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vendredi 25 janvier 2013
12:07
Incroyable, des villageois des Îles Salomon ont massacré plus de 900 dauphins après un litige avec une association de conservation environnementale, la "Earth Island Institute".
Les insulaires disent que la "EII" basée à Berkeley n'aurait pas réussi à les rémunérer comme convenu en échange d'un accord passé avec eux pour arrêter la chasse traditionnelle dans la région.
Quant à elle la Earth Island affirme que le massacre n'était l'œuvre que d'un «groupe de renégats» qui essait de saboter tout le travail de conservation effectué sur le terrain depuis des mois.
Ce qui reste clair cependant, c'est que ce malentendu a entraîné l'un des pires massacre de dauphins jamais enregistré dans les îles Salomon.
C'est un énorme revers pour tout les efforts de conservation entrepris a travers le monde, et en particulier là où se trouvent les "hots spots" du commerce internationale de dauphins.
Les îles Salomon sont notoirement connus par les associations écologistes comme source potentiel de dauphins vivants pour les aquariums marins en particulier ceux de Chine et de Dubaï. Un dauphin captif se vend jusqu'à 150.000 dollars.
«Nous sommes très très déçus", a déclaré David Phillips, qui supervise les efforts internationaux pour la protection des dauphins à Earth Island. "C'est une véritable tragédie. C'est une mauvaise nouvelle pour les dauphins, mais c'est encore pire pour les communautés des Îles Salomon.
La Earth Island travaille avec les insulaires de Malaita depuis plus de deux ans pour tenter d'enrayer la chasse traditionnelle de dauphins dans la région.
Néanmoins l'association ne semble pas été en mesure de payer les 400.000 dollars conclus lors d'accords précédents avec les pécheurs du village de Fanalei, conformément à l'accord conclu pour arrêter la chasse aux dauphins. Les villageois affirment n'avoir percu qu'à peine un tiers des fonds promis. Selon ces accords, les fonds devaient être versés sous forme de petites subventions pour des projets communautaires dans le village.
De son coté l'association affirme qu'un groupe rebelle aurait saisi les fonds qui devaient être reversés à la communauté.
David Phillips a déclaré que son association travaillait encore avec deux autres villages de l'île, et qu'il espérait résoudre très rapidement e différend avec les pécheurs de Fanalei.
© Nature Alerte
Les insulaires disent que la "EII" basée à Berkeley n'aurait pas réussi à les rémunérer comme convenu en échange d'un accord passé avec eux pour arrêter la chasse traditionnelle dans la région.
Quant à elle la Earth Island affirme que le massacre n'était l'œuvre que d'un «groupe de renégats» qui essait de saboter tout le travail de conservation effectué sur le terrain depuis des mois.
Ce qui reste clair cependant, c'est que ce malentendu a entraîné l'un des pires massacre de dauphins jamais enregistré dans les îles Salomon.
C'est un énorme revers pour tout les efforts de conservation entrepris a travers le monde, et en particulier là où se trouvent les "hots spots" du commerce internationale de dauphins.
Les îles Salomon sont notoirement connus par les associations écologistes comme source potentiel de dauphins vivants pour les aquariums marins en particulier ceux de Chine et de Dubaï. Un dauphin captif se vend jusqu'à 150.000 dollars.
«Nous sommes très très déçus", a déclaré David Phillips, qui supervise les efforts internationaux pour la protection des dauphins à Earth Island. "C'est une véritable tragédie. C'est une mauvaise nouvelle pour les dauphins, mais c'est encore pire pour les communautés des Îles Salomon.
La Earth Island travaille avec les insulaires de Malaita depuis plus de deux ans pour tenter d'enrayer la chasse traditionnelle de dauphins dans la région.
Néanmoins l'association ne semble pas été en mesure de payer les 400.000 dollars conclus lors d'accords précédents avec les pécheurs du village de Fanalei, conformément à l'accord conclu pour arrêter la chasse aux dauphins. Les villageois affirment n'avoir percu qu'à peine un tiers des fonds promis. Selon ces accords, les fonds devaient être versés sous forme de petites subventions pour des projets communautaires dans le village.
De son coté l'association affirme qu'un groupe rebelle aurait saisi les fonds qui devaient être reversés à la communauté.
David Phillips a déclaré que son association travaillait encore avec deux autres villages de l'île, et qu'il espérait résoudre très rapidement e différend avec les pécheurs de Fanalei.
© Nature Alerte
12:01
Des milliers d'étoiles de mer ont été retrouvés mortes échouées sur une plage du Lincolnshire, juste après le passage d'un orage.
Le photographe Simon Peck estime que plus de 4000 étoiles de mer ainsi que des œufs buccins et des débris de coquille ont fait surface sur la plage de Cleethorpes.
Les experts pensent que cette hécatombe a été provoqué par les eaux agitées engendrées par la météo orageuse qu'a subit la région ces derniers jours.
«Ce sont toutes des étoiles de mer commune et plus précisément des "Asterias rubens". Tous les spécimens échoués sont des adultes matures.
Il semble que échouages massifs aient déjà eu lieu dans le passé dans la même région, on le constate surtout en hiver autour des zones sablonneuses.
Des millions d'étoiles de mer vivent aux abords des côtes britanniques, Leur aire d'alimentation favoris sont les aggloméras de moules, où on peut parfois en observé par millions en une seule fois.
Les violents orages peuvent déclencher des courants terriblement forts qui passent à travers les bancs de moules où les étoiles se nourrissent, les arrachant à leurs proies, et les transportant ainsi jusque qu'aux côtes où elles finissent par échouer.
Étrangement, dans le passé ces échouages massifs étaient imputés aux surpêches, et en particulier de celles les plus terribles pour l'environnement puisqu'elle s'effectuent avec des dragues utilisées pour racler les fonds marins afin d'y déloger tout ce qui s'y trouve de vivant, les moules, mais les étoile de mer et les algues, le tout en les recouvrant de boues et de sable aux passages des dragues.
© Nature Alerte / Daily Mail.
Le photographe Simon Peck estime que plus de 4000 étoiles de mer ainsi que des œufs buccins et des débris de coquille ont fait surface sur la plage de Cleethorpes.
Les experts pensent que cette hécatombe a été provoqué par les eaux agitées engendrées par la météo orageuse qu'a subit la région ces derniers jours.
«Ce sont toutes des étoiles de mer commune et plus précisément des "Asterias rubens". Tous les spécimens échoués sont des adultes matures.
Il semble que échouages massifs aient déjà eu lieu dans le passé dans la même région, on le constate surtout en hiver autour des zones sablonneuses.
Des millions d'étoiles de mer vivent aux abords des côtes britanniques, Leur aire d'alimentation favoris sont les aggloméras de moules, où on peut parfois en observé par millions en une seule fois.
