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vendredi 22 mars 2013
16:46
À l’occasion de la Journée mondiale de l’eau, célébrée ce vendredi 22 mars dans le monde entier, les responsables politiques se réunissent à La Haye, sur le thème de la coopération. Le but est de sensibiliser, tant au niveau local que national, à la nécessité de faciliter le dialogue entre les différents acteurs. Dans ce contexte, Futura-Sciences revient sur les chiffres clés autour de l’eau douce.
3.800 km3 d’eau douce sont consommés par an dans le monde. Près de 70 % sont utilisés pour l’agriculture. Cette exploitation conséquente s’explique par l’élevage et l’irrigation massive. Dans la plupart des pays en voie de développement, 90 % de l’eau douce sert à arroser les terres. L’Asie représente plus des deux tiers des terres irriguées dans le monde, et la culture du riz s’y est intensifiée pour faire face à l'augmentation de la population. L’industrie contribue pour 20 % de la consommation annuelle d’eau douce : elle l’utilise pour laver, chauffer ou refroidir. L’eau permet aussi la réalisation de réactions chimiques et le transport par canalisation. Enfin, les 10 % restants concernent l’utilisation domestique.
1,6 milliard d’Hommes vivent dans les pays en pénurie d’eau. Un pays est considéré en pénurie d’eau lorsque la demande en eau excède les réserves dont il dispose.
Au cours du XXe siècle, la consommation d’eau a augmenté deux fois plus rapidement que la population. Pourtant, la quantité d’eau douce disponible actuellement est encore insuffisante pour alimenter la population mondiale. Le problème réside dans la répartition géographique inégale de cet or bleu. L’Afrique subsaharienne est la région qui abrite le plus de pays en stress hydrique (voir la carte ci-dessous). L’Asie du Sud accuse également un sérieux déficit d’eau.
Les prévisions indiquent que d’ici 2030, 47 % de la population mondiale vivra dans des zones en pénurie d’eau.
Deux millions de tonnes d’eaux usées sont déchargées dans les cours d’eau naturels chaque année. Les eaux usées sont les eaux d’égout, ou issues des déchets industriels et agricoles. Leur traitement est le premier enjeu de santé publique : plus de 4.000 enfants de moins de 5 ans meurent chaque jour en raison de diarrhées liées au non-traitement des eaux usées.
En France, 82 % des logements sont raccordés au réseau de collecte et de traitement collectif. Toutefois, il existe encore quelque 1,1 million de logements qui rejettent leurs effluents dans la nature sans aucun traitement.
En France, plus de 100 µg/l de résidus médicamenteux se retrouvent dans les effluents et les eaux résiduaires.
La France est le quatrième consommateur de médicaments au monde : sur le marché hexagonal, il en existe plus de 3.000 pour humains et 300 pour animaux. Quand l’Homme consomme un médicament, il le rejette dans les eaux usées, par le biais de ses déjections. La concentration de médicaments dans l’eau potable est de l’ordre du nanogramme par litre en France. Si l’on ne mesure pas encore bien les risques de la présence de médicaments dans l’eau potable, des effets sur les poissons de rivière ont déjà été rapportés. Ainsi, les œstrogènes féminiseraient les poissons, et les anxiolytiques les rendraient agressifs.
La mer d’Aral a perdu 75 % de sa superficie initiale. Dans les années 1960, la mer d’Aral était le quatrième plus grand lac au monde, avec une superficie de 68.000 km2. L’assèchement de cette mer a été planifié en 1918 par la Russie. Or, c’est seulement au début des années 1960 qu’il est devenu effectif, quand les autorités soviétiques ont décidé d’intensifier la culture du coton en Ouzbékistan et au Kazakhstan. Les fleuves alimentant la mer d’Aral, l’Amou-Daria et le Syr-Daria, ont été détournés pour irriguer les champs. La salinité de l’eau a donc grimpé, et la biodiversité a complètement disparu. Toutefois, en 1989, la mer d’Aral est séparée en deux parties. La plus septentrionale étant gérée par le Kazakhstan, qui a lancé un projet de remplissage en 2005. Si bien qu’en 2008, le niveau de l’eau avait augmenté de 24 m ! Aujourd’hui, dans cette partie, l’eau est moins salée et la biodiversité reprend des couleurs.
3.800 km3 d’eau douce sont consommés par an dans le monde. Près de 70 % sont utilisés pour l’agriculture. Cette exploitation conséquente s’explique par l’élevage et l’irrigation massive. Dans la plupart des pays en voie de développement, 90 % de l’eau douce sert à arroser les terres. L’Asie représente plus des deux tiers des terres irriguées dans le monde, et la culture du riz s’y est intensifiée pour faire face à l'augmentation de la population. L’industrie contribue pour 20 % de la consommation annuelle d’eau douce : elle l’utilise pour laver, chauffer ou refroidir. L’eau permet aussi la réalisation de réactions chimiques et le transport par canalisation. Enfin, les 10 % restants concernent l’utilisation domestique.
1,6 milliard d’Hommes vivent dans les pays en pénurie d’eau. Un pays est considéré en pénurie d’eau lorsque la demande en eau excède les réserves dont il dispose.
Au cours du XXe siècle, la consommation d’eau a augmenté deux fois plus rapidement que la population. Pourtant, la quantité d’eau douce disponible actuellement est encore insuffisante pour alimenter la population mondiale. Le problème réside dans la répartition géographique inégale de cet or bleu. L’Afrique subsaharienne est la région qui abrite le plus de pays en stress hydrique (voir la carte ci-dessous). L’Asie du Sud accuse également un sérieux déficit d’eau.
Les prévisions indiquent que d’ici 2030, 47 % de la population mondiale vivra dans des zones en pénurie d’eau.
Deux millions de tonnes d’eaux usées sont déchargées dans les cours d’eau naturels chaque année. Les eaux usées sont les eaux d’égout, ou issues des déchets industriels et agricoles. Leur traitement est le premier enjeu de santé publique : plus de 4.000 enfants de moins de 5 ans meurent chaque jour en raison de diarrhées liées au non-traitement des eaux usées.
En France, 82 % des logements sont raccordés au réseau de collecte et de traitement collectif. Toutefois, il existe encore quelque 1,1 million de logements qui rejettent leurs effluents dans la nature sans aucun traitement.
En France, plus de 100 µg/l de résidus médicamenteux se retrouvent dans les effluents et les eaux résiduaires.
La France est le quatrième consommateur de médicaments au monde : sur le marché hexagonal, il en existe plus de 3.000 pour humains et 300 pour animaux. Quand l’Homme consomme un médicament, il le rejette dans les eaux usées, par le biais de ses déjections. La concentration de médicaments dans l’eau potable est de l’ordre du nanogramme par litre en France. Si l’on ne mesure pas encore bien les risques de la présence de médicaments dans l’eau potable, des effets sur les poissons de rivière ont déjà été rapportés. Ainsi, les œstrogènes féminiseraient les poissons, et les anxiolytiques les rendraient agressifs.
