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mardi 17 décembre 2013
Un séisme de magnitude 5,1 a secoué Enshi, dans la province centrale du Hubei, lundi à 13h04 (heure de Beijing), selon le Centre du réseau sismique de Chine.
L'épicentre, situé à une profondeur de cinq kilomètres, a été localisé à 31,1 degrés de latitude nord et 110,4 degrés de longitude est, a indiqué le centre dans un communiqué.
L'épicentre, situé à une profondeur de cinq kilomètres, a été localisé à 31,1 degrés de latitude nord et 110,4 degrés de longitude est, a indiqué le centre dans un communiqué.
lundi 16 décembre 2013
Les oiseaux communs de Grande-Bretagne, comme les coucous, sont d'ores et déjà en voie d' extinction
Plusieurs espèces d'oiseaux communes sont d'ores et déjà en voie d'extinction sur de grandes parties des territoires de l'angleterre après avoir subi " Une chute spectaculaire de leur population " révéle un rapport ornithologique choquant .
Ce rapport a constaté que sur les 107 oiseaux nicheurs les plus répandus en Angleterre 16 ont diminué de plus de 33 pour cent depuis 1995 , y compris les étourneaux , les coucous , les vanneaux huppés , Les tariers des prés et les pouillots siffleurs .
Plus grave depuis les années 1970, la population des bruants de maïs ont chuté de 56 pour cent , celle de la tourterelle des bois d'environ 51 pour cent ,le Tariers de 48 pour cent , la perdrix grise de 40 pour cent , les parulines de 34 pour cent et les vanneaux de 18 pour cent .
Et le phénomêne s'accélére
Depuis 1995,la population des tourterelles a chuté de 95 pour cent , les mésanges de saule de 85 pour cent et les fauvettes bois de 69 pour cent .
La population des étourneaux a diminué de 53 pour cent en moins de 20 ans
Les populations des coucous , des bécassine , des vanneaux huppés , des bergeronnettes printanières et des perdrix grises chutent de façon spectaculaire dans les campagnes de la grande Bretagne tandis que la population des bruants proyers est déjà éteinte en Irlande.
Colette Temple de la Wildfowl & Wetlands Trust, a déclaré : " Nous avons des preuves inquiétantes que les aires de reproduction de nos oiseaux ont considérablement diminué.
«Nous perdons nos espèces bien-aimées comme les snipes ou les vanneaux qui ont complètement disparus des régions du sud de l'Angleterre .
" Les causes principales semblent être la perte des habitats naturels et des zones humides.
" Nous devons protéger et restaurer ces habitats pour que ces espèces et toute la faune des zones humides retrouvent leur condition natuelle pour survivre et prospérer . "
© Nature Alerte
Plusieurs espèces d'oiseaux communes sont d'ores et déjà en voie d'extinction sur de grandes parties des territoires de l'angleterre après avoir subi " Une chute spectaculaire de leur population " révéle un rapport ornithologique choquant .
Ce rapport a constaté que sur les 107 oiseaux nicheurs les plus répandus en Angleterre 16 ont diminué de plus de 33 pour cent depuis 1995 , y compris les étourneaux , les coucous , les vanneaux huppés , Les tariers des prés et les pouillots siffleurs .
Plus grave depuis les années 1970, la population des bruants de maïs ont chuté de 56 pour cent , celle de la tourterelle des bois d'environ 51 pour cent ,le Tariers de 48 pour cent , la perdrix grise de 40 pour cent , les parulines de 34 pour cent et les vanneaux de 18 pour cent .
Et le phénomêne s'accélére
Depuis 1995,la population des tourterelles a chuté de 95 pour cent , les mésanges de saule de 85 pour cent et les fauvettes bois de 69 pour cent .
La population des étourneaux a diminué de 53 pour cent en moins de 20 ans
Les populations des coucous , des bécassine , des vanneaux huppés , des bergeronnettes printanières et des perdrix grises chutent de façon spectaculaire dans les campagnes de la grande Bretagne tandis que la population des bruants proyers est déjà éteinte en Irlande.
Colette Temple de la Wildfowl & Wetlands Trust, a déclaré : " Nous avons des preuves inquiétantes que les aires de reproduction de nos oiseaux ont considérablement diminué.
«Nous perdons nos espèces bien-aimées comme les snipes ou les vanneaux qui ont complètement disparus des régions du sud de l'Angleterre .
" Les causes principales semblent être la perte des habitats naturels et des zones humides.
" Nous devons protéger et restaurer ces habitats pour que ces espèces et toute la faune des zones humides retrouvent leur condition natuelle pour survivre et prospérer . "
© Nature Alerte
Le Kenya Wildlife Service ( KWS ) affirme que le zèbre de Grévy , une espèce rare , est en danger critique d'extinction si des mesures urgentes ne sont pas prises pour en inverser la tendance.
"L'animal était présent dans six pays d'Afrique en 1970, aujourd'hui seulement 2000 d'entre eux sont confinés au Kenya et en Ethiopie et sa population continue de chuter"
La population est passée de 15 000 individus à la fin des années 1970 à moins de 2000 aujourd'hui.
Charles Musyoki , scientifique principal du KWS en charge des espèces sauvage pour le pays, a déclaré mercredi que le zèbre de Grévy est confrontée à moyen terme à un risque élevé d'extinction et qu'il est désormais sur le point d'être classée comme une espèce en voie d'extinction .Le braconnage , la maladie et l'accès limité aux pâturages et aux points d'eau en sont les principales raisons.
© Nature Alerte
"L'animal était présent dans six pays d'Afrique en 1970, aujourd'hui seulement 2000 d'entre eux sont confinés au Kenya et en Ethiopie et sa population continue de chuter"
La population est passée de 15 000 individus à la fin des années 1970 à moins de 2000 aujourd'hui.
Charles Musyoki , scientifique principal du KWS en charge des espèces sauvage pour le pays, a déclaré mercredi que le zèbre de Grévy est confrontée à moyen terme à un risque élevé d'extinction et qu'il est désormais sur le point d'être classée comme une espèce en voie d'extinction .Le braconnage , la maladie et l'accès limité aux pâturages et aux points d'eau en sont les principales raisons.
© Nature Alerte
Les arrêtés environnementaux autorisant le début des travaux préalables à la construction de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, près de Nantes, vont être "très prochainement" signés, a indiqué lundi 16 décembre le préfet de Loire-Atlantique, Christian de Lavernée.
Lors d'une conférence de presse, le préfet s'est refusé à donner une date précise pour le démarrage des travaux du projet d'aéroport, très contesté sur le terrain.
