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mardi 26 février 2013
17:21
La Chine autorise la vente de peaux et de parties de corps de tigres élevés en captivité, malgré une résolution des Nations unies qu'elle a ratifiée, a déclaré mardi l'Agence d'investigation pou l'environnement.
Le texte appelle à interdire ce type de commerce.
L'agence a affirmé avoir découvert un commerce légal de produits issus de tigres élevés en captivité, destinés à la décoration de luxe. Cela va, selon elle, encourager le braconnage de félins sauvages.
L'association a également constaté que des négociants utilisent une réglementation parallèle du gouvernement pour légaliser des vins "tonifiants" élaborés à partir d'ossement de tigres élevés en captivité, en infraction avec un décret du conseil d'état chinois de 1993.
La Chine a signé la Convention internationale sur les espèces en voie d'extinction (CITES) qui interdit le commerce international de produits ou ses dérivés, issus de tigres.
Source ats / 26.02.2013
Le texte appelle à interdire ce type de commerce.
L'agence a affirmé avoir découvert un commerce légal de produits issus de tigres élevés en captivité, destinés à la décoration de luxe. Cela va, selon elle, encourager le braconnage de félins sauvages.
L'association a également constaté que des négociants utilisent une réglementation parallèle du gouvernement pour légaliser des vins "tonifiants" élaborés à partir d'ossement de tigres élevés en captivité, en infraction avec un décret du conseil d'état chinois de 1993.
La Chine a signé la Convention internationale sur les espèces en voie d'extinction (CITES) qui interdit le commerce international de produits ou ses dérivés, issus de tigres.
Source ats / 26.02.2013
17:18
Les émissions de gaz à effet de serre de l'Allemagne ont augmenté en 2012, le pays ayant brûlé plus de charbon et de gaz pour produire de l'électricité, en attendant la montée en puissance des énergies renouvelables qui doivent compenser l'arrêt de réacteurs nucléaires.
Les émissions de gaz à effet de serre ont légèrement augmenté en 2012 de 1,6%, a indiqué lundi l'Agence fédérale de l'environnement (UBA) dans un communiqué.
L'Allemagne a ainsi émis l'équivalent de 931 millions de tonnes de dioxyde de carbone, soit 14 millions de tonnes de plus que l'année précédente.
L'UBA explique cela par le fait que plus de charbon et de houille ont été brûlés pour produire de l'électricité et que le gaz a été davantage utilisé pour le chauffage des habitations.
La montée en puissance des énergies renouvelables a toutefois limité l'augmentation des émissions, a souligné l'agence.
A la suite de la catastrophe nucléaire de Fukushima en 2011, l'Allemagne a décidé de renoncer au nucléaire d'ici 2022, avec la volonté de se positionner comme pionnier au niveau mondial en matière d'énergies renouvelables.
On a certes évité une vive hausse des émissions de gaz à effet de serre en raison de la sortie du nucléaire, car avant tout l'essor des énergies renouvelables a permis de compenser. Cependant, je m'inquiète d'une tendance à de nouveau utiliser davantage de charbon pour produire de l'électricité, a déclaré Jochen Flasbarth, président de l'UBA, cité dans un communiqué.
Malgré cette progression des émissions en 2012, l'Allemagne souligne qu'elle dépasse largement les objectifs du protocole de Kyoto, puisqu'en comparaison avec 1990, elle a réduit ses émissions de 25,5%.
Source ©AFP / 25 février 2013
Les émissions de gaz à effet de serre ont légèrement augmenté en 2012 de 1,6%, a indiqué lundi l'Agence fédérale de l'environnement (UBA) dans un communiqué.
L'Allemagne a ainsi émis l'équivalent de 931 millions de tonnes de dioxyde de carbone, soit 14 millions de tonnes de plus que l'année précédente.
L'UBA explique cela par le fait que plus de charbon et de houille ont été brûlés pour produire de l'électricité et que le gaz a été davantage utilisé pour le chauffage des habitations.
La montée en puissance des énergies renouvelables a toutefois limité l'augmentation des émissions, a souligné l'agence.
A la suite de la catastrophe nucléaire de Fukushima en 2011, l'Allemagne a décidé de renoncer au nucléaire d'ici 2022, avec la volonté de se positionner comme pionnier au niveau mondial en matière d'énergies renouvelables.
On a certes évité une vive hausse des émissions de gaz à effet de serre en raison de la sortie du nucléaire, car avant tout l'essor des énergies renouvelables a permis de compenser. Cependant, je m'inquiète d'une tendance à de nouveau utiliser davantage de charbon pour produire de l'électricité, a déclaré Jochen Flasbarth, président de l'UBA, cité dans un communiqué.
Malgré cette progression des émissions en 2012, l'Allemagne souligne qu'elle dépasse largement les objectifs du protocole de Kyoto, puisqu'en comparaison avec 1990, elle a réduit ses émissions de 25,5%.
Source ©AFP / 25 février 2013
lundi 25 février 2013
22:21
Le Japon envoie un navire de guerre de 12 500 tonnes, 250 hommes d’équipage et 3 hélicoptères, en renfort de sa flotte baleinière pour contrer Sea Shepherd dans le sanctuaire baleinier de l’Antarctique.
Aucune nation n’estime utile d’envoyer un navire militaire pour faire respecter le sanctuaire pourtant ratifié sur le papier au niveau international. Le seul navire militaire qui aura fait le déplacement, sera finalement celui envoyé par le Japon, en renfort de sa flotte baleinière. Voilà qui en dit long sur les priorités de nos gouvernements…
A 14h00, heure locale, le NISSHIN MARU a tenté une nouvelle fois de se ravitailler dans le territoire antarctique australien, avec désormais le soutien de taille d’un navire militaire de la Marine Japonaise, le SHIRASE, un brise glace
Le NISSHIN MARU a de nouveau causé au moins 3 collisions : deux fois avec le BOB BARKER, le coinçant en sandwich contre le Sun Laurel à 14h48 et 15h16, puis en éperonnant le SAM SIMON à 17h15. Le BOB BARKER a essuyé d’importants dégâts lors de la prise en sandwich entre le NISSHIN MARU et le tanker SUN LAUREL. La sale des machines est désormais visible à travers une brèche dans le sol. Le SAM SIMON quand à lui affiche d’importantes éraflures et coups sur la coque, suite à l’éperonage. Le dôme de son satellite a aussi été écrasé.
Les trois navires harponneurs YUSHIN MARU 1, 2 et 3 ont tenté de bloquer les hélices des navires de Sea Shepherd avec des cordages. Le SAM SIMON, STEVE IRWIN et BOB BARKER ont vu leurs moteurs endommagés par les canons à eau à haute pression du NISSHIN MARU. Le NISSHIN a balancé des grenades flash qui ont explosé à l’avant du Sun Laurel (chargé en fioul lourd), laissant des marques bien visibles à l’avant du tanker.