Les violents orages peuvent déclencher des courants terriblement forts qui passent à travers les bancs de moules où les étoiles se nourrissent, les arrachant à leurs proies, et les transportant ainsi jusque qu'aux côtes où elles finissent par échouer.
Étrangement, dans le passé ces échouages massifs étaient imputés aux surpêches, et en particulier de celles les plus terribles pour l'environnement puisqu'elle s'effectuent avec des dragues utilisées pour racler les fonds marins afin d'y déloger tout ce qui s'y trouve de vivant, les moules, mais les étoile de mer et les algues, le tout en les recouvrant de boues et de sable aux passages des dragues.
© Nature Alerte / Daily Mail.
11:54
Les marins-pêcheurs de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) filtraient jeudi l'accès au bassin de débarquement de la pêche dans le port de Boulogne-sur-Mer, empêchant les senneurs néerlandais et britanniques d'y accéder, a-t-on appris de sources concordantes.
On ne laisse pas rentrer les senneurs: on dispose des bateaux de façon à ce que seuls les petits bateaux puissent passer, a déclaré à l'AFP Bruno Dachicourt, secrétaire général de l'Union nationale du syndicat de marins-pêcheurs CFTC, majoritaire à Boulogne-sur-Mer.
Le filtrage a été mis en place au cours de la nuit de mercredi à jeudi, a-t-on appris auprès de la capitainerie.
Depuis deux ans, il y a des relations très difficiles avec la flottille étrangère qui utilise la senne danoise, une technique de pêche très efficace qui consomme beaucoup d'espace et laisse peu de chances à la ressource, a expliqué M. Dachicourt, selon lequel une quarantaine de senneurs britanniques et néerlandais pêchent en Manche.
La Manche est une zone réduite comparée au gigantisme de ces engins, souligne-t-il, en précisant qu'un senneur équivaut à sept chalutiers.
Selon M. Dachicourt, un conflit existe à propos du stationnement dans le port de pêche entre les marins-pêcheurs boulonnais et les senneurs étrangers.
Les autorités administratives et portuaires donnent priorité à ces gens-là plutôt qu'à la flottille locale. Le bassin n'est pas adapté, assure-t-il, affirmant qu'une quinzaine de senneurs stationnent dans le port de Boulogne-sur-Mer alors que le bassin ne peut en accepter que six.
Source ©AFP
On ne laisse pas rentrer les senneurs: on dispose des bateaux de façon à ce que seuls les petits bateaux puissent passer, a déclaré à l'AFP Bruno Dachicourt, secrétaire général de l'Union nationale du syndicat de marins-pêcheurs CFTC, majoritaire à Boulogne-sur-Mer.
Le filtrage a été mis en place au cours de la nuit de mercredi à jeudi, a-t-on appris auprès de la capitainerie.
Depuis deux ans, il y a des relations très difficiles avec la flottille étrangère qui utilise la senne danoise, une technique de pêche très efficace qui consomme beaucoup d'espace et laisse peu de chances à la ressource, a expliqué M. Dachicourt, selon lequel une quarantaine de senneurs britanniques et néerlandais pêchent en Manche.
La Manche est une zone réduite comparée au gigantisme de ces engins, souligne-t-il, en précisant qu'un senneur équivaut à sept chalutiers.
Selon M. Dachicourt, un conflit existe à propos du stationnement dans le port de pêche entre les marins-pêcheurs boulonnais et les senneurs étrangers.
Les autorités administratives et portuaires donnent priorité à ces gens-là plutôt qu'à la flottille locale. Le bassin n'est pas adapté, assure-t-il, affirmant qu'une quinzaine de senneurs stationnent dans le port de Boulogne-sur-Mer alors que le bassin ne peut en accepter que six.
Source ©AFP
11:52
La SPDC (Shell Petroleum Development Company) publient chaque année depuis 1995, un rapport des incidents et des fuites constatés au Nigeria, elle les annonce sur son site web.
En 2012 la société Shell a déversé plus de 26.000 barils de pétrole en fuite directement dans le delta du Niger, soit une hausse de plus de 70% par rapport à l'année précédente, selon les données publiées ce mois-ci.
198 fuites ont été recensés l'année dernière.
Les données récoltées ont montré que la plupart des déversements sont dus à des incidents de soutage ou d'exploitation, mais aussi les sabotages de pipelines qui peuvent conduire à fermer entièrement les reseaux de distribution des pipelines.
© Nature Alerte
En 2012 la société Shell a déversé plus de 26.000 barils de pétrole en fuite directement dans le delta du Niger, soit une hausse de plus de 70% par rapport à l'année précédente, selon les données publiées ce mois-ci.
198 fuites ont été recensés l'année dernière.
Les données récoltées ont montré que la plupart des déversements sont dus à des incidents de soutage ou d'exploitation, mais aussi les sabotages de pipelines qui peuvent conduire à fermer entièrement les reseaux de distribution des pipelines.
© Nature Alerte
11:49
Les amphibiens digèrent très mal certains des pesticides utilisés dans les champs européens, selon une étude publiée jeudi, dont les auteurs plaident pour une meilleure évaluation du rôle éventuel de ces produits dans le rapide déclin des grenouilles, crapauds ou tritons.
Selon cette étude, parue dans la revue Scientific Reports, des fongicides, herbicides et insecticides testés sur des grenouilles ont entraîné une mortalité de 40 à 100% des animaux en sept jours d'utilisation aux doses recommandées. Des résultats toutefois à prendre avec prudence, ont relevé d'autres scientifiques, estimant qu'il était délicat de généraliser à ce stade ces résultats obtenus en laboratoire.
Les amphibiens constituent le groupe de vertébrés le plus menacé et déclinant le plus rapidement à la surface de la Terre, soulignent les auteurs de l'étude pilotée par Carsten Brühl, chercheur à l'institut des sciences de l'environnement de l'université de Coblence-Landau (Allemagne). Selon la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), 41% des amphibiens sont menacés d'extinction.
L'exposition aux pesticides est supposée jouer un rôle, en raison de la perméabilité de la peau des amphibiens, mais reste difficile à quantifier, estiment les auteurs de l'étude.
Les chercheurs ont soumis des grenouilles rousses à des projections de sept pesticides différents (quatre fongicides, deux herbicides et un insecticide). La mortalité a atteint de 40 à 100% au bout de sept jours de projection au taux recommandé sur l'étiquette pour les six produits actuellement autorisés.
Pour trois des produits, une mortalité de 40% a même été observée quand les grenouilles étaient exposées à un niveau de pesticides représentant seulement 10% du niveau recommandé.
Dans des commentaires distincts, des scientifiques ont souligné l'intérêt de l'étude mais également pointé ses limites.
Il y a plusieurs mécanismes selon lesquels ces pesticides pourraient affecter les amphibiens, et ces mécanismes seront différents d'un produit à l'autre et auraient donc besoin d'être examinés avec attention, a par exemple souligné Colin Berry, professeur émérite de pathologie à l'Université Queen Mary de Londres.