Christian de Lavernée a indiqué qu'il signerait "très prochainement" les arrêtés, précisant qu'ils étaient actuellement "en cours de relecture".
Transferts d'espèces et défrichage
En ce qui concerne la date des travaux, il a expliqué que l'autorité publique chercherait "à choisir un calendrier sans se laisser imposer de contraintes ni dans le sens d'un retardement ni dans le sens d'une accélération du projet".
Ces travaux, notamment les transferts d'espèces et le défrichage, qui devaient débuter à l'automne 2012, avaient été suspendus fin novembre 2012 à la suite de l'importante contestation rencontrée par les forces de l'ordre, afin d'ouvrir une période de "concertation".
Le projet initial de cet aéroport dont la concession a été confiée à Vinci prévoyait une inauguration en 2017.
Le directeur de la DGAC Patrick Gandil présent à la conférence de presse, a évoqué de son côté un début de chantier "en 2014" sans vouloir préciser s'il s'agirait de début ou de la fin de l'année.
Source : © AFP
Lors d'une conférence de presse, le préfet s'est refusé à donner une date précise pour le démarrage des travaux du projet d'aéroport, très contesté sur le terrain.
Christian de Lavernée a indiqué qu'il signerait "très prochainement" les arrêtés, précisant qu'ils étaient actuellement "en cours de relecture".
Transferts d'espèces et défrichage
En ce qui concerne la date des travaux, il a expliqué que l'autorité publique chercherait "à choisir un calendrier sans se laisser imposer de contraintes ni dans le sens d'un retardement ni dans le sens d'une accélération du projet".
Ces travaux, notamment les transferts d'espèces et le défrichage, qui devaient débuter à l'automne 2012, avaient été suspendus fin novembre 2012 à la suite de l'importante contestation rencontrée par les forces de l'ordre, afin d'ouvrir une période de "concertation".
Le projet initial de cet aéroport dont la concession a été confiée à Vinci prévoyait une inauguration en 2017.
Le directeur de la DGAC Patrick Gandil présent à la conférence de presse, a évoqué de son côté un début de chantier "en 2014" sans vouloir préciser s'il s'agirait de début ou de la fin de l'année.
Source : © AFP
Alors que l'explosion de la plateforme Deep Water Horizon en avril 2010 (voir notre dossier) aurait pu mettre un frein aux forages pétroliers de grandes profondeurs, les prix à 100$ du baril ont offert une fenêtre d'opportunité pour le offshore y compris dans le Gofle du Mexique.
Ainsi la profondeur moyenne ne cesse d'augmenter. Les records dépassent les 7'000 mètres et la moyenne dépasse les 600 mètres sous le niveau de la mer. Grâce à la technologie, de plus en plus de projets jouent avec les 2-3'000 mètres et flirtent avec les milliards d'investissements. Ainsi le 1/3 du pétrole américain provient de cette technique.
Energy Funds Advisors (ENFA) souligne que "La profondeur d'eau moyenne ne cesse d'augmenter. En dépit des innovations techniques développées de façon continue par l'industrie, la profondeur d'eau croissante est synonyme de hausse des investissements."
A court de pétrole facile à extraire et bon marché (peak oil), les majors pétrolières multiplient les investissements pour les appareils à haute technicité pour extraire le précieux liquide dans les océans du globe. Elles n'hésitent pas à louer des appareils de forage de 600'000 à 1 million de $ par jour pour le développement de leurs nouveaux projets.
Tant que le pétrole reste au-dessus de 100$ le jeu en vaut la chandelle. La tendance pour les années à venir montre que les automobilistes sont prêts à cautionner cette hausse, quitte à manger des pâtes tous les jours de la semaine.
Des risques de plus en plus grands
Plus la profondeur augmente, plus les risques augmentent. Depuis Deep Water, plusieurs marées noires (Chine avec Chevron, Brésil) ont souligné la difficulté de la tâche.
Quant à elle, la Russie désire se lancer dans les forages en arctique. En plus de la profondeur, le froid apportera un paramètre supplémentaire à l'exercice. (Pétrole: Le Russe Rosneft continue son expansion mondiale)
Ainsi la profondeur moyenne ne cesse d'augmenter. Les records dépassent les 7'000 mètres et la moyenne dépasse les 600 mètres sous le niveau de la mer. Grâce à la technologie, de plus en plus de projets jouent avec les 2-3'000 mètres et flirtent avec les milliards d'investissements. Ainsi le 1/3 du pétrole américain provient de cette technique.
Energy Funds Advisors (ENFA) souligne que "La profondeur d'eau moyenne ne cesse d'augmenter. En dépit des innovations techniques développées de façon continue par l'industrie, la profondeur d'eau croissante est synonyme de hausse des investissements."
A court de pétrole facile à extraire et bon marché (peak oil), les majors pétrolières multiplient les investissements pour les appareils à haute technicité pour extraire le précieux liquide dans les océans du globe. Elles n'hésitent pas à louer des appareils de forage de 600'000 à 1 million de $ par jour pour le développement de leurs nouveaux projets.
Tant que le pétrole reste au-dessus de 100$ le jeu en vaut la chandelle. La tendance pour les années à venir montre que les automobilistes sont prêts à cautionner cette hausse, quitte à manger des pâtes tous les jours de la semaine.
Des risques de plus en plus grands
Plus la profondeur augmente, plus les risques augmentent. Depuis Deep Water, plusieurs marées noires (Chine avec Chevron, Brésil) ont souligné la difficulté de la tâche.
Quant à elle, la Russie désire se lancer dans les forages en arctique. En plus de la profondeur, le froid apportera un paramètre supplémentaire à l'exercice. (Pétrole: Le Russe Rosneft continue son expansion mondiale)
« Encore de la mousse sur l’Avance. Trop, c’est trop. » La colère était perceptible, vendredi après-midi, dans les propos de Jean-Marie Labrouche, le propriétaire du moulin du Tare, dans le vallon de l’Avance, entre Sainte-Marthe et Samazan.
Il faut dire que la nouvelle pollution du cours d’eau sous la forme d’une épaisse mousse blanche stagnait au pied de la chute du moulin.
Pollution récurrente
Devant le spectacle désolant qu’offrait l’Avance, rivière chère aux pêcheurs et aux kayakistes, Jean-Marie Labrouche a alerté Michel Sauvage, le maire, mais aussi le président du Syndicat de l’Avance ainsi que les services préfectoraux de la Direction départementale des territoires (DDT).
« Peut-être que cette fois-ci, les services compétents viendront faire des prélèvements et remonteront à la source de la pollution », s’est interrogé le propriétaire du moulin.