La mer d’Aral a perdu 75 % de sa superficie initiale. Dans les années 1960, la mer d’Aral était le quatrième plus grand lac au monde, avec une superficie de 68.000 km2. L’assèchement de cette mer a été planifié en 1918 par la Russie. Or, c’est seulement au début des années 1960 qu’il est devenu effectif, quand les autorités soviétiques ont décidé d’intensifier la culture du coton en Ouzbékistan et au Kazakhstan. Les fleuves alimentant la mer d’Aral, l’Amou-Daria et le Syr-Daria, ont été détournés pour irriguer les champs. La salinité de l’eau a donc grimpé, et la biodiversité a complètement disparu. Toutefois, en 1989, la mer d’Aral est séparée en deux parties. La plus septentrionale étant gérée par le Kazakhstan, qui a lancé un projet de remplissage en 2005. Si bien qu’en 2008, le niveau de l’eau avait augmenté de 24 m ! Aujourd’hui, dans cette partie, l’eau est moins salée et la biodiversité reprend des couleurs.
mercredi 20 mars 2013
10:38
"Les pesticides dans nos cours d'eau ne reculent pas. Même les pesticides interdits." La phrase, sans appel, est prononcée par Martin Guespereau, directeur général de l'Agence de l'eau Rhône Méditerranée Corse, qui présentait un rapport important sur l'état des rivières et des nappes phréatiques, mardi à Lyon.
La moitié des cours d'eau des bassins Rhône-Méditerranée et Corse sont certes en bon état – un meilleur taux qu'au niveau national, et une évolution positive dans le temps – mais 40 % sont pollués par des pesticides, pour 20 % des nappes phréatiques.
L'herbicide Roundup de Monsanto.
Il s'agit surtout d'herbicides, et surtout du Roundup de Monsanto. Ses premiers utilisateurs ? Les agriculteurs, bien sûr : c'est le pesticide le plus vendu sur les bassins Rhône-Méditerranée et Corse, avec près de 4.000 tonnes commercialisées entre 2009 et 2011, précise l'agence. Mais aussi les particuliers qui cultivent leur jardin, ainsi que sur les bords de route et les voies ferrées. Or, la présence du Round-Up dans nos rivières "ne baisse pas, prévient Martin Guespereau. Le taux est parfois 200 fois au-dessus de la valeur de l'eau potable."
D'où viennent les 49 pesticides interdits présents dans nos cours d'eau ?
Pire, l'Agence de l'eau a détecté 49 pesticides interdits dans nos cours d'eau, sur les 53 cloués au pilori par le Grenelle Environnement en 2007. Pour certains, cette présence est relativement normale, car ils ne se dégradent pas. Pour d'autres, en revanche, on ne devrait plus en retrouver trace dans l'eau... du moins, si l'on avait réellement cessé de les utiliser. La conclusion de Martin Guespereau est simple : "On fait toujours un usage courant de pesticides interdits !" Notamment dans le Beaujolais.
Du côté des nappes phréatiques, 38 d'entre elles dépassent les normes de potabilité. Cela implique un coût énorme en matière de dépollution. Au niveau national, on dépense ainsi 400 à 700 millions d'euros par an pour dépolluer de l'eau destinée à être bue. Certains cours d'eau sont si "sales" qu'il est interdit de les transformer en eau potable, dépollution ou pas...
D'où viennent ces pesticides ? De la vigne et des lavandes, notamment. Ces deux pollutions se sont avérées suffisamment fortes pour imposer un blocage du captage. Mais aussi l'arboriculture, soit en répandant beaucoup de pesticide sur des surfaces limitées, soit en utilisant peu de pesticide mais sur des surfaces très larges.
3 solutions pour lutter contre les pesticides dans nos cours d'eau
L'Agence de l'eau Rhône Méditerranée Corse entrevoit trois solutions pour diminuer le taux de pesticides dans nos rivières. Des solutions de bon sens, voire de "bonnes vieilles recettes", selon les termes de son directeur général :
1) Utiliser moins de pesticides, tout simplement.
2) Eviter les pertes de pollution. Par exemple, lorsqu'on vide une cuve et qu'on en lave le fond.
3) Eviter les agricultures polluantes. Deux possibilités : privilégier l'agriculture biologique ; acheter des terrains autour des captages, déplacer les cultures polluantes qui s'y trouvaient et y implanter des cultures moins ou non polluantes.
Source © Vincent Thimonnier / Lyon Capitale
La moitié des cours d'eau des bassins Rhône-Méditerranée et Corse sont certes en bon état – un meilleur taux qu'au niveau national, et une évolution positive dans le temps – mais 40 % sont pollués par des pesticides, pour 20 % des nappes phréatiques.
L'herbicide Roundup de Monsanto.
Il s'agit surtout d'herbicides, et surtout du Roundup de Monsanto. Ses premiers utilisateurs ? Les agriculteurs, bien sûr : c'est le pesticide le plus vendu sur les bassins Rhône-Méditerranée et Corse, avec près de 4.000 tonnes commercialisées entre 2009 et 2011, précise l'agence. Mais aussi les particuliers qui cultivent leur jardin, ainsi que sur les bords de route et les voies ferrées. Or, la présence du Round-Up dans nos rivières "ne baisse pas, prévient Martin Guespereau. Le taux est parfois 200 fois au-dessus de la valeur de l'eau potable."
D'où viennent les 49 pesticides interdits présents dans nos cours d'eau ?
Pire, l'Agence de l'eau a détecté 49 pesticides interdits dans nos cours d'eau, sur les 53 cloués au pilori par le Grenelle Environnement en 2007. Pour certains, cette présence est relativement normale, car ils ne se dégradent pas. Pour d'autres, en revanche, on ne devrait plus en retrouver trace dans l'eau... du moins, si l'on avait réellement cessé de les utiliser. La conclusion de Martin Guespereau est simple : "On fait toujours un usage courant de pesticides interdits !" Notamment dans le Beaujolais.
Du côté des nappes phréatiques, 38 d'entre elles dépassent les normes de potabilité. Cela implique un coût énorme en matière de dépollution. Au niveau national, on dépense ainsi 400 à 700 millions d'euros par an pour dépolluer de l'eau destinée à être bue. Certains cours d'eau sont si "sales" qu'il est interdit de les transformer en eau potable, dépollution ou pas...
D'où viennent ces pesticides ? De la vigne et des lavandes, notamment. Ces deux pollutions se sont avérées suffisamment fortes pour imposer un blocage du captage. Mais aussi l'arboriculture, soit en répandant beaucoup de pesticide sur des surfaces limitées, soit en utilisant peu de pesticide mais sur des surfaces très larges.