Un représentant du fabricant de pesticides Syngenta, Mick Hamer, a pour sa part estimé que l'étude était limitée, en particulier en ce qui concerne le nombre d'animaux pris en compte.
Source ©AFP
Selon cette étude, parue dans la revue Scientific Reports, des fongicides, herbicides et insecticides testés sur des grenouilles ont entraîné une mortalité de 40 à 100% des animaux en sept jours d'utilisation aux doses recommandées. Des résultats toutefois à prendre avec prudence, ont relevé d'autres scientifiques, estimant qu'il était délicat de généraliser à ce stade ces résultats obtenus en laboratoire.
Les amphibiens constituent le groupe de vertébrés le plus menacé et déclinant le plus rapidement à la surface de la Terre, soulignent les auteurs de l'étude pilotée par Carsten Brühl, chercheur à l'institut des sciences de l'environnement de l'université de Coblence-Landau (Allemagne). Selon la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), 41% des amphibiens sont menacés d'extinction.
L'exposition aux pesticides est supposée jouer un rôle, en raison de la perméabilité de la peau des amphibiens, mais reste difficile à quantifier, estiment les auteurs de l'étude.
Les chercheurs ont soumis des grenouilles rousses à des projections de sept pesticides différents (quatre fongicides, deux herbicides et un insecticide). La mortalité a atteint de 40 à 100% au bout de sept jours de projection au taux recommandé sur l'étiquette pour les six produits actuellement autorisés.
Pour trois des produits, une mortalité de 40% a même été observée quand les grenouilles étaient exposées à un niveau de pesticides représentant seulement 10% du niveau recommandé.
Dans des commentaires distincts, des scientifiques ont souligné l'intérêt de l'étude mais également pointé ses limites.
Il y a plusieurs mécanismes selon lesquels ces pesticides pourraient affecter les amphibiens, et ces mécanismes seront différents d'un produit à l'autre et auraient donc besoin d'être examinés avec attention, a par exemple souligné Colin Berry, professeur émérite de pathologie à l'Université Queen Mary de Londres.
Un représentant du fabricant de pesticides Syngenta, Mick Hamer, a pour sa part estimé que l'étude était limitée, en particulier en ce qui concerne le nombre d'animaux pris en compte.
Source ©AFP
11:46
Il faut toujours bien fermer les portes derrière soi, surtout dans une ferme de crocodiles. Quelque 15.000 crocodiles se sont échappés dimanche de la Rakwena Crocodile Farm, dans le nord de l’Afrique du Sud, après que les propriétaires de la ferme d’élevage ont laissé la porte ouverte pour évacuer l’eau qui s’était accumulée à la suite de pluies diluviennes, rapporte la BBC.
L’un de ces reptiles a été retrouvé sur un terrain de rugby à 120 km de son point de départ, rapporte le journal local Bleed. La moitié des crocodiles ont été capturés mais certains manquent toujours à l’appel. Pour l’instant, aucun incident n’a été rapporté.
Les reptiles évadés ont probablement rejoint leurs congénères qui vivent à l’état sauvage dans la vallée du fleuve Limpopo. Une région touchée par d’importantes inondations provoquées par des pluies diluviennes. Ces intempéries ont déjà fait dix morts.
Source P.M.
L’un de ces reptiles a été retrouvé sur un terrain de rugby à 120 km de son point de départ, rapporte le journal local Bleed. La moitié des crocodiles ont été capturés mais certains manquent toujours à l’appel. Pour l’instant, aucun incident n’a été rapporté.
Les reptiles évadés ont probablement rejoint leurs congénères qui vivent à l’état sauvage dans la vallée du fleuve Limpopo. Une région touchée par d’importantes inondations provoquées par des pluies diluviennes. Ces intempéries ont déjà fait dix morts.
Source P.M.
11:43
Une très sévère vague de froid polaire liée à une forte dépression au-dessus du sud du Canada a attiré une masse d'air froid venant
des régions nordiques. Elle touche non seulement le Canada mais aussi le nord des Etats-Unis.
Les températures descendent à -38 degrés Celsius à Ottawa et Montréal, -40 degrés à Québec. Ce front extrêmement froid s'est fait sentir jusque dans le nord de la Virginie, où les températures se situent entre 0 et 2 degrés, ce qui paraît relativement doux aux Canadiens, mais fait trembler les habitants de cet Etat du sud des Etats-Unis.
Des alertes de grands froids ont été déclenchées au Canada et dans plusieurs Etats américains. La compagnie d'électricité du Québec a appelé ses clients à réduire leur consommation aux heures de pointe, la consommation bat tous les records historiques.
Mercredi matin, le Canada était le pays le plus froid du monde, avec un -43,1 degrés enregistrés à Little Chicago dans les Territoires du Nord-Ouest et -40,3 à Rouyn-Noranda au Québec, devant Iakoutsk en Sibérie (-38,8).
A Montréal, plusieurs refuges ont affiché complet dans la nuit de mardi à mercredi, offrant ainsi aux sans abris un lit et un repas chaud. A New York, nombre de foyers d'accueil ont été ouverts où tout passant peut se réchauffer dans la journée.
Dans l'Etat voisin du Connecticut, le gouverneur Dannel Malloy a réclamé des mesures similaires, indiquant sur sa page Facebook qu'en raison du vent les températures ressenties dans la nuit se situeraient entre -17 et -26 degrés Celsius.
Le froid risquait d'être plus contraignant pour les habitants de la région de New York dont les infrastructures, notamment électriques, ont été endommagées récemment par la tempête Sandy.
Les minimales ont atteint hier jusqu'à -28°C à Fargo, et -34°C à International Falls, dans le Minnesota. Bien que très basses, ces valeurs ne constituent pas des records. Il a déjà fait jusqu'à -43°C dans ces états. Cette vague de froid se maintiendra tout au long de la semaine, avec des minimales souvent inférieures à -20°C. Ce jeudi, c'est au Canada que le froid était le plus vif, avec par exemple -46,3°C à Lac Benoît
Le grand froid devrait se maintenir au Canada jusqu'à la fin de la semaine et aucune amélioration n'est attendue que lundi.
des régions nordiques. Elle touche non seulement le Canada mais aussi le nord des Etats-Unis.
Les températures descendent à -38 degrés Celsius à Ottawa et Montréal, -40 degrés à Québec. Ce front extrêmement froid s'est fait sentir jusque dans le nord de la Virginie, où les températures se situent entre 0 et 2 degrés, ce qui paraît relativement doux aux Canadiens, mais fait trembler les habitants de cet Etat du sud des Etats-Unis.
Des alertes de grands froids ont été déclenchées au Canada et dans plusieurs Etats américains. La compagnie d'électricité du Québec a appelé ses clients à réduire leur consommation aux heures de pointe, la consommation bat tous les records historiques.
