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mercredi 10 décembre 2014
Le ministère de la culture du Pérou s'est dit indigné d'une action entreprise par Greenpeace aux célèbres géoglyphes de Nazca et cherchera à empêcher les coupables de sortir du pays.

Dans une déclaration mardi, le ministère soutient que des écologistes de Greenpeace sont entrés dans une zone d'accès interdit près de la forme du colibri et y ont déroulé de grandes lettres de tissu jaune qui formaient les mots «Time for change! The future is renewable» (en français: «C'est le temps de changer! L'avenir est renouvelable»), suivis de la signature «Greenpeace».

Le ministère prétend que les actions de Greenpeace, lundi, ont «sérieusement» nui à cette aire fragile, mais n'a pas détaillé les dommages ou les infractions.

La porte-parole de Greenpeace Tina Loeffelbein a déclaré que les militants ont pris bien soin de protéger les géoglyphes de Nazca, ces formes géantes tracées dans des champs, et que le groupe faisait enquête sur le dossier.

Des représentants du groupe se trouvent au Pérou pour la conférence de l'ONU sur le climat.

Source © AP


Le Tribunal supérieur de justice des Canaries a rejeté mardi un recours en référé déposé par le gouvernement régional de l'archipel espagnol contre les prospections pétrolières en haute mer menées par le groupe Repsol.

Dans leur décision, les juges expliquent que les autorisations données par le gouvernement pour chercher des hydrocarbures au large des îles Fuerteventura et Lanzarote respectent la législation en vigueur, notamment en termes de protection de l'environnement. 

Les magistrats doutent aussi de l'impact négatif que pourraient avoir ces prospections sur le tourisme, principale ressource pour les habitants des sept îles de l'archipel des Canaries. Ce risque "est complètement hypothétique et conséquence d'une situation d'urgence ou d'une catastrophe". 

Le gouvernement des Canaries et les écologistes sont vent debout contre les projets du groupe pétrolier espagnol Repsol et ont déposé plusieurs recours devant la justice espagnole et européenne pour y mettre fin. Ils font valoir que l'archipel, situé au large des côtes africaines, se trouve dans une zone riche en flore et en faune qui pourrait être perturbée par les prospections pétrolières. 

L'association Greenpeace avait envoyé son navire Arctic Sunrise dans cette zone, située à environ 70 kilomètres des côtes de l'archipel. Ayant violé une zone d'exclusion maritime, il avait été placé sous séquestre par les autorités espagnoles et a dû s'acquitter d'une caution de 50.000 euros avant de repartir. Repsol de son côté insisté sur les retombées économiques pour les Canaries, mais aussi pour tout le pays, s'il trouve des hydrocarbures. L'Espagne importe près de 80% de son énergie.

Source © Belga


En Angleterre (et au pays de Galles), la chasse à courre est interdite depuis 2004, mais tuer un renard au fusil dans son jardin est parfaitement légal. Et comme les 10.000 renards qui vivent à Londres ne sont pas aimés de tous, certains résidents n'hésitent pas à appeler des tueurs professionnels. 

Le New York Times a rencontré Phil, un plombier qui arrondit ses fins de mois en tuant des renards dans les jardins privés. Ses prix sont plutôt raisonnables: les familles, écoles ou clubs qui font appel à ce sniper spécialisé payent environ 100 euros pour un renard tué, et 63 euros par renard supplémentaire. Il arrive en effet que Phil (qui n'a pas souhaité donné son nom de famille à la journaliste par peur de représailles venant des défenseurs des droits des animaux) tue quatre renards en une nuit dans un même jardin.

Les renards urbains ont des ébats bruyants, ils détruisent les fleurs, fouillent dans les poubelles et attaquent parfois des bébés et des animaux domestiques. L'année dernière, un nourrisson a eu deux doigts sectionnés par un renard qui est parvenu à s'introduire dans sa chambre.