3 solutions pour lutter contre les pesticides dans nos cours d'eau
L'Agence de l'eau Rhône Méditerranée Corse entrevoit trois solutions pour diminuer le taux de pesticides dans nos rivières. Des solutions de bon sens, voire de "bonnes vieilles recettes", selon les termes de son directeur général :
1) Utiliser moins de pesticides, tout simplement.
2) Eviter les pertes de pollution. Par exemple, lorsqu'on vide une cuve et qu'on en lave le fond.
3) Eviter les agricultures polluantes. Deux possibilités : privilégier l'agriculture biologique ; acheter des terrains autour des captages, déplacer les cultures polluantes qui s'y trouvaient et y implanter des cultures moins ou non polluantes.
Source © Vincent Thimonnier / Lyon Capitale
10:33
Rivière pollution nitrates
Les gouvernements passent et le lobbying agricole reste. Malgré la pression de Bruxelles, les ministres de l'Agriculture et de l'Ecologie ont finalement cédé aux demandes pressantes des responsables de la FNSEA.
Dans une relative indifférence, Stéphane Le Foll et Delphine Batho ont accordé aux éleveurs de porcs 3 ans de plus se mettre en conformité avec la directive contraignante nitrates. Ce délai supplémentaire devrait déclencher la colère de Bruxelles pourrait perdre patience sur ce dossier et porter l'affaire devant la Cour de justice européenne.
Source © environnement 2 B
Les gouvernements passent et le lobbying agricole reste. Malgré la pression de Bruxelles, les ministres de l'Agriculture et de l'Ecologie ont finalement cédé aux demandes pressantes des responsables de la FNSEA.
Dans une relative indifférence, Stéphane Le Foll et Delphine Batho ont accordé aux éleveurs de porcs 3 ans de plus se mettre en conformité avec la directive contraignante nitrates. Ce délai supplémentaire devrait déclencher la colère de Bruxelles pourrait perdre patience sur ce dossier et porter l'affaire devant la Cour de justice européenne.
Source © environnement 2 B
10:30
Les navires de Sea Shepherd, endommagés lors de heurts avec les baleiniers japonais, sont rentrés au port mercredi en Australie au terme d'une âpre campagne de harcèlement dans les eaux glacées de l'Antarctique.
Le Steve Irwin, le Bob Barker et le Sam Simon ont tous trois accosté avec des avaries occasionnées lors de leurs confrontations avec les navires-harponneurs nippons et estimées à environ 805.000 euros.
Le quatrième navire, le Brigitte Bardot, se trouvait en un endroit non communiqué, avec à son bord le Canadien Paul Watson, recherché par Interpol à la demande du Costa-Rica où il est accusé d'avoir mis en danger un équipage lors d'une opération contre la chasse aux requins en 2002.
Le Japon s'était fixé cette année un quota de plus de 1.000 petits rorquals (ou baleine de Minke) ou rorqual commun. Sea Shepherd affirme que seulement 75 ont été harponnés.
Les navires des écologistes avaient pris la mer en novembre. Le capitaine du Bob Barker, Peter Hammarstedt, estime que la campagne a été la plus fructueuse, mais également la plus dangereuse, des neuf opérations saisonnières menées depuis sa création par l'organisation.
"Ca a été une longue campagne, certainement la plus dangereuse jusqu'à présent. Les baleiniers japonais n'avaient jamais été aussi agressifs, irresponsables et violents", a-t-il déclaré à son débarquement à Melbourne.
"Mon bateau porte les cicatrices de la bataille et ces cicatrices ont été causées par des baleiniers japonais illégaux qui tuent des baleines sans autorisation dans les eaux territoriales australiennes de l'Antarctique", a-t-il martelé.
Paul Watson le fugitif
Sea Shepherd et l'Institut japonais de recherche sur les cétacés s'accusent mutuellement d'abordage en pleine mer.
Watson, 61 ans, fondateur de Sea Sheperd, avait été arrêté à l'aéroport de Francfort le 13 mai 2012. Il s'était enfui en dépit d'une assignation à résidence.
Le ministre australien de la Justice, Mark Dreyfus, a fait savoir que Watson n'encourait pas de poursuites en Australie. "M. Watson ne fait l'objet d'aucun mandat d'arrêt par aucune juridication australienne", a-t-il dit.
Le Japon tue des baleines en vertu d'une tolérance de la Commission baleinière internationale (CBI) pour la chasse à des fins de recherche, bien que la chair des animaux finisse sur les étals nippons.
Récemment interrogé, le ministre japonais de l'Agriculture et des pêches, Yoshimasa Hayashi, a prévenu que Tokyo entendait continuer de harponner les baleines dans l'Antarctique.
"C'est une culture, et une longue tradition historique", avait-il expliqué.
La Norvège et l'Islande sont les deux seuls pays au monde à pratiquer une chasse commerciale au petit rorqual, en dépit d'un moratoire international entré en vigueur en 1986 mais auquel les deux pays ne s'estiment pas liés, ayant émis des réserves officielles à l'égard du texte.
Source © Belga
Le Steve Irwin, le Bob Barker et le Sam Simon ont tous trois accosté avec des avaries occasionnées lors de leurs confrontations avec les navires-harponneurs nippons et estimées à environ 805.000 euros.
Le quatrième navire, le Brigitte Bardot, se trouvait en un endroit non communiqué, avec à son bord le Canadien Paul Watson, recherché par Interpol à la demande du Costa-Rica où il est accusé d'avoir mis en danger un équipage lors d'une opération contre la chasse aux requins en 2002.
Le Japon s'était fixé cette année un quota de plus de 1.000 petits rorquals (ou baleine de Minke) ou rorqual commun. Sea Shepherd affirme que seulement 75 ont été harponnés.
Les navires des écologistes avaient pris la mer en novembre. Le capitaine du Bob Barker, Peter Hammarstedt, estime que la campagne a été la plus fructueuse, mais également la plus dangereuse, des neuf opérations saisonnières menées depuis sa création par l'organisation.
"Ca a été une longue campagne, certainement la plus dangereuse jusqu'à présent. Les baleiniers japonais n'avaient jamais été aussi agressifs, irresponsables et violents", a-t-il déclaré à son débarquement à Melbourne.
"Mon bateau porte les cicatrices de la bataille et ces cicatrices ont été causées par des baleiniers japonais illégaux qui tuent des baleines sans autorisation dans les eaux territoriales australiennes de l'Antarctique", a-t-il martelé.
Paul Watson le fugitif
Sea Shepherd et l'Institut japonais de recherche sur les cétacés s'accusent mutuellement d'abordage en pleine mer.
Watson, 61 ans, fondateur de Sea Sheperd, avait été arrêté à l'aéroport de Francfort le 13 mai 2012. Il s'était enfui en dépit d'une assignation à résidence.
