...
jeudi 9 février 2012
22:07
Pas de stabilisation du climat sans géo-ingénierie
Les climatologues français ont rendu publics, ce matin, les premiers résultats de deux exercices de simulation climatique, réalisés pour le Giec. Pessimistes, ces modélisations montrent notamment que sans extraction du CO2 de l’atmosphère, il n’est pas question de stabiliser les températures.
La fine fleur de la climatologie française présentait, ce matin, les premiers résultats des deux dernières simulations hexagonales (l’une menée par une équipe conduite par Météo France, l’autre par l’institut Pierre-Simon Laplace, IPSL) pour le prochain rapport d’évaluation du Giec (1).
Fruit de décennies de recherche et de modélisation, ces simulations sont essentielles. «La seule façon que nous ayons de regarder vers le futur c’est de s’appuyer sur des modèles, car il n’y a pas d’analogie dans le passé de ce vers quoi nous allons», explique Jean Jouzel, du Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (CEA-CNRS-UVSQ).
Certes, ce n’est pas la première fois que les scientifiques ont recours à ces fantastiques logiciels. Mais d’année en année, ceux-ci se perfectionnent. «D’une façon générale, précise Jean-Louis Dufresne, ils prennent en compte l’atmosphère, les océans, les glaces de mer, les surfaces continentales, les lois physiques et chimiques.»
Ils permettent aussi de répondre à des questionnements (la variabilité de l’activité solaire est-elle responsable des changements climatiques), de réaliser des expériences (80 sont en cours).
Ils sont aussi l’indispensable outil pour mieux appréhender le futur. Les puissances de calcul bondissant, la résolution spatiale des changements climatiques s’affine d’un facteur 2.
Ce qui oblige à mobiliser toujours plus d’ordinateurs et de capacités de stockage de données. «Par rapport aux simulations que nous avons faites pour le précédent rapport du Giec, le coût calcul s’est accru d’un facteur 30 et la capacité de stockage de données a dû être multipliée par 70», avance le responsable du centre de modélisation du climat et directeur adjoint de l’IPSL.
C’est grâce à l’accroissement de cette puissance de calcul que les chercheurs ont affiné la résolution des projections, savent mieux représenter certains phénomènes physiques (la formation des nuages, par exemple), et prennent en compte de nouveaux aérosols (suies, poussières), l’ozone et l’évolution de l’usage des sols.
Suivant les préconisations du Giec, ces travaux ont aussi pour objectif de visualiser, avec plus ou moins de réussite, l’évolution du climat à court terme, de l’ordre de la décennie. «Cela doit aider, par exemple, les responsables des collectivités qui réalisent des plans Climat territoriaux à évaluer les risques d’évolution des zones inondables», précise Stéphane Halegatte, chercheur au Centre international de recherche sur l’environnement et le développement (Cired).
Autre nouveauté: les modélisateurs ont travaillé de concert avec des économistes pour effectuer des projections climatiques et des scénarios socio-économiques.
Outil de projection dans l’avenir, les modélisations servent aussi à infirmer certaines hypothèses. La plus connue, puisque portée par les climato-sceptiques, est la responsabilité de l’activité solaire dans le déclenchement des changements climatiques. «En reconstituant l’évolution du climat du XXe siècle, avec les variations d’activité solaire et les éruptions volcaniques, nous avons montré que le réchauffement ne peut être expliqué sans prendre en compte les activités humaines», indique Jean-Louis Dufresne.
En termes d’évolution de la température moyenne globale, les chercheurs français ont défini 4 scénarios couvrant les années 2000-2300: de la stabilité du réchauffement à +2°C en 2100, par rapport à l’ère pré-industrielle (dit RCP 2,6) à un réchauffement de 3,5 à 5°C entre les années 1990-2090 (RCP 8,5). En ce cas, les températures moyennes globales connaitraient, en un siècle, une évolution comparable à celle mesurée depuis le dernier maximum glaciaire, il y a 21.000 ans.
En accord avec les dernières conclusions du Giec, les deux modèles tricolores réaffirment une augmentation significative des précipitations annuelles aux hautes latitudes, sur le Pacifique équatorial, mais une diminution dans les latitudes subtropicales.
Contrairement aux scénarios développés pour le 4e rapport d’évaluation du Giec, paru en 2007, les modélisations tricolores se projettent jusqu’en 2300. Dans le scénario RCP 8,5, la température moyenne globale pourrait bondir de 12°C entre la fin du XXe siècle et le début du XXIVe siècle. A contrario, le scénario RCP 2,6 évoque une stabilisation, sur le long terme, d’une température à peine d’un degré supérieure à celle que nous connaissons aujourd’hui.
Les simulations françaises prennent aussi en compte le couplage entre le climat et le cycle du carbone. Résultat: quel que soit le scénario retenu, les puits de carbone (l’océan, les forêts) perdent en efficacité. Après 2100, annoncent les scénarios pessimistes, les continents deviennent émetteurs nets de carbone.
