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jeudi 11 juin 2015
Le Conseil international de coordination du Programme de l’UNESCO sur l’Homme et la biosphère (MAB, Man and the Biosphere), réuni à Paris du 8 au 12 juin, a ajouté 20 nouveaux sites au Réseau mondial des réserves de biosphère, ce qui porte à 651 le nombre total de sites –dont 15 transfrontaliers- répartis dans 120 pays.

Avec ces nouvelles nominations, Myanmar rejoint le Réseau mondial des réserves de biosphère.

Le Programme sur l’Homme et la biosphère, créé par l’UNESCO au début des années 1970, est un programme scientifique intergouvernemental visant à améliorer les relations entre les habitants de la planète et leur environnement naturel au niveau mondial. Les réserves de biosphère sont des sites d’apprentissage pour le développement durable destinés à concilier la conservation de la biodiversité et l’utilisation durable des ressources naturelles. Les nouvelles réserves sont désignées chaque année par le Conseil international de coordination du programme composé des représentants élus de 34 Etats membres de l’UNESCO.

Les nouvelles réserves de biosphère sont :

La Réserve de biosphère en grappe de Gouritz (Afrique du Sud) est située dans la partie australe de l’Afrique du Sud. Le site s’étend sur 3 187 892 hectares. La réserve est divisée en quatre secteurs mitoyens dont l’altitude va du niveau de la mer à 2 240 m. Il s’agit duseul endroit au monde où convergent trois points chauds de biodiversité reconnus (Fynbos, Karoo succulent et Maputaland-Tongoland-Albany). Les espèces végétales endémiques y sont très nombreuses. Le site est sur l’itinéraire migratoire de grands mammifères tels que le léopard et sert de zone d’alevinage aux espèces marines. La région est essentielle pour ses ressources en eau. Plus de 260 000 personnes vivent dans cette région qui fait face à de profondes difficultés socioéconomiques (chômage, pauvreté, vastes établissements informels sans services adéquats, augmentation des taux de VIH et de la criminalité). Une des solutions envisagées est de lutter contre le chômage des jeunes en créant dans la réserve de biosphère des modèles locaux d’entreprises et en développant les emplois liés à l’économie de la biodiversité.  

La Réserve de biosphère de Magaliesberg (Afrique du Sud) s’étend sur une superficie de 357 870 hectares  située entre les villes de Pretoria et Johannesburg. Le site se trouve à l'interface des deux grands biomes* africains – les pâturages des grands plateaux du centre, et la savane subsaharienne. Il présente une riche biodiversité  avec notamment 443 espèces d'oiseaux qui représentent 46,6 % de toutes les espèces ornithologiques de la sous-région de l'Afrique australe. En outre, la région, d'une beauté spectaculaire, présente des caractéristiques naturelles uniques, un riche patrimoine culturel, ainsi qu’un intérêt archéologique, avec le « Berceau de l’humanité », qui fait partie d’un site du patrimoine mondial vieux de quatre millions d’années. Plus de 260 000 personnes vivent dans cette région qui est voisine d’une grande infrastructure urbaine, ce qui influe sur son économie, dominée par l’agriculture, l’extraction minière, le développement urbain et le tourisme. Le plan de gestion de la réserve de biosphère a pour ambition de stimuler la conservation et favoriser, entre autres, le tourisme, l’agriculture et les pratiques durables (énergie solaire, économies d’eau).

La Réserve de biosphère de  Belezma (Algérie) constitue une mosaïque de forêts, de maquis, de pelouses, de falaises et de cours d’eau. La réserve englobe 5.315 hectares de cèdres de l’Atlas représentant presque le tiers des cédraies d’Algérie. Cet arbre, plusieurs fois centenaire, est une espèce endémique de l’Afrique du Nord (Algérie et Maroc) et une espèce protégée en Algérie. Elle est emblématique de la région des Aurès. La Réserve abrite également  des sites historiques et archéologiques, des grottes et des tombeaux. La population totale de la Réserve est de 3500 habitants. En plus des activités agricoles que sont l’élevage et la céréaliculture, les activités commerciales et artisanales sont répandues.

La Réserve de biosphère de Patagonia Azul (Patagonie bleue) (Argentine) est située dans le sud du pays, sur la côte de la province de Chubut, et s’étend sur 3 102 005 hectares. Elle comporte une zone côtière présentant la biodiversité la plus riche de tout le littoral argentin, ainsi que d’importants sites de reproduction, de nourrissage et de migration de diverses espèces d’oiseaux et de mammifères. On y trouve la plus vaste colonie de manchots de Magellan de la planète, avec près de 40 % de la population mondiale. La densité de population humaine du site est très faible, la seule petite ville étant Camarones, dont la population permanente compte  près de 5 % de personnes appartenant à des groupes ethniques autochtones comme les Mapuches ou  les Tehuelches. La majorité du territoire est occupée par des ranchs ou des établissements ruraux consacrés à l’élevage de moutons, la production de laine représentant une autre activité économique importante. La pêche, le tourisme et la récolte des algues font partie des autres activités du site.

