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vendredi 24 avril 2015
Les autorités municipales de Tokyo (Japon), alertées par un habitant, ont détecté cette semaine un niveau anormalement élevé de radioactivité dans un jardin d'enfants, sans être encore capables ce vendredi d'expliquer ce phénomène qui inquiète les riverains.

Les radiations mesurées à un endroit limité et précis du sol, sous un toboggan, s'élèvent à 480 microsieverts par heure, alors que le palier moyen généralement admis, à quelques dizaines de centimètres de hauteur, est de 0,23 microsievert/heure.
La dose de 480 microsieverts par heure correspond en théorie à une exposition égale en deux heures à celle qu'il est généralement recommandé de ne pas dépasser en une année.

Zone très limitée

« L'endroit où a été constaté ce niveau est extrêmement limité et aux alentours les mesures n'ont rien d'anormal », a souligné dans un communiqué Yukio Takano, maire de l'arrondissement de Toshima, situé dans le centre-nord de la capitale.

« Nous supposons que quelque chose de radioactif y est enterré. Les risques pour la santé des habitants sont minimes mais pour rassurer tout le monde nous allons nettoyer la zone », a promis Yukio Takano, qui a exhorté la population de l'arrondissement à « garder son calme ».

Ce petit parc récréatif, construit il y a deux ans sur un terrain autrefois occupé par un parking pour les véhicules des éboueurs, est désormais fermé au public et gardé par un policier municipal.

Découverte fortuite

La municipalité de Tokyo a dû ouvrir une ligne téléphonique spéciale depuis que les médias ont sorti l'affaire, des dizaines de familles s'alarmant des effets possibles sur leurs enfants.

Après l'accident de Fukushima en mars 2011, des particuliers se sont équipés de dosimètres et plusieurs découvertes fortuites de niveaux très élevés de radioactivité avaient été faites, souvent sans rapport avec la catastrophe nucléaire.

Des foyers de radioactivité causés par cet accident ont déjà été localisés sur plusieurs sites de Tokyo, une mégalopole que la pluie et le panache radioactifs n'ont pas affectée de façon homogène.

Source © AFP



Plus une semaine ne passe sans que de nouvelles pierres soient déposées dans le jardin des néonicotinoïdes, ces insecticides suspectés d’être un élément déterminant dans le déclin récent des abeilles domestiques, des insectes pollinisateurs et des oiseaux. Après la publication, début avril, d’un rapport des académies des sciences européennes critiquant sévèrement les « impacts négatifs sévères » de ces molécules sur l’environnement, la revue Nature publie, jeudi 23 avril, deux nouvelles études qui assombrissent encore le bilan de ces pesticides introduits sur le marché au milieu des années 1990.

La première, conduite par Geraldine Wright et Sébastien Kessler (université de Newcastle, Royaume-Uni) a consisté à tester la capacité des abeilles domestiques (Apis mellifera) et des bourdons (Bombus terrestris) à éviter spontanément les plantes traitées aux néonicotinoïdes. Le résultat est stupéfiant : non seulement ces insectes ne sont pas repoussés par ces substances insecticides, mais ils sont attirés par elles.

Effets sur le système nerveux central

« Lorsque des butineuses affamées pouvaient choisir entre une solution sucrée traitée à un néonicotinoïde et une non traitée, aucune des deux espèces n’a évité la nourriture traitée, détaillent Nigel Raine (université de Guelph, Canada) et Richard Gill (Imperial College, Royaume-Uni), dans un commentaire publié par Nature. 

De manière surprenante, les insectes préfèrent en fait les solutions traitées avec l’imidaclopride et le thiaméthoxame [deux des néonicotinoïdes les plus répandus]. » Les auteurs de l’étude suggèrent que cet effet étonnant est lié à l’action pharmacologique de ces insecticides sur le système nerveux central – un peu comme certaines substances exercent une attirance sur l’homme tout en lui causant des dommages (nicotine, etc.). En outre, les tests menés en laboratoire suggèrent que les bourdons sont plus sensibles à cet effet que les abeilles domestiques.

La conséquence de cette situation paradoxale – les insectes sont attirés par des substances qui les tuent – est que ces deux espèces de pollinisateurs, parmi les plus importantes pour le fonctionnement des systèmes agricoles et des écosystèmes, sont dans le milieu naturel plus exposées à ces produits que généralement escompté.

