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mercredi 23 octobre 2013
La teneur des eaux souterraines en strontium-90 s'est multipliée par 12 environ à la centrale accidentée de Fukushima, rapporte son opérateur, Tokyo Electric Power (Tepco).

Selon Tepco, le niveau des matières radioactives dans les prélèvements de l'eau a dépassé 59 000 becquerels par litre. Le 21 octobre l'indice était de 5 000 becquerels. La norme pour les eaux écoulées dans l'océan étant de 10 becquerels par litre.

La montée en flèche du niveau de radioactivité tient aux averses qui tombent dans la région de la centrale depuis une semaine sans interruption.

Source © La Voix de la Russie 
mercredi 2 octobre 2013
Il y aura 10 à 11 milliards d'habitants sur la planète à la fin du siècle, selon les projections de l'Ined. 

La population mondiale atteindra 9,731 milliards d'habitants en 2050 contre 7,141 milliards aujourd'hui. C'est ce qui ressort de l'étude bisannuelle de l'Institut français d'études démographiques (Ined) publiée mercredi. 

Et d'ici la fin du XXIe siècle, il y aura entre 10 et 11 milliards de Terriens. Le cap des 6 milliards a été dépassé en 1999, et celui des 7 milliards en 2007, précise Le Monde.

A noter, la baisse du taux de fécondité mondial : il est passé de 5 enfants par femme en 1950 à 2,5 enfants en 2013. Mais il existe de fortes disparités selon les régions, notamment entre les deux extrêmes que sont le Niger (7,6 enfants par femme) et la Bosnie-Herzégovine (1,2). Avec un indice de fécondité de 1,6 enfant par femme, l'Europe continentale sera la seule zone à voir sa population diminuer : elle passera de 740 millions d'habitants en 2013 à 726 millions en 2050. 

L'Afrique représentera presque un quart de la population mondiale en 2050 avec 2,435 milliards de personnes. L'Amérique passera le cap du milliard d'habitants, et l'Asie en comptera 5,284 milliards. Le pays le plus peuple ne devrait plus être la Chine (1,314 milliard) mais l'Inde (1,65 milliard), selon les projections de l'Ined.

En 2050, l'Hexagone atteindra les 72 millions d'habitants en France métropolitaine, contre 63,9 aujourd'hui. La barre des 60 millions a été passée en 2004. 

Source Atlantico

Ajout N/A: 

...ben ça promet...il faut espérer qu'ils ne posséderont pas les matériaux génétiques contemporains de l'instant présent...surtout celui de détruire son propre habitat... CQFD...
mercredi 25 septembre 2013
Le périmètre de restriction ou d’interdiction des cultures, autour de Metaleurop, pourrait être étendu par l’État. Le projet de décret ferait ainsi passer de 300 à 700 ha les parcelles concernées, réparties dans dix communes du Nord et du Pas-de-Calais, dont quatre dans le Douaisis. Explications.

Fermée depuis plus de 10 ans, l’usine continue à faire parler d’elle.

La nouvelle est tombée au cœur de l’été, sous la forme d’un courrier signé par les deux préfets, adressé aux maires des communes concernées : Dourges, Évin-Malmaison, Courcelles-les-Lens, Noyelles-Godault, Leforest, pour le Pas-de-Calais, Auby, Flers-en-Escrebieux, Raimbeaucourt, Ostricourt et Roost-Warendin, pour le Nord.

Dans ce document, il est expliqué aux élus que, compte tenu des résultats des campagnes de mesures dans les sols et les végétaux de la zone Metaleurop, il est préconisé « d’étendre les zones de gestion des productions agricoles jusqu’au niveau de concentration dans les sols de 4ppm de cadmium, au lieu de 5 ppm de cadmium auparavant. » Conséquence directe : « Les surfaces concernées passent d’environ 300 ha à près de 700 ha, et le nombre d’exploitations agricoles de 20 à 36. »

Réglementation européenne

Par ailleurs, et pour se mettre en conformité avec la réglementation européenne, les représentants de l’État annonçaient leur intention de rendre obligatoires, par un décret, « les mesures de gestion adressées jusqu’à ce jour sous forme de recommandations aux exploitants situés dans la zone polluée par du cadmium ou du plomb autour du site de Metaleurop. » Un projet de texte proposant des mesures restrictives pour la culture et la mise sur le marché des produits agricoles, a ainsi été joint au courrier, afin de permettre aux élus de faire des remarques sur son contenu.

Sur le fond, le décret définit trois zones soumises à des mesures différenciées. 


  • Dans la zone 1 (la plus proche de Metaleurop, là où le taux de cadmium est le plus élevé), les cultures seraient interdites.



  • Dans une deuxième couronne, la culture des productions fourragères, le pâturage des animaux et la mise sur le marché des productions végétales destinées à l’alimentation humaine, y compris en vente directe, seraient interdits.



  • En zone 3, l’interdiction ne porterait plus que la vente des productions végétales destinées à l’alimentation humaine, les fourrages produits dans la zone pouvant être utilisés en autoconsommation, et le pâturage autorisé sous réserve du respect d’un certain nombre de bonnes pratiques…


Concrètement, dans cette dernière zone, dans laquelle sont situées les surfaces agricoles du Douaisis polluées par Metaleurop, les agriculteurs ne pourraient plus vendre leurs légumes, notamment les pommes de terre, qui constituent pour la plupart de ces petites exploitations une source importante de revenus.

« Les enjeux sanitaires rendent nécessaire le renforcement des mesures de gestion », peut-on lire dans le courrier interpréfectoral. Pour en savoir plus, les exploitants agricoles concernés devront patienter jusqu’à la tenue d’une réunion, théoriquement programmée dans le courant du mois, qui mettra autour de la table les maires, la chambre d’agriculture et les représentants de l’État.


Source © la voix du nord
jeudi 5 septembre 2013
La société chinoise CNPC a été suspendue pour violation des normes environnementales. Un énième épisode dans ses relations tumultueuses avec les autorités.

L'effet de surprise. C'est ce que recherchaient les inspecteurs du ministère de l'Énergie et du Pétrole en arrivant, ce 12 août, sur le site de Koudalwa (300 km au sud de N'Djamena), où la filiale tchadienne de China National Petroleum Corporation (CNPC, compagnie publique) a foré plus de 200 puits depuis 2009. "Nous avions des informations sur les méthodes des Chinois. Nous voulions les prendre sur le fait pour qu'ils n'aient pas le temps de dissimuler quoi que ce soit", explique-t-on au ministère.

Mission accomplie, et le constat est effarant. Sur le site, des milliers de litres de pétrole issus des tests de rendement des puits, qui devraient être récupérés, sont brûlés ou déversés sans protection dans des tranchées creusées à même le sol. Colère du ministre, Djerassem Le Bemadjiel : "Ils n'ont même pas de camion pour aspirer le brut déversé. Ils en mettent dans des trous et demandent aux employés tchadiens de le récupérer avec des gobelets. Dans quel pays avez-vous vu des pratiques pareilles ?"

