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dimanche 21 décembre 2014
Plusieurs petits séismes se sont produits vendredi matin dans la région de Florence, le plus fort étant d’une magnitude de 4,1, et les gens sont descendus dans les rues même si aucune victime ou dégât n’ont été signalés.

Selon l’Institut national de géophysique et vulcanologie (INGV), une trentaine de secousses ont été enregistrées dans le Chianti, entre Florence et Sienne, au cours des dernières 24 heures, et les deux plus fortes, d’une magnitude de 3,8 et 4,1 ont été ressenties vendredi vers 08h40 GMT et 09h35 GMT.

Pour le moment il n’y a pas de victimes ni de dégâts signalés, indiquent les médias, mais de nombreuses personnes ont quitté leurs immeubles pour descendre dans les rues.

Plusieurs écoles ont également été évacuées par précaution, selon la même source.



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Un comité technique sanitaire du gouvernement Bolivien enquête actuellement sur une nouvelle hécatombe soudaine de milliers de poissons dans une importante rivière du département de Santa Cruz, apparue dans l'est de la Bolivie, le weekend dernier.

Selon Eber Menacho, directeur départemental des Ressources naturelles, une équipe a été déployé sur le Rio Grande et cherche actuellement les causes de l'incident, avec toutefois de forts soupçons de pollution de l'eau.

C'est le deuxième cas d'hécatombe soudaine de poissons signalée en Bolivie en moins d'une semaine.

Le Mardi 9 décembre, les autorités agricoles du département d'Oruro ont retrouvé des milliers d'espèces sauvages mortes sur les rives du lac Poopó, considéré comme le deuxième plus grand lac du pays après le Titicaca. 780 000 familles de pêcheurs ont été touché et souffriront d'une baisse de production pour les prochaines années.

© Nature Alerte
La pollution d'un cours d'eau à Portalban (FR) a causé la mort de plus de 700 poissons. Les causes de l'incident sont encore inconnues, mais les analyses se poursuivent.


Des habitants ont constaté lundi une pollution sur près de 400 mètres dans le ruisseau de la Contentenette. Le garde-faune et le service de l'environnement ont ensuite trouvé 600 ablettes (petits poissons argentés), 100 truites et 2 lottes mortes, a précisé jeudi la police cantonale fribourgeoise.


Source © ats
Un volcan des Moluques est entré en éruption sur cet archipel de l'est de l'Indonésie et a projeté des cendres sur des centaines de mètres de haut ce jeudi. 

Situé sur l'île de Ternate, le Gamalama est entré en éruption hier et continuait de projeter des cendres jusqu'à 600 mètres de hauteur vendredi, a déclaré Darno Lamane, un responsable de la surveillance du volcan qui culmine à 1 715 mètres. 

Aucune évacuation dans la zone n'a été ordonnée pour l'instant, mais l'aéroport de Ternate, au pied de la montagne, a été contraint de fermer, a indiqué le ministère des Transports. "Nous avons fermé l'aéroport Sultan Baabulah ce matin, dans la mesure où les cendres volcaniques constituent un risque pour les avions", a précisé un porte-parole du ministère, soulignant que l'aéroport était recouvert d'une épaisse couche de cendres.

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lundi 15 décembre 2014
Le photographe brésilien mondialement connu Sebastiao Salgado a sillonné le globe pour immortaliser les travers de la mondialisation, les flux migratoires et les territoires vierges.

Mais ce qui l'affecte le plus, c'est le pillage aveugle des ressources de la planète par une humanité qui ne voit pas qu'elle court à sa perte.

Lors d'une visite à Hong Kong destinée à promouvoir "Genesis", un projet titanesque qui est le fruit de huit années d'exploration du monde, le photographe âgé de 70 ans s'est dit convaincu que la soif de domination de la nature par les hommes allait avoir raison d'eux.