Le SUN LAUREL a rangé sa grue pour la journée, ce qui signifie que SEA SHEPHERD a réussi a bloquer pour la troisième fois le ravitaillement de la flotte baleinière japonaise qui sévit illégalement et impunément dans le sanctuaire antarctique.
SEA SHEPHERD maintient ses navires en position et bloquera aussi longtemps que possible le ravitaillement illégal de “l’étoile de la mort”, abattoir flottant de la flotte baleinière, le NISSHIN MARU.
MERCI à tous ceux qui nous soutiennent dans cette guerre pour la vie des dernières baleines… nous n’y arriverons pas sans VOUS. ENSEMBLE, nous sommes cette MARINE de protection des océans. Nous donnerons tout pour protéger ce qui n’a pas de prix, ce patrimoine universel et cet héritage des générations futures. “Nous ferons les sacrifices nécessaires. Nous irons en prison. Nous risquerons nos navires et nos vies. Et les enfants qui ne sont pas encore nés nous jugerons tous”. -
Paul Watson / Sea Shepherd
Aucune nation n’estime utile d’envoyer un navire militaire pour faire respecter le sanctuaire pourtant ratifié sur le papier au niveau international. Le seul navire militaire qui aura fait le déplacement, sera finalement celui envoyé par le Japon, en renfort de sa flotte baleinière. Voilà qui en dit long sur les priorités de nos gouvernements…
A 14h00, heure locale, le NISSHIN MARU a tenté une nouvelle fois de se ravitailler dans le territoire antarctique australien, avec désormais le soutien de taille d’un navire militaire de la Marine Japonaise, le SHIRASE, un brise glace
Le NISSHIN MARU a de nouveau causé au moins 3 collisions : deux fois avec le BOB BARKER, le coinçant en sandwich contre le Sun Laurel à 14h48 et 15h16, puis en éperonnant le SAM SIMON à 17h15. Le BOB BARKER a essuyé d’importants dégâts lors de la prise en sandwich entre le NISSHIN MARU et le tanker SUN LAUREL. La sale des machines est désormais visible à travers une brèche dans le sol. Le SAM SIMON quand à lui affiche d’importantes éraflures et coups sur la coque, suite à l’éperonage. Le dôme de son satellite a aussi été écrasé.
Les trois navires harponneurs YUSHIN MARU 1, 2 et 3 ont tenté de bloquer les hélices des navires de Sea Shepherd avec des cordages. Le SAM SIMON, STEVE IRWIN et BOB BARKER ont vu leurs moteurs endommagés par les canons à eau à haute pression du NISSHIN MARU. Le NISSHIN a balancé des grenades flash qui ont explosé à l’avant du Sun Laurel (chargé en fioul lourd), laissant des marques bien visibles à l’avant du tanker.
Le SUN LAUREL a rangé sa grue pour la journée, ce qui signifie que SEA SHEPHERD a réussi a bloquer pour la troisième fois le ravitaillement de la flotte baleinière japonaise qui sévit illégalement et impunément dans le sanctuaire antarctique.
SEA SHEPHERD maintient ses navires en position et bloquera aussi longtemps que possible le ravitaillement illégal de “l’étoile de la mort”, abattoir flottant de la flotte baleinière, le NISSHIN MARU.
MERCI à tous ceux qui nous soutiennent dans cette guerre pour la vie des dernières baleines… nous n’y arriverons pas sans VOUS. ENSEMBLE, nous sommes cette MARINE de protection des océans. Nous donnerons tout pour protéger ce qui n’a pas de prix, ce patrimoine universel et cet héritage des générations futures. “Nous ferons les sacrifices nécessaires. Nous irons en prison. Nous risquerons nos navires et nos vies. Et les enfants qui ne sont pas encore nés nous jugerons tous”. -
Paul Watson / Sea Shepherd
12:44
Les autorités de Basse-Saxe, région agricole importante, enquêtent auprès de 150 fermes soupçonnées d’enfreindre les réglementations du label "bio", et de vendre plutôt des œufs produits par des poules élevées dans des conditions de surpeuplement .
"Si ces accusations sont vrai, alors nous parlerons d'une fraude à grande échelle: une fraude contre les consommateurs, mais aussi d'un drame pour les nombreux agriculteurs biologiques en Allemagne qui travaillent honnêtement," a déclaré Ilse Aigner le ministre de l’environnement dans un communiqué publié lundi.
Elle a exhorté les gouvernements régionaux à assurer la pleine mise en œuvre des lois allemandes et de l'Union européenne sur la production d'aliments biologiques, ajoutant que les consommateurs doivent être en mesure d'avoir pleinement confiance dans l'étiquetage des produits.
Les œufs de l'agriculture biologique coûte environ 10 centimes de plus que ceux produits dans des conditions industrielles.
Christian Meyer, ministre de l'agriculture dans le nouveau gouvernement de Basse-Saxe, a promis de prendre des mesures très sévères à l'encontre des coupables d'avoir enfreint la loi.
Les soupçons de fraude sur les œufs biologiques coïncident avec la découverte récente du scandale de la viande de cheval étiquetée comme bœuf dans les aliments transformés vendus à travers l'Europe. Ce scandale a provoqué le rappel de milliers de plats cuisinés et a gravement endommagé la confiance dans l'industrie alimentaire du continent européen.
© Nature Alerte / Reuters
"Si ces accusations sont vrai, alors nous parlerons d'une fraude à grande échelle: une fraude contre les consommateurs, mais aussi d'un drame pour les nombreux agriculteurs biologiques en Allemagne qui travaillent honnêtement," a déclaré Ilse Aigner le ministre de l’environnement dans un communiqué publié lundi.
Elle a exhorté les gouvernements régionaux à assurer la pleine mise en œuvre des lois allemandes et de l'Union européenne sur la production d'aliments biologiques, ajoutant que les consommateurs doivent être en mesure d'avoir pleinement confiance dans l'étiquetage des produits.
Les œufs de l'agriculture biologique coûte environ 10 centimes de plus que ceux produits dans des conditions industrielles.
Christian Meyer, ministre de l'agriculture dans le nouveau gouvernement de Basse-Saxe, a promis de prendre des mesures très sévères à l'encontre des coupables d'avoir enfreint la loi.
Les soupçons de fraude sur les œufs biologiques coïncident avec la découverte récente du scandale de la viande de cheval étiquetée comme bœuf dans les aliments transformés vendus à travers l'Europe. Ce scandale a provoqué le rappel de milliers de plats cuisinés et a gravement endommagé la confiance dans l'industrie alimentaire du continent européen.
© Nature Alerte / Reuters
10:26
Pour la première fois depuis l'introduction des organismes génétiquement modifiés (OGM) dans l'agriculture il y a 20 ans, les superficies plantées sont plus importantes dans les pays en développement que dans les pays développés.