Les scientifiques ont aussi estimé les trajectoires d’émissions compatibles avec chaque scénario. Pour le plus optimiste (RCP 2,6), explique Stéphane Halegatte,
«il faudrait une action mondiale immédiate, extrêmement violente, portant tout à la fois sur la baisse des émissions de combustibles fossiles et sur les occupations de sols». Mais pas seulement.
Car, indique-t-on dans le dossier de presse, «pour limiter le réchauffement à 2°C, il faudrait rapidement diminuer les émissions anthropiques, et atteindre des émissions négatives».
En clair, lancer une «action anthropique permettant de prélever directement du CO2 de l’atmosphère». Le tabou est désormais levé.
A moins de rapidement mettre en batterie des millions d’arbres synthétiques ou de déclencher des blooms géants de phytoplancton, plus d’espoir «d’empêcher toute perturbation anthropique dangereuse du système climatique», comme nous le commande la convention-cadre de l’ONU sur les changements climatiques.
(1) Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat
Source IPSL
...voici maintenant plus de 6 ans que de nombreux internautes et le site de nature alerte tentent désespérément d'alerter la population au très grave danger que représentent les chemtrails et la géo-ingienerie en général.
Depuis une petite année les médias classiques se réveillent (...journaux télé radio...) et s'emparent du phénomène, et ce pour tenter de contrer et de mieux contrôler la communication qui est maintenant devenue obligatoire face à l'ampleur de la diffusion des chemtrails partout dans le monde. Mais surtout pour contrer la montée du mécontentement généralisé.
Hors depuis quelques mois une multitude de mensonges circulent maintenant concernant leurs utilisations, certains essayent même de présenter la geo-ingienerie comme en étant qu'à ses balbutiements, incroyable mais vrai.
... Mais pour être bref..
...imaginez seulement les effets des retombées de ces particules (dont nous ne connaissons que partiellement les cocktails employés) sur la surface de la planète , et ce à la fois pour votre santé mais aussi pour les dégâts que leurs diffusions permanentes causent aux sols et aux cultures, aux rivières et au lacs, aux forets et même à vos potagers, aux animaux sauvages et domestiques, bref à l'environnement dans son ensemble.
Mais surtout sachez que voilà déjà plus de cinq ans qu'en France nous en somme victimes tous les jours, il vous suffit juste de lever les yeux pour le constater sans aucun doute possible...
Et pour ceux qui doutent toujours de l'emploi massif de cette technologie dans le monde voici une petite vidéo zapping qui risque de vous ouvrir les yeux et les oreilles, et vous rappellera combien nous sommes vulnérables dans un monde devenu complétement fou et totalement effrayant.
...Bref l'horreur vous dis je...
Les climatologues français ont rendu publics, ce matin, les premiers résultats de deux exercices de simulation climatique, réalisés pour le Giec. Pessimistes, ces modélisations montrent notamment que sans extraction du CO2 de l’atmosphère, il n’est pas question de stabiliser les températures.
La fine fleur de la climatologie française présentait, ce matin, les premiers résultats des deux dernières simulations hexagonales (l’une menée par une équipe conduite par Météo France, l’autre par l’institut Pierre-Simon Laplace, IPSL) pour le prochain rapport d’évaluation du Giec (1).
Fruit de décennies de recherche et de modélisation, ces simulations sont essentielles. «La seule façon que nous ayons de regarder vers le futur c’est de s’appuyer sur des modèles, car il n’y a pas d’analogie dans le passé de ce vers quoi nous allons», explique Jean Jouzel, du Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (CEA-CNRS-UVSQ).
Certes, ce n’est pas la première fois que les scientifiques ont recours à ces fantastiques logiciels. Mais d’année en année, ceux-ci se perfectionnent. «D’une façon générale, précise Jean-Louis Dufresne, ils prennent en compte l’atmosphère, les océans, les glaces de mer, les surfaces continentales, les lois physiques et chimiques.»
Ils permettent aussi de répondre à des questionnements (la variabilité de l’activité solaire est-elle responsable des changements climatiques), de réaliser des expériences (80 sont en cours).
Ils sont aussi l’indispensable outil pour mieux appréhender le futur. Les puissances de calcul bondissant, la résolution spatiale des changements climatiques s’affine d’un facteur 2.
Ce qui oblige à mobiliser toujours plus d’ordinateurs et de capacités de stockage de données. «Par rapport aux simulations que nous avons faites pour le précédent rapport du Giec, le coût calcul s’est accru d’un facteur 30 et la capacité de stockage de données a dû être multipliée par 70», avance le responsable du centre de modélisation du climat et directeur adjoint de l’IPSL.
C’est grâce à l’accroissement de cette puissance de calcul que les chercheurs ont affiné la résolution des projections, savent mieux représenter certains phénomènes physiques (la formation des nuages, par exemple), et prennent en compte de nouveaux aérosols (suies, poussières), l’ozone et l’évolution de l’usage des sols.
Suivant les préconisations du Giec, ces travaux ont aussi pour objectif de visualiser, avec plus ou moins de réussite, l’évolution du climat à court terme, de l’ordre de la décennie. «Cela doit aider, par exemple, les responsables des collectivités qui réalisent des plans Climat territoriaux à évaluer les risques d’évolution des zones inondables», précise Stéphane Halegatte, chercheur au Centre international de recherche sur l’environnement et le développement (Cired).
