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lundi 19 novembre 2012

Une marée noire issue d'une installation d'ExxonMobil au large des côtes s'est propagé dans le delta du Niger à au moins 35 kilometres de sa source, les eaux troubles polluent les eaux des pêcheurs .

Suite à cette nouvelle catastrophe un journaliste de Reuters a visité vendredi dernier plusieurs régions du Akwa Ibom. il a constaté sur place que la marée noire s'étend sur plusieurs kilomètres et pollue les côtes du Delta. C'est la rupture d' un pipeline de la socièté Exxon la semaine dernière qui semble en être l'origine. La compagnie avait pourtant annoncé avoir fermé ce pipeline endommagé.

Mark Ward, le directeur général de l'unité locale d'ExxonMobil, a déclaré qu'un nettoyage est en cours, et il s'est excusé auprès des communautés touchées par cette fuite .

Exxon a déclaré dimanche dernier qu'il avait fermé un pipeline au large de la côte de l'Etat d'Akwa Ibom après une fuite de pétrole dont la cause était inconnue.

"C'est la pire marée dans cette communauté depuis Exxon a commencé ses opérations dans la région», a déclaré Edet Asuquo, 40 ans, pêcheur dans la communauté Mkpanak. . Dans certaines zones marécageuses, les plantes rares de notre région sont totalement ravagées.

«Les pêcheurs ne peuvent plus pêcher et n'ont aucun autre moyen de survie", a déclaré Asuquo.

"Mobil Producing Nigeria (MPN) regrette cet incident. Nos équipes sont mobilisées pour nettoyer la région», a déclaré Ward dans un communiqué envoyé à Reuters.

"Nous nous excusons pour les inconvénients que cela a causé."

Une grande quantité de pétrole est visible sur la surface de la mer et une importante marée noire se répand désormais sur les plages depuis vendredi dernier, ako ajoute que la compagnie a depuis pulvérisé des produits chimiques dans l'eau pour disperser la nappe.

déjà fin Août dernier, une marée noire  a pollué des kilomètres de côtes de la région.



© Nature Alerte/ Reuters
Deux jours après l'explosion survenu vendredi 16 novembre sur une plateforme pétrolière du gofe du Mexique, au large de la Louisianne, les garde-côtes américains ont indiqué que le risque de marée noire semblait écarté. La plateforme ne fonctionnait pas au moment de l'accident, ont-ils précisé.

Au lendemain de la condamnation historique de BP, une explosion sur une plateforme pétrolière dans le golfe du Mexique avait fait craindre le pire aux habitants de la région. Car la catastrophe de Deepwater Horizon - dont l'explosion en avril 2010 avait provoqué une marée noire de grande envergure, à l'origine de l'amende de 4,5 milliards de dollars reçue par le pétrolier britannique jeudi 15 novembre - a laissé des traces.

Mais soulagement, les garde-côtes américains ont annoncé samedi qu'aucune fuite d'hydrocarbures n'avait été constatée. Le risque de marée noire semble donc écarté. La plateforme ne fonctionnait as au moment de l'accident, ont précisé les autorités.

La plateforme accidentée vendredi est située dans des eaux relativement peu profondes à une quarantaine de kilomètres au sud de la ville côtière de Grand Isle, en Louisiane, est exploitée par la compagnie Black Elk Energy. L'explosion et l'incendie, qui a pu être éteint rapidement se sont produits alors qu'un ouvrier était en train de couper un tuyau pour des travaux de maintenance.

L'accident a fait deux morts et onze blessés. Samedi, les garde-côtes avaient décidé d'interrompre les recherches après la découverte d'un premier corps dont l'identité n'avait toujours pas été confirmée lundi en fin de matinée. Les recherches doivent reprendre pour retrouver le deuxième disparu.


Source © Julien Bonnet -  Usine nouvelle

le 14 Novembre dernier les habitants du Sevenagala et  de l'Indikolapelessa dans le district Moneragala au Sri Lanka, ont été témoin d'un phénomène plutôt inhabituel. En effet des averses de pluies de couleur rouges sont tombé pendant plus de 15 minutes dans le Sewanagala, le Monaragala, le Manampitiya et le Polonnaruwa.

Un premier rapport initial d'un haut fonctionnaire du ministère de la météorologie a déclaré que cette pluie rouge n'était pas un phénomène naturel et la raison en était que certains produits chimiques libérés par des usines s'étaient mélangés aux nuages déjà lourds de pluies.