Le 13 août, les autorités annonçaient la suspension des activités de la CNPC à Koudalwa pour "violation flagrante des normes environnementales". Dans la foulée, elles ont lancé un audit général. Dès le 15 août, les premiers inspecteurs du cabinet américain Alex Stewart International, spécialisé dans le secteur minier, ont atterri à N'Djamena. Ils étaient déjà en contact avec les Tchadiens pour une évaluation de l'ensemble des opérateurs présents sur le territoire. "L'incident n'a fait qu'accélérer leur déploiement", précise le ministre.

Est-ce la fin d'une époque, celle où les pétroliers clamaient leur souci de l'environnement sans se soucier de respecter les normes ? L'affirmer serait aller trop vite en besogne. Mais la société civile, d'ordinaire très critique face à l'inaction des autorités dans ce domaine, "salue le retour du gouvernement et l'encourage à aller de l'avant" par la voix du Groupe de recherches alternatives et de monitoring du projet pétrole Tchad-Cameroun (Gramp T-C).

Le bras de fer que N'Djamena vient d'entamer avec la compagnie chinoise n'est que la énième manche dans la longue série de négociations qui les ont opposés. Autour du brut de Koudalwa, mais aussi de la raffinerie de Djermaya (en périphérie de la capitale), coentreprise entre l'État tchadien et la CNPC - qui l'alimente à raison de 15 000 barils par jour.

Un pétrole "social" demandé par le gouvernement tchadien

Déjà, en juin 2011, l'inauguration de l'usine avait été retardée de plusieurs jours. À l'origine du blocage, un désaccord entre les deux associés sur le tarif des produits finis. Les autorités tchadiennes le voulaient bas, pour proposer un "pétrole social", alors que les Chinois souhaitaient vendre au prix du marché. Le gouvernement l'avait emporté. Mais selon la CNPC, les tarifs pratiqués ne permettaient pas d'amortir ses investissements. Quelques mois plus tard, l'entreprise était donc revenue à la charge. Le Premier ministre en personne s'était alors rendu à Djermaya pour fermer la raffinerie pendant quelques jours, en janvier 2012.

Mais le prix n'est pas la seule pomme de discorde. Augmentation de salaire des employés, ouverture des installations aux étudiants de l'Institut universitaire du pétrole de Mao... Autant de sources de tension. La bataille pour le respect des normes environnementales ne devrait donc pas être le dernier épisode des relations houleuses entre le gouvernement tchadien et son partenaire chinois.

Source © jeune_afrique






mardi 27 août 2013
Les producteurs de châtaignes ont lancé une souscription publique pour endiguer la progression du cynips qui menace les châtaigniers en Corse. L'argent récolté  doit servir à l'achat de Torymus sinensis, l'ennemi du dangereux parasite.

Le temps presse:  la parasite gagne chaque jour un peu plus de terrain comme dans le Boziu, l'un des endroits les plus touchés de l'île.


Dryocosmus kuriphilus, le cynips du châtaignier

Originaire de Chine, sa distribution ne cesse de s'étendre : introduit au Japon en 1941, il a ensuite été identifié en 1963 en Corée du Sud puis en 1974 dans le sud-est des Etats Unis et en 2002 en Italie (identifié dans la région de Cuneo au nord ouest de l'Italie dans le Piémont).

En 2005 sa présence est confirmée en Slovénie ; en 2006 en France (vallée de la Roya dans les Alpes Maritimes). En 2007 des galles ont été observées dans une pépinière sur des arbres importés en Haute-Garonne.
En 2009, celui-ci est identifié en Suisse (agglomération de Mendrisio dans le Tessin).

Présent dans une seule région italienne en 2002, le cynips était présent en 2008 dans le Piémont, la Ligurie, Toscane, Emilie-Romagne, Lombardie, Trentin Haut Adige, Vénétie, Latium, Abruzzes, Campanie et la Sardaigne (d'après les données du Creso de la région du Piémont).

La production de galles peut entraîner une baisse de 60 à 80% de la production fruitière, la mortalité des rameaux touchés, des branches et voire des arbres pour de très forts taux d'infestation.

Source :   Fédération Régionale de Défense contre les Organismes Nuisibles
La maladie des bandes rouges a été repérée pour la première fois dans une forêt suisse. Des pins sont touchés par cette infection sur une surface de deux hectares près de Thusis, dans les Grisons. Des milliers d'arbres devront être détruits, a indiqué lundi l'Office de la forêt du canton des Grisons.

Jusqu'à présent, la maladie des bandes rouges n'avait été aperçue que sur des pins dans des jardins, des parcs publics, des cours d'écoles et des cimetières. Le premier cas en Suisse a été signalé en 1989, selon l'Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage (WSL).

A Thusis, des arbres jeunes et petits sont touchés. Les premiers symptômes ont été repérés par des spécialistes du WSL. Cette infection, soumise à l'obligation d'annonce, provoque un brunissement des aiguilles et leur chute. Les arbres touchés meurent en quelques années, ont souligné les autorités grisonnes.

Les arbres infectés dans les Grisons sont proches de l'autoroute A13. Ils seront tous abattus et éliminés. L'opération a pour but d'empêcher que la maladie se propage.


Source: ats / 26.08.2013 





lundi 15 avril 2013
Des dauphins échoués aux crevettes sans yeux, les dégâts de la marée noire sont vastes dans le golfe du Mexique...

Plus de 650 dauphins échoués, 1.700 tortues mortes sur les plages de Floride et bien d’autres animaux englués ou étouffés: le bilan de l’explosion de la plateforme pétrolière Deepwater, évalué par un rapport de l’US National Wildlife Federation, dans le golfe du Mexique en avril 2010 est lourd. Trois ans après, les 4,9 millions de barils de brut déversés dans l’océan et les dispersants utilisés pour nettoyer la plaque de pétrole ont toujours des effets sur la faune et la flore aquatique, mais également sur la santé humaine.

Les recensements des scientifiques sont sans appel: depuis mai 2010, c’est une véritable hécatombe qui a lieu sur les plages de Floride. Encore ces derniers mois, les effets de la marée noire se sont fait sentir: en janvier et février derniers, on a compté six fois plus de bébés dauphins échoués sur les côtes américaines que la normale.  Depuis avril 2010, le nombre de dauphins échoué a été multiplié par quatre et celui des tortues par sept. Les scientifiques ont également noté que le corail, recouvert de pétrole sur les fonds marins, n’a pas pu se développer.
 