Selon l'étude annuelle de l'organisation International Service for the acquisition of Agri-Biotech applications (ISAAA), sur les cultures OGM dans le monde, les premiers disposent depuis 2012 de 52 % des surfaces OGM mondiales, en hausse de 2 % par rapport à l'année précédente.
Utilisés par plus de 17 millions d'agriculteurs à travers la planète, les cultures génétiquement modifiées couvrent aujourd'hui une surface supérieure à 170 millions d'hectares, « soit 100 fois plus qu'en 1996 », rappelle le document publié le 20 février par l'organisation pro-OGM.
28 pays dont 4 africains
Les cultures les plus ensemencées sont dans l'ordre le soja, le maïs, le coton et le colza. En tête des 28 pays aujourd'hui utilisateurs de semences OGM, les Etats-Unis comptent à eux-seuls 69,5 millions d'hectares, loin devant le Brésil (36,6 millions ha) et l'Argentine (23,9 millions ha). Ces deux derniers pays, plus l'Inde (10,8 millions ha), la Chine (4 millions ha) et l'Afrique du sud (2,9 millions ha) représentent ensemble 46 % des superficies OGM au monde.
En Afrique, elles atteignent pour la première fois les 3 millions d'hectares, en augmentation de 25%. Quatre pays utilisent des OGM sur le continent. Le Soudan a planté ses premières superficies en 2012 (20 000 hectares de coton), rejoignant l'Afrique du Sud (maïs, soja et coton), ainsi que le Burkina Faso (300 000 hectares de coton) et l'Egypte (50 000 hectares de maïs).
Source © Olivier Caslin / economie.jeuneafrique.com
28% des maladies en Afrique sont liées aux risques environnementaux, selon le Pnue
Publiée jeudi 21 février par le Programme des nations unies pour l'environnement (Pnue), la nouvelle édition du rapport intitulé "Avenir de l'environnement en Afrique (AEO-3)", met en évidence les risques sanitaires des populations du continent exposées aux produits chimiques, à la pollution de l'air et aux maladies à transmission vectorielle.
Selon le rapport commissionné par la Conférence ministérielle africaine sur l'environnement (CMAE), les statistiques montrent que 28% des maladies en Afrique "sont liées aux risques environnementaux". La diarrhée, les infections respiratoires et le paludisme "représentant 60% des impacts connus de l'environnement sur la santé".
Sont particulièrement pointées les particules fines : des polluants atmosphériques "qui ont le plus grand impact sur la santé humaine et sont une préoccupation majeure" dans les zones pauvres rurales où l'accès limité aux cuisinières et aux carburants propres a des effets considérables sur la santé en raison de la pollution de l'air intérieur qui peut être 10 à 30 fois plus élevée que les limites fixées par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) en Afrique. Les estimations du nombre de décès causés par la pollution de l'air extérieur sont de 800.000 morts dans le monde chaque année, pour la plupart dans les zones urbaines, dont 40.000 surviennent en Afrique.
Le rapport met également en évidence "un manque de capacité à faire face aux effets croissants du changement climatique" tels que la pénurie d'eau ainsi que les conditions d'assainissement et d'hygiène "inadéquates" (en 2010, seulement 60% de la population de l'Afrique subsaharienne avaient accès à l'eau potable), ainsi que de "mauvaises pratiques" de gestion des déchets. Or, la pénurie d'eau devrait passer de 47% en 2000 à 65% en 2025, prévient le Pnue.
Les risques sanitaires en Afrique proviennent également des produits agrochimiques, les polluants organiques persistants (POP), les stocks de produits chimiques, les déchets électroniques et les déchets du pétrole. Ainsi, en Côte d'Ivoire, le centre national de recherche agronomique à Abidjan estime que 65% des maladies dont souffrent les maraîchers, les producteurs de coton, les producteurs de mangues et les consommateurs sont dues aux pesticides. La Communauté de l'Ogoni dans le delta du Niger au Nigéria est quant à elle exposée "aux hydrocarbures qui se trouvent parfois en quantité élevée dans l'air extérieur et l'eau destinée à la consommation", rappelle l'organisation onusienne.
Le rapport formule plusieurs recommandations visant à réduire ces impacts environnementaux sur la santé à l'instar du développement de services écosystémiques pour fournir des plantes médicinales "bénéfiques pour la santé". Pour assurer une gestion écologiquement rationnelle des déchets et des stocks chimiques existants, le rapport préconise l'accélération de la mise en oeuvre des Conventions de Bâle, de Stockholm et de Bamako et l'intégration de la problématique relative aux déchets électroniques dans la législation nationale. Une réduction effective de la pollution de l'air intérieur "nécessite de repenser les programmes d'électrification nationaux et d'accélérer l'accès aux technologies améliorées et autres sources alternatives d'énergie plus propres", selon le Pnue.
"Si les recommandations du rapport AEO-3 sont suivies, les citoyens peuvent espérer vivre de manière plus saine et plus productive", a déclaré Terezya Huvisa, ministre de l'Environnement de la République Unie de Tanzanie et présidente de la CMAE.
Source © Rachida Boughriet/ actu environnement
Selon l'étude annuelle de l'organisation International Service for the acquisition of Agri-Biotech applications (ISAAA), sur les cultures OGM dans le monde, les premiers disposent depuis 2012 de 52 % des surfaces OGM mondiales, en hausse de 2 % par rapport à l'année précédente.
Utilisés par plus de 17 millions d'agriculteurs à travers la planète, les cultures génétiquement modifiées couvrent aujourd'hui une surface supérieure à 170 millions d'hectares, « soit 100 fois plus qu'en 1996 », rappelle le document publié le 20 février par l'organisation pro-OGM.
28 pays dont 4 africains
Les cultures les plus ensemencées sont dans l'ordre le soja, le maïs, le coton et le colza. En tête des 28 pays aujourd'hui utilisateurs de semences OGM, les Etats-Unis comptent à eux-seuls 69,5 millions d'hectares, loin devant le Brésil (36,6 millions ha) et l'Argentine (23,9 millions ha). Ces deux derniers pays, plus l'Inde (10,8 millions ha), la Chine (4 millions ha) et l'Afrique du sud (2,9 millions ha) représentent ensemble 46 % des superficies OGM au monde.
En Afrique, elles atteignent pour la première fois les 3 millions d'hectares, en augmentation de 25%. Quatre pays utilisent des OGM sur le continent. Le Soudan a planté ses premières superficies en 2012 (20 000 hectares de coton), rejoignant l'Afrique du Sud (maïs, soja et coton), ainsi que le Burkina Faso (300 000 hectares de coton) et l'Egypte (50 000 hectares de maïs).
Source © Olivier Caslin / economie.jeuneafrique.com
28% des maladies en Afrique sont liées aux risques environnementaux, selon le Pnue
Publiée jeudi 21 février par le Programme des nations unies pour l'environnement (Pnue), la nouvelle édition du rapport intitulé "Avenir de l'environnement en Afrique (AEO-3)", met en évidence les risques sanitaires des populations du continent exposées aux produits chimiques, à la pollution de l'air et aux maladies à transmission vectorielle.