Oui mais voilà cette version est mise en doute par les autorités, en effet disent ils, l'année dernière une pluie rouge a déjà touché le  Kerala en Inde, et les scientifiques indiens ont découvert une variété de micro-organismes dans les eaux récoltés . Mais étant donné que ces micro-organismes n'avaient visiblement pas d'ADN, ils ont conclus qu'il devait y avoir là une sorte de phénomène étrange.

Le mystère restait donc entier

Bref, depuis Les expériences menées à l'Institut des Nanotechnologies de Sri Lanka (SLIN) a prouvé de façon concluante que la cause de la couleur inhabituelle de la pluie était du à la présence d'un micro-organisme unicellulaire appartenant au Royaume protistes, des Euglenozoa Phylum, connu sous le nom Trachelomonas. Ces Trachelomonas seraient donc la principale cause des pluies rougeâtres qui touchent d'autres régions du monde également affirment ils....et ben voilà...Nah...

© Nature Alerte


...et Chem ...chem...cheminey...chem...cheminer...dirait Mary Poppins....






Selon un rapport publié hier à Washington, la Banque mondiale redoute une hausse de la température du globe de 4°C dès 2060, bien au-delà du garde-fou posé par la communauté internationale, et s'alarme du "cataclysme" qui frapperait alors les pays pauvres.

D'après ce document "Un monde à +4°C (...) déclencherait une cascade de changements cataclysmiques, dont des vagues de chaleur extrême, une chute des stocks alimentaires et une montée du niveau de la mer frappant des centaines de millions de personnes", résume la BM, ajoutant qu'il n'y avait "aucune certitude" que le globe puisse s'adapater à une telle situation.

Ce scénario, le plus sombre envisagé dans le rapport, tranche avec l'engagement pris par la communauté internationale de contenir le réchauffement du globe à +2°C par rapport à l'ère pré-industrielle.Le niveau actuel d'émissions de C02 "devrait porter le réchauffement climatique bien-au delà de ce seuil", assure la Banque mondiale, qui prédit une hausse de 4°C "au cours du siècle" et "dès 2060" en cas d'inertie politique.

"Ce monde serait tellement différent de celui dans lequel nous vivons qu'il est difficile de le décrire", commente le président de la BM, Jim Yong Kim, soulignant que la responsabilité de l'homme dans le réchauffement du globe est "sans équivoque".

 
Listant les dangers qui menaceraient alors la planète (inondations, sécheresses, malnutrition...), l'institution prédit une aggravation des "pénuries d'eau" en Afrique de l'Est, au Moyen-Orient, ou en Asie du Sud et un "rebond significatif" de la mortalité infantile en Afrique sub-saharienne.

"L'intensification prévue des événements climatiques extrêmes pourrait inverser les efforts pour réduire la pauvreté, particulièrement dans les pays en développement", résume le rapport, assurant que la planète serait encore "plus inégalitaire" qu'à l'heure actuelle.

Aucune région ne sera épargnée, prévient toutefois le rapport. Les récentes sécheresses ayant frappé les Etats-Unis ou l'Europe de l'Est pourraient se reproduire et l'Occident serait aussi confronté à l'afflux de populations fuyant les bouleversements climatiques."Il faut faire baisser la température et seule une action internationale concertée et rapide peut y contribuer", clame la Banque mondiale, appelant à une utilisation plus "intelligente" de l'énergie et des ressources naturelles.



Source : © Banque Mondiale



...Tiens donc...voilà que la banque mondiale se réveille...+ 4 ° C ...au moins ça c'est dit... mais encore espérer qu'on s'en sorte....là c'est du rêve....
Une vague d'orages parfois très intenses a touché les provinces australiennes du Queensland et de la Nouvelle Galles du Sud. Les orages ont été accompagnés de pluies diluviennes et de chutes de grêle.

Les services météorologiques australiens indiquent avoir enregistré pas moins de 4000 impacts de foudre en une heure dans un périmètre de 80 km autour de Brisbane.

Les fortes pluies ont causé des inondations dans plusieurs secteurs. Une cinquantaine de personnes ont été évacuées dans l'agglomération de Brisbane et 7000 foyers et commerces ont été privés d'électricité suite aux avaries provoquées par les orages sur le réseau de distribution.

En Nouvelle Galles du Sud de fortes averses de grêle se sont produites dans le secteur de Bermagui. Les grosses quantités de grêlons ont provoqué des embâcles sur les réseaux d'évacuation des eaux pluviales et ont causé des inondations localisées. Des dizaines d'habitations ont subi des dommages au niveau de leur toiture.



