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vendredi 7 septembre 2012
Yoko Ono et Sean Lennon présentent "Artists against fracking", le 29 août 2012, à New York.

Ils veulent mobiliser les artistes contre la fracturation hydraulique...
Imagine un monde sans gaz de schiste: ce pourrait être le nouveau
refrain de la célèbre chanson de John Lennon. Yoko Ono et son fils,

Sean Lennon, se lancent dans une campagne contre la fracturation hydraulique, rapporte le New York Times.

«Soyez créatifs»

Mercredi, Yoko Ono et Sean Lennon ont présenté leur association Artists against fracking, dont le but sera de convaincre le gouverneur de l’Etat de New York de ne pas utiliser la méthode de la fracturation hydraulique pour exploiter les gaz de schiste dans sa région. 

Les artistes qui soutiennent la démarche, parmi lesquels Lady Gaga ou Paul McCartney, sont libres de trouver leur moyen de lutter contre la fracturation hydraulique. 

«Quand les gens demandent "Qu’est-ce que je peux faire?", je leur dis "Soyez créatifs", explique Yoko Ono. Je pense à l’esprit, à l’intelligence, nous en avons.»

«Ce qui nous distingue, c’est que nous sommes écoutés par notre public», déclare Sean Lennon. Les artistes sont incités à parler des gaz de schiste à leurs fans, aussi bien sur scène que sur les réseaux sociaux. Yoko Ono, espère faire de l’Etat de New York un «beau modèle écologique».

jeudi 2 août 2012
Tsunami: trois Japonais ont marché à travers le monde pour dire merci

Trois Japonais, dont un septuagénaire, ont bouclé jeudi un périple de plus d'un an entre Paris et Tokyo en guise de remerciement au monde pour son aide après le tsunami géant et la catastrophe nucléaire de Fukushima en mars 2011.

 

Le trio, emmené par Kenichi Hatori, 71 ans, patron d'une des plus grosses société de ventes de voitures d'occasion du Japon, a été salué par environ 300 personnes à son arrivée dans une salle de conférence de la capitale.
 

Kenichi Hatori, son fils Akihito de 28 ans, et Takenobu Sugama, 50 ans, avaient quitté Paris le 25 juin 2011, trois mois après le tremblement de terre et le tsunami qui avaient ravagé le nord-est du Japon et avait fait 19 000 morts et disparus.
 

Au total les trois hommes auront parcouru environ 13 350 kilomètres et traversé 14 pays d'Europe et d'Asie, à raison d'une moyenne de 40 km par jour. Ils s'octroyaient tout de même un jour de repos hebdomadaire.
 

Arrivés à Pékin début juillet, ils ont pris un ferry pour débarquer au Japon.
 

Tout au long de leur périple les coureurs étaient suivis par un camion de soutien auquel était accroché une grande banderole en anglais et en français : "Merci de votre gentillesse pour le Japon".
 

"Nous avons couru pour exprimer notre gratitude au monde", a déclaré Kenichi Hatori à la presse jeudi. "On a été salués chaleureusement et encouragés par un tas de gens sur notre chemin. J'espère que notre odyssée va contribuer à accélérer la reconstruction des zones dévastées."

 Source ©   Belga
jeudi 19 juillet 2012
INFO E1 - Jean-Marc Ayrault et Delphine Batho ont convoqué des ONG écolos, le 24 juillet.

L'épineux dossier de l'exploitation du gaz de schiste est-il sur le point d'être déterré ? Selon des informations Europe 1, une réunion sur le sujet aura lieu, en toute discrétion, le 24 juillet. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault et la ministre de l'Ecologie Delphine Batho ont donné rendez-vous aux principales ONG environnementales, notamment Greenpeace, France Nature Environnement, la Ligue de Protection des Oiseaux.

Une étude d'impact ( tiens donc?)

Au menu des discussions, une réflexion sur l'opportunité d'exploiter le gaz de schiste. Concrètement, il s'agit d'obtenir en amont l'aval des ONG pour des recherches sur le dossier suivi d'une étude d'impact pour prendre en compte les critères environnementaux.

Les gaz de schiste demeurent en effet un sujet très controversé car leur extraction, qui nécessite la destruction de la roche qui les enferme, est très polluante. Après une forte mobilisation d'opposants, la France était devenue, en juillet 2011, le premier pays à bannir l'usage de la technique de la fracturation hydraulique, susceptible d'entraîner des pollutions du sous-sol, bloquant ainsi de fait l'exploitation de ces gaz prisonniers des roches souterraines. La législation actuelle a abrogé les permis de recherche accordés.


"Le risque électoral est très lourd"

Du côté des ONG, on reste méfiants. "L'exploration en profondeur propre, ça n'existe pas", commente un responsable, interrogé par Europe 1. "Ce sera donc le choix économique ou la responsabilité environnementale" tranche t-il. "Le risque électoral est très lourd", renchérit un autre négociateur". La discussion s'annonce animée.



Source © Europe 1







...Est ce à croire que les écolos au pouvoir aiment particulièrement le chanteur Jacques Dutronc pour s'en inspirer...et ..."retournent leur vestes"...


...Et surtout qui finance certaine de ces ONG, (nous parlons ici de la WWF, la FNE, Greenpeace ou encore de ...) pour que le ministère de l'écologie dans sa grande générosité les convoque en bon spécialistes de la question... ?...je vous le donne en mille: l'état évidemment et aussi...chut ...ça c'est un secret...Bref...


...C'est vrai qu'avec le temps toutes ces ONG là , "contre le gaz de schiste", ...ça se saurait... !!!!.

Déjà en 2011 elles avaient été pointé du doigt...alors retour à la case départ?...

Petit rappel des faits:

Pourquoi les ONG écologiques officielles ont réagi avec retard, voir sont restées silencieuses pendant des années, (aux USA par exemple) , dans la lutte contre le gaz de schiste, et sur d'autres sujets d'ailleurs, la géoingénierie par exemple... ?...:

"La bande des Quatre se fout des gaz de schiste" avait déjà accusé début 2011 Fabrice Nicolino, spécialiste de la question et journaliste, auteur de nombreux ouvrages sur le sujet :

Pour Nicolino, qui a été le premier à sonner l'alerte dés 2010, ce silence coupable, est lié aux structures mêmes de ces associations : trop proches du pouvoir, et des industriels.


Sans ce journaliste nous n'en aurions peut être même jamais entendu parler...

...C'est vrai qu'aujourd'hui on les entends un peu plus sur le sujet, mais si fébrilement, du moins le font elles avec parcimonie, et disons le clairement, de façon "très", très discrète...


Faut il aussi rappeler que déjà en janvier 2011 un membre de la WWF était censé participer à une réunion des industriels du gaz de schiste, alors qu'un silence total régnait à l'époque dans les activités de cette association concernant le gaz de schiste...étrange?....

Et surtout comment s'expliquer que les grandes associations écologistes ne se mobilisent que mollement sur ce sujet? 
 