Selon le rapport commissionné par la Conférence ministérielle africaine sur l'environnement (CMAE), les statistiques montrent que 28% des maladies en Afrique "sont liées aux risques environnementaux". La diarrhée, les infections respiratoires et le paludisme "représentant 60% des impacts connus de l'environnement sur la santé".
Sont particulièrement pointées les particules fines : des polluants atmosphériques "qui ont le plus grand impact sur la santé humaine et sont une préoccupation majeure" dans les zones pauvres rurales où l'accès limité aux cuisinières et aux carburants propres a des effets considérables sur la santé en raison de la pollution de l'air intérieur qui peut être 10 à 30 fois plus élevée que les limites fixées par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) en Afrique. Les estimations du nombre de décès causés par la pollution de l'air extérieur sont de 800.000 morts dans le monde chaque année, pour la plupart dans les zones urbaines, dont 40.000 surviennent en Afrique.
Le rapport met également en évidence "un manque de capacité à faire face aux effets croissants du changement climatique" tels que la pénurie d'eau ainsi que les conditions d'assainissement et d'hygiène "inadéquates" (en 2010, seulement 60% de la population de l'Afrique subsaharienne avaient accès à l'eau potable), ainsi que de "mauvaises pratiques" de gestion des déchets. Or, la pénurie d'eau devrait passer de 47% en 2000 à 65% en 2025, prévient le Pnue.
Les risques sanitaires en Afrique proviennent également des produits agrochimiques, les polluants organiques persistants (POP), les stocks de produits chimiques, les déchets électroniques et les déchets du pétrole. Ainsi, en Côte d'Ivoire, le centre national de recherche agronomique à Abidjan estime que 65% des maladies dont souffrent les maraîchers, les producteurs de coton, les producteurs de mangues et les consommateurs sont dues aux pesticides. La Communauté de l'Ogoni dans le delta du Niger au Nigéria est quant à elle exposée "aux hydrocarbures qui se trouvent parfois en quantité élevée dans l'air extérieur et l'eau destinée à la consommation", rappelle l'organisation onusienne.
Le rapport formule plusieurs recommandations visant à réduire ces impacts environnementaux sur la santé à l'instar du développement de services écosystémiques pour fournir des plantes médicinales "bénéfiques pour la santé". Pour assurer une gestion écologiquement rationnelle des déchets et des stocks chimiques existants, le rapport préconise l'accélération de la mise en oeuvre des Conventions de Bâle, de Stockholm et de Bamako et l'intégration de la problématique relative aux déchets électroniques dans la législation nationale. Une réduction effective de la pollution de l'air intérieur "nécessite de repenser les programmes d'électrification nationaux et d'accélérer l'accès aux technologies améliorées et autres sources alternatives d'énergie plus propres", selon le Pnue.
"Si les recommandations du rapport AEO-3 sont suivies, les citoyens peuvent espérer vivre de manière plus saine et plus productive", a déclaré Terezya Huvisa, ministre de l'Environnement de la République Unie de Tanzanie et présidente de la CMAE.
Source © Rachida Boughriet/ actu environnement
10:21
Après le scandale de la viande de cheval, celui du poisson ? C’est la question qui se pose, après la publication, jeudi 21 février, d’une étude menée par l’ONG américaine Oceana révélant une fraude de grande ampleur portant sur les produits de la mer aux Etats-Unis, où un tiers des poissons consommés n’appartiennent pas à l’espèce que les clients avaient cru acheter.
Pour son enquête, menée de 2010 à 2012, l’association a procédé à une analyse ADN de 1 215 échantillons de poisson collectés dans 674 points de vente – magasins d’alimentation et restaurants – dans 21 Etats américains.
Les résultats sont sans appel : 33 % des poissons étudiés ne correspondaient pas à l’espèce affichée et pâtissaient d’un étiquetage non conforme à la charte établie par l’Agence américaine des produits alimentaires et des médicaments (FDA).
Les poissons les plus pêchés, le thon et le vivaneau (« snapper »), sont aussi les plus mal étiquetés : ainsi, le vivaneau enregistre un taux d’erreur de 87 % (161 des 186 poissons vendus comme tel et collectés dans l’ensemble du pays n’en étaient finalement pas), tandis que le thon est mal étiqueté dans 59 % des cas (84 % des échantillons de thon blanc prélevés étaient en réalité de l’escolar, une espèce de poisson pouvant provoquer de graves troubles digestifs).
Entre 19 % et 38 % des morues, des flétans et des bars chiliens avaient aussi un étiquetage erroné, ajoute encore le rapport. Seul le saumon est mieux étiqueté, avec seulement 7 % de fraudes.
Cette vaste opération de substitution d’espèces prend plusieurs formes. On y retrouve des poissons d’élevage vendus comme des poissons sauvages, beaucoup plus coûteux (comme du pangasius vendu pour du mérou, de la sole ou de la morue). Des espèces surexploitées, vulnérables ou en péril vendues comme d’autres plus soutenables (par exemple du flétan de l’Atlantique à la place du flétan du Pacifique). Y figurent aussi des poissons déconseillés aux femmes enceintes et aux enfants par la FDA en raison de leur teneur élevée en mercure – comme le bar – commercialisés sous d’autres noms.
Au total, 44 % de tous les lieux de vente visités vendaient des poissons mal étiquetés. Dans le détail : les restaurants de sushi avaient le taux d’erreurs le plus élevé sur leur carte (74 %), suivi par d’autres restaurants (38 %) et les magasins d’alimentation (18 %).
« La chaîne mondiale d’approvisionnement des produits de la mer est des plus complexes et obscures, expliquent les chercheurs. Avec des inspections minimales du gouvernement fédéral, alors que les importations augmentent, et sans tests ADN tout au long de la chaîne d’approvisionnement, il est difficile de déterminer si la fraude s’est produite sur le bateau, pendant le traitement des poissons, au niveau du gros, lors de la vente au détail ou ailleurs. »
« Aux Etats-Unis, 90 % du poisson consommé est importé, ce qui rend plus difficile la traçabilité. Surtout, les contrôles de la FDA ne portent que sur 2 % de ces produits, explique Beth Lowell, directrice de campagne d’Oceana. Acheter du poisson est devenu un jeu de devinettes pour les consommateurs américains. Il faudrait traquer les poissons du bateau de pêche jusqu’à la table du consommateur pour pouvoir être sûrs qu’ils sont sans danger, légaux et portent une étiquette les décrivant de façon exacte. »
« Outre le fait d’être trompés et de payer plus cher que la valeur du produit acheté, un grand nombre de consommateurs se voient nier le droit de choisir un poisson pour des raisons de santé ou de préservation d’espèces menacées », déplore de son côté la Dr Kimberly Warner, scientifique d’Oceana et principale auteure de cette recherche.