Source : ABC news




une Trombe géante a frôlé la cote

Une géante trombe a été filmée au large de la côte de Batemans Bay dans l’État australien de Nouvelle-Galles du Sud.

La tornade n’a causé aucun dégâts, mais le mauvais temps dans le sud-est de l’Australie, comme prévu, va se détériorer.



Les crues soudaines ont emporté la récolte de riz de près de 2 000 agriculteurs dans l'ouest du Kenya, inondant un certain nombre de maisons et déchargeant les latrines dans les cours d'eau. Les fonctionnaires du Ministère de l'Agriculture ont déclaré qu'une grande partie du riz avait été récoltée et se trouvait encore dans les fermes pour y sécher.

Les paysans intéressés vivent dans les 870 ha des rizières de Kano Plains, dans le district de Kisumu. Les pluies ont détruit la seule source de subsistance de cette population et menacent de les obliger à se déplacer vers d'autres terres.

Au mois d'octobre, le département météorologique a émis un avis concernant de possibles inondations dans certaines zones du pays, après le début de brèves pluies d'octobre à décembre, qui peuvent se trouver exacerbées par El Niño. 




Source © Meteo World
Inondations en Andalousie

Après le Portugal, c'est au tout de l'Andalousie d'être touchée par de fortes pluies orageuses.


Les orages se sont abattus sur la province de Malaga (province déjà affectée ces derniers mois par de graves inondations).
Samedi dernier, de nouvelles pluies ont donc touché la province espagnole, provoquant des inondations et de nombreux dégâts.

Des rivières sont sorties de leur lit, inondant de nombreux villages, principalement entre Paseo de Sancha, Casabermeja et Almogia. Dans la ville de Guadalmedina, une rivière habituellement sèche s'est transformée en un véritable torrent en quelques heures seulement.

Il est tombé entre 120 et 130 mm de précipitations en l'espace de 2 heures.


source © Météo Wolrd

Une vague de mauvais temps a affecté le Portugal vendredi.

De violents orages ont touché le Sud du pays, et une tornade s’est même formée en Algarve provoquant de gros dégâts entre Silves et Lagao.


La petite ville de Paderne a été littéralement détruite, et une vingtaine de personnes ont été blessées.


Une centaine de personnes se sont retrouvées sans abri.

Des vents soufflant jusqu’à 140 km/h ont été relevés dans le sud du Portugal, mais la vitesse du vent a été beaucoup plus élevée dans la zone touchée.


La tornade qui s’est formée en mer, est ensuite entrée dans le terres, passant à l’Ouest de Lagao et continuant sa route jusqu’au Nord de Silves.


 La ville de New York va démolir environ 200 maisons fortement endommagées par l'ouragan Sandy en raison du danger qu'elles constituent pour la sécurité publique, selon le "New York Times" de samedi. La plupart d'entre elles sont situées à Staten Island, Brooklyn et dans le Queens.
Les habitations seront rasées dans les prochaines semaines ou dans les prochains mois, selon le quotidien, qui a interrogé un responsable du dossier.

La tempête historique, qui s'est abattue sur la côte Est des Etats-Unis fin octobre, a fait au moins 132 morts dont 43 dans la ville de New York, selon un dernier bilan publié vendredi. Elle a également provoqué pour 50 milliards de dollars (47 milliards de francs) de dégâts ou de manque à gagner.




Le maire de New York Michael Bloomberg a annoncé dimanche la prolongation du rationnement d'essence mis en place après l'ouragan Sandy, soulignant que presque un tiers des stations-services de la ville étaient toujours fermées.

Le rationnement d'essence imposé depuis le 9 novembre, a bien marché et aidé à réduire les files d'attente à la pompe, a souligné Michael Bloomberg dans un communiqué. Mais 30% des stations-services sont encore fermées et beaucoup de gens vont voyager cette semaine à l'occasion de la fête de Thanksgiving jeudi, a-t-il ajouté.

M. Bloomberg a ajouté qu'il préférait donc prolonger le rationnement jusqu'à vendredi prochain, pour ne pas prendre le risque de revenir aux files d'attente interminables que l'on voyait avant le rationnement.
 
Source: © ats
Un mois et demi à peine après la fin de la dernière épidémie qui a fait 17 morts dans l'ouest du pays, l'Ouganda est à nouveau frappé par la fièvre Ebola. 

