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lundi 13 janvier 2014
Hong Kong suffoque dans un nuage de pollution qui fait tousser les milieux d'affaires, inquiets de voir la mégapole financière perdre son statut et sa matière grise au profit de concurrentes plus "propres". 

"Pas mal de gens sont déjà partis" à cause de la pollution, assure James Middleton, président de l'association Clear the Air qui mène la guerre aux véhicules "sales" dont les rejets enveloppent Hong Kong d'une brume mortifère.

Vers le remplacement de plus de 80.000 véhicules diesel entre 2014 et 2019

L'ancienne colonie britannique publie depuis le 30 décembre des mesures de pollution atmosphérique plus précises, compilées dans un nouvel Indice sanitaire de qualité de l'air (AQHI).

En dix jours, les niveaux de pollution n'ont pas quitté la zone d'alerte et atteint à quatre reprises le plus haut niveau de dangerosité qui recommande à la population de limiter les sorties en extérieur.

De nombreux Hongkongais ont fait part de leur inquiétude sur Twitter ou Facebook depuis la publication de l'indice, dont les associations écologistes espèrent qu'il va contraindre les autorités, accusées de laxisme, à prendre le problème à bras-le-corps.

Il "va certainement pousser le gouvernement à faire quelque chose", estime ainsi le responsable de l'ONG Clean Air Network, Kwong Sum-yin.

L'indice mesure les niveaux de concentration de plusieurs particules polluantes et les compare avec les admissions hospitalières pour troubles respiratoires et cardiovasculaires.

Le chef de l'exécutif hongkongais, Leung Chun-ying, s'est engagé à faire de la lutte contre la pollution de l'air une priorité de son mandat quinquennal.

Le gouvernement prévoit le remplacement de plus de 80.000 véhicules diesel entre 2014 et 2019 et des normes environnementales plus strictes pour les navires qui visitent le port de Hong Kong, l'un des plus fréquentés au monde.

Un programme de remplacement des pots catalytiques sur 20.000 véhicules supplémentaires, essentiellement des taxis, a démarré en octobre afin de réduire les émissions d'oxyde d'azote.

"Les familles finiront par partir"

Mais les ONG se plaignent de la lenteur avec laquelle ces mesures sont mises en oeuvre.

"Nous ne sommes pas satisfaits du calendrier", confirme Kwong Sum-yin.

Melonie Chau, de Friends of the Earth, préconise d'instaurer un système de circulation alternée en cas de pic de pollution, une gageure apparente dans ce temple du capitalisme financier où bus, tramways et taxis côtoient Lamborghini, Ferrari, Porsche et Rolls-Royce avec chauffeur.

Sauf que le sujet touche justement au portefeuille: Hong Kong a perdu son leadership mondial au classement 2013 des villes les plus compétitives dressé par l'International Institute for Management Development de Lausanne, se faisant dépasser par les États-Unis et la Suisse.

Les milieux d'affaires attribuent ce recul à la pollution et craignent qu'elle n'entache durablement la réputation de Hong Kong, nuisant à son attractivité auprès des talents étrangers dont la ville a besoin pour maintenir son rang en Asie.

"Je me verrais bien vivre quelques années à Hong Kong, mais y élever des enfants? J'y réfléchirais à deux fois", témoigne un touriste, Todd Scott, cadre supérieur canadien de 37 ans, en contemplant les gratte-ciel pris dans la suie.

James Middleton, de Clear the Air, prédit que "toutes les familles avec enfants, ainsi que ceux qui souffrent d'asthme, finiront pas partir".

Les mois d'hiver sont les plus pollués avec les vents du nord qui poussent de l'air chargé d'émissions toxiques en provenance de Chine populaire. Hong Kong est située à l'embouchure de la Rivière des perles, une région industrielle parmi les plus denses de Chine.

La concentration de particules fines en suspension (PM2.5) a même atteint le niveau de celles mesurées à Pékin le 10 janvier, une référence peu flatteuse en la matière, selon le site d'information chinois aqicn.org.

Source © AFP

De millions de produits surgelés ont été rappelés en magasin après que des milliers de Japonais aient été intoxiqués par la présence de pesticides. 

360 plaintes ont déjà été déposées mardi dernier et la médiatisation du scandale devrait multiplier ce chiffre dans les prochains jours. 