"Si nous ne revenons pas sur terre, nous ne serons pas ici encore trop longtemps", dit-il dans un entretien avec l'AFP. "Nous ne faisons plus partie de notre planète, nous sommes devenus des aliens".

Le photographes s'est rendu dans plus de 100 pays, du Rwanda au Guatemala en passant par le Bangladesh. Il témoigne des pires horreurs: la faim, la guerre, la pauvreté et les déplacements de population.

Ses photographies spectaculaires de paysages ravagés, de communautés exploitées ou vulnérables, comme les ouvriers de l'industrie pétrolière du Koweït, les chercheurs d'or du Brésil ou les travailleurs chargé de démolir les navires au Bangladesh ont inspiré des générations de photographes. Elles sont d'autant plus dramatiques qu'elles sont en noir et blanc.

Originaire d'une région rurale du centre du Brésil, le photographe a reçu une formation d'économiste avant de se tourner vers la photo. Il avait environ 25 ans quand il a pris un appareil prêté par sa femme. "Pour la première fois, j'ai regardé dans un viseur et ma vie a changé", raconte-t-il.

Les hommes 'prédateurs'

Devenu professionnel au début des années 70, il a obtenu une avalanche de prix prestigieux et ses photos se sont retrouvées à la Galerie Barbican de Londres ou au Centre international de la photographie de New York.

A la fin des années 1990, il avait été contraint de faire une pause après avoir couvert le génocide rwandais. La mort avait fait son effet sur son moral. Le photographe se rappelle l'odeur de décomposition alors que des piles de corps étaient jetées à terre par les bulldozers. Des scènes qui sont gravées à jamais dans sa mémoire.

"J'ai commencé à mourir, mon corps a commencé à être malade", raconte-t-il. Pour se remettre, il a passé du temps chez lui au Brésil mais à sa grande consternation, les lacs de son enfance s'étaient asséchés et une partie de la forêt pluviale avait disparu.

Avec son épouse Lelia, ils ont décidé de replanter les arbres. "Nous avons replanté plus de 2,5 millions d'arbres. C'est à nouveau la forêt pluviale. On a sauvé les jaguars, on a plus de 170 espèces différentes d'oiseaux", dit-il.

Lui et son épouse ont créé l'agence Amazonas Images, qui produit et publie ses photographies. Ses images époustouflantes de la nature n'ont d'égales que ses critiques envers le comportement de "prédateurs profonds" des hommes.

Ces derniers doivent préserver la planète, disent ses photographies de pingouins glissant sur les icebergs, de babouin solitaire traversant des dunes, d'eau dégoulinant de la queue d'une baleine.

"Nous avons commencé à tout détruire, nous avons domestiqué le bétail et mis le bétail en prison, nous les produisons par dizaines de millions pour qu'on puisse les manger", dit-il.

Une partie des photos du projet "Genesis" sont exposées dans l'ancienne colonie britannique passée sous tutelle chinoise.

Source © 2014 AFP

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L'indice de qualité de l'air est mauvais sur Albi, Castres et Toulouse ce lundi. Le seuil de recommandation et d'information du public a été dépassé dans ces zones selon l'ORAMIP. 

Sur Tarbes, la qualité de l'air devrait se dégrader du fait de l'accumulation de particules dans l'air.

L'ORAMIP, l'observatoire de la qualité de l'air en Midi-Pyrénées, mesure ce lundi sur les départements du Lot, du Tarn et dans l'agglomération toulousaine une forte concentration de particules en suspension dans l'air ambiant. Les concentrations moyennes de ces particules fines appelées PM10 s'élèvent à 50.3 microgrammes par mètre cube (54,µg/m3) dans le Lot, une mesure supérieure au seuil d'information du public fixé à 50µg/m3. Dans le Tarn, le seuil a déjà été dépassé hier, et se chiffre à 64.3 ce lundi. Il est de 54 dans l'agglomération Toulousaine.