Si Phil s'est lancé dans la chasse aux renards urbains, c'est aussi un peu pour se venger: le cochon d'Inde de sa fille a été décapité par un renard, et un de ses amis a deux teckels qui ont été attaqués.

Il donne les cadavres à un ami qui a une ferme d'élevage d'asticots: les insectes nourris au renard sont ensuite utilisés pour nourrir des poulets.

Mais il existe une alternative moins violente, rappelle le New York Times. Une entreprise comme Fox-A-Gon propose une approche plus douce. Il est notamment possible d'asperger son jardin avec un spray qui imite l'urine de renard: les autres renards sentent l'odeur et pensent qu'un animal dominant règne déjà sur ce territoire, ce qui les dissuade de vouloir s'y installer.  

Le problème, c'est que de nombreux Londoniens nourrissent régulièrement les renards dans leurs jardins. La page Facebook des défenseurs des renards urbains a près de 14.000 fans, et certains résidents soignent les renards blessés par des voitures ou des chiens. A Londres, pro et anti-renards vivent côte-à-côte, et tout comme Phil le sniper, les clients qui font tuer leurs renards ont préféré garder l'anonymat de peur d'être harcelés par les pro-renards.

Source © Slate.fr


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Le massacre des éléphants d'Afrique et le commerce de leur ivoire en Chine sont "hors de contrôle" et pourraient provoquer l'extinction des pachydermes vivant en liberté d'ici une génération, selon l'enquête de deux ONG de défense de l'environnement.

Plus de 100.000 éléphants d'Afrique ont été tués en 2010 et 2012, et des quantités de plus en plus importantes d'ivoire sont vendues dans un nombre croissant de boutiques en Chine, dénoncent dans un rapport conjoint les associations Save The Elephants et The Aspinall Foundation. 

Elles appellent Pékin à réagir vigoureusement: "La Chine détient la clé de l'avenir des éléphants", a expliqué Iain Douglas-Hamilton, fondateur de Save the Elephants. 

"Si la Chine n'est pas en pointe pour mettre fin à la demande d'ivoire, les éléphants d'Afrique pourraient disparaître de la nature d'ici une génération". "L'envolée de la demande d'ivoire en Chine - où le prix de gros pour les défenses brutes d'éléphants a triplé en quatre ans depuis 2010 - a déclenché une expansion du commerce de l'ivoire de contrebande, entraînant le massacre des éléphants d'Afrique", expliquent les ONG dans leur rapport, rendu public mardi à Nairobi. 

Le braconnage des éléphants, mais aussi des rhinocéros, a explosé ces dernières années en Afrique, alimenté par la forte demande d'ivoire et de corne en Asie, où ils sont recherchés respectivement pour leur aspect décoratif et leurs prétendues vertus médicinales. Les prix sont devenus astronomiques, faisant saliver gangs criminels internationaux et groupes armés. Des enquêteurs des deux ONG ont visité plusieurs dizaines de magasins et d'usines en Chine, principal centre mondial de transformation et premier importateur illégal d'ivoire. 

"Tous les chiffres concernant le commerce de l'ivoire ont explosé ces dernières années. Les prix de l'ivoire brut ou travaillé en Chine, le nombre d'usines autorisées de taille de l'ivoire, celui des boutiques de vente de détail, tant légales qu'illégales, celui des objets à la vente, tous se sont envolés", s'alarment-ils. Selon eux, entre 2004 et 2013, le nombre de commerces d'ivoire patentés est passé de 31 à 145 et le nombre d'usines de transformation de neuf à 37. La vente illégale dans des commerces sans licence a progressé au même rythme. 

"Parallèlement, les quantités d'ivoire saisies et le nombre d'éléphants tués en Afrique ont également augmenté", poursuivent Save The Elephants et The Aspinall Foundation. Le prix de l'ivoire brut en Chine est passé de 750 dollars (550 euros) le kilo en 2010 à 2.100 dollars (1.540 euros) en 2014. 

