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jeudi 31 janvier 2013
20:55
Environ 73 millions de requins sont tués chaque année pour être commercialisés, révèle l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) dans un rapport présenté mercredi à Dakar.
''Depuis 60 ans, la pêche exerce une énorme pression sur les populations de requin et de raie'', indique le rapport présenté à des journalistes par des responsables du Bureau Afrique de l'Ouest du Fonds mondial pour la nature (WWF, acronyme anglais).
L'étude annonce que ''parmi les espèces de requin et de raie ayant fait l'objet d'une évaluation, 30 sont menacées d'extinction ou de quasi-extinction''.
Le requin et la raie se développent lentement et se reproduisent peu, ce qui les rend extrêmement vulnérables face à la surpêche, selon le rapport, qui explique que de nombreuses années sont nécessaires pour que ces deux espèces régénèrent après un épisode de déclin.
La même source indique que ''les relèvements des ressources halieutiques de l'Atlantique Nord-ouest ont mis en évidence une perte jusqu'à 98% des requins marteaux''.
''Les débarquements dans l'Atlantique Sud-ouest ont connu un déclin jusqu'à 90% et des diminutions de plus de 99% et ont eu lieu dans certains pays de la Mer méditerranéenne'', précise l'UICN. ''Des milliers de requins sont pêchés chaque jour dans les eaux ouest-africaines pour alimenter le commerce d'ailerons très prisés en Asie'', rapporte l'étude.
Pour plus d'infos voir : http://www.aps.sn/articles.php?id_article=108437
SBS/ESF/ASG
APS
''Depuis 60 ans, la pêche exerce une énorme pression sur les populations de requin et de raie'', indique le rapport présenté à des journalistes par des responsables du Bureau Afrique de l'Ouest du Fonds mondial pour la nature (WWF, acronyme anglais).
L'étude annonce que ''parmi les espèces de requin et de raie ayant fait l'objet d'une évaluation, 30 sont menacées d'extinction ou de quasi-extinction''.
Le requin et la raie se développent lentement et se reproduisent peu, ce qui les rend extrêmement vulnérables face à la surpêche, selon le rapport, qui explique que de nombreuses années sont nécessaires pour que ces deux espèces régénèrent après un épisode de déclin.
La même source indique que ''les relèvements des ressources halieutiques de l'Atlantique Nord-ouest ont mis en évidence une perte jusqu'à 98% des requins marteaux''.
''Les débarquements dans l'Atlantique Sud-ouest ont connu un déclin jusqu'à 90% et des diminutions de plus de 99% et ont eu lieu dans certains pays de la Mer méditerranéenne'', précise l'UICN. ''Des milliers de requins sont pêchés chaque jour dans les eaux ouest-africaines pour alimenter le commerce d'ailerons très prisés en Asie'', rapporte l'étude.
Pour plus d'infos voir : http://www.aps.sn/articles.php?id_article=108437
SBS/ESF/ASG
APS
20:52
Les Manchots pygmées de la petite ile touristique de "Granite Island" dans le sud de l’Australie sont en voie d'extinction totale assure Graham Philp le maire de la commune voisine de Victor Harbor.
«Nous nous devons de sensibiliser le gouvernement à cette extrême vulnérabilité de notre petite colonie de manchots pygmées de "Granite Island" », a déclaré M. Philp.
La principale menace est l'augmentation incontrôlée de la population invasive de l’otarie de Nouvelle-Zélande. Une étude a prouvé que la multiplication des otaries à fourrure a eu un impact certain sur le milieu marin de la région, et pas seulement le long de la côte sud, mais aussi sur les "Kangaroo Island".
Le dernier recensement de la population des pingouins pygmées de Granite Island en 2012 a montré un déclin rapide de la colonie, seulement 26 d'entre eux ont été comptabilisés l'année dernière" affirme M. Philp
Il rappelle que les colonies de West Island et l'île de Wright se sont dejà éteintes et que la colonie de Granite Island est maintenant trop faible pour assurer son existence et sa survie dans les conditions naturelles.
La colonie de Manly est déjà considérée comme en extrême danger et les populations de "Penguin Island" en Australie-Occidentale ont eux aussi besoin de toute notre attention.
Toute les colonie de l’Australie montrent des signes inquiétants de déclin rapide, et aucune mesure gouvernementale de protection n'a jusqu'ici était prise.
Graham Philp le maire de Victor Harbor lance un appel à l'aide et aux dons pour sauver sa petite colonie.
Il exhorte la population à écrire aux ministres d'État de toute urgence en les exhortant à appuyer l'initiative de sauvegarde dite "Car Little Penguin" avant qu'il ne soit trop tard.
Comment pouvez-vous aider?
Agissez dès maintenant en faisant un don direct à la Victor Harbor et Port Lions Club à Elliot Westpac Victor Harbor, BSB 035-621, aucun compte. 58-0853 ou en écrivant votre soutien à mayor@victor.sa.gov.au
© Nature Alerte
Le Manchot pygmée (Eudyptula minor) est la plus petite espèce de manchots et possède un plumage bleu, lui valant le surnom de petit manchot bleu. Il est également appelé Little Penguin dans les pays anglophone, Fairy Penguin en Australie, Little Blue Penguin ou seulement Blue Penguin en Nouvelle-Zélande, Kororā pour les Māori de Nouvelle-Zélande et Pingüino pequeño ou Pingüino azul au Chili et dans les autres pays hispanophones.
Répartition géographique
Les manchots pygmées vivent autour du littoral de la Nouvelle-Zélande et des Chatham Islands aussi bien qu'au sud de la Tasmanie et de l'Australie. Ils semblent vivre également aux Chili mais il est difficile de déterminer s'il s'agit de traînards. Néanmoins, il a été suggéré qu'il y aurait une population non découverte de cette espèce dans la région de Patagonie. Récemment, le premier enregistrement d'un manchot pygmée a été rapporté de Namibie.
Il habite aussi en antarctique (découverte également récente).