"Les transnationales du pétrole et du gaz veulent mettre la France et l’Europe en coupe réglée, et tuer ce qui reste encore à peu près vivant" "alors elles financent" accuse alors Nicolino qui révèle au passage la participation de Stephan Singer à cette réunion de 2011, "le responsable de la politique de l’énergie au WWF, cette association internationale qui n’a plus d’écologiste que le nom"

"Concernant Greenpeace, l' association verticaliste, nul ne bouge tant que la bureaucratie internationale qui dirige tout depuis Amsterdam ne le décide, s'agace-t-il. Et, donc, Greenpeace France ne fait rien. Encore bravo, les vaillants défenseurs de la planète !" avait il rappelé à l'époque.

"On a une expertise sur le pétrole, à l'international et en France, mais pas sur le gaz" avait alors expliquait Sylvain Trottier, chargé de communication de Greenpeace...

A l'époque d'ailleurs, pour répondre à ces attaques,  toutes les associations avançaient pour leurs défenses, "leurs spécificités" respectives,  pour justifier leur mauvais temps de réaction, voir leur silence total.

Il est alors vraiment étonnant de voir que ces mêmes non spécialistes d'hier, soient encore ceux convoqués par le ministère aujourd'hui, 1 an après les faits, il faut juste espérer qu'ils aient révisé leur dossiers depuis...



...bon allez ...il y a au fond, comme un démon...et dans la tête de nos sauveurs, des pensées de gens responsables, et qui aiment tant la planète qu'ils pensent forcément  à l'avenir... des enfants...


D'ailleurs à toutes ces questions leurs efficacités ne sont plus à démontrer, probablement inspirées par l'envoutement des images.... de crépuscule...

C'est sous le poids des responsabilités, qu'on mesure la grandeur des héros...


...et pour s'en convaincre ...et bien faite passer...


...Vous avez dit bizarre?...


© Nature Alerte 

lundi 2 juillet 2012
Nature Alerte relaie....L'appel de Poitiers du 24 Juin 2012...

Nous, citoyen(ne)s, paysan(ne)s, représentant(e)s d’organisations de la société civile, réunis en ce jour à Poitiers pour les États Généraux « Abeilles, semences et biodiversité » * lançons un appel solennel à la société tout entière à s’engager de toute URGENCE POUR SAUVER LA BIODIVERSITÉ !

Le modèle agricole dominant correspond à une très brève période (± 1 siècle) de la longue histoire de l'agriculture (± 10.000 ans). Il repose sur une vision dans laquelle la terre n'est considérée que comme un support inerte maintenu sous perfusion par les engrais et les pesticides chimiques, et les écosystèmes comme des ressources à exploiter et non des organismes vivants dont nous faisons partie.

Ce modèle franchit aujourd'hui un point de non-retour dans la pollution massive, la destruction de la biodiversité et les atteintes à la santé publique, sur fond d'épuisement des énergies fossiles qui l'ont alimenté.


Cette situation nous contraint à prendre sans délai des mesures d'urgence !


Nous demandons : 


1/ Pour sauver l’abeille, les autres pollinisateurs et la biodiversité :
  •     l’interdiction des OGM (dans les champs, dans l'alimentation humaine et animale), à commencer par le renforcement du moratoire sur le MON 810 ;
  •     l’interdiction de tous les insecticides néonicotinoïdes et phényles pyrazoles (Cruiser, Gaucho, Régent,…)
  •     le refus de toute ligne directrice européenne qui amoindrirait encore l'évaluation des OGM ;
  •     l'interdiction des plantes pesticides, en particulier les nouveaux colzas et tournesols mutés pour tolérer les herbicides inhibiteurs de l'ALS ;
  •     la refonte totale des procédures d’évaluation des pesticides (AMM,…), s’appuyant sur le rapport de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA) préconisant la révision des protocoles d’évaluation des pesticides sur les abeilles ; notamment en rendant publiques les études de toxicité des firmes qui ne peuvent en aucun cas être couvertes par le secret industriel ;
  •     une pénalisation forte de toute pollution et de toute atteinte à la biodiversité, une obligation de réparation et l'exclusion de toute forme de compensation qui donne un droit à polluer ou à détruire la biodiversité.
2/ Pour la reconnaissance des droits des paysans :

  •     l'interdiction de tout brevet et de toute forme de droit de propriété industrielle sur le vivant (Certification d'Obtention Végétale de 1991) qui sont les outils de la spéculation financière sur la biodiversité et la nature ;
  •     l'abrogation de la loi sur les COV de décembre 2011 ;
  •     l'adoption d'une loi de reconnaissance positive des droits des paysannes et des paysans, des jardiniers et des artisans semenciers, d'utiliser, resemer, échanger, diffuser leurs semences, et les protéger des contaminations génétiques et de la biopiraterie ;
  •     l'accès à la terre et à l'eau, maîtrisé et équitablement réparti, tout en respectant les besoins des milieux aquatiques.

3/Pour un changement des pratiques agricoles :


  •     dans le cadre de la PAC, des mesures fortes d’incitation aux pratiques alternatives à l’utilisation des pesticides, alternatives pour protéger les sols, l’eau, la santé humaine en restaurant la biodiversité ;
  •     la reconnaissance des alternatives aux pesticides à commencer par l’autorisation immédiate des Préparations naturelles peu préoccupantes (PNPP).


La biodiversité : un réservoir de solutions !


La semence est le premier maillon de la chaîne agricole et alimentaire. Les agricultures paysannes et biologiques, que la société appelle de ses voeux, ne peuvent se satisfaire de semences industrielles ; elles ont besoin de semences paysannes. Celles-ci donnent un sens au travail des paysans avec le vivant. Elles sont la vie, en opposition aux technologies de manipulation du vivant. La diversité intravariétale et variétale permet l’adaptation à la diversité des terroirs, à la variabilité et aux évolutions climatiques à venir.

Les semences paysannes permettent :

    la liberté de choix des paysans et des consommateurs ;
    l’indépendance vis-à-vis de l’agrochimie (engrais, pesticides, semences hybrides F1, OGM) ;
    une meilleure qualité nutritionnelle (antioxydants, oligoéléments,…) et gustative ;
    une réponse par rapport aux problèmes de l’eau, moins de pollution, moins de consommation, moins d’érosion des sols ;
    une agriculture nourricière assurant la souveraineté alimentaire au Nord comme au Sud.