CES NOUVEAUX TRAVAUX SONT PUBLIÉS ALORS QUE LA COMMISSION EUROPÉENNE DOIT RÉEXAMINER, FIN 2015, LE MORATOIRE MIS EN PLACE EN DÉCEMBRE 2013 SUR CERTAINS USAGES DE TROIS NÉONICOTINOÏDES

Avec quelles conséquences ? C’est l’objet de la seconde étude publiée par Nature, menée par des chercheurs suédois conduits par Maj Rundölf (université de Lund, Suède). Les auteurs ont inclus 16 champs de colza dans leur expérience, tous étant situés dans le sud de la Suède et tous faisant partie intégrante de paysages semblables. La moitié des champs analysés étaient traités avec un néonicotinoïde courant (la clothianidine) couplé à de la cyfluthrine (un insecticide de la famille des pyréthroïdes) ; l’autre moitié n’avait reçu que la cyfluthrine pour traitement insecticide. Maj Rundölf et ses collègues ont ensuite suivi l’état des colonies de bourdons et d’abeilles domestiques dans ces champs, ainsi que celui d’une abeille solitaire (Osmia bicornis).

Réexamen du moratoire européen

Les auteurs observent d’abord que l’abondance de bourdons et d’abeilles solitaires est réduite de moitié dans les champs ayant reçu un traitement systémique à base de clothianidine (ou les semences ont été enrobées du principe actif) par rapport aux champs témoins, exempts du néonicotinoïde. Les colonies de bourdons montrent en outre un succès reproductif très inférieur dans les champs traités. Et les abeilles solitaires nées à proximité de ces derniers ne reviennent jamais y nicher, contrairement à celles originaires des champs témoins.

En revanche, les colonies d’abeilles domestiques suivies semblent avoir été peu touchées, mais les auteurs préviennent que la puissance statistique de leur étude ne leur permet pas de détecter, sur les ruches d’Apis mellifera, des baisses démographiques de moins de 20 %.

Ces nouveaux travaux sont publiés alors que la Commission européenne doit réexaminer, fin 2015, le moratoire mis en place en décembre 2013 sur certains usages de trois néonicotinoïdes et qu’en France, un amendement à la loi sur la biodiversité imposant leur interdiction totale à partir de janvier 2016 a été adopté en première lecture.


Source © Le Monde


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La première rascasse volante, une espèce de poisson vorace envahissante, attrapée sur la côte du Brésil en 2014, suscite une vive inquiétude des environnementalistes sur l'impact de ce prédateur sur les récifs coralliens et la vie marine déjà menacée de ce pays.

"Pendant les vingt dernières années, les rascasses (Pterois volitans) se limitaient aux Caraïbes", relève Luiz Rocha, docteur et expert d'ichtyologie à l'Académie des sciences de Californie à San Francisco.

"Cette découverte nous montre que les rascasses volantes sont capables d'atteindre d'autres régions éloignées de l'Atlantique et les autres pays devraient être sur leurs gardes et se préparer à l'arrivée de ces poissons", ajoute-t-il dans un communiqué.

La découverte du spécimen en mai 2014 par un groupe de plongeurs a été rapportée dans la revue scientifique américaine PLOS ONE publiée mercredi.

"Les rascasses sont de puissants ennemis des espèces autochtones des récifs coralliens dont un grand nombre sont déjà menacés par la destruction de leur habitat et la pollution", explique Luiz Rocha."Sans prédateur naturel, les rascasses, très voraces, dominent les récifs coralliens", ajoute-t-il.

Ces poissons, qui se reproduisent rapidement et en très grand nombre, sont déjà très connus pour menacer les écosystèmes dans des récifs coralliens en dehors de leur habitat d'origine dans la région indo-pacifique.

Les causes exactes de leur invasion initiale dans l'Atlantique ne sont pas encore établies. Mais les scientifiques pensent que des personnes qui avaient ces poissons dans un aquarium s'en sont probablement débarrassés dans les années 1990.

Avec des nageoires aux couleurs flamboyantes et vibrantes et des rayures multicolores, ils sont très recherchés pour les aquariums domestiques mais finissent parfois dans la rivière ou le canal tout proche.

Une fois dans la nature, les populations de rascasses volantes peuvent exploser en peu de temps. Des scientifiques estiment qu'une seule femelle peut pondre plus de deux millions d'oeufs par an.

Selon ces experts, la rascasse trouvée au Brésil a probablement atteint ces eaux par un phénomène de dispersion naturelle des larves sur de longue distance.

Depuis quelques années, ces poissons sont devenus des espèces dangereuses surtout pour les écosystèmes de la mer des Caraïbes et du Golfe du Mexique

Source © AFP
Un épervier de Cooper de la région de Vancouver est l'oiseau le plus contaminé jamais observé dans le monde, selon une recherche publiée cette semaine.