Après l'interdiction en 1989 du commerce international d'ivoire, l'industrie chinoise de transformation était moribonde. La vente - avec l'imprimatur de la Cites, l'organisation internationale de protection des espèces menacées - de 62 tonnes d'ivoire d'Afrique australe à la Chine en 2008 et l'enrichissement de la population chinoise ont fait exploser la demande et ressuscité le secteur. Les Chinois sont désormais les principaux acquéreurs de l'ivoire travaillé en Chine, pour la première fois depuis le XIXe siècle, selon les auteurs du rapport. 

La vente de défenses anciennes de mammouths est légale et libre en Chine, tandis que le commerce de défenses d'éléphants est soumis à licence et l'ivoire interdite d'exportation. Mais d'après le rapport, le commerce des défenses de mammouths est utilisé "comme couverture pour vendre de l'ivoire d'éléphant" et "le négoce légal d'ivoire sert à dissimuler des activités illégales"

"La Chine fait face à des défis énormes en matière de police pour contrôler le trafic d'ivoire, alors que le nombre de riches, intéressés par l'achat d'ivoire, continue de progresser" et qu'"un nombre croissant de travailleurs chinois en Afrique (...) achètent des quantités de plus en plus importantes d'ivoire pour les faire sortir en fraude", indique le document. La Chine fait des efforts pour mettre fin au trafic, mais ses mesures sont insuffisantes, estiment les auteurs du rapport. 

Les autorités chinoises ont fait fermer 10 magasins et usines, "emprisonné des centaines de revendeurs et condamné à la prison à vie 37 trafiquants", jugulant les ventes aux enchères d'ivoire de près de 97%, selon le rapport. Mais "malgré ces efforts, les inspections officielles se sont avérées à l'évidence incapables de suivre le rythme de l'inflation du marché illégal".

Source © AFP

mardi 9 décembre 2014
La marée noire qui touche le désert d'Arava est devenue «la plus grande catastrophe écologique qu'Israël n'ait jamais vu." 

"Le volume de pétrole brut qui s'est déversé dans le désert d'Arava la semaine dernière est 60 % plus important que le montant initialement indiqué, a indiqué la société, Ashkelon Pipeline Company Eilat (CPEA), responsable du pipeline accidenté.

Bien que la quantité initialement rapporté annonçait qu'entre un million et 1,5 millions litres s'étaient répandus dans le désert d'Arava, son calcul était révisé le soir même à plus de trois millions de litres. Depuis, la société a rectifié ses estimations et révélé que près de cinq millions de litres de pétrole brut se sont effectivement déversés dans le désert après l'accident de jeudi dernier.

"Nous étions sceptiques sur les chiffres fournis par la société dès le début," a rappellé un fonctionnaire du ministère. Il semble que les chiffres annoncés aujourd'hui soient plus prés de la réalité.

Pendant ce temps, les équipes de lutte contre les avaries ont déjà enlevé 13 000 tonnes de sols pollués afin de réduire l'impact de la fuite .

Néanmoins les prévisions météorologiques attendues en fin de semaine font désormais craindre le pire. En effet la pluie pourrait encore venir aggraver les dommages causés. Les prévisions météorologiques indiquent qu'une forte pluie pourrait conduire à des crues soudaines qui véhiculeraient la pollution dans le golfe d'Aqaba, site de l'un des récifs coralliens situés les plus au nord du monde.

"Si la pluie provoque des inondations, le pétrole sera transporté vers l'est et le sud, et pénétrera profondément dans le sol. Le pétrole va se répandre et il sera plus difficile à traiter ", a déclaré au Jérusalem Post le directeur Elli Groner de l'Institut Arava pour les études environnementales

Amatzia Genin, directeur de l'Institut interuniversitaire d'Israël pour les sciences marines à Eilat a déclaré être très préoccupé.

Plus de 80 personnes des deux côtés de la frontière israélo-jordanien se sont plaints de problèmes de santé causés par le déversement.