Nous nous engageons à :


  •     reprendre notre rôle et nos droits dans l'orientation des choix politiques, car le débat politique préoccupé exclusivement de la nature ne se soucie pas des questions sociales et économiques, tout comme le débat politique préoccupé exclusivement de l’économique et du social ne se soucie pas de la nature et la considère comme une ressource ou un bien librement exploitable ;
  •     sortir de la société techniciste et productiviste qui permet l’appropriation privée de la nature en standardisant les produits qui en sont issus ;
  •     nous réapproprier les droits d'usage collectifs inaliénables à la terre, à l'eau, aux semences, aux savoirs ;
  •     respecter et gérer collectivement la biodiversité sauvage et agricole en priorité à l'échelle locale. La biodiversité sauvage ne doit pas être marchandisée, la biodiversité agricole ne doit pas être standardisée. C’est un préalable pour construire la souveraineté alimentaire.
  •     remettre les savoirs et les savoir-faire populaires et professionnels au même niveau de légitimité que les savoirs scientifiques ;
  •     respecter l'expression citoyenne et le débat contradictoire ;
  •     refuser les accords publics-privés, qui pervertissent la recherche publique, pour la remettre à sa place au sein de la société ;
  •     nous réapproprier une éthique sociale et de la nature ; nous approprier un nouveau paradigme global qui replace l’être humain au coeur de la nature et non plus au-dessus, notamment dans le cadre d'une recherche citoyenne basée sur l'intérêt commun.

Un autre monde n'est pas seulement possible, il est indispensable !


Nous, citoyen(ne)s, paysan(ne)s, représentant(e)s d’organisations de la société civile, réunis en ce jour à Poitiers pour les États Généraux « Abeilles, semences et biodiversité », nous le construisons ensemble immédiatement !


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(*) Agir pour l’environnement, Amis de la Terre, ASPRO PNPP, ATTAC, Combat Monsanto, Confédération paysanne, Demeter, Faucheurs volontaires, Fédération française des apiculteurs professionnels, Générations Futures, LPO, Les Amis de la Confédération paysanne, Nature et Progrès, Réseau Semences Paysannes, Sciences citoyennes, UNAF.

mercredi 16 mai 2012
A chaque printemps, les hirondelles sont de moins en moins nombreuses à revenir nicher en France. 

Pour mieux quantifier le phénomène, la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) a invité chacun, dans un communiqué publié mercredi, à compter et observer leurs nids dans le cadre d'une enquête qui doit durer deux ans.

Les chiffres obtenus lors de précédents programmes de suivi montrent par exemple qu'il y a une diminution de 41% des effectifs d'hirondelles de fenêtre depuis 1989, a indiqué la LPO, en s'appuyant sur une étude du Muséum national d'Histoire naturelle datant de 2010.

Un déclin qui peut s'expliquer par des changements de pratiques culturales ou par une architecture de moins en moins favorable à l'installation de leurs nids.

L'association invite le grand public à s'intéresser tout particulièrement à ces hirondelles de fenêtre, faciles à localiser et à identifier avec leur dessous blanc et leurs dos et ailes noir-bleuté.

Elles construisent généralement leur nid, un hémisphère de boue et de salive, sous les avant-toits de nos habitations au sein même des villes et des villages, rappelle la LPO.

L'association invite chacun à prendre le temps de regarder et à noter quelques informations comme la date et le lieu, puis à saisir ces données, qui serviront aux scientifiques à mieux connaître la répartition de ces oiseaux sur le territoire, sur le site dédié
www.enquete-hirondelles.fr.

L'enquête comprend deux autres volets, s'adressant pour l'un à un public plus averti et pour l'autre aux ornithologues professionnels. Elle s'inscrit dans le cadre de l'opération de sciences participatives (missions printemps) organisée durant tout le printemps par le site internet de ARTE.


Source
©AFP16 Mai 2012


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lundi 14 mai 2012
Mercredi 16 mai sera donné le coup d'envoi de la 65e édition du Festival de Cannes. Au programme, luxe, strass et paillettes.


Mais pas seulement... A quelques jours de la cérémonie d'ouverture, le collectif Méditerranée en danger (MED) alerte sur la pollution des fonds marins à une centaine de mètres de la Croisette.


L'association écologiste publie sur son site quatre clips vidéos avec pour thème "les dessous de Cannes".


Chacun des clips de deux minutes a été tourné sous l'eau, proche des grands hôtels qui accueilleront les festivaliers. Des images choc diffusées de manière théâtrale, sur une musique connue et éloquente.
  • Dans Cannes sous les marches du Festival, on plonge dans une farandole de bouteilles et récipients en plastique ondulant sur les fonds marins sur une musique empruntée au thriller Les Dents de la mer.
  • Même ambiance dans Cannes, décors naturels, où l'on peut voir des milliers de canettes de boissons abandonnées, avant qu'elles ne finissent sur le sable au large des plages.
  • Sur l'air de la chanson de Serge Gainsbourg "Dieu est un fumeur de havanes", Cannes à bout de souffle invite à découvrir les milliers de mégots et paquets de cigarettes jetés qui finissent entre les algues.
Enfin, Dégâts salés alerte sur le million d'oiseaux de mer et les 100 000 mammifères marins qui meurent chaque année en raison des milliards de déchets présents dans les océans.


290 MILLIARDS DE MICROPLASTIQUES EN MÉDITERRANÉE


"Les projecteurs étant tournés vers le festival, il nous a semblé opportun de faire découvrir, pour information, un exemple sur l'origine des déchets qui se déversent régulièrement par tonnes en mer et qui préfigure la catastrophe environnementale qui se déroule actuellement en Méditerranée", explique Bruno Dumontet, le responsable du projet. L'an dernier, pendant la quinzaine du festival, le triplement de la population de Cannes a généré 1 200 tonnes de déchets supplémentaires, selon la mairie.


Ces quatre clips sont diffusés sur YouTube et sur le site www.expeditionmed.eu de ce collectif d'écologistes, scientifiques, artistes et enseignants qui luttent contre les déchets en mer et pour la protection de la biodiversité marine en Méditerranée. Selon leurs estimations, basées sur des données recueillies lors des deux campagnes scientifiques en 2010 et 2011, il y aurait près de 290 milliards de microplastiques flottants sur 10 à 15 cm d'eau en dérive en Méditerranée.

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...et ailleurs dans le pacifique.... c'est un  7 eme continent qui  flotte...et qui...bon non rien...


Marquée par une grève de la faim d'opposants au projet de transfert de l'aéroport de Nantes, les Présidentielles ont débouché sur un accord. Tant que les divers recours juridiques ne sont pas statués, les procédures d'expulsion sont gelées.

Pour toutes les parties concernées, l'arrêt de la grève de la faim d'opposants au transfert de l'aéroport de Nantes sur le site de Notre-Dame-des-Landes figure comme un véritable soulagement. 


Quand le mardi 8 mai 2012 ils ont levé le camp dressé en plein centre de Nantes, cela faisait 28 jours que Michel Tarin ne s'alimentait plus, tandis que d'autres se relayaient dans le jeûne à ses côtés. Cet agriculteur connaît bien le terrain : après avoir exercé son activité sur des terres situées dans la Zone d'Aménagement Différé (ZAD) instituée en 1973 en vue d'y construire un aéroport, il est aujourd'hui concerné par l'expropriation de ses biens.