La Réserve de biosphère du Massif d’Anaga (Espagne) se trouve dans le nord-est de l’île de Tenerife, aux Îles Canaries et s’étend sur 48 727 hectares. Le massif d’Anaga abrite une grande diversité d’animaux, notamment de reptiles, d’oiseaux et de poissons ; les invertébrés en particulier sont très représentés, avec 1 900 espèces enregistrées. D’un point de vue géologique, le massif est l’une des plus anciennes formations de l’île, certaines roches étant vieilles de sept à neuf millions d’années. Sur cette longue période, la zone a connu plusieurs cycles d’activité volcanique qui ont abouti à une riche mosaïque géologique et géomorphologique. Plus de  22 000 personnes vivent à titre permanent dans la réserve de biosphère. Historiquement, l’agriculture, l’élevage (notamment des chèvres), les activités forestières et la pêche ont été les principales activités économiques.

La Réserve de biosphère transfrontière de la Meseta ibérique (Espagne/Portugal) comprend les provinces de Salamanque et de Zamora en Espagne, et de Terra Quente et Terra Fria au Portugal. Elles’étend sur 1 132 606 hectares. Les altitudes varient entre 100 mètres et 2 000 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le site compte de nombreuses espèces phares, comme  la cigogne noire (Ciconia nigra), le vautour égyptien (Neophron pernocpterus), l’aigle de Bonelli (Aquila fasciata), le hibou grand-duc (Bubo bubo), la loutre d’Europe (Lutra lutra), et le loup ibérique (Canis lupus signatus). Plus de  300 000  personnes vivent sur ce site qui comporte également un patrimoine bâti composé d’édifices datant des époques romaine et médiévale.

La Réserve de Biosphère du Lac Tana (Éthiopie) se trouve dans la partie nord-ouest de l’Éthiopie et abrite le lac Tana, le plus vaste du pays. Le site s’étend sur une superficie totale de 695 885 hectares. Cette zone est un point chaud de biodiversité. Reconnue au plan international comme un site ornithologique majeur, elle est également d’une importance mondiale pour la diversité génétique agricole. Les principales activités humaines sont l’agriculture, la pêche, le tourisme national et international et l’extraction de sable. Le site est tout à fait exceptionnel aux plans culturel et historique, avec de nombreux monastères et églises datant du XIIIe siècle. Les forêts monastiques autour du lac Tana abritent une diversité exceptionnelle d’arbres et arbustes et de plantes médicinales, et jouent un rôle important dans la conservation de la biodiversité. La réserve de biosphère aura pour vocation de revaloriser les cultures, savoirs et savoir-faire traditionnels des communautés autochtones, qui reflètent un mode de vie durable en harmonie avec l’environnement.

La Réserve de Biosphère des Gorges du Gardon (France) se situe dans le département du Gard, dans le sud de la FranceD’une superficie totale de 45 501 hectares, elle englobe les villes d’Uzès et de Nîmes, ainsi que le Pont du Gard, un site inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en 1985. Le site présente un paysage typiquement méditerranéen composé de garrigue, de chênes verts, de la rivière Gardon et de falaises, et renferme des espèces menacées et protégées telles que le vautour percnoptère, l’aigle de Bonelli et l’orchidée bécasse. Cette région est connue pour son riche patrimoine culturel, architecturel et historique. Les principales activités humaines sont l’agriculture, le tourisme (450 000 visiteurs par an) et les services. Parmi les principales activités agricoles figurent la production de vin et d’huile d’olive. La région produit également des Tuber melanosporum (truffes) et des plantes médicinales et aromatiques.

La Réserve de Biosphère de Cacique Lempira, Señor de las Montañas (Honduras) est située dans la partie occidentale du pays et couvre une superficie totale de 168 634  hectares. Elle fait partie de la région écologique des forêts de pins et de chênes et de la forêt tropicale humide et compte de très nombreuses espèces menacées et endémiques. Le fort taux d’endémisme de la faune sauvage a conduit à désigner cette région écologique comme une « Endemic Bird Area » (EBA) . La population totale de la réserve de biosphère s’élève à plus de 150 000 habitants. L’activité économique prédominante est l’agriculture traditionnelle (87 %), les principales espèces cultivées étant le maïs et les haricots, et, de plus en plus, le café. Le tourisme est encouragé dans la ville de Lempira, qui reçoit des touristes locaux et internationaux en nombre croissant.