© Nature Alerte

Le réchauffement climatique multiplie par dix le risque d'étés extrêmement chauds en Europe, alors que le risque était seulement doublé il y a dix ans, selon une étude parue lundi dans la revue Nature Climate Change.

En 2004, des experts du Met Office Hadley Centre, au Royaume-Uni, avaient calculé que les émissions de carbone dues à l'homme avaient doublé le risque d'enregistrer une vague de chaleur extrême en été, par rapport à la moyenne historique. Statistiquement, un tel événement --des températures dépassant de 1,6°C la moyenne constatée sur la période juin-août de 1961 à 1990-- interviendrait tous les 52 ans, c'est à dire deux fois par siècle. 

Nouvelle étude

Dans la nouvelle étude, la même équipe de scientifiques a modifié le scénario, à la lumière du réchauffement climatique intervenu depuis et en utilisant de meilleurs modèles informatiques. Dans les conditions actuelles de réchauffement climatique, on enregistrerait deux vagues de chaleur tous les dix ans, et non plus deux par siècle, ont-ils constaté. 

Zones étudiées

Comme la précédente, l'étude s'est concentrée sur la France, l'Allemagne et l'Italie, les pays les plus touchés en 2003 par l'été le plus chaud jamais enregistré en Europe. En 2008, une étude de l'Inserm a suggéré que plus de 70.000 personnes étaient décédées dans 16 pays, victimes de la vague de chaleur. 

Fréquence

Dans leur évaluation de 2004, les experts britanniques avaient découvert que, statistiquement, un événement comme la canicule de 2003 --un dépassement de 2,3°C des températures moyennes à long terme-- avait une probabilité de se répéter tous les mille ans, ou plus. Désormais, ils estiment cette probabilité à quasiment une fois par siècle (tous les 127 ans). 

Emissions de CO2

Durant la décennie 2003-2012, les températures en Europe occidentale ont dépassé de 0,81°C celles observées durant la période 1990-1999, une hausse due essentiellement aux émissions de gaz carbonique par l'homme. 

Réchauffement climatique global

L'étude s'est basée sur quatre modèles pour prévoir le réchauffement climatique global d'ici à 2100, chacun fondé sur des niveaux différents d'émissions de gaz à effet de serre. Même dans l'hypothèse la plus optimiste, "d'ici aux années 2040, un été aussi chaud que celui de 2003 sera très banal", estiment les chercheurs. Dans l'hypothèse d'émissions importantes --la tendance actuelle--, "l'été 2003 sera considéré comme un épisode extrêmement froid d'ici à la fin du siècle", écrivent-ils. "La perception des étés extrêmement chauds va manifestement changer au cours des décennies à venir", soulignent les scientifiques. 

Vague de chaleur

L'Organisation météorologique mondiale définit une vague de chaleur comme une période de cinq jours consécutifs au minimum durant lesquels la température dépasse la moyenne locale maximale de 5°C. 

Négociations sur le climat

La publication de cette étude intervient alors que des négociations internationales se tiennent à Lima avec l'objectif de parvenir à un accord pour limiter le réchauffement à 2°C par rapport à l'ère pré-industrielle. 

Source © Belga
Un léger séisme de magnitude 3,6 a touché le sud de la Bretagne pendant la nuit, sans faire de dégât.

"J'étais dans mon lit et j'ai senti celui-ci bouger. Je me suis demandé ce qui se passait, si je rêvais".

Ils sont nombreux en Bretagne à avoir été réveillés par un léger tremblement de terre de magnitude 3,6, qui s'est produit mardi 9 décembre, peu avant 3H30, dans le Morbihan. Il n'a fait ni dégât ni victime, a-t-on appris auprès du réseau national de surveillance sismique (Rénass).

L'épicentre du séisme était situé en mer, entre Quiberon et Belle-Ile-en-mer, à une profondeur de 10 kilomètres environ (Lat: 47,3485 N - Long: 3,0185 W), selon les données publiées sur le site de cet organisme.