Mercredi matin, le Canada était le pays le plus froid du monde, avec un -43,1 degrés enregistrés à Little Chicago dans les Territoires du Nord-Ouest et -40,3 à Rouyn-Noranda au Québec, devant Iakoutsk en Sibérie (-38,8).
A Montréal, plusieurs refuges ont affiché complet dans la nuit de mardi à mercredi, offrant ainsi aux sans abris un lit et un repas chaud. A New York, nombre de foyers d'accueil ont été ouverts où tout passant peut se réchauffer dans la journée.
Dans l'Etat voisin du Connecticut, le gouverneur Dannel Malloy a réclamé des mesures similaires, indiquant sur sa page Facebook qu'en raison du vent les températures ressenties dans la nuit se situeraient entre -17 et -26 degrés Celsius.
Le froid risquait d'être plus contraignant pour les habitants de la région de New York dont les infrastructures, notamment électriques, ont été endommagées récemment par la tempête Sandy.
Les minimales ont atteint hier jusqu'à -28°C à Fargo, et -34°C à International Falls, dans le Minnesota. Bien que très basses, ces valeurs ne constituent pas des records. Il a déjà fait jusqu'à -43°C dans ces états. Cette vague de froid se maintiendra tout au long de la semaine, avec des minimales souvent inférieures à -20°C. Ce jeudi, c'est au Canada que le froid était le plus vif, avec par exemple -46,3°C à Lac Benoît
Le grand froid devrait se maintenir au Canada jusqu'à la fin de la semaine et aucune amélioration n'est attendue que lundi.
mardi 22 janvier 2013
21:10
La Commission européenne a gelé le processus d'autorisation de mise en culture des OGM dans l'Union européenne afin de relancer la recherche d'une solution négociée avec les Etats membres.
La Commission, si elle le veut, peut lancer le processus pour autoriser la culture d'un soja et de six maïs OGM, dont le MON810 (déjà autorisé dans l'UE mais qui doit obtenir le renouvellement de cette autorisation), mais elle ne le fera pas, a assuré mardi à l'AFP Frédéric Vincent, porte-parole du commissaire à la Santé Tonio Borg, en charge du dossier.
Le processus d'examen des demandes d'autorisation de culture se poursuit, a-t-il toutefois insisté.
Mais dans l'immédiat, la Commission ne va pas soumettre de demande d'autorisation de culture aux Etats, a-t-il dit.
La priorité du nouveau commissaire à la Santé Tonio Borg est de relancer les négociations sur la base de la proposition de son prédécesseur, a-t-il expliqué. Ce sera sa priorité jusqu'au terme du mandat de la Commission fin 2014, a-t-il souligné.
Mais cela ne signifie pas que la Commission a gelé le processus d'autorisation jusqu'en 2014, a-t-il affirmé.
Les autorisations de mise en culture empoisonnent les relations entre la Commission européenne et les Etats membres.
Huit pays --France, Allemagne, Luxembourg, Autriche, Hongrie, Grèce, Bulgarie et Pologne depuis le début de l'année-- ont adopté des clauses de sauvegarde pour interdire la culture des OGM autorisés sur leurs territoires.
Le président de la Commission José Manuel Barroso a cherché à faire lever ces clauses de sauvegarde, mais il a été désavoué par les gouvernements lors d'un vote et a abandonné cette idée.
Deux OGM seulement ont été autorisés à la culture dans l'UE en quatorze ans: la pomme de terre Amflora, développée par le groupe allemand BASF, qui s'est avérée un échec commercial, et le maïs 0GM MON810 de la multinationale Monsanto.
Le MON810, dont la demande de renouvellement d'autorisation a été déposée en 2007, pourra continuer à être cultivé dans les Etats qui le souhaitent jusqu'à ce que l'UE prenne une décision.
Une cinquantaine d'autres OGM ont obtenu une autorisation pour être utilisés dans l'alimentation animale et humaine.
Le processus d'évaluation pour les demandes d'autorisation de culture et de commercialisation d'OGM se déroule en quatre temps: consultation de l'Autorité Européenne pour la Sécurité des Aliments (EFSA) sur les risques pour la santé, demande d'autorisation aux Etats sur la base d'un avis favorable de l'EFSA, procédure d'appel si aucune majorité qualifiée ne se dégage entre les Etats. Enfin, si cette situation perdure, la décision finale revient à la Commission européenne.
A ce jour, l'EFSA n'a jamais rendu un avis négatif et aucune majorité qualifiée n'a jamais été trouvée entre les Etats pour interdire ou autoriser un OGM.
Source ©AFP / 22 janvier 2013
La Commission, si elle le veut, peut lancer le processus pour autoriser la culture d'un soja et de six maïs OGM, dont le MON810 (déjà autorisé dans l'UE mais qui doit obtenir le renouvellement de cette autorisation), mais elle ne le fera pas, a assuré mardi à l'AFP Frédéric Vincent, porte-parole du commissaire à la Santé Tonio Borg, en charge du dossier.
Le processus d'examen des demandes d'autorisation de culture se poursuit, a-t-il toutefois insisté.
Mais dans l'immédiat, la Commission ne va pas soumettre de demande d'autorisation de culture aux Etats, a-t-il dit.
La priorité du nouveau commissaire à la Santé Tonio Borg est de relancer les négociations sur la base de la proposition de son prédécesseur, a-t-il expliqué. Ce sera sa priorité jusqu'au terme du mandat de la Commission fin 2014, a-t-il souligné.
Mais cela ne signifie pas que la Commission a gelé le processus d'autorisation jusqu'en 2014, a-t-il affirmé.
Les autorisations de mise en culture empoisonnent les relations entre la Commission européenne et les Etats membres.
Huit pays --France, Allemagne, Luxembourg, Autriche, Hongrie, Grèce, Bulgarie et Pologne depuis le début de l'année-- ont adopté des clauses de sauvegarde pour interdire la culture des OGM autorisés sur leurs territoires.
Le président de la Commission José Manuel Barroso a cherché à faire lever ces clauses de sauvegarde, mais il a été désavoué par les gouvernements lors d'un vote et a abandonné cette idée.
Deux OGM seulement ont été autorisés à la culture dans l'UE en quatorze ans: la pomme de terre Amflora, développée par le groupe allemand BASF, qui s'est avérée un échec commercial, et le maïs 0GM MON810 de la multinationale Monsanto.
Le MON810, dont la demande de renouvellement d'autorisation a été déposée en 2007, pourra continuer à être cultivé dans les Etats qui le souhaitent jusqu'à ce que l'UE prenne une décision.
Une cinquantaine d'autres OGM ont obtenu une autorisation pour être utilisés dans l'alimentation animale et humaine.