La Réserve de Biosphère de Bromo Tengger Semeru – Arjuno (Indonésie) se trouve dans la province de Java oriental et couvre une superficie totale de 413 374 hectares. Elle englobe  le parc national de Bromo Tengger Semeru (BTSNP) et  la zone forestière protégée de Raden Soerjo. La flore compte 1 025 espèces, dont 226 espèces d’orchidées et 260 plantes médicinales et ornementales. Plusieurs espèces de mammifères font partie de la Liste rouge des espèces menacées de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Le site représente un exemple de bonnes pratiques en matière de développement durable à l’échelle régionale, nationale et internationale. L’agriculture est appelée à se développer dans certaines zones. L’élevage de bovins, caprins, ovins, chevaux, lapins et poulets alimente également l’économie locale. La recherche sur la gestion de la biodiversité et la réduction des taux de carbone est très active.

La Réserve de Biosphère de Taka Bonerate – Kepulauan Selayar (Indonésie) se trouve au sud de Sulawesi (Célèbes) et appartient à la province de Sulawesi du sud. Elle s’étend sur 4 410 736 hectares. Les forêts de mangrove servent de rempart contre les vagues violentes de l’océan et constituent à ce titre un refuge pour différents types de poissons, ainsi qu’un habitat pour de nombreuses espèces de faune, notamment des oiseaux. Les autorités nationales visent à faire de ce site le centre principal des activités de conservation des récifs coralliens et une destination touristique majeure à Sulawesi. Le site a vocation à servir de laboratoire d’apprentissage pour les chercheurs, les étudiants, les élus locaux, les organisations non gouvernementales et du secteur privé.

La Réserve de Biosphère de Tang-e-Sayyad et Sabzkuh (République islamique d'Iran) combine les deux régions de Tang-e-Sayyad et Sabzkuh. Sa superficie totale est de 532 878 hectares. L’affaissement du sol, l’activité géologique et la fonte des calottes glaciaires ont formé plusieurs zones humides dans la région, où vit une faune rare, qui comprend notamment le chat sauvage et le serpent-tigre. Le Karoun, le plus vaste fleuve d’Iran, abrite 22 espèces de poissons, dont le brochet et le poisson-chat de Mésopotamie. Pendant la saison froide, les zones forestières vierges de la région accueillent des oiseaux migrateurs comme la cigogne blanche et le flamand rose. La présence de plusieurs cours d’eau et de sources dans le site ont conduit à un développement accru de l’agriculture et de l’élevage. L’artisanat local  et les festivals de culture traditionnelle offrent également un potentiel de développement du tourisme dans la région Ces activités seraient gérées par les communautés locales.

La Réserve de biosphère des Alpes de Ledro et Judicaria (Italie) se situe dans la région de Trente, au nord de l’Italie, entre le site du patrimoine mondial des Dolomites et le lac de Garde, et couvre une superficie totale de 47 427 hectares. Le site est représentatif du versant sud des Alpes orientales centrales, comprenant différents habitats non pollués (prairies alpines, forêt, pâturages, landes) ainsi que des cultures traditionnelles. Sa situation stratégique contribue à la richesse de la biodiversité et à la création d’un corridor nord-sud à travers les Alpes, assurant une continuité territoriale entre les aires protégées de la vallée du Pô et des Alpes du Nord. Il s’agit également d’un endroit très apprécié pour le tourisme, qui constitue une importante ressource économique pour la population locale. L’agriculture, autre activité économique principale de la Réserve, se concentre sur la viticulture, la culture de l’olive et des fruits et légumes, ainsi que sur l’élevage.

La Réserve de biosphère du Delta du Pô (Italie) se trouve au nord de l’Italie, couvre 139 398 hectares et compte 120 000 habitants. Plaine façonnée sous l’action du Pô et des activités humaines récentes, c’est le seul delta qui existe en Italie. Il est constitué d’un ensemble de bras de rivières, de systèmes de dunes côtières et de formations sableuses, de lagons, d’étangs de pêche, de marais, de dunes fossiles, de canaux et de forêts de pins maritimes, de vastes zones humides saumâtres, ainsi que de terres cultivées, dominées par la riziculture. Ces paysages abritent un patrimoine de biodiversité exceptionnel en raison de la diversité des habitats. Le tourisme constitue l’une des principales activités économiques pour les communautés locales, avec l’agriculture et la pisciculture. Il est question de promouvoir le tourisme durable.  L’éducation environnementale et culturelle du grand public est une activité importante de la réserve de biosphère.