Source © Patrick Parage/sud ouest
Il faut dire que la nouvelle pollution du cours d’eau sous la forme d’une épaisse mousse blanche stagnait au pied de la chute du moulin.
Pollution récurrente
Devant le spectacle désolant qu’offrait l’Avance, rivière chère aux pêcheurs et aux kayakistes, Jean-Marie Labrouche a alerté Michel Sauvage, le maire, mais aussi le président du Syndicat de l’Avance ainsi que les services préfectoraux de la Direction départementale des territoires (DDT).
« Peut-être que cette fois-ci, les services compétents viendront faire des prélèvements et remonteront à la source de la pollution », s’est interrogé le propriétaire du moulin.
Source © Patrick Parage/sud ouest
La société SPBA et son dirigeant sont poursuivis pour la pollution survenue en janvier 2007.
50 000 litres d’hydrocarbures s’étaient écoulés sur la route bordant le site industriel et dans la Garonne.
La Société pétrolière du bec d’Ambès (SPBA), filiale des groupes Esso et Total, ainsi que son ex-directeur Gilles Coudrette, ont finalement été mis en examen après sept ans d’instruction dans le cadre de la pollution survenue au bec d’Ambès en janvier 2007.
Ce 12 janvier, une fuite massive (un suintement aurait été aperçu la veille) est survenue sur un bac contenant 13 575 mètres cubes de pétrole brut sur le parc de stockage de la société pétrolière du bec d’Ambès, dégageant une forte odeur nauséabonde en raison du sulfure d’hydrogène (H2S) contenu dans le pétrole.
Fort heureusement, la quasi totalité du liquide avait pu être contenue dans les cuvettes de rétention étanches du site.
Mais le flux avait été si soudain et violent qu’il avait provoqué un effet de vague qui avait fait déborder une cuvette dans le réseau d’écoulement interne du site. Ainsi, 50 000 litres d’hydrocarbures s’étaient écoulés sur la route bordant le site industriel et dans la Garonne.
Par chance, encore une fois, la marée était ce jour-là de faible coefficient et descendante, une grande partie du produit gras avait donc pu être pompé. Cela n’a pas empêché que des traces de polluant soient repérées jusqu’au pont d’Aquitaine et sur la Dordogne.
Classée Seveso 2
L’information judiciaire ouverte pour pollution de cours d’eau, canal, ruisseau, entraînant des dégâts piscicoles, déversement ou écoulement de produits nuisibles pour la santé, la faune, la flore dans les eaux souterraines ou superficielles, avait traîné en longueur, au grand désespoir des parties civiles (la Ville de Macau et la Ligue de protection des oiseaux, notamment).
Dans ce type de dossier, la bataille de l’expertise revêt évidemment un caractère fondamental pour l’issue de la procédure. Ainsi, en 2012, les parties civiles, peu satisfaites des conclusions de la première expertise (jugée incomplète par la chambre de l’instruction) avaient obtenu la nomination d’un deuxième expert.
La chambre de l’instruction avait par contre refusé l’accès aux documents classés secret défense établissant le plan d’action de la société pétrolière classée Seveso 2.
« Cette pollution démontre le manque de moyens humains et techniques de la Dreal (Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement) pour inspecter les sites classés, et que l’auto-contrôle n’est pas suffisant », estime François Ruffié, un des avocats des parties civiles.
Quelques mois après l’accident, Gilles Coudrette s’était déclaré incapable de déterminer les causes de la fissure sur la cuve qui datait de 1958.
Source: © Sud Ouest
50 000 litres d’hydrocarbures s’étaient écoulés sur la route bordant le site industriel et dans la Garonne.
La Société pétrolière du bec d’Ambès (SPBA), filiale des groupes Esso et Total, ainsi que son ex-directeur Gilles Coudrette, ont finalement été mis en examen après sept ans d’instruction dans le cadre de la pollution survenue au bec d’Ambès en janvier 2007.
Ce 12 janvier, une fuite massive (un suintement aurait été aperçu la veille) est survenue sur un bac contenant 13 575 mètres cubes de pétrole brut sur le parc de stockage de la société pétrolière du bec d’Ambès, dégageant une forte odeur nauséabonde en raison du sulfure d’hydrogène (H2S) contenu dans le pétrole.
Fort heureusement, la quasi totalité du liquide avait pu être contenue dans les cuvettes de rétention étanches du site.
Mais le flux avait été si soudain et violent qu’il avait provoqué un effet de vague qui avait fait déborder une cuvette dans le réseau d’écoulement interne du site. Ainsi, 50 000 litres d’hydrocarbures s’étaient écoulés sur la route bordant le site industriel et dans la Garonne.
Par chance, encore une fois, la marée était ce jour-là de faible coefficient et descendante, une grande partie du produit gras avait donc pu être pompé. Cela n’a pas empêché que des traces de polluant soient repérées jusqu’au pont d’Aquitaine et sur la Dordogne.
Classée Seveso 2
L’information judiciaire ouverte pour pollution de cours d’eau, canal, ruisseau, entraînant des dégâts piscicoles, déversement ou écoulement de produits nuisibles pour la santé, la faune, la flore dans les eaux souterraines ou superficielles, avait traîné en longueur, au grand désespoir des parties civiles (la Ville de Macau et la Ligue de protection des oiseaux, notamment).
Dans ce type de dossier, la bataille de l’expertise revêt évidemment un caractère fondamental pour l’issue de la procédure. Ainsi, en 2012, les parties civiles, peu satisfaites des conclusions de la première expertise (jugée incomplète par la chambre de l’instruction) avaient obtenu la nomination d’un deuxième expert.
La chambre de l’instruction avait par contre refusé l’accès aux documents classés secret défense établissant le plan d’action de la société pétrolière classée Seveso 2.
« Cette pollution démontre le manque de moyens humains et techniques de la Dreal (Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement) pour inspecter les sites classés, et que l’auto-contrôle n’est pas suffisant », estime François Ruffié, un des avocats des parties civiles.
Quelques mois après l’accident, Gilles Coudrette s’était déclaré incapable de déterminer les causes de la fissure sur la cuve qui datait de 1958.
Source: © Sud Ouest
Plus de 40 000 habitants de Gaza ont été évacués en raison des inondations provoquées par les pluies torrentielles.
Les sauveteurs ont atteint les habitants dans certaines localités inondées à l’aide des bateaux. L'ONU a qualifié le nord de la bande de Gaza comme une zone sinistrée.