Le processus d'évaluation pour les demandes d'autorisation de culture et de commercialisation d'OGM se déroule en quatre temps: consultation de l'Autorité Européenne pour la Sécurité des Aliments (EFSA) sur les risques pour la santé, demande d'autorisation aux Etats sur la base d'un avis favorable de l'EFSA, procédure d'appel si aucune majorité qualifiée ne se dégage entre les Etats. Enfin, si cette situation perdure, la décision finale revient à la Commission européenne.
A ce jour, l'EFSA n'a jamais rendu un avis négatif et aucune majorité qualifiée n'a jamais été trouvée entre les Etats pour interdire ou autoriser un OGM.
Source ©AFP / 22 janvier 2013
21:06
La ville de Rennes, après d'autres municipalités comme Paris, a opté pour une gestion publique de l'eau, mettant fin à 130 années de délégation en faveur du groupe Veolia (ex-Générale des eaux), a-t-on appris mardi auprès de la municipalité.
Le conseil municipal à majorité PS a voté par 51 voix contre 9, lundi soir, la création d'une société publique locale chargée d'assurer la gestion de l'eau à expiration, fin 2014, de la délégation de service public accordée à Veolia.
Il s'agit d'un vrai choix politique consistant pour la collectivité à reprendre en main la gestion de l'eau, a indiqué une porte-parole de la mairie à l'AFP.
Outre un objectif a minima d'une stabilité des prix, la municipalité souhaite mettre fin au paradoxe qui voulait que la Ville milite pour une baisse de la consommation d'eau, alors que le délégataire a intérêt à ce que celle-ci augmente, a-t-elle fait valoir.
Rennes affiche un prix de l'eau parmi les plus bas des grandes villes de l'Ouest, mais celui-ci a régulièrement progressé ces dernières années et Veolia souhaitait revoir son niveau de tarifs, selon la municipalité.
Cette décision ne peut être aucunement interprétée comme une sanction (...) du délégataire actuel, a toutefois souligné le conseiller municipal délégué à l'eau et à l'assainissement, Marc Hervé.
La société publique locale associera dans un premier temps la ville de Rennes (212.000 habitants) au Syndicat mixte de production du bassin rennais et aura pour vocation de s'ouvrir aux communes environnantes, soit une population totale de 400.000 habitants.
Plusieurs grandes agglomérations, à l'instar de Paris en 2010, sont repassées à une gestion publique de l'eau ces dernières années ou envisagent de le faire, comme Nice. La région Ile-de-France veut également pousser l'ensemble des collectivités franciliennes à reprendre la main sur la gestion de l'eau.
Source ©AFP / 22 janvier 2013
Le conseil municipal à majorité PS a voté par 51 voix contre 9, lundi soir, la création d'une société publique locale chargée d'assurer la gestion de l'eau à expiration, fin 2014, de la délégation de service public accordée à Veolia.
Il s'agit d'un vrai choix politique consistant pour la collectivité à reprendre en main la gestion de l'eau, a indiqué une porte-parole de la mairie à l'AFP.
Outre un objectif a minima d'une stabilité des prix, la municipalité souhaite mettre fin au paradoxe qui voulait que la Ville milite pour une baisse de la consommation d'eau, alors que le délégataire a intérêt à ce que celle-ci augmente, a-t-elle fait valoir.
Rennes affiche un prix de l'eau parmi les plus bas des grandes villes de l'Ouest, mais celui-ci a régulièrement progressé ces dernières années et Veolia souhaitait revoir son niveau de tarifs, selon la municipalité.
Cette décision ne peut être aucunement interprétée comme une sanction (...) du délégataire actuel, a toutefois souligné le conseiller municipal délégué à l'eau et à l'assainissement, Marc Hervé.
La société publique locale associera dans un premier temps la ville de Rennes (212.000 habitants) au Syndicat mixte de production du bassin rennais et aura pour vocation de s'ouvrir aux communes environnantes, soit une population totale de 400.000 habitants.
Plusieurs grandes agglomérations, à l'instar de Paris en 2010, sont repassées à une gestion publique de l'eau ces dernières années ou envisagent de le faire, comme Nice. La région Ile-de-France veut également pousser l'ensemble des collectivités franciliennes à reprendre la main sur la gestion de l'eau.
Source ©AFP / 22 janvier 2013
21:02
L'Arctique renfermerait 13 % des ressources mondiales non découvertes de pétrole et 30 % de celles de de gaz naturel.
Le gouvernement russe est prêt à autoriser certains groupes privés à exploiter les vastes ressources en hydrocarbures de l'Arctique, a annoncé, mardi 22 janvier, un vice-premier ministre. En revanche, les sociétés étrangères ne seront toujours pas les bienvenues.
"Nous nous sommes mis d'accord pour que les sociétés publiques restent les principaux acteurs, mais aussi pour que des propositions soient mises au point pour que les groupes privés puissent travailler sur le plateau continental", a déclaré Arkadi Dvorkovitch, cité par l'agence Ria-Novosti. "En ce qui concerne les groupes étrangers, aucun changement n'est prévu. Ils pourront intervenir en tant que partenaires technologiques (...) mais pas détenir de licence" d'exploitation.
Jusqu'à présent, les licences d'exploitation du plateau continental russe sont réservées aux sociétés détenues en majorité par l'Etat et disposant d'au moins cinq ans d'expérience dans l'offshore en Russie. De facto, seuls Rosneft et Gazprom sont donc concernés par ces ressources jugées gigantesques, mais très coûteuses et risquées à exploiter.
L'exploitation de cette zone inhospitalière de plus de six millions de kilomètres carrés, qui s'étend de la Norvège à l'Alaska, a fait l'objet ces derniers mois d'une intense lutte d'influence entre les producteurs d'énergie russes. Loukoïl, premier producteur privé du pays, s'est dit prêt à y investir 2,7 milliards de dollars pour l'exploration, selon Ria-Novosti.
Selon la presse russe, les patrons des géants publics, le pétrolier Rosneft et le gazier Gazprom, ont écrit cet automne au président Vladimir Poutine pour s'inquiéter d'une ouverture de l'exploitation offshore à leurs concurrents privés. Ils soulignent la complexité de tels projets sur le plan technologique et environnemental.
Lors d'une réunion gouvernementale la semaine dernière, le ministre des ressources naturelles, Sergueï Donskoï, a toutefois proposé d'ouvrir l'accès de l'Arctique aux groupes privés, mais à des conditions très strictes.
La Russie, deuxième producteur d'or noir de la planète après l'Arabie saoudite, a augmenté sa production de plus de 40 % depuis le début des années 2000. Les autorités comptent notamment sur l'Arctique pour poursuivre cette lancée.
Mais les experts de l'agence de notation Fitch ont prévenu que la production du pays allait "probablement atteindre un pic dans les prochaines années". "Les gains de production obtenus grâce aux nouveaux champs pétroliers sont compensés par la chute de production des gisements existants", estiment-ils. Selon des chiffres gouvernementaux cités par Fitch, la Russie a produit 518 millions de tonnes de brut en 2012, soit 10,4 millions de barils par jour en moyenne – un record depuis la fin de l'Union soviétique.