Fin décembre, c’est la filiale Aqlifoods qui avait alerté sur la présence inexpliquée d’un pesticide appelé malathion – interdit en France depuis 2008 – sur plusieurs produits surgelés fabriqués dans une usine de la préfecture de Gunma. Ce sont des clients dérangés par une étrange odeur qui avaient contacté l’entreprise quelques jours auparavant.

Principalement utilisé dans l’agriculture comme produit antiparasitaire, ce pesticide est très toxique pour les insectes. Lorsqu’il se décompose en malaoxon, il devient particulièrement toxique pour l’homme (60 fois plus que le malathion). 6,4 millions d’articles ont été rappelés en magasin, notamment des pizzas et aliments pour bébés dont l’ingestion a provoqué des diarrhées, vomissements et autres troubles. Toutefois, à ce jour, seuls 1,49 million d’articles avaient été récupérés.

Depuis le 29 décembre, jour de la première annonce de rappel diffusée par Aqlifoods, la filiale aurait reçu pas moins de 630 000 appels de personnes ayant acheté ou consommé les produits concernés. Des soupçons d’ajout délibéré de malathion lors du processus de production pèsent sur l’usine de fabrication du fait d’une teneur en pesticide particulièrement élevée. Une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur l’affaire.

Source : © AFP
Le glacier de Pine Island, le glacier de l'Antarctique contribuant le plus à la hausse du niveau de la mer, connaît un déclin «irréversible» et pourrait ajouter jusqu'à un centimètre aux océans en 20 ans, selon une étude publiée dimanche.

Le glacier de Pine Island, situé à l'ouest du continent blanc, est responsable de 20 % de la perte totale de l'Antarctique occidental, écrit dans la revue Nature Climate Change une équipe internationale de chercheurs conduite par le Laboratoire de glaciologie et de géophysique de l'environnement (LGGE) de Grenoble.

Ce glacier, qui a reculé d'une dizaine de kilomètres depuis les années 2000, s'amincit à un rythme de plus en plus rapide depuis quarante ans.

La contribution d'un glacier à l'élévation du niveau de la mer tient à la partie de la glace flottant sur l'océan, qui va fondre ou se disloquer en icebergs. Or, avec le réchauffement, la ligne d'échouage, c'est-à-dire la limite séparant la partie posée sur le continent de la partie flottant sur la mer, ne cesse de reculer, augmentant la masse de glace flottant sur la mer et contribuant à l'élévation.

Pour tenter de pronostiquer l'évolution de ce glacier dans les prochaines décennies, les chercheurs se sont basés sur trois modèles de simulation d'écoulement de la glace. Conclusion: le recul du glacier est «irréversible» et pourrait se poursuivre sur une quarantaine de kilomètres au cours des 50 prochaines années, indique le CNRS dans un communiqué.

Sa contribution pourrait ainsi «tripler voire quintupler dans les vingt prochaines années».

À lui seul, il pourrait contribuer à une hausse du niveau des mers comprise entre 3,5 et 10 mm dans les vingt prochaines années. Selon le dernier rapport en date des experts du climat du Giec, publié en septembre, la hausse globale du niveau de la mer attendue d'ici le milieu du siècle se situe entre 17 et 38 cm.

Depuis une vingtaine d'années, l'Antarctique de l'Ouest contribue de manière significative à l'élévation de la mer contrairement à la partie est qui reste à l'équilibre, c'est-à-dire que la quantité de glace perdue équivaut à celle de la neige qui alimente les glaciers, explique le CNRS.

Le Giec a rappelé en septembre que la hausse du niveau de la mer s'est accélérée depuis 20 ans. Les calottes du Groenland et de l'Antarctique contribueraient pour un peu moins d'un tiers, le reste se répartissant entre la dilatation thermique des océans et la fonte des glaciers de montagne.


Source © la presse.ca



Un séisme de magnitude 6,4 s'est produit dans la nuit de dimanche à lundi au large des côtes nord de Porto Rico, a communiqué le Service géologique des Etats-Unis.

Une secousse a été enregistré à minuit (heure locale) à 97 kilomètres au nord de la ville d'Hatillo. L'épicentre se trouvait à une profondeur d'un kilomètre.

La possibilité d'un petit tsunami a été annoncée. Le séisme n'a pas fait de dégâts ou de victimes selon les premières informations.