«Nous nous devons de sensibiliser le gouvernement à cette extrême vulnérabilité de notre petite colonie de manchots pygmées de "Granite Island" », a déclaré M. Philp.
La principale menace est l'augmentation incontrôlée de la population invasive de l’otarie de Nouvelle-Zélande. Une étude a prouvé que la multiplication des otaries à fourrure a eu un impact certain sur le milieu marin de la région, et pas seulement le long de la côte sud, mais aussi sur les "Kangaroo Island".
Le dernier recensement de la population des pingouins pygmées de Granite Island en 2012 a montré un déclin rapide de la colonie, seulement 26 d'entre eux ont été comptabilisés l'année dernière" affirme M. Philp
Il rappelle que les colonies de West Island et l'île de Wright se sont dejà éteintes et que la colonie de Granite Island est maintenant trop faible pour assurer son existence et sa survie dans les conditions naturelles.
La colonie de Manly est déjà considérée comme en extrême danger et les populations de "Penguin Island" en Australie-Occidentale ont eux aussi besoin de toute notre attention.
Toute les colonie de l’Australie montrent des signes inquiétants de déclin rapide, et aucune mesure gouvernementale de protection n'a jusqu'ici était prise.
Graham Philp le maire de Victor Harbor lance un appel à l'aide et aux dons pour sauver sa petite colonie.
Il exhorte la population à écrire aux ministres d'État de toute urgence en les exhortant à appuyer l'initiative de sauvegarde dite "Car Little Penguin" avant qu'il ne soit trop tard.
Comment pouvez-vous aider?
Agissez dès maintenant en faisant un don direct à la Victor Harbor et Port Lions Club à Elliot Westpac Victor Harbor, BSB 035-621, aucun compte. 58-0853 ou en écrivant votre soutien à mayor@victor.sa.gov.au
© Nature Alerte
Le Manchot pygmée (Eudyptula minor) est la plus petite espèce de manchots et possède un plumage bleu, lui valant le surnom de petit manchot bleu. Il est également appelé Little Penguin dans les pays anglophone, Fairy Penguin en Australie, Little Blue Penguin ou seulement Blue Penguin en Nouvelle-Zélande, Kororā pour les Māori de Nouvelle-Zélande et Pingüino pequeño ou Pingüino azul au Chili et dans les autres pays hispanophones.
Répartition géographique
Les manchots pygmées vivent autour du littoral de la Nouvelle-Zélande et des Chatham Islands aussi bien qu'au sud de la Tasmanie et de l'Australie. Ils semblent vivre également aux Chili mais il est difficile de déterminer s'il s'agit de traînards. Néanmoins, il a été suggéré qu'il y aurait une population non découverte de cette espèce dans la région de Patagonie. Récemment, le premier enregistrement d'un manchot pygmée a été rapporté de Namibie.
Il habite aussi en antarctique (découverte également récente).
20:47
Quatorze éléphants pygmées de Bornéo ont été retrouvés morts, vraisemblablement empoisonnés, a-t-on appris jeudi de source officielle, faisant craindre pour l'espèce en danger d'extinction.
Les restes décomposés d'un quatorzième animal ont été retrouvés mercredi, après treize autres déjà découverts peu auparavant, a indiqué Laurentius Ambu, directeur du bureau de la faune dans l'Etat malaisien de Sabah, dans le nord de l'île de Bornéo.
Les plus grandes craintes demeurent par ailleurs pour la survie d'un éléphanteau de trois mois, devenu orphelin, et dont la photo le montrant en train de tenter en vain de réveiller sa mère morte a suscité un vif émoi dans la région.
Le jeune animal perd rapidement du poids, ont souligné des défenseurs des animaux.
Les responsables soupçonnent un empoisonnement, probablement par des substances que des employés des plantations de palmiers à huile laissent afin de dissuader les animaux de manger les fruits.
Ils craignent que d'autres éléphants pygmées soient également morts, cette espèce vivant généralement en hordes de 50 à 60 animaux.
Masidi Manjun, ministre malaisien de l'Environnement, a promis la prison pour les coupables.
L'organisation écologique WWF-Malaisie a accusé l'importante déforestation qui sévit à Bornéo, afin de faire place aux palmiers à huile, d'être à l'origine du problème, en réduisant l'habitat naturel des éléphants, ce qui les pousse à entrer en concurrence avec l'Homme.
Selon le WWF, il n'existe plus qu'environ 1.200 éléphants pygmées de Bornéo à l'état sauvage.
Source © 2013 AFP
Les restes décomposés d'un quatorzième animal ont été retrouvés mercredi, après treize autres déjà découverts peu auparavant, a indiqué Laurentius Ambu, directeur du bureau de la faune dans l'Etat malaisien de Sabah, dans le nord de l'île de Bornéo.
Les plus grandes craintes demeurent par ailleurs pour la survie d'un éléphanteau de trois mois, devenu orphelin, et dont la photo le montrant en train de tenter en vain de réveiller sa mère morte a suscité un vif émoi dans la région.
Le jeune animal perd rapidement du poids, ont souligné des défenseurs des animaux.
Les responsables soupçonnent un empoisonnement, probablement par des substances que des employés des plantations de palmiers à huile laissent afin de dissuader les animaux de manger les fruits.
Ils craignent que d'autres éléphants pygmées soient également morts, cette espèce vivant généralement en hordes de 50 à 60 animaux.
Masidi Manjun, ministre malaisien de l'Environnement, a promis la prison pour les coupables.
L'organisation écologique WWF-Malaisie a accusé l'importante déforestation qui sévit à Bornéo, afin de faire place aux palmiers à huile, d'être à l'origine du problème, en réduisant l'habitat naturel des éléphants, ce qui les pousse à entrer en concurrence avec l'Homme.
Selon le WWF, il n'existe plus qu'environ 1.200 éléphants pygmées de Bornéo à l'état sauvage.
Source © 2013 AFP
20:45
Le recule de la plus grande forêt de mangrove au monde, dans les Sundarbans, entre le Bangladesh et l’Inde, menace directement la survie des 500 deniers tigres du Bengale qui y habitent.