 Crevettes sans yeux et crabes sans pinces

La contamination des tout petits poissons par les produits chimiques et le pétrole a contaminé toute la chaîne alimentaire. Les thons ont ainsi vu leur population diminuer avec des naissances en baisse de 20%. Et lorsque le poisson s’intoxique, l’homme qui le mange aussi. Des hydrocarbures ont été retrouvés dans des poissons comestibles de la région et les crustacés ne font plus très envie: des crevettes sans yeux et des crabes sans pinces ont été retrouvés par l’université de Louisiane. Fin mars, un pêcheur de Floride attrapait un requin à deux têtes...

Si aucune preuve de lien entre la marée noire et ces déformations n’existe, les scientifiques restent vigilants. Les médecins également: un docteur de Louisiane a recensé 113 patients qui présentaient des troubles qu’il estime liés à l’exposition aux produits chimiques dispersés par la marée noire. Maux de tête, pertes de mémoire, fatigue, irritabilité, vertiges, nausées…  Les habitants de Louisiane risquent néanmoins de se souvenir longtemps de cette marée noire, alors que le procès civil du géant pétrolier BP a commencé fin février à La Nouvelle-Orléans, avec en jeu une amende maximum de 17 milliards de dollars pour «faute lourde».
 


Source © Audrey Chauvet / 20minutes.fr


mardi 22 janvier 2013
De nombreuses marées rouges (invasion d'algues rouges) ont été signalées ces derniers jours le long de la Siesta Key, depuis Turtle Beach jusqu'à la plage Midnight Pass Blind Pass en Floride. 

De nombreuses mortalités de poissons et des difficultés respiratoires ont également été signalés à Holmes Beach mais aussi tout le long de la cote jusqu'à la pointe de l'île d'Anna Maria.

Cette marrée rouge devrait s'attarder encore une journée et se déplacer ensuite plus au sud, a déclaré Jason Lenes, chercheur au Centre pour la prédiction des marées rouges à l'Université de Floride du Sud.

Samedi ou dimanche, cette marrée rouge devrait se déplacer vers le sud, pour se retrouver le long des côtes de Sarasota et les comtés de Charlotte, Lenes puis éventuellement vers l'ouest dans le golfe.

Les marées rouges sont causées par les algues unicellulaires appelés Karenia brevis. Les algues sont naturellement présents à des niveaux très faibles, généralement à environ 30 miles au large des côtes. Au cours de l'automne, les courants océaniques déplacent ces bancs d'algues toxiques  vers la côte. Des lors si les conditions sont bonnes, les cellules des algues prolifèrent à trés grande vitesse en rendant par cette efflorescence les eaux totalement toxiques.

© Nature Alerte/Herald Tribune.
mercredi 28 novembre 2012
Le 22 Février 2012, la société Shell annonçait la fuite de 846 tonnes de kérosène dans sa raffinerie "Shell Rheinland Werk Cologne Godorf" à Cologne en Allemagne.

Sans en dire plus la société Shell expliquait à la presse Allemande que cette fuite provenait de la rupture d'une conduite souterraine entre l'usine et un dépôt de carburant de la raffinerie.


Un premier rapport d’enquête rendu public en Avril dernier précisait que la défaillance d'une alarme de surveillance en était à l'origine  et qu'il a fallu quatre semaines aux techniciens de maintenance pour découvrir la fuite.

Depuis un dernier rapport rendu public ces derniers jours, révèle que cette fuite a créé un véritable lac souterrain d'un million de litres de kérosène  qui flotte désormais sur la nappe phréatique des eaux souterraines. Une contamination extrêmement toxique qui selon un expert, prendra des décennies à être traiter.

Mais le plus grave c'est qu'à ce jour,Shell n'est toujours pas en mesure de quantifier la quantité exacte de kérosène déversé et l'ampleur exacte des dégâts dans le lac souterrain .


A la mi Octobre, 20 puits de surveillance des eaux souterraines ont été installés pour tenter de cartographier l'étendue du déversement dans la nappe. Dans douze de ces points de mesure, du kérosène a été détectée.

Actuellement Shell continue de pomper l'eau contaminée de la nappe phréatique, mais ce qui est décrit par la presse Allemande comme  "une véritable mer de kérosène" ne cesse d'augmenter de volume.

Plus grave encore, on sait qu'une inondation dans la région augmenterait la possibilité que cette pollution se déverse dans le Rhin.


Le kérosène est un mélange hautement toxique,  il est pratiquement insoluble dans l'eau et a une densité plus faible, de sorte qu'il se dépose à la surface de l'eau. il est classé comme dangereux pour l'environnement.

Non dilué il irrite la peau a un contact direct. Son ingestion provoque des vomissements et des diarrhée, endommage les poumons, les reins et le système nerveux, et peut entraîner la mort. Il est toxique pour les organismes aquatiques et provoque des dommages à long terme si il se déverse dans un plan d'eau.


© Nature Alerte
lundi 5 novembre 2012
Des déchets amiantés provenant de la démolition de bâtiments parisiens étaient enfouis illégalement dans le Vexin et le pays de Bray. Les dirigeants de la société ont été mis en examen.
 

 C’est dans un corps de ferme que la SARL Minore avait élu domicile.

Des tonnes de déchets amiantés provenant d’Ile-de-France, et notamment de la faculté de Nanterre, ont été enfouies en toute illégalité dans le sol du département de l’Oise. Voilà ce qu’ont découvert les enquêteurs de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp).


Le Vexin, poubelle de la région parisienne

Après trois longues années d’investigations, trois hommes sont aujourd’hui dans le viseur de la justice.

Parmi eux, deux anciens dirigeants de la SARL Minore, ancienne société basée à Bouconvillers, spécialisée dans la dépollution et la gestion des déchets. Ils ont été mis en examen par un juge d’instruction parisien pour « mise en danger délibérée de la vie d’autrui, abandon de déchets dans des conditions de nature à produire des effets nocifs, à dégrader les sites et les paysages, à polluer l’air et les eaux et à porter atteinte à la santé de l’homme et à l’environnement ». Ils sont également mis en cause pour élimination de déchets sans agrément et exploitation d’une installation classée sans autorisation.

Clairement, ces trois personnes sont soupçonnées d’avoir planifié et organisé l’enfouissement et le stockage clandestins de déchets dangereux composés d’amiante et de plomb. Le tout sur quatre sites, dont deux situés dans l’Oise : un corps de ferme de Bouconvillers et un terrain de chasse du Coudray-Saint-Germer. Tôles en Fibrociment, plaques d’amiante ou encore colles amiantées… tous les déchets ou presque proviendraient de travaux de déconstruction, de curage et de démolition effectués en région parisienne. « Il y a eu le chantier de l’université de Nanterre en 2007, où des centaines de chambres ont été désamiantées. Puis un curage d’immeuble à Argenteuil, dans le Val-d’Oise, ou encore le retrait de plaques d’amiante dans un ensemble de Saint-Cyr-l’Ecole, dans les Yvelines », énumère une source proche du dossier.