Crevette, thon, crabe, homard, on un coût aux état unis, c'est 650 000 mammifères marins tués ou blessés par la pêche commerciale dans les océans du monde entier. C'est ce que révèle un nouveau rapport publié aujourd'hui par le Conseil de défense des ressources naturelles .

91% des fruits de mer consommés aux États-Unis sont importés et leur pêche viole une loi fédérale sur la protection des mammifères marins selon cette étude. Cette étude accuse les pêcheries étrangères d'utiliser des piéges ou des engins de pêche dangereux et dont l'utilisation viole la loi des États-Unis pour protéger les mammifères marins.

Elle appelle les consommateurs à jouer un rôle dans la protection des baleines, des dauphins et des lions de mer en choisissant de préférence les produits américains.

«Personne ne veut de leur cocktail de crevettes à côté d'un dauphin mort, mais c'est pourtant ce qui se passe quand nous mangeons des fruits de mer importés qui ne sont pas tenus aux mêmes normes que les fruits de mer américains », a déclaré Zak Smith , avocat du NRDC et co-auteur du rapport . "

Depuis 40 ans, le gouvernement fédéral n'a pas réussi à faire respecter une loi qui pourrait sauver des milliers de baleines et de dauphins des pratiques de pêche étrangères négligentes .

En effet, ce rapport examine l'échec du gouvernement américain à faire respecter la protection des océans en vertu de la "Marine Mammal Protection Act ", qui exige que les pays exportateurs de produits de la pêche prouvent que leurs prises n'ont pas été récolté en violation des normes américaines qui limitent les blessures graves et la mort des mammifères marins .

Ce rapport examine donc les espèces et les populations primaires menacées d'extinction qui serait aidé par l'application de la loi américaine de la protection de l'océan à l'importation. Il tente de mettre en évidence les pratiques de pêche clés qui mettent en danger les mammifères marins , et les régions du monde où les prises accessoires sont une préoccupation essentielle . La capture accidentelle d'animaux dans les engins de pêche, ou les prises accessoires , pousse certaines populations de mammifères marins à bord de l'extinction rappelle t il.

Les espèces les plus touchées par les exportations de fruits de mer pour les marchés américains sont :

  • La baleine noire de l'Atlantique Nord : par les risques des pratiques de pêche du homard et du crabe du Canada
  • Le lion de mer de Nouvelle-Zélande : par les risques des pratiques de pêche du calamar de Nouvelle-Zélande
  • Le cachalot de Méditerranée : par les risques des pratiques de pêche  de l'Italie et de la Turquie 
  • Le Vaquita : par les risques des pratiques de pêche de la crevette ne respectant pas les règlements Mexicains
  • Le Dauphins Spinner : par les risques des pratiques de pêche de l'industrie du thon du Sri Lanka de l'Inde et des pays Baltes 
  • Le marsouins communs de la mer Noire  : par les risques des pratiques de pêche inadéquats
  • Le Stock des petits rorquals : par les risques des pratiques de pêche japonais et sud-coréens
  • Le faux orque l'espadon et le marlin : par les risques des pratiques de pêche du thon dans l'océan Pacifique 



Ben voilà, ça c'est dit ... c'est pas moi c'est ma sœur qu'a cassé la machine à vapeur...quoi qu'en observant l'actu de plus près ....tout s'explique ...voir article ci-dessous...

© Nature Alerte

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Peut être faut il rappeler à Zak Smith , avocat du NRDC et co-auteur du rapport que la Navy a annoncé que 2014 serait le début de:...



Dans les cinq ans à venir, la marine américaine a prévu d'augmenter ses tests de sonars. Et tant pis pour les baleines, les cachalots et les dauphins, mis en danger par ces petites expériences militaires.


Une technique particulièrement nuisible pour ces cétacés. En cause : l'intensité du son émis, si puissant qu'il les désoriente complètement.


A tel point que la nuisance sonore peut les conduire dans des eaux peu profondes, où ces cétacés peuvent s'ensabler, ou finir par s'échouer. C'est notamment le cas de la baleine à bec, très sensible au son. Mais le plus gros animal vivant, la baleine bleue, pourrait également être affectée, préviennent les biologistes.


"Ces résultats doivent être pris en compte par les organismes chargés de la régulation, et par ceux qui planifient les exercices navals", a prévenu Stacy DeRuite, qui a participé aux études menées par l'université St Andrews, en Ecosse, sur l'impact des sonars sur plusieurs espèces de baleines.


