chance d'en trouver deux spécimens", explique Rochelle Constantine de l'Université d'Aukland, le principal auteur de cette communication parue lundi soir.

    "Tout ce que nous savions jusqu'alors de cette baleine provenait de trois crânes partiels retrouvés en Nouvelle-Zélande et au Chili au cours des 140 dernières années", précise-t-elle, notant qu'il est "extraordinaire que nous ne connaissions quasiment rien d'un animal d'une aussi grande taille".

    Les deux baleines à bec de Travers, une femelle et son petit, ont été retrouvées échouées sur la plage d'Opape en Nouvelle-Zélande en décembre 2010. Ils sont morts peu après avoir été découverts.

    Initialement, les scientifiques néo-zélandais pensaient à tort être en présence d'une espèce plus courante, la baleine grise à bec. Ce n'est qu'ultérieurement, après une analyse ADN des tissus prélevés sur les deux animaux, que les biologistes ont conclu qu'il s'agissait de baleines à bec de Travers.

    "Nous avons été tellement surpris de découvrir que c'était des baleines à bec de Travers que nous avons refait les analyses (ADN, ndlr) plusieurs fois avant d'annoncer la découverte", raconte Rochelle Constantine.
    Ces chercheurs n'ont pas pu vraiment expliquer pourquoi cette espèce de baleine est restée aussi longtemps sans être observée.

    "Il est possible que ces baleines s'approchent rarement des côtes et vivent et meurent dans les profondeurs de l'océan", observe la scientifique, ajoutant que la Nouvelle-Zélande est entourée de vastes océans et que de nombreuses espèces marines restent inconnues.

    Le nom de cette baleine ne signifie pas que son bec est de travers, mais se réfère à Henry Hammersley Travers qui a découvert le premier os connu de cette espèce en 1872.


    Source © AFP





    Cette photo a été prise dans la baie Fitch en octobre dernier.
     

    Tout comme en 2011, une apparition automnale de cyanobactéries au lac Memphrémagog ébranle les environnementalistes.


    Le groupe Memphrémagog Conservation Inc. (MCI) a observé une substance verte dans la baie Fitch, le 17 octobre dernier. Ces cyanobactéries, également appelées algues bleu-vert, diffèrent de ses jumelles estivales, car elles sont plus denses à l'automne, mais heureusement pas nécessairement plus toxiques.

    Pour la présidente du MCI, Gisèle Lacasse Benoît, il ne s'agit vraiment pas d'une bonne nouvelle pour la santé environnementale du lac Memphrémagog. «C'est inquiétant, car la présence de cyanobactéries ne diminue pas depuis son apparition en 2006, et ce, malgré les efforts pour réduire cette source de pollution. Chaque apparition représente une mauvaise nouvelle, car elles constituent un signe de dégradation du lac», s'inquiète Mme Benoit Lacasse.

    Selon elle, le portrait 2012 des signalements correspond à celui de l'an dernier sans avis de santé publique limitant la consommation d'eau ou la baignade. Ces avis diffèrent selon le degré de toxicité des cyanobactéries.

    Elle attribue la concentration d'algues bleu-vert à l'urbanisation, donc au déboisement nécessaire à la construction de routes et de maisons à proximité ou non des cours d'eau. Ce sont ces retraits de la végétation qui augmentent l'apport de sédiments et de phosphores au lac Memphrémagog, deux importantes sources alimentant les cyanobactéries.

    «Les nouvelles usines de traitement réduisent considérablement les problèmes de santé, comme à Magog et Sherbrooke, mais les risquent augmentent pour ceux qui habitent en milieux ruraux. C'est un danger potentiel», prévient-elle.

    Le MCI réclame une vaste réflexion sur l'avenir du lac Memphrémagog, portant notamment sur la capacité d'absorption de ce cours d'eau. Selon Mme Lacasse Benoit, toutes les sources de pollution doivent être analysées.
    Une usine d’Assouan a provoqué une marée noire dans plusieurs gouvernorats voisins. Les efforts déployés ont permis de diminuer les impacts négatifs de la catastrophe. Mais de nombreuses questions restent en suspens.

    Bien que des enquêtes soient en cours sur les sources de la dernière marée noire sur le Nil à Edfou le 27 octobre dernier, les spécialistes de l’environnement s’inquiètent.


    La semaine dernière en pleine cérémonie des fêtes du sacrifice, une marée noire a fait irruption sur le Nil à hauteur de la ville d’Edfou, dans le gouvernorat d’Assouan. En réaction, toutes les stations d’eau potable des gouvernorats avoisinants ont été immédiatement fermées. 