Cette levée de camp fut consécutive à la signature d'un accord conclu en parallèle par d'autres membres de la Coordination des opposants au projet d'aéroport à Notre Dame des Landes (ACIPA). Cet accord est établi entre eux et les principales collectivités locales motivées par le projet de transfert : la mairie de Nantes, le Conseil général de Loire-Atlantique et le Conseil régional Pays de la Loire. Il stipule le souhait "qu'il n'y ait pas d'expulsions avant la fin des recours déposés à la date du 4 mai devant le Conseil d'Etat, la Cour de Cassation et le Conseil Constitutionnel".

"Dans le cas d'une expropriation, le seul point de désaccord, c'est le prix, précise Julien Durand, porte-parole de l'ACIPA. Cet accord permet aux paysans de travailler de manière un peu plus sereine !". D'autres propriétaires ou tout simplement habitants sont aussi concernés par cet accord. En tout, une cinquantaine de familles vivant sur les 1.650 ha d'emprise du projet d'aéroport avant même qu'en ait été signée la Déclaration d'Utilité Publique (DUP) - le 9 février 2008 -, se trouvent actuellement entraînées dans une procédure juridique d'expropriation pour avoir refusé la démarche à l'amiable proposée par la société concessionnaire Aéroports du Grand Ouest (AGO). "Nous avons déposé un pouvoir pourvoi en cassation contre les ordonnances d'expropriation, précise Julien Durand. Et en même temps, nous avons déposé devant le Conseil Constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) qui, si elle est retenue, pourrait contraindre à une révision du droit sur les expropriations".

Le projet de transfert d'aéroport n'étant pas remis en cause par le changement présidentiel, l'actionnaire majoritaire d'AGO, Vinci, ne semble pas inquiété par l'accord : "Nous nous satisfaisons que le dialogue soit enfin rétabli puisque cela a toujours été notre posture.  et alors que la démarche individuelle et amiable menée auprès des propriétaires fonciers et exploitants agricoles depuis début 2011 a permis à ce jour l'acquisition à l'amiable de 85% de la superficie nécessaire à la réalisation du futur aéroport (soit plus de 1 .000 ha sur les 1.240 ha de l'emprise de la concession aéroportuaire) ainsi que la signature de 29 conventions d'indemnisation sur les 40 exploitations agricoles directement concernées par ce transfert d'aéroport".

Au Conseil d'Etat, 3 recours contre le décret de concession...

Au Conseil d'Etat, ce sont trois recours en cours d'instruction ont été déposés début 2011 contre le décret n°2010-1699 du 29 décembre 2010 approuvant la convention entre l'Etat et la société AGO pour la concession des aérodromes de Notre-Dame-des-Landes, Nantes-Atlantique et Saint-Nazaire-Montoir. En tant que juriste pour la coordination des opposants à l'aéroport, Dorian Piette, responsable de la cellule veille juridique à EELV, explique : "Cette convention stipule que l'Etat versera 135 M€ d'aides publiques, et les collectivités locales 115 M€ d'avances, remboursables si et seulement si la concession présente un excédent brut d'exploitation constaté supérieur au plan d'affaires prévisionnel d'AGO, dont les prévisions sont d'ailleurs bien optimistes. Ce remboursement est censé être progressif pendant toute la durée de la concession, mais cette dernière prévoit aussi explicitement l'hypothèse de l'absence de remboursement. Il s'agit donc d'une véritable garantie publique dont le caractère remboursable est aléatoire, d'où le fait que nous dénonciations ces avances comme étant de véritables aides publiques".

Et un contre le refus du 1er ministre d'abroger la DUP de 2008

Au Conseil d'Etat, un autre recours a également été déposé contre le refus du Premier ministre d'abroger la DUP de 2008, déposé le 19 avril dernier par l'association Collectif d'élu-e-ss Doutant de la pertinence de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes (CéDpA).
Avec à l'appui, l'étude indépendante du cabinet européen Ce Delft qui, précise le collectif, a "mis en évidence que l'analyse initiale [l'étude économique menée en 2006 dans le cadre de l'enquête publique, au fondement de la DUP] comportait des erreurs. En corrigeant ces erreurs, les bénéfices attendus du nouvel aéroport diminuent significativement et ses coûts augmentent". Dorian Piette explique en quoi cette DUP repose aussi sur des circonstances de droit et de fait qui ont changé : "Depuis cette date, il y a eu l'adoption des lois Grenelle 1 et 2 et la publication du SDAGE Loire-Bretagne qui implique l'existence de solutions alternatives à tout projet d'aménagement ; ou encore la loi de modernisation de l'agriculture et de la pêche (LMAP) qui vise, entre autres, à limiter l'étalement urbain.Le Premier ministre aurait dû accepter notre demande de la revoir ou de l'abroger. En ne nous répondant pas, implicitement, il l'a approuvé telle qu'elle est ".

Soucieux de ne pas laisser l'histoire tomber dans l'oubli, le CéDpa qui regroupe près d'un millier d'élus appuie sur ce recours et celui concernant le contrat de concession : "Nous demandons que ces deux recours passent en Assemblée du contentieux du Conseil d'Etat. Il serait en effet choquant que sur un dossier de cette importance, se renouvelle un passage en 6e sous-section, sans motivations... décision [de rejet non motivé du recours contre la DUP déposée par l'ACIPA] qui est de ce fait contestée actuellement auprès de la Cour européenne des droits de l'homme !".


Source © C.Saïsset actu environnement
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vendredi 27 avril 2012
Des bénévoles chinois ont sauvé 505 chiens enfermés en cages dans un camion de transport qui les destinait à l'abattoir puis à la restauration locale.


C'est grâce à un message d'alerte diffusé le 19  Avril sur un microblog devenu virale sur Internet. que la police locale et les bénévoles très motivés ont pu intercepté le camion à un poste de péage, plus  500 chiens y étaient piégés dans 156 cages étroites.


Une foule de plus de 200 personnes  rassemblées devant le poste de police pendant la nuit a assisté les chiens torturés, en leur donnant de l'eau et de la nourriture.


Un sauveteur a déclaré: «Pour être honnête, je souhaiterai ne jamais avoir vu cela, je me sens très triste, je ne veux vraiment pas voir ça..."
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mardi 24 avril 2012
Albert Falco, plongeur puis célèbre capitaine de la Calypso, s’est éteint ce samedi 21 avril à Marseille. Il rejoint ainsi d’autres grands explorateurs comme Jacques-Yves Cousteau et Henri-Germain Delauze qui sont parvenus à marquer et émerveiller plusieurs générations de passionnés de la mer et plongeurs depuis les années 1960.


Ce début d’année 2012 aura vu disparaître deux grands explorateurs du monde sous-marin. Albert Falco, célèbre commandant de la Calypso, s’est en effet éteint ce samedi 21 avril à l’âge de 84 ans à Marseille, quelques jours après la création du Parc national des Calanques qui lui tenait tant à cœur. Il rejoint ainsi Henri-Germain Delauze, le fondateur de la Comex décédé en février dernier.