Le séisme a été ressenti jusqu'à 40 km de l'épicentre

Le séisme, qui a eu lieu à 3H22, a été ressenti sur Belle-Ile, distante d'une dizaine de kilomètres, à Quiberon et dans toutes les localités environnantes, jusqu'à Auray et Vannes, respectivement situées à 30 et 40 kms de l'épicentre.

"J'étais dans mon lit et j'ai senti celui-ci bouger. Je me suis demandé ce qui se passait, si je rêvais. Et ce matin toutes mes collègues m'ont dit avoir ressenti la même chose. Nous nous demandions ce qui s'était passé", a déclaré une employée de la mairie de Quiberon.

Plus de 1.000 séismes en Bretagne depuis 1980

Zone faiblement sismique, la Bretagne a enregistré 1.078 séismes depuis 1980, selon les événements recensés par le Rénass, mais tous de magnitude inférieure à 5,4. La terre avait déjà tremblé près de Vannes le 21 novembre 2013 (magnitude 4,6).

Le dernier tremblement de terre en Bretagne remonte au 11 juillet dernier. Un séisme de magnitude 4,9 dont l'épicentre se situait en Manche, à 30 kilomètres au sud-ouest de l'île anglo-normande de Jersey avait été ressenti par certains habitants de la Manche et de toutes les zones côtières entre le Mont-Saint-Michel et Brest.

Source © AFP
Dans une vaste zone allant de la frontière américaine à 700 km au nord de la Colombie-Britannique (Canada), et de l'océan Pacifique jusqu'à la province de l'Alberta à l'Est, il est désormais interdit de déplacer volailles, viandes, œufs et équipements ou aliments qui ont pu être en contact avec les animaux infectés. 

La mise en place de ce périmètre de sécurité est l'une des grandes mesures adoptées par les autorités canadiennes, en proie à l'épidémie de grippe aviaire. Pour prévenir toute transmission de ce virus H5N2*, qui gagne rapidement du terrain dans le pays et le reste du monde, les autorités sanitaires locales ont abattu quelque 146.000 volailles, appartenant à cinq fermes récemment contaminées par cette souche hautement pathogène.

Mise en quarantaine et indemnisations

Défiant un risque élevé de transmission rapide entre les animaux, le Canada a étendu sa zone de contrôle primaire bien au-delà des lieux actuellement touchés. Et cela, «compte tenu du grand nombre d'exploitations d'élevage de volailles situées dans le sud de la Colombie-Britannique», a indiqué Harpreet Kochhar, chef vétérinaire de l'Agence canadienne des inspections des aliments (ACIA).

Il y a une semaine, la découverte de volailles mortes dans deux élevages de la vallée du Frazer avait mené à la mise en quarantaine de ces exploitations, puis à l'isolement dans les jours suivants de trois autres fermes. Les exploitants des fermes concernées seront indemnisés d'ici 6 à 10 semaines à la pleine valeur marchande des volailles.

*Le virus H5N2 est un sous-type du virus de la grippe aviaire dont on sait qu'il affecte les oiseaux sauvages et domestiques et qui en raison de son caractère hautement pathogène a un taux de mortalité élevé dans les élevages. La grippe aviaire de type H5N2 est très faiblement transmissible à l'être humain, contrairement au virus H5N1.
La Toile s'interroge et tente de résoudre le mystère: d'où vient l'étrange couleur verte qu'arbore ce chat filmé à Varna, en Bulgarie?

Plusieurs théories circulent sur le net après plusieurs photos et vidéos du félin. Si certains croient au "fake", d'autres en revanche évoquent de la maltraitance. Un groupe Facebook a même été créé appelant à "punir les auteurs de cet acte criminel". 

Des médias locaux avancent une autre théorie et cette dernière remporte la plupart des suffrages: l'animal dormirait en fait régulièrement sur un amas de peinture. C'est en se léchant que la chat aurait ensuite rendu la couleur uniforme. 