    « Nous avons inspecté la zone et prélevé des échantillons de la marée. Les soupçons pèsent sur deux entreprises : une sucrerie et une papeterie ; le Parquet tranchera l’affaire. 

    Nous avons essayé de limiter au maximum les effets négatifs de cette marée. Heureusement, les fleurs du Nil ont pu stopper une grande quantité d’huile. Deux sociétés pétrolières ont pu, avec leurs équipements, aspirer de petites nappes sans polluer les stations des eaux potables », explique le général Yasser Khalil, directeur de l’administration de l’inspection au sein de l’Agence Egyptienne pour les Affaires de l’Environnement (AEAE).

    Selon les responsables, il s’agit d’une marée noire de 8 kilomètres de long qui s’est échappée du réservoir d’une entreprise située au bord du Nil à Edfou, à l’issue de travaux de maintenance
    . Des équipes des ministères des Ressources hydrauliques et de l’Irrigation, du ministère du Pétrole et du ministère d’Etat pour l’Environnement ainsi que les gouverneurs concernés se sont rendues sur place pour surveiller la maîtrise des dégâts. 


    « La première des choses était de fermer tous les accès aux stations d’eau potable. Les aqueducs d’Esna à Assouan et les fleurs du Nil ont joué un rôle important pour contenir quasiment les trois quarts de la marée. Le reste s’est dispersé sous forme de petites nappes pour s’accrocher aux herbes sur les deux rives du Nil », indique Ezzat Saad, gouverneur de Louqsor, qui était sur place en attendant les équipements du ministère du Pétrole. Et de préciser : « L’analyse de l’eau est réalisée toutes les deux heures, afin de s’assurer qu’il n’existe aucune infiltration dans les stations d’eau de la zone. Mais il s’agit pour moi d’une grande négligence. C’est l’époque où la maintenance annuelle est réalisée dans les usines de la zone. 

    L’analyse des compositions de la marée noire a prouvé qu’il s’agissait de kérosène et d’huiles de maintenance. A mon avis, le problème se trouve dans l’usine. C’est une action irresponsable qui néglige l’importance du Nil ».  

    Dans le gouvernorat de Qéna, les habitants ont été rapidement informés de ne pas utiliser les eaux du Nil en raison de cette marée qualifiée de « danger environnemental ».

    Cette catastrophe ouvre le dossier de la conformité des usines à l’environnement et le contrôle des déchets industriels. Bien qu’il existe plusieurs programmes pour aider les grandes, moyennes et petites entreprises industrielles à se conformer aux normes environnementales, le dernier rapport gouvernemental démontre que 120 usines rejettent dans le Nil leurs déchets industriels, sans traitement. 


    Des programmes comme celui relevant de l’AEAE, « Projet de contrôle de la pollution industrielle » ou celui de l’Union des industries sur la conformité des usines aux normes environnementales visent à ce que les instances industrielles utilisent le gaz naturel au lieu du mazout, qu'elles cessent de jeter leurs déchets dans le Nil et qu'elles procèdent à leur traitement. « Toute entreprise sur les bords du Nil ou de la mer doivent traiter leurs déchets industriels. L’inspection et la conformité aux normes de l’environnement sont impératives. Je pense que le financement des projets visant à aider les entreprises industrielles n’est pas un obstacle. Les équipes formées et le sentiment de responsabilité envers les ressources publiques et naturelles du pays sont un facteur élémentaire visant à faire respecter l’environnement », affirme Ahlam Farouq, directrice de l’administration générale du respect environnemental au sein de l’AEAE.

    Selon les chiffres des instances nationales, l’industrie représente 35 % du produit national et emploie 25 % de la main-d’œuvre. Elle est devenue une source principale de pollution en raison de l’ancienneté des technologies, des déchets non traités, du manque de planification environnementale et du non-respect des lois environnementales.


    Ainsi, et afin de remédier à cette situation de l’industrie égyptienne, les spécialistes plaident pour la sensibilisation et la présentation d’expériences de sociétés s’étant conformées avec succès aux normes environnementales. 


    « Notre message aux entités industrielles d’Egypte est de les convaincre qu’être un ami de l’environnement ne va pas contre les revenus économiques. Nous avons présenté des exemples de 133 usines et sociétés ayant participé au programme de renforcement de l’industrie. Ces usines ont réussi à utiliser les nouvelles technologies qui mènent à limiter l’usage de l’électricité, ce qui diminue la pollution ainsi que l’usage des matières premières. 