Selon le Zoo de Londres, ce serait plus de 70% de la mangrove qui serait concernée, le rythme de l’érosion pouvant atteindre 200 mètres par an dans certaines parties de la région.
Selon Natalie Pettorelli, co-auteur du rapport, « si ce rythme continue, la mangrove pourrait en partie disparaître d’ici 50 ans ». Et de continuer « du côté indien des Sundarbans, l’île qui s’étend dans la baie du Bengale pourrait disparaître complètement d’ici 20 ans ». Les causes de ce recul sont l’augmentation du nombre de tempêtes et de phénomènes climatiques extrêmes, l’augmentation du niveau de la mer et de la salinité ainsi que les pressions anthropomorphiques, qui augmentent la vulnérabilité de la mangrove.
Selon le Guardian, les Sundarbans sont un des seuls lieux restant au monde capable de fournir un habitat pour des centaines de tigres.
Source AFP
Selon le Zoo de Londres, ce serait plus de 70% de la mangrove qui serait concernée, le rythme de l’érosion pouvant atteindre 200 mètres par an dans certaines parties de la région.
Selon Natalie Pettorelli, co-auteur du rapport, « si ce rythme continue, la mangrove pourrait en partie disparaître d’ici 50 ans ». Et de continuer « du côté indien des Sundarbans, l’île qui s’étend dans la baie du Bengale pourrait disparaître complètement d’ici 20 ans ». Les causes de ce recul sont l’augmentation du nombre de tempêtes et de phénomènes climatiques extrêmes, l’augmentation du niveau de la mer et de la salinité ainsi que les pressions anthropomorphiques, qui augmentent la vulnérabilité de la mangrove.
Selon le Guardian, les Sundarbans sont un des seuls lieux restant au monde capable de fournir un habitat pour des centaines de tigres.
Source AFP
20:42
L’Afrique poursuit sa guerre contre les sacs plastiques.
Après l’Afrique du sud, le Rwanda, l’Érythrée, l’Ouganda, la Tanzanie, le Gabon, et le Kenya et la RDC, c’est au tour de la Mauritanie d’interdire la fabrication, la commercialisation et l’usage des sacs en plastique. La loi, entrée en vigueur au 1er janvier 2013, prévoit des peines pouvant aller jusqu’à un an de prison ferme et des amendes jusqu’à un millions d’ouguiyas, soit plus de 3000 dollars, pour qui ne respecterait pas l’interdiction.
Selon les statistiques officielles, le plastique représente un quart des 56 000 tonnes de déchets que génère chaque année la capitale Nouakchott. La plupart des sacs plastiques ne sont pas collectés et se retrouvent dans la nature, aussi bien sur terre que dans la mer. Selon le ministre de l’environnement, Amedi Camara, dans les abattoirs de Nouakchott, on retrouve du plastique dans l’estomac de 8 bovins sur 10.
Selon l’association anglo-saxonne, Reuse it, qui milite pour l’utilisation de sacs réutilisables, l’homme consomme un million de sacs chaque minute à l’échelle mondiale, soit plus de 500 milliards par an.
Pour remplacer les sacs plastiques, le gouvernement mauritanien, le Programme des Nations unies pour le développement et les ONG locales font la promotion de nouveaux sacs. Fabriqués à base de papier, ces derniers sont entièrement solubles dans l’environnement.
Source © Stephane Rousset
Après l’Afrique du sud, le Rwanda, l’Érythrée, l’Ouganda, la Tanzanie, le Gabon, et le Kenya et la RDC, c’est au tour de la Mauritanie d’interdire la fabrication, la commercialisation et l’usage des sacs en plastique. La loi, entrée en vigueur au 1er janvier 2013, prévoit des peines pouvant aller jusqu’à un an de prison ferme et des amendes jusqu’à un millions d’ouguiyas, soit plus de 3000 dollars, pour qui ne respecterait pas l’interdiction.
Selon les statistiques officielles, le plastique représente un quart des 56 000 tonnes de déchets que génère chaque année la capitale Nouakchott. La plupart des sacs plastiques ne sont pas collectés et se retrouvent dans la nature, aussi bien sur terre que dans la mer. Selon le ministre de l’environnement, Amedi Camara, dans les abattoirs de Nouakchott, on retrouve du plastique dans l’estomac de 8 bovins sur 10.
Selon l’association anglo-saxonne, Reuse it, qui milite pour l’utilisation de sacs réutilisables, l’homme consomme un million de sacs chaque minute à l’échelle mondiale, soit plus de 500 milliards par an.
Pour remplacer les sacs plastiques, le gouvernement mauritanien, le Programme des Nations unies pour le développement et les ONG locales font la promotion de nouveaux sacs. Fabriqués à base de papier, ces derniers sont entièrement solubles dans l’environnement.
Source © Stephane Rousset
31/01/2013...France: NUCLEAIRE, Défaillance du refroidissement de la piscine de Belleville sur Loire
20:39
Un départ de feu a été détecté le mercredi 23 janvier vers minuit, dans un local contenant une des pompes assurant le refroidissement de la piscine d’entreposage du combustible du réacteur n° 2 de la centrale nucléaire de Belleville sur Loire.
L’incident aurait pu être grave, car la deuxième pompe était justement en arrêt pour maintenance depuis le 10 janvier.
Le Réseau Sortir du Nucléaire qui révèle l’incident, rappelle que si les combustibles ne sont plus refroidis, une réaction en chaîne pourrait se produire, à l’image de ce qui s’est produit à Fukushima Daiichi. L’Autorité de sûreté nucléaire a sommé EDF de prendre des mesures urgentes sur ce point, faisant apparaître des dysfonctionnements sur certains sites.
Après inspection de ses experts sur place, l’Autorité de Sûreté Nucléaire a classé cet incident au niveau 1 de l’INES, malgré la défaillance simultanée, pendant plusieurs heures, des deux voies du circuit de refroidissement de la piscine d’entreposage.