Son foie contenait une concentration surprenante de PBDE, un produit chimique ignifuge incorporé à grande échelle dans les rembourrages et les appareils électroniques.

Il fait partie d'une trentaine d'oiseaux dont le foie a été analysé par une équipe de chercheurs canadiens.

Pour un des auteurs de la recherche, Kyle Elliott, professeur à l'Université McGill, il n'y a évidemment pas de quoi se vanter.

«Je ne suis pas fier mais bien consterné! dit-il en entrevue. On pense que le Canada est un pays responsable sur le plan de l'environnement. Mais le niveau de pollution qu'on a trouvé dépasse ce qu'on a observé dans les oiseaux près des dépotoirs électroniques en Chine.»

Les chercheurs ont fait deux constats: la pollution au DDT et aux BPC des années 50 est encore bien présente dans l'environnement. Plus inquiétant: les polluants plus récents, en particulier les composés ignifuges bromés (PBDE), sont toujours en augmentation dans les milieux urbains.

Il est difficile de savoir quels effets ont les PBDE sur les animaux dans la nature, mais certains effets ont été prouvés, note M. Elliott.

«À des taux 100 fois moins élevés que ceux qu'on a observés dans notre étude, les hormones thyroïdiennes ont été affectées chez le pygargue à tête blanche. Et à des taux 10 fois moins élevés, la croissance des faucons crécerelles a été ralentie.

«On ne peut pas dire que les oiseaux sont tués directement, mais leur santé est affectée.»

La pertinence d'utiliser les PBDE comme ignifuges est de plus en plus contestée, même chez les pompiers. Plusieurs associations de pompiers aux États-Unis demandent l'interdiction de ces substances.

En 2008, le Canada a interdit la production et l'importation de PBDE et de toute résine ou polymère qui en contient. Toutefois, certaines formes de PBDE sont toujours permises au Canada, notamment la formulation appelée décaBDE. Au début du mois d'avril, le gouvernement fédéral a proposé d'interdire également cette forme de PBDE. La consultation à ce sujet se poursuit jusqu'au 18 juin.

Même si la plupart des formes de PBDE sont interdites depuis quelques années, on va continuer à en retrouver de plus en plus dans l'environnement. Les produits sont incorporés aux meubles et aux appareils électroniques et ils vont continuer à se répandre, par la poussière dans les maisons et lieux de travail, mais surtout par les lieux d'enfouissement, où ces meubles et appareils vont finir leur vie. «On l'a vu dans une étude canadienne, les étourneaux vivant près d'un lieu d'enfouissement avaient 15 fois plus de PBDE dans le corps que ceux vivant en milieu urbain», explique Kyle Elliott.

Source © La presse canadienne
La vision de cette créature mystérieuse sans poils qui essaie de sortir de la cage où elle se trouve en grignotant les barreaux d'acier fait froid dans le dos et semble tout droit sortie d'un film d'horreur hollywoodien.

Pourtant cet animal est bien réel et la description de la vidéo troublante, mise en ligne la semaine dernière par un certain Raymond Yeung, affirme qu'elle a été capturée dans le réservoir de Sand Bay, à Shenzhen, dans le Sud de la Chine.

L'apparition de cet étrange animal a suscité d'intenses débats autour de son identité. Monstre aquatique, créature mutante ou ours atteint d'une maladie ? Il aurait été tiré hors de l'eau par des ouvriers des services de drainage, qui plus tard ont enfermé l'animal dans une cage en acier. Le clip a suscité de vifs débats sur site le de médias sociaux Weibo, le Twitter chinois, où certains affirment qu'il s'agit d'un « monstre de l'eau » du folklore chinois.

D'autres utilisateurs, plus terre à terre, pensent plutôt que c'est un animal qui a été touché par la pollution, le réservoir de Shenzhen ayant été récemment inondé par des déchets d'égouts toxiques qui l'ont en partie teinté en rouge sang. Certains prétendent que c'est en fait un ours malais souffrant d'alopécie, une maladie qui provoque la chute des poils. David Neal, le directeur d'Animals Asia, a déclaré au Daily Mail Australia que l'animal en cage « ressemble à un ourson qui souffre d'une condition médicale qui a causé la perte de la totalité de sa fourrure. '

Une vidéo similaire avait émergé en janvier dernier à Bornéo, en Malaisie, montrant un ours affaibli qui avait été battu par des agriculteurs locaux et repoussé dans la jungle. Il aurait été vu à nouveau ce mois-ci près d'une autre plantation et recueilli et soigné. Se disant incapable de confirmer s'il s'agit ou non du même ours du clip de Bornéo, David Neal pense que c'est bien le même animal et que les images proviennent de cette ile et pas de Chine.