Le ministre australien de la Justice, Mark Dreyfus, a fait savoir que Watson n'encourait pas de poursuites en Australie. "M. Watson ne fait l'objet d'aucun mandat d'arrêt par aucune juridication australienne", a-t-il dit.
Le Japon tue des baleines en vertu d'une tolérance de la Commission baleinière internationale (CBI) pour la chasse à des fins de recherche, bien que la chair des animaux finisse sur les étals nippons.
Récemment interrogé, le ministre japonais de l'Agriculture et des pêches, Yoshimasa Hayashi, a prévenu que Tokyo entendait continuer de harponner les baleines dans l'Antarctique.
"C'est une culture, et une longue tradition historique", avait-il expliqué.
La Norvège et l'Islande sont les deux seuls pays au monde à pratiquer une chasse commerciale au petit rorqual, en dépit d'un moratoire international entré en vigueur en 1986 mais auquel les deux pays ne s'estiment pas liés, ayant émis des réserves officielles à l'égard du texte.
Source © Belga
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10:25
Trois personnes ont trouvé la mort, tandis qu'une trentaine d'autres ont été blessées mercredi après le passage d'une tornade dans la province du Hunan (centre).
La tornade a balayé le district de Daoxian de la ville de Yongzhou vers 3h, faisant de nombreuses victimes, a fait savoir le bureau chargé de la presse du gouvernement de Yongzhou.
Les secouristes ont été dépêchés sur les lieux, et des enquêtes approfondies sont en cours pour déterminer le nombre exact de victimes et l'étendue des dégâts.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua)
La tornade a balayé le district de Daoxian de la ville de Yongzhou vers 3h, faisant de nombreuses victimes, a fait savoir le bureau chargé de la presse du gouvernement de Yongzhou.
Les secouristes ont été dépêchés sur les lieux, et des enquêtes approfondies sont en cours pour déterminer le nombre exact de victimes et l'étendue des dégâts.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua)
10:21
Hier un Séisme de magnitude 4.7 a frappé la pologne dans la région de Polkowice, dix-neuf mineurs polonais bloqués dans une mine par un éboulement ont été sauvé.
Location
51.529°N 16.108°E depth=3.7km (2.3mi)
3km (2mi) NE of Polkowice, Poland
15km (9mi) NNW of Lubin, Poland
15km (9mi) S of Glogow, Poland
30km (19mi) NNE of Chojnow, Poland
199km (124mi) NE of Prague, Czech Republic
Dix-neuf mineurs, bloqués dans un puits de mine en Pologne après un éboulement, ont pu être ramenés mercredi matin à la surface, a fait savoir la direction de la mine. Deux d'entre eux ont reçu des soins pour des blessures légères, les autres ont pu rentrer chez eux sains et saufs.
Il a fallu sept heures aux équipes de sauvetage pour parvenir à évacuer par un tunnel les mineurs coincés. Ceux-ci travaillaient à la mine de cuivre de Rudna, dans le sud de la Pologne, lorsqu'un séisme de faible magnitude a provoqué un éboulement et les a bloqués par 600 mètres de fond mardi soir.
Les équipes à la surface ont ensuite perdu, pendant plusieurs heures, le contact avec leurs collègues du fond. Les lignes de communication avec les puits avaient été coupées.
Les familles des mineurs, rassemblées aux abords du puits, ont exprimé leur soulagement lorsqu'un représentant de la compagnie KGHM, exploitant de la mine, a annoncé que tous les hommes avaient été retrouvés en vie. Il ont été remontés lentement par un tunnel creusé par les équipes de secours.
La mine de Rudna, en Silésie non loin des frontières allemande et tchèque, se trouve à 400 km de la capitale Varsovie. De nombreuses mines sont en exploitation en Pologne, la plupart dans cette région industrielle. En 2006, un coup de grisou dans une mine de charbon avait tué 23 mineurs.
Source ats / 20.03.2013
Location
51.529°N 16.108°E depth=3.7km (2.3mi)
3km (2mi) NE of Polkowice, Poland
15km (9mi) NNW of Lubin, Poland
15km (9mi) S of Glogow, Poland
30km (19mi) NNE of Chojnow, Poland
199km (124mi) NE of Prague, Czech Republic
Dix-neuf mineurs, bloqués dans un puits de mine en Pologne après un éboulement, ont pu être ramenés mercredi matin à la surface, a fait savoir la direction de la mine. Deux d'entre eux ont reçu des soins pour des blessures légères, les autres ont pu rentrer chez eux sains et saufs.
Il a fallu sept heures aux équipes de sauvetage pour parvenir à évacuer par un tunnel les mineurs coincés. Ceux-ci travaillaient à la mine de cuivre de Rudna, dans le sud de la Pologne, lorsqu'un séisme de faible magnitude a provoqué un éboulement et les a bloqués par 600 mètres de fond mardi soir.
Les équipes à la surface ont ensuite perdu, pendant plusieurs heures, le contact avec leurs collègues du fond. Les lignes de communication avec les puits avaient été coupées.
Les familles des mineurs, rassemblées aux abords du puits, ont exprimé leur soulagement lorsqu'un représentant de la compagnie KGHM, exploitant de la mine, a annoncé que tous les hommes avaient été retrouvés en vie. Il ont été remontés lentement par un tunnel creusé par les équipes de secours.
La mine de Rudna, en Silésie non loin des frontières allemande et tchèque, se trouve à 400 km de la capitale Varsovie. De nombreuses mines sont en exploitation en Pologne, la plupart dans cette région industrielle. En 2006, un coup de grisou dans une mine de charbon avait tué 23 mineurs.
Source ats / 20.03.2013
mardi 19 mars 2013
21:55
Le procureur Roberto Ribeiro Douglas de Magalhaes Chegury a ordonné qu'une enquête soit ouverte pour tenter de déterminer les causes des désastres environnementaux qui touchent les villes de Saint-Domingue, de Belos Campos, et de Goias dans le Nord-Est du pays.
Depuis hier des enquêtes sont menées par des géologues experts sur le terrain, ils vont tenté de déterminer les causes de cette effondrement de terrain suspicieux de plus de 7 km de long. Le procureur s'est rendu lui même sur le site pour collecter des échantillons d'eau et de terres qui pourraient d’après certains témoignages être contaminés par des produits chimiques et des pesticides.
Après une inondation de boue, un incroyable effondrement de pierres et de terre a ouvert un cratère d' environ 7 km de long,à l'est de la rivière Moustique, prés de Goiás et de Tocantins, mettant en danger les espèces de poissons en voie de disparition des rivières alentours .
© Nature Alerte / dépêche de ministére de la justice du Brésil
Depuis hier des enquêtes sont menées par des géologues experts sur le terrain, ils vont tenté de déterminer les causes de cette effondrement de terrain suspicieux de plus de 7 km de long. Le procureur s'est rendu lui même sur le site pour collecter des échantillons d'eau et de terres qui pourraient d’après certains témoignages être contaminés par des produits chimiques et des pesticides.