 La ministre de la santé, Christine Ondoa, a annoncé, samedi 17 novembre, l'identification de quatre cas, dont trois mortels. Cette maladie provoquée par un virus se traduit par une brusque montée de la température, des vomissements, des diarrhées, une insuffisance rénale et hépatique et des hémorragies. Le taux de mortalité peut atteindre 90 %.

Le virus Ebola a été identifié pour la première fois en 1976 en République démocratique du Congo (RDC), dont l'Ouganda est frontalier. Aucun traitement et aucun vaccin n'existe à ce jour. La RDC connaît elle-même un foyer d'épidémie dans la région de Kisangani. Fin octobre le dernier bulletin de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) faisait état de 52 cas.
 

En Ouganda, celle-ci a dépêché sur place du personnel, comme l'a également fait Médecins sans frontières pour enquêter sur l'épidémie aux côtés du ministère ougandais de la santé. Une unité spéciale d'isolement à l'hôpital Mulago, à Kampala, et une autre à Nyimbwa, là où se trouve l'épicentre de l'épidémie, ont été activées afin de pouvoir accueillir dans des conditions de sécurité les personnes ayant approché les malades. Cinq personnes ayant été en contact avec les personnes décédées ont été placées sous surveillance médicale.

DES SOIGNANTS ONT SOUVENT ÉTÉ CONTAMINÉS

Le virus Ebola se transmet par contact direct avec les liquides et sécrétions (sang, salive, sperme, excrétions...) des personnes infectées. Des soignants ou des personnes s'occupant de soins funéraires pour les victimes ont ainsi souvent été contaminés.


Le virus lui-même a pour réservoir animal certaines chauves-souris se nourrissant de fruits, qui peuvent recéler le virus Ebola sans pour autant faire de maladie. Elles le transmettent, par morsure, surtout à des primates (chimpanzés, gorilles) vivant dans la forêt équatoriale.

Cependant, une étude de chercheurs canadiens, publiée le 15 novembre sur le site de la revue Nature Scientific Reports, démontre qu'une transmission aérienne est possible. Des porcs infectés et qui hébergeaient le virus Ebola dans leurs voies respiratoires ont transmis l'agent infectieux à des macaques sans aucun contact direct avec eux.

En Ouganda, lors de la précédente épidémie, la première victime avait été une fillette âgée de 3 mois. Sur les 65 personnes qui avaient assisté à ses obsèques, 15 ont contracté le virus Ebola.

Le pays est également touché, depuis le début octobre, par un autre type de fièvre hémorragique, dû cette fois au virus de Marburg. Cette épidémie est située dans le sud-ouest du pays près de la frontière avec le Rwanda. Huit décès et neuf cas confirmés par des tests en laboratoire ont été recensés.


© LE MONDE/ Paul Benkimoun

Les associations de protection de l'environnement, mais aussi de nombreux responsables politiques, certains connus nationalement, pléthore d'agriculteurs et de riverains s'opposent fermement au projet de nouvel aéroport de Nantes (Loire-Atlantique).

Ce dossier est en train de devenir un gros caillou dans la chaussure du gouvernement.

Ils étaient entre quinze mille (d’après la préfecture de Loire-Atlantique) et quarante mille (selon les organisateurs) à dire « non » samedi.
« Non » à un aéroport qu’ils jugent non seulement inutile, mais également synonyme d’expropriations et de sérieux préjudices écologiques, entre inévitables augmentation des rejets de gaz à effet de serre – aussi bien pendant la construction qu’une fois le nouvel aéroport entré en service – et déclin de la biodiversité.

La tension est montée de plusieurs crans ces dernières semaines. Peu coutumiers de ce genre de « méthodes », les socialistes ont il est vrai expulsé les « squatteurs à ciel ouvert » à grands renforts d’escadrons de gendarmes mobiles et de CRS. La « résistance » ne faiblit cependant pas, au contraire, et c’est un véritable bras de fer qui s’est engagé.

Un étonnant rassemblement d’altermondialistes, d’agriculteurs, de militants d’associations de protection de l’environnement, d’élus locaux, de représentants d’EELV (Europe Écologie-Les Verts), de riverains, mais aussi de touristes et de membres du Parti de Gauche a sillonné ce week-end le bocage nantais avec l’espoir de faire plier le PS. Vent debout contre la future plate-forme, les écologistes se sont faits remonter les bretelles par le nouveau Premier secrétaire Harlem Désir, alors même que le texte signé par les deux partis fin 2011 entérine leur désaccord sur cette question.