« Nos résultats montrent qu’un système de traçabilité transparent et empirique – un système qui pourra suivre les poissons du bateau à l’assiette – doit être mis en place au niveau national, conclut le rapport. Conjointement, une inspection et des tests accrus sur nos produits de la mer, et en particulier pour les problèmes d’étiquetage, ainsi qu’une application plus stricte des lois fédérales et nationales qui combattent la fraude, doivent permettre de lutter contre cette tendance gênante. »
En Europe, la traçabilité est aussi en question. Si aucune enquête de grande envergure n’a jamais été menée à l’échelle de l’Union, une étude publiée dans la revue Fish and Fisheries en 2011 avait néanmoins révélé que respectivement 28 % et 7 % du cabillaud vendu en Irlande et au Royaume-Uni était mal étiqueté. L’espèce, la plus populaire parmi les poissons blancs consommés dans ces deux pays, était remplacée par d’autres poissons moins soutenables (comme le cabillaud de l’Atlantique, menacé) ou moins chers (tels que du merlan, du colin ou du lieu noir).
Source ©Audrey Garric / Le Monde
Pour son enquête, menée de 2010 à 2012, l’association a procédé à une analyse ADN de 1 215 échantillons de poisson collectés dans 674 points de vente – magasins d’alimentation et restaurants – dans 21 Etats américains.
Les résultats sont sans appel : 33 % des poissons étudiés ne correspondaient pas à l’espèce affichée et pâtissaient d’un étiquetage non conforme à la charte établie par l’Agence américaine des produits alimentaires et des médicaments (FDA).
Les poissons les plus pêchés, le thon et le vivaneau (« snapper »), sont aussi les plus mal étiquetés : ainsi, le vivaneau enregistre un taux d’erreur de 87 % (161 des 186 poissons vendus comme tel et collectés dans l’ensemble du pays n’en étaient finalement pas), tandis que le thon est mal étiqueté dans 59 % des cas (84 % des échantillons de thon blanc prélevés étaient en réalité de l’escolar, une espèce de poisson pouvant provoquer de graves troubles digestifs).
Entre 19 % et 38 % des morues, des flétans et des bars chiliens avaient aussi un étiquetage erroné, ajoute encore le rapport. Seul le saumon est mieux étiqueté, avec seulement 7 % de fraudes.
Cette vaste opération de substitution d’espèces prend plusieurs formes. On y retrouve des poissons d’élevage vendus comme des poissons sauvages, beaucoup plus coûteux (comme du pangasius vendu pour du mérou, de la sole ou de la morue). Des espèces surexploitées, vulnérables ou en péril vendues comme d’autres plus soutenables (par exemple du flétan de l’Atlantique à la place du flétan du Pacifique). Y figurent aussi des poissons déconseillés aux femmes enceintes et aux enfants par la FDA en raison de leur teneur élevée en mercure – comme le bar – commercialisés sous d’autres noms.
Au total, 44 % de tous les lieux de vente visités vendaient des poissons mal étiquetés. Dans le détail : les restaurants de sushi avaient le taux d’erreurs le plus élevé sur leur carte (74 %), suivi par d’autres restaurants (38 %) et les magasins d’alimentation (18 %).
« La chaîne mondiale d’approvisionnement des produits de la mer est des plus complexes et obscures, expliquent les chercheurs. Avec des inspections minimales du gouvernement fédéral, alors que les importations augmentent, et sans tests ADN tout au long de la chaîne d’approvisionnement, il est difficile de déterminer si la fraude s’est produite sur le bateau, pendant le traitement des poissons, au niveau du gros, lors de la vente au détail ou ailleurs. »
« Aux Etats-Unis, 90 % du poisson consommé est importé, ce qui rend plus difficile la traçabilité. Surtout, les contrôles de la FDA ne portent que sur 2 % de ces produits, explique Beth Lowell, directrice de campagne d’Oceana. Acheter du poisson est devenu un jeu de devinettes pour les consommateurs américains. Il faudrait traquer les poissons du bateau de pêche jusqu’à la table du consommateur pour pouvoir être sûrs qu’ils sont sans danger, légaux et portent une étiquette les décrivant de façon exacte. »
« Outre le fait d’être trompés et de payer plus cher que la valeur du produit acheté, un grand nombre de consommateurs se voient nier le droit de choisir un poisson pour des raisons de santé ou de préservation d’espèces menacées », déplore de son côté la Dr Kimberly Warner, scientifique d’Oceana et principale auteure de cette recherche.
« Nos résultats montrent qu’un système de traçabilité transparent et empirique – un système qui pourra suivre les poissons du bateau à l’assiette – doit être mis en place au niveau national, conclut le rapport. Conjointement, une inspection et des tests accrus sur nos produits de la mer, et en particulier pour les problèmes d’étiquetage, ainsi qu’une application plus stricte des lois fédérales et nationales qui combattent la fraude, doivent permettre de lutter contre cette tendance gênante. »
En Europe, la traçabilité est aussi en question. Si aucune enquête de grande envergure n’a jamais été menée à l’échelle de l’Union, une étude publiée dans la revue Fish and Fisheries en 2011 avait néanmoins révélé que respectivement 28 % et 7 % du cabillaud vendu en Irlande et au Royaume-Uni était mal étiqueté. L’espèce, la plus populaire parmi les poissons blancs consommés dans ces deux pays, était remplacée par d’autres poissons moins soutenables (comme le cabillaud de l’Atlantique, menacé) ou moins chers (tels que du merlan, du colin ou du lieu noir).
Source ©Audrey Garric / Le Monde
10:14
Le développement rapide de l'industrie chinoise au cours des trente dernières années a intensifié la pollution dans les métropoles mais aussi dans les campagnes.
Le ministère de l'environnement a reconnu l'existence de "villages du cancer", plusieurs années après que des informations ont fait état d'un nombre de cas plus élevé que la moyenne dans certaines régions particulièrement polluées du pays.
"Des matières chimiques toxiques et nocives ont provoqué de nombreuses situations d'urgence pour l'eau et l'atmosphère, et certains endroits comptent même des 'villages du cancer'", admet le ministère dans un rapport publié cette semaine et annexé au plan quinquennal 2011-2015. Le gouvernement a reconnu que ces produits toxiques "mettent potentiellement en danger la santé humaine et l'environnement sur le long terme".
L'expression "villages du cancer" n'avait pas été jusque-là utilisée par les autorités, souvent confrontées au mécontentement des habitants devant la dégradation de leur cadre de vie par des déchets industriels, la présence de substances toxiques dans l'eau ou un air très chargé en particules fines. Le développement rapide de l'industrie chinoise au cours des trente dernières années a accéléré la pollution dans les métropoles mais aussi dans les campagnes.
Il n'existe pas de définition précise des "villages du cancer" mais l'expression s'est répandue dans les médias, notamment après la publication en 2009 par un journaliste chinois d'une carte répertoriant plusieurs dizaines de ces villages. Un responsable du ministère n'a pas pour sa part voulu confirmer que la mention des "villages du cancer" était une première, soulignant que le gouvernement avait déjà établi par le passé un lien entre l'environnement et la santé.