Engagé dans l’équipage du commandant Cousteau dès 1952, Albert Falco fit partie de la première équipe de plongeurs de la Calypso avant de prendre progressivement du galon jusqu’à devenir capitaine. Il prit sa retraite en 1990 au terme de trente-sept années d’aventures en mer.


Après avoir joué un rôle important dans Le monde du silence (Palme d’or à Cannes en 1956), il se fit également remarquer en devenant l’un des premiers plongeurs, ou océanautes, à vivre plusieurs jours de suite sous la mer. Il participa en effet aux expériences Précontinent 1 et 2 et résida sept jours puis trente à 10 mètres de profondeur respectivement au large de Marseille (1962) et du Soudan (1963), sans jamais remonter à la surface et en sortant tous les jours dans l’eau pour travailler.


Il a également été le chef pilote de Denise, la célèbre soucoupe plongeante co-inventée par Jacques-Yves Cousteau et Jean Mollard. Dans les années 1960, Albert Falco réalisa plus de 300 plongées à bord de cet engin prévu pour descendre à 350 mètres de profondeur avec une autonomie de 4 à 5 heures. Tous ces exploits et son implication dans de nombreux projets environnementaux lui ont valu plusieurs distinctions, dont l’Ordre national du mérite et la Légion d’honneur.
Albert Falco, l'Oceanaute - Teaser from Lato Sensu productions on Vimeo.
vendredi 20 avril 2012
Parce qu’on ne pleure pas assez leurs morts, alors qu’ils sont des centaines de milliards à trépasser chaque année, en partie à cause des pesticides, un collectif d’artistes a décidé de rendre hommage aux… insectes.

C’est tellement facile pour nous, humains, de nous débarrasser de ces petits êtres insignifiants de notre point de vue à grands coups de pantoufles ou d’un simple revers de main. Elles nous effraient parfois, nous dégoûtent souvent, mais nous devrions rendre hommage à ces petites bestioles qui nous rendent bien souvent des services. Après tout, ne font-elles pas partie de la biodiversité et, de fait, ne contribuent-elles pas à l’équilibre des écosystèmes ?

Le groupe d’artistes Carmichael Collective - un projet de Carmichel Lynch, une agence de publicité américaine – a décidé de leur rendre hommage en construisant des monuments commémoratifs à leurs échelles. Basés à Minneapolis (Minnesota), les artistes appellent les badauds passant devant ces « micro-mausolées » à s’incliner devant les insectes tombés au combat et à célébrer les bienfaits qu’ils peuvent apporter à l’humanité, alors qu’il est établi que les hommes constituent la plus grande menace pour les insectes.

Une étude a ainsi révélé qu’aux Etats-Unis, près de 32,5 milliards d’entre eux étaient tués rien qu’à cause des voitures . Sans parler de l’utilisation d’insecticides dans des proportions souvent déraisonnables, de la déforestation et de notre tendance fâcheuse à tuer toutes les petites bêtes à la mine plus ou moins patibulaire qui ont le malheur de croiser notre route.

Si cette réalité ne justifie pas de leur mener une guerre sans merci, les insectes ne sont cependant pas près de disparaître de la surface du globe. Certains spécialistes évaluent même à 30 millions le nombre d’espèces, ce qui représenterait près de 90% de la vie sur Terre…


mercredi 18 avril 2012
Le prix Goldman est remis chaque année à 6 défenseurs de l’environnement d’Afrique, d’Asie, d’Europe, des nations insulaires, d’Amérique du Nord, d’Amérique centrale et du Sud. Cette récompense prestigieuse s’accompagne d’un chèque de 150 000 dollars.





Cette année les lauréats sont:


Evgenia Chrikova pour la Russie

Depuis six ans, Evgenia Chrikova se bat pour sauver la forêt de Khimki, près de Moscou.

La forêt est menacée par un projet d’autoroute auquel le groupe de BTP français Vinci participe sans se préoccuper des conséquences environnementales.Evgenia Chirikova aurait pu rester la tranquille ingénieure qu’elle était si la corruption de l’administration russe et la voracité d’un groupe de construction français ne l’avaient fait sortir du bois.

Après avoir subi menaces, agressions et arrestations arbitraires, et alors qu'en cet été de canicule 2010 les incendies dévorent les forêts russes et qu’un nuage asphyxie les Moscovites. Evgenia est devenue la porte-parole d’une mobilisation citoyenne qui provoque des remous à Moscou et fait tache sur les belles plaquettes de communication « durable » du premier groupe mondial de construction, Vinci.

Cette mobilisation s’oppose au tracé de la future autoroute Moscou/Saint-Pétersbourg, qui traverse une zone naturelle protégée et détruit une forêt ancienne. Les écologistes ont remporté une première victoire le 27 août 2010, obligeant le président russe Dmitri Medvedev à suspendre le projet, qui a bien sûr repris depuis.




Ma Jun pour la Chine


Ma Jun, le directeur de l’Institut des affaires publiques et environnementales de Chine a été récompensé du prix Goldman.

Ce défenseur de l’environnement a été récompensé pour avoir créé en 2006 une base de données en ligne répertoriant les entreprises pollueuses présentes en Chine. Une initiative destinée à sensibiliser l'opinion publique tout en incitant les pollueurs à assainir leurs pratiques pour se voir retirer de la liste noire.







Edwin Gariguez pour les Philippines

Aux Philippines, Edwin Gariguez, secrétaire exécutif de NASSA qui a été fondé en 1966 par les évêques du pays a pour mandat d’accompagner les pauvres dans leur combat pour la justice sociale.

Un de ses principaux objectifs vise à atténuer la pauvreté rurale grâce à une agriculture durable.

« Si nous pouvions développer notre propre potentiel agricole, nous n’aurions pas besoin de détruire notre terre sous prétexte de développement », lance le père Edwin Gariguez, secrétaire exécutif de NASSA.

Il arrive souvent, aux Philippines, qu’on promeuve les grandes plantations ou les mines au nom du développement économique.

En 2010, NASSA a mené une campagne couronnée de succès afin de prolonger jusqu’en 2014 le programme national de réforme agraire de manière à ce que davantage de grandes plantations soient redistribuées à de petits producteurs. « Le droit à la vie est inséparable du droit aux sources d’alimentation et aux moyens de subsistance », ajoute le père Gariguez.





Ikal Angelei pour l'Ethiopie


Ikal Angelei peut avoir le sourire. La créatrice de la fondation les amis du lac Turkana vient de remporter le très prestigieux prix Goldman pour l’environnement. Cette récompense rend hommage au dévouement d’Ikal Angelei qui se bat depuis 2007 contre la construction d’un barrage en Éthiopie. Un barrage qui permettrait à l’Éthiopie de doubler ses capacités de production électrique.

Un bond en avant considérable pour ce pays mais qui se ferai au détriment de près de 500 000 kényans qui vivent au bord du lac Turkana. La construction de cet édifice abaisserait le niveau de l’eau d’une dizaine de mètre et augmenterait sa teneur en sel, la rendant impropre à la consommation.