Source Le quotidien du peuple



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Les pires craintes depuis le naufrage d’un chalutier russe à moins de 27 kilomètres des côtes de l’archipel canarien, le 15 avril, se sont matérialisées dans la nuit de mercredi à jeudi 23 avril. Les plages de Veneguera, sur la côte ouest de l’île de Gran Canaria, les rares à ne pas être urbanisées, ont été souillées par des nappes de pétrole.

Près de 120 kilos de boulettes de fioul ont été ramassés par une cinquantaine de personnes mobilisées par le ministère de l’équipement sur la côte et en mer. Mais il n’est pas à exclure que la marée noire s’étende à d’autres zones d’une côte déclarée réserve de la biosphère pour sa grande valeur écologique, inscrite au réseau Natura 2 000, et abritant plusieurs espèces de tortues et de dauphins.

Trois fuites dans la coque

Le robot sous-marin, envoyé en exploration par le gouvernement espagnol depuis mardi 21 avril, a détecté au moins trois fuites dans la coque du chalutier, qui gît à 2 700 mètres de profondeur. De ces fuites s’échapperaient « entre 5 et 10 litres de combustible par heure » a affirmé la ministre de l’équipement espagnole, Ana Pastor. Au moment de son naufrage, le chalutier renfermait dans ses réservoirs près de 1 400 tonnes de fioul.

« Le plus important est de stopper ce versement de fioul parce que ce qui sort du chalutier finira tôt ou tard sur les côtes, que ce soient celles des Canaries ou celles de l’Afrique », déclare au Monde Luis Ferreirim, porte-parole de Greenpeace Espagne.

Les courants avaient emporté jusque-là la principale nappe de pétrole, qui s’est échappée du chalutier et mesure presque 200 kilomètres de long, selon Greenpeace, loin des côtes des Canaries, en direction du sud-ouest et de l’Afrique. Et le mauvais temps avait empêché le travail de récupération par les cinq bateaux antipollution dépêchés par le gouvernement espagnol.

Alerte écologique rehaussée

A présent, l’apparition de boulettes sur les plages canariennes a changé l’ordre des priorités. « Le gouvernement laisse de côté la grande nappe de pétrole pour se concentrer sur la pollution des côtes mais sans mettre en œuvre de moyens suffisants, dénonce M. Ferreirim. Il faudrait une barrière antipollution et combattre sur les trois fronts ouverts en même temps. »

Depuis le début de la catastrophe, les organisations écologistes ont été très dures avec les autorités espagnoles, qui ont pris la décision d’éloigner du port où il se trouvait amarré le chalutier russe après qu’il a pris feu, le samedi 11 avril, pour éviter une explosion et un possible accident qui aurait pu mettre hors d’état de fonctionnement la station de traitement d’eau de mer qui dessert en eau portable la capitale de Gran Canaria, Las Palmas.

Ce jeudi, le gouvernement espagnol a élevé l’alerte écologique au niveau 2, sur une échelle de 4 et déployé des moyens renforcés. Son objectif annoncé est de colmater les brèches dans la coque du bateau et d’extraire le combustible restant, mais il s’agit d’une tâche complexe, étant donné la profondeur à laquelle se trouve le chalutier.

Pour le moment, moins d’une dizaine de tortues, dauphins et oiseaux marins souillés par la marée noire ont été repérés, mais « ce n’est que la pointe de l’iceberg, affirme M. Ferreirim. Les dommages environnementaux sont bien plus élevés que ce que l’on voit… »


Source © Le Monde

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Le volcan Turrialba est entré en éruption jeudi 23 avril au Costa Rica, dégageant des colonnes de cendres qui ont entraîné la fermeture de l'aéroport international de San José, ont annoncé les autorités.

La fermeture de l'aéroport international Juan Santamaria de San José, situé à 80 kilomètres du volcan, a provoqué la suspension de tous les vols par mesure préventive. « La piste est recouverte de cendres. Nous allons prendre les mesures nécessaires pour rendre l'aéroport opérationnel le plus vite possible », a expliqué Silvia Chaves, porte-parole de la société Aeris, qui gère le terminal.

Le Turialba était en activité

L'aéroport avait déjà été fermé à la mi-mars pendant deux jours en raison de dégagement de cendres par le Turrialba qui avaient atteint la capitale. Cent onze vols avaient été annulés, et 7 000 passagers, bloqués.

En octobre dernier, les éruptions de cendres et de magma du Turrialba avaient été les premiers signes d'activité de ce volcan de 3 340 mètres d'altitude depuis les années 90, quand il s'était manifesté après cent trente ans de sommeil.