Le procès devrait s’ouvrir dans les prochains mois

D’autres déchets dangereux proviendraient même de travaux effectués dans le célèbre cabaret parisien le Lido ou encore à la base aérienne militaire de Vélizy-Villacoublay (Yvelines). Des plaques de fibro cassé et du plomb issus des chantiers de la caserne Convention (Paris XVe) et du lycée Bretonnière auraient également été enterrés sur les sites de Bouconvillers et de Persan (Val-d’Oise).

A Bouconvillers, petite commune du Vexin où la SARL Minore avait élu domicile, l’affaire ne surprend personne. Plusieurs riverains se souviennent en effet des « drôles de méthodes » de l’entreprise et de sa volonté manifeste de dissimuler ses activités. Ainsi, le miroir installé à l’intérieur du corps de ferme par l’ancien occupant des lieux pour sortir ses engins en toute sécurité avait été recouvert de ruban adhésif. Même chose pour le portail, recouvert de plaques de métal.

Plusieurs témoins relatent aussi la construction d’une cheminée en ferraille. Ces mêmes témoins affirment que, la nuit, « des matériaux brûlaient dans cet incinérateur de fortune », provoquant des fumées noires ainsi que « des odeurs bizarres ».

Le procès des trois mis en examen devrait s’ouvrir dans les prochains mois devant le tribunal correctionnel de Paris. Le Roso (Regroupement des organismes de sauvegarde de l’Oise) et France Nature Environnement se sont constitués partie civile.



Source @ Le Parisien


lundi 15 octobre 2012
Depuis 10 ans, un groupe d'agriculteurs de la Province du Zhejiang, dans l'Est de la Chine, lutte contre une usine de produits textiles locale, affirmant que la pollution qu'elle émet empoisonne l'eau et est nuisible pour les habitants.

Mais toutes leurs requêtes et plaintes déposées devant les autorités locales chargées de l'environnement n'ont pas, jusqu'à aujourd'hui, réussi à trouver une solution à leur problème.

Mme Hu, une agricultrice locale, dit qu'elle se sentait impuissante, jusqu'à ce qu'un récent rapport d'une ONG ait révélé la semaine dernière que l'usine produisait des textiles pour des sociétés de renom, comme Marks & Spencer et Levi's. Le rapport a constaté que certaines marques ont fait preuve de laxisme dans la gestion du contrôle de la pollution dans leurs chaînes d'approvisionnement en Chine. Les habitants du village de Tangtou, à Shaoxing, placent leurs derniers espoirs dans ce rapport, intitulé « Nettoyage de l'industrie de la mode ».

Les exportations textiles chinoises font face à une période difficile. Leurs ventes dans le monde ont peu progressé, ou même ont baissé. Mais même ainsi, la Chine est encore le fabricant et le fournisseur le plus important du monde dans le domaine du textile. Il s'agit d'un processus intensif. Certaines étapes de transformation des matières premières comme le coton brut en tissu, telles que la teinture, ont besoin de grandes quantités d'eau et d'énergie, et l'absence de réglementation adéquate peut conduire à une grave pollution.

« Les usines de produits textiles émettent des fumées nauséabondes tous les jours, et parfois elles déchargent leurs déchets dans la rivière », a déclaré Mme Hu, mère d'un bébé de 14 mois. La maison de Mme Hu est située à moins de 50 mètres de l'usine, qui se trouve de l'autre côté de la rivière, en face de sa maison.

« Les enfants ont des saignements nez, des étourdissements et ils toussent lorsque les odeurs nocives se diffusent. Nous ne buvons jamais l'eau de la rivière, et on ne l'utilise même pas pour faire pousser des légumes. Chez plusieurs villageois, un cancer du poumon a été diagnostiqué depuis que l'usine a été ouverte en 2003 », a-t-elle déclaré au Global Times. Quelque 30 ménages ont subi le pire de la pollution, et certaines personnes ont été frappées quand elles ont essayé d'approcher l'usine pour essayer de discuter, a-t-elle ajouté.


« Les grandes marques et grands détaillants internationaux ont déplacé leurs commandes hors de la Chine ces dernières années. Nous constatons que de plus en plus de vêtements que l'on trouve dans les centres commerciaux américains et européens portent des étiquettes indiquant qu'ils sont fabriqués en Asie du Sud-Est, en Asie du Sud et même en Afrique. Cependant, la diminution des exportations chinoises de textiles concerne principalement le secteur de la transformation des vêtements », a déclaré Ma Jun, Directeur de l'Institut des Affaires Publiques et Environnementales (Institute of Public and Environmental Affairs, IPE), qui a publié le rapport sur l'industrie textile en collaboration avec quatre autres ONG.

Les exportations globales de produits textiles sont restées stables de janvier à juillet de cette année par rapport à la même période de l'an dernier, et elles ont diminué en août, a déclaré le 10 octobre, lors d'une conférence, Xia Lingmin, Directeur adjoint du Conseil National Chinois du Textile et de l’Habillement (China National Textile and Apparel Council, CNTAC). Les difficultés économiques mondiales, un marché en baisse en Chine et l'augmentation des coûts de main-d'œuvre et de l'énergie constituent des défis pour l'industrie textile de la Chine, a-t-il dit. Mais alors même que l'ensemble du secteur fait face à des problèmes, la valeur des exportations chinoises de produits textiles imprimés et teints chinois ont bondi de 31% en 2012 par rapport à l'année précédente, selon le CNTAC.

« Du fait d’une application laxiste des règlements et du faible coût des intrants comme l'eau, les entreprises textiles ne se donnent toujours pas la peine de mettre en œuvre des méthodes de production plus écologiques, et ne se conforment même pas aux lois et règlements sur l’environnement », selon Ma Jun.

L'industrie textile figure au quatrième rang de la DCO (demande chimique en oxygène) d’émissions d’eaux usées sur les 39 industries majeures de la Chine, selon l'Annuaire Statistique de l'Environnement en Chine pour 2010.

Plus de 40 grandes marques de vêtements internationales, comme H&M, Nike, Marks & Spencer et Disney, se sont rendues coupables de gestion laxiste de l'environnement sur leurs chaînes d'approvisionnement en Chine, selon le rapport de l'ONG. De nombreuses sociétés de renom ont des fabricants et des fournisseurs de textiles en Chine, mais seules quelques-unes ont fait un bon travail sur le contrôle de la pollution dans leurs usines textiles chinoises, qui sont principalement situées dans des endroits comme les provinces du Zhejiang et du Guangdong, selon le rapport.

La société Zhejiang Qingmao Textile Printing and Dyeing Company, qui a été mentionnée dans le rapport comme étant l'un des fournisseurs de produits textiles pour des marques comme Marks & Spencer, se serait rendu coupable de pollution du village de Tangtou à Shaoxing, où Mme Hu et ses enfants vivent. Bien que les défenseurs de l’environnement aient effectué plusieurs visites et aient essayé de communiquer avec Marks & Spencer, le plus grand groupe de distribution britannique, les ONG n'ont pas pu obtenir une réponse positive concernant les solutions possibles, selon le rapport.