Source © Enviro2B
L’incident aurait pu être grave, car la deuxième pompe était justement en arrêt pour maintenance depuis le 10 janvier.
Le Réseau Sortir du Nucléaire qui révèle l’incident, rappelle que si les combustibles ne sont plus refroidis, une réaction en chaîne pourrait se produire, à l’image de ce qui s’est produit à Fukushima Daiichi. L’Autorité de sûreté nucléaire a sommé EDF de prendre des mesures urgentes sur ce point, faisant apparaître des dysfonctionnements sur certains sites.
Après inspection de ses experts sur place, l’Autorité de Sûreté Nucléaire a classé cet incident au niveau 1 de l’INES, malgré la défaillance simultanée, pendant plusieurs heures, des deux voies du circuit de refroidissement de la piscine d’entreposage.
Source © Enviro2B
20:36
La pollution radioactive perdure au Niger affirme la CRIIRAD. Selon le laboratoire indépendant, environ 1 600 tonnes de ferrailles potentiellement radioactives provenant des sites d’extraction d’uranium d’Areva au Niger dans la région d'Arlit, auraient été remis dans le circuit du recyclage des ferrailles, en toute illégalité.
« La contamination des ferrailles par des métaux lourds radioactifs associés à l’uranium tels que uranium 238, thorium 230, radium 226, plomb 210, polonium 210 entraîne une exposition des populations par irradiation externe et des risques de contamination interne en fonction des modes d’utilisation des ferrailles recyclées » affirme Bruno Chareyron, ingénieur en physique nucléaire et responsable de la CRIIRAD.
Le laboratoire demande qu’Areva fasse « toute la transparence » sur les conditions de cession des ferrailles issues des sites d’extraction d’uranium, revoie les procédures de contrôle de radioactivité des matériaux autorisés à quitter ses installations minières et s’engage à repérer et racheter les ferrailles contaminées déjà mises en vente dans le domaine public.
Source © Enviro2B
« La contamination des ferrailles par des métaux lourds radioactifs associés à l’uranium tels que uranium 238, thorium 230, radium 226, plomb 210, polonium 210 entraîne une exposition des populations par irradiation externe et des risques de contamination interne en fonction des modes d’utilisation des ferrailles recyclées » affirme Bruno Chareyron, ingénieur en physique nucléaire et responsable de la CRIIRAD.
Le laboratoire demande qu’Areva fasse « toute la transparence » sur les conditions de cession des ferrailles issues des sites d’extraction d’uranium, revoie les procédures de contrôle de radioactivité des matériaux autorisés à quitter ses installations minières et s’engage à repérer et racheter les ferrailles contaminées déjà mises en vente dans le domaine public.
Source © Enviro2B
11:54
Un puissant séisme de magnitude 6 s'est produit prés des côtes de l'Alaska jeudi, ont annoncé les autorités américaines, mais ni dégâts ni victimes n'ont été recensés dans l'immédiat.
Nous attendons de plus amples renseignements
L'épicentre du séisme d'un profondeur de 10 kilomètres était situé à 73 km de Port Alexander, à 101 km de Craig et 303 km au sud de Juneau, dans la province canadienne de Colombie-Britannique, a précisé le Centre américain de géophysique (USGS).
Nous attendons de plus amples renseignements
L'épicentre du séisme d'un profondeur de 10 kilomètres était situé à 73 km de Port Alexander, à 101 km de Craig et 303 km au sud de Juneau, dans la province canadienne de Colombie-Britannique, a précisé le Centre américain de géophysique (USGS).
10:44
Un arrêté réglementant le fonctionnement des dispositifs d'éclairage des bâtiments non résidentiels a été publié mercredi par le ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie. Il doit ainsi permettre de réduire l'empreinte de l'éclairage artificiel sur l'environnement nocturne.
Les éclairages artificiels nocturnes peuvent constituer une source de perturbations significatives pour les écosystèmes, en modifiant la communication entre espèces, les migrations, les cycles de reproduction ou encore le système proie-prédateur. L'impact de la lumière artificielle nocturne sur le sommeil, en perturbant l'alternance jour-nuit, a également fait l'objet de réflexions par l'Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV), qui proposera des actions courant 2013.
Ce texte fait ainsi de la France l'un des pionniers en Europe dans ce domaine.
Il constitue également une mesure de sobriété énergétique. Estimées à 2TWh par an par l'ADEME, les économies d'énergie attendues équivalent à la consommation électrique annuelle d'environ 750 000 ménages. Cette disposition permet d'éviter le rejet chaque année de 250 000 tonnes de CO2.
Cet arrêté concerne à la fois l'éclairage intérieur émis vers l'extérieur des bâtiments non résidentiels (vitrines de commerces, bureaux...) et l'éclairage des façades de ces mêmes bâtiments. Un bilan du dispositif sera réalisé en janvier 2014.
A partir de son entrée en vigueur, le 1er juillet 2013 :
En ce qui concerne les façades et les vitrines, le texte prévoit la possibilité pour le préfet d'accorder des dérogations pour la veille des jours fériés chômés, la période des illuminations de Noël, lors d'événements exceptionnels à caractère local, ou dans des lieux présentant un intérêt touristique exceptionnel définis par l'article L. 3132-25 du code du travail.
Des règles portent également sur les conditions d'allumage :
Les éclairages artificiels nocturnes peuvent constituer une source de perturbations significatives pour les écosystèmes, en modifiant la communication entre espèces, les migrations, les cycles de reproduction ou encore le système proie-prédateur. L'impact de la lumière artificielle nocturne sur le sommeil, en perturbant l'alternance jour-nuit, a également fait l'objet de réflexions par l'Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV), qui proposera des actions courant 2013.
Ce texte fait ainsi de la France l'un des pionniers en Europe dans ce domaine.
Il constitue également une mesure de sobriété énergétique. Estimées à 2TWh par an par l'ADEME, les économies d'énergie attendues équivalent à la consommation électrique annuelle d'environ 750 000 ménages. Cette disposition permet d'éviter le rejet chaque année de 250 000 tonnes de CO2.