Après une inondation de boue, un incroyable effondrement de pierres et de terre a ouvert un cratère d' environ 7 km de long,à l'est de la rivière Moustique, prés de Goiás et de Tocantins, mettant en danger les espèces de poissons en voie de disparition des rivières alentours .
© Nature Alerte / dépêche de ministére de la justice du Brésil
21:51
Des centaines de jeunes lions de mer en état de malnutrition avancé se sont échoués le long de la côte sud de la Californie ces derniers mois, et les scientifiques ne peuvent toujours pas dire avec certitude ce qui cause ce phénomène déconcertant.
Les premiers se sont échoués sur les plages au début du mois de Janvier.Depuis lors, le nombre d'échouages signalés ne cessent d'augmenter, et aujourd'hui les centres de secours de San Diego et de Santa Barbara sont desormais débordés.
Depuis Janvier, plus de 500 bébés lion de mer déshydratés ont été admis dans les centres de secours dans le sud de la Californie
Le 13 Mars dernier, on comptabilisait déjà plus de 520 jeunes lions de mer admis dans les centres de secours.
La majorité d'entre eux ont environ neuf mois. À cet âge, les lions de mer sains pèsent normalement entre 25 et 30 kilos, mais tous les animaux reeuillis n'en pèsaient que la moitié.
Sharon Melin, un biologiste du Service national de la pêche, a déclaré que ces bébés ont été sevrés précocement et ont du été livrés à eux-mêmes et délaissé par leurs colonies d'origines.Etant trop faible pour trouver de la nourriture par leurs propres moyens, les bébés se seraient alors échoués sur les plages de Californie dans une tentative désespérée pour survivre. Tous souffrent de déshydratation et d'hypothermie.
Ce qui reste un véritable mystère pour les scientifiques c'est pourquoi ces jeunes ont quitté leurs colonies d'origine en avance sur le calendrier.
Le centre du "Pacific Marine Mammal" a déclaré l'état d'urgence cette semaine après avoir effectué plus de 18 sauvetages en deux jours.En dépit de la pression croissante sur les ressources, les moyens de sauvetage ont largement réussi à remettre en état les mammifères marins.
Néanmoins Sarah Wilkin, de la National Oceanic and Atmospheric Administration, a indiqué que les taux de mortalité restent élevés, allant de 20 à 30 pour cent en moyenne.
La mauvaise nouvelle, c'est que les experts prévoient que le nombre d'échouage de lions de mer risque d'augmenter considérablement dans les deux prochains mois.
© Nature Alerte
Les premiers se sont échoués sur les plages au début du mois de Janvier.Depuis lors, le nombre d'échouages signalés ne cessent d'augmenter, et aujourd'hui les centres de secours de San Diego et de Santa Barbara sont desormais débordés.
Depuis Janvier, plus de 500 bébés lion de mer déshydratés ont été admis dans les centres de secours dans le sud de la Californie
Le 13 Mars dernier, on comptabilisait déjà plus de 520 jeunes lions de mer admis dans les centres de secours.
La majorité d'entre eux ont environ neuf mois. À cet âge, les lions de mer sains pèsent normalement entre 25 et 30 kilos, mais tous les animaux reeuillis n'en pèsaient que la moitié.
Sharon Melin, un biologiste du Service national de la pêche, a déclaré que ces bébés ont été sevrés précocement et ont du été livrés à eux-mêmes et délaissé par leurs colonies d'origines.Etant trop faible pour trouver de la nourriture par leurs propres moyens, les bébés se seraient alors échoués sur les plages de Californie dans une tentative désespérée pour survivre. Tous souffrent de déshydratation et d'hypothermie.
Ce qui reste un véritable mystère pour les scientifiques c'est pourquoi ces jeunes ont quitté leurs colonies d'origine en avance sur le calendrier.
Le centre du "Pacific Marine Mammal" a déclaré l'état d'urgence cette semaine après avoir effectué plus de 18 sauvetages en deux jours.En dépit de la pression croissante sur les ressources, les moyens de sauvetage ont largement réussi à remettre en état les mammifères marins.
Néanmoins Sarah Wilkin, de la National Oceanic and Atmospheric Administration, a indiqué que les taux de mortalité restent élevés, allant de 20 à 30 pour cent en moyenne.
La mauvaise nouvelle, c'est que les experts prévoient que le nombre d'échouage de lions de mer risque d'augmenter considérablement dans les deux prochains mois.
© Nature Alerte
21:47
Une alerte à la pollution des eaux côtières dans la région frontalière américano-mexicaine a été élargi lundi et inclue désormais le rivage d'Imperial Beach à San Diego.
Ces derniers jours des courants marins venant du sud sont soupçonnés avoir charrié des eaux usées venant de la rivière Tijuana au large des côtes de la petite ville de South Bay, a confirmé le ministère de la Santé et de l'environnement du comté.
Une alerte à la pollution restera en place jusqu'à ce que les prélèvements sur le terrain indiquent que les eaux côtières sont de nouveau saines pour la baignade.
Les courants contaminés proviennent de l'estuaire de Tijuana au Mexique en raison des pluies diluviennes de cet hiver, selon le même DEH.
© Nature Alerte
Ces derniers jours des courants marins venant du sud sont soupçonnés avoir charrié des eaux usées venant de la rivière Tijuana au large des côtes de la petite ville de South Bay, a confirmé le ministère de la Santé et de l'environnement du comté.
Une alerte à la pollution restera en place jusqu'à ce que les prélèvements sur le terrain indiquent que les eaux côtières sont de nouveau saines pour la baignade.
Les courants contaminés proviennent de l'estuaire de Tijuana au Mexique en raison des pluies diluviennes de cet hiver, selon le même DEH.
© Nature Alerte
21:44
Des équipes de sauveteur tentent de contenir et de nettoyer un important déversement de pétrole d'environ 1.400 barils qui a contaminé des eaux souterraines dans l'ouest du Colorado.
Le Département d'État aux Ressources naturelles a déclaré à associated press que 129 barils ont été récupérés par pompage depuis lundi matin.
Cette marée noire couvre une importante superficie et est très proche de la rivière qui traverse la ville de Parachutiste. Des barrages de confinement ont été placés sur la rivière
La fuite a été découverte le 8 Mars dernier, mais sa cause n'est toujours pas connue.
Le Denver Post rapporte que le travail de pompage s'effectue par hydroexcavation dans un corridor de pipeline.
La petite ville de Parachute compte environ 1.100 personnes et elle craint aujourd'hui qu'une marée noire touche sa rivière.
© Nature Alerte
Le Département d'État aux Ressources naturelles a déclaré à associated press que 129 barils ont été récupérés par pompage depuis lundi matin.