« L'entreprise nous dit que ses émissions polluantes restent dans la fourchette standard. Les responsables locaux de l'environnement ont aussi visité l'usine, mais nous n'avons pas constaté de changements positifs », a déclaré Mme Hu.

Wei Zhiguo, Directeur de la société Zhejiang Qingmao, a déclaré au National Business Daily qu'ils ont procédé au traitement des eaux usées et que les émissions dans l’atmosphère ont été maîtrisées.

Beaucoup d'entreprises sont soucieuses des problèmes environnementaux dans le cadre de la production de vêtements, mais la première étape de l'impression textile et de la teinture est souvent négligée, selon le rapport. Les entreprises de teinture et de finition abaissent les normes environnementales pour remporter des commandes, a-t- il dit, et certaines entreprises choisissent des moyens de traitement des textiles moins chers mais polluants afin que leurs coûts soient plus compétitifs sur le marché.
 

« Je suis heureux que les organisations environnementales aient fait des efforts en matière de protection de l'environnement, mais il y a une partie du rapport qui n'est pas nécessairement scientifique et objective », a déclaré au journal China Textile News, un journal de l’industrie, Li Jinbao, directeur de l’Association Chinoise de la Teinture et l’Impression, après que l’ONG ait publié son premier rapport sur l’industrie textile en avril.

M. Li affirme que les données contenues dans le rapport ne sont pas à jour, de même que le rapport ne reflète pas les vrais problèmes et la situation réelle de l'industrie textile chinoise quant à son développement à grande échelle et aux exigences du marché, à l'allocation des ressources et à la distribution. Seul un petit nombre d'entreprises textiles violent la réglementation et l'industrie s'améliore dans les domaines de la technologie et de la réduction des émissions de pollution, a-t-il dit.

« Nous pouvons avoir des opinions différentes sur certaines questions, mais après tout nous faisons des efforts dans la même direction », a déclaré Ma Jun, ajoutant que certaines entreprises ont répondu aux demandes de l'ONG concernant le contrôle de la pollution. Des marques comme H&M, Nike, Burberry et Gap ont mis en place un système régulier dans lequel ils publient des données concernant la pollution dans leur chaîne d'approvisionnement, et Adidas, Nike, Levi‘s et H&M ont commencé à étendre leur contrôle vers le bas sur les fournisseurs de teinture et de finition, selon le rapport.


Quelque 22 marques, dont Marks & Spencer, Disney, JC Penney, Polo Ralph Lauren et Tommy Hilfiger, ont en revanche soit ignoré les demandes des ONG, soit décidé de ne pas répondre au problème d'une manière satisfaisante, selon le rapport.


Zhu Peng, un étudiant de Beijing, a déclaré que ses amis et lui ont l'intention de soumettre une pétition à Marks & Spencer après avoir recueilli des signatures auprès des étudiants à Beijing et à Shanghai, dans le but d’attirer davantage l'attention du public sur les problèmes environnementaux dans l'industrie textile.

H&M a dit qu'elle répondrait à la fin du mois. Marks & Spencer n'a de son côté pas répondu à un courriel envoyé dimanche, même si un accusé de réception informatique a montré qu'il avait été ouvert. Une responsable de la communication de Zara a pour sa part dit au Global Times dimanche qu'elle transmettrait la demande d'entretien à son équipe du siège social en Espagne.


Source: © le Quotidien du Peuple
jeudi 6 septembre 2012
La mine de zinc d'Atacocha serait à l'origine du déversement de métaux lourds dans la rivière Huallaga au Pérou selon une annonce du ministère de l'Agriculture du 1er septembre.

Cette rivière qui se jette dans l'Amazone est contaminée sur sept kilomètres. L'Autorité nationale de l'eau, organisme lié au ministère de l'Agriculture, est actuellement sur place pour évaluer les dégâts suite à une demande des habitants de la région.

La mine fait partie du consortium Milpo qui rassemble cinq exploitations minières et dont l'actionnaire majoritaire est le brésilien Votorantim, troisième producteur mondial de zinc. En 2011, le gouvernement avait demandé à la direction d'éliminer les métaux tels que le mercure, le cadmium, le fer et le plomb des eaux usées de la mine afin de ne déverser que des eaux traitées dans le fleuve.

mercredi 5 septembre 2012
 Les produits chimiques sont à l'origine de 4,9 millions de morts par an, ont indiqué mercredi le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Cela représente 8,3% du total des décès dans le monde.

"Les produits chimiques sont de plus en plus présents dans notre vie quotidienne et ils ont un coût élevé pour la santé et pour l'environnement", a déclaré à Genève Sylvie Lemmet, directrice de la division technologie, industrie et économie au PNUE, en présentant pour la première fois un rapport d'évaluation globale sur l'impact des produits chimiques.

Au moins 143'000 produits chimiques sont recensés. Ils ont été à l'origine de 4,9 millions de morts en 2011, a indiqué la directrice du département santé publique et environnement de l'OMS Maria Neira.

"Ces décès ne sont que le sommet de l'iceberg. Ils pourraient être évités par une gestion plus saine", a déclaré le docteur Neira.

Comparativement, le sida fait deux millions de morts par an, les accidents de la route 1,2 million de morts.

Selon l'OMS, sur les 4,9 millions de décès, 2 millions sont provoqués par l'utilisation de combustibles à l'intérieur des maisons, 1,2 million par la pollution de l'air, 600'000 par le tabagisme passif. Les produits carcinogènes, les empoisonnements et pesticides sur les lieux de travail provoquent 964'000 décès par an.

 

La production de l'industrie chimique est passée de 171 milliards de dollars par an en 1970 à 4120 milliards en 2010. La production se développe en particulier dans les pays émergents, où les précautions prises sont beaucoup moins grandes et les normes moins strictes que dans les pays industrialisés.

En Afrique subsaharienne, le coût accumulé des empoisonnements causés par les pesticides est estimé à 6,9 milliards de dollars par an, soit l'équivalent de l'aide au développement.

Rien que dans la production des biens électroniques, plus de 500 produits chimiques sont utilisés. Le PNUE avertit en outre que sur les quelque 140'000 produits chimiques commercialisés aujourd'hui, seule une fraction a été réellement évaluée afin de déterminer leurs effets sur la santé et l'environnement.



Source © ats


vendredi 20 juillet 2012
A Albuquerque dans l'état du Nouveau Mexique aux états unis, les écologistes l'appellent "la plus grande menace de pollution aux hydrocarbures jamais connue dans l'histoire de l'homme d'un approvisionnement en eau potable d'une grande ville au monde".