« Un parti de la majorité gouvernementale ne devrait pas s’impliquer dans des manifestations qui prennent pour cible le Premier ministre sur un projet soutenu par les collectivités locales et leurs habitants très majoritairement », a-t-il en effet estimé, cité par nos confrères du Monde, François Hollande ayant pour sa part tenu à rappeler en marge d’un déplacement en Pologne son respect du « droit de manifestation », tout en disant « faire en sorte que tous les recours puissent être traités par une justice indépendante ». « Mais en même temps temps, il y a aussi la force du droit et la primauté de la volonté, non seulement de l’état, mais aussi des élus, et au-delà même des alternances politiques », a-t-il ajouté, cité lui aussi par le quotidien et faisant allusion au soutien qu’accorde l’UMP à l’aéroport, qui doit s’étendre sur un périmètre de mille sept cents hectares de terres agricoles et dont le coût a été évalué par Vinci à environ quatre cent cinquante millions d’euros.

« Le débat mériterait d’être rouvert »

Signalons par ailleurs la présence dans le cortège de José Bové (EELV), qui après les OGM et les gaz de schiste semble s’être trouvé un nouveau combat, du sénateur Jean-Vincent Placé (EELV), lequel a semé le trouble il y a quelques jours en s’interrogeant ouvertement sur la participation de son camp au gouvernement, de l’ancien candidat à l’élection présidentielle Jean-Luc Mélenchon (Parti de Gauche) et de Jean-Luc Bennahmias (MoDem). Absent, le président du MoDem François Bayrou y est néanmoins allé lui aussi de sa déclaration, jugeant dans une interview accordée au Parisien que « le débat mériterait d’être rouvert ». « Sur ce dossier, je comprends […] très bien les résistances », a-t-il poursuivi, soulignant que « l’utilité de ce nouvel aéroport est contestée par des arguments sérieux » et que « rien ne dit que l’actuel aéroport de Nantes ne serait pas suffisant pour absorber le trafic ».

Plus incisif, M. Mélenchon, invité de l’émission C’Politique sur France 5, a de son côté affirmé que le chef de l’État avait « tort » d’évoquer la force du droit, pour la bonne raison que « juridiquement, ce n’est pas fini ». Quant à la fédération France Nature Environnement, elle considère que « la meilleure solution est la suspension de ce projet » et que le gouvernement « ne peut plus feindre d’ignorer l’opposition totale de la population à ce projet anachronique ».

Sur le terrain, les « anti » demeurent en outre mobilisés. « Les constructions de cabanes se sont poursuivies dimanche par des opposants déterminés à réoccuper le site malgré la menace d’une intervention des forces de l’ordre. Aussitôt levées, des dizaines de personnes ont repris, scies et visseuses à la main, un ouvrage interrompu par la nuit. Objectif: ériger dans les jours et semaines qui viennent un nouveau “lotissement” de cabanes », rapporte ainsi Le Monde.
Une opiniâtreté qui a également fait réagir le président du groupe PS à l’Assemblée Nationale Bruno Le Roux, selon lequel « on voit bien qu’il y a pour un certain nombre de responsables […] une volonté de combattre l’État, de combattre le gouvernement ». Quelles que soient les motivations profondes desdits responsables, le gouvernement risque d’avoir de plus en plus de mal à maintenir le cap qu’il s’était fixé.



Source: © Guillaume Duhamel

....Encore bravo...ben oui prenons le maquis.... 

jeudi 8 novembre 2012
Il aura fallu près de cinq heures aux deux escadrons de gendarmes mobiles, épaulés par des CRS, pour détruire, mercredi 7 novembre, les sept barricades dressées sur la départementale 281, entre Notre-Dame-des-Landes et La Paquelais, à 15 km au nord de Nantes, par les opposants au projet de nouvel aéroport.
C'est très exactement à cet endroit que devrait être construite l'une des deux pistes de la future plateforme aéroportuaire. La veille, Philippe, Charlotte, Romain et Renard, infirmier, étudiants, à peine cent ans à eux quatre, avaient allumé un feu qui a réchauffé le bitume et permis de mieux creuser à la hache l'excavation visant à retarder les véhicules des gendarmes.

Le doux bocage nantais est entré en guérilla. Face à face, deux camps se préparent à un combat de longue haleine qui pourrait tourner à la véritable guerre de tranchées. D'un côté, le gouvernement, Jean-Marc Ayrault en tête, premier ministre, ancien maire de Nantes, promoteur local de la nouvelle infrastructure depuis de longues années, et Aéroport du Grand-Ouest (AGO), filiale à 85 % de Vinci Airports, exploitant du futur aéroport qui doit accueillir ses premiers vols fin 2017.