Quelles raisons à cette pollution ?

La cause principale de cette pollution est l’accumulation des particules en suspension du fait d’une atmosphère très stable. Ces particules peuvent être émises par le trafic routier, les dispositifs de chauffage, les industries, ou peuvent être d’origine naturelle. Les conditions météorologiques ont favorisé l’accumulation de ces particules dans les basses couches de l’atmosphère faisant ainsi augmenter les concentrations au voisinage du sol. Aucune amélioration 'est à prévoir avant lundi 24 nombre 2014.

Les adultes et enfants avec des problèmes cardiaques ou pulmonaires doivent réduire les activités physiques et sportives intenses. Ils doivent respecter bien leur traitement médical en cours et consulter leur médecin en cas de difficulté respiratoire inhabituelle
Il faut éviter l’usage de solvants ou de peinture sans protection appropriée, et s'éloigner des fumée de tabac

L’aération des locaux doit être maintenue

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Les sirènes de l’urgence climatique ont beau être de plus en plus stridentes, la communauté internationale a encore trouvé le temps de mégoter. 

Les délégations de 195 pays, réunies depuis le 1er décembre à Lima sous l’égide de l’ONU, ont, une fois de plus, dépassé les délais impartis avant de s’entendre in extremis, dimanche, sur un texte dont les enjeux ne souffrent pourtant pas d’attendre. 

La mission impartie à cette conférence consistait à régler dans le détail les préparatifs de l’ordre de mobilisation mondiale des nations contre le réchauffement qui doit être signé à Paris en décembre 2015.

On en serait assez éloigné, à entendre les experts. « Tous les mots sont là, justes, mais exprimés de façon extrêmement faible », lâche Pierre Radanne, observateur averti de ces conférences onusiennes. 

Dans un an, tous les pays, sans exclusive, seront liés par un nouvel accord de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), conclu dans la capitale française, pour contenir la hausse du mercure dans la limite des 2 degrés d’ici à 2100.

Le rendez-vous de Lima a permis de tisser ce lien mais il apparaît bien mince. 

De fait, la lenteur des négociations contrastait avec l’enthousiasme de ces derniers mois qui a suivi les engagements forts décidés par l’Union européenne, puis ceux, historiques, pris conjointement par la Chine et les Etats-Unis. Une lenteur imputable à l’inertie, somme toute classique, des puissances pétrolières, mais pas seulement. « On a aussi senti monter un grand sentiment de méfiance de la part des pays les plus vulnérables », note Teresa Ribera, la directrice de l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri).

Discussions figées

Ces pays craignent de ne pas y trouver leur compte dans les futurs mécanismes onusiens. Dans la capitale péruvienne, les discussions se sont figées sur la substance et la portée des contributions nationales à l’effort de guerre mondial contre les GES défendu par Ban Ki-moon, le secrétaire général des Nations unies. Une contribution qu’il est demandé à chaque pays de formaliser en 2015 pour une mise en œuvre post 2020, quand l’accord de Paris prendra effet. 

Le vibrant plaidoyer de John Kerry, le secrétaire d’Etat américain aux Affaires étrangères, appelant à « la responsabilité de tous », n’y aura rien fait. « On est retombé dans une bataille de tranchées », se désolait un observateur. Un temps relégué, le clivage entre les pays riches et les pays les moins avancés, qui redoutent de voir se refermer la porte du développement, a vite repris le dessus. 

Notamment entre le groupe très soudé des pays africains et l’Union européenne, les premiers réclamant, entre autres, de faire figurer dans leur contribution nationale les investissements très lourds d’adaptation au changement climatique, alors que la seconde a longtemps voulu n’entendre parler que des coûts liés à son atténuation.

L’accord ne ressemble sans doute pas davantage à la feuille de route espérée par les pays en développement sur les financements promis. La barre de 100 milliards de dollars d’aide annuelle en 2020 doit être atteinte, mais le chemin pour y parvenir est encore assez flou. 