Ce niveau a été atteint aux prix d'investissements de plusieurs milliards de dollars pour prolonger la durée de vie des champs pétroliers en exploitation grâce aux nouvelles technologies, dont la fracturation hydraulique, explique Fitch. Mais pour l'agence de notation, la marge de progression est désormais très limitée et les nouveaux projets, dans des zones difficiles d'accès, "nécessitent des capitaux très importants".
Plusieurs groupes étrangers ont noué des alliances avec leurs concurrents russes pour pouvoir extraire des hydrocarbures en Russie. Le géant pétrolier ExxonMobil est lié à Rosneft par un partenariat stratégique. Le britannique BP doit en outre monter à près de 20 % du capital du groupe public russe, à qui il a cédé récemment sa part de 50 % dans le numéro trois russe du secteur, TNK-BP.
Source Le Monde
Le gouvernement russe est prêt à autoriser certains groupes privés à exploiter les vastes ressources en hydrocarbures de l'Arctique, a annoncé, mardi 22 janvier, un vice-premier ministre. En revanche, les sociétés étrangères ne seront toujours pas les bienvenues.
"Nous nous sommes mis d'accord pour que les sociétés publiques restent les principaux acteurs, mais aussi pour que des propositions soient mises au point pour que les groupes privés puissent travailler sur le plateau continental", a déclaré Arkadi Dvorkovitch, cité par l'agence Ria-Novosti. "En ce qui concerne les groupes étrangers, aucun changement n'est prévu. Ils pourront intervenir en tant que partenaires technologiques (...) mais pas détenir de licence" d'exploitation.
Jusqu'à présent, les licences d'exploitation du plateau continental russe sont réservées aux sociétés détenues en majorité par l'Etat et disposant d'au moins cinq ans d'expérience dans l'offshore en Russie. De facto, seuls Rosneft et Gazprom sont donc concernés par ces ressources jugées gigantesques, mais très coûteuses et risquées à exploiter.
L'exploitation de cette zone inhospitalière de plus de six millions de kilomètres carrés, qui s'étend de la Norvège à l'Alaska, a fait l'objet ces derniers mois d'une intense lutte d'influence entre les producteurs d'énergie russes. Loukoïl, premier producteur privé du pays, s'est dit prêt à y investir 2,7 milliards de dollars pour l'exploration, selon Ria-Novosti.
Selon la presse russe, les patrons des géants publics, le pétrolier Rosneft et le gazier Gazprom, ont écrit cet automne au président Vladimir Poutine pour s'inquiéter d'une ouverture de l'exploitation offshore à leurs concurrents privés. Ils soulignent la complexité de tels projets sur le plan technologique et environnemental.
Lors d'une réunion gouvernementale la semaine dernière, le ministre des ressources naturelles, Sergueï Donskoï, a toutefois proposé d'ouvrir l'accès de l'Arctique aux groupes privés, mais à des conditions très strictes.
La Russie, deuxième producteur d'or noir de la planète après l'Arabie saoudite, a augmenté sa production de plus de 40 % depuis le début des années 2000. Les autorités comptent notamment sur l'Arctique pour poursuivre cette lancée.
Mais les experts de l'agence de notation Fitch ont prévenu que la production du pays allait "probablement atteindre un pic dans les prochaines années". "Les gains de production obtenus grâce aux nouveaux champs pétroliers sont compensés par la chute de production des gisements existants", estiment-ils. Selon des chiffres gouvernementaux cités par Fitch, la Russie a produit 518 millions de tonnes de brut en 2012, soit 10,4 millions de barils par jour en moyenne – un record depuis la fin de l'Union soviétique.
Ce niveau a été atteint aux prix d'investissements de plusieurs milliards de dollars pour prolonger la durée de vie des champs pétroliers en exploitation grâce aux nouvelles technologies, dont la fracturation hydraulique, explique Fitch. Mais pour l'agence de notation, la marge de progression est désormais très limitée et les nouveaux projets, dans des zones difficiles d'accès, "nécessitent des capitaux très importants".
Plusieurs groupes étrangers ont noué des alliances avec leurs concurrents russes pour pouvoir extraire des hydrocarbures en Russie. Le géant pétrolier ExxonMobil est lié à Rosneft par un partenariat stratégique. Le britannique BP doit en outre monter à près de 20 % du capital du groupe public russe, à qui il a cédé récemment sa part de 50 % dans le numéro trois russe du secteur, TNK-BP.
Source Le Monde
20:56
Les sables bitumineux du Canada se classent au 5e rang des 14 projets énergétiques qui émettent le plus de carbone devant les gaz de schiste, révèle un nouveau rapport de Greenpeace International.
Intitulé Point de non-retour, le rapport dévoile l’hypocrisie des gouvernements par rapport aux grands projets énergétiques qui accélèrent les changements climatiques et font courir d’immense risques aux populations. Outre les sables bitumineux, ce rapport fait état de l'’augmentation de la production de charbon en Australie, en Chine, aux États-Unis et en Indonésie, ainsi que des forages pétroliers en Arctique et au Brésil. Il aborde également le problème de la production de gaz de schiste, en forte augmentation aux États-Unis et en mer Caspienne.
« Aucun gouvernement ne peut prétendre vouloir éviter les changements climatiques dévastateurs tout en approuvant ces mégaprojets comme ceux des sables bitumineux qui sont de véritables bombes climatiques », a affirmé Patrick Bonin, responsable de la campagne Climat-Énergie de Greenpeace. « Nous allons droit vers le chaos climatique si les projets comme l’exploitation des hydrocarbures en Arctique, les gaz de schiste et les projets de pipelines visant à accélérer l'extraction des sables bitumineux vont de l’avant. »
Le rapport démontre qu'en 2020, les 14 projets énergétiques analysés augmenteront les émissions de CO2 de six milliards de tonnes (gigatonnes) par année. L'Agence internationale de l'énergie (AIE) affirme pour sa part que les émissions mondiales de CO2 ont atteint un niveau record de 31,6 Gt par année, et ce, malgré les objectifs de réduction établis par les gouvernements au cours des dernières décennies.
À eux seuls, ces 14 nouveaux projets d'exploitation d'énergies fossiles viendront ajouter 20% d'émissions de GES à celles causant déjà les changements climatiques. Télécharger une version haute résolution de l'image
Le rapport se base sur une modélisation effectuée par Ecofys et qui révèle que les émissions annuelles de l'ensemble de ces 14 projets seront plus élevées que la totalité des émissions en provenance des États-Unis. Le réchauffement climatique n'en sera que plus prononcé.