C'est en 1999 qu'elle a été découverte lors d'un survol de routine par l'US air force de la base de l'un ces anciens lieu de stockage de carburant qui remontait aux années 1950. A l'époque la découverte d'une large nappe de pétrole en surface ne laissait pas supposer le pire.

Pourtant la fuite d'un pipeline enterré sous des dizaines de mètres de terre, a laissé s'échapper pendant plus de 40 Ans dans les sols environnants une quantité phénoménale d'hydrocarbures qui contenaient du benzène et d'autres produits nocifs pouvant déclencher des cancers.  C'est en 2000 en analysant la présence de toxines anciennes dans ces produits contenus dans les sols que les scientifiques ont démontré que la fuite remontait au moins aux années 1970.

D'abord estimée à 100 000 Gallons (380 000 litres) par les autorités militaires en 2000, la fuite s’avère beaucoup importante que prévue. Devenue 8 millions de gallons au début de l'année 2012, une dernière étude du printemps dernier, rendue publique par le géologue d'état qui surveille la catastrophe de près, estime aujourd'hui que cette fuite a laissé en fait s'échapper le chiffre impressionnant de 24 Millions de Gallons, soit environ 90 Millions de litres d'hydrocarbures dans les sous sols de la région de la ville D'Alburquerque.

En 2007, le carburant a été retrouvé 500 mètres plus bas dans la nappe aquifère qui fournit la moitié de la ville d'Albuquerque ( plus de 500 000 habitants) en eau potable.


Un nouveau rapport de l'Armée de l'Air indique que la hausse des niveaux des eaux souterraines en début d'année, risque fort de voir s'aggraver le problème; En effet le drainage des eaux risque d'entrainer plus rapidement la pollution des sols dans la nappe phréatique.

Les autorités militaires et d'état ont d'abord tenté de minimiser ces estimations, avant de reconnaitre que bien que ce ne soit pas un chiffre officiel, il y a effectivement un risque de voir la nappe de pollution prise dans les sols atteindre les deux puits d'eau principaux du domaine de Ridgecrest qui est situé a environs 3,5 kms du point de fuite initiale.

Personne ne sait réellement se qui va se passer estime Jim Davis responsable du plan de nettoyage de la NMED nommé par L'US Environmental Protection Agency pour superviser les opérations de dépollution.

De plus ces opérations de pompages en cours, risquent de détourner la diffusion de la nappe d'hydrocarbure prise dans une épaisseur de plus de 600 de profondeur sous terre, et de l'orienter vers les 100 autres puits où une autre partie de la ville puise son eau.

C'est exactement ce genre de questions et d'incertitudes que nous nous devons d'affronter, et qui font percevoir à la population une impression de lenteur des services de dépollution, et ça leur devient insupportable.

Tout le monde est très inquiet, mais le responsable de US air force met l'accent sur les 50 millions de dollars qui ont déjà été engagé dans cette opération de dépollution, et sur le fait que les plus grands spécialistes du monde entier en la matière sont sur le qui vive dans cette affaire.
Quatre petites unités de pompage des sols sont actuellement en action, et ce depuis 2004, prés du point initial de la fuite. Elles n'ont extrait jusqu'ici que 400 000 gallons (1 500 000 litres) d'hydrocarbure des sols pollués, en revanche deux autres unités beaucoup plus performantes, 10 fois les capacités des anciennes pompes, vont être mise en œuvre avant la fin de l'année promet l'armée. Deux autres technologies sont aussi à l'étude pour aspirer et brûler les contaminant qui ont été pris au piège sous les couches géologiques de la nappe phréatique.

Derrière ces mots qui se veulent rassurant, tout le monde sait ici qu'aucune opération de dépollution de sol d'une telle envergure n'a jamais été déployé dans le monde . En revanche, Bruce Thomson directeur du programme des ressources en eaux du Nouveau Mexique, explique que des opérations de dépollution de petites envergures et à grande profondeur terrestre ont déjà été déployé pour des contaminants différents.

Bien que cette pollution soit une menace réelle pour la ville d'Albuquerque,  Mr Thomson croit encore possible la dépollution des terrains, et affirme que les quantités de polluant qui viendraient à possiblement s’infiltrer dans  la nappe phréatique seraient si minimes que cela laisserai du temps pour trouver d'autres solution pour y répondre.

Néanmoins il critique avec force l'indétermination des autorités militaires dans cette affaire, la lenteur de leur réaction à pouvoir révéler l'importance de la dimension de cette nappe de pollution nous a fait perdre un temps précieux.

 
Avant de vouloir redéployer un nouveau plan d'action, ils auraient dû agir des années auparavant. Aujourd'hui cette pollution s'enfonce toujours plus profondément dans les sols, et ils feintent de découvrir, qu'aujourd'hui avec stupeur, que la situation est pire qu'il ne l'avait prévue, c'est incroyable.

© Nature alerte d’après une dépêche de l'Associated Press écrite par Susan Montoya Bryan

à lire en anglais ici


...M'enfin... 40 ans de fuite...d'HYDROCARBURES DANS LES SOLS...C'est les ancêtres des plaisirs  mobiles qui doivent être content...

...Peuples guerriers pour l'acquisition sans foi ni loi de ce même pétrole... vos fous butins, déracinent déjà nos consciences,... mais  que 90 millions de litres...en fuite sur vos terres...par cette même armée dont l'objet premier est justement de se l’accaparer...et qui risquent de polluer les nappes phréatiques de vos propres villes...je ne sais quelle incompréhension branle mes sens...écœuré, mouaih, faible...minable, bof...morbide,nul...crétin, inutile...désastreux, encore plus inutile,...Juger un tel esprit prendrait 90 millions d'années de silence rien qu'en réflexion sans aucune issue...je lorgne et je ne vois rien....les hommes ont disparu....



samedi 7 juillet 2012
17 860 litres d’acide déversés accidentellement sur le site de forage de Bradford


Mercredi dernier à eu lieu un nouvel accident sur un site de forage au nord est de la Pennsylvanie. 17 860 litres d’acide chlorhydrique ont étés renversés à Leroy Township, le site de forage du compté de Bradford étant exploité par Chief Oil and Gas.


Le déversement survient deux semaines après qu’un geyser de méthane d’une hauteur de 30 pieds est entré en éruption près d’un puits ” Shell” de gaz naturel dans une commune proche, le conté de Tioga


Déjà, en 2011, la ville de Leroy ou Chesa­peake Energy exploitait un puits avait subi un jaillissement de 38 000 litres de fluides de fracturation.


Le département de la protection de l’environnement met en cause un problème de valve. “L’acide à ouvert une brèche et à coulé hors de la garniture de protection”, à indiqué par mail le porte parole du DEP, Dan Spadoni.


” Un peu d’acide à été récupéré dans un bassin de sédimentation, alors que le reste s’est écoulé dans un champs puis s’est déversé dans un petit affluent au ruisseau Towanda provoquant quelques décès (mineurs) de poissons.