Une explication reprise par plusieurs sites anglo-saxons mais qui reste peu plausible selon un étudiant vétérinaire parisien, interrogé par "L'Express". Il explique en effet: "Si ce chat s'est allongé sur quelque chose pouvant colorer les tissus, pourquoi pas. Mais il faudrait qu'il se soit roulé de manière uniforme pour que la peinture recouvre chaque centimètre de son pelage."

L'énigme du chat vert de Bulgarie reste donc entier. On vous promet de tenir cette mystérieuse affaire à l'oeil...

Source © 7/7

Pour mettre fin au diesel d’ici 2020, Anne Hidalgo va rendre accessible à tous des alternatives écologiques. C’est le cas d’Utilib’, premier service en France d’utilitaires électriques en libre-service, inauguré lundi aux côtés de Vincent Bolloré et de Marie-Pierre de la Gontrie.

La Maire de Paris a dévoilé dimanche son plan ambitieux de lutte contre la pollution, qu’elle soumettra début janvier à la concertation des élus de la Métropole. Il prévoit l’éradication du diesel d’ici 2020. Cet acte fort implique de développer des alternatives écologiques, qui soient accessibles aux particuliers comme aux professionnels.

C’est le cas d’Utilib’, un service unique en France inauguré lundi par Anne Hidalgo, Vincent Bolloré et Marie-Pierre de la Gontrie. Il propose 100 utilitaires électriques en libre-service, avec 250km d’autonomie, aux dimensions compactes – 3,65m de long et 1,70 de large – et optimisées pour le transport de petites marchandises – son coffre est doté d’un volume de 900 litres, qui peut supporter jusqu’à 230 kg.

Ces véhicules en autopartage peuvent assurer des fonctions très différentes, à des fins professionnelles ou personnelles (livraisons, déménagements, etc.), avec un avantage majeur : la possibilité de laisser son utilitaire à l’une des nombreuses bornes réparties dans toute la capitale, sans avoir besoin de le retourner à son point de départ.

Ce service allie protection de l’environnement et économies budgétaires. Ces véhicules ne produisent aucune pollution directe de l’air, ni aucune émission de particules fines, de dioxyde d’azote, de benzène, de HAP ou de monoxyde de carbone. Ils permettent aussi à leurs utilisateurs de faire des économies substantielles : 0€ d’essence, 0€ d’assurance et 0€ de stationnement. L’abonnement ne coûtera que 6€ HT/mois et la location 6€ HT/heure. 

La fin du diesel en 2020 est rendue possible par ces mesures incitatives. Avec Vélib, Autolib’ et Utilib’, Paris démontre la capacité des pouvoirs publics et des industriels à innover ensemble pour des modes de circulation non polluant. Anne Hidalgo en est convaincue : « Ces dispositifs, alliés à l’effort d’investissement sans précédent de la Ville en faveur des transports en commun et des circulations douces, rendent possibles la fin du diesel en 2020, tout en préservant le pouvoir d’achat des ménages et l’attractivité des entreprises. »
"Je viens de signer le décret de création du Parc naturel régional des Baronnies provençales lors d’une réunion à Vinsorbes (Drôme) à l’invitation de Didier Guillaume et des élus locaux de la Drôme et des Hautes-Alpes ainsi que des régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Rhône-Alpes.

Au carrefour des influences alpines et méditerranéennes, ce Parc naturel régional abrite une faune et une flore d'exception avec 10 sites Natura 2000, 5 espaces naturels sensibles et des espèces emblématiques telles que le sabot de Vénus, le chou sauvage, la loutre, l'écrevisse à pieds blancs…
Ma signature est un acte de reconnaissance et de mobilisation après 15 ans de travail des élus, des associations, des habitants.
Les 750 professionnels qui sont parties prenantes du Parc pourront valoriser leurs productions, qu'il s'agisse du tourisme et du sport avec la plus belle Via Ferrata d'Europe pour l'escalade, ou des produits du terroir si nombreux (vins des Côtes du Rhône, des Coteaux des Baronnies, olives noires de Nyons, fromage de chèvre Picodon, lavande, élevage ovin…).