Au final, la conférence de Lima laisse à Paris une marche bien plus haute à franchir que ne l’espérait la délégation française emmenée par Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères. 

40 % de baisse des gaz à effet de serre d'ici à 2050

Le respect de ce taux minimum de diminution des gaz à effet de serre est une nécessité pour ne pas dépasser les 2 degrés de réchauffement. L'idéal serait d'atteindre un taux de 70 %.

Source © Joël Cossardeaux / Les Echos
samedi 13 décembre 2014
La Californie a été touchée par une très violente tempête avec des vents à plus de 200 km/h et des pluies diluviennes. D'autres intempéries se produisent sur les grandes villes californiennes ce week-end.

Une "tempête monstre" ("monster storm"), une "apocalypse pluvieuse", les médias américains ne mâchent pas leurs mots lorsqu'il s'agit de décrire les effets d'une puissante dépression présente au large de la côte californienne. 

Celle qui a touché la Californie ce jeudi et vendredi est en effet la plus forte tempête depuis au moins 3 ans sur cet état. Les vents ont soufflé jusqu'à 230 km/h sur les monts, 140 km/h sur la côte de San Fransisco et plus de 100 km/h dans les terres.

Plusieurs centaines de milliers de foyers ont été privés d'électricité et plus centaines de vols ont été annulés dans les grands aéroports, notamment celui de San Fransisco.

Un très gros glissement de terrain

Un glissement de terrain a enseveli au moins 18 maisons à Camarillo Springs

Une tornade à Los angeles

Une rare tornade a dévasté un quartier sud de Los Angeles, causant des dégâts sur près de 20 blocs d'habitations.

Les toits ont été arrachés d'un complexe d'appartements et de deux maisons, selon le National Weather Service, qui a classé la tornade en catégorie EF0.


Nouvelles intempéries

La "monster storm" se décale actuellement vers le sud de la Californie (Los Angeles) et vers les plaines désertiques du Colorado (Denver) et du Nevada (Las Vegas). On mesure entre 20 et 50mm de pluies depuis hier vendredi sur toute la côte californienne. Encore plus étonnant, et même exceptionnel pour la saison et l'endroit où elle s'est produite, une tornade a frappé la banlieue sud de Los Angeles vendredi matin.

Deux mois de pluies en deux semaines, nombreuses inondations

Depuis le 1er décembre, les intempéries s'acharnent sur la Californie. Il est tombé l'équivalent de 2 mois de pluies en 2 semaines sur San Fransisco, San Diego, Los Angeles et Long Beach. Ces fortes pluies provoquent de nombreuses inondations entre San Fransisco et Los Angeles. Ces violentes intempéries s'expliquent pour partie par le retour d'El Nino cet hiver. Sa présence provoque généralement de très fortes pluies sur l'ouest des Etats-Unis, comme c'est le cas actuellement. Après une année 2013 exceptionnellement sèche, les conditions météo ont donc radicalement changé depuis la fin de l'été dernier


Source © Nature Alerte/ La chaine Météo

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Un glissement de terrain provoqué par des pluies torrentielles a fait au moins 12 morts et une centaine de disparus sur l'île principale indonésienne de Java, a annoncé un responsable samedi.

 «Pour le moment, nous avons découvert 12 corps et nous recherchons 96 autres personnes», a précisé le porte-parole de l'agence de gestion des catastrophes, Sutopo Purwo Nugroho.

Selon l'agence, des centaines de sauveteurs sont mobilisés autour des habitations qui ont été ensevelies vendredi dans le village de Jemblung, dans le centre de l'île. Seules deux habitations du village ont été épargnées, selon un correspondant de l'AFP.