Cette marée noire couvre une importante superficie et est très proche de la rivière qui traverse la ville de Parachutiste. Des barrages de confinement ont été placés sur la rivière
La fuite a été découverte le 8 Mars dernier, mais sa cause n'est toujours pas connue.
Le Denver Post rapporte que le travail de pompage s'effectue par hydroexcavation dans un corridor de pipeline.
La petite ville de Parachute compte environ 1.100 personnes et elle craint aujourd'hui qu'une marée noire touche sa rivière.
© Nature Alerte
21:41
Quatre-vingt six éléphants ont été tués les 14 et 15 mars par des braconniers dans le sud du Tchad, près de la frontière camerounaise, ont rapporté mardi des organisations de défense des animaux qui redoutent que ce genre de massacres n'aboutisse à l'éradication des pachydermes d'Afrique centrale.
Le commerce d'ivoire en plein essor
Parmi les victimes de ce massacre imputé à des organisations criminelles alimentant le marché asiatique en ivoire figurent 33 femelles enceintes et 15 éléphanteaux. «Cette tragédie démontre une fois de plus la menace qui pèse sur les populations d'éléphants d'Afrique centrale», a déclaré Bas Huijbregts, qui pilote la campagne contre le braconnage en Afrique centrale du WWF.
Selon les autorités tchadiennes citées par le WWF, les braconniers se déplaçaient à cheval et parlaient l'arabe, tout comme les auteurs présumés d'un précédent massacre qui a coûté la vie à plus de 300 éléphants dans le nord du Cameroun en mars 2012. Les autorités camerounaises ont déployé des hélicoptères et des centaines de troupes au sol pour combattre ce fléau.
Source Reuters
Le commerce d'ivoire en plein essor
Parmi les victimes de ce massacre imputé à des organisations criminelles alimentant le marché asiatique en ivoire figurent 33 femelles enceintes et 15 éléphanteaux. «Cette tragédie démontre une fois de plus la menace qui pèse sur les populations d'éléphants d'Afrique centrale», a déclaré Bas Huijbregts, qui pilote la campagne contre le braconnage en Afrique centrale du WWF.
Selon les autorités tchadiennes citées par le WWF, les braconniers se déplaçaient à cheval et parlaient l'arabe, tout comme les auteurs présumés d'un précédent massacre qui a coûté la vie à plus de 300 éléphants dans le nord du Cameroun en mars 2012. Les autorités camerounaises ont déployé des hélicoptères et des centaines de troupes au sol pour combattre ce fléau.
Source Reuters
21:39
Les Etats-Unis ont rejoint lundi l'Australie et la Nouvelle-Zélande pour réclamer des sanctuaires marins dans l'Antarctique, alors que les écologistes s'efforcent d'obtenir une interdiction de la pêche dans ses eaux limpides.
"L'Antarctique est un lieu exceptionnel qui collectionne les superlatifs. C'est la zone la plus haute, la plus froide, la plus venteuse, la plus sèche, la plus immaculée et la plus éloignée de la Terre", a déclaré le secrétaire d'Etat américain John Kerry, pendant une réunion de l'ONG Pew Charitable Trust, dont le siège se trouve à Philadelphie (Pennsylvanie, nord-est des Etats-Unis).
Le chef de la diplomatie américaine a fait l'éloge de ce "laboratoire vivant" qui héberge 16.000 espèces et qui "a charmé pendant des siècles l'humanité", qui cherchait en même temps à comprendre ce qui s'y passait.
Les Etats-Unis et la Nouvelle-Zélande ont proposé d'établir un sanctuaire marin de 1,6 million de m2 pour protéger la Mer de Ross, l'écosystème marin le mieux conservé du monde, qui pourrait ainsi devenir la plus grande réserve du monde.
L'Union européenne et l'Australie aussi veulent protéger 1,9 million de km2 de la fragile côte de l'Antarctique oriental.
Cependant la réunion de la Commission pour la conservation de la faune et la flore marines de l'Antarctique (CCAMLR) qui s'est tenue en novembre 2012 en Australie s'est terminée sans accord des 24 pays participants et de l'UE sur ce sujet.
La prochaine réunion de la Commission, qui devrait discuter des deux projets de réserve, est prévue en juillet en Allemagne.
"L'Antarctique est un lieu exceptionnel qui collectionne les superlatifs. C'est la zone la plus haute, la plus froide, la plus venteuse, la plus sèche, la plus immaculée et la plus éloignée de la Terre", a déclaré le secrétaire d'Etat américain John Kerry, pendant une réunion de l'ONG Pew Charitable Trust, dont le siège se trouve à Philadelphie (Pennsylvanie, nord-est des Etats-Unis).
Le chef de la diplomatie américaine a fait l'éloge de ce "laboratoire vivant" qui héberge 16.000 espèces et qui "a charmé pendant des siècles l'humanité", qui cherchait en même temps à comprendre ce qui s'y passait.
Les Etats-Unis et la Nouvelle-Zélande ont proposé d'établir un sanctuaire marin de 1,6 million de m2 pour protéger la Mer de Ross, l'écosystème marin le mieux conservé du monde, qui pourrait ainsi devenir la plus grande réserve du monde.
L'Union européenne et l'Australie aussi veulent protéger 1,9 million de km2 de la fragile côte de l'Antarctique oriental.
Cependant la réunion de la Commission pour la conservation de la faune et la flore marines de l'Antarctique (CCAMLR) qui s'est tenue en novembre 2012 en Australie s'est terminée sans accord des 24 pays participants et de l'UE sur ce sujet.
La prochaine réunion de la Commission, qui devrait discuter des deux projets de réserve, est prévue en juillet en Allemagne.
21:38
Les Etats arctiques ont confirmé indirectement qu’ils n’entendaient pas admettre de nouveaux membres dans leur club. Il n’y a rien à partager en Arctique. Toutes les ressources naturelles ont été prospectées dans les zones économiques exclusives, ont constaté à l’unanimité les délégués des Cinq de l’Arctique à la conférence internationale à Oslo.
La présence russe n’était pratiquement pas ressentie en Arctique au début des années 2000, se souvient l’expert de l’Institut de recherche arctique et antarctique Vladimir Sokolov. Plusieurs pays ont entrepris en cette période les expéditions en vue de prospecter les ressources de la région, a dit l’expert à notre correspondant.
La situation a changé radicalement depuis 2003 lorsque les stations en dérive « Pôle Nord » ont repris leurs activités. Les résultats de plusieurs expéditions des navires de recherche de l’Institut arctique ont suscité une vague d’émotions au niveau international.
« Il n’y a rien à partager en Arctique. 95-97% des ressources prospectées sont concentrées dans les zones exceptionnelles des pays arctiques », a souligné au Sommet arctique le représentant russe Anton Vassiliev et il n’y a pas eu d’objections.