Malgré l'amélioration de la météo, les sauveteurs continuent à évacuer les personnes et à pomper l'eau des réservoirs débordant, les murs en terre desquels menacent ne pas résister à la pression.
Précédemment, la Cisjordanie et Israël ont été frappés par une tempête de neige. Des chutes de neige ont paralysé la circulation à Jérusalem.
Au Moyen-Orient, cet hiver est exceptionnellement froid. Au Caire, il a neigé pour la première fois en 112 années.
Les sauveteurs ont atteint les habitants dans certaines localités inondées à l’aide des bateaux. L'ONU a qualifié le nord de la bande de Gaza comme une zone sinistrée.
Malgré l'amélioration de la météo, les sauveteurs continuent à évacuer les personnes et à pomper l'eau des réservoirs débordant, les murs en terre desquels menacent ne pas résister à la pression.
Précédemment, la Cisjordanie et Israël ont été frappés par une tempête de neige. Des chutes de neige ont paralysé la circulation à Jérusalem.
Au Moyen-Orient, cet hiver est exceptionnellement froid. Au Caire, il a neigé pour la première fois en 112 années.
Quelque 150.000 personnes ont été évacuées depuis vendredi à la suite des inondations dues aux pluies dans la province insulaire de Hainan (extrême-sud de la Chine), ont déclaré dimanche les autorités locales.
Les précipitations ont atteint 510 mm dans certaines zones de la ville de Wanning et une moyenne de près de 300 mm de pluies a été enregistrée dans huit bourgs près de la ville depuis vendredi.
Les autorités ont envoyé des vedettes pour évacuer les habitants des zones inondées. Selon le département météorologique de Hainan, les pluies devraient persister jusqu'à lundi dans l'est de l'île, perturbant les opération de secours.
L'observatoire national chinois a maintenu lundi une alerte aux tempêtes, alors que de fortes pluies continueront à frapper les provinces méridionales du pays.
Des tempêtes sont attendues lundi et mardi dans plusieurs régions du Guangdong, de Hainan, du Jiangxi, du Fujian et du Zhejiang et devraient entraîner par endroits des précipitations atteignant 120 mm au cours des prochaines 24 heures, selon le Centre météorologique national (CMN).
Source : Chine Nouvelle
Les précipitations ont atteint 510 mm dans certaines zones de la ville de Wanning et une moyenne de près de 300 mm de pluies a été enregistrée dans huit bourgs près de la ville depuis vendredi.
Les autorités ont envoyé des vedettes pour évacuer les habitants des zones inondées. Selon le département météorologique de Hainan, les pluies devraient persister jusqu'à lundi dans l'est de l'île, perturbant les opération de secours.
L'observatoire national chinois a maintenu lundi une alerte aux tempêtes, alors que de fortes pluies continueront à frapper les provinces méridionales du pays.
Des tempêtes sont attendues lundi et mardi dans plusieurs régions du Guangdong, de Hainan, du Jiangxi, du Fujian et du Zhejiang et devraient entraîner par endroits des précipitations atteignant 120 mm au cours des prochaines 24 heures, selon le Centre météorologique national (CMN).
Source : Chine Nouvelle
Des vents violents accompagnés de chute de neige ont touché une partie du Canada. Des routes ont été partiellement coupées en raison de congères ou d’accidents.
Une tempête de neige a balayé le centre et l’est du Canada dimanche, perturbant le trafic aérien et les déplacements de l’Ontario aux côtes atlantiques.
Amorcées samedi en fin de journée dans la région de Toronto et Ottawa (sud de l’Ontario), les chutes de neige ont gagné le Québec et les provinces des côtes atlantiques jusqu’à Terre Neuve. Dans son bulletin d’alerte, Environnement Canada a indiqué dimanche que les chutes de neige accompagnées de vent forts avaient déposé une couche pouvant aller jusqu’à 35 centimètres de neige dimanche en milieu de journée.
1000 appareils et autant d’employés pour déneiger les rues à Montréal
La Ville de Montréal, qui a fait le point en matinée, a mobilisé près de 1000 appareils et autant d’employés pour déneiger les rues et trottoirs. Les grandes artères de la métropole, les rues desservies par les circuits d’autobus, les entrées des stations de métro et les hôpitaux sont prioritaires.
Carambolages sur les routes
Le trafic aérien a été sérieusement perturbé avec des centaines de vols annulés aux principaux aéroports de Toronto, Ottawa, Montréal et Halifax, ont indiqué les services aéroportuaires. Selon le site de l’aéroport Trudeau de Montréal, la majorité des vols sur l’est du Canada sont annulés et la quasi totalité des vols affichent des retards importants au départ comme à l’arrivée.
Des routes ont été partiellement coupées en raison de congères ou d’accidents et les services de police ont fait état de plusieurs carambolages avec quelques blessés. Les services de la Sûreté du Québec ont rapporté plusieurs interventions et des conditions difficiles sur l’autoroute reliant Montréal à Québec
Une tempête de neige a balayé le centre et l’est du Canada dimanche, perturbant le trafic aérien et les déplacements de l’Ontario aux côtes atlantiques.
Amorcées samedi en fin de journée dans la région de Toronto et Ottawa (sud de l’Ontario), les chutes de neige ont gagné le Québec et les provinces des côtes atlantiques jusqu’à Terre Neuve. Dans son bulletin d’alerte, Environnement Canada a indiqué dimanche que les chutes de neige accompagnées de vent forts avaient déposé une couche pouvant aller jusqu’à 35 centimètres de neige dimanche en milieu de journée.
1000 appareils et autant d’employés pour déneiger les rues à Montréal
La Ville de Montréal, qui a fait le point en matinée, a mobilisé près de 1000 appareils et autant d’employés pour déneiger les rues et trottoirs. Les grandes artères de la métropole, les rues desservies par les circuits d’autobus, les entrées des stations de métro et les hôpitaux sont prioritaires.
Carambolages sur les routes
Le trafic aérien a été sérieusement perturbé avec des centaines de vols annulés aux principaux aéroports de Toronto, Ottawa, Montréal et Halifax, ont indiqué les services aéroportuaires. Selon le site de l’aéroport Trudeau de Montréal, la majorité des vols sur l’est du Canada sont annulés et la quasi totalité des vols affichent des retards importants au départ comme à l’arrivée.
Des routes ont été partiellement coupées en raison de congères ou d’accidents et les services de police ont fait état de plusieurs carambolages avec quelques blessés. Les services de la Sûreté du Québec ont rapporté plusieurs interventions et des conditions difficiles sur l’autoroute reliant Montréal à Québec
L'éruption de l'Etna se poursuivait lundi entraînant la fermeture des aéroports voisins de Catane et Comiso, ont annoncé les autorités portuaires.