Ces études ont reproduit le son d'un sonar de 200 décibels auprès des baleines. Dans un diamètre de 3 à 10 km, toutes les espèces présentes ont cessé de s'alimenter et de nager, avant de se livrer à un comportement très inhabituel, dangereux pour leur survie.


Des considérations dont ne semblent pas s'embarrasser la marine américaine. Les défenseurs de l'environnement ont accusé la Navy de s'être empressée d'obtenir ce permis de cinq ans auprès de l'industrie nationale de la pêche marine sans avoir pris en compte les dangers pour les cétacés.

Pourtant, selon les propres chiffres de la marine américaine, cette activité pourrait tuer des milliers de baleines et de dauphins, uniquement sur la côte est.  Et plus encore dans les zones de test prévues, 13 000 cétacés seraient grièvement blessés, et 2 millions seraient "légèrement" blessés et pourraient perdre leur faculté auditive. 


Bon ben ...euh...c'est la guerre des effets d'annonces NON!!!









Le gouvernement de l'Australie occidentale prévoit de financer une opération de plusieurs millions de dollars pour abattre des requins le long de ses côtes, y compris les Grands requin Blancs, dans une supposée tentative d’amélioration de securisation des eaux côtières très fréquentées.

Ce projet de poses d' hameçons appâtés près des plages de Perth en réponse à sept attaques de requins mortelles en trois ans a suscité l'indignation dans le monde entier.

La semaine dernière plus de 4.000 personnes ont manifesté à Cottesloe sur la plage de Perth .

Au-delà du fait que de nombreuses espèces de requins sont déjà au bord de l'extinction en raison de la surpêche et des décennies de persécution, la solution proposée au problème d'attaques de requin a Perth est susceptible de l'exacerber plutôt que de le résoudre 

Le gouvernement a confirmé qu'il voulait poser des lignes avec des hameçons appâtés à 1 km des côtes et se propose de payer des pêcheurs pour effectuer des patrouilles pour capturer tous les requins qu'ils croiseront de plus trois mètres de long. Cela pourra inclure les Grands Blancs, qui sont une espèce protégée et dont la population est en très forte baisse , ainsi que des espèces comme le requin tigre et le requin Bull .

Cette proposition scandaleuse du gouvernement de l'Australie occidentale illustre clairement le peu d’internet et de connaissances qu'il accorde à la protection des écosystèmes des océans.

A vrai dire il semble même que cette situation d'attaque de requin devienne un merveilleux prétexte à mieux maquiller des opérations bien plus douteuses.

© Nature Alerte 

Le chanteur canadien Neil Young a lancé une cinglante attaque à l'endroit du gouvernement Harper et des sables bitumineux de l'Alberta.

Lors d'une conférence de presse, dimanche, le légendaire artiste a déclaré que pour le gouvernement conservateur, «l'argent est numéro un, et l'intégrité n'est même pas sur la carte».

La conférence de presse visait à donner le coup d'envoi au premier de quatre concerts dont l'objectif est de soutenir une nation autochtone de l'Alberta qui combat le développement des sables bitumineux dans la province.

Young, qui a récemment visité l'un des sites où l'on extrait du pétrole des sables bitumineux, a comparé la pollution à Hiroshima, la ville japonaise où a été larguée la première bombe atomique pendant la Seconde Guerre mondiale.

Selon le chanteur, les leaders canadiens tuent les peuples des Premières Nations et leur sang sera sur «les mains du Canada moderne».

Il a également dit espérer que ses petits-enfants puissent regarder vers le haut et contempler un ciel bleu, mais tout ce qu'il voit, c'est un gouvernement qui est «hors de contrôle».

Source La presse.ca






Le géant français Total va devenir la première grande compagnie pétrolière à rechercher du gaz de schiste en Grande-Bretagne, rapporte, samedi 11 janvier, le quotidien économique Financial Times.

Total annoncera lundi un accord sur une licence d'exploitation dans le Lincolnshire, actuellement détenue par l'Américain Ecorp, d'après le journal. Les autres partenaires de ce projet sont Dart Energy (Singapour), Igas et Edgdon Resources (deux sociétés cotées en Grande-Bretagne).