200 sauveteurs et 500 volontaires sur place

«Les conditions sur le terrain sont assez difficiles et nous avons besoin de grosses machines pour dégager la route qui a été recouverte par le glissement de terrain», a indiqué le porte-parole de l'agence. D'après un autre responsable de l'agence, qui a requis l'anonymat, 200 sauveteurs et 500 volontaires participent aux recherches des disparus.

La saison des pluies a débuté en Indonésie, marquée par de fortes pluies et des inondations. La moitié des quelque 250 millions d'habitants du pays vit dans des zones soumises aux glissements de terrain, selon l'agence indonésienne.

Source © AFP


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Une pharmacienne de retour d'Afrique de l'Ouest a été hospitalisée vendredi 12 décembre au soir à Saint-Denis de la Réunion avec une forte fièvre, premier cas suspect de fièvre Ebola dans l'île, a indiqué samedi la CRSA, instance en charge de la politique sanitaire et sociale dans cette collectivité de l'océan Indien, confirmant une information de Réunion 1ère radio.

La pharmacienne revenait d'une mission humanitaire probablement en Guinée, le berceau du virus d'Ebola. Vendredi, prise d'une forte fièvre, elle a été prise en charge par le service mobile d'urgence et de réanimation, en raison de son récent séjour dans cette région frappée par l'épidémie. Revêtus d'une tenue étanche, les urgentistes sont venus la chercher chez elle dans le sud de la Réunion, avant de l'hospitaliser au CHU Félix Guyon de Bellepierre (Saint-Denis), seul hôpital de l'île habilité pour la prise en charge de malades d'Ebola.

Les résultats des analyses de sang, effectuées par un laboratoire de Lyon, seront connus dans 48 heures. Le ministère de la santé a rappelé qu'il se refusait à commenter les cas de suspicion depuis le début de l'épidémie.

« NE PAS S'AFFOLER »

Une réunion des représentants de l'ensemble des personnels de santé est organisée au CHU où la patiente a été admise ce samedi matin, selon Serge Camatchy, président de la CRSA, qui appelle à « ne pas s'affoler ». « En tout état de cause, La Réunion est médicalement et sanitairement bien équipée pour faire face à ce type de cas », assure-t-il. C'est le premier cas suspect de fièvre Ebola à La Réunion. Un cas suspect avait été enregistré à Maurice, l'île voisine, en septembre, mais le patient de retour d'un voyage en de trois mois en Guinée souffrait en fait du paludisme.


L'Agence régionale de santé océan Indien (ARS OI) a mis en place, à La Réunion et à Mayotte, le dispositif national relatif à la prévention et la prise en charge d'une personne susceptible d'avoir contracté la maladie, car le risque d'importation du virus par le biais des voyageurs au sein de l'Union européenne n'es pas « totalement exclu », même s'il est « très faible ».

L'épidémie a fait 6 583 morts sur 18 188 personnes contaminées dans les trois pays les plus touchés (Libéria, Guinée et Sierra-Leone), selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), daté du 10 décembre. Quinze autres morts ont été enregistrés dans trois pays (Mali, Etats-Unis, Nigeria).


Source © le monde

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Les négociations internationales qui devaient s’achever hier se poursuivent et s’intensifient lors de la 12ème conférence de l’ONU à Lima au Pérou.

“Nous y sommes presque, nous avons besoin d’un dernier effort”, a lancé Manuel Pulgar Vidal, ministre de l’Environnement du Pérou, qui préside les débats.

Pays industrialisés et en voie de développement sont “dans le même bâteau mondial”, mais pas tous dans la même classe. Certains ont les moyens de financer leur gilet de sauvetage, la plupart non.

L’enjeu est bien de définir les contours des engagements et de savoir comment et qui va les financer.

Le temps presse. Le réchauffement planétaire provoque déjà des catastrophes meurtrières comme l’explique très ému, ce militant philippin : “les gens de mon pays, mes frères et sœurs aux Philippines, sont en train de mourir. Alors qu’ici les gouvernements discutent de notre sort et de celui du monde”.