Bien que l'activité soit limitée au sommet du volcan le plus élevé d'Europe, l'unité de crise a décidé de prolonger la fermeture des deux aéroports, décidée dimanche, en raison des panaches de cendres qui s'élèvent dans le ciel.
Selon la compagnie Sac qui gère l'aéroport de Catane, "la direction et l'intensité du vent" montrent que les cendres présentent un risque pour les vols.
Lors d'une nouvelle réunion de l'unité de crise à la mi-journée, la fermeture totale de l'espace aérien dans la région de Catane a été prorogée "au moins jusqu'à 15H00" (14H00 GMT).
Cinq vols ont du être annulés dans la matinée et les voyageurs détournés vers Palerme (ouest de la Sicile) ou Reggio Calabria (extrême-sud de la péninsule).
Les éruptions de l'Etna, un volcan actif, sont fréquentes, mais la dernière, qui a commencé samedi, est la plus intense depuis des mois.
La lave qui a coulé sur un versant du volcan est visible depuis Catane et Taormine, ville historique et station balnéaire prisée. Trois petits séismes ont été enregistrés autour du volcan dimanche.
Source : © AFP
Bien que l'activité soit limitée au sommet du volcan le plus élevé d'Europe, l'unité de crise a décidé de prolonger la fermeture des deux aéroports, décidée dimanche, en raison des panaches de cendres qui s'élèvent dans le ciel.
Selon la compagnie Sac qui gère l'aéroport de Catane, "la direction et l'intensité du vent" montrent que les cendres présentent un risque pour les vols.
Lors d'une nouvelle réunion de l'unité de crise à la mi-journée, la fermeture totale de l'espace aérien dans la région de Catane a été prorogée "au moins jusqu'à 15H00" (14H00 GMT).
Cinq vols ont du être annulés dans la matinée et les voyageurs détournés vers Palerme (ouest de la Sicile) ou Reggio Calabria (extrême-sud de la péninsule).
Les éruptions de l'Etna, un volcan actif, sont fréquentes, mais la dernière, qui a commencé samedi, est la plus intense depuis des mois.
La lave qui a coulé sur un versant du volcan est visible depuis Catane et Taormine, ville historique et station balnéaire prisée. Trois petits séismes ont été enregistrés autour du volcan dimanche.
Source : © AFP
Une vague a emporté dimanche sept jeunes se trouvant sur une plage de la région de Sesimbra, au sud de Lisbonne. Un d'entre eux est décédé, 5 ont disparu tandis qu'un autre a survécu, ont annoncé les services de secours.
Il s'agissait d'un groupe d'étudiants d'une université lisboète, âgés de 21 à 25 ans. Ils avaient loué une maison pour le weekend près de la plage de Moinho de Baixo, à Meco.
Ils se trouvaient "près de la zone où les vagues éclatent lorsqu'ils ont été emportés", a expliqué le commandant Carlos Manuel Lopes da Costa, de la capitainerie du port de Setubal. L'un des membres du groupe a pu regagner la plage et prévenir les secours avec son téléphone portable.
Les secouristes ont repêché dans la matinée le corps sans vie d'un jeune homme et poursuivaient dans l'après-midi les recherches pour retrouver les cinq autres membres du groupe. Les autorités avaient mobilisé une quarantaine de secouristes et un hélicoptère de l'armée.
Il s'agissait d'un groupe d'étudiants d'une université lisboète, âgés de 21 à 25 ans. Ils avaient loué une maison pour le weekend près de la plage de Moinho de Baixo, à Meco.
Ils se trouvaient "près de la zone où les vagues éclatent lorsqu'ils ont été emportés", a expliqué le commandant Carlos Manuel Lopes da Costa, de la capitainerie du port de Setubal. L'un des membres du groupe a pu regagner la plage et prévenir les secours avec son téléphone portable.
Les secouristes ont repêché dans la matinée le corps sans vie d'un jeune homme et poursuivaient dans l'après-midi les recherches pour retrouver les cinq autres membres du groupe. Les autorités avaient mobilisé une quarantaine de secouristes et un hélicoptère de l'armée.
jeudi 12 décembre 2013
"Un accroissement important des concentrations" et une généralisation de l'épisode sont prévus sur tout le territoire les prochains jours.
Un épisode de forte pollution aux particules a touché mercredi plusieurs régions françaises, dont l'Ile-de-France et une grande partie du Sud-Est, avec "un accroissement important des concentrations" et une généralisation prévue sur le territoire, indique le ministère de l'Écologie.
Le niveau d'alerte le plus élevé à la pollution aux PM 10 (particules au diamètre inférieur à 10 microns) était déclenché en Ile-de-France et dans la région Rhône-Alpes, ainsi que dans les Bouches-du-Rhône, le Vaucluse, l'agglomération de Lourdes, l'Oise, et localement en Haute-Normandie et en Alsace, selon les organismes régionaux chargés de la qualité de l'air. Outre le niveau d'alerte, déclenché à partir d'une concentration de 80 microgrammes de particules par mètre cube d'air, le niveau d'information (à partir de 50 microgrammes) était dépassé dans de nombreuses autres régions.
"Cet épisode de pollution tend à se généraliser sur le territoire et évolue actuellement vers un accroissement important des concentrations observées et prévues dans certaines régions", indique le ministère dans un communiqué. Cette pollution "devrait perdurer encore plusieurs jours sous l'effet des conditions anticycloniques et des températures basses", poursuit-il, indiquant que les concentrations de PM 10 devraient ensuite baisser grâce à une légère dégradation météorologique attendue à partir de vendredi après-midi.
Niveaux très élevés
Jeudi, "la pollution continuera d'affecter avec des niveaux de particules élevés à très élevés les régions Alsace, Auvergne, Centre, Champagne-Ardenne, France-Comté, Haute-Normandie, Ile-de-France, Languedoc-Roussillon, Lorraine, Nord-Pas-de-Calais et Picardie", annonce le ministère.
Dans les régions concernées, "il est demandé notamment de ne pas utiliser les cheminées à bois", "de limiter l'usage des véhicules automobiles, notamment les véhicules diesel non équipés de filtres à particules", "de réduire les vitesses" ou encore "de respecter l'interdiction de brûlage de déchets verts", rappelle-t-il. Mais les dispositions, décidées par les préfectures, varient d'une région à une autre.