Cet arrêté concerne à la fois l'éclairage intérieur émis vers l'extérieur des bâtiments non résidentiels (vitrines de commerces, bureaux...) et l'éclairage des façades de ces mêmes bâtiments. Un bilan du dispositif sera réalisé en janvier 2014.
A partir de son entrée en vigueur, le 1er juillet 2013 :
- les éclairages intérieurs de locaux à usage professionnel devront être éteints une heure après la fin d'occupation desdits locaux ;
- les éclairages des façades des bâtiments seront éteints au plus tard à 1 heure du matin ;
- les éclairages des vitrines de magasins de commerce ou d'exposition seront éteints au plus tard à 1h du matin, ou une heure après la fin d'occupation desdits locaux si celle-ci intervient plus tardivement.
En ce qui concerne les façades et les vitrines, le texte prévoit la possibilité pour le préfet d'accorder des dérogations pour la veille des jours fériés chômés, la période des illuminations de Noël, lors d'événements exceptionnels à caractère local, ou dans des lieux présentant un intérêt touristique exceptionnel définis par l'article L. 3132-25 du code du travail.
Des règles portent également sur les conditions d'allumage :
- les vitrines de magasins de commerce ou d'exposition pourront être allumées à partir de 7 heures du matin ou une heure avant le début de l'activité si celle-ci s'exerce plus tôt ;
- les éclairages des façades des bâtiments ne pourront être allumés avant le coucher du soleil.
10:39
En circulant, les trains libèrent des particules fines qui polluent l'air des sous-terrains. Le taux mesuré par la RATP ces trois dernières années est souvent entre deux et quatre fois plus élevé que le périphérique. A long terme, cette nuisance peut être nocive pour la santé.
"Un Parisien de 30 ans, vit 9 mois de moins qu'un autre Français", rapporte Thibault Vonthron, porte-parole de l'association nationale de prévention et d'amélioration de la qualité de l'air. Coupable souvent évoqué : le trafic routier et ses émanations en particules fines PM10 et PM2,5 issues principalement du diesel. Mais l'examen des données sur la qualité de l'air dans les stations Auber, Châtelet et Franklin Roosevelt, rendues publiques en août dernier par la RATP, permet de se rendre compte que l'immense réseau de sous-terrains parisiens n'est pas en reste. D'après plusieurs études réalisées par l'Observatoire régional de santé (ORS) et Airparif entre 2009 et 2012, les particules incriminées y seraient même jusqu'à quatre fois plus présentes que sur le périphérique parisien.
L'explication ? En roulant, et au cours du processus d'arrêt, les machines expulsent dans l'air des particules fines qui peuvent contenir des métaux lourds comme le fer. Et plus il y a de monde dans la rame, plus l'air est pollué. "C'est logique, quand le métro est plein, le freinage nécessite un effort plus important, et donc expulse d'avantage de particules fines. Le RER qui roule à 90 km/h, est donc bien plus pollué que le métro", explique Pascal Hasko, chargé des relations presse de la régie de transports.
Des mouchoirs remplis de particules
Premiers gênés, les conducteurs de la RATP. "La pollution est là, on la sent, on la voit. Quand on rentre chez nous elle est partout, sur le corps, les cheveux. Il suffit de nettoyer son visage avec un coton pour voir les résidus sur la peau. Les cols de nos chemises sont noirs. Même lorsque l'on se mouche, il y a du dépôt", raconte Cedric Gentil, qui travaille sur la ligne A.
Pascal Lepetit, lui, élu au comité d'hygiène, de santé et des conditions de travail (CHSCT) de la RATP, constate une quasi-banalisation de la pollution dans l'esprit des conducteurs : "C'est vrai, les chauffeurs se plaignent de vivre avec une gène respiratoire et dans la saleté ambiante. Mais même s'ils sont inquiets, la direction dit qu'il n'y a pas de risques."
Troubles respiratoires, cardiaques et cancers
À ce jour, aucune étude poussé n'a été publiée quant aux risques encourus à la suite d'une trop longue exposition à l'air pollué du métro. Pour l'air extérieur, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a bien fixé une valeur référence. Elle estime, qu'une personne qui est exposée plus de 35 jours dans l'année à plus de 50 µg/m3 de PM10 en moyenne par jour, encourt un risque. En sous-terrain, seuls l'ATMOPACA et la RTM ont réalisé une courte analyse à Marseille. Ils considèrent qu'il peut y avoir une "altération de la fonction respiratoire chez l'enfant en particulier, une irritation des voies respiratoires inférieures, des effets mutagènes et cancérigènes, une atteinte des systèmes sanguins et cardiaques et une mortalité prématurée". Arthur Depas, ingénieur au service communication d'Airparif, avoue lui aussi que dans le métro parisien, "il peut y avoir des risques pour le système respiratoire, cardio-vasculaire, et dans le pire des cas les particules peuvent être cancérigènes. Mais pas d'avantages qu'un automobiliste coincé dans les bouchons du périphérique".
Pour en savoir plus c'est ici
Source © metrofrance
"Un Parisien de 30 ans, vit 9 mois de moins qu'un autre Français", rapporte Thibault Vonthron, porte-parole de l'association nationale de prévention et d'amélioration de la qualité de l'air. Coupable souvent évoqué : le trafic routier et ses émanations en particules fines PM10 et PM2,5 issues principalement du diesel. Mais l'examen des données sur la qualité de l'air dans les stations Auber, Châtelet et Franklin Roosevelt, rendues publiques en août dernier par la RATP, permet de se rendre compte que l'immense réseau de sous-terrains parisiens n'est pas en reste. D'après plusieurs études réalisées par l'Observatoire régional de santé (ORS) et Airparif entre 2009 et 2012, les particules incriminées y seraient même jusqu'à quatre fois plus présentes que sur le périphérique parisien.