De l'autre, une alliance détonante d'opposants au projet : des agriculteurs, des élus, des riverains promis ou non à l'expropriation qui doit permettre la construction de l'aéroport et des dessertes routières sur 1 650 hectares. Mais aussi des squatters, installés depuis deux ou trois ans dans plusieurs maisons vidées de leurs occupants et des "écoguerriers", arrivés récemment, militants rompus aux luttes "contre le système", ou "touristes", souvent jeunes, comme ces Australiennes ou cette Italienne croisées dans les chemins du bocage nantais. Le préfet de région, Christian de Lavernée, veut distinguer "riverains, agriculteurs, qui forment l'opposition institutionnelle, et les activistes, anarcho-libertaires, qui ont baptisé Notre-Dame-des-Landes, "le plus grand squat à ciel ouvert d'Europe"."

"VENI, VIDI, REPARTI"

Loin de réussir à diviser le front, l'opération d'expulsion débutée le 15 octobre – nom de code César qui a, du coup, inspiré des slogans tels que "Veni, vidi, Vinci" ou "Veni, vidi, reparti" – a au contraire soudé les rangs, suscitant émotion et solidarité. Et offre aux anti-Notre-Dame-des-Landes un nouvel élan pour réussir la manifestation du samedi 17 novembre, dont l'objectif sera de "réoccuper" et de reconstruire ce qui a été détruit. Pioches, fourches, poutres, clous, et "grands miroirs" pour empêcher les hélicoptères de la gendarmerie de filmer, font partie de la liste du matériel à apporter. Le rassemblement, qui pourrait accueillir des milliers de personnes, veut réunir familles, militants politiques, syndicaux et associatifs hostiles au projet jugé "pharaonique" de l'"Ayraultport", inutile économiquement et dangereux pour l'environnement, selon les militants.

Mercredi en fin de matinée, sous un soleil hivernal, les opposants font face à plusieurs dizaines de militaires, lourdement équipés. Ils sont pris en tenaille. Un jeune homme est plaqué au sol. "Enlevez-moi sa cagoule, je veux voir sa gueule", hurle un gradé. La plupart des manifestants qui portent cagoule et foulard parviennent à s'enfuir, sautant par-dessus les haies et les fossés qui bordent la D281.

La tension baisse un instant. Depuis les prés encore trempés des pluies diluviennes des jours précédents, les militants observent le ballet des véhicules de la gendarmerie. Ils protègent les engins de la direction départementale des territoires et de la mer Loire-Atlantique et les ouvriers qui comblent les tranchées et dégagent la route.

Cette fois-ci, les forces de l'ordre ne se risqueront pas dans les bois avoisinants pour déloger les cabanes et les campements dispersés. A l'instar du camp du "Far West", qui regroupe plusieurs dizaines de militants. "L'objectif était de rétablir la circulation sur cette route, impraticable depuis plusieurs jours", indique le colonel Frédéric Boudier, responsable du dispositif. Mais la route, à peine dégagée, est à nouveau obstruée quelques centaines de mètres plus loin par deux arbres couchés en travers.

FRONT JURIDIQUE

A chaque jour son combat. Mardi, il s'agissait de procéder à l'expulsion de squatters et de raser la maison occupée. En cette fin de semaine, ce sera peut-être au tour des gendarmes du peloton de haute montagne, venus spécialement de Briançon (Hautes-Alpes), de grimper aux arbres afin de déloger les militants haut perchés.

La préfecture a décidé de "nettoyer" la zone d'aménagement différé (ZAD) pour lancer au plus vite les premiers travaux. D'ici à fin novembre, explique le préfet, en vertu de l'arrêté pris sur la biodiversité, les premiers transferts d'insectes et de batraciens auront lieu. Les habitants de douze mares seront "déménagés", dont les tritons marbrés. Des fûts d'arbres abritant des grands capricornes seront déplacés. Les travaux de relevé archéologique commenceront au même moment. Février 2013 sonnera le début du déboisement. Le chantier de l'aéroport doit, en principe, démarrer au printemps 2014.

Quoi qu'il en soit, et en dépit de l'urgence, le gouvernement doit attendre l'issue des recours déjà engagés auprès des tribunaux. Car la bataille se mène aussi sur le front juridique.