Le barrage est toujours en construction mais Ikal Angelei a déjà obtenu le retrait de la banque de développement africaine. Aujourd’hui seule ICBC, une banque chinoise a consenti un prêt de 500 millions de dollars pour que la construction se poursuive.

Ikal Angelei attend désormais la décision de la banque mondiale qui décidera en mai prochain si elle s’engage dans la construction de ce barrage.





Caroline Cannon pour l’Amérique des grands nord

Caroline Cannon, présidente de Native Village of Point Hope, se bat en Alaska contre les grands groupes pétroliers et pour le respect des cultures Inuits

Les populations locales et les défenseurs de l’environnement sont mécontents du récent accord passé par quelques centaines de concessions pétrolières et gazières, qu’elles considèrent comme un gros problème écologique pour cette région. Les groupes pétroliers ont contestés ces accords devant la cour fédérale.

L’accord Chukchi 193 est le nom officiellement donné aux quelques 500 accords qui ont été «amenés» par l’administration Bush, puis ré abordés par l’administration Obama .

«Nous avons le droit à la vie, à l’intégrité physique, à la sécurité, et avons le droit d’apprécier les bienfaits de notre culture,» dit Caroline Cannon, présidente de Native Village of Point Hope.

«Pour cela, nous nous battrons. Notre culture ne pourra jamais être achetée ou réparée avec de l’argent. Elle est inestimable.»






Sofia Gatica pour l'Argentine

La litanie de Sofia Gatica fait froid dans le dos.

«Dans cette maison, cancer des intestins. Dans celle-ci, tumeurs au cerveau. Là, un cas de leucémie. À côté, encore un cancer Et là, de nouveau leucémie. »

Cette femme de 42 ans habite à Ituzaingo Anexo, une banlieue de la ville de Cordoba, à 700 km au nord-ouest de Buenos Aires (Argentine ). Sur 5 000 habitants, plus de 200 cas de cancers ont été recensés.

C'est quand elle s'est rendu compte que nombre de ses voisins portaient un foulard sur la tête ou un masque sur le visage que Sofia a commencé à enquêter. Elle a découvert alors l'insoutenable envers du décor avec sa cohorte de tumeurs, de malformations de foetus, de problèmes hormonaux ou respiratoires, ou de maladies spécifiques, comme le lupus ou le purpura. Sa propre fille est née avec une malformation aux intestins et est morte deux mois plus tard.

En 2002 se crée l'association Mères d'Ituzaingo Anexo. En 2006, la direction de l'environnement de la ville de Cordoba analyse le sang de trente enfants : tous ont des traces de pesticides, vingt-trois d'entre eux au-dessus des normes autorisées. Ici, une rue seulement sépare les premières habitations des champs de soja, et l'épandage de pesticides se fait par avion.

Au bout de dix ans, un procureur donne raison aux Mères d'Ituzaingo. De nouvelles analyses de sang confirment la présence d'endosulfan et de glyphosate. Ce dernier élément constitue le principe actif du Roundup , l'herbicide total conçu par l'entreprise américaine Monsanto. En décembre dernier, le procureur a mis en examen des producteurs de soja, le propriétaire de l'avion et le pilote, et a interdit l'épandage par avion à moins de 1 500 mètres des habitations.





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Le Prix Goldman pour l'environnement


Trop souvent les héros de l'environnement au niveau local ne reçoivent pas la reconnaissance qu'ils méritent. Et pourtant leurs activités pour protéger les ressources naturelles mondiales deviennent de plus en plus essentielles à la survie de la planète que nous partageons tous. En conséquence, en 1990, M. Richard N. Goldman et feu sa femme, Mme Rhoda H. Goldman (1924-1996), leaders communautaires et philanthropes de San Francisco, ont créé le Prix Goldman pour l’environnement. Actuellement, ce Prix continue à remplir sa mission initiale qui est de rendre honneur aux héros de l'environnement provenant d'une des six régions continentales : l'Afrique, l'Asie, l'Europe, les nations insulaires, l'Amérique du Nord, l'Amérique du Sud/Centrale. Le Prix récompense les efforts soutenus et importants de personnes cherchant à préserver et à améliorer l'environnement naturel, souvent à grands riques pour elles-mêmes. Chaque gagnant reçoit une récompense de 150 000 USD, la plus grande récompense au monde offerte aux défenseurs de l'environnement à titre individuel. Le Prix Goldman considère ces champions populaires comme étant ceux qui sont engagés dans des activités locales auxquelles les citoyens participent pour engendrer des changements positifs dans des questions écologiques qui les touchent. En reconnaissant ces leaders individuels, le Prix vise à inspirer d'autres personnes ordinaires à entreprendre des actions extraordinaires pour protéger le milieu naturel.

Les lauréats du Prix
Les travaux des lauréats du Prix Goldman se concentrent souvent sur la protection d'écosystèmes et d'espèces menacés, la lutte contre des projets de développement destructifs, la promotion de l’autosuffisance, l’influence sur les réglementations ayant trait à l’environnement et des actions visant à la justice écologique. Les lauréats du Prix sont souvent des hommes et des femmes vivant dans des villages isolés ou des grandes villes qui choisissent de préserver l'environnement au péril de leur propre vie.

Ce que le Prix Goldman offre à ses récipiendaires
Le Prix Goldman valide les voix de ces champions populaires et leur permet :

une reconnaissance internationale qui renforce leur crédibilité ;
une visibilité mondiale pour les problèmes dont ils se font les hérauts, et
un soutien financier de 150 000 USD pour poursuivre leur vision vers un environnement renouvelé et protégé.

Annonce du Prix et événements associés chaque année
Les lauréats du Prix Goldman pour l’environnement sont sélectionnés par un jury international d'après des nominations confidentielles soumises à un réseau mondial d'organisations et de personnes intéressées par l'environnement. La remise des prix a lieu chaque avril pour coïncider avec le Jour de la terre. Les lauréats du Prix sont invités à participer à un tour de 10 jours de San Francisco et de Washington, D.C. pour la cérémonie et la présentation des prix, des conférences de presse, des briefings avec les médias et des rencontres avec des leaders dans le monde de la politique et de l'environnement.

Les Ouroboros
En plus d’une récompense monétaire, chacun des six récipiendaires annuels du Prix Goldman reçoit une sculpture en bronze qui est une version stylisée de l’Ouroboros, un serpent se mordant la queue. Commun à de nombreuses cultures autour du monde, l’Ouroboros est un symbole des pouvoirs de la nature et de son renouveau.

Les lauréats 2011 ...sont ici...
mercredi 11 avril 2012
Julie Genicot est éducatrice environnementale sur l'île de Lanzarote pour l'association Ecosystem, Otro Mundo es Posible et la réserve de la biosphère. Elle réside depuis 9 ans sur l'île de Lanzarote et nous alerte sur un projet dément qui menace l'environnement local.