L'explication ? En roulant, et au cours du processus d'arrêt, les machines expulsent dans l'air des particules fines qui peuvent contenir des métaux lourds comme le fer. Et plus il y a de monde dans la rame, plus l'air est pollué. "C'est logique, quand le métro est plein, le freinage nécessite un effort plus important, et donc expulse d'avantage de particules fines. Le RER qui roule à 90 km/h, est donc bien plus pollué que le métro", explique Pascal Hasko, chargé des relations presse de la régie de transports.
Des mouchoirs remplis de particules
Premiers gênés, les conducteurs de la RATP. "La pollution est là, on la sent, on la voit. Quand on rentre chez nous elle est partout, sur le corps, les cheveux. Il suffit de nettoyer son visage avec un coton pour voir les résidus sur la peau. Les cols de nos chemises sont noirs. Même lorsque l'on se mouche, il y a du dépôt", raconte Cedric Gentil, qui travaille sur la ligne A.
Pascal Lepetit, lui, élu au comité d'hygiène, de santé et des conditions de travail (CHSCT) de la RATP, constate une quasi-banalisation de la pollution dans l'esprit des conducteurs : "C'est vrai, les chauffeurs se plaignent de vivre avec une gène respiratoire et dans la saleté ambiante. Mais même s'ils sont inquiets, la direction dit qu'il n'y a pas de risques."
Troubles respiratoires, cardiaques et cancers
À ce jour, aucune étude poussé n'a été publiée quant aux risques encourus à la suite d'une trop longue exposition à l'air pollué du métro. Pour l'air extérieur, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a bien fixé une valeur référence. Elle estime, qu'une personne qui est exposée plus de 35 jours dans l'année à plus de 50 µg/m3 de PM10 en moyenne par jour, encourt un risque. En sous-terrain, seuls l'ATMOPACA et la RTM ont réalisé une courte analyse à Marseille. Ils considèrent qu'il peut y avoir une "altération de la fonction respiratoire chez l'enfant en particulier, une irritation des voies respiratoires inférieures, des effets mutagènes et cancérigènes, une atteinte des systèmes sanguins et cardiaques et une mortalité prématurée". Arthur Depas, ingénieur au service communication d'Airparif, avoue lui aussi que dans le métro parisien, "il peut y avoir des risques pour le système respiratoire, cardio-vasculaire, et dans le pire des cas les particules peuvent être cancérigènes. Mais pas d'avantages qu'un automobiliste coincé dans les bouchons du périphérique".
Pour en savoir plus c'est ici
Source © metrofrance
10:34
Les autorités de Pékin conseillaient mercredi 30 janvier à des millions d'habitants de rester si possible à leur domicile, face à la forte pollution atmosphérique persistante contre laquelle quelques mesures locales ont été par ailleurs annoncées. La capitale chinoise étouffe depuis trois jours sous un épais brouillard de particules nocives, après avoir connu à plusieurs reprises en janvier d'autres pics de pollution d'une densité inédite.
A Pékin, mégalopole de 20 millions de personnes où circulent plus de 5 millions de véhicules, le gouvernement municipal a déconseillé de sortir aux enfants, aux personnes âgées et aux résidents à la santé pouvant être affectée par les particules nocives, et d'en tout cas limiter leurs sorties. Et les radios du matin invitaient les habitants à rester le moins possible dans les rues, où de plus en plus d'habitants se déplacent le visage recouvert d'un masque filtrant, certains le conservant même à leur travail ou à leur domicile.
Niveau de pollution "dangereux"
Mardi, les autorités locales ont affirmé avoir imposé la fermeture de 103 usines et avoir interdit à 30% du parc des voitures officielles de circuler. Ces mesures timides n'ont pas permis d'éviter de nouveaux taux préoccupants. L'ambassade des Etats-Unis, qui calcule et publie son propre indice de qualité de l'air, jugeait que la pollution atmosphérique avait atteint un niveau "dangereux" mercredi après-midi.
Le gouvernement chinois peut de moins en moins ignorer la mobilisation croissante des Chinois contre ce fléau, surtout face aux centaines de vols annulés ou retardés ces dernières semaines et aux habitants en détresse respiratoire qui affluent dans les hôpitaux.
Deuxième économie de la planète et premier marché automobile mondial, la Chine voit son environnement menacé par ses nombreuses industries polluantes, son trafic routier en constante expansion et son laxisme pour protéger les écosystèmes. La Chine consomme désormais autant de charbon que l'ensemble des autres pays de la planète. Le pays en tire plus de 70% de son énergie.
Les hôpitaux connaissent un afflux de patients...
Les pics de forte pollution atmosphérique ces derniers jours à Pékin ont provoqué un afflux dans les hôpitaux de patients en détresse respiratoire, a rapporté jeudi la presse officielle. Le nombre de cas de personnes souffrant de problèmes pulmonaires ou de difficultés respiratoires a enregistré une hausse de 20% dans la capitale chinoise, selon une enquête du journal Pékin-matin. Les problèmes respiratoires concernaient 50% des admissions au service des urgences d'un grand hôpital pour enfants, a aussi précisé le quotidien.
A Pékin, mégalopole de 20 millions de personnes où circulent plus de 5 millions de véhicules, le gouvernement municipal a déconseillé de sortir aux enfants, aux personnes âgées et aux résidents à la santé pouvant être affectée par les particules nocives, et d'en tout cas limiter leurs sorties. Et les radios du matin invitaient les habitants à rester le moins possible dans les rues, où de plus en plus d'habitants se déplacent le visage recouvert d'un masque filtrant, certains le conservant même à leur travail ou à leur domicile.
Niveau de pollution "dangereux"
Mardi, les autorités locales ont affirmé avoir imposé la fermeture de 103 usines et avoir interdit à 30% du parc des voitures officielles de circuler. Ces mesures timides n'ont pas permis d'éviter de nouveaux taux préoccupants. L'ambassade des Etats-Unis, qui calcule et publie son propre indice de qualité de l'air, jugeait que la pollution atmosphérique avait atteint un niveau "dangereux" mercredi après-midi.
Le gouvernement chinois peut de moins en moins ignorer la mobilisation croissante des Chinois contre ce fléau, surtout face aux centaines de vols annulés ou retardés ces dernières semaines et aux habitants en détresse respiratoire qui affluent dans les hôpitaux.