Source © Le Monde

Le gouvernement a autorisé ce vendredi la pêche de requins tigres et bouledogues à l'intérieur de la réserve naturelle de l'île de La Réunion, afin d'éviter de nouvelle attaques de squales.

Cette annonce intervient une dizaine de jours après la mort d'un jeune surfeur, tué par un requin, qui avait relancé la polémique autour de la lutte contre les requins.

6 millions d'euros sur cinq ans

«Le budget consacré aux actions financées par l'Etat dans le cadre du plan requin sera porté de 650.000 euros à 1 million d'euros, soit 6 millions d'euros sur la période 2015-2020», annonce par ailleurs le ministère dans un communiqué, moins de deux semaines après la septième attaque mortelle de requin à La Réunion depuis 2011.

Mardi, la Fédération française de surf (FFS) avait appelé à augmenter la pêche ciblée, affirmant qu'elle «se battra» pour l'avenir du surf sur l'île, vivier de 50% des équipes de France. 

Source © AFP



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Un puissant séisme de magnitude 5,9 a secoué vendredi la Nouvelle-Zélande, selon les sismologues. Il a été ressenti dans tout le pays, mais n'a apparemment pas fait de dégâts importants.

La secousse s'est produite à 15H36 (05H36 en Suisse). Son épicentre a été localisé à environ 65 km au nord de Kaikoura, sur l'île du Sud, à une profondeur de 55 km, a précisé l'Institut américain de géophysique (USGS). GeoNet, le service de surveillance sismique néozélandais, a mesuré la magnitude à 6,3. Le tremblement de terre a été ressenti dans tout le pays, des dégâts sont peu probables à cause de la profondeur de l'épicentre, souligne GeoNet.

Stuart Grant, chef du conseil de district de Kailoura, a expliqué sur TVNZ avoir ressenti deux secousses à la suite l'une de l'autre, la dernière faisant l'effet d'un "gros choc". Le conseil de district a été évacué par précaution mais n'a pas subi de dégâts, a-t-il dit.

La Nouvelle-Zélande est située sur la "Ceinture de feu" du Pacifique où les plaques continentales entrent fréquemment en collision provoquant une importante activité sismique. Le pays subit environ 20'000 secousses par an, dont une moyenne de 2,5 séismes d'une magnitude d'au moins 6.

En février 2011, un séisme de magnitude 6,3 dans la région de Canterbury (île du Sud), autour de Christchurch, avait causé la mort de 185 personnes.

Source © ATS
A deux jours de la Journée mondiale contre le paludisme, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a lancé jeudi un appel à la communauté sanitaire mondiale pour qu'elle s'attaque d'urgence aux importantes lacunes qui subsistent dans la prévention, le diagnostic et le traitement de cette maladie.

"Bien que le nombre de cas et les décès dus au paludisme aient diminué de façon spectaculaire depuis l'an 2000, plus d'un demi-million de vies sont encore perdues chaque année à la suite de cette maladie évitable", a déclaré l'OMS dans un communiqué de presse, ajoutant que trois quarts au moins des décès dus au paludisme concernent des enfants de moins de cinq ans.

Or, a indiqué l'agence onusienne, en 2013, seulement un sur cinq enfants africains souffrant de paludisme ont reçu un traitement efficace contre cette maladie, 15 millions de femmes enceintes n'ont pas reçu une seule dose des traitements préventifs recommandés et environ 278 millions de personnes en Afrique vivaient encore dans des logements sans aucune moustiquaire imprégnée d'insecticide.

"À l'occasion de la célébration, ce 25 avril, de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme, nous devons reconnaître la nécessité urgente de développer les mesures de prévention ainsi que les tests de diagnostic de qualité garantie et les traitements pour réduire les souffrances humaines causées par le paludisme", a déclaré le Sous-Directeur général de l'OMS pour le VIH/sida, la tuberculose, le paludisme et les maladies tropicales négligées, Dr. Hiroki Nakatani.

Pour pallier aux lacunes dans le traitement préventif, l'OMS recommande que tous les cas suspects de paludisme fassent l'objet de tests de diagnostic, de façon à ce que les médicaments antipaludiques soient utilisés uniquement pour les personnes effectivement atteintes et que, si le test est négatif, les autres causes de la fièvre puissent être recherchées.

L'OMS recommande aussi que les groupes les plus vulnérables dans les zones d'endémie palustre d'Afrique subsaharienne - les femmes enceintes, les enfants de moins de cinq ans et les nourrissons - reçoivent un traitement préventif pour réduire le risque d'infection par le paludisme.