Espagne: enveloppée d'un nuage gris, Barcelone en alerte à la pollution
Le gouvernement régional de Catalogne, dans le nord-est de l'Espagne, a lancé un plan d'urgence pour lutter contre le pic de pollution qui frappe Barcelone et enveloppe la ville d'une épaisse brume grise chaque matin depuis près d'une semaine.
Ce nuage, qui laisse à peine entrevoir la silhouette des édifices emblématiques de la ville, de la Sagrada Familia aux gratte-ciel modernes, est causé par l'importante présence de dioxyde d'azote et de particules polluantes dans l’atmosphère qu'un anticyclone installé depuis la semaine dernière sur la région empêche de se disperser.
"La haute pression atmosphérique et l'absence de vent empêchent que les émissions polluantes se dispersent et elles s'accumulent donc au-dessus de la ville", a expliqué une porte-parole du département chargé du territoire du gouvernement régional.
Les autorités ont donc décidé d'abaisser dès lundi la vitesse maximum autorisée dans les rues de Barcelone, a enjoint à ses habitants d'utiliser les transports publics et a demandé aux usines de réduire leur activité.
Cette situation se répète assez souvent à Barcelone, l'une des villes enregistrant la plus forte densité de véhicules en Europe et dont la situation géographique complique la dispersion des émissions polluantes.
"La géographie de Barcelone est déterminante car la mer d'un côté et les montagnes de l'autre ne laissent pas s'échapper la pollution. Tout s'accumule", a précisé la porte-parole.
Depuis mercredi, le niveau limite de pollution situé par l'Union européenne à 200 microgrammes de dioxyde d'azote par mètre cube a été dépassé sept fois, selon les mesures des autorités régionales.
Cependant, "ceci ne doit pas alarmer la population car il s'agit de pics ponctuels qui ne menacent pas la santé", a indiqué la porte-parole.
L'alerte à la pollution sera maintenue au moins jusqu'à jeudi.
...Et de rappeler une étude récente...
même à dose raisonnable, les particules fines sont dangereuses
Selon une récente étude scientifique, les normes de particules fines 2,5 recommandés par l'Union européenne ne suffisent pas à protéger la santé des habitants, car leur concentration dans l'air demeure trop importante.
Malgré de strictes normes, il est presque impossible d'échapper à la nocivité de la pollution. Telle est la conclusion d'une étude d'un chercheur Néerlandais parue dans la revue The Lancet.
Selon ce dernier, une exposition prolongée aux particules fines présentes dans l'air (PM) est néfaste même lorsque les concentrations restent dans la norme de l'Union européenne (UE). Les PM 2,5 sont celles qui génèrent le plus d'inquiétudes car leur taille (équivalente à celle d'une bactérie) leur permet de pénétrer plus profondément dans les poumons.
"Nos résultats suggèrent que des effets importants sur la santé se produisent même avec des concentrations aux particules PM 2,5 bien inférieures à la limite fixée par l'UE à savoir une concentration moyenne annuelle 25 microgrammes par mètre cube d'air", explique l'auteur principal de cette étude, le Néerlandais Rob Beelen. Pour en venir à cette conclusion, le chercheur se base sur les données de vingtaines d'enquêtes. Conduites dans 13 pays européens, elles ont permis de suivre un total de 367.251 personnes sur près de 14 années en moyenne.
Une mortalité beaucoup plus élevée
"L'étude évalue que pour chaque hausse de 5 microgrammes par mètre cube de la concentration en PM 2,5 sur l'année, le risque de mourir d'une cause naturelle s'accroît de 7 %", explique The Lancet. Cette différence de pollution est celle qui existe entre un axe urbain très fréquenté par les voitures et un endroit situé à l'écart du trafic. Depuis 2008, l'UE a imposé aux Etats membres ce plafond moyen annuel de 25 microgrammes/m3. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) préconise comme valeur limite 10 microgrammes/m3.
L'organisation précise que ces particules en suspension ont plus d'effets sur la santé que tout autre polluant. "L'exposition chronique contribue à augmenter le risque de contracter des maladies cardiovasculaires et respiratoires, ainsi que des cancers pulmonaires. Dans les villes où l'on observe des niveaux de pollution élevés, la mortalité dépasse de 15 à 20 % celle enregistrée dans d'autres villes où l'air est relativement plus sain. Même dans l'Union européenne, l'exposition aux PM 2,5 produites par les activités humaines réduit en moyenne l'espérance de vie de 8,6 mois.", ajoute-t-elle.
"L'association entre exposition prolongée aux PM 2,5 et décès prématurés demeure significative même après ajustement pour tenir compte de facteurs tels que tabagisme, statut socio-économique, activité physique, niveau d'éducation, et l'indice de masse corporelle" explique The Lancet à propos de l'étude. Quelques mois avant sa parution, la pollution de l'air extérieur a été classée comme facteur cancérigène par l'OMS et son agence spécialisée sur le cancer, le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC).
Un épisode de forte pollution aux particules a touché mercredi plusieurs régions françaises, dont l'Ile-de-France et une grande partie du Sud-Est, avec "un accroissement important des concentrations" et une généralisation prévue sur le territoire, indique le ministère de l'Écologie.
Le niveau d'alerte le plus élevé à la pollution aux PM 10 (particules au diamètre inférieur à 10 microns) était déclenché en Ile-de-France et dans la région Rhône-Alpes, ainsi que dans les Bouches-du-Rhône, le Vaucluse, l'agglomération de Lourdes, l'Oise, et localement en Haute-Normandie et en Alsace, selon les organismes régionaux chargés de la qualité de l'air. Outre le niveau d'alerte, déclenché à partir d'une concentration de 80 microgrammes de particules par mètre cube d'air, le niveau d'information (à partir de 50 microgrammes) était dépassé dans de nombreuses autres régions.
"Cet épisode de pollution tend à se généraliser sur le territoire et évolue actuellement vers un accroissement important des concentrations observées et prévues dans certaines régions", indique le ministère dans un communiqué. Cette pollution "devrait perdurer encore plusieurs jours sous l'effet des conditions anticycloniques et des températures basses", poursuit-il, indiquant que les concentrations de PM 10 devraient ensuite baisser grâce à une légère dégradation météorologique attendue à partir de vendredi après-midi.
Niveaux très élevés
Jeudi, "la pollution continuera d'affecter avec des niveaux de particules élevés à très élevés les régions Alsace, Auvergne, Centre, Champagne-Ardenne, France-Comté, Haute-Normandie, Ile-de-France, Languedoc-Roussillon, Lorraine, Nord-Pas-de-Calais et Picardie", annonce le ministère.