Total, qui n'a pour l'instant pas confirmé ces informations, deviendrait ainsi la deuxième société française à investir dans le gaz de schiste après GDF Suez, qui a annoncé le 22 octobre un accord d'exploration dont Dart Energy fait aussi partie. Contrairement à la France, où les recherches de gaz de schiste sont interdites, la Grande-Bretagne veut se lancer dans cette exploitation.

Le premier ministre britannique David Cameron aurait mis en garde en décembre le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, sur le risque que l'Europe soit laissée sur la touche dans l'exploitation de cette source d'énergie controversée.

La polémique porte principalement sur l'extraction par fracturation hydraulique, qui comporte de nombreux risques de pollution des nappes phréatiques en raison de l'usage de produits chimiques, en plus d'être grande consommatrice d'eau.

Le gaz de schiste a un impact important sur les marchés mondiaux de l'énergie, entraînés par l'augmentation massive de la production au Canada et aux Etats-Unis, où la chute des prix du gaz a donné un sérieux coup de pouce à la productivité industrielle.

Source © AFP
En 2013, ce sont 22 tornades qui ont été recensées sur le territoire français, parmi lesquelles on compte :


  • 10 tornades d’intensité EF0,



  • 9 tornades d’intensité EF1,



  • 2 tornades d’intensité EF2,



  • 1 tornade d’intensité EF3.


Ce bilan ne considère que les cas dont l’expertise a pu démontrer avec certitude la nature tornadique. S’y ajoutent 4 cas très probables mais non certains ; ils ne sont pas pris en compte dans le présent bilan, dans la mesure où ils pourraient fausser l’analyse climatologique du phénomène.

A noter par ailleurs qu’une multitude de phénomènes rapportés comme tornades par des sources diverses (médias, sites d’information,…) sont en réalité des rafales descendantes, parfois sous forme de microrafales, et n’intègrent donc pas la liste des tornades référencées ni, a fortiori, le présent bilan.

Ce chiffre est-il important ?

Il est délicat d’en juger précisément, dans la mesure où les dispositifs de recensement systématique mis en oeuvre par Keraunos depuis 2006 ont augmenté très significativement le nombre de tornades recensées, sans que cet état de fait ait une quelconque signification climatologique. Il est probable qu’il faille encore attendre une vingtaine d’années pour disposer d’un recul suffisant pour établir une norme climatologique représentative.

Néanmoins, en regard des dernières années, on estime que 2013 est une année vraisemblablement proche de la normale en matière d’activité tornadique, notamment pour ce qui concerne le nombre de jours avec tornade.

Il est important à ce titre de garder à l’esprit qu’un certain nombre de tornades de faible intensité (notamment EF0) peuvent encore échapper au recensement lorsqu’elles touchent des zones peu habitées.
Quelle est la plus forte tornade de l’année 2013 ?

L’année 2013 a surtout été marquée par la tornade d’Etrochey du 19 juin, en Côte-d’Or. Celle-ci a en effet atteint l’intensité EF3, soit des vents estimés entre 220 et 270 km/h. Les analyses de terrain réalisées par Keraunos sur cet événement ont été rendues particulièrement complexes, en raison d’une conjonction entre cette tornade et des macrorafales.

Les dommages provoqués par la tornade ont été localement sévères, avec certains bâtiments presque totalement détruits. La végétation a également souffert, certains arbres étant partiellement écorcés et totalement dépouillés de leur branches.

La tornade d’Etrochey est la plus puissante tornade à avoir frappé la France depuis la tornade EF4 d’Hautmont, le 3 août 2008. 


La répartition géographique des tornades en 2013 a été relativement conforme à la climatologie, avec une concentration assez nette dans le nord et le nord-ouest du pays, ainsi que sur le nord de l’Aquitaine et plus ponctuellement entre Bourgogne et Lorraine.

Les régions les plus frappées en 2013 ont été :


  •  l’Aquitaine, avec 3 tornades (1 EF0 et 2 EF1)


  •  la Lorraine, avec 3 tornades (2 EF0 et 1 EF1)


  •  le Nord – Pas de Calais, avec 2 tornades (1 EF1 et 1 EF2)


  •  la Picardie, avec 2 tornades (1 EF0 et 1 EF1)


  • la Haute-Normandie, avec 2 tornades (1 EF0 et 1 EF1)


  •  le Poitou-Charentes, avec 2 tornades (2 EF0)



Les tornades se sont très majoritairement produites l’après-midi en 2013. Aucune tornade n’a été recensée en soirée ni en début de nuit, ce qui constitue une certaine originalité dans la mesure où la tranche horaire 18h-00h TU rassemble habituellement un peu plus de 20% des tornades.