L'OMS a par ailleurs mis sur pied une nouvelle stratégie mondiale de lutte contre le paludisme pour la période 2016-2030, qui sera examinée par l'Assemblée mondiale de la Santé en mai 2015. Élaborée en consultation étroite avec les pays d'endémie et les partenaires, cette nouvelle stratégie fixe comme objectif de réduire la charge de la maladie de 40% d'ici 2020 et d'au moins 90% d'ici 2030. Elle vise aussi à éliminer le paludisme dans au moins 35 nouveaux pays d'ici 2030.

La Journée mondiale de lutte contre le paludisme a été instituée par les Etats Membres de l'OMS lors de l'Assemblée mondiale de la Santé de 2007 et est célébrée chaque année le 25 avril. Elle est l'occasion de souligner la nécessité de poursuivre les investissements et de maintenir l'engagement politique en faveur de la lutte antipaludique et de l'élimination de cette maladie. Le thème de la campagne 2013-2015 est "Investir dans l'avenir - vaincre le paludisme".










jeudi 23 avril 2015
Le gouvernement chilien maintenait l'alerte rouge jeudi matin après une deuxième éruption, quelques heures après la première, du volcan Calbuco (sud), inactif depuis 43 ans, alors que la population était évacuée dans un rayon de 20 kilomètres aux alentours.

L'alerte rouge concerne les villes de Puerto Montt et Puerto Varas, situées dans la région de Los Lagos, à environ 1.300 kilomètres au sud de Santiago. 

Les autorités ont par ailleurs décidé l'état d'exception pour catastrophe dans les localités proches du volcan, et l'armée prendra donc temporairement le contrôle de ces zones. 

"Nous avons décrété l'état d'exception pour catastrophe dans la province de Llanquihue et la commune de Puerto Octay", a annoncé le ministre de l'Intérieur Rodrigo Peñailillo. 

Déjà 5.000 personnes en fuite

"Actuellement la zone d'évacuation autour du volcan Calbuco est de 20 kilomètres. La police a déjà donné des instructions et a commencé à évacuer", avait-il expliqué un peu plus tôt, sans préciser le nombre d'habitants devant ainsi être déplacés.

L'évacuation a démarré dans la zone de Ensenada, où vivent plus de 1.500 personnes, a précisé Roberto Peñailillo. Elle a concerné au départ près de 270 familles, selon les autorités, mais pourrait s'étendre dans les prochaines heures aux villes voisines, ce qui entraînerait le déplacement de milliers d'habitants. 

Selon la présidente chilienne Michelle Bachelet, qui a annoncé peu avant minuit qu'elle se rendra sur place jeudi, 5.000 personnes sont concernées par ces évacuations. Elle a également appelé la population à suivre les recommandations des autorités. L'évacuation a démarré dans la zone de Ensenada, où vivent plus de 1.500 personnes, a précisé Roberto Peñailillo. 

Les classes ont été suspendues dans la région, de même que les vols au départ et à l'arrivée de cette zone. "Il n'y a aucun blessé ni disparu" jusqu'à présent, a indiqué dans la soirée le ministre de l'Intérieur. 

L'alerte a également été donnée dans le sud de l'Argentine. Les autorités de la ville argentine de Bariloche, située à seulement 100 kilomètres du volcan, ont pris des mesures d'urgence en prévision de la possible arrivée des cendres produites par l'éruption. 

Risque d'effondrement de la colonne et d'inondations suite au dégel

La défense civile de Bariloche, qui se trouve à 1.630 kilomètres au sud de Buenos Aires, a suspendu les cours dans les écoles et a réquisitionné les établissements sanitaires pour faire face à toute urgence liée à l'éruption. 

"Etant donné la vitesse et la direction du vent, on estime que les cendres volcaniques arriveront sur Bariloche et sa région dans les prochaines heures", selon le quotidien local La Cordillera. 

L'éruption, qui a démarré vers 18H00 (23H00 en Belgique), est survenue par surprise, aucun début d'activité n'ayant été enregistré ces derniers jours. Cela a été une "éruption assez explosive", a raconté le vulcanologue Gabriel Orozco, du Service national de géologie et de mines (Sernageomin), à la télévision nationale. 

"Actuellement la colonne éruptive a une hauteur d'environ 10 kilomètres, ou un peu plus", a-t-il ajouté, et "cette éruption va faire retomber une grande quantité de cendres". "Le risque principal est que cette colonne s'effondre", a-t-il mis garde, sur les rivières avoisinantes. 