En s’allongeant par terre telles des victimes mais bien vivantes néanmoins, ces manifestants tentent d’attirer l’attention des grands de ce monde afin qu’ils s’engagent pour que la planète résonne enfin d’un chant d’espoir !

Source AFP/ Reuters

vendredi 12 décembre 2014
Le chaos règne dans les quartiers Est de Sao Paulo, relate France Tv Info aujourd’hui. Les pluies diluviennes tombées sur la plus grande ville du Brésil ont transformé des rues entières en rivière et la hauteurs des eaux submergent les voitures.

Les images aériennes montrent des voitures en train de flotter, et des automobilistes qui tentent d’échapper à la mort. La partie Est de la mégalopole de 20 millions d’habitants est durement frappées. Des magasins ont été endommagés, mais aucune victime n’a été signalée.

De nouvelles inondations pourraient frapper cette zone dans les heures à venir. 

La ville tentaculaire est régulièrement le théâtre d’embouteillages monstres, qui peuvent devenir catastrophiques en cas d’intempéries. Ces inondations frappent la ville alors qu’en début d’année, la région avait subi l’une des pires sécheresses depuis plusieurs décennies.

Source France TV Info



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Fortes inondations en Grèce, et un bilan qui s’est alourdi à quatre morts depuis samedi dernier. C’est le nord-est du pays qui a été touché. Trois des victimes sont des personnes dont le véhicule a été emporté par une rivière en crue.

Dans plusieurs zones mises en état d’alerte, notamment dans le Nord, à la pluie devrait succéder la neige.

Fortes intempéries également en Roumanie, où le sud du pays a subi des pluies quasi-continues depuis lundi. Un homme âgé est décédé alors qu’il tentait de traverser une rivière. C’est la troisième fois cette année que des inondations touchent la Roumanie.

Les autorités locales ont interdit dans plusieurs villages l’utilisation de l’eau de source.

Enfin dans le nord du Royaume-Uni, c’est une vraie tempête qui est en train de se développer avec des rafales à plus de 130 km/h et jusqu‘à quinze mètres de houle mercredi le long des côtes. De nouvelles pluies sont attendues ces prochains jours.

Source © 2014 euronews
La Californie affronte jeudi sa plus violente tempête depuis trois ans avec des vents très violents et les chutes de neige les plus fortes depuis six ans, entraînant inondations et coulées de boue, sans beaucoup atténuer la sécheresse qui dure depuis plusieurs années.


"C'est clairement la plus forte tempête depuis au moins trois ans en termes de pluies et surtout de rafales de vent", celles-ci atteignant jusqu'à 230 km/h, a indiqué jeudi à l'AFP Todd Morris, porte-parole du National Weather Service (NWS), le service national de météorologie. 

La tempête, venue du nord du Pacifique, a commencé dans la nuit de mercredi à jeudi au nord de l'Etat et se déplaçait vers le sud. Elle devrait atteindre Los Angeles et San Diego à partir de jeudi soir et continuer une bonne partie de la journée de vendredi. Les rafales de vent seront les plus puissantes en montagne, jusqu'à 230 km/h, a précisé M. Morris, soit l'équivalent d'un ouragan de catégorie 3. 

Panne de courant

Dans les zones côtières, les rafales seront au maximum de l'ordre de 144 km/h et dans les plaines de 80 km/h, a précisé M. Morris. Autour de la baie de San Francisco et dans le nord de la Californie, de nombreuses écoles ont fermé leurs portes par précaution. Des commerces du nord de la Californie se sont préparés en protégeant leurs vitrines avec des panneaux de bois ou de carton, et des digues de fortune ont été posées avec des sacs de sable. Malgré cela, dans le nord du "Golden State", environ 150.000 clients de la société d'électricité locale PG&E étaient déjà sans courant. 