Autre nouveauté: les modélisateurs ont travaillé de concert avec des économistes pour effectuer des projections climatiques et des scénarios socio-économiques.
Outil de projection dans l’avenir, les modélisations servent aussi à infirmer certaines hypothèses. La plus connue, puisque portée par les climato-sceptiques, est la responsabilité de l’activité solaire dans le déclenchement des changements climatiques. «En reconstituant l’évolution du climat du XXe siècle, avec les variations d’activité solaire et les éruptions volcaniques, nous avons montré que le réchauffement ne peut être expliqué sans prendre en compte les activités humaines», indique Jean-Louis Dufresne.
En termes d’évolution de la température moyenne globale, les chercheurs français ont défini 4 scénarios couvrant les années 2000-2300: de la stabilité du réchauffement à +2°C en 2100, par rapport à l’ère pré-industrielle (dit RCP 2,6) à un réchauffement de 3,5 à 5°C entre les années 1990-2090 (RCP 8,5). En ce cas, les températures moyennes globales connaitraient, en un siècle, une évolution comparable à celle mesurée depuis le dernier maximum glaciaire, il y a 21.000 ans.
En accord avec les dernières conclusions du Giec, les deux modèles tricolores réaffirment une augmentation significative des précipitations annuelles aux hautes latitudes, sur le Pacifique équatorial, mais une diminution dans les latitudes subtropicales.
Contrairement aux scénarios développés pour le 4e rapport d’évaluation du Giec, paru en 2007, les modélisations tricolores se projettent jusqu’en 2300. Dans le scénario RCP 8,5, la température moyenne globale pourrait bondir de 12°C entre la fin du XXe siècle et le début du XXIVe siècle. A contrario, le scénario RCP 2,6 évoque une stabilisation, sur le long terme, d’une température à peine d’un degré supérieure à celle que nous connaissons aujourd’hui.
Les simulations françaises prennent aussi en compte le couplage entre le climat et le cycle du carbone. Résultat: quel que soit le scénario retenu, les puits de carbone (l’océan, les forêts) perdent en efficacité. Après 2100, annoncent les scénarios pessimistes, les continents deviennent émetteurs nets de carbone.
Les scientifiques ont aussi estimé les trajectoires d’émissions compatibles avec chaque scénario. Pour le plus optimiste (RCP 2,6), explique Stéphane Halegatte,
«il faudrait une action mondiale immédiate, extrêmement violente, portant tout à la fois sur la baisse des émissions de combustibles fossiles et sur les occupations de sols». Mais pas seulement.
Car, indique-t-on dans le dossier de presse, «pour limiter le réchauffement à 2°C, il faudrait rapidement diminuer les émissions anthropiques, et atteindre des émissions négatives».
En clair, lancer une «action anthropique permettant de prélever directement du CO2 de l’atmosphère». Le tabou est désormais levé.
A moins de rapidement mettre en batterie des millions d’arbres synthétiques ou de déclencher des blooms géants de phytoplancton, plus d’espoir «d’empêcher toute perturbation anthropique dangereuse du système climatique», comme nous le commande la convention-cadre de l’ONU sur les changements climatiques.
(1) Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat
Source IPSL
...voici maintenant plus de 6 ans que de nombreux internautes et le site de nature alerte tentent désespérément d'alerter la population au très grave danger que représentent les chemtrails et la géo-ingienerie en général.
Depuis une petite année les médias classiques se réveillent (...journaux télé radio...) et s'emparent du phénomène, et ce pour tenter de contrer et de mieux contrôler la communication qui est maintenant devenue obligatoire face à l'ampleur de la diffusion des chemtrails partout dans le monde. Mais surtout pour contrer la montée du mécontentement généralisé.
Hors depuis quelques mois une multitude de mensonges circulent maintenant concernant leurs utilisations, certains essayent même de présenter la geo-ingienerie comme en étant qu'à ses balbutiements, incroyable mais vrai.
... Mais pour être bref..
...imaginez seulement les effets des retombées de ces particules (dont nous ne connaissons que partiellement les cocktails employés) sur la surface de la planète , et ce à la fois pour votre santé mais aussi pour les dégâts que leurs diffusions permanentes causent aux sols et aux cultures, aux rivières et au lacs, aux forets et même à vos potagers, aux animaux sauvages et domestiques, bref à l'environnement dans son ensemble.
Mais surtout sachez que voilà déjà plus de cinq ans qu'en France nous en somme victimes tous les jours, il vous suffit juste de lever les yeux pour le constater sans aucun doute possible...
Et pour ceux qui doutent toujours de l'emploi massif de cette technologie dans le monde voici une petite vidéo zapping qui risque de vous ouvrir les yeux et les oreilles, et vous rappellera combien nous sommes vulnérables dans un monde devenu complétement fou et totalement effrayant.
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c'est marrant ça ... impossible de voir cette vidéo!
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