Dans les régions concernées, "il est demandé notamment de ne pas utiliser les cheminées à bois", "de limiter l'usage des véhicules automobiles, notamment les véhicules diesel non équipés de filtres à particules", "de réduire les vitesses" ou encore "de respecter l'interdiction de brûlage de déchets verts", rappelle-t-il. Mais les dispositions, décidées par les préfectures, varient d'une région à une autre.
Espagne: enveloppée d'un nuage gris, Barcelone en alerte à la pollution
Le gouvernement régional de Catalogne, dans le nord-est de l'Espagne, a lancé un plan d'urgence pour lutter contre le pic de pollution qui frappe Barcelone et enveloppe la ville d'une épaisse brume grise chaque matin depuis près d'une semaine.
Ce nuage, qui laisse à peine entrevoir la silhouette des édifices emblématiques de la ville, de la Sagrada Familia aux gratte-ciel modernes, est causé par l'importante présence de dioxyde d'azote et de particules polluantes dans l’atmosphère qu'un anticyclone installé depuis la semaine dernière sur la région empêche de se disperser.
"La haute pression atmosphérique et l'absence de vent empêchent que les émissions polluantes se dispersent et elles s'accumulent donc au-dessus de la ville", a expliqué une porte-parole du département chargé du territoire du gouvernement régional.
Les autorités ont donc décidé d'abaisser dès lundi la vitesse maximum autorisée dans les rues de Barcelone, a enjoint à ses habitants d'utiliser les transports publics et a demandé aux usines de réduire leur activité.
Cette situation se répète assez souvent à Barcelone, l'une des villes enregistrant la plus forte densité de véhicules en Europe et dont la situation géographique complique la dispersion des émissions polluantes.
"La géographie de Barcelone est déterminante car la mer d'un côté et les montagnes de l'autre ne laissent pas s'échapper la pollution. Tout s'accumule", a précisé la porte-parole.
Depuis mercredi, le niveau limite de pollution situé par l'Union européenne à 200 microgrammes de dioxyde d'azote par mètre cube a été dépassé sept fois, selon les mesures des autorités régionales.
Cependant, "ceci ne doit pas alarmer la population car il s'agit de pics ponctuels qui ne menacent pas la santé", a indiqué la porte-parole.
L'alerte à la pollution sera maintenue au moins jusqu'à jeudi.
...Et de rappeler une étude récente...
même à dose raisonnable, les particules fines sont dangereuses
Selon une récente étude scientifique, les normes de particules fines 2,5 recommandés par l'Union européenne ne suffisent pas à protéger la santé des habitants, car leur concentration dans l'air demeure trop importante.
Malgré de strictes normes, il est presque impossible d'échapper à la nocivité de la pollution. Telle est la conclusion d'une étude d'un chercheur Néerlandais parue dans la revue The Lancet.
Selon ce dernier, une exposition prolongée aux particules fines présentes dans l'air (PM) est néfaste même lorsque les concentrations restent dans la norme de l'Union européenne (UE). Les PM 2,5 sont celles qui génèrent le plus d'inquiétudes car leur taille (équivalente à celle d'une bactérie) leur permet de pénétrer plus profondément dans les poumons.
"Nos résultats suggèrent que des effets importants sur la santé se produisent même avec des concentrations aux particules PM 2,5 bien inférieures à la limite fixée par l'UE à savoir une concentration moyenne annuelle 25 microgrammes par mètre cube d'air", explique l'auteur principal de cette étude, le Néerlandais Rob Beelen. Pour en venir à cette conclusion, le chercheur se base sur les données de vingtaines d'enquêtes. Conduites dans 13 pays européens, elles ont permis de suivre un total de 367.251 personnes sur près de 14 années en moyenne.
Une mortalité beaucoup plus élevée
"L'étude évalue que pour chaque hausse de 5 microgrammes par mètre cube de la concentration en PM 2,5 sur l'année, le risque de mourir d'une cause naturelle s'accroît de 7 %", explique The Lancet. Cette différence de pollution est celle qui existe entre un axe urbain très fréquenté par les voitures et un endroit situé à l'écart du trafic. Depuis 2008, l'UE a imposé aux Etats membres ce plafond moyen annuel de 25 microgrammes/m3. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) préconise comme valeur limite 10 microgrammes/m3.
L'organisation précise que ces particules en suspension ont plus d'effets sur la santé que tout autre polluant. "L'exposition chronique contribue à augmenter le risque de contracter des maladies cardiovasculaires et respiratoires, ainsi que des cancers pulmonaires. Dans les villes où l'on observe des niveaux de pollution élevés, la mortalité dépasse de 15 à 20 % celle enregistrée dans d'autres villes où l'air est relativement plus sain. Même dans l'Union européenne, l'exposition aux PM 2,5 produites par les activités humaines réduit en moyenne l'espérance de vie de 8,6 mois.", ajoute-t-elle.
"L'association entre exposition prolongée aux PM 2,5 et décès prématurés demeure significative même après ajustement pour tenir compte de facteurs tels que tabagisme, statut socio-économique, activité physique, niveau d'éducation, et l'indice de masse corporelle" explique The Lancet à propos de l'étude. Quelques mois avant sa parution, la pollution de l'air extérieur a été classée comme facteur cancérigène par l'OMS et son agence spécialisée sur le cancer, le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC).
Deux nouveaux séismes, de magnitude 3,5 et 3,4 sur l'échelle de Richter, se sont produit dans la nuit de mercredi à jeudi dans le Finistère, a indiqué la préfecture et le Bureau sismologique. Ces séismes n'ont pas fait de dégâts.
Un tremblement de terre de magnitude 3,9 s'était déjà produit le 11 octobre à l'est de Brest, un phénomène peu fréquent dans le secteur. Il n'avait pas fait de dégâts. Un autre, de magnitude 4,7 avait également secoué, le 21 novembre, la région de Vannes, sans provoquer non plus de dégâts. La sismicité dans la région n'est pas fréquente. Selon le BCSF, le dernier tremblement de terre d'une magnitude similaire aux trois dernières secousses dans la région s'était produit en 2004 sur l'île de Groix (3,7) et avant cela en 2002 à Hennebont, près de Lorient, dans le Morbihan (5,4).
Le premier de magnitude 3,5, dont l'épicentre a été localisé entre Guipavas et Le Relecq-Kerhuon, a secoué le Finistère ce mercredi, à 23 h 49. L'autre événement sismique - d'une magnitude 3,4 - s'est produit ce jeudi, à 3 h 22, à l'ouest de Landerneau.