Des barrages ont étés érigés dans l’affluent avant que l’acide n’ait atteint le ruisseau Towanda.



Dans un rapport, le porte parole en chef Kristi Git­tins à indiqué que la majorité de l’acide est resté dans la garniture de protection. Elle à estimé qu’environ 3 040 litres se seraient échappés au delà du site de forage.

Le chef des pompiers qui était intervenu sur le nettoyage du geyser de méthane de Shell indique que la fuite est désormais sous contrôle.





Source © et traduction No Fracking France




...ou encore...


Une personne a été tué deux autres ont été blessés dans un accident sur un site de forage de gaz de schiste dans l'Est du Texas . 

Selon un communiqué de presse du bureau du shérif du comté de Nacogdoches, l'accident s'est produit vers 8 heures jeudi matin près Chireno, à environ 250 kilomètres au sud-est de Dallas. Les ouvriers ont témoigné que la rupture d'un bouchon d'une conduite d'eau à très haute pression a fauché trois de leur collégues sur son passage. Jérémie Keith Neeley a été tué sur le coup, les deux autres hommes ont été transporté à l’hôpital le plus proche, l'un est toujours hospitalisé..




...ou encore cette affaire qui reste toujours sans réponse des anciens exploitants du site face aux plaintes des résidents...



.etc...etc...etc...
mardi 3 juillet 2012
Hier le ministère de l'environnement du Japon a publié les résultats d'une étude menée entre Décembre 2011 et février 2012 sur les cours d'eau, rivières et lacs, ainsi que sur 8 points de la zone cotière de la région de Fukushima. Cette étude a constaté des niveaux élevés de césium dans les poissons de la région.

Les plus importants, 2600 becquerels par kilogramme ont été trouvé dans un gobie, petit poisson d'eau douce, prélevé dans une rivière qui passe par le village de Iitate vers Minamisoma City, au nord de centrale de Fukushima.

Des taux importants, de 330 à 670 becquerels par kilogramme, ont aussi été relevés sur des insectes d'eaux qui se nourrissent de poissons morts.

Vers Iwaki City au sud de la centrale, les poissons marins affichaient des taux compris entre 200 et 260 becquerels par kilogramme.

Le ministère a confirmé que ces taux étaient important, et souligne qu'il restera longtemps vigilant tout en continuant de prélever régulièrement des échantillons d'eau et de poissons afin de prévenir la population sur l'évolution de la situation dans le temps.


© Nature Alerte
Le Mexique a déclenché lundi l'état d'urgence de santé animale sur tout le territoire en raison d'une épidémie de grippe aviaire hautement pathogène qui a touché 1,7 million de volailles, dont 870.000 sont mortes ou ont été abattues.
 

C'est ce qu'a indiqué le ministère de l'Agriculture.
 

 "Le dispositif national d'état d'urgence de santé animale est activé (...) dans l'objectif de diagnostiquer, prévenir, contrôler et éradiquer le virus de la grippe aviaire de type A, sous-type H7N3", selon un bulletin du ministère paru au Journal officiel.
 

La présence du virus a été détectée le 20 juin. Celui-ci est transmissible "par le contact direct ou indirect entre animaux, produits ou sous-produits (...) infectés", est-il précisé.
 

Vendredi, l'Organisation mondiale des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a confirmé cette épidémie au Mexique et rapporté que 1,7 million de volailles avaient été contaminées, dont 870.000 sont mortes, dans 10 élevages de l'Etat de Jalisco (ouest).
 

Les dispositions annoncées lundi comprennent notamment des mesures de quarantaine, d'abattage, de vaccination et de destruction des produits infectés.
 

Source AFP


...En chine... 

Les autorités de la région autonome du Xinjiang (nord-ouest) ont abattu plus de 150.000 poulets à la suite d'une épidémie de grippe aviaire, a annoncé le ministère chinois de l'Agriculture.

L'épidémie de grippe de souche virale H5N1 avait provoqué la mort de 1.600 poulets et en avait contaminé 5.500 autres, a précisé le ministère dans un communiqué lundi soir.

Les autres volailles ont été abattues pour éviter une contamination à grande échelle.

L'épidémie était connue depuis le 20 juin, mais il a fallu attendre lundi la publication de résultats d'analyses pour confirmer qu'il s'agissait bien du virus H5N1.

La Chine est considérée comme étant l'un des pays les plus menacés par la grippe aviaire parce qu'elle possède la plus grande population mondiale de volailles et que de nombreux animaux vivent en étroit contact avec les humains dans ses régions rurales.

Début juin, un bébé de deux ans vivant dans la province du Guangdong (sud) a été diagnostiqué comme ayant contracté la grippe aviaire à Hong Kong, où il a été hospitalisé.

Le virus H5N1 est mortel pour l'homme dans 60% des cas.

La Chine avait annoncé fin décembre son premier décès dû à la grippe aviaire en 18 mois, puis un deuxième cas mortel en janvier. L'Indonésie a annoncé sept décès depuis le début de l'année, le Cambodge trois et le Vietnam deux.

La maladie a fait plus de 350 morts dans le monde depuis 2003, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Le virus H5N1 se transmet de l'animal à l'homme, mais les scientifiques craignent qu'une mutation ne permette des contaminations d'homme à homme, ce qui pourrait déclencher une pandémie.


Source ©AFP



samedi 30 juin 2012
C’est ce que révèle un article du Monde en date du 26 Juin qui dévoile une étude menée par les bureaux d’expertise Artelia en métropole et Pae Tai Pae Uta sur le fenua.


Des pollutions qui seraient les résultats du passage des armées sur l’atoll, alors base avancée du CEA. Cette étude publiée par le ministère de la défense annonce une pollution très inquiétante aux métaux lourds, et aux PCB, un produit cancérigène contenu dans les batteries de voitures. Ces produits hautement toxiques pour l’homme ont été retrouvés à des taux dépassant les normes européennes dans les noix de coco et les poissons.

Le document remis au ministère de la défense conseille de ne pas pratiquer « la pêche ou le ramassage de denrées alimentaires aux abords des zones polluées », préconisant également « la non-consommation des foies de poissons » et des pahua (bénitiers). 

Les services administratifs doivent se rencontrer jeudi 28 juin pour évaluer la situation et tenter de trouver des solutions pour les 1 500 habitants de Hao.  

Rappelons également que l’atoll de Hao fait l’objet actuellement d’un accord d’exploitation en cours avec la Chine pour l’exploitation et le développement des ressources marines et piscicoles.


Écoutez François Danzer, habitant de Hao depuis 38 ans, il tient une pension de famille sur l’ile de harpe...