    La sensibilisation est importante, notamment pour les instances industrielles qui pensent que l’environnement va contre l’économie », assure Ahmad Kamal, directeur exécutif du bureau du respect environnemental et du développement durable au sein de l’Union des industries égyptienne. Selon les rapports des instances de l’industrie et de l’environnement en Egypte, près de 60 % des usines sont conformes aux normes environnementales.
     

    On ne manque pas en Egypte d’initiatives et de protocoles avec les associations d’hommes d’affaires et les compagnies de divers domaines visant à mettre un terme à la pollution industrielle. Mais il faudra redoubler de responsabilité pour y parvenir.

    Source © ahram.org
    mardi 6 novembre 2012
    Quatorze millions d'hectares de terres ont été touchés par les inondations dans les régions de Buenos Aires et de Santa Fe, la récolte de céréales est gravement menacée ont déclarés les dirigeants des organisations agricoles.

    Les pluies récentes dans le centre du pays, principale région agricole , ont fait sortir les rivières de leurs lits, 11 millions d'hectares sont affectés dont la moitié sont totalement sous les eaux.

    Dans la région de Santa Fe plus de trois millions d'hectares ont subit le même sort.

    Le ministère de l'Agriculture argentin qui avait déclaré mi-Octobre que le pays s'engagait en 2013 vers une récolte record de cultures, avec des chiffres estimés à 28 millions de tonnes pour le maïs et 58 millions pour soja, et ce principalement destinés à l'exportation, est aujourd'hui devant une situation critique.

    «Aujourd'hui, les récoltes sont menacées», a déclaré Carlos Garetto, président de la Confédération internationale des coopératives agricoles (Coninagro).


    © Nature Alerte

    Hier, de fortes précipitations se sont abattues entre le nord-est de l’Italie et la Slovénie.

    Même si des inondations sont à signaler en Italie du côté du Frioul, les pluies diluviennes ont provoqué des inondations dévastatrices en Slovénie.


    De nombreux cours d’eau sont en crue et les eaux ont envahi plusieurs villes du pays.

    En Styrie, la situation est devenue critique avec des centaines de maisons sous les eaux.
    La ville de Malecnik est complètement inondée.


    La ville la plus touchée et la ville de Duplek, à environ 130 km au nord-est de Ljubljana, où plus de 250 maisons ont été inondées. À Dravograd, les rivières Drave et Meza ont aussi inondé de nombreux bâtiments industriels et résidentiels dans la région.

    Au moins 120 soldats ont été mobilisés pour venir en aide aux sinistrés.


    Source: © Sipa

    Les inondations qui frappent depuis juillet le Nigeria ont fait plus de 350 morts et 2,1 millions de déplacés, a annoncé ce lundi l'Agence nationale de gestion des urgences (NEMA).

    Le président Goodluck Jonathan a qualifié en octobre ces inondations, les pires depuis un demi-siècle dans le pays le plus peuplé d'Afrique, de «catastrophe nationale» tout en écartant tout risque de crise alimentaire. Dans un communiqué publié lundi, la NEMA fait état de 7,7 millions de personnes affectées par les inondations entre le 1er juillet et le 31 octobre. Au total, 363 personnes ont été tuées et 18.282 autres blessées.


    Le Nigeria, qui compte 160 millions d'habitants, est fréquemment touché par de très fortes pluies saisonnières. Les inondations de cette année ont réduit de 500.000 barils par jour, soit 20% de la production nationale de pétrole, selon le ministère des Ressources pétrolières.

    Source 20 minutes

    De fortes pluies, provoquées par le passage d'une tempête tropicale dans le sud de l'Inde ont fait au moins 22 morts, d'après un responsable gouvernemental.

    La plupart des victimes a succombé à cause de noyades ou d'effondrements de maisons suite au passage de cette tempête dans des villages du district d'East Godavari dans l'état d'Andhra Pradesh, dans le sud du pays, a indiqué T. Radha un commissaire secouriste.

    Dans la région d'Andhra Pradesh, 31 centimètres d'eau sont tombés pendant le week-end. Les habitants de l'état n'avaient pas vu une telle quantité de pluie depuis plus de 40 ans.