D'autres procédures sont prêtes à être lancées dès la parution de l'arrêté préfectoral relatif à la "loi sur l'eau", d'ici à fin décembre. En vertu des diverses réglementations française et européenne, il y a obligation de préserver les têtes de bassin versant et de ne pas porter atteinte aux zones humides, éléments caractéristiques du bocage et de la zone du futur aéroport. "J'ai toujours pensé que ce dossier s'arrêterait avec la loi sur l'eau", dit Christophe Daugé, conseiller régional d'Europe Ecologie-Les Verts, qui estime que "Vinci ne pourra pas compenser la destruction des zones humides".

Du côté du gouvernement, comme de Vinci, on reste confiant. "La procédure de la loi sur l'eau et la compensation écologique des terres mobilisées seront respectées", insiste la ministre de l'écologie, Delphine Batho. Eric Delobel, directeur général adjoint chargé du futur aéroport chez Vinci Airports, assure, lui, que "9 millions d'euros au minimum sont réservés au titre de la compensation de la loi sur l'eau", sur un total de 446 millions, coût estimé des nouvelles installations aéroportuaires.

En attendant l'issue de ce combat juridique, les opposants restent mobilisés. Les plus anciens évoquent la lutte des paysans du Larzac dans les années 1970, quand agriculteurs et militants politiques avaient fait cause commune contre le projet d'extension du camp militaire. François Mitterrand, à peine élu en 1981, avait décrété l'abandon du projet.



Source © Rémi Barroux (envoyé spécial à Notre-Dame-des-Landes) LE MONDE

...Et moi je dis Bravo...


Des dizaines de militants de divers groupes de défense de l'environnement et d'autres organisations civiles se sont rassemblés hier devant le ministère tunisien de l'Industrie et de l'énergie pour protester contre une relation naissante entre le ministère et le géant de l'énergie pétrolier Shell.

Hamma Hammami, secrétaire général du Parti des travailleurs tunisiens, a déclaré que l'examen du gouvernement des propositions de Shell concernant l'extraction de gaz de schiste dans le pays sont à la fois imprudente et irresponsable.

«Le gouvernement mettrait des vies en danger, afin de tirer profit de l'extraction du gaz de schiste», at-il ajouté.


Bien que le ministère tunisien de l'Industrie et de l'Energie, Lamine Chakhari a récemment déclaré à la presse locale que le gouvernement avait l'intention de signer un accord avec la société d'énergie Shell, un porte-parole du ministère, Youssef Hachemi, a déclaré qu'aucun accord n'a encore été signé.il a reconnu des avantages économiques potentiels, mais que le ministère travaille actuellement avec le Comité National des Hydrocarbures pour étudier la proposition de l'entreprise Shell et ont demandé une évaluation de l'impact sur l'environnement.

Pendant ce temps, les pays d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, y compris l'Egypte et la Jordanie, qui cherchent désespérément à combler leurs déficits d'énergie, sont des cibles faciles pour la société Shell. Contrairement aux pays occidentaux, où une foule d'organismes sont bien placés pour lutter contre les lobbys pétroliers, ces deux pays ont de faibles mouvements écologistes.

Mais la Tunisie s'avère plus difficile à manipuler.

"AgriEcoForest, un groupe de défense de l'environnement, a demandé que l'Assemblée constituante gèle immédiatement toutes activités liées à l'exploration et l'extraction du gaz de schiste dans le pays et la suspension de la licence accordée à Shell dans la région de Kairouan», a déclaré Achref Gharbi, secrétaire générale de l'association, selon le journal " la Tunisie en direct".


© Nature Alerte
Six cents tonnes de poussières faiblement radioactives, provenant de ferraille radioactive entrée accidentellement dans le processus de fabrication d'acier chez Duferco La Louvière en septembre 2011, attendent toujours une solution dans un hangar du sidérurgiste, révèle jeudi le quotidien Le Soir.

Ces poussières contaminées au césium 137 sont stockées dans de gros sacs et des fûts dans un hangar de Duferco La Louvière.

Si cela ne présente aujourd'hui aucun danger pour les riverains et travailleurs, selon l'Agence fédérale de contrôle nucléaire (AFCN), ces déchets ne peuvent rester là indéfiniment.

Il seront bientôt déplacés dans un lieu plus sûr mais il faut toujours trouver une solution de traitement et si des pistes existent, rien n'est encore décidé et le coût du traitement dépendra de la solution trouvée.