Source © Le monde
Le ministère de l'environnement a reconnu l'existence de "villages du cancer", plusieurs années après que des informations ont fait état d'un nombre de cas plus élevé que la moyenne dans certaines régions particulièrement polluées du pays.
"Des matières chimiques toxiques et nocives ont provoqué de nombreuses situations d'urgence pour l'eau et l'atmosphère, et certains endroits comptent même des 'villages du cancer'", admet le ministère dans un rapport publié cette semaine et annexé au plan quinquennal 2011-2015. Le gouvernement a reconnu que ces produits toxiques "mettent potentiellement en danger la santé humaine et l'environnement sur le long terme".
L'expression "villages du cancer" n'avait pas été jusque-là utilisée par les autorités, souvent confrontées au mécontentement des habitants devant la dégradation de leur cadre de vie par des déchets industriels, la présence de substances toxiques dans l'eau ou un air très chargé en particules fines. Le développement rapide de l'industrie chinoise au cours des trente dernières années a accéléré la pollution dans les métropoles mais aussi dans les campagnes.
Il n'existe pas de définition précise des "villages du cancer" mais l'expression s'est répandue dans les médias, notamment après la publication en 2009 par un journaliste chinois d'une carte répertoriant plusieurs dizaines de ces villages. Un responsable du ministère n'a pas pour sa part voulu confirmer que la mention des "villages du cancer" était une première, soulignant que le gouvernement avait déjà établi par le passé un lien entre l'environnement et la santé.
Source © Le monde
10:07
Il s'agit d'un «épisode hivernal suffisamment notable pour rendre les conditions de circulation difficiles» selon Météo France...
Sept départements du sud-ouest de la France étaient toujours placés en alerte orange neige et verglas ce lundi matin, a annoncé Météo France, qui a levé cette mesure dans le Tarn-et-Garonne. L'Ariège, l'Aude, la Haute-Garonne, le Gers, les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées et le Tarn restent concernés par cette alerte.
Dans son bulletin national de 6h, Météo France parle toujours d'un «épisode hivernal suffisamment notable pour rendre les conditions de circulation difficiles» dans ces sept départements. Mais le communiqué souligne la fin de l'alerte pour le Tarn-et-Garonne, où chutes de neige qui perdurent sont qualifiées de «faibles».
Conseils de prudence
Vers 6h, avec des températures proche de 0 degré ou faiblement négative, les chutes de neige persistent, de façon plus ou moins continue, de la frontière Belge aux Pyrénées, souligne Météo France.
«Sur les départements placées en vigilance orange, après une courte accalmie en milieu de nuit les chutes de neige reprennent. Ces premières chutes de neige ont laissé une couche de l'ordre de 2 à 5 cm en plaine, et de l'ordre de 5 et 10 cm dès les premiers contreforts des massifs à partir de 200 à 300m», ajoute Météo France, qui prévoit une poursuite des chutes de neige toute la journée de ce lundi.
Météo France renouvelle ses conseils de prudence, invitant les automobilistes à limiter leurs déplacements et à se renseigner à l'avance sur les conditions de circulation.
Source AFP
Sept départements du sud-ouest de la France étaient toujours placés en alerte orange neige et verglas ce lundi matin, a annoncé Météo France, qui a levé cette mesure dans le Tarn-et-Garonne. L'Ariège, l'Aude, la Haute-Garonne, le Gers, les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées et le Tarn restent concernés par cette alerte.
Dans son bulletin national de 6h, Météo France parle toujours d'un «épisode hivernal suffisamment notable pour rendre les conditions de circulation difficiles» dans ces sept départements. Mais le communiqué souligne la fin de l'alerte pour le Tarn-et-Garonne, où chutes de neige qui perdurent sont qualifiées de «faibles».
Conseils de prudence
Vers 6h, avec des températures proche de 0 degré ou faiblement négative, les chutes de neige persistent, de façon plus ou moins continue, de la frontière Belge aux Pyrénées, souligne Météo France.
«Sur les départements placées en vigilance orange, après une courte accalmie en milieu de nuit les chutes de neige reprennent. Ces premières chutes de neige ont laissé une couche de l'ordre de 2 à 5 cm en plaine, et de l'ordre de 5 et 10 cm dès les premiers contreforts des massifs à partir de 200 à 300m», ajoute Météo France, qui prévoit une poursuite des chutes de neige toute la journée de ce lundi.
Météo France renouvelle ses conseils de prudence, invitant les automobilistes à limiter leurs déplacements et à se renseigner à l'avance sur les conditions de circulation.
Source AFP
10:03
Les conditions météorologiques associées à la fois au chauffage et aux départs en vacances sont à l’origine d’une accumulation des particules dans l’atmosphère. Le "plafond bas" présent sur l’ensemble de la région, empêche la dispersion des polluants
Samedi 23 février, le seuil du niveau d’information et de recommandations pour les personnes sensibles (50 microgrammes par mètre-cube) a été franchi sur la zone urbaine des Pays de Savoie, et frôlé sur plusieurs autres zones.
Le dispositif préfectoral est donc déclenché sur le niveau d’information pour neuf zones : le Bassin Lyonnais et Nord Isère, le Bassin Stéphanois, la Vallée du Rhône,la zone urbaine Pays de Savoie,la Vallée de l’Arve, la Vallée Maurienne Tarentaise,la zone des Coteaux, l’Ouest Ain et les contreforts du Massif Central.
La situation ne va pas forcément s’améliorer lundi avec la reprise des activités et des conditions météorologiques assez similaires à celles de cette fin de semaine.
Samedi 23 février, le seuil du niveau d’information et de recommandations pour les personnes sensibles (50 microgrammes par mètre-cube) a été franchi sur la zone urbaine des Pays de Savoie, et frôlé sur plusieurs autres zones.
Le dispositif préfectoral est donc déclenché sur le niveau d’information pour neuf zones : le Bassin Lyonnais et Nord Isère, le Bassin Stéphanois, la Vallée du Rhône,la zone urbaine Pays de Savoie,la Vallée de l’Arve, la Vallée Maurienne Tarentaise,la zone des Coteaux, l’Ouest Ain et les contreforts du Massif Central.
La situation ne va pas forcément s’améliorer lundi avec la reprise des activités et des conditions météorologiques assez similaires à celles de cette fin de semaine.
10:00
L'incendie qui s'est déclaré dimanche dans le parc des calanques à Marseille est fixé, 95 hectares de végétation et de rocaille ayant été parcourus par le feu au total, a-t-on appris lundi auprès des marins-pompiers de la ville.
Il n'y a plus de lisière active, le feu est fixé, a déclaré une porte-parole du bataillon des marins-pompiers.