Un tremblement de terre de magnitude 3,9 s'était déjà produit le 11 octobre à l'est de Brest, un phénomène peu fréquent dans le secteur. Il n'avait pas fait de dégâts. Un autre, de magnitude 4,7 avait également secoué, le 21 novembre, la région de Vannes, sans provoquer non plus de dégâts. La sismicité dans la région n'est pas fréquente. Selon le BCSF, le dernier tremblement de terre d'une magnitude similaire aux trois dernières secousses dans la région s'était produit en 2004 sur l'île de Groix (3,7) et avant cela en 2002 à Hennebont, près de Lorient, dans le Morbihan (5,4).
Glissement de terrain, Pluies torrentielles et vents violents ont fait 21 morts et des dommages matériels dans l'Est du Brésil (Etats de Rio de Janeiro et de Bahia) au cours des dernières 24 h.
De fortes pluies à caractère orageux se sont abattues sur le Sud de l'Etat brésilien de Rio de Janeiro. ces pluies diluviennes accompagnées de vent soutenu ont débuté aux alentours de 21:00 et ont duré plusieurs heures, déclenchant des inondations torrentielles et des coulées de boue dans toute l'agglomération de Rio de Janeiro.
Plus au nord Dans la ville de Lajedinho de l'éat de Bahia, un mouvement de terrain a enseveli une vingtaine d'habitations et fait 16 morts et 1 disparu. 100 personnes se sont retrouvées sans-abris.
A Rio de Janeiro:
Deux personnes sont mortes à la suite de fortes pluies ininterrompues qui s'abattent depuis mardi 10 décembre sur Rio de Janeiro, selon les pompiers.
« Ce sont les corps de deux hommes âgés de 18 et 50 ans. Ils ont été découverts dans une zone inondée », a déclaré un porte-parole des pompiers de Rio de Janeiro, placée en état d'alerte depuis mercredi. Près de 2 000 familles ont également dû quitter leurs foyers dans plusieurs communes de l'Etat, selon la presse locale.
Plus tôt, les pompiers avaient fait état d'une personne disparue et d'au moins deux personnes ensevelies lors d'éboulements de terrain. Un homme est porté disparu à Nova Iguaçu après être tombé dans une rivière et, à Realengo, les pompiers ont retiré une personne des décombres après un éboulement. Elle a été transportée à l'hôpital. Le colonel des pompiers, Sergio Simoes, a déclaré à la chaîne de télévision Globo News qu'ils travaillaient à présent à en retirer une deuxième partiellement ensevelie.
« Nous avons des informations selon lesquelles à Anchieta il y a eu des éboulements, et deux personnes pourraient être également ensevelies », a ajouté le porte-parole des pompiers.
Le maire de la ville, Eduardo Paes, a appelé la population à rester chez elle. « La situation est critique, nous avons eu de très fortes pluies. Notre priorité est le système d'alerte dans les favelas et zones à risques d'éboulements », a ajouté M. Paes sur Globo News. Les sirènes ont retenti dans 43 favelas, indiquant aux habitants qu'ils devaient abandonner leur maison par précaution.
Dans le quartier du stade Maracana, qui recevra la finale du Mondial 2014, la circulation était coupée, l'avenue Maracana étant inondée. L'aéroport intérieur Santos était fermé, et les atterrissages des avions, interrompus.
Le colonel des pompiers a précisé qu'à Nova Iguaçu, l'un des quartiers de la zone nord les plus touchés, 188 millimètres de précipitations étaient tombées, une quantité trop importante pour être absorbée par les évacuations pluviales. La météo prévoit de nouvelles pluies dans les prochains jours, mais moins fortes, a souligné le colonel Simoes.
La zone sud et touristique de Rio et le centre-ville administratif n'ont pas échappé aux pluies. De nombreuses rues étaient partiellement inondées.
De fortes pluies à caractère orageux se sont abattues sur le Sud de l'Etat brésilien de Rio de Janeiro. ces pluies diluviennes accompagnées de vent soutenu ont débuté aux alentours de 21:00 et ont duré plusieurs heures, déclenchant des inondations torrentielles et des coulées de boue dans toute l'agglomération de Rio de Janeiro.
Plus au nord Dans la ville de Lajedinho de l'éat de Bahia, un mouvement de terrain a enseveli une vingtaine d'habitations et fait 16 morts et 1 disparu. 100 personnes se sont retrouvées sans-abris.
A Rio de Janeiro:
Deux personnes sont mortes à la suite de fortes pluies ininterrompues qui s'abattent depuis mardi 10 décembre sur Rio de Janeiro, selon les pompiers.
« Ce sont les corps de deux hommes âgés de 18 et 50 ans. Ils ont été découverts dans une zone inondée », a déclaré un porte-parole des pompiers de Rio de Janeiro, placée en état d'alerte depuis mercredi. Près de 2 000 familles ont également dû quitter leurs foyers dans plusieurs communes de l'Etat, selon la presse locale.
Plus tôt, les pompiers avaient fait état d'une personne disparue et d'au moins deux personnes ensevelies lors d'éboulements de terrain. Un homme est porté disparu à Nova Iguaçu après être tombé dans une rivière et, à Realengo, les pompiers ont retiré une personne des décombres après un éboulement. Elle a été transportée à l'hôpital. Le colonel des pompiers, Sergio Simoes, a déclaré à la chaîne de télévision Globo News qu'ils travaillaient à présent à en retirer une deuxième partiellement ensevelie.
« Nous avons des informations selon lesquelles à Anchieta il y a eu des éboulements, et deux personnes pourraient être également ensevelies », a ajouté le porte-parole des pompiers.
Le maire de la ville, Eduardo Paes, a appelé la population à rester chez elle. « La situation est critique, nous avons eu de très fortes pluies. Notre priorité est le système d'alerte dans les favelas et zones à risques d'éboulements », a ajouté M. Paes sur Globo News. Les sirènes ont retenti dans 43 favelas, indiquant aux habitants qu'ils devaient abandonner leur maison par précaution.
Dans le quartier du stade Maracana, qui recevra la finale du Mondial 2014, la circulation était coupée, l'avenue Maracana étant inondée. L'aéroport intérieur Santos était fermé, et les atterrissages des avions, interrompus.
Le colonel des pompiers a précisé qu'à Nova Iguaçu, l'un des quartiers de la zone nord les plus touchés, 188 millimètres de précipitations étaient tombées, une quantité trop importante pour être absorbée par les évacuations pluviales. La météo prévoit de nouvelles pluies dans les prochains jours, mais moins fortes, a souligné le colonel Simoes.
La zone sud et touristique de Rio et le centre-ville administratif n'ont pas échappé aux pluies. De nombreuses rues étaient partiellement inondées.
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