La Réserve de biosphère d’Apennin tosco-émilien (Italie) se trouve en Toscane et Émilie-Romagne, dans la partie septentrionale du centre du pays. Elle couvre la crête apennine tosco-émilienne de Passo della Cisa à Passo delle Forbici. Cette partie de la crête marque la limite géographique et climatique entre l’Europe continentale et méditerranéenne. Elle compte 38 municipalités. La superficie totale du site est de 223 229 hectares. Le site compte 70 % de toutes les espèces présentes en Italie, dont de nombreuses espèces d’oiseaux, amphibiens, reptiles, mammifères et poissons, le loup, l’aigle royal, mais aussi une grande biodiversité végétale avec au moins 260 espèces de plantes aquatiques et terrestres. La principale activité est l’agriculture, de différents types selon les paysages. L’économie du tourisme s’est récemment développée, afin d’améliorer le lien entre tourisme et agriculture avec par exemple l’ouverture de restaurants proposant un menu « zéro kilomètre » composé avec des produits locaux.

La Réserve de biosphère d’Aksou-Jabagly (Kazakhstan) se trouve  au sud de Karataou, dans le Tien Shan occidental. La superficie totale du site est de 357 734 hectares. Le site abrite 48 % des espèces d’oiseaux dans la région et 72,5 % des vertébrés. Les terres de la région sont principalement utilisées pour l’agriculture, dont il existe différents types : dans la zone de culture pluviale, des cultures céréalières (blé et orge) ; sur les terres arables irriguées, des cultures fourragères (maïs, trèfle, alfalfa). Les populations locales élèvent généralement du bétail, des moutons (mérinos sud-kazakh), des chèvres, des chevaux (trotteurs et Donskaya) et de la volaille (poulets et dindes). Aksou-Jabagly fait partie des sites touristiques les plus réputés au monde pour l’observation des oiseaux et l’écotourisme y a un potentiel important. Des activités de recherche actives sur l’écologie de la faune sont menées au sein de la réserve de biosphère. 

La Réserve de biosphère du Lac Inle (Myanmar) se trouve dans le district de Taunggyi, dans le sud de l’État Shan, et s’étend sur une superficie totale de 489 721 hectares. L’écosystème de zone humide de ce lac d’eau  douce abrite 267 espèces d’animaux, parmi lesquelles 82 espèces d’oiseaux de marais et 43 espèces de poissons, de loutres et de tortues. Diverses espèces végétales et animales sont répertoriées et le lac serait le lieu de nidification de la grue antigone, menacée à l’échelle mondiale. Outre son importance écologique, le lac Inle est également unique par la façon dont les habitants ont adapté leur mode de vie à leur environnement. Les agriculteurs de l’un des groupes ethniques dominants de la région, les Inthas, pratiquent l’agriculture sur île flottante, qu’on appelle localement « Yechan ». Le lac Inle et son bassin versant offrent plusieurs services écosystémiques dont les populations locales dépendent notamment : un air pur, une eau propre, un climat plus frais, des réserves de poissons ou encore des ressources.

La Réserve de biosphère d’Hanma (République populaire de Chine), qui se trouve en Mongolie intérieure, est décrite comme représentant une part importante de la taïga chinoise. Elle protège la diversité des écosystèmes forestiers et des zones humides et s’étend sur une superficie totale de 148 948 hectares. La végétation naturelle est intacte en raison des interactions très limitées avec l’homme. La forêt tempérée froide à conifères est le type de forêt le mieux préservé en Chine et présente une haute valeur scientifique. Les produits forestiers de ce site, tels que les myrtilles et autres fruits sauvages, contribuent au développement socioéconomique des communautés de la région. Le tourisme est un domaine à exploiter.

La Réserve de biosphère de Langbiang (Viet Nam), située dans la province de Lam Donget, couvre une surface de 275 439 hectares. La biodiversité de la région, très riche, et compte de nombreuses espèces menacées au Viet Nam. L’aire centrale formera un corridor de biodiversité, maintenant l’intégrité de 14 écosystèmes tropicaux. Elle constitue également l’habitat de nombreuses espèces de faune sauvage. Les secteurs de l’agriculture, de l’exploitation forestière et de la pêche sont les principales sources d’emploi pour les communautés locales. La culture des fleurs, du café et du thé sont les plus importantes en termes de revenus générés pour la région. Un certain nombre de projets d’investissements sont prévus dans certaines zones afin d’améliorer la gestion globale et la protection.

Source © Unesco


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