Au micro l’expert en droit de la mer de l’Institut d’Etat et de droit Vassili Goutzouliak :
Chacun des cinq Etats arctiques a les droits dans le secteur bien déterminé couronné par le pôle Nord. Il ne faut pas oublier que le régime du droit dans ce secteur est régulé exclusivement par les normes du droit international de la mer.
Les Cinq de l’Arctique ont adopté ces derniers temps toute une série de mesures en vue de raffermir leur droit prioritaire à la présence en Arctique. Ils ont adopté en 2008 la déclaration d’Ilulissat interdisant la révision du régime du droit international en vue d’assurer l’accès libre aux pays tiers. En 2011 huit participants au Conseil arctique ont signé l’Accord de coopération dans les opérations de sauvetage en Arctique ayant délimité pour chacun des cinq pays les frontières de leurs secteurs de responsabilité.
Les perspectives à court et à moyen terme sont bien déterminées. L’ambassadeur itinérant du ministère russe des AE Anton Vassiliev a souligné au sommet à Oslo que l’avenir de l’Arctique était fondé sur une vaste coopération internationale et un fort Conseil arctique. Sans commentaire.
La présence russe n’était pratiquement pas ressentie en Arctique au début des années 2000, se souvient l’expert de l’Institut de recherche arctique et antarctique Vladimir Sokolov. Plusieurs pays ont entrepris en cette période les expéditions en vue de prospecter les ressources de la région, a dit l’expert à notre correspondant.
La situation a changé radicalement depuis 2003 lorsque les stations en dérive « Pôle Nord » ont repris leurs activités. Les résultats de plusieurs expéditions des navires de recherche de l’Institut arctique ont suscité une vague d’émotions au niveau international.
« Il n’y a rien à partager en Arctique. 95-97% des ressources prospectées sont concentrées dans les zones exceptionnelles des pays arctiques », a souligné au Sommet arctique le représentant russe Anton Vassiliev et il n’y a pas eu d’objections.
Au micro l’expert en droit de la mer de l’Institut d’Etat et de droit Vassili Goutzouliak :
Chacun des cinq Etats arctiques a les droits dans le secteur bien déterminé couronné par le pôle Nord. Il ne faut pas oublier que le régime du droit dans ce secteur est régulé exclusivement par les normes du droit international de la mer.
Les Cinq de l’Arctique ont adopté ces derniers temps toute une série de mesures en vue de raffermir leur droit prioritaire à la présence en Arctique. Ils ont adopté en 2008 la déclaration d’Ilulissat interdisant la révision du régime du droit international en vue d’assurer l’accès libre aux pays tiers. En 2011 huit participants au Conseil arctique ont signé l’Accord de coopération dans les opérations de sauvetage en Arctique ayant délimité pour chacun des cinq pays les frontières de leurs secteurs de responsabilité.
Les perspectives à court et à moyen terme sont bien déterminées. L’ambassadeur itinérant du ministère russe des AE Anton Vassiliev a souligné au sommet à Oslo que l’avenir de l’Arctique était fondé sur une vaste coopération internationale et un fort Conseil arctique. Sans commentaire.
21:35
La Commission européenne a annoncé mardi 19 mars un nouveau vote des Etats au printemps sur la proposition d'interdire pendant deux ans l'utilisation de trois néonicotinoïdes sur maïs, tournesol, colza et coton et espère pouvoir la faire entrer en vigueur le 1er juillet 2013.
Le premier vote vendredi dernier au sein d'un comité d'experts n'avait pas permis de dégager une majorité qualifiée pour ou contre cette proposition.
Pour l'Union des industries de la protection des plantes (UIPP), ce résultat « montre la nécessité de prendre en compte la totalité des données disponibles pour avancer vers une décision proportionnée ». L'UIPP propose que la Commission oriente les Etats membres vers des suivis au champ, organisés à grande échelle, afin de confirmer les résultats déjà obtenus et que les mesures de gestion de risques spécifiques aux culture soient généralisées. »
Si aucune majorité qualifiée n'est encore trouvée lors du deuxième vote, la Commission européenne pourrait imposer sa proposition.
Le premier vote vendredi dernier au sein d'un comité d'experts n'avait pas permis de dégager une majorité qualifiée pour ou contre cette proposition.
Pour l'Union des industries de la protection des plantes (UIPP), ce résultat « montre la nécessité de prendre en compte la totalité des données disponibles pour avancer vers une décision proportionnée ». L'UIPP propose que la Commission oriente les Etats membres vers des suivis au champ, organisés à grande échelle, afin de confirmer les résultats déjà obtenus et que les mesures de gestion de risques spécifiques aux culture soient généralisées. »
Si aucune majorité qualifiée n'est encore trouvée lors du deuxième vote, la Commission européenne pourrait imposer sa proposition.
16:20
Cependant, «aucun changement important des niveaux de radioactivité n'a été détecté par nos instruments de mesure à proximité», a indiqué un porte-parole de Tepco...
L'opérateur de la centrale nucléaire japonaise Fukushima Daiichi s'activait ce mardi pour relancer les systèmes de refroidissement des piscines de stockage du combustible, arrêtés depuis une panne de courant la veille au soir.
L'électricité a été coupée lundi à 18H57 heure locale (10h57 à Paris), pour une raison inconnue, et n'avait toujours pas été rétablie mardi matin, a expliqué un porte-parole de Tokyo Electric Power (Tepco) à l'AFP. «L'électricité servant au refroidissement des piscines (du combustible usagé) des réacteurs 1, 3 et 4 a été coupée», a précisé ce porte-parole, Kenichi Tanabe. «Nous essayons de la rétablir». La panne, a-t-il ajouté, a également entraîné l'arrêt des équipements de traitement des débris contaminés de la centrale, dont des matériaux radioactifs.
Pas de résurgence de la crise
«Aucun changement important des niveaux de radioactivité n'a été détecté par nos instruments de mesure à proximité», a-t-il souligné, écartant la possibilité d'une résurgence de la crise. L'incident n'a pas affecté jusqu'à présent l'injection d'eau dans les réacteurs 1 et 3 de la centrale, dont le combustible avait fondu à la suite de l'accident de 2011, a-t-il poursuivi. Le gouvernement s'est voulu aussi rassurant. Tepco «utilise tous les moyens alternatifs pour refroidir (les piscines), aussi n'avons-nous pas de raison de nous inquiéter», a déclaré son porte-parole, Yoshihide Suga.
De son côté le responsable exécutif des installations nucléaires chez Tepco, Masayuki Ono, a précisé que la température de la piscine de stockage du réacteur 4 était estimée à 30,5 degrés Celsius à 10h locales (2h à Paris). Cette piscine est celle qui inspire le plus d'inquiétude car elle est la plus remplie, avec 1.330 barres de combustible usagé et 200 barres de combustible non utilisé. D'après Tepco, la température y monte en moyenne de 0,3 à 0,4 degré par heure depuis la coupure du système de refroidissement, ce qui laisse à l'opérateur environ quatre jours pour rétablir le courant avant que ne soit atteinte la limite de sûreté, fixée à 65 degrés Celsius.