Le rapport est rendu public au moment où gens d'affaires et délégués gouvernementaux se rendent en Suisse pour assister au Forum économique mondial de Davos. Dernièrement, le rapport « Global Risks 2013 » du World Economic Forum annonçait une augmentation globale des températures de 3,6 à 4℃ et identifiait la hausse des émissions de GES comme étant parmi les 3 plus importants risques mondiaux. L’augmentation des températures pourrait même d'atteindre 6° C, bien au-delà des promesses gouvernementales de limiter le réchauffement à 2° C.
Le monde consomme trop de charbon, de pétrole et de gaz. C'est pourquoi, nous pourrions bientôt dépasser le point de non retour concernant les changements climatiques.
« Compte tenu des souffrances humaines, des perturbations économiques et des dommages sérieux causés par les caprices de la météo ces dernières années, un réchauffement incontrôlable d'une telle ampleur est une perspective effrayante. Nous ne pouvons laisser un tel désastre en héritage », a résumé Kumi Naidoo, directeur général de Greenpeace International et participant au Forum économique mondial.
Le rapport de Greenpeace privilégie l’adoption des énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, afin de remplacer et même surpasser l'énergie devant être produite par les 14 mégaprojets.
Source Greenpeace
Intitulé Point de non-retour, le rapport dévoile l’hypocrisie des gouvernements par rapport aux grands projets énergétiques qui accélèrent les changements climatiques et font courir d’immense risques aux populations. Outre les sables bitumineux, ce rapport fait état de l'’augmentation de la production de charbon en Australie, en Chine, aux États-Unis et en Indonésie, ainsi que des forages pétroliers en Arctique et au Brésil. Il aborde également le problème de la production de gaz de schiste, en forte augmentation aux États-Unis et en mer Caspienne.
« Aucun gouvernement ne peut prétendre vouloir éviter les changements climatiques dévastateurs tout en approuvant ces mégaprojets comme ceux des sables bitumineux qui sont de véritables bombes climatiques », a affirmé Patrick Bonin, responsable de la campagne Climat-Énergie de Greenpeace. « Nous allons droit vers le chaos climatique si les projets comme l’exploitation des hydrocarbures en Arctique, les gaz de schiste et les projets de pipelines visant à accélérer l'extraction des sables bitumineux vont de l’avant. »
Le rapport démontre qu'en 2020, les 14 projets énergétiques analysés augmenteront les émissions de CO2 de six milliards de tonnes (gigatonnes) par année. L'Agence internationale de l'énergie (AIE) affirme pour sa part que les émissions mondiales de CO2 ont atteint un niveau record de 31,6 Gt par année, et ce, malgré les objectifs de réduction établis par les gouvernements au cours des dernières décennies.
À eux seuls, ces 14 nouveaux projets d'exploitation d'énergies fossiles viendront ajouter 20% d'émissions de GES à celles causant déjà les changements climatiques. Télécharger une version haute résolution de l'image
Le rapport se base sur une modélisation effectuée par Ecofys et qui révèle que les émissions annuelles de l'ensemble de ces 14 projets seront plus élevées que la totalité des émissions en provenance des États-Unis. Le réchauffement climatique n'en sera que plus prononcé.
Le rapport est rendu public au moment où gens d'affaires et délégués gouvernementaux se rendent en Suisse pour assister au Forum économique mondial de Davos. Dernièrement, le rapport « Global Risks 2013 » du World Economic Forum annonçait une augmentation globale des températures de 3,6 à 4℃ et identifiait la hausse des émissions de GES comme étant parmi les 3 plus importants risques mondiaux. L’augmentation des températures pourrait même d'atteindre 6° C, bien au-delà des promesses gouvernementales de limiter le réchauffement à 2° C.
Le monde consomme trop de charbon, de pétrole et de gaz. C'est pourquoi, nous pourrions bientôt dépasser le point de non retour concernant les changements climatiques.
« Compte tenu des souffrances humaines, des perturbations économiques et des dommages sérieux causés par les caprices de la météo ces dernières années, un réchauffement incontrôlable d'une telle ampleur est une perspective effrayante. Nous ne pouvons laisser un tel désastre en héritage », a résumé Kumi Naidoo, directeur général de Greenpeace International et participant au Forum économique mondial.
Le rapport de Greenpeace privilégie l’adoption des énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, afin de remplacer et même surpasser l'énergie devant être produite par les 14 mégaprojets.
Source Greenpeace
20:50
De nombreuses marées rouges (invasion d'algues rouges) ont été signalées ces derniers jours le long de la Siesta Key, depuis Turtle Beach jusqu'à la plage Midnight Pass Blind Pass en Floride.
De nombreuses mortalités de poissons et des difficultés respiratoires ont également été signalés à Holmes Beach mais aussi tout le long de la cote jusqu'à la pointe de l'île d'Anna Maria.
Cette marrée rouge devrait s'attarder encore une journée et se déplacer ensuite plus au sud, a déclaré Jason Lenes, chercheur au Centre pour la prédiction des marées rouges à l'Université de Floride du Sud.
Samedi ou dimanche, cette marrée rouge devrait se déplacer vers le sud, pour se retrouver le long des côtes de Sarasota et les comtés de Charlotte, Lenes puis éventuellement vers l'ouest dans le golfe.
Les marées rouges sont causées par les algues unicellulaires appelés Karenia brevis. Les algues sont naturellement présents à des niveaux très faibles, généralement à environ 30 miles au large des côtes. Au cours de l'automne, les courants océaniques déplacent ces bancs d'algues toxiques vers la côte. Des lors si les conditions sont bonnes, les cellules des algues prolifèrent à trés grande vitesse en rendant par cette efflorescence les eaux totalement toxiques.
© Nature Alerte/Herald Tribune.
De nombreuses mortalités de poissons et des difficultés respiratoires ont également été signalés à Holmes Beach mais aussi tout le long de la cote jusqu'à la pointe de l'île d'Anna Maria.
Cette marrée rouge devrait s'attarder encore une journée et se déplacer ensuite plus au sud, a déclaré Jason Lenes, chercheur au Centre pour la prédiction des marées rouges à l'Université de Floride du Sud.
Samedi ou dimanche, cette marrée rouge devrait se déplacer vers le sud, pour se retrouver le long des côtes de Sarasota et les comtés de Charlotte, Lenes puis éventuellement vers l'ouest dans le golfe.
Les marées rouges sont causées par les algues unicellulaires appelés Karenia brevis. Les algues sont naturellement présents à des niveaux très faibles, généralement à environ 30 miles au large des côtes. Au cours de l'automne, les courants océaniques déplacent ces bancs d'algues toxiques vers la côte. Des lors si les conditions sont bonnes, les cellules des algues prolifèrent à trés grande vitesse en rendant par cette efflorescence les eaux totalement toxiques.
© Nature Alerte/Herald Tribune.