Lire


Source Radio 1
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Selon le FAO  une maladie virulente du bétail fait des ravages en RDC

L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) mobilise une aide d'urgence en faveur de la République démocratique du Congo (RDC) afin d'y enrayer la propagation rapide de la peste des petits ruminants (PPR), une maladie virulente qui s'attaque aux caprins et aux ovins.


« Il s'agit de la plus grave épidémie de bétail que connaît le pays depuis plus de 10 ans », a déclaré le Représentant de la FAO en RDC, Ndiaga Gueye.

La maladie menace non seulement la sécurité alimentaire du pays, mais pourrait également se diffuser à ceux d'Afrique australe qui n'ont jamais été en contact avec le fléau.
Selon la Direction nationale de la production et de la santé animales de la RDC, la peste des petits ruminants a contaminé des dizaines de milliers de chèvres, plus de 75.000 ayant déjà péri des suites de la maladie.

Le gouvernement estime qu'un million de chèvres et 600.000 moutons de plus risquent de contracter la PPR, ce qui représente un quart du cheptel caprin et deux tiers du cheptel ovin de tout le pays. Ces animaux sont généralement élevés par les agriculteurs les plus pauvres, qui ne peuvent se permettre de perdre un de leurs seuls moyens d'existence.

« Nous constatons que face à la menace, les éleveurs déplacent leurs animaux loin des villages infectés vers des zones où aucun foyer n'a été signalé jusqu'ici, ce qui facilite la contamination de troupeaux sains », a relevé M. Gueye.

Une récente mission détachée d'urgence par le Centre de gestion des crises - Santé animale, administré conjointement par la FAO et l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE), a notifié que les foyers actuels sont particulièrement mortels, avec un taux de mortalité de 86% chez les chèvres.

La FAO a donc décidé de lancer un projet d'urgence de la FAO, qui financera la vaccination d'un demi-million d'ovins et de caprins dans les zones non encore touchées, les limitations des mouvements des animaux, en les empêchant de se déplacer vers les zones de pâturage communales et en suspendant temporairement la vente et le transport des animaux.

Dans le cadre de ce projet, la FAO sensibilisera la population locale par le biais de la radio rurale et de réunions villageoises afin d'éduquer les agriculteurs aux mesures qu'ils peuvent prendre pour conjurer la maladie. L'Organisation s'emploiera également à renforcer la surveillance active dans toute la région et à former les vétérinaires et para-vétérinaires au dépistage de la PPR.

La RDC serait infectée depuis 2008. Les pays voisins tels que le Congo-Brazzaville, le Gabon, le Kenya et la Tanzanie sont touchés par la maladie et certaines régions sont jugées endémiques.

La Communauté de développement de l'Afrique s'est fixée comme priorité de santé animale d'enrayer l'avancement de la PPR. Son élimination est considérée comme capitale pour la réduction de la pauvreté dans les pays les plus vulnérables de la planète.

« La Peste des petits ruminants est causée par un virus similaire à la rougeole chez l'homme et à la peste bovine. La peste bovine a été éradiquée en 2011 uniquement grâce au plein engagement des donateurs, de la communauté scientifique, des organismes de développement, de nos principaux partenaires, des gouvernements membres et des agriculteurs du monde entier. Nous pouvons faire de même pour la peste des petits ruminants à condition qu'il y ait une volonté politique », a conclu M. Juan Lubroth, vétérinaire en chef de la FAO.





Source FAO
vendredi 29 juin 2012
 Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, retire l’autorisation de mise sur le marché du Cruiser OSR, utilisé pour la culture du colza. Le produit de Syngenta est accusé de désorienter les abeilles.

Le Cruiser OSR était sur la sellette depuis le 1er juin, date à laquelle le ministre avait déclaré son intention de retirer l’autorisation de mise sur le marché (AMM). Syngenta « disposait d’un délai de 15 jours pour faire part de ses observations », rappelle le ministère de l’Agriculture. 


Celles transmises le 15 juin « ne sont pas de nature à remettre en cause les éléments ayant conduit à envisager son retrait ». En cause, l’exposition des abeilles à la dose sublétale au travers des résidus de thiametoxam, substance active de ce produit, dans le nectar de colza. Elle aurait des effets néfastes sur le retour à la ruche des butineuses. « Le ministre engage par ailleurs la procédure européenne visant à interdire les semis de colza traité par enrobage au thiametoxam », ajoute le ministère.

Les réactions n’ont pas tardées. La Fédération française des producteurs d’oléagineux (colza…) et de protéagineux y voit une « annonce arbitraire » reposant sur « une lecture tendancieuse » d’un rapport de l’Anses. La décision serait, selon elle, une compensation accordée aux écologistes après des tensions survenues entre le gouvernement et ses alliés de la majorité présidentielle. 


A l’inverse pour FNE, c’est « une première victoire dans un combat de longue haleine ». Mais l’ONG enjoint d’aller plus loin. D’une part, le Cruiser est aussi utilisé pour le maïs, la betterave et le pois. D’autre part, « c’est globalement toute la famille des néonicotinoïdes » qui doit être réévaluée selon FNE. 

L’Union nationale de l’apiculture française (Unaf) va dans le même sens : « Ce sont toutes les autorisations de pesticides systémiques qui devraient être suspendues, réclame Olivier Belval, président de l’Unaf. Le temps d’une réévaluation complète. »








....Et plus de pesticides répandus en 2011



Une diminution de 50% des pesticides utilisés d’ici 2018 : c’était l’un des nombreux engagements du Grenelle de l’environnement, en 2007. Nous sommes loin du compte. En 2011, le marché des pesticides est même plutôt orienté à la hausse ! En volume, l’augmentation est de 1,3 %, soit 62 700 tonnes de pesticides dispersés, ou en passe de l’être, dans les champs (contre 61 900 tonnes en 2010). En valeur, la progression est de 5%. Le chiffre d’affaire 2011 du secteur des vendeurs de « produits phytosanitaires » atteint 1,9 milliards d’euros.

Mention spéciale à la catégorie herbicides, dont le chiffre d’affaire grimpe de 17%. Les insecticides se situent juste derrière, avec 11% de plus qu’en 2010. Pourquoi une telle hausse, alors que les mentions « agriculture raisonnée » et que le marché des produits bio progressent ?  


La faute à la météo répondent les représentants de l’industrie des pesticides : « 2011 : une année encore influencée par les conditions météorologiques », titrent-ils. L’agriculture dépendrait donc du temps qu’il fait. Quel scoop !

« Cette hausse pointe surtout le manque total de volonté politique de pousser en profondeur à un changement du système agricole, qui conduit à l’immobilisme, et à la reprise en main très nette de l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture (APCA) et de ses représentants du plan Ecophyto », estime François Veillerette, porte-parole de l’association Générations futures. Les ministres de l’Agriculture et de l’Écologie, Stéphane Le Foll et Delphine Batho, parviendront-ils à inverser la tendance ? ...


Source © Nolwenn Weiler /bastamag

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