Le 16 mars dernier le conseil de ministres espagnol a accordé à la compagnie Respol le droit de réaliser des prospections pétrolières face aux îles de Lanzarote et Fuerteventura.

Cette décision, prise en dépit du recours présenté par les autorités canariennes met sérieusement en péril le modèle environnemental, économique et social choisis par ces 2 îles.

Ces îles vivent à 90% du tourisme et sont déclarées réserves de la Biosphère par l'UNESCO. Nombreuses y sont les espèces en voie de protection, sur terre comme en mer, cette réserve est une des plus grande réserve marine d’Europe, un lieu de passage et de reproduction privilégié pour 28 espèces de cétacés, des populations de corail uniques.....

L'extraction de pétrole se ferait à des profondeurs similaires à celle du Golfe de Mexico ce qui laisse présager le désastre auquel serait soumis l'environnement en cas de problème puisque la technologie utilisée reste la même, et les grandes profondeurs ne permettent pas une réaction efficace rapide.

Un même projet a été mit en route puis abandonné par décision du tribunal suprême espagnol en 2002. Les raison de ce verdict furent que les conditions environnementales n'étaient pas suffisantes.

Aujourd'hui, ce sont les mêmes qui ont été approuvées, a la veille de l'entrée en vigueur d'une nouvelle norme européenne plus stricte rendant responsable les compagnie pétrolière en cas de déversement.

Depuis Lanzarote et Fuerteventura, les autorités locales, les organismes telles que les associations (WWF, Greenpeace...) ainsi que les particuliers se sont manifestés contre cette mesure qui pourrait rompre l'équilibre local. Plus de 25000 personnes dans les rues d'Arrecife (capitale de Lanzarote); ce fut la plus grosse manifestation jamais vue sur l'île; et 50000 au total sur les 7 îles. D'autres manifestations se sont organisées contre ce projet en Allemagne, à Madrid et Barcelone.

Si cette manifestation du 24 mars 2012 fut un réel succès, dans les journaux nationaux, on ne parlait que de quelques centaines de manifestants. Les représentants politiques du gouvernement central s'en sont servi pour dire que ce fut un échec et pour demander la démission du président de la communauté autonome des Canaries...

Nous avons besoin de sortir des frontières maritimes et oligopolistiques afin que l'opinion générale puisse savoir ce qu'il se passe dans une des première destination touristique européenne, savoir qu'à l'heure ou l’Espagne est le deuxième taux de chômage le plus haut d’Europe, le gouvernement est prêt à détruire un modèle économique durable pour le bien d'une multinationale...

Source 100/100 © Gilles Héluin

...En faisant ma revue de presse j'ai croisé cet appel à l'aide, et ne sachant qu'en faire, il m'a semblé qu'il serait bon d'au moins en faire circuler l'info et de tenter ainsi de la multiplier, elle trouvera probablement des oreilles de gens capables d'agir... alors si ça vous dit.... faite passer....


jeudi 8 mars 2012
Au Mexique : 50% des coraux sont morts, sacrifiés au tourisme.

Un rapport validé par le WWF indique que la moitié des mangroves et des coraux de la Riviera Maya ont disparu au cours des 30 dernières années. Ces refuges de biodiversité constituaient la seule barrière protégeant le littoral contre les cyclones et les ouragans.

Présentée le mois dernier à l’occasion de la Journée mondiale des zones humides, une étude scientifique approuvée par le Centre national de droit environnemental (Cemda) et le Fonds mondial pour l’environnement (WWF) tire la sonnette d’alarme. La zone de Cancún, célèbre pour ses somptueuses plages de sable blanc et ses temples mayas, a perdu 50% des mangroves bordant ses côtes, et vu mourir près de la moitié de ses récifs coralliens depuis 1976.

Il s’agit d’un grave problème au niveau mondial. Non seulement le récif produit de l’oxygène, mais c’est également une zone vitale pour des milliers d’animaux marins, pour les palétuviers et pour les algues. Il offre une dynamique essentielle au transport de larves, de plantes, de nutriments et de matière organique. Le récif protège aussi les villes côtières et le littoral contre les vagues, les tempêtes et l’érosion.

L’étude se base sur des observations du récif méso-américain et des mangroves menées entre 1976 et 2011 dans la zone de Tulum et de Solidaridad.

Véritables forêts sous-marines, les récifs coralliens absorbent une part importante du dioxyde de carbone libéré dans l’atmosphère. Le rapport s’inquiète du blanchissement accéléré du corail dans le golfe du Mexique et dans les Caraïbes. Il évoque une perte massive due au changement d’affectation des sols, aux ouragans et à la pollution de l’eau.

Pour les auteurs du rapport, les mangroves et le corail ont été “sacrifiés sur l’autel du tourisme”, malgré leur rôle essentiel pour la régulation du climat et la préservation de la biodiversité.

Ces phénomènes vont de pair: la destruction de la mangrove élimine le filtre naturel protégeant la mer des effluents pollués, tandis que la mort du corail perturbe la chaîne alimentaire de milliers de créatures marines et empêche la production de sable pour les plages.

Source milenio.com






En Australie

La Grande barrière de corail menacée par le charbon australien

Une fois de plus, croissance économique et protection de l'environnement s'affrontent.

Dernier exemple en date : la Grande barrière de corail, le plus grand ensemble corallien de la planète, qui abrite une exceptionnelle biodiversité, s'avère menacée par la flambée de l'activité minière - essentiellement de charbon - et de l'exploration de gaz en Australie, selon l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco).

"La Grande barrière de corail se trouve actuellement à un carrefour et les décisions qui seront prises au cours des deux ou trois prochaines années pourraient être cruciales pour la conservation à long terme du récif", s'inquiète, cité par le Guardian, l'organisme onusien, dont une délégation d'experts est arrivée sur la côte est de l'Australie, mercredi 7 mars, pour une mission de dix jours de contrôle des ports.

Tout est parti d'un léger incident diplomatique : l'an dernier, Canberra autorisait l'installation d'une vaste usine de gaz liquéfié naturel sur l'île de Curtis, au large de Gladstone (Queensland), tout au sud de la Grande barrière, sans en référer à l'Unesco. Et à Gladstone même, l'extension du port est en cours, des travaux qui feront du terminal charbonnier l'un des plus importants du pays. Or, les Nations unies, qui ont pour vocation de protéger ce récif inscrit au Patrimoine mondial de l'humanité depuis 1981, doivent approuver les grandes décisions industrielles pouvant l'affecter.

L'Unesco, de même que les associations écologistes, voit ainsi d'un mauvais œil ces deux chantiers. Pour construire les installations, les entreprises devront en effet draguer le fond de l'océan, provoquant d'importantes quantités de déblais déposés au fond de la réserve et polluant l'eau.

Mais ce qui inquiète le plus l'ONU, c'est la multiplication des projets industriels dans le Queensland, Etat qui produit 55 % du charbon utilisé par l'industrie de l'acier dans le monde et le long duquel s'étendent les 2 600 kilomètres de Barrière de corail. Deux autres grands ports charbonniers sont à l'examen, à Hay Point et surtout à Abbott Point, qui deviendrait le plus grand terminal au monde.