Masayuki Ono a souligné que la température des deux autres piscines était plus basse - 17,1 degrés pour celle du réacteur 1 et 15,9 degrés pour celle du 3 à 10h. Tepco estime disposer de respectivement 14 et 26 jours avant que la température de ces piscines n'atteigne le seuil de sûreté, si d'aventure l'électricité ne pouvait être rétablie. Masayuki Ono a expliqué qu'un problème dans une unité de distribution de courant pourrait être à l'origine de la coupure, sans certitude toutefois.
La situation ne semble «pas grave dans l'immédiat»
«Notre priorité est de rétablir le courant pour relancer les opérations (de refroidissement) et nous voulons y parvenir le plus vite possible (...). Si cela prenait trop longtemps, nous pourrions toujours ajouter de l'eau de refroidissement (dans les piscines) si nécessaire afin d'éviter que la situation ne dégénère», a-t-il voulu rassurer. Pour Akio Koyama, professeur au service de sécurité nucléaire de l'Université de Kyoto, la situation ne semble «pas grave dans l'immédiat».
«Même si la température de l'eau atteint 65 degrés, ce ne serait pas critique à partir du moment où les barres sont toujours dans l'eau. Si le niveau de l'eau baissait au point que les barres soient exposées à l'air, il y aurait alors motif à s'inquiéter», a-t-il ajouté. L'accident nucléaire de Fukushima, le pire depuis celui de Tchernobyl (Ukraine) en 1986, s'était produit après un puissant séisme et le passage d'un tsunami géant le 11 mars 2011, qui avaient entraîné l'arrêt de la fourniture d'électricité et des systèmes de refroidissement.
D'importantes quantités de radiation s'étaient disséminées dans l'environnement autour de cette centrale à 220 km au nord-est de Tokyo. La phase critique de l'accident est considérée comme terminée depuis décembre 2011, mais les travaux de sécurisation du site n'avancent que pas à pas en raison des hauts niveaux de radioactivité.
Source © AFP
L'opérateur de la centrale nucléaire japonaise Fukushima Daiichi a partiellement rétabli mardi après-midi le système de refroidissement des piscines de stockage du combustible, arrêté depuis une panne de courant la veille au soir.
L'opérateur de la centrale nucléaire japonaise Fukushima Daiichi s'activait ce mardi pour relancer les systèmes de refroidissement des piscines de stockage du combustible, arrêtés depuis une panne de courant la veille au soir.
L'électricité a été coupée lundi à 18H57 heure locale (10h57 à Paris), pour une raison inconnue, et n'avait toujours pas été rétablie mardi matin, a expliqué un porte-parole de Tokyo Electric Power (Tepco) à l'AFP. «L'électricité servant au refroidissement des piscines (du combustible usagé) des réacteurs 1, 3 et 4 a été coupée», a précisé ce porte-parole, Kenichi Tanabe. «Nous essayons de la rétablir». La panne, a-t-il ajouté, a également entraîné l'arrêt des équipements de traitement des débris contaminés de la centrale, dont des matériaux radioactifs.
Pas de résurgence de la crise
«Aucun changement important des niveaux de radioactivité n'a été détecté par nos instruments de mesure à proximité», a-t-il souligné, écartant la possibilité d'une résurgence de la crise. L'incident n'a pas affecté jusqu'à présent l'injection d'eau dans les réacteurs 1 et 3 de la centrale, dont le combustible avait fondu à la suite de l'accident de 2011, a-t-il poursuivi. Le gouvernement s'est voulu aussi rassurant. Tepco «utilise tous les moyens alternatifs pour refroidir (les piscines), aussi n'avons-nous pas de raison de nous inquiéter», a déclaré son porte-parole, Yoshihide Suga.
De son côté le responsable exécutif des installations nucléaires chez Tepco, Masayuki Ono, a précisé que la température de la piscine de stockage du réacteur 4 était estimée à 30,5 degrés Celsius à 10h locales (2h à Paris). Cette piscine est celle qui inspire le plus d'inquiétude car elle est la plus remplie, avec 1.330 barres de combustible usagé et 200 barres de combustible non utilisé. D'après Tepco, la température y monte en moyenne de 0,3 à 0,4 degré par heure depuis la coupure du système de refroidissement, ce qui laisse à l'opérateur environ quatre jours pour rétablir le courant avant que ne soit atteinte la limite de sûreté, fixée à 65 degrés Celsius.
Masayuki Ono a souligné que la température des deux autres piscines était plus basse - 17,1 degrés pour celle du réacteur 1 et 15,9 degrés pour celle du 3 à 10h. Tepco estime disposer de respectivement 14 et 26 jours avant que la température de ces piscines n'atteigne le seuil de sûreté, si d'aventure l'électricité ne pouvait être rétablie. Masayuki Ono a expliqué qu'un problème dans une unité de distribution de courant pourrait être à l'origine de la coupure, sans certitude toutefois.
La situation ne semble «pas grave dans l'immédiat»
«Notre priorité est de rétablir le courant pour relancer les opérations (de refroidissement) et nous voulons y parvenir le plus vite possible (...). Si cela prenait trop longtemps, nous pourrions toujours ajouter de l'eau de refroidissement (dans les piscines) si nécessaire afin d'éviter que la situation ne dégénère», a-t-il voulu rassurer. Pour Akio Koyama, professeur au service de sécurité nucléaire de l'Université de Kyoto, la situation ne semble «pas grave dans l'immédiat».
«Même si la température de l'eau atteint 65 degrés, ce ne serait pas critique à partir du moment où les barres sont toujours dans l'eau. Si le niveau de l'eau baissait au point que les barres soient exposées à l'air, il y aurait alors motif à s'inquiéter», a-t-il ajouté. L'accident nucléaire de Fukushima, le pire depuis celui de Tchernobyl (Ukraine) en 1986, s'était produit après un puissant séisme et le passage d'un tsunami géant le 11 mars 2011, qui avaient entraîné l'arrêt de la fourniture d'électricité et des systèmes de refroidissement.
D'importantes quantités de radiation s'étaient disséminées dans l'environnement autour de cette centrale à 220 km au nord-est de Tokyo. La phase critique de l'accident est considérée comme terminée depuis décembre 2011, mais les travaux de sécurisation du site n'avancent que pas à pas en raison des hauts niveaux de radioactivité.
Source © AFP
L'opérateur de la centrale nucléaire japonaise Fukushima Daiichi a partiellement rétabli mardi après-midi le système de refroidissement des piscines de stockage du combustible, arrêté depuis une panne de courant la veille au soir.
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