    A cause des intempéries, près de 95.000 personnes ont été déplacées dans des camps de réfugiés dans l'état d'Andhra Pradesh, a indiqué lundi T.Radha à l'agence Associated Press. Huit personnes ont péri suite au passage du cyclone dans l'état voisin de Tamil Nadu.

    Source meteo world


    lundi 5 novembre 2012
    664 cas d'intoxications, dont 3 décès, liés à la consommation de champignons ont été répertoriés ces trois dernières semaines, principalement en Rhône-Alpes, Pays-de-Loire et Aquitaine, selon les autorités sanitaires qui mettent en garde les amateurs de cueillette.

    Ne consommez jamais un champignon dont l'identification n'est pas certaine, rappellent la Direction générale de la santé (DGS, ministère) et l'Institut de veille sanitaire (InVS), face à ces intoxications qui se renouvellent chaque année et qui sont dans la majorité des cas dues à des confusions.
    Connaisseur ou pas, les amateurs de ce genre de cueillette doivent, au moindre doute, faire contrôler leur récolte, avant de la consommer, par un spécialiste (pharmaciens ou associations et sociétés de mycologie de la région).

    Il est conseillé de cueillir uniquement des champignons en bon état et en totalité (pied et chapeau), afin de permettre l'identification.

    On évitera évidemment d'aller chercher les champignons près de sites pollués (bords de routes, aires industrielles, décharges) car ils concentrent les polluants. (ajout nature alerte : surtout par les temps qui courent, des fois qu'ils se trouvent sur un champs d'amiante ou sous les retombés des chemt...ah non là chut...ou encore que dans votre balade vous tombiez sur un loup ....ou encore sur une foreuse en terrain privée...bon ok je sors..)

    Autres conseils, déposer les champignons séparément, dans une caisse ou un carton, en les rangeant par espèces (un champignon vénéneux peut contaminer les autres), se laver soigneusement les mains après la récolte, conserver les champignons à part au réfrigérateur et les consommer dans les deux jours au maximum après la cueillette.

    Manger les champignons en quantité raisonnable après une cuisson suffisante, ne les consommer jamais crus, recommandent encore la DGS et l'InVS.

    En cas d'apparition d'un ou plusieurs symptômes (notamment diarrhée, vomissements, nausées, tremblements, vertiges, troubles de la vue, etc.) après avoir mangé une cueillette, il faut appeler immédiatement un centre antipoison ou le Centre 15, en mentionnant cette consommation.

    Les symptômes commencent généralement à apparaître dans les 12 heures après la consommation et l'état de la personne intoxiquée peut s'aggraver rapidement.

    Il est utile de noter les heures du ou des derniers repas, l'heure de survenue des premiers signes et de conserver les restes de la cueillette pour identification.

    Liens utiles : Société Française de Mycologie : http://www.mycofrance.org

    Centres antipoison : http://www.centres-antipoison.net/


    Source
    ©AFP
     Pollution dans les Amognes : les habitants toujours en attente des résultats

    L'eau est toujours interdite à la consommation dans les Amognes, et ce depuis une quinzaine de jours.  


    Du côté des habitants, on fait avec, mais en regrettant de ne pas avoir plus d'informations.

    Un habitant de Saint-Sulpice, touché comme ceux de sept autres communes, nous écrit afin de faire part de son agacement de ne pas recevoir plus d'informations sur la pollution qui touche la source des Trailles :

    "Amognes : 15 jours sans une info potable

     Les habitants des 8 communes des Amognes privés d’eau potable vivent à présent une drôle d’expérience. En effet, voilà 15 jours qu’un arrêté préfectoral leur interdit toute consommation d’eau et 15 jours qu’on ne leur délivre des informations qu’au compte goutte…
    Ils ont d’abord été informés qu’il ne fallait plus boire, puis, par voie de presse, que ce n’était pas une pollution bactériologique, puis, qu’il n’y avait pas de pollution agricole ou chimique mais depuis, rien. Mais alors quoi ?


    Ils ne savent rien des recherches en cours et, outre les sentiments d’abandon couplé à celui d’infantilisation, le manque d’information laisse cours à toute les hypothèses et interprétations. Le SIAEP, l’ARS et la Préfecture seront-ils transparents dans cette aventure ? La population aura-t-elle le droit de savoir précisément ce qu’on lui sert dans son verre d’eau ? L’information que les autorités voudront bien lui servir sera-t-elle aussi limpide et abondante que l’eau qu’ils auraient du boire pendant la période ? Chacun l’espère."


    Source © BRUGGER Lionel/ lejdc.fr

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