Une centaine de soldats du feu et 32 engins restent engagés pour éteindre les dernières flammes, dans une zone très escarpée et dépourvue de voie d'accès pour les secours, qui va nécessiter des héliportages, selon la même source.
L'incendie, survenu dans le massif de Marseilleveyre, a été attisé dimanche par un fort vent, et une trentaine de randonneurs ayant donné l'alerte ont dû être évacués par les secours.
Près de 300 pompiers ont été engagés au plus fort de l'incendie et un dispositif de surveillance important avait été déployé toute la nuit sur les crêtes alentour, pour empêcher que le feu ne progresse en direction de zones habitées.
Une enquête a été ouverte sur l'origine du feu. Selon la présidente du parc des calanques, Danielle Milon, maire de la commune voisine de Cassis, une négligence humaine ne fait aucun doute. Elle réclame l'aide de l'Etat pour mettre en place une surveillance des incendies tout au long de l'année dans ce parc créé il y a moins d'un an et qui vient de voter son premier budget, insuffisant pour financer l'opération à lui seul.
Source ©AFP / 25 février 2013
Il n'y a plus de lisière active, le feu est fixé, a déclaré une porte-parole du bataillon des marins-pompiers.
Une centaine de soldats du feu et 32 engins restent engagés pour éteindre les dernières flammes, dans une zone très escarpée et dépourvue de voie d'accès pour les secours, qui va nécessiter des héliportages, selon la même source.
L'incendie, survenu dans le massif de Marseilleveyre, a été attisé dimanche par un fort vent, et une trentaine de randonneurs ayant donné l'alerte ont dû être évacués par les secours.
Près de 300 pompiers ont été engagés au plus fort de l'incendie et un dispositif de surveillance important avait été déployé toute la nuit sur les crêtes alentour, pour empêcher que le feu ne progresse en direction de zones habitées.
Une enquête a été ouverte sur l'origine du feu. Selon la présidente du parc des calanques, Danielle Milon, maire de la commune voisine de Cassis, une négligence humaine ne fait aucun doute. Elle réclame l'aide de l'Etat pour mettre en place une surveillance des incendies tout au long de l'année dans ce parc créé il y a moins d'un an et qui vient de voter son premier budget, insuffisant pour financer l'opération à lui seul.
Source ©AFP / 25 février 2013
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09:57
Le cyclone Haruna et les pluies qui l'ont précédé ont fait au total 10 morts, 17 blessés et près de 5.000 sinistrés en une semaine à Madagascar, a indiqué samedi le Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC).
Le cyclone lui-même --qui est arrivé dans la région de Morombe (sud-ouest) vendredi matin et a quitté la Grande Ile vingt-quatre heures plus tard-- a fait 6 morts, 17 blessés et 3.600 sinistrés, a précisé le BNGRC dans un nouveau bilan, ne comptant plus le nombre des bâtiments ayant perdu leurs toits, où les cases inondées.
L'aéroport de Toliara (Tuléar) a été fermé au moins jusqu'à lundi.
Accompagnés de fortes pluies, les vents ont atteint de 150 à 180 km/h, avec des rafales jusqu'à 200 km/h.
"La ville de Morombe été détruite à 70%", a précisé à l'AFP le secrétaire exécutif du Bureau, Raymond Randriatahina, tandis qu'un journaliste de la radio nationale sur place a dit "à 99%".
La presse malgache a fait état samedi d'un bilan plus lourd de 9 morts et près de 6.000 sinistrés depuis vendredi matin.
Les fortes pluies qui avaient précédé l'arrivée du cyclone depuis le début de la semaine avaient déjà fait 4 morts et plus de 2.100 sinistrés.
La coupure des communications avec les zones sinistrées complique le recueil des informations.
Haruna, qui était un cyclone tropical de catégorie 2, a été rétrogradé au rang de perturbation tropicale après être reparti en mer vers 05H30 (02H30 GMT) samedi matin.
"Cette perturbation tropicale devrait encore apporter beaucoup de pluies dans le sud de Madagascar durant deux jours", a expliqué à l'AFP le responsable des prévisions de la météorologie nationale malgache, Ndinizara Newsman de Priscofe.
Source © AFP
Le cyclone lui-même --qui est arrivé dans la région de Morombe (sud-ouest) vendredi matin et a quitté la Grande Ile vingt-quatre heures plus tard-- a fait 6 morts, 17 blessés et 3.600 sinistrés, a précisé le BNGRC dans un nouveau bilan, ne comptant plus le nombre des bâtiments ayant perdu leurs toits, où les cases inondées.
L'aéroport de Toliara (Tuléar) a été fermé au moins jusqu'à lundi.
Accompagnés de fortes pluies, les vents ont atteint de 150 à 180 km/h, avec des rafales jusqu'à 200 km/h.
"La ville de Morombe été détruite à 70%", a précisé à l'AFP le secrétaire exécutif du Bureau, Raymond Randriatahina, tandis qu'un journaliste de la radio nationale sur place a dit "à 99%".
La presse malgache a fait état samedi d'un bilan plus lourd de 9 morts et près de 6.000 sinistrés depuis vendredi matin.
Les fortes pluies qui avaient précédé l'arrivée du cyclone depuis le début de la semaine avaient déjà fait 4 morts et plus de 2.100 sinistrés.
La coupure des communications avec les zones sinistrées complique le recueil des informations.
Haruna, qui était un cyclone tropical de catégorie 2, a été rétrogradé au rang de perturbation tropicale après être reparti en mer vers 05H30 (02H30 GMT) samedi matin.
"Cette perturbation tropicale devrait encore apporter beaucoup de pluies dans le sud de Madagascar durant deux jours", a expliqué à l'AFP le responsable des prévisions de la météorologie nationale malgache, Ndinizara Newsman de Priscofe.
Source © AFP
09:53
Des inondations ont sérieusement touché l’Etat de Nouvelle -Galles du Sud en Australie au cours du dernier mois. Les forêts, les villes et les terres agricoles sont arrosées par des pluies torrentielles qui ne s’arrêtent plus depuis plusieurs semaines, provoquant la mort de deux personnes.
L’état d’urgence a été déclaré à Campsie et Bellingen, certains habitants ont été évacués de ces régions. Les routes de l'Etat ressemblent à de véritables fleuves, et les sauveteurs interviennent régulièrement pour sauver les hommes et les voitures. 10.000 foyers sont restés sans électricité dans la région.
Des pluies torrentielles et une tornade ont frappé l'est de l'Australie
Des milliers d'habitants de l'est de l'Australie ont été coupés du monde entier en raison de graves inondations causées par les pluies.
Les fortes pluies et, selon certaines informations, une mini-tornade ont causé de grandes destructions dans l'Etat de New South Wales dans la nuit du dimanche. Au moins deux personnes ont été tuées. Des milliers de maisons ont été privées d'électricité. Comme prévu, le niveau d'eau atteindra son apogée ce dimanche.
De plus, selon les prévisions météorologiques, un cyclone va frapper l'ouest de l'Australie dans quelques jours.
L’état d’urgence a été déclaré à Campsie et Bellingen, certains habitants ont été évacués de ces régions. Les routes de l'Etat ressemblent à de véritables fleuves, et les sauveteurs interviennent régulièrement pour sauver les hommes et les voitures. 10.000 foyers sont restés sans électricité dans la région.
Des pluies torrentielles et une tornade ont frappé l'est de l'Australie
Des milliers d'habitants de l'est de l'Australie ont été coupés du monde entier en raison de graves inondations causées par les pluies.
Les fortes pluies et, selon certaines informations, une mini-tornade ont causé de grandes destructions dans l'Etat de New South Wales dans la nuit du dimanche. Au moins deux personnes ont été tuées. Des milliers de maisons ont été privées d'électricité. Comme prévu, le niveau d'eau atteindra son apogée ce dimanche.
De plus, selon les prévisions météorologiques, un cyclone va frapper l'ouest de l'Australie dans quelques jours.
09:48
Un séisme a secoué Tokyo lundi après-midi, faisant bouger des immeubles pendant une demi-minute, ont indiqué des journalistes de l'AFP.
Selon l'Agence météorologique japonaise, le tremblement de terre, dont l'épicentre se situait dans la préfecture de Tochigi (nord de Tokyo), avait une magnitude de 5.7.
Source ©AFP / 25 février 2013
Selon l'Agence météorologique japonaise, le tremblement de terre, dont l'épicentre se situait dans la préfecture de Tochigi (nord de Tokyo), avait une magnitude de 5.7.
Source ©AFP / 25 février 2013
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mercredi 20 février 2013
20:08
La maladie, qui se transmet par les insectes, provoque des malformations congénitales chez les agneaux et peut réduire la production de lait chez les bovins.
Des foyers d'infection ont été signalés chez des animaux de ferme en Belgique, en France, en Allemagne, en Italie, au Luxembourg, au Pays-Bas, en Espagne et au Royaume-Uni.
Mais aujourd’hui les scientifiques européens affirment que les cerfs sauvages peuvent attraper le virus, et appellent les autorités à surveiller l'impact du virus sur la faune sauvage.
Le Dr Mutien-Marie Garigliany, un expert vétérinaire de l'Université de Liège fait partie d'une équipe d'experts qui étudie les cas révélés de virus de Schmallenberg sur la faune sauvage dans le sud de la Belgique.
Il affirme que des sangliers ainsi que des cerfs sauvages montrent des signes d'infection, même si le virus ne semble pas les rendre malades.
"Nous devons mettre en place une surveillance spécifique des animaux sauvages" at-il déclaré à la BBC.
Nos études en Belgique montrent que les cerfs sauvages peuvent attraper le virus mais que l'impact sur leurs santé reste inconnu.
«Nous savons que le virus sur le cerf leur fait produire des anticorps spécifiques, mais les cerfs ont une structure différente du placenta que celui des vaches ou des moutons»
Selon le professeur Trevor Drew, expert de la santé animale du gouvernement du Royaume-Uni et de la Veterinary Laboratories Agency, le virus peut infecter les cerfs, les daims, les cerfs sika et le chevreuil anglais.
La maladie est transmise par les piqûres de moucherons et certain autres insectes, ce qui rend impossible d'éradiquer le virus des élevages britanniques.
«Il est tout simplement impossible de contrôler tous les moucherons dans une zone de la taille de l'Europe", a expliqué le professeur Drew expert de l'Environnement, de l'Alimentation et des Affaires rurales anglaise.
© Nature Alerte
Des foyers d'infection ont été signalés chez des animaux de ferme en Belgique, en France, en Allemagne, en Italie, au Luxembourg, au Pays-Bas, en Espagne et au Royaume-Uni.
Mais aujourd’hui les scientifiques européens affirment que les cerfs sauvages peuvent attraper le virus, et appellent les autorités à surveiller l'impact du virus sur la faune sauvage.
Le Dr Mutien-Marie Garigliany, un expert vétérinaire de l'Université de Liège fait partie d'une équipe d'experts qui étudie les cas révélés de virus de Schmallenberg sur la faune sauvage dans le sud de la Belgique.
Il affirme que des sangliers ainsi que des cerfs sauvages montrent des signes d'infection, même si le virus ne semble pas les rendre malades.
"Nous devons mettre en place une surveillance spécifique des animaux sauvages" at-il déclaré à la BBC.
Nos études en Belgique montrent que les cerfs sauvages peuvent attraper le virus mais que l'impact sur leurs santé reste inconnu.
«Nous savons que le virus sur le cerf leur fait produire des anticorps spécifiques, mais les cerfs ont une structure différente du placenta que celui des vaches ou des moutons»
Selon le professeur Trevor Drew, expert de la santé animale du gouvernement du Royaume-Uni et de la Veterinary Laboratories Agency, le virus peut infecter les cerfs, les daims, les cerfs sika et le chevreuil anglais.
La maladie est transmise par les piqûres de moucherons et certain autres insectes, ce qui rend impossible d'éradiquer le virus des élevages britanniques.
«Il est tout simplement impossible de contrôler tous les moucherons dans une zone de la taille de l'Europe", a expliqué le professeur Drew expert de l'Environnement, de l'Alimentation et des Affaires rurales anglaise.
© Nature Alerte
20:05
Les Londoniens sont avertis que pollution de l'air a atteint des niveaux exceptionnellement élevés et que les exercices en plein air ne sont pas souhaitable.
Les personnes souffrant d'asthme et de problèmes cardiaques sont invités à éviter de sortir en ville à cause de pollution de l'air actuelle de la capitale.
Un document du gouvernement publié en Décembre dernier a montré que que 9% des décès dans les zones les plus polluées de la capitale anglaise sont le résultat de la pollution atmosphérique.
Selon Simon Birkett, fondateur de l'ONG "Campaigners Clean Air in London", Londres a les plus fortes concentrations de dioxyde d'azote (NO2), un gaz toxique, de n'importe quelle capitale de l'Europe."
Les citadins de Londres peuvent trouver les dernières statistiques de la qualité de l'air sur le site de "londonair.org.uk" - créé par des chercheurs du Kings College de Londres.
© Nature Alerte
Les personnes souffrant d'asthme et de problèmes cardiaques sont invités à éviter de sortir en ville à cause de pollution de l'air actuelle de la capitale.
Un document du gouvernement publié en Décembre dernier a montré que que 9% des décès dans les zones les plus polluées de la capitale anglaise sont le résultat de la pollution atmosphérique.
Selon Simon Birkett, fondateur de l'ONG "Campaigners Clean Air in London", Londres a les plus fortes concentrations de dioxyde d'azote (NO2), un gaz toxique, de n'importe quelle capitale de l'Europe."
Les citadins de Londres peuvent trouver les dernières statistiques de la qualité de l'air sur le site de "londonair.org.uk" - créé par des chercheurs du Kings College de Londres.
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