Retransmises en direct à la télévision, les images montraient en début de soirée une épaisse colonne de fumée blanche s'élevant dans le ciel au-dessus de ce volcan situé près de la côte, d'une altitude de 2.003 mètres et inactif depuis 43 ans, mais sans aucune coulée de lave apparente. 

À Puerto Montt, les émanations de fumée en provenance du volcan recouvraient toute la ville, paralysée par d'énormes embouteillages et de longues files d'attente devant les stations essence, selon les images de télévision. 

"Les gens ont très, très peur", a confié le maire, Gervoy Paredes. "La situation est assez compliquée pour l'instant" a-t-il ajouté: "le fleuve Blanco serait en train de déborder en raison du dégel" provoqué par l'éruption. 

La police chilienne a appelé à "laisser les routes (nationales) dégagées" dans la zone pour faciliter les opérations d'évacuation. Le ministre de l'Intérieur à lui lancé "un appel au calme à la population, qui doit se maintenir informée". 

Il s'agit de la deuxième éruption en quelques semaines enregistrée au Chili, après celle en mars du volcan Villarrica, également situé dans le sud du pays, qui avait entraîné l'évacuation de quelque 3.600 personnes. Le Chili compte environ 90 volcans actifs, parmi lesquels le Calbuco est considéré comme l'un des plus dangereux.

Source ©  20 minutes






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Le Niger est frappé depuis janvier par une épidémie de méningite qui a fait 85 morts. Celle-ci a poussé les autorités à fermer les écoles de Niamey de mercredi à lundi prochain, a annoncé le Premier ministre, Brigi Rafini.

"À Niamey, compte tenu de l'acuité de cette maladie, nous avons décidé de fermer tous les établissements d'enseignement à compter de mercredi jusqu'à lundi", a déclaré Brigi Rafini mercredi 22 avril, à la télévision d'État. Cette mesure ne concerne pas les universités, a toutefois précisé Abdou Asmane, le ministre de l'Enseignement supérieur.

Au 19 avril, "908 cas de méningite ont été recensés dans le pays avec 85 de décès soit une létalité de 9,36%", selon un dernier bilan communiqué mardi soir par le ministère de la Santé. Le précédent bilan officiel, qui datait du 13 avril, faisait état de 75 décès pour 697 cas. Plus de la moitié des morts s'étaient alors produites dans la capitale et la maladie touche majoritairement les enfants de 2 à 15 ans.

La suspension des cours est "une mesure de précaution" pour permettre aux élèves de "rester dans leurs familles" en attendant de "bénéficier d'une vaccination", sachant qu'il existe "un problème de disponibilité de vaccins", a commenté le Premier ministre. 

"Nous avons un besoin immédiat de près d'1,2 million de doses de vaccins. Nous pourrons disposer d'ici jeudi de 50% (de ce total) mais pour l'autre moitié, nous lançons un appel à tous nos partenaires", a-t-il dit. Brigi Rafini a appelé la population à la "vigilance", notamment en "signalant tous les cas suspects".

L'actuelle épidémie est provoquée par des souches "plus virulentes" de la méningite que celles qui ont été à l'origine des précédentes vagues au Niger, selon un expert. Le pays est régulièrement frappé par des épidémies de méningite en raison de sa position au sein de "la ceinture de la méningite", qui s'étend du Sénégal jusqu'à l'Éthiopie. Très contagieuse, la maladie se manifeste par une montée brutale de température, de violents maux de tête, des vomissements et une raideur du cou.

Source © AFP
Une nouvelle journée de pollution atmosphérique est attendue ce jeudi sur la région parisienne, avec un dépassement du seuil de particules fines (PM10). Par conséquent le préfet de police et la Ville de Paris ont d’ores et déjà annoncé la mise en place de plusieurs mesures, dont le stationnement résidentiel gratuit dans la capitale.

Les automobilistes qui ne peuvent privilégier les transports en commun sont aussi invités à réduire leur vitesse de 20 km/h, par rapport aux limitations imposées. En fonction de l’évolution de la situation dans les jours qui viennent, la mairie de Paris prévoit d’enclencher d’autres mesures, comme la gratuité d’Autolib’, de Velib’, etc.


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La contamination des cours d'eau, rivières et estuaires dans le monde par les insecticides agricoles est sous-estimée et a un impact dévastateur sur les écosystèmes aquatiques, révèle une recherche allemande publiée le 13 avril 2015 aux Etats-Unis.

Les auteurs ont analysé 838 études publiées entre 1962 et 2012 couvrant 2.500 sites aquatiques dans 73 pays pour déterminer si les concentrations des 28 pesticides les plus utilisés excédaient les limites autorisées.