Le Parc m'a par ailleurs remis sa candidature pour l'appel à projet des "territoires à énergie positive" et se mobilise donc pour la transition énergétique et la croissance verte.

Je vais proposer aux communes qui n'ont pas encore adhéré de devenir des communes associées dans un délai d'un an."
Au 1er janvier 2015, les feux de cheminée en «foyers ouverts» devaient normalement être interdits en Ile-de-France, en vertu d'un arrêté préfectoral de mars 2013 pris dans le cadre du plan de protection de l'atmosphère (PPA). Cette interdiction pourrait cependant ne jamais voir le jour. 

Mardi 9 décembre, la ministre de l'écologie, Ségolène Royal, a fait part, sur France 2, de son intention de revenir sur cette décision qu'elle juge «excessive». « Je vais faire changer cette décision qui ne va pas dans le bon sens», a déclaré la ministre, estimant qu'avec cette disposition, «on était un peu dans l'écologie punitive».

«J'encourage le chauffage au bois. La forêt couvre 30 % de notre territoire, la France est quand même la quatrième forêt européenne (…) et le bois est une énergie renouvelable. Il y a des poêles de chauffage au bois qui sont très performants?», a-t-elle insisté affirmant qu'elle ne voulait pas que cet arrêté «mette en cause toute la filière bois et tout le développement des énergies renouvelables ».


Cette interdiction prévue pour Paris et 435 communes de sa région concerne en effet les feux de cheminée, mais aussi tous les poêles et chaudières à bois. Le nombre de ménages se chauffant à la bûche a fortement augmenté en France ces quinze dernières années. Aujourd'hui, 7,4 millions de foyers se chauffent au bois, contre 5,9 millions en 1999, selon une enquête sur le chauffage domestique au bois publiée en juillet 2013 par l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe).


Le bois est devenu une énergie à part entière?: chez la moitié des ménages qui l'utilisent, il s'agit de la principale source de chauffage. «?L'augmentation du prix de l'énergie a amené un certain nombre de particuliers à revoir leurs choix d'énergie de chauffage. Le bois est l'énergie la moins chère?», souligne Gilles Aymoz, responsable de la qualité de l'air à l'Ademe.


Comme tout combustible, le chauffage au bois émet des polluants, notamment si la combustion du bois n'est pas correctement contrôlée (en feu ouvert par exemple) ou si le bois utilisé est mal adapté (bois mouillé, bois traité ou peint…). Il peut, à certaines périodes et dans certaines zones, contribuer de façon significative à la pollution de l'air. «Dans l'agglomération parisienne en général, loin du trafic et des axes routiers, la contribution du chauffage au bois dans les émissions de particules fines PM2,5 (d'un diamètre inférieur à 2,5 microns) est de 7 à 8 %, identique à celle du trafic routier», observe Airparif, l'observatoire de la qualité de l'air en Ile-de-France, qui a été missionné par la Direction régionale et interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'Ile-de-France pour évaluer l'impact du nouveau PPA francilien. Globalement, le chauffage au bois résidentiel représente au niveau régional, selon Airparif, 23 % des émissions totales de PM10 (d'un diamètre inférieur à 10 microns) et 32 % de celles de PM2,5.


DES APPAREILS PLUS PERFORMANTS


«C'est un vrai levier sur lequel on peut agir pour améliorer la qualité de l'air», souligne M. Aymoz, qui a travaillé avec la Vallée de l'Arve, territoire de Haute-Savoie fortement soumis à la pollution et où le chauffage au bois est prépondérant. Dans le cadre de son plan de protection de l'atmosphère, cette vallée, soucieuse de lutter contre la pollution, a fait le choix non d'interdire la combustion de bois, mais d'aider par une incitation financière les particuliers à changer leur appareil de chauffage pour un plus performant.