20:45
Plus de deux millions de personnes dans 15 communes de Santiago se trouvaient mardi sans eau potable en raison de la pollution de la rivière approvisionnant la capitale chilienne.
Les coupures d'eau, commencées aux premières heures de la matinée, affectent près de 600.000 foyers et devraient durer jusqu'à minuit.
Nous avons eu une situation d'urgence, un cas de force majeure qui nous a obligé à couper l'eau dans 15 communes, a déclaré à la presse le responsable de la communication de la Compagnie des Eaux, Cristian Esquivel.
La situation a contraint à la fermeture d'écoles maternelles, de restaurants et d'autres services publics et privés.
Selon la compagnie, la coupure a été provoquée par la contamination de la rivière Maipo, qui approvisionne en eau la capitale chilienne et ses six millions d'habitants, après des inondations soudaines dans une région de montagne.
Les coulées de boue ont contaminé les usines de production d'eau potable, et entrainé l'évacuation de plusieurs dizaines de personnes vivant dans la zone, sans toutefois faire de victimes.
Source ©AFP / 22 janvier 2013
Les coupures d'eau, commencées aux premières heures de la matinée, affectent près de 600.000 foyers et devraient durer jusqu'à minuit.
Nous avons eu une situation d'urgence, un cas de force majeure qui nous a obligé à couper l'eau dans 15 communes, a déclaré à la presse le responsable de la communication de la Compagnie des Eaux, Cristian Esquivel.
La situation a contraint à la fermeture d'écoles maternelles, de restaurants et d'autres services publics et privés.
Selon la compagnie, la coupure a été provoquée par la contamination de la rivière Maipo, qui approvisionne en eau la capitale chilienne et ses six millions d'habitants, après des inondations soudaines dans une région de montagne.
Les coulées de boue ont contaminé les usines de production d'eau potable, et entrainé l'évacuation de plusieurs dizaines de personnes vivant dans la zone, sans toutefois faire de victimes.
Source ©AFP / 22 janvier 2013
20:42
Une nouvelle éruption du volcan Puyehue-Cordon Caulle est en cours depuis hier, selon des sources locales.
Les émissions de cendres atteignent 3,4 km d'altitude et ont été signalés par le VAAC de Buenos Aires.
Des chutes locales de cendres sont a craindre dans les localités avoisinantes entre Lagos et Osorno aujourd'hui.
© Nature Alerte
Les émissions de cendres atteignent 3,4 km d'altitude et ont été signalés par le VAAC de Buenos Aires.
Des chutes locales de cendres sont a craindre dans les localités avoisinantes entre Lagos et Osorno aujourd'hui.
© Nature Alerte
20:40
« L'activité volcanique de White Island est la plus « énergique » de ces dernières années et pourrait bientôt se traduire par une grande éruption explosive » selon GNS science.
Le volcan, au large de la baie de Plenty, est le plus actif du pays et a déjà montré des signes accrus d'activité l'année dernière, mais l'augmentation de l'activité hydrothermale de ces trois dernières semaines est devenu la source d'une « grande préoccupation » selon Brad Scott vulcanologue au GNS.
Brad Scott a ajouté : « Je ne pense pas avoir rien vu d'aussi puissant depuis la fin des années 90 et des années 2000. » L'activité d'alors avait mené à une grande éruption en Juillet 2000.
« L'activité hydrothermale est une des plus vigoureuses que j'ai vu à White Island depuis de nombreuses années. Ce type d'activité conduit généralement à forte activité volcanique et constitue une préoccupation importante », a déclaré Scott.
« L'augmentation de l'activité hydrothermale conduit souvent à des éruptions explosives ce qui peut être très dangereux pour les visiteurs. » Le regain d'activité peut signifier qu'une éruption est imminente, mais il y a cependant une chance qu'il pourrait cesser. Néanmoins, le volcan ne représente aucune menace pour le continent car il est à 48 kilomètres de la côte. Mais White Island est une attraction touristique populaire, avec des excursions en bateau et par avion tous les jours. S'il explose, les cendres pourraient atteindre le continent et les habitants de la Bay of Plenty pourraient sentir l'odeur des gazs, déclare Scott.
Les observations de Scott sont basées sur une visite sur l'île la veille. L'activité hydrothermale dans le petit « lac chaud » a augmenté, de grandes quantités de sédiments ont fait surface et de vives émanations de vapeur blanche et de gaz ont étés signalées à partir de la base.
C'est le genre d'activité qui n'a cessé d'augmenter depuis la fin de 2012 et qui se poursuit désormais de maniére semi-continue, affirme Scott. Le dôme de lave qui a été observé pour la première fois à la fin de Novembre n'a pas changé depuis le début de ce mois. Il y avait des niveaux élevés de secousses volcaniques, probablement générées par l'activité hydrothermale. Comme d'habitude, le volcan pourrait exploser avec peu ou pas d'avertissements.
Le volcan, au large de la baie de Plenty, est le plus actif du pays et a déjà montré des signes accrus d'activité l'année dernière, mais l'augmentation de l'activité hydrothermale de ces trois dernières semaines est devenu la source d'une « grande préoccupation » selon Brad Scott vulcanologue au GNS.
Brad Scott a ajouté : « Je ne pense pas avoir rien vu d'aussi puissant depuis la fin des années 90 et des années 2000. » L'activité d'alors avait mené à une grande éruption en Juillet 2000.
« L'activité hydrothermale est une des plus vigoureuses que j'ai vu à White Island depuis de nombreuses années. Ce type d'activité conduit généralement à forte activité volcanique et constitue une préoccupation importante », a déclaré Scott.
« L'augmentation de l'activité hydrothermale conduit souvent à des éruptions explosives ce qui peut être très dangereux pour les visiteurs. » Le regain d'activité peut signifier qu'une éruption est imminente, mais il y a cependant une chance qu'il pourrait cesser. Néanmoins, le volcan ne représente aucune menace pour le continent car il est à 48 kilomètres de la côte. Mais White Island est une attraction touristique populaire, avec des excursions en bateau et par avion tous les jours. S'il explose, les cendres pourraient atteindre le continent et les habitants de la Bay of Plenty pourraient sentir l'odeur des gazs, déclare Scott.
Les observations de Scott sont basées sur une visite sur l'île la veille. L'activité hydrothermale dans le petit « lac chaud » a augmenté, de grandes quantités de sédiments ont fait surface et de vives émanations de vapeur blanche et de gaz ont étés signalées à partir de la base.
C'est le genre d'activité qui n'a cessé d'augmenter depuis la fin de 2012 et qui se poursuit désormais de maniére semi-continue, affirme Scott. Le dôme de lave qui a été observé pour la première fois à la fin de Novembre n'a pas changé depuis le début de ce mois. Il y avait des niveaux élevés de secousses volcaniques, probablement générées par l'activité hydrothermale. Comme d'habitude, le volcan pourrait exploser avec peu ou pas d'avertissements.
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