Pas d'analyse des sites aquatiques sur 90 % des surfaces cultivés du globe

Dans 97,4 % des échantillons, les analyses indiquent certes l'absence de quantités mesurables d'insecticide, « mais aussi l'inexistence de surveillance scientifique de ces substances dans environ 90 % des superficies cultivées du globe », écrivent les scientifiques dont les travaux paraissent dans les comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS).

Mais « le constat le plus important c'est que dans les sites aquatiques où l'on a détecté des insecticides, 52,4 % avaient des teneurs qui dépassaient largement les limites légales dans l'eau ou dans les sédiments ». Les dépassements étaient élevés même dans des pays où les insecticides sont fortement réglementés.

Un impact sur la biodiversité aquatique

La contamination croissante par des insecticides provoque une réduction de la biodiversité aquatique, mettent en garde les scientifiques. Selon eux, les niveaux de concentration actuellement autorisés entraînent déjà une diminution de quelque 30 % des macro-invertébrés benthiques, de petits animaux vivant au fond des rivières. Ainsi l'intégrité biologique des ressources globales en eau douce est menacée, concluent-ils.

Dans cette étude, « nous nous sommes concentrés sur les insecticides en raison de leur fort potentiel toxique pour les organismes aquatiques qui sont essentiels à un bon fonctionnement de cet écosystème », expliquent les auteurs. L'ampleur de l'impact des pesticides agricoles dans des zones aquatiques pourrait être sous-estimée en raison d'un manque d'analyses quantitatives étendues.

Les résultats de ces travaux suggèrent le besoin d'une amélioration des réglementations des pesticides et de leur usage ainsi que d'une intensification de la recherche sur les effets des substances chimiques sur les écosystèmes, insistent les chercheurs.

Source © La France Agricole



L'épave d'un chalutier russe qui a coulé il y a une semaine au large de l'archipel espagnol des Canaries, provoquant une vaste marée noire en raison d'une fuite dans sa cuve de combustible, a été localisée par 2.700 mètres de fond, a annoncé mercredi la ministre de l'Equipement Ana Pastor.

Un robot sorti en mer mardi "a déjà localisé le bateau, il est à 2.700 mètres, à une profondeur plus grande" que celle à laquelle on s'attendait, a déclaré la ministre, s'exprimant de l'île de la Grande Canarie, située dans l'Atlantique, face à l'Afrique de l'Ouest.

De mauvaises conditions météorologiques ont jusqu'à présent empêché d'aspirer les 1.500 tonnes de combustible que contient le chalutier.

Selon un communiqué de Greenpeace diffusé mercredi, la nappe de combustible s'étend sur plus de cent kilomètres. L'ONG écologiste avait toutefois écarté mi-avril toute comparaison avec la marée noire causée par le naufrage en novembre 2002 au large des côtes espagnoles et françaises du pétrolier Prestige, d'où s'étaient échappées 63.000 tonnes d'un fuel épais et visqueux qui avaient souillé le littoral.

Les associations de protection de la nature s'inquiètent toutefois de la dispersion du carburant dans cette zone riche en flore et en faune, dont des cétacés et des tortues.

Un hélicoptère et un bateau de la police ont patrouillé la zone pour savoir si la faune avait pu être touchée par la fuite de carburant, a indiqué le ministère de l'Equipement dans un communiqué.

Ils ont pu jusqu'à présent sauver trois puffins cendrés, un oiseau qui vit sur l'océan et ne se rend à terre que pour s'y occuper de son nid. Ils ont pu être pris en charge dans un centre de traitement pour animaux, a indiqué le ministère.

Le gouvernement espagnol a également déployé sur l'île de Grande Canarie 50 personnes spécialisées dans le prélèvement en mer des nappes de pétrole, au cas où la fuite devait s'étendre et 150 autres experts sont mobilisables en cas de besoin dans les autres îles de l'archipel.

Le chalutier Oleg Neydanov a coulé le 15 avril, un naufrage qui n'a pas fait de victimes. Un incendie s'était déclaré à son bord dans le port de Las Palmas, sur l'île de Grande Canarie, célèbre comme le reste de l'archipel des Canaries pour ses plages.

Face au risque de propagation du feu aux autres bateaux amarrés, les autorités espagnoles avaient décidé de le remorquer vers la haute mer.

Le navire avait déjà fait parler de lui début 2014. Son équipage ayant été accusé de pêche illégale dans les eaux sénégalaises, il avait été arraisonné par Dakar et relâché trois semaines plus tard contre le paiement de plus de 900.000 euros d'amende par son armateur.

Source © AFP


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