Au rythme actuel de croissance et d'expansion portuaires, 10 000 navires chargés de charbon ou de gaz pourraient traverser chaque année la Grande barrière de corail, soit un par heure, selon Greenpeace, bien plus que les 1 722 bateaux entrés dans la zone du Patrimoine mondial en 2011. La capacité d'exportation du charbon du Queensland passerait ainsi de 257 millions de tonnes aujourd'hui à 944 tonnes en 2020, précise l'ONG.

Le risque, c'est bien sûr l'échouage de ces bateaux qui vont devoir naviguer entre les récifs et le déversement de substances toxiques ou de pétrole, comme ce fut le cas pour un navire chinois en avril 2010, au large de l'île Great Keppel.

Certaines espèces en danger, comme des tortues et dauphins, seraient par ailleurs menacées par l'industrialisation de masse de la côte.

Source : © Le Monde


mardi 21 février 2012
Un satellite de la NASA a fourni dernièrement des images spectaculaires d'une énorme «tempête» de courants sous marins, en forme de vortex .

Cette énorme masse tourbillonnante d'eau, qui mesure plus de 150 km de large, a été repéré au large de la côte de l'Afrique du Sud par le satellite Terra le 26 Décembre dernier.

Ces images spectaculaires de la Nasa, peuvent au premier abord inquiéter et pourtant aucune alerte pour le transport maritime international n' a été émise, il semble en fait que ce phénomène étrange ne représente aucun danger. Il est même probable que ce vortex de courants sous-marins soit plutôt une aubaine pour la vie maritime, les éléments nutritifs qu'il transporte après les avoir arraché au plancher océanique sont source de vie.

Source Daily mail


...Mouaip???...si si...vi vie...

lundi 19 décembre 2011
Pêche au cyanure et réchauffement des eaux: les coraux de la baie indonésienne de Pemuteran étaient condamnés, jusqu'à ce qu'une plongeuse sous-marine les branche sur du courant électrique. Aujourd'hui, le récif est florissant et la méthode est copiée de par le monde.

Le câble gainé de plastique noir s'enfonce sous le sable fin pour réapparaître sous les eaux turquoise du lagon. Reposant sur les fonds marins, il finit sa course une dizaine de mètres plus loin, branché à une armature métallique sous-marine où ont été fixés des "bébés coraux", hauts de quelques centimètres seulement.

La structure n'a été installée qu'il y a quelques mois mais déjà, les barres de fer sont recouvertes de calcaire, base essentielle pour la culture d'un récif corallien.

Non loin de là, une armature similaire est entièrement recouverte de coraux gigantesques aux couleurs chatoyantes, faisant le bonheur de centaines de poissons qui y ont installé leur nursery. On distingue à peine la cage métallique qui soutient l'ensemble et qui avait été immergée il y a onze ans.

"C'est extraordinaire, non ?", lance fièrement Rani Morrow-Wuigk, 60 ans. L'Australienne d'origine allemande a plongé pour la première fois en 1992 dans la baie de Pemuteran, dans le nord de l'île indonésienne de Bali, et avait été émerveillée par la beauté de ses coraux.

Mais à la fin des années 90, un réchauffement des eaux entraîne la quasi-disparition du récif, déjà mis à mal par la pêche au cyanure et à la dynamite. "Les coraux étaient pour ainsi dire morts. Ce n'était plus que du gravier et du sable", se souvient Rani.

La plongeuse rencontre alors l'architecte allemand Wolf Hilbertz qui lui parle d'une découverte qu'il avait faite au milieu des années 70. Le visionnaire avait mis au point un procédé permettant de littéralement "faire pousser" en mer des matériaux de construction: il immerge une structure métallique et la relie à un courant électrique de faible voltage, donc inoffensif, ce qui produit une électrolyse et provoque l'accumulation de calcaire, dans une sorte de maçonnerie spontanée.

Mais en testant son invention au large de la Louisiane, Wolf Hilbertz réalise que sa structure, au bout de quelques mois, est recouverte d'huîtres, qui ont colonisé le calcaire accumulé. Des expériences sont pratiquées et le même phénomène se confirme pour les coraux également.

"Les coraux grandissent deux à six fois plus rapidement. Nous arrivons à faire repousser des récifs en quelques années", explique à l'AFP Thomas J. Goreau, un Jamaïcain qui a breveté le procédé sous l'appellation "Biorock", avec M. Hilbertz, aujourd'hui décédé.

Dans cette découverte géniale, Rani a vu l'occasion de sauver "sa" baie. Dès l'an 2000, elle installe des structures, d'abord avec ses propres deniers puis avec l'aide de Taman Sari, un centre de villégiature situé en face des coraux. Il y a dorénavant soixante "cages" dans la baie de Pemuteran, s'étalant sur une surface de deux hectares. Non seulement le récif a été ressuscité, mais il est "encore mieux qu'auparavant", s'enthousiasme Rani.

La communauté locale elle aussi y a vu son intérêt. "Au début, les pêcheurs n'en voulaient pas: "C'est notre océan", disaient-ils", se souvient Komang Astika, instructeur de plongée. "Mais maintenant, ils voient que les poissons sont revenus et que le tourisme s'est développé", ajoute Komang, qui gère le centre Biorock installé à Pemuteran grâce à un programme de sponsorisation baptisé "Parrainez un bébé corail" et qui permet d'écrire son nom en fil de fer sur la structure métallique appelée à devenir un récif

Après le succès rencontré à Pemuteran, Biorock a essaimé dans une vingtaine de pays, dans le Pacifique, l'océan Indien, la Méditerranée...

C'est que le concept ressuscite non seulement les coraux mais il les rend également plus résistants, en particulier contre le blanchiment dû au réchauffement climatique. "Le taux de survie est entre 16 et 50 fois supérieur", explique Thomas Goreau.

A Pemuteran, Rani Morrow-Wuigk acquiesce: "La température de l'eau est montée à 34 degrés ces deux dernières années, contre 30 normalement. Seuls 2% des coraux sont morts. En 1998, ils avaient quasiment été tous tués".

Source © 2011 AFP


Pour Parrainer "un bébé corail" c'est ici


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vendredi 16 décembre 2011
Selon le Daily Mail, Sam Dobson, photographe russe âgé de 51 ans, a récemment capturé l'apparition d'arcs-en-ciel blancs au pôle Nord, lors d'une récente expédition.

Dobson a capturé le phénomène sur un brise-glace fonctionnant à l'énergie nucléaire. « Il était alors minuit, mais au pôle Nord, le soleil brillait toujours. Au début, cela ressemblait à des nuages. Mais en s'approchant, on voyait les arcs-en-ciel, de couleur blanche », raconte-t-il.

La merveille météorologique se forme par des brumes. Comme le diamètre d'une goutte d'eau est inférieur à 0,05 mm, l'arc apparaît blanc.


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