Vagues de 9 mètres

À San Francisco, une station du réseau ferré urbain local, le BART, qui transporte 400.000 personnes chaque jour, a dû être fermée, et les trajets des ferrys ont été suspendus jusqu'à ce que le temps et la houle se calment. Des alertes au blizzard ont été émises pour les montagnes du nord de la Californie, les premières depuis 2008, avec des chutes neigeuses qui atteignaient déjà près d'un mètre, a souligné M. Morris. En outre, jusqu'à 25 centimètres de pluie étaient attendus au total dans le nord de l'Etat. 

Ces précipitations, nécessaires alors qu'une grave sécheresse sévit depuis trois ans en Californie, tarissant rivières, lacs et réservoirs, se traduisent par des inondations, des rues étant impraticables en raison d'arbres tombés à San Francisco. Dans les environs, des habitants ont dû être secourus par les pompiers après avoir été piégés par des crues subites. Les zones qui ont brûlé lors d'incendies dévastateurs ces derniers mois, et où il n'y a plus de végétation pour retenir les coulées de boue, sont particulièrement sujettes aux glissements de terrain, ont averti les autorités. 

Pas un remède

Dans la banlieue de Los Angeles, une alerte jaune avec des restrictions de parking dans les zones vulnérables a été émise. Elle pourrait passer à orange voire rouge, ce qui entraînerait des ordres d'évacuations volontaires ou obligatoires. Pour autant, cette tempête, qui fait suite à deux jours de fortes pluies en Californie il y a une semaine, ne devrait que faiblement atténuer la sécheresse. "Nous aurons besoin de plusieurs années de pluies plus fortes que d'ordinaire pour y remédier", assure Stephanie Pinctl, professeur à l'institut de l'environnement de l'université UCLA, interrogée par l'AFP. 

"Il faut peut-être 10 tempêtes comme ça pour remédier à la sécheresse", renchérit M. Morris. Côté maritime, il prévient que les sorties en mer seront "très dangereuses", avec de forts courants et une grosse houle attendue. "Evitez de rester sur les jetées, les pontons et les rochers au bord de l'eau", a averti le NWS, en avertissant de vagues qui pourraient aller jusqu'à 9 mètres. De quoi faire le bonheur des surfeurs les plus aventureux.

Source © AFP




Deux nouvelles fermes avicoles ont été placées en quarantaine dans la province canadienne de Colombie-Britannique en raison de la présence de la grippe aviaire H5N2, portant à huit le nombre d'exploitations touchées par ce virus, ont indiqué jeudi 11 décembre les autorités sanitaires.

Une neuvième ferme est par ailleurs sous enquête pour les mêmes raisons, a noté l'Agence canadienne des inspections des aliments (ACIA) qui avait annoncé les deux premières mises en quarantaine le 2 décembre.

« Les deux exploitations se trouvent près de l'une des exploitations qui avaient été désignées à l'origine dans le cadre de cette éclosion », qui se situe dans la vallée de Frazer, au sud de la province, a remarqué l'ACIA dans un communiqué.

Déjà 8 fermes concernées

Les autorités sanitaires ont déjà procédé à l'euthanasie des volailles de quatre des huit fermes touchées, et « l'abattage intégral aura lieu au cours des prochains jours » dans les quatre autres fermes, ont-elles précisé.

Dans une vaste zone allant de la frontière américaine à 700 km au nord de la Colombie-Britannique, et de l'océan Pacifique jusqu'à la province de l'Alberta à l'Est, il est interdit de déplacer volailles, viandes, oeufs et équipements ou aliments qui ont pu être en contact avec les animaux infectés.

Le virus H5N2 est un sous-type dont on sait qu'il affecte les oiseaux sauvages et domestiques et qui, en raison de son caractère hautement pathogène, a un taux de mortalité élevé dans les élevages.

La grippe aviaire de type H5N2 est très faiblement transmissible à l'être humain, contrairement au virus H5N1.

Source © la france agricole



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