Une réunion est prévue le 26 novembre entre les responsables de Duferco, de l'AFCN et de l'Ondraf (organisme des déchets radioactifs et des matières fissiles) afin de trouver une solution. On ne sait pas encore qui devra payer cette décontamination, souligne le quotidien. 


Source : © Belga
Une étude nationale chinoise semble indiquer une pollution côtière très étendue en Chine, les écosystèmes marins étant particulièrement menacés.

Les résultats d’une étude marine nationale chinoise réalisée sur une période de huit ans peignent un tableau dérangeant de l’environnement côtier de la Chine. L’étude, lancée en 2004 par l’Administration Océanique d’Etat de la Chine (SOA) et terminée le mois dernier, est « l’étude marine la plus complète jusqu’à présent » réalisée dans le pays, d’après Gao Kunshan, un écologiste marin à l’Université de Xiamen, qui n’a pas été impliqué dans le projet.

L’étude « fournit une bonne base pour protéger et gérer les ressources marines » a déclaré Liu Xigui, directeur de la SOA, d'après un article du journal Nature.

Mais cette étude non publiée montre que ces ressources sont en danger, d’après Xinhua, l’agence de presse nationale. Près de 90% des villes côtières sont affectées par des pénuries intermittentes d’eau. Les mangroves de la Chine ont enregistré une réduction de leur superficie de 73% et les récifs de corail de 80% depuis les années 1950, et les zones humides côtières ont diminué de 57%.

Près d’un tiers de ces pertes de zones humides côtières sont liées à la ré-attribution des terres. « Les projets à venir de ré-attribution des terres doivent être évalués avec plus de précaution » indique le rapport.

La dernière décennie a enregistré une augmentation continue de la pollution déchargée dans les estuaires, et les trois-quarts de ces décharges ne respectaient pas les limites régulatrices. Près de 48 estuaires sont contaminés par des métaux lourds, l’insecticide DDT et des hydrocarbures.

Ces polluants, combinés aux rejets et aux écoulements de fertilisants chimiques et de fumier animal provenant des champs agricoles, ont entraîné l’accumulation de nutriments en quantité excessive ainsi que des invasions dangereuses d’algues dans les eaux côtières, indique Sun Song, directeur de l’Institut d’Océanologie de l’Académie chinoise de Sciences à Qingdao.

L’étude montre qu’au cours des 20 dernières années, les eaux côtières de la Chine ont enregistré une moyenne de 83 « marées rouges » chaque année, des invasions dangereuses d’algues caractérisées par le pigment rouge des espèces dominantes de phytoplancton- principalement dans la Mer de l’Est de la Chine.

« Les marées vertes », dominées par le plancton vert, ont lieu principalement dans la Mer Jaune et affectent l’économie nationale plus durement.

En 2008, les pertes économiques directes étaient de 1,3 milliards de yuans chinois (soit 208 millions de dollars). En 2009, la Chine a été frappée par « des marées brunes », qui tuent les coquillages.

Etant donné l’état désastreux de l’environnement côtier de la Chine, le rapport prévient que le pays enregistrera probablement un déclin général des ressources côtières en poissons.


Le krill au seuil de l’extinction


Par exemple, le krill dans la Mer de l’Est est au seuil de l’extinction, avec des effets dévastateurs pour les poissons qui se nourrissent du krill.

Sun Song a félicité les efforts de la SOA mais a indiqué que l’étude n’allait pas suffisamment loin pour évaluer les écosystèmes côtiers. « Elle ne donne pas un aperçu clair de la façon dont les écosystèmes sont en train de changer » a-t-il indiqué.

Par exemple, les recherches préliminaires menées par Gao montrent que les eaux côtières près de Xiamen deviennent plus acides, ce qui rend la vie plus difficile pour les phytoplanctons et a des effets sur la structure des écosystèmes.


Mais les scientifiques ne savent pas à quel point le problème est étendu, parce que les études réalisées jusqu’à présent sont fragmentaires.

« Il y a un besoin urgent de mettre en place un réseau de surveillance sur le long terme pour évaluer les changements de la chimie de l’eau côtière et de leur impact sur les écosystèmes marins » a indiqué Gao Kunshan.

Ce genre d’information est « directement pertinent pour les ressources en poissons et essentielle pour notre compréhension de ce qui cause ces changements » a déclaré Sun Song. « Sans une telle connaissance, nous ne pouvons pas dire grand-chose à propos des politiques de limitation ».


Source © actualités environnement

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