Deuxième économie de la planète et premier marché automobile mondial, la Chine voit son environnement menacé par ses nombreuses industries polluantes, son trafic routier en constante expansion et son laxisme pour protéger les écosystèmes. La Chine consomme désormais autant de charbon que l'ensemble des autres pays de la planète. Le pays en tire plus de 70% de son énergie.
Les hôpitaux connaissent un afflux de patients...
Les pics de forte pollution atmosphérique ces derniers jours à Pékin ont provoqué un afflux dans les hôpitaux de patients en détresse respiratoire, a rapporté jeudi la presse officielle. Le nombre de cas de personnes souffrant de problèmes pulmonaires ou de difficultés respiratoires a enregistré une hausse de 20% dans la capitale chinoise, selon une enquête du journal Pékin-matin. Les problèmes respiratoires concernaient 50% des admissions au service des urgences d'un grand hôpital pour enfants, a aussi précisé le quotidien.
10:30
Une puissante tempête accompagnée de vents violents, de pluie et de tornades a balayé plusieurs états du centre et du sud des États-Unis en début de journée mercredi, renversant des arbres, endommageant des maisons et provoquant d'importantes pannes de courant.
Le "National Weather Service" a déclaré que huit tornades au moins ont touché le sol dans le Tennessee. La Croix-Rouge sur place aide de nombreuses familles qui ont tout perdu, dans au moins sept comtés de l'État.
Le gouverneur de Géorgie, Nathan Deal, a même déclaré l'état d'urgence et le couvre feu pour la ville de Adairsville où une tornade a fait d'importants dégâts.
Bien que la plupart des dégâts soient recensés en Géorgie et dans le Tennessee, la tempête a aussi touché plus à l'ouest, blessant de nombreuses personnes dans le Kentucky et l'Arkansas, selon Associated Press.
La compagnie Entergy Arkansas dénombrait au moins 9000 pannes au plus fort de la tempête, dont certaines dans la région de la capitale de l'état, Little Rock. Des tornades pourraient avoir touché le sol dans cet état.
Les responsables du Mississippi ont demandé aux résidents de faire preuve de vigilances, puisque la collision entre les deux systèmes météorologiques pourrait donner naissance à d'autres vents puissants, des tempêtes violentes et des tornades.
© Nature Alerte
Le "National Weather Service" a déclaré que huit tornades au moins ont touché le sol dans le Tennessee. La Croix-Rouge sur place aide de nombreuses familles qui ont tout perdu, dans au moins sept comtés de l'État.
Le gouverneur de Géorgie, Nathan Deal, a même déclaré l'état d'urgence et le couvre feu pour la ville de Adairsville où une tornade a fait d'importants dégâts.
Bien que la plupart des dégâts soient recensés en Géorgie et dans le Tennessee, la tempête a aussi touché plus à l'ouest, blessant de nombreuses personnes dans le Kentucky et l'Arkansas, selon Associated Press.
La compagnie Entergy Arkansas dénombrait au moins 9000 pannes au plus fort de la tempête, dont certaines dans la région de la capitale de l'état, Little Rock. Des tornades pourraient avoir touché le sol dans cet état.
Les responsables du Mississippi ont demandé aux résidents de faire preuve de vigilances, puisque la collision entre les deux systèmes météorologiques pourrait donner naissance à d'autres vents puissants, des tempêtes violentes et des tornades.
© Nature Alerte
10:26
Un fort séisme de magnitude 6,7 sur l'échelle de Richter a secoué mercredi le centre nord du Chili, a annoncé l'Institut de sismologie de l'Université du Chili à Santiago et une femme terrorisée est décédée d'une crise cardiaque, selon les autorités.
Le tremblement de terre s'est produit à 17H15 heure locale (20H15 GMT) au nord-est de la ville de Vallenar, située à quelque 670 km au nord de la capitale Santiago.
Les secousses sismiques ont provoqué des interruptions dans l'alimentation électrique et dans les réseaux de communication de plusieurs villes des régions du centre et du nord du pays, selon l'institut.
J'ai été informé qu'une femme était décédée des suites de la peur qu'elle a eue à cause du tremblement de terre, a déclaré aux médias locaux le gouverneur de la région de Atacama Rafael Prohens.
Les secousses ont duré plus d'une minute et ont été ressenties dans au moins cinq régions du centre nord du pays.
Le réseau des services d'urgence du Chili a signalé des bris de vitres de magasins à Copiapo et quelques dégâts sur des habitations à Vallenar proche de l'épicentre du séisme où des attaques de panique ont eu lieu parmi les habitants.
Le séisme a causé des frayeurs dans la population jusqu'à la région d'Atacama, et dans les zones côtières les habitants sont sortis par crainte d'un tsunami, selon des médias locaux.
Mais le système d'alarme de la Marine nationale a prévenu que le séisme n'avait pas les caractéristiques susceptibles de provoquer un tsunami.
Les spécialistes ont écarté l'hypothèse que le séisme de ce mercredi ait été une réplique du tremblement de terre de 2010 qui avait fait plus de 500 morts.
Ce séisme est absolument indépendant, il a eu lieu dans une zone différente, dans la zone de Copiapó et dans la faille de Nazca, a expliqué Mario Pardo, sismologue à l'université du Chili à Santiago.
Le 27 février 2010, un séisme suivi d'un tsunami avait frappé le sud du pays, faisant plus de 520 morts. Le tsunami avait ravagé un chapelet de stations balnéaires à 400 km de Santiago.
Le Chili est situé sur la Ceinture de feu du Pacifique, qui concentre environ 85% de l'activité sismique terrestre.
Source ©AFP
Le tremblement de terre s'est produit à 17H15 heure locale (20H15 GMT) au nord-est de la ville de Vallenar, située à quelque 670 km au nord de la capitale Santiago.
Les secousses sismiques ont provoqué des interruptions dans l'alimentation électrique et dans les réseaux de communication de plusieurs villes des régions du centre et du nord du pays, selon l'institut.