Un fonds Air Bois a été créé, financé à parts égales par l'Ademe (pour l'Etat) et par les collectivités locales. Il prévoit une prime de 100 euros pour le remplacement d'un appareil de chauffage au bois ancien (avant 2002), d'un foyer ouvert ou d'un vieux poêle.


«Ce remplacement permet de diviser jusqu'à 30?fois la quantité de particules émises dans l'atmosphère lors de son utilisation?», souligne Alain Chabrolle, vice-président EELV de la région Rhône-Alpes qui se félicite du succès remporté dès la première année par le dispositif. C'est sur le modèle de cette expérience que Mm ?Royal a annoncé à l'issue de la conférence environnementale que le gouvernement mettrait en place en 2015 des aides à la conversion des vieux appareils de chauffage au bois dans les zones polluées.


Source © Le Monde


Deux personnes sont mortes après que des inondations importantes aient touchés les îles Fidji le week-end dernier.

Les fortes pluies et les inondations ont gravement endommagés l'usine de traitement de l'eau de Tamavua, affectant l'approvisionnement en eau de milliers de personnes dans le centre de Suva.

L'Autorité de l'eau de Fidji a également confirmé que la canalisation principale transportant les déchets non traités de l'usine a rompu et que des eaux usées se sont déversées dans un ruisseau qui traverse plusieurs villages. Le temps de réparation risque d'être long et en attendant les riverains devront faire face à une "odeur" désagréable, et à des impacts environnementaux.

La police a réitéré ses avertissements à  ne pas traverser les rivières, et a rappelé à la population d'être vigilants et prudents.


Les services météos rappellent que de fortes pluies sont attendues sur la région cette semaine en particulier sur les Samoa et les Tonga.

© Nature Alerte
Des vagues de sept à huit mètres sont attendues ce jeudi sur la côte basque. La houle pourrait même atteindre quinze mètres au large, avec des vents de 100 à 120 km/h, rapporte Sud-Ouest.fr ce lundi. 

Les marées hautes auront lieu à 7h16 et 19h39. Les vagues devraient être encore très grosses le vendredi. La prudence sera donc de mise pour les promeneurs s’approchant du littoral.

La houle massive attendue au Pays basque ces prochains jours n’empêchera pas de disputer, du côté de Getxo en Espagne, le Punta Galea Challenge, l’une des trois épreuves de surf de l’hémisphère nord du Big Wave World Tour (BWWT). «Nous nous attendons à avoir d'énormes vagues», promet le commissaire du BWWT, Peter Mel.


Actuellement en Espagne

De fortes rafales  de vents touchent Menorca, le Nord de Mallorca, les Pyrénées, la province de Girona et celle de Barcelone.

La protection civile de Catalogne a activé le plan d’alerte jusqu’à mercredi, elle attend des vagues dépassant les 6 mètres de haut.
La plupart des personnes décédées par la neige au Japon ont été piégées et se sont rapidement retrouvées ensevelies après avoir essayé de rejoindre un endroit sûr. 

Les victimes sont origines des préfectures Toyama et Tokushima, parmi  les plus touchées par les chutes de neige.

Les plus importantes chutes de neige ont été enregistrées dans la préfecture d’Aomori avec 116 centimètres, 97 centimètres au village d’Okura dans la préfecture de Yamagata et 90 centimètres dans la préfecture de Gifu.


C’est actuellement dans la préfecture de Tokushima, sur l’île de Shikoku, que la situation est la plus critique, avec des routes difficiles d’accès, voire complètement bloquées. La raison est que certains arbres mais aussi des rochers qui se sont effondrés sous le poids de la neige, condamnant 1 200 personnes à rester isolées. 


Les autorités locales ont tout mis en œuvre pour déneiger et déblayer les routes au plus vite.
 

La météo difficile a aussi entraîné l’annulation de 60 vols domestiques. La situation devrait revenir à la normale d’ici le début de la semaine.
 

Source : © japon infos

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