Les distances parcourues sont pour leur part réparties de manière conforme à la climatologie, avec une majorité nette de trajectoires inférieures à 10 km (85% des tornades concernées, pour une norme climatologique de 83%), et seulement 15% de trajectoires plus longues. Aucune tornade à trajectoire très longue (> 15 km) n’a été observée en 2013

Source Actu hebdo



vendredi 10 janvier 2014
Le président du comité français de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a adressé une lettre au ministre de l'Ecologie Philippe Martin lui demandant de "compléter" la réalisation d'études d'impacts "sur les systèmes écologiques" du projet d'aéroport du grand Ouest Notre-Dame-des-Landes, "avant le lancement de tout travaux".

Christophe Lefebvre a envoyé cette lettre, datée du 30 décembre dernier, après que la préfecture de Loire-Atlantique a publié le 21 décembre quatre arrêtés préfectoraux relatifs à la loi sur l'eau et à la biodiversité, autorisant le démarrage des travaux, via des mesures compensatoires des zones humides impactées.

L'analyse des incidences du projet réalisée par les maîtres d'ouvrage (le concessionnaire Aéroport du Grand Ouest (AGO)-Vinci et la Dreal des Pays de la Loire) et la définition des mesures sont basées sur la logique ERC (Eviter - Réduire et, en cas d'incidences résiduelles, Compenser), indiquent les arrêtés. Mais l'UICN estime que la méthodologie de compensation mise en œuvre par les maîtres d'ouvrage demeure "insuffisante". 

L'organisation critique "la globalisation des fonctions à compenser", "les ajustements" réalisés en termes de surfaces de zones humides impactées et "la conversion en « Unité de Compensation Globale » de l'évaluation des impacts résiduels sur ces zones humides". Le manque de justification de cette méthode a déjà été pointé par le Conseil National de la Protection de la Nature et les commissions de dialogue et d'experts nommées par l'Etat sur ce projet.

Le site concerné, d'une superficie d'environ 1.600 hectares, est constitué "à 98 % de zones humides" et englobe deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), souligne Christophe Lefebvre. Ces zones humides "jouent un rôle clé" dans la régulation de la ressource en eau, dont l'écrêtement des crues. "La destruction de cet écosystème, même accompagnée de mesures compensatoires adéquates, aura des impacts autant quantitatifs que qualitatifs sur les masses d'eaux de surface, souterraines et de transition à une échelle bien plus large que celle du site, sans oublier l'augmentation du risque d'inondation pour les habitants des villes alentours", a averti M. Lefebvre.

L'UICN estime donc "nécessaire" de compléter les études "pour définir et mettre en oeuvre toutes les actions nécessaires pour éviter, réduire et compenser les impacts sur les services rendus par les zones humides et les espèces présentes dans une démarche d'exemplarité et d'excellence environnementale".

Selon le préfet de Loire-Atlantique, les premières actions de transferts des espèces et de défrichage seraient prévues le premier semestre 2014.

Source: © Rachida Boughriet / Actu environnement
Des super rats mutants envahissent les foyers britanniques. Ce fléau est la conséquence directe des conditions climatiques actuelles : des hordes de rongeurs fuient les égouts et les caves inondées par les fortes pluies pour se réfugier dans les maisons.

Les autorités sanitaires sont confrontées à des dizaines d'appels de familles terrifiées. Problème : les rats, qui peuvent transmettre des maladies à l'homme, sont résistants aux poisons traditionnels.

En mars 2013, des rats mutants avaient envahi Téhéran, en Iran. La municipalité avait déployé des tireurs d'élite dans toute la ville pour éradiquer les nuisibles. Les poisons utilisés permettaient de les repousser, mais pas de les tuer.

Source Atlantico

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Les services d’urgence et de gestion des catastrophes naturelles du royaume de Tonga étaient vendredi en alerte maximale à l’approche du cyclone « Ian », phénomène qui a significativement gagné en puissance au cours des 24 dernières heures et qui devrait frapper les îles du Nord de cet archipel polynésien dans la soirée de vendredi (heure locale, GMT+12). 

Ian, qui s’est formé en début de semaine au Nord-est des îles Fidji voisines, a depuis dans un premier temps fait mine de s’éloigner de Tonga, mais a ensuite incurvé sa trajectoire pour reprendre un cap Est-sud-est, avec, en son centre, des vents moyens de l’ordre de 170 kilomètres heure, avec des rafales destructrices à 200, selon les dernières prévisions disponibles. 

Cette puissance, qui le place déjà dans une catégorie 4, pourrait encore augmenter au cours des douze heures à venir pour atteindre les 195 kilomètres heure en vents constants, avec des rafales à 240, selon le centre d’alerte cyclonique de la marine américaine, basé à Pearl Harbour (Hawaii). 

En fonction de sa trajectoire actuelle, Ian, désormais qualifié de « sévère », pourrait toucher en premier lieu les îles du Nord de Tonga, notamment l’île de Vava’u, l’un des principaux centres touristiques du pays, mais aussi l’île principale de Tongatapu.  Il arriverait par le flanc Ouest de l’archipel, pour ensuite traverser latéralement et poursuivre sa route le long des côtes orientales. 

Il s’agit du premier cyclone tropical de la saison (novembre 2013- mai 2014 pour les îles du Pacifique Sud. 

Ian se déplace à une vitesse faible (environ 7 kilomètres heure) et devrait ainsi s’attarder au-dessus de Tonga jusqu’à dimanche, estiment les prévisionnistes. 

Après cela, Ian devrait progressivement plonger en direction Sud-sud-est et perdre en puissance au cours de sa phase de transition extratropicale. 

À Tonga, les services d’urgence ont transmis des messages de vigilance à la population, rappelant les consignes en pareilles circonstances, à savoir, en premier lieu, sécuriser les maisons et tout objet pouvant être emporté, avec en corollaire la consigne pour les habitants de rester chez eux, après avoir stocké matériel et provisions de première nécessité, tout en restant à l’écoute des messages radio des autorités.
Un séisme de magnitude 5,1 a frappé Cuba en fin d’après-midi jeudi, faisant tanguer les édifices dans la capitale, La Havane.

On ne rapportait pas de dommages ni de victimes .

Le tremblement de terre s’est produit tout juste avant 16 h. L’épicentre était localisé dans le détroit de Floride, à 172 kilomètres à l’est de La Havane, selon l’institut américain d’études géologiques (USGS). La ville la plus proche de l’épicentre est Corralillo, à 28 kilomètres au sud-ouest.

Dans la Vieille Havane, le séisme a été très bien ressenti par des employés qui se trouvaient dans deux édifices de six étages, qui ont été temporairement évacués. Selon des témoins, la secousse a duré une trentaine de secondes.

Sandor Polo, un serveur de 31 ans, a raconté qu’il servait de la nourriture dans un bureau au troisième étage lorsque des boîtes se sont subitement mises à bouger et que des gens se sont mis à crier.

«J’ai été pris de vertige», a dit M. Polo, en précisant qu’il n’avait jamais vécu un événement semblable dans sa vie.

«Tout bougeait», a affirmé Nuria Oquendo, une adjointe administrative de 44 ans qui se trouvait au sixième étage d’un édifice voisin lorsque le plancher a commencé à bouger. «On pouvait vraiment le sentir, de façon très claire et très définie.»

Tout comme M. Polo, elle n’avait jamais vécu de séisme avant. Elle a affirmé que l’expérience avait été troublante, mais qu’elle n’avait pas eu peur.

«Je n’ai pas eu peur, mais j’avais la sensation que quelque chose de bizarre était en train de se passer», a-t-elle dit.

L’institut américain d’études géologiques avait d’abord établi la magnitude à 5,0, avant de la réviser à 5,1. Le séisme s’est produit à une profondeur de 10 kilomètres.

L’île de Cuba n’est pas sujette aux tremblements de terre comme d’autres régions d’Amérique latine, en particulier les pays qui bordent la «ceinture de feu» du Pacifique, mais un certain nombre de séismes significatifs ont frappé le pays au fil des ans. En 1932, un tremblement de terre avait tué huit personnes et endommagé 80 pour cent des édifices dans la ville de Santiago, dans l’est, selon le centre américain de données géophysiques.

Source: The Associated Press
L’Afrique de l’Ouest est la région du monde la plus sujette à la pêche illégale (37% de la pêche illégale mondiale). Les pertes annuelles pour les pays de la région se situent entre 829 millions de dollars et 1,6 milliard de dollars. 

Le Sénégal avec ses sept cent kilomètres de côte et de nombreuses espèces à haute valeur commerciale comme les requins, les thons, les espadons…suscite les convoitises et constitue une cible privilégiée pour les flottes de pêche pirates venues de d’Europe, d’Asie ou encore de Russie.

Lors d’une récente conférence de presse, Haidar El Ali, Ministre des pêches et des Affaires Maritimes a déclaré que les pertes pour le Sénégal s’élèvent à près de 200 millions d’euros annuels et qu’environ une cinquantaine de navires illégaux croisent au large des eaux territoriales sénégalaises, y faisant de récurrentes incursions. Il a réaffirmé sa volonté de lutter plus efficacement contre ce pillage.

Le braconnage met en péril le fragile équilibre de l’écosystème et de la biodiversité marine et menace directement la survie des petits pêcheurs artisanaux qui payent le prix de la demande croissante en poissons des marchés européens et asiatiques.

En sénégalais, “SunuGaal” dont vient le nom du pays, signifie “notre bateau”. 

Ce nom fait écho à l’offre de Sea Shepherd de mettre à disposition du gouvernement du Sénégal, un navire qui défendra la biodiversité marine locale et les droits des petits pêcheurs locaux – notre bateau défendra les leurs des flottes de pêche pirate étrangères. 

Mandaté par le Président de la République, Monsieur Macky Sall, Sea Shepherd met donc au service du Sénégal un navire, du carburant et un équipage qui passera plusieurs mois à patrouiller les eaux sénégalaises sous la direction du gouvernement sénégalais. Il assistera le Ministère de la Pêche, emmené par Monsieur Haidar El Ali, dans sa lutte contre la pêche pirate.

“Je souhaite qu’à travers les actions de Sea Shepherd, le reste du monde prenne conscience de ce qui se passe dans mon pays. Nos ressources marines sont pillées par des flottes de pêche étrangères” declare le Ministre de la pêche Haidar El Ali. “Si j’ai fait appel à Sea Shepherd c’est parce qu’ils ne se contentent pas de theories et de bla bla, ils passent à l’action”.

L’Opération “Sunu Gaal” est aussi pour Sea Shepherd l’occasion de présenter le dernier et cinquième navire de sa flotte – le Jairo Mora Sandoval, baptisé d’après l’activiste costa ricain de 26 ans, sauvagement assassiné en mai 2013 pour avoir voulu protéger les tortues marines des braconniers.

Pour le Fondateur de Sea Shepherd, le Capitaine Paul Watson, le choix de ce nom a une signification particulière :“ Quand j’ai appris le meurtre du jeune activiste écologiste, Jairo Mora Sandoval, j’ai été extrêmement attristé. Puis, j’ai été en colère. En colère parce que ce crime a eu lieu malgré les appels à l’aide de Jairo auprès de la police locale et du gouvernement quelques temps avant son assassinat. En colère parce que le gouvernement n’a pas réagi et parce qu’il aura fallu exercer de nombreuses pressions pour que le gouvernement réagisse enfin. En colère parce que les braconniers continuent à exterminer les tortues marines et à détruire leurs nids. J’ai dès lors fait le serment que le nom de Jairo ne serait pas oublié et j’ai donc décidé que nous baptiserions un navire en sa mémoire. C’est aujourd’hui chose faite et le Jairo Mora Sandoval commencera sous peu ses patrouilles anti braconnage dans les eaux sénégalaises, sous la direction du Gouvernement du Sénégal”.

 “S’investir dans la lutte contre la pêche illégale dans un pays d’Afrique de l’Ouest, revêt une importance particulière pour Sea Shepherd, déclare Lamya Essemlali, Chargée de mission et Présidente de Sea Shepherd France. “D’une part, c’est la region du monde la plus ciblée par la pêche pirate. D'autre part, l’essentiel du poisson volé à l’Afrique termine dans les assiettes de pays bien plus riches qui se congratulent par ailleurs des miettes de charité qu’ils octroient aux pays africains. Les pays comme le Sénégal n’ont pas besoin de charité, mais d’une forme de justice qui n’est possible que par la protection effective de ses eaux territoriales, à laquelle nous sommes fiers de pouvoir contribuer. “

Source © Sea Shepherd



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