J'ai été informé qu'une femme était décédée des suites de la peur qu'elle a eue à cause du tremblement de terre, a déclaré aux médias locaux le gouverneur de la région de Atacama Rafael Prohens.
Les secousses ont duré plus d'une minute et ont été ressenties dans au moins cinq régions du centre nord du pays.
Le réseau des services d'urgence du Chili a signalé des bris de vitres de magasins à Copiapo et quelques dégâts sur des habitations à Vallenar proche de l'épicentre du séisme où des attaques de panique ont eu lieu parmi les habitants.
Le séisme a causé des frayeurs dans la population jusqu'à la région d'Atacama, et dans les zones côtières les habitants sont sortis par crainte d'un tsunami, selon des médias locaux.
Mais le système d'alarme de la Marine nationale a prévenu que le séisme n'avait pas les caractéristiques susceptibles de provoquer un tsunami.
Les spécialistes ont écarté l'hypothèse que le séisme de ce mercredi ait été une réplique du tremblement de terre de 2010 qui avait fait plus de 500 morts.
Ce séisme est absolument indépendant, il a eu lieu dans une zone différente, dans la zone de Copiapó et dans la faille de Nazca, a expliqué Mario Pardo, sismologue à l'université du Chili à Santiago.
Le 27 février 2010, un séisme suivi d'un tsunami avait frappé le sud du pays, faisant plus de 520 morts. Le tsunami avait ravagé un chapelet de stations balnéaires à 400 km de Santiago.
Le Chili est situé sur la Ceinture de feu du Pacifique, qui concentre environ 85% de l'activité sismique terrestre.
Source ©AFP
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mardi 29 janvier 2013
19:14
Une importante fuite de pétrole continue de s’échapper dans le golf du Mexique depuis la catastrophe de "Deep water horizon" en 2010, une nappe importante de 10 km s'en dégage depuis quelques jours et fait craindre une nouvelle marée noire.
La région marine de Macombo en Louisaine est toujours irisée de pétrole à la surface de l'océan depuis l'automne dernier, sans qu'aucune explication de la part de BP ou des gardes côtes américains ait été fourni quant à son origine. Elle s'est dramatiquement élargie depuis quelques jours. Sa persistance, même après des semaines de mauvais temps, suggère que le débit de la fuite constatée est important. Les scientifiques qui l'ont échantillonné ont trouvé des preuves de la présence de produits synthétiques tels que la boue de forage dans les échantillons.
Le plus troublant reste que cette nappe que l'on avait remarqué en automne dernier, et qui se répandait perpétuellement sur une surface d'environ un demi-mile de la scène de l'explosion de Deepwater Horizon de 2010, est devenu beaucoup plus importante depuis quelques jours. Elle s'étend aujourd'hui sur plus de 10 km dans le sens sud-nord et elle frole même parfois la cote à moins de 2 km .
C'est grâce au travail incessant de l'association "On the Wings of care", qui continue depuis 2010 d'effectuer régulièrement des survols de vigilance dans la région, que cette nouvelle marée noire a été rendu public. Déjà en Août 2011 et à nouveau en Octobre 2012, elle avait des preuves photographiques qu'elle a rendu public, ces preuves ont forcé BP et les Gardes côtes américains à avouer et à reconnaître publiquement que la fuite de 2010 n'était pas correctement colmater et que des nouvelles observations de nappes de pétrole étaient constaté régulièrement prés de la plate-forme de BP.
Depuis, c'est le silence complet, sinon que la nappe c'est aujourd'hui gravement élargie et qu'une nouvelle marée noire est à craindre.
"Nous ne sommes toujours pas satisfait des réponses de BP à nos nombreuses questions face à cette nouvelle marée noire, et nous craignons le pire , à savoir que ce pétrole provient de fissures sous la mer."
Une seule chose est indéniable, nous avons des preuves photographiques formelles: Du pétrole est toujours en fuite, et ce, 33 mois après l'explosion de "Deep Water Horizon".
© Nature Alerte
La région marine de Macombo en Louisaine est toujours irisée de pétrole à la surface de l'océan depuis l'automne dernier, sans qu'aucune explication de la part de BP ou des gardes côtes américains ait été fourni quant à son origine. Elle s'est dramatiquement élargie depuis quelques jours. Sa persistance, même après des semaines de mauvais temps, suggère que le débit de la fuite constatée est important. Les scientifiques qui l'ont échantillonné ont trouvé des preuves de la présence de produits synthétiques tels que la boue de forage dans les échantillons.
Le plus troublant reste que cette nappe que l'on avait remarqué en automne dernier, et qui se répandait perpétuellement sur une surface d'environ un demi-mile de la scène de l'explosion de Deepwater Horizon de 2010, est devenu beaucoup plus importante depuis quelques jours. Elle s'étend aujourd'hui sur plus de 10 km dans le sens sud-nord et elle frole même parfois la cote à moins de 2 km .
C'est grâce au travail incessant de l'association "On the Wings of care", qui continue depuis 2010 d'effectuer régulièrement des survols de vigilance dans la région, que cette nouvelle marée noire a été rendu public. Déjà en Août 2011 et à nouveau en Octobre 2012, elle avait des preuves photographiques qu'elle a rendu public, ces preuves ont forcé BP et les Gardes côtes américains à avouer et à reconnaître publiquement que la fuite de 2010 n'était pas correctement colmater et que des nouvelles observations de nappes de pétrole étaient constaté régulièrement prés de la plate-forme de BP.
Depuis, c'est le silence complet, sinon que la nappe c'est aujourd'hui gravement élargie et qu'une nouvelle marée noire est à craindre.
"Nous ne sommes toujours pas satisfait des réponses de BP à nos nombreuses questions face à cette nouvelle marée noire, et nous craignons le pire , à savoir que ce pétrole provient de fissures sous la mer."
Une seule chose est indéniable, nous avons des preuves photographiques formelles: Du pétrole est toujours en fuite, et ce, 33 mois après l'explosion de "Deep Water Horizon".
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