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jeudi 14 mars 2013
La Commission veut soumettre au vote vendredi sa proposition d'interdire pendant deux ans certains pesticides mortels pour les abeilles afin de mettre les Etats de l'UE "face à leurs responsabilités", a assuré jeudi une source européenne.

"L'issue de ce vote est très incertaine", a toutefois reconnu cette source impliquée dans ce dossier. Les représentants des Etats se sont réunis jeudi matin au sein d'un comité d'experts à Bruxelles et le tour de table va permettre de connaitre les positions des uns et des autres. Mais en tout état de cause, la Commission veut aller au vote vendredi, même si le résultat est négatif, pour "mettre les Etats face à leurs responsabilités".

Une demi-douzaine de pays - Royaume Uni, Espagne, Hongrie, Autriche, République Tchèque, Lituanie - s'opposent ouvertement aux proposition de la Commission. L'incertitude demeure sur la position de l'Allemagne, qui pèse 29 voix en cas de vote et sera déterminante pour constituer une minorité de blocage. Selon les dernières informations obtenues par l'AFP jeudi, son représentant devrait voter contre la proposition actuelle de la Commission.

La France en revanche soutient une interdiction ciblée, a assuré le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll. La France est à l'origine des mesures proposées par Bruxelles. Elle compte elle aussi pour 29 voix. Le Danemark et la Slovénie sont sur la même ligne, mais la balance penchait jeudi en faveur des adversaires de la proposition et la Commission va devoir "chercher une solution qui convienne à une majorité d'Etats", ont expliqué plusieurs sources proche du dossier.

Suspendre trois néonicotinoïdes


La Commission européenne propose de suspendre pendant deux ans l'utilisation de trois néonicotinoïdes présents dans des pesticides pour quatre types de cultures: le maïs, le colza, le tournesol et le coton.
La Commission s'est fondée sur un avis très négatif rendu par l'Autorité européenne pour la sécurité des aliments (EFSA). Les trois néonicotinoïdes incriminés - clothianidine, imidaclopride et thiaméthoxame - sont présents dans des pesticides produits par les groupes allemand Bayer et suisse Syngenta, notamment le Cruiser OSR.

La France a retiré l'autorisation de mise sur le marché (AMM) du Cruiser OSR utilisé en traitement de semence pour le colza. Reste son utilisation pour le maïs qui, bien que contestée, n'a pas été à ce stade définitivement bannie. L'Italie et l'Allemagne interdisent l'usage des pesticides incriminés seulement pour le maïs, les Pays-Bas pour traiter les plantes qui attirent les abeilles et la Slovénie pour toutes les plantes.

"L'Europe doit choisir"


Le moratoire proposé par la Commission vise à instituer une position européenne. Les apiculteurs le soutiennent. Plusieurs d'entre eux sont venus jeudi participer à un rassemblement organisé par l'ONG Avaaz devant les locaux du Parlement européen. Réunis sous une abeille géante, ils ont déployé une banderole pour dire "halte aux intoxications massives de nos abeilles".

"Les dirigeants européens doivent faire un choix clair: soit ils sauvent les abeilles d'un Armageddon chimique en Europe, soit ils soutiennent les industriels attachés à défendre leurs profits", a lancé Iain Keith, organisateur de l'action pour Avaaz. Les industriels contestent l'avis de l'EFSA.

"Nous sommes convaincus que les nouvelles conclusions de l'EFSA ne changent rien à la qualité et à la validité de (la précédente, NDLR) évaluation des risques", a déclaré le groupe allemand Bayer. Syngenta a pour sa part dénoncé une "évaluation hâtive et insuffisante" prise "sous pression politique". "Ce rapport n'est pas digne de l'EFSA et de ses scientifiques", a affirmé son directeur John Atkin.

Plus de 198.000 personnes ont été touchées par les orages et les tempêtes de grêle qui ont balayé la province du Guizhou (sud-ouest) ces deux derniers jours, ont annoncé jeudi les autorités locales.

Vingt-quatre districts et villes du Guizhou ont été frappés par des tempêtes et des vents violents de mardi après-midi à mercredi matin, a-t-on appris du Département provincial des affaires civiles.

Les premières estimations montrent que les tempêtes ont renversé plusieurs maisons et endommagé 8.700 hectares de terres agricoles, provoquant des pertes économiques directes de plus de 7,1 millions de yuans (1,13 million de dollars).

Les autorités locales mènent actuellement des opérations de secours et tentent de reloger les habitants sinistrés.
La  tempête tropicale Tim a pris naissance au large des côtes du Nord-Est de l'Australie. Sa trajectoire n'est pas menaçante dans les 48 prochaines heures, puisqu'elle restera essentiellement maritime. A plus longue échéance en revanche, ce devrait devenir un cyclone de catégorie 1 à 2.

Les conditions seront alors favorables à une incurvation vers le sud-ouest de sa trajectoire, en direction de la côte nord-est de l'Australie. Le point d'impact potentiel se situerait dans la région de Mackay, mais de nombreuses incertitudes sont encore présentes.
Les coûts économiques engendrés par les catastrophes naturelles ont atteint l'an dernier la somme de 138 milliards de dollars (112 milliards d'euros), la moitié des pertes ayant été causée par l'ouragan Sandy et la sécheresse qui ont frappé les Etats-Unis, a indiqué jeudi l'ONU.

C'est la troisième année consécutive que ce chiffre dépasse la barre des 100 milliards de dollars, ont relevé les Nations unies en dévoilant à Genève les statistiques pour 2012.

L'examen des pertes économiques causées par les catastrophes majeures depuis 1980 révèle une augmentation depuis depuis la moitié des années 1990, a expliqué la directrice de la Stratégie Internationale de Prévention des Catastrophes des Nations unies (UNISDR), Elizabeth Longworth, en conférence de presse.

Elle a relevé que cette tendance se poursuivait malgré le fait qu'en 2012 il n'y ait pas eu de méga-catastrophe comme peut l'être un tremblement de terre en milieu urbain.

Jusqu'à présent, 2011 reste l'année record en termes de pertes économiques (371 milliards de dollars) : la très grande majorité (214 milliards de dollars) des coûts avait eu pour origine le séisme et le tsunami qui avaient frappé le Japon en mars de cette année.

D'une façon générale, a souligné Mme Longworth, les coûts demeurent élevés lorsqu'une catastrophe affecte un pays industrialisé, comme ce fut le cas en 2012 avec la sécheresse (20 milliards de dollars) et l'ouragan Sandy (50 milliards de dollars) aux Etats-Unis.

Le chiffre des coûts globaux liés aux catastrophes naturelles est toutefois plus élevé, préviennent les Nations unies, qui ne comptabilisent que les pertes des assurances. Or, dans les pays en développement, seule une minorité de la population dispose d'une telle assurance.

Et si les pertes économiques engendrées par les désastres naturels sont plus importants dans les pays riches, ce sont les pays pauvres qui continuent d'enregistrer les pertes les plus importantes en termes de vies humaines.

Selon l'ONU, 9.330 personnes sont décédées dans le monde suite à une catastrophe naturelle, contre 30.770 en 2011, et 297.000 en 2010 (année du tremblement de terre en Haïti).


Source ©AFP / 14 mars 2013


mercredi 13 mars 2013
Les diversités des paysages du bassin de l'Orénoque colombien vont de la Cordillère des Andes, des plaines des Llanos et du bouclier guyanais.  Les Affluents de l'Orénoque forment un bassin considéré comme le troisième système fluvial le plus important de la planète, et l'une des régions les plus biologiquement diversifiés du monde.

Même si la Colombie a montré un engagement fort pour dans la protection de sa diversité biologique en 2010 en favorisant la conservation d'au moins 10% de ses écosystèmes naturels, elle reste toutefois sous la menace permanente de les voir disparaitre.

En effet, les seules zones strictement protégées en Colombie sont les parcs nationaux, qui protègent seulement 10% de la superficie des écosystèmes naturels et moins de 50% des écosystèmes du bassin de l'Orénoque.

Certaines régions du Llanos ont perdu jusqu'à 1/4 de leur couvertures végétales dans la dernière décennie. Les savanes naturelles ont été détruites à un rythme annuel de plus de 1.000 km ² pour être converties en pâturages ou en plantations de palmiers à huile.


Certaines régions ont des problèmes de gestion, tels que le manque de contrôle sur la croissance de la population à l'intérieur des parcs et l'utilisation non durable de leurs ressources.

Bien que les zones protégées ont presque doublé, la protection des écosystèmes n'augmente pas proportionnellement, ce qui est un signe de l'absence de capacités de planification et de gestion des administrations régionales et locales qui ont créé la plupart de ces domaines.


© Nature Alerte


Hier, une inondation causé par une hauteur de marée inattendue a couvert les principales rues de Commodore. Plusieurs voitures ont été emportées, les inondations ont touché des centaines de foyers et d'entreprises.

Un séisme de magnitude 6,5 est survenu mercredi dans la partie nord de la péninsule du Kamtchatka, située dans la partie extrême-orientale de la Russie, mais on n'a signalé aucune victime ni dégâts pour le moment, a rapporté l'agence de presse RIA Novosti.

Le séisme s'est produit à 15h12 heure locale (03h12 GMT). L'épicentre était situé dans la région reliant la péninsule du Kamtchatka à la partie continentale de la Russie, et le foyer a été localisé à une profondeur de 23,6 km, a précisé le service géophysique russe, cité par RIA Novosti.

Selon le reportage, les habitants d'Ossora et de Tilitchiki, les villages les plus proches de l'épicentre, ont ressenti des secousses, et actuellement, des secouristes et des urgentistes font du porte à porte pour vérifier la situation au cas par cas.



Source : RIA Novosti
Les lamantins de Floride, une espèce en voie de disparition , souffrent depuis longtemps de l'activité humaine, mais cette année, ils doivent faire face à une menace particulièrement mortelle cachée dans les eaux où ils nagent.

Une prolifération d'algues rouges au large de la Floride, a tué 174 lamantins depuis Janvier, c'est un record, ont déclaré Lundi les responsables de la faune de l’État.

Les marées rouges se produisent presque chaque année dans le sud ouest de la Floride et durent parfois plusieurs semaines, mais cette année, la marée rouge a persisté plus longtemps que prévu, et s'est malheureusement installée dans une zone d'eau plus chaude où les lamantins aiment migrer pour se nourrir.

"C'est une zone connue des scientifiques, où les lamantins se nourrissent des herbes du fond marin, mais où cette année, malheureusement, les toxines libérées par les algues rouges envahissantes se sont maintenant installées" a déclaré Kevin Baxter, un porte-parole de la "Florida Fish and Wildlife Conservation Commission".

Ces toxines affectent le système nerveux central des poissons et des autres vertébrés, ce qui provoque à cours terme la mort des animaux.

Seulement 12 lamantins ont pu être sauvé de cette hécatombe.

Les lamantins sont protégés par la Loi sur les espèces en péril depuis 1973. Les efforts de conservation ont conduit à une augmentation importante de la population des lamantins de Floride.


© Nature Alerte
Les marées rouges sont des phénomènes naturels causés par une efflorescence (c.-à-d. une prolifération très importante) de microalgues appartenant au groupe des algues rouges. Bien que l’on parle d'algues rouges, ces dernières peuvent avoir différentes couleurs dépendamment de leurs pigments. Le rouge bien entendu, mais aussi le vert, le bleu-vert et le brun-jaune, comme c’est le cas en Floride présentement.

Les efflorescences à l’origine des marées rouges dépendantes de la présence de conditions hydroclimatiques favorables. La température, les périodes d’ensoleillement et les courants marins sont autant de facteurs environnementaux qui peuvent contribuer à une telle prolifération. Il s’agit d’un phénomène très fréquent dans les eaux tropicales, comme le golf du Mexique.

Il existe une grande variété d’algues rouges. Alors que certaines sont presque inoffensives comme les Noctiluca scintillans qui ont causé une marée rouge en Australie l’automne passé, d’autres comme les Karenia brevis sont très dangereuses, car elle relâche des neurotoxines dans l’eau. C’est d’ailleurs une efflorescence de K. brevis qui a lieu dans le sud-ouest de la Floride depuis quelques jours.

La brévétoxine, nom donné à la neurotoxine produite par K. brevis, est mortelle pour les poissons et cause d’importants problèmes de santé chez les humains. L’ingestion de brévétoxine provoque des troubles neurologiques tels que de la paresthésie, des vertiges et de l’ataxie. Cette toxine provoque également des perturbations du système digestif comme la diarrhée, la nausée et des douleurs abdominales. En bordure des plages les vagues peuvent aussi créer des aérosols porteurs de la brévétoxine. Si ces aérosols sont inhalés, cela peut provoquer des difficultés respiratoires et des irritations. Heureusement, tout cela n’est pas mortel et les symptômes de la brévétoxine se résolvent rapidement. Il est par contre fortement conseillé de consulter un médecin ou un professionnel de la santé si vous ressentez les symptômes d’une intoxication. Ils seront en mesure d’évaluer si votre état de santé est sans danger ou s’il nécessite des soins médicaux.

En cas de marée rouge, il est donc important de respecter les directives des autorités de santé publique, notamment les interdictions de baignade et d’accès aux plages. De plus, comme plusieurs mollusques peuvent faire de la bioaccumulation de toxines, il est important lorsque l’on se trouve dans une zone touchée par une marée rouge de suivre à la lettre les avis concernant la consommation de produits de la mer.


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Le nombre de cadavres de porcs repêchés dans le fleuve Huangpu passant à Shanghai a doublé en deux jours, atteignant désormais presque 6.000 animaux dans un contexte de polémique sur leur origine.

Au total 5.916 porcelets et cochons adultes, certains pesant des centaines de livres, ont été collectés flottant dans le cours d'eau, a rapporté mardi soir le gouvernement de Shanghai dans un communiqué. Il avait annoncé en avoir déjà repêché 2.813 de jeudi à dimanche soir.

Le Huangpu, fleuve emblématique de Shanghai, compte pour 22% de la consommation d'eau des 23 millions d'habitants. Après avoir analysé des échantillons, le gouvernement de Shanghai a affirmé ces derniers jours que les résultats obtenus étaient "normaux".


La municipalité de Shanghai, selon la presse locale, pense que les porcs ont été jetés dans la rivière par des éleveurs de la préfecture de Jiaxing (province du Zhejiang), voisine de Shanghai, après être décédés d'une maladie non précisée.
Mais les responsables de Jiaxing ont pour l'instant refusé d'endosser cette responsabilité.

"Nous n'excluons pas l'éventualité que les porcs morts proviennent de Jiaxing. Mais nous n'en sommes pas sûrs", a déclaré Wang Dengfeng, porte-parole de cette préfecture. "Le lieu d'élevage des porcs morts n'est pas clair, par conséquent ils peuvent très bien être originaires d'ailleurs".


Le Huangpu est mondialement connu pour s'écouler le long du Bund, le boulevard de Shanghai jalonné de beaux édifices coloniaux de style européen des années 1930. Sur sa rive est se trouve le district de Pudong, célèbre pour ses gratte-ciel devenus les symboles de l'essor économique chinois.

La pollution des cours d'eau, parfois avec de graves conséquences pour la santé, est un fléau en Chine, où le respect de l'environnement est souvent sacrifié sur l'autel de la croissance économique.

Source © afp

mardi 12 mars 2013
Le tribunal de Saint-Nazaire a mis en délibéré au 26 mars sa décision d'autoriser, ou non, l'expulsion d'opposants qui occupent un ensemble de cabanes construites sur le site du futur aéroport contesté de Notre-Dame-des-Landes près de Nantes.

Cette demande d'expulsion de la filiale Aéroport du Grand Ouest (AGO) du groupe Vinci, concessionnaire du futur aéroport de Nantes, ne concerne que les cabanes, une dizaine environ, baptisées Chateigne, construites fin novembre 2012, alors que depuis lors plusieurs dizaines d'autres ont été édifiées un peu partout sur le site.

Pour empêcher la destruction de la Chateigne, autorisée par la justice le 11 décembre 2012, plusieurs opposants s'en étaient nominalement déclarés occupants, obligeant AGO à entamer une nouvelle procédure, plus longue, d'expulsion.

L'avocat d'AGO a plaidé mardi l'occupation illicite de ces cabanes, construites sur un terrain exproprié devenu la propriété de Vinci.

De son côté Me Pierre-Henri Marterêt qui défendait les quatre occupants déclarés des cabanes soutenait qu'il n'y avait pas d'urgence, car les travaux à cet endroit n'étaient pas prévus tout de suite, et qu'en outre aucun autre logement alternatif n'avait été proposé à ses clients.


La Chateigne, ensemble de constructions collectives édifiées le 17 novembre lors d'une manifestation géante ayant rassemblé de 13.000 à 40.000 personnes selon les estimations divergentes de lÉtat et des manifestants, est devenu un lieu symbolique de cette lutte.

Elle accueille depuis lors des collectifs anti nddl venus de toute la France qui s'y relaient chaque semaine.

A l'extérieur du tribunal, une soixantaine d'opposants étaient venus soutenir leurs camarades, a constaté un photographe de l'AFP.

L'aéroport Grand Ouest de Notre-Dame-des-Landes, destiné à remplacer l'actuel aéroport de Nantes situé au sud de l'agglomération, devait être inauguré en 2017.

Mais les intenses manifestations et les violents heurts avec les forces de l'ordre qui ont accompagné à l'automne 2012 la tentative d'expulsion des quelques 300 opposants anticapitalistes installés sur place ont d'ores et déjà entraîné le report de plusieurs mois de certaines phases de travaux comme le défrichage, prévu initialement en janvier 2013.

La commission de dialogue mise en place par Jean-Marc Ayrault fin novembre pour apaiser la crise doit rendre son rapport fin mars.


Source ©AFP


Les opposants sont toujours là


Quelques centaines d'opposants au projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique) occupent toujours le terrain, malgré l'intervention en nombre des forces de l'ordre en novembre et les multiples décisions judiciaires. Inlassablement, ils reconstruisent des installations, se heurtant régulièrement aux gendarmes qui surveillent la zone.

Beaucoup étaient partis, sous les gaz lacrymogènes des gendarmes, en novembre dernier. Certains étaient restés, d'autres sont revenus, comme à chaque fois précédemment.

Environ 300 opposants au projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique) occupent la zone d'aménagement différé (ZAD), rebaptisée « zone à défendre ». Face à eux, les gendarmes, ceux qui les avaient déjà délogés à l'automne dernier, alors qu'ils n'étaient qu'un peu plus d'une centaine. Ces gendarmes avec lesquels les rapports sont difficiles. Pour se « protéger », les opposants ont créé de véritables postes de défense, des fosses ou encore des palissades, au cas où.

Des étudiants, des militants, des agriculteurs...

Dans la foule de ceux qui ont reconstruit des dizaines de petites cabanes en bois, des potagers et des « maisons-débats », on trouve des étudiants, des militants chevronnés, politisés, ou encore des agriculteurs. Des paysans comme ceux qui tiennent la ferme Bellevue, dont une décision de justice a ordonné la destruction ; ce sont les COPAINS, le Collectif des organisations professionnelles agricoles indignées par le projet d'aéroport.

 

« A tour de rôle, on tient la maison. Du coup, il y a toujours des paysans en permanence sur le site. L'hiver nous a montré qu'on était capables de tenir » (Cyril Bouligand, agriculteur)

Ils font de leur résistance un acte fondateur, à opposer aux décisions administratives qui s'élaborent.

Tous ces opposants discutent chaque jour des actions à mener. Ils attendent également, parfois sans trop y croire, le rapport de la « commission de dialogue », prévu pour être remis à la fin du mois.

Cet organe avait été lancé par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault en novembre dernier, au plus fort de la contestation à Notre-Dame-des-Landes. La commission, qui a organisé près de 70 entretiens jusqu'ici, doit faire des recommandations « autonomes, quelles que soient les opinions des gens [...] rencontrés », affirme son président Claude Chéreau, qui ajoute : « On essaiera d'être impartiaux ».

Mais même si certaines associations d'opposants y ont activement participé, l'issue de ces entretiens ne fait guère de doute. Elle ne remettra certainement pas en cause le projet. Derrière leurs palissades, les « zadistes » se préparent à tout.
Lors d’un passage sur le plateau de NHK World, le directeur général de Tepco, M. Akira Kawano, a estimé qu’il devenait techniquement impossible à son entreprise de continuer de stocker sur le site les effluents radioactifs contaminés par les réacteurs éventrés de Fukushima-Daiichi.

Tepco et M. Kawano entendent revenir à la grande époque de l’océan-poubelle

Visiblement très ennuyé d’avoir à s’exprimer de la sorte, le directeur général de Tepco a précisé – les yeux baissés – qu’il existait différentes techniques pour relâcher ce que Tepco se dit désormais incapable de stocker davantage comme “la vidange directe dans l’océan” ou encore “l’évaporation”. Il s’agit en fait d’une technique bien rodée de désinformation : quand on n’est pas capable d’expliquer succinctement “pourquoi”, on explique longuement “comment”.

La décharge directe dans l’océan avait été utilisée du 4 au 11 avril 2011 afin de vidanger plus de 10.000 tonnes d’eau”faiblement contaminée” 1 du bâtiment-turbine n°. 5 et 6 afin de faire de la place pour stocker l’eau nettement plus contaminée provenant des tranchées des unités n°. 1, 2 et 3.


La dispersion par évaporation avait quant à elle été utilisée préalablement à l’automne 2011 sous le couvert d’une soi-disant protection des massifs boisés entourant la centrale contre les départs de feu


Ce sont à cette occasion environ 17.000 tonnes d’eau “faiblement” contaminée qui ont été vidangées non seulement au niveau des forêts entourant le site mais également au niveau de routes et d’équipements sportifs afin d’éviter, cette fois-ci, aux particules radioactives déposées par les rejets antérieurs de “se retrouver de nouveau en suspension dans l’air”. Bon, ajouter une couche de radioactivité supplémentaire à un terrain contaminé ne parait pas au premier abord une opération particulièrement intelligente mais il fallait bien trouver une pseudo-justification à cette nouvelle opération de vidange environnementale.


L’eau tritiée, un élément impossible à isoler, se retrouve intégralement injectée dans l’environnement


Tepco entend débuter ses opérations de purge après la mise en service de la nouvelle unité de décontamination ALPS qui est censée sur le papier récupérer la majeure partie des éléments radioactifs contenus dans l’eau ; cette unité s’avère malheureusement incapable de “fixer” l’un des radionucléides les plus insaisissables du combustible nucléaire : le Tritium-3 se retrouvant piégé dans l’eau sous la forme d’eau tritiée (3H2O ou HTO).

Cette eau tritiée est l’un des éléments les plus radioactifs qui soit 2 et présente en outre une période relativement importante 3. Étant donné que l’eau tritiée est d’une composition chimique très ressemblante à celle de l’eau normale 4, il est particulièrement délicat de séparer l’une de l’autre par un processus technologique éprouvé 5
.

Même si l’eau tritiée présente – officiellement 6 – une radiotoxicité relativement faible (1.8*10-11 Sv/Bq), les quantités importantes de Tritium libérées du combustible lors de la fusion des cœurs des 3 unités de Fukushima-Daiichi ont représenté à elles seules près de 5*1014 Bq, soit 500 TBq, à comparer avec des rejets annuels moyens de H3 par une installation électronucléaire française estimés à environ 10 TBq/an (wiki).

Selon World-Nuclear Association, l’eau non détritiée ne peut être rejetée dans l’environnement

L’association internationale représentant les métiers et les industriels du nucléaire indique dans sa page d’information sur la catastrophe de Fukushima-Daiichi que : “Tepco est sur le point d’expérimenter en février 2013 l’unité ALPS… qui ne peut toutefois résoudre le problème du Tritium, ce qui signifie apparemment que l’eau ne pourra être rejetée dans la mer après son traitement.”

La norme de rejet Japonaise – pour ce que valent les normes – est en effet fixée à une activité maximale de 60 Bq/ml soit 60 kBq/l d’eau et il est probable que le Tritium de Fukushima dépasse largement à lui seul ce seuil 7.

De la Hague à Fukushima, les rejets “tolérés” de Tritium empoisonnent chaque jour un peu plus la planète

Les français sont hélas, 25 fois hélas, loin d’être innocents en matière de contamination au Tritium et à l’eau tritiée, attendu que les autorisations de rejets annuels de l’usine de la Hague 8 concernant ce radioélément sont fixées à… 18.500 TBq ; le terme-source 9 réel en H3 des installations de la Hague est estimé à environ 12.000 TBq par an, soit pour une seule année 25 fois le terme-source global des rejets de Tritium liés à la catastrophe de Fukushima-Daiichi.

Source : © Gen4


Des galettes de pétrole brut ont été retrouvé tout le long d'un tronçon de plus de 25 km le long du littoral du Nord du Yorkshire en Angleterre, de nombreux oiseaux de mer ont été tué et plusieurs milliers sont en danger .

Les autorités de "Scarborough Borough" ont déclaré que des milliers de galettes pétrole ont échoué entre Scarborough et Speeton hier en fin d'après-midi et durant la nuit, les plus importantes faisaient la taille d'une assiette. Les galettes de pétrole brut ont été découvert à Scarborough South Bay, mais aussi à Cornelian Bay, à Cayton Bay et à Filey. Personne n'était aujourd'hui en mesure de savoir d'où elles provenaient. Des dizaines d'oiseaux morts ont déjà été déclaré aux services sanitaires.
L’agence maritime et les garde-côtes essayent de déterminer la source de la pollution, notamment en effectuant des vols de surveillance. Les autorités ont effectué des prelevements,et une enquête a été ouverte.

Les plages n'ont pas été fermé, néanmoins et les promeneurs sont appelés a signalé les nappes de pétrole où les galettes qu'ils pourraient découvrir durant leurs promenades.


La RSPB et plusieurs autres organisations de protection de l'environnement ont confirmé avoir reçu des oiseaux mazoutés.

Le porte-parole des gardes cotes a déclaré que la patrouille aérienne n'avait pas détecté de nappe au large.

© Nature Alerte

A moins de dix jours du printemps, des chutes de neige exceptionnelles paralysaient mardi 12 mars le Nord et l'Ouest, semant le chaos dans les transports jusque dans la région parisienne.

Météo France a placé mardi en vigilance rouge les départements de la Manche et du Calvados, un degré d'alerte encore jamais déclenché en France pour la neige et le verglas. 


Météo France a appelé les habitants de ces deux départements à rester chez eux dans la mesure du possible. La vigilance rouge est le degré le plus élevé dans le système d'alerte de Météo France. Il appelle les habitants des zones concernées à une vigilance "absolue".

En outre, la ministre du logement a annoncé une prolongation de la trêve des expulsions locatives, qui devait s'achever le 15 mars, de 15 jours en raison de la "situation exceptionnelle liée aux conditions climatiques".

Au moins neuf toits de magasins se sont effondrés totalement ou partiellement dans la Manche sous le poids de la neige, a indiqué la préfecture. Il s'agit de supermarchés ou d'espaces de vente en hangar situés à Carentan, Saint-Lô, Valognes et Coutances. Le toit de 350 m2 d'un Intermarché à Carentan est concerné. Dans le Calvados, selon France Bleu Basse-Normandie, plusieurs grandes surfaces ont fermé par crainte d'effondrement de leur toit sous le poids de la neige.

La vigilance orange est maintenue pour 27 autres départements du pays. Il neigeait abondamment mardi matin avec un fort vent de nord-est formant des congères sur la Normandie, la Picardie et le Nord - Pas-de-Calais. Le nord de la Bretagne et des Pays de la Loire, l'Ile-de-France, le nord de la Champagne-Ardenne et de la Lorraine sont concernés soit par des chutes de neige plus modérées, soit par des pluies plus ou moins verglaçantes.

Le danger vient surtout du vent, qui va "engendrer des congères de plus en plus importantes". En Picardie, tout près d'Amiens, la neige atteignait mardi matin 50 centimètres, avec des congères d'un mètre.

En dehors de la France, la Grande-Bretagne, la Belgique, les Pays-Bas et l'Allemagne sont les plus touchés par ces chutes de neige inhabituelles à l'approche du printemps.

Les cours ont été annulés mardi et mercredi dans la plupart des établissements scolaires du Nord - Pas-de-Calais. "Eu égard aux conditions climatiques, les établissements de l'académie de Lille ne pourront ce jour ainsi que demain mercredi 13 mars 2013 assurer les cours faute d'un encadrement suffisant permettant d'assurer la sécurité des élèves", indique le communiqué du rectorat.

"Pour autant, tous les établissements restent ouverts dans la mesure où leur mission est d'assurer l'accueil pour tout élève qui se trouverait isolé", affirme le rectorat.

La neige a aussi provoqué des coupures de courant d'une ampleur exceptionnelle. 80 000 foyers, soit près de 200 000 personnes, étaient privés d'électricité mardi matin selon ERDF, dont 52 000 en Normandie, 24 500 en Bretagne, 3 500 en Picardie et 1 800 dans le Nord - Pas-de-Calais.


"Sous l'effet conjugué du poids de la neige et du vent, les fils électriques se cassent", a déclaré à Xavier Lafargue, directeur territorial d'ERDF Pas-de-Calais.
 

Un SDF meurt de froid à Saint-Brieuc

Un sans-domicile fixe a été retrouvé mort mardi matin dans une rue de Saint-Brieuc, vraisemblablement victime de la vague de froid qui sévit dans le Nord-Ouest, ont indiqué les autorités locales. Le corps de cet homme de 58 ans a été retrouvé au pied d'un immeuble, rue de Paris, à 5 h 30. En outre, 206 places d'hébergement supplémentaires ont été mobilisées en Ile-de-France pour accueillir les sans-abri. Les amplitudes horaires de certains accueils de jour pour SDF sont également élargies, et les "maraudes" renforcées, selon le ministère. Dans la capitale, l'Etat et la Ville de Paris ont notamment ouvert 65 places supplémentaires, pour atteindre un total de 1 498 places d'hébergement d'urgence mises en place à Paris dans le cadre du plan hivernal, qui court du 1er novembre au 30 mars. - 


Source: © Le Monde avec AFP


lundi 11 mars 2013
Un séisme de magnitude 4,7 (d'abod annoncé 5,1) a secoué la Californie (ouest des Etats-Unis) lundi matin mais n'a semble-t-il pas fait de victimes ni provoqué de dégâts, selon le Centre américain de géophysique (USGS) et des témoins sur place.

L'épicentre de la secousse a été localisé à environ 160 kilomètres au sud-est de Los Angeles, près de la ville d'Anza, et a été ressenti jusqu'à San Diego, plus bas sur la côte californienne. Elle s'est produite peu avant 10h00 du matin heure locale (18h00 heure belge), à 11 kilomètres de profondeur.

Ce tremblement de terre a fait vaciller les immeubles de Los Angeles, dont celui abritant les bureaux de l'AFP, près du centre-ville. Mais aucun dégât n'a été rapporté, selon le Los Angeles Times et d'autres médias locaux.

La ville de Los Angeles est située sur "L'anneau de feu", qui entoure le Pacifique et a produit de nombreux séismes dévastateurs, dont celui au Japon en mars 2011.



Source
: 7s7
Météo France a placé 11 nouveaux départements en alerte orange neige et verglas, dont la région parisienne, portant ainsi à 25 le nombre des départements concernés, a annoncé Météo France dans un bulletin de vigilance. La fin de ce nouvel épisode neigeux est prévue "au plus tôt le mercredi 13 mars 2013 à 07h00".

Les nouveaux départements concernés sont les Ardennes, le Finistère, l'Ille-et-Vilaine, la Mayenne, la Sarthe, Paris et petite couronne (75-92-93-94), la Seine-et-Marne et l'Essonne.
Depuis lundi matin, 14 départements étaient déjà concernés en Haute et Basse-Normandie, dans le Nord-Pas-de-Calais, la Picardie mais aussi les Côtes-d'Armor, l'Eure-et-Loir, les Yvelines et le Val-d'Oise.


Selon le bulletin de vigilance, il s'agit d'un "épisode neigeux remarquable pour la saison, tant pour les quantités attendues que par sa durée".Selon Météo France, "il neige actuellement sur le nord-Finistère, les Côtes d'Armor, la Normandie, une grande partie du Nord-Picardie et le nord des Ardennes". "La couche de neige atteint généralement 1 à 5 cm sur le Nord-Pas de Calais et la Picardie, souvent 5 à 10 cm en Normandie, mais déjà jusque 20 à 25 cm sur le nord-Cotentin", ajoute-t-on de même source.

Les chutes de neige vont se poursuivre et s'intensifier lundi soir ou au cours de la nuit prochaine. Au plus fort des épisodes neigeux sont attendues des quantités supplémentaires de neige de l'ordre de 15 à 30 cm en Basse-Normandie, 20 à 30 cm sur l'ouest de l'Eure et la Seine Maritime, 10 à 20 cm supplémentaires, localement 25 voire 30 cm de neige sur la majeure partie du Nord-Pas-de-Calais et de la Picardie, ainsi que l'est de l'Eure.

Sont aussi attendus "généralement 5 à 15 cm, voire localement 20 cm, du nord-Bretagne au nord du Maine, ainsi que sur le nord-ouest de l'Eure-et-Loir, en Ile de France et dans les Ardennes" et "de l'ordre de 5 à 10 cm sur l'ouest de Nord-Pas de Calais de le sud-est de l'Aisne".
 

24.000 foyers privés d’électricités dans la Manche

Environ 24.000 foyers sont privés d’électricité dans le nord de la Manche en raison d’un épisode neigeux qui frappe le nord et l’ouest de la France, a indiqué lundi la préfecture du département le plus nucléarisé de France.


Actuellement, 24.000 foyers sont privés d’électricité dans le nord du département sur 298.000 abonnés, écrit la préfecture dans un communiqué reçu à la mi journée.

La neige humide qui a commencé à tomber dans la nuit va s’intensifier et tomber en gros flocons. Le temps se refroidit encore et, en fin de journée, il faut s’attendre à une couche d’au moins 10 à 20 centimètres selon les endroits, a-t-elle précisé.

Avec une centrale nucléaire qui compte deux réacteurs (dont un actuellement à l’arrêt pour maintenance) et un troisième
en construction à Flamanville, l’usine de retraitement des déchets de Beaumont-Hague, site qui concentre le plus de matière radioactive en Europe, le Centre de stockage de la Manche (CSM), plus anciens site de stockage définitif des déchets nucléaires français, et l’usine DCNS de fabrication de sous-marins nucléaires à Cherbourg, la Manche fait figure de département le plus nucléarisé de France. Tous les sites se trouvent dans